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Extrait de la publication « Schémas et tableaux commentés pour la gestion du personnel du BTP » Les absences, congés, accidents et maladies L’indemnisation de l’arrêt maladie Référence Internet GPB.06.110 Dans le cadre de l’abonnement, cf. page 4. Les conventions collectives du BTP prévoient le maintien du salaire des salariés malades sous certaines conditions. Cette indemnisation est bien évidemment complémentaire à celle de la Sécurité sociale et doit garantir un certain niveau de revenus au salarié, déduction faite des indemnités journalières versées par la Sécurité sociale. L’organisation sous forme de tableau vous permet en un clin d’œil de visualiser les règles d’indemnisation. Règles d’indemnisation de l’arrêt maladie dans le BTP BÂTIMENT Conditions Période d’indemnisation Montant Ouvriers - 3 mois d’ancienneté Délai de carence de 3 jours (à chaque arrêt) Pas de subrogation obligatoire - du 4e au 48e jour d’arrêt (inclus) e 100 % e + - du 49 au 90 jour d’arrêt (inclus) indemnisation subordonnée à la possibilité de faire effectuer une contre-visite Pluralité d’arrêts : maximum de 90 jours indemnisables sur une même année civile GPB.06.110 - ou 1 mois + 750 points de retraite complémentaire - 1 mois pour les moins de 25 ans 75 % ETAM et CADRES (pour les cadres, sous réserve de l’application de la convention collective par l’entreprise) - 1 an d’ancienneté dans l’entreprise Pas de délai de carence - Ou 5 ans dans une ou plusieurs entreprises du BTP Subrogation obligatoire pour les ETAM du 1er au 90e jour (inclus) + indemnisation subordonnée à la possibilité de faire effectuer une contre-visite (pour les ETAM seulement) maintien intégral de salaire Pluralité d’arrêts : décompte des 90 jours à chaque nouvel arrêt sauf rechute (pour les ETAM : maximum de 90 jours indemnisables sur une même année civile) à partir du 91e jour Exclusion des arrêts occasionnés par la pratique d’un sport (indemnisation légale à partir de 3 ans d’ancienneté) ETAM : régime de prévoyance PRO BTP obligatoirement souscrit par l’employeur Prestations du régime de base (75 % de la 365e partie du salaire brut des 12 derniers mois précédant la maladie) Cadres : régime de prévoyance obligatoire Prestations équivalentes au régime de base (65 % de la 365e partie du salaire brut des 12 derniers mois précédant la maladie TRAVAUX PUBLICS (pour les cadres sous réserve de l’application de la convention collective par l’entreprise) Conditions Période d’indemnisation Montant Ouvriers - 3 mois d’ancienneté Pas de délai de carence de 3 jours - ou 1 mois + 750 points de retraite complémentaire Subrogation obligatoire - du 1er au 48e jour d’arrêt (inclus) - 1 mois pour les moins de 25 ans e 100 % e + - du 49 au 90 jour d’arrêt (inclus) indemnisation subordonnée à la possibilité de faire effectuer une contre-visite 75 % Pluralité d’arrêts : maximum de 90 jours indemnisables sur une même année civile ETAM et CADRES - 1 an d’ancienneté dans l’entreprise Pas de délai de carence - ou 5 ans dans une ou plusieurs entreprises du BTP Subrogation obligatoire du 1er au 90e jour + indemnisation subordonnée à la possibilité de faire effectuer une contre-visite (pour les ETAM seulement) maintien intégral de salaire Pluralité d’arrêts : décompte des 90 jours à chaque nouvel arrêt sauf rechute (pour les ETAM : maximum de 90 jours indemnisables sur une même année civile) à partir du 91e jour Exclusion des arrêts occasionnés par la pratique d’un sport (indemnisation légale à partir de 3 ans d’ancienneté) SCHÉMAS ET TABLEAUX COMMENTÉS POUR LA GESTION DU PERSONNEL DU S ETAM : régime de prévoyance PRO BTP obligatoirement souscrit par l’employeur Prestations du régime de base (75 % de la 365e partie du salaire brut des 12 derniers mois précédant la maladie) Cadres : régime de prévoyance obligatoire Prestations équivalentes au régime de base (65 % de la 365e partie du salaire brut des 12 derniers mois précédant la maladie BTP © EDITIONS TISSOT 2015 1 L’indemnisation de l’arrêt maladie • Comment le salarié malade est-il indemnisé ? L’indemnisation de l’arrêt par la Sécurité sociale Le salarié contraint de suspendre son activité professionnelle en raison de sa maladie perçoit, après un délai de carence de 3 jours, des indemnités journalières de Sécurité sociale (IJSS) de sa caisse d’assurance maladie. Calculées sur la base d’un salaire journalier de base égal au montant total des 3 derniers salaires bruts perçus avant l’arrêt de travail, divisé par 91,25 lorsque le salaire est mensualisé, les IJSS sont versées si le salarié remplit, à la date d’interruption du travail, la condition d’ouverture de droits : - avoir travaillé au moins 150 heures au cours des 3 mois ou des 90 jours précédant l’arrêt du travail ; GPB.06.110 - ou avoir cotisé à l’assurance maladie sur un salaire au moins égal à 1.015 fois le montant du SMIC horaire au cours des 6 mois civils précédant l’arrêt. Pour être indemnisé au-delà du 6e mois d’arrêt de travail, le salarié doit être immatriculé depuis au moins 12 mois à l’assurance maladie et avoir travaillé au moins 600 heures ou avoir cotisé l’équivalent de 2.030 fois la valeur du SMIC au cours de la même période. Dès réception de l’avis d’arrêt de travail, vous devez transmettre le plus rapidement possible une attestation de salaire à la caisse d’assurance maladie du salarié. C’est en effet sur la base des éléments qui y sont portés que la CPAM va déterminer si le salarié remplit les conditions requises pour être indemnisé et, si c’est le cas, calculer le montant des indemnités journalières. Cette transmission doit se faire sous forme électronique, soit sur le portail net-entreprises, soit en mode EDI machine si l’entreprise dispose d’un logiciel certifié lui permettant d’échanger des flux avec l’assurance maladie. 90 premiers jours de l’arrêt de travail et ne ferez cette déclaration à PRO BTP qu’à l’issue des 90 jours, lorsque l’arrêt sera prolongé. • Qu’est-ce que la subrogation ? La subrogation vous permet de percevoir directement, en lieu et place de votre salarié(e), les indemnités journalières de Sécurité sociale qui lui sont dues pour la période d’arrêt de travail. Sa mise en œuvre est obligatoire dans les Travaux publics (pour les cadres, si l’entreprise applique la convention collective des cadres des TP) ainsi que pour les ETAM du Bâtiment. Pour les ouvriers et les cadres du Bâtiment, elle n’est que facultative. La subrogation peut être de plein droit ou subordonnée, à chaque fois, à l’accord du salarié. Ce mécanisme s’applique ainsi automatiquement : - lorsque le salaire est maintenu en totalité par l’employeur, quelles que soient les clauses du contrat de travail ; - lorsque le contrat de travail ou un accord collectif de travail prévoit un maintien en tout ou partie de la rémunération, sous déduction des indemnités journalières, à condition que la part de salaire maintenu pour la période considérée soit au moins égale au montant des indemnités dues pour la même période. Attention : à défaut de remplir l’une ou l’autre de ces conditions, l’accord du salarié est indispensable. La demande de subrogation doit être effectuée lors de l’établissement de l’attestation de salaire. Il suffit en pratique de remplir, en bas du formulaire, le cadre « Subrogation en cas de maintien de salaire ». N’oubliez pas d’y indiquer notamment la période pendant laquelle vous demandez la subrogation. Un détail qui a son importance. j i Notez-le Cette période doit être exprimée en jours calendaires quand bien même l’entreprise aurait calculé son complément de salaire sur une base horaire ou par jour habituellement travaillé. Les mises en garde vous évitent tout litige. j ? ATTENTION • Que se passe-t-il en cas de pluralité d’arrêts ? La CPAM est en droit de suspendre le versement des indemnités journalières si, au cours d’un contrôle, elle constate que le salarié continue à travailler, même de manière limitée. L’exercice d’une activité pendant un arrêt maladie prive aussi le salarié assuré de ses indemnités journalières. Il s’agit par exemple du cas du salarié qui participe pendant l’arrêt de travail à une compétition sportive sans y avoir été autorisé par son médecin ou qui continue d’exercer son mandat de représentant du personnel. La CPAM est donc fondée à demander le remboursement des IJ au salarié. Les ouvriers ne peuvent être indemnisés plus de 90 jours sur une même année civile. Le décompte des jours indemnisés se cumule à chaque nouvel arrêt. Le complément à la charge de l’employeur - 2e arrêt de 15 jours : 3 jours de carence, donc 12 jours à 100 % En complément des indemnités journalières versées par la caisse d’assurance maladie, vous devez assurer au salarié une indemnisation complémentaire de façon à maintenir sa rémunération nette pendant une certaine durée (différente pour les ouvriers, les ETAM et les cadres). Si vous avez souscrit la garantie arrêt de travail auprès de PRO BTP, vous devez effectuer une déclaration d’arrêt de travail. À défaut, vous devrez assurer vous-même le maintien du salaire pour les SCHÉMAS ET TABLEAUX COMMENTÉS POUR LA GESTION DU PERSONNEL DU Exemple : Un ouvrier, qui est arrêté 3 fois au cours d’une même année, sera indemnisé : - 1er arrêt de 20 jours : 3 jours de carence, donc 17 jours à 100 % - 3e arrêt de 30 jours : 3 jours de carence, donc 16 jours à 100 % et 11 jours à 75 % Les ETAM, également, ne peuvent être indemnisés plus de 90 jours sur une même année civile mais, à la différence des ouvriers, la période de 90 jours est calculée à chaque arrêt de travail, sauf rechute de la maladie ou de l’accident qui a justifié le premier arrêt. BTP © EDITIONS TISSOT 2015 2 L’indemnisation de l’arrêt maladie • Doit-on assurer l’indemnisation conventionnelle lorsque le salarié ne remplit pas les conditions d’affiliation pour bénéficier des indemnités journalières de Sécurité sociale ? Pour les ETAM et les cadres, cette indemnisation conventionnelle est due par l’employeur même si le salarié ne remplit pas la condition de durée d’affiliation suffisante pour pouvoir bénéficier des indemnités journalières de Sécurité sociale, à condition qu’il remplisse les conditions d’ancienneté nécessaires pour pouvoir bénéficier de l’indemnisation conventionnelle. Pour les ouvriers, la convention collective stipule clairement que l’indemnisation conventionnelle complète les indemnités journalières de la Sécurité sociale et que l’ouvrier doit justifier être pris en charge par la Sécurité sociale. Cette règle résulte d’une jurisprudence rendue récemment qui prévoit que l’indemnisation complémentaire employeur n’est pas subordonnée au versement des IJSS sauf clause contraire explicite de la convention collective. L’employeur, le salarié, la caisse de Sécurité sociale, l’institution de prévoyance PRO BTP Les conseils avisés vous accompagnent et vous rassurent. • Mettez en place le régime de prévoyance obligatoire prévu par les CN Lorsque le salarié a épuisé son droit à indemnisation, c’est-à-dire au-delà du 90e jour d’absence, il est pris en charge par le régime professionnel de prévoyance PRO BTP (ou pour les cadres par un système équivalent). Attention, les conventions collectives des ETAM et des cadres prévoient que, à défaut de mise en place de ce régime obligatoire de prévoyance dans l’entreprise, vous devrez payer directement au salarié les indemnités correspondantes. Ce régime ne doit pas être confondu avec la garantie « Arrêts de travail » proposée par PRO BTP qui couvre les arrêts de travail inférieurs à 90 jours : la caisse, se substituant à l’employeur, prend en charge l’indemnisation complémentaire du salarié, moyennant le paiement d’une cotisation par l’employeur. L’adhésion à cette couverture « Arrêts de travail » est purement facultative. Pour les entreprises qui n’adhèrent pas à la garantie « Arrêts de travail » proposée par PRO BTP, PRO BTP effectue désormais un versement direct sur le compte de l’entreprise des indemnités complémentaires brutes, sans précompter la CGS/CRDS. L’entreprise après avoir appliqué les cotisations sociales, verse alors les indemnités à l’ouvrier malade. Ce système était déjà applicable aux ETAM et aux cadres. • Assurez aux cadres l’indemnisation complémentaire légale prévue par la loi sur la mensualisation Indépendamment des dispositions prévues par les conventions collectives, le principe d’une indemnisation complémentaire des arrêts de travail par l’employeur a été instauré. L’indemnisation est subordonnée à une condition d’ancienneté de 3 ans et à la possibilité de contre-visite. Elle joue après un délai de carence de 10 jours et doit garantir une indemnisation à hauteur de 90 % du salaire pendant 30 jours, 66 % pendant les 30 jours suivants. Ces durées sont prolongées de 10 jours par tranche de 5 ans d’ancienneté (sans pouvoir excéder 90 jours). • Rédigez avec soin l’attestation de salaire En cas d’erreur de votre part entraînant une majoration du montant des indemnités journalières, la CPAM pourra vous réclamer le paiement d’une pénalité pouvant aller jusqu’à 50 % des sommes indûment remboursées au salarié par celle-ci. GPB.06.110 Les conventions collectives des cadres limitent également l’indemnisation à 90 jours (décomptés à chaque arrêt de travail sauf rechute) mais aucune limite d’indemnisation par année civile n’est prévue. Lorsque l’arrêt de travail dépasse 6 mois, vous devrez à nouveau remplir une attestation de salaire car la CPAM recalcule les droits du salarié. Vous devez envoyer cette attestation de salaire par voie électronique. Le formulaire Cerfa a par ailleurs été réactualisé. Il porte le numéro 11135*03. • En cas de reprise anticipée, informez la CPAM Vous devez faire une attestation de reprise anticipée dans les 24 heures. • Ne laissez pas le salarié malade réintégrer son poste avant la fin de son arrêt Même si le salarié, animé d’une grande conscience professionnelle, vient volontairement travailler alors qu’il bénéficie d’un arrêt de travail, vous devez veiller à ce qu’il rentre chez lui. En effet, dans une affaire récente, une salariée, qui avait travaillé pendant sa période de suspension du contrat, a été condamnée à rembourser les indemnités journalières de Sécurité sociale et s’est par la suite retournée contre son employeur pour obtenir des dommages et intérêts. Elle a obtenu gain de cause et la Cour de cassation considère que l’employeur, qui avait laissé la salariée travailler en période de suspension du contrat de travail, d’abord pour cause d’accident du travail, ensuite pour cause de maladie, devait tirer les conséquences de cette suspension et lui demander de rentrer chez elle. • Modèles téléchargeables - Réf. Internet : Mod.4604 – Indemnités journalières de maladie en 2015 • Pour aller plus loin sur le sujet - Réf. Internet : Vous pouvez télécharger, personnaliser et imprimer des modèles de courriers pour faciliter la procédure (dans le cadre de l’abonnement, cf. page suivante). GPB.06.120 – La contre-visite médicale Saisissez la Référence Internet GPB.06.110 dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder : – aux mises à jour de cette fiche – à la rubrique « Pour aller plus loin sur le sujet » – aux Modèles téléchargeables – aux Références aux textes officiels SCHÉMAS ET TABLEAUX COMMENTÉS POUR LA GESTION DU PERSONNEL DU BTP © EDITIONS TISSOT 2015 3 Service client 04 50 64 08 08 Droit du travail, comptabilité & fiscalité » Voir la fiche produit en ligne www.editions-tissot.fr Schémas et tableaux commentés pour la gestion du personnel du BTP En un clin d’œil, découvrez la marche à suivre pour faire face à chacune des situations de gestion du personnel dans le BTP. Les fiches pratiques Bénéficiez de fiches pratiques qui traitent des cas concrets de gestion du personnel issus du terrain. Avec un schéma ou un tableau, associé à des commentaires et conseils, chaque fiche présente la marche à suivre pour respecter les procédures et spécificités du BTP. Vous visualisez simplement et rapidement toutes les informations essentielles pour prendre vos décisions en toute sécurité. • Pour faciliter vos recherches, le moteur de recherche (sur Internet) et un index très détaillé (dans l’ouvrage) sont à votre disposition • Sur Internet, les fiches sont mises à jour et enrichies chaque trimestre • Inclus : Bulletins de veille Les modèles personnalisables sur Internet Retrouvez tous les modèles de lettres, de contrats, de certificats, de formulaires, de check-lists, de tableaux de synthèse et de calculs essentiels pour agir concrètement, rapidement et sans faire d’erreur. Vous personnalisez chaque modèle puis vous imprimez le document final : c’est prêt ! VOS AVANTAGES 1. Pratique : vous visualisez la marche à suivre en un clin d'œil. 2. 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