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&
bourse
SEE EU LATER
L
N°31 - Septembre 2016
patrimoine
(The Sun)
es Britanniques ont finalement
choisi de mettre un terme à presque
40 années de «participations à la
construction européenne».
Cela incitera peut-être nos gouvernants à
éviter de mettre en place un référendum
pour convenances personnelles ou arrièrepensées politiques!
Historiquement, le projet européen a
autant été façonné par ses difficultés que
par les idées, les principes et les ambitions
de ses fondateurs. L’élargissement de
l’UE, partant d’une bonne intention,
a naturellement ajouté à ses propres
complications.
Mais l’Union Européenne n’a pas été
conçue pour affronter des situations de
crise ! Pourtant chaque fois qu’elle y a
été confrontée, des remèdes ou plutôt des
solutions ont été trouvées ; le plus souvent
tardives voir incomplètes et issues de
négociations incertaines.
Et à chaque difficulté, la fin de la
construction européenne a été évoquée...
Objectivement, l’UE a beaucoup apporté
à l’économie britannique depuis son
adhésion de 1973 et la situation actuelle
de la Grande-Bretagne doit beaucoup à ses
liens avec le premier ensemble économique
mondial. Tout le Royaume-Uni a toujours
bénéficié de conditions à part dans l’UE.
Quant à la CITY, elle a tiré un bénéfice
conséquent de sa position, PROCHE DE
L’UE, TOUT EN ETANT EXTERIEURE !
La sortie de la Grande-Bretagne a constitué
d’autant plus un échec que les européens
avaient accepté en février dernier de
nouvelles concessions vis-à-vis de leur
partenaire anglais.
Sur beaucoup de points, le choc du brexit
est sérieux et générateur d’incertitudes mais
en définitive tout dépendra des suites d’une
éventuelle décision de sortie à échéance
2017 ou 2018.
Quant à la baisse des marchés dans les
premiers jours de cet évènement, cela
correspond plus à une réaction épidermique
INDICES depuis le 1er janvier 2016
qui est davantage celle de spéculateurs
cherchant à profiter de la volatilité en la
provoquant, que celle des investisseurs
de long terme. D’ailleurs les marchés
américains se sont très bien tenus durant
cette période de crise. En revanche, les actifs
de refuge (or et dollar) ont profité de ce
mouvement d’aversion au risque.
Si mesurer les effets à long terme s’avère un
exercice périlleux, finalement c’est peut-être
la contagion politique qui est l’élément le
plus à craindre?
Le choix britannique pourrait apporter
de l’eau au moulin des partis politiques
eurosceptiques partout en Europe.
On peut imaginer que certains pays comme
le Danemark, la Finlande et les Pays-Bas
en viennent à se poser la même question
dans les années à venir.
En Espagne, on a voté à nouveau pour
désigner le parlement et l’on ne peut pas
dire que les résultats soient une grande
victoire de la démocratie!
Quant à l’Italie, on votera en octobre sur
la réforme constitutionnelle, un scrutin qui
peut devenir un plébiscite pour ou contre le
Président du Conseil!
Dernière hypothèse, les optimistes peuvent
toujours envisager qu’un effet dévastateur
du brexit en Grande-Bretagne devienne
paradoxalement très dissuasif pour tous
ces pays?
Bref, il parait difficile dans le contexte
actuel de faible visibilité d’adopter
une position très positive. Mais toute
correction temporaire sur les marchés,
surtout européens, peut engendrer de belles
opportunités d’achat.
5 000
-
4 800
-
4 600
-
4 400
4 200
-
15/09/15
2015 2016
4 000
3 800
31/12/15
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SP 500 + 5,05%
2 200
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2 150
2015 2016
-
2 100
-
2 050
-
2 000
-
1 950
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1 900
-
1 850
1 800
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31/12/15
15/09/16
NIKKEI 225 - 11,09%
-
20 500
-
19 500
-
18 500
-
17 500
-
16 500
2015 2016
15 500
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14 500
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15/09/16
PÉTROLE WTI (N.Y.) + 22,90%
-
55
2015 2016
50
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45
-
40
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35
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15/09/16
CONSEILLER DU PRÉSIDENT
25
EUR/USD + 3,56%
-
JACQUES BALESSE
&
-
-
Par expérience, c’est
souvent une succession
de variations conséquentes qui permet les
bonnes performances
à long terme!
b o u r s e
CAC 40 - 5,69%
1,15
2015 2016
1,13
-
1,11
-
1,09
-
1,07
1,05
15/09/15
p a t r i m o i n e
31/12/15
15/09/16
perspectives de marché
Le pied à l’étrier
les marchés de taux
Marché monétaire
Les deux grandes banques centrales guident
toujours nos marchés de taux. Elles n’ont
rien mis en place de nouveau et campent
sur leurs positions :
La FED confirme régulièrement son intention
de monter les taux dès que les conditions
économiques le permettront (la croissance,
l’inflation et le chômage sont surveillés de
près), mais elle n’a pas encore pu le faire et
le marché anticipe une hausse plutôt en fin
d’année.
La BCE, avec la mise en place dès mars 2016
d’un programme d’achats pour 80 M€ par
mois, a provoqué une hausse des emprunts
d’État, puis des emprunts d’entreprises notés
Investissement Grade.
A l’issu de chaque réunion de la BCE, les
discours sont quasiment similaires depuis
quelques mois : l’Europe se trouve face à
une croissance et une inflation trop faibles
ainsi qu’un chômage persistant. Ce qui
oblige la banque centrale à maintenir sa
politique de taux bas. Cette situation devrait
se poursuivre tant que l’Europe n’atteindra
pas une croissance suffisante. Un avis que
partage le marché.
Sur le marché monétaire, les taux ont encore
baissé depuis 6 mois et les SICAV monétaires
sont à présent, pour la plupart, en rendement
négatif depuis le début de l’année. En
conséquence, les investisseurs sont amenés
à se positionner sur les obligations afin
d’obtenir un peu de rendement.
Marché Obligataire
Le marché obligataire a été fortement soutenu
par les achats de la BCE. Celle-ci a contribué à
assécher les emprunts d’État et les emprunts
d’entreprises les mieux notés.
Cet été, les acheteurs ont donc dû se déplacer
sur des signatures moins bonnes afin d’obtenir
des taux corrects. En effet, les rendements
sont négatifs sur les meilleures signatures
jusqu’aux échéances 2019. Dans ce contexte,
l’ensemble des obligations se sont appréciées
ces derniers jours, avec à la clé une hausse
des portefeuilles obligataires existants,
mais en contrepartie une difficulté à trouver
des obligations intéressantes en termes
de rendement actuariel pour constituer un
portefeuille.
Les taux longs européens devraient rester
sur des niveaux bas contrairement aux US,
au regard d’une conjoncture économique et
d’actions différentes des banques centrales.
Il faut donc être patient et sélectif avant d’entrer
sur ce marché. Nous vous conseillons de rester
prudents car le manque de rémunération a
tendance à pousser les investisseurs vers des
placements plus risqués.
Bien malin qui
“détient
la vérité
aujourd’hui
”
les marchés actions
On craignait beaucoup de turbulences sur les
marchés après le vote pro brexit. Il n’en a rien
été. Après son plongeon fin juin, le marché
s’est admirablement redressé en juillet /
août, en faisant plus que retracer ses pertes
post brexit.
Hormis une baisse significative de la livre
sterling et l’intervention musclée de la
banque d’Angleterre, il n’y a pas eu de
changement significatif dans l’UE : ni sur les
taux monétaires, ni sur la bourse, ni sur le
taux de change de l’euro. Le brexit dont on
redoutait les conséquences sur l’économie
n’a provoqué ni crise financière, ni pression
particulière sur les prévisions de croissance
et d’inflation. Il n’a pas non plus alimenté
le courant des eurosceptiques, ni aggravé le
risque de désintégration de la zone euro.
Au cours de l’été, la situation économique
s’est révélée résiliente au RU. Elle s’est
améliorée aux États-Unis. Elle s’est stabilisée
en Chine et a plafonné en zone euro. Le brexit
est pour le moment un choc localisé et non
global. La croissance mondiale ne s’en trouve
pas bouleversée mais elle reste faible, autour
de +3% l’an.
b o u r s e
L’urgence commence à s’estomper pour les
banques centrales. La BCE passe son tour lors
de sa réunion du 8 septembre en mettant la
pression sur les gouvernements pour qu’ils
poursuivent leurs réformes structurelles.
Pour la Fed, l’économie US est tout près de
ses objectifs, soit un chômage à 5% et une
inflation à 2% ; la direction à suivre reste la
normalisation mais sans pression manifeste
et dans le souci de l’évolution des conditions
monétaires (change) et financières (bourse).
Les marchés ont pris acte cet été de la
résilience des données économiques et
retenu l’hypothèse que l’action des banques
centrales devait continuer à l’emporter sur
l’évolution des taux souverains. Ils se sont
satisfaits de la stabilisation du marché pétrolier
et du dollar et d’un probable point bas atteint
dans les émergents. Ils attendent un timide
redémarrage de l’activité industrielle. De là à
imaginer un tel rebond...
Le débat est ouvert. D’un côté, les facteurs de
risque demeurent : un endettement public et
privé important, des tendances économiques
molles, un risque politique toujours présent
en Europe et qui va probablement se réinviter
aux USA à l’approche des élections américaines
de novembre, une situation chinoise encore
incertaine, des valorisations de marché
élevées et de retour sur les précédents plus
hauts. De l’autre, des catalyseurs plaidant
pour une amélioration du sentiment de
marché et une sortie par le haut : l’abondance
des liquidités et l’absence d’alternative sur les
marchés de taux, le redressement des prix du
pétrole, la solidité des résultats d’entreprises
et, sur le plan graphique, le croisement à la
hausse des moyennes mobiles 50 et 200
jours formant une «Golden Cross»*.
Depuis longtemps, les banques centrales sont
des moteurs de hausse des marchés financiers.
Les discours vont rester accommodants mais
il va falloir intégrer la perspective d’une
remontée des taux directeurs américains. La
surenchère va devenir difficile.
Comment vont réagir les investisseurs?
Bien malin qui détient la vérité aujourd’hui.
Restons le pied à l’étrier sans déroger à nos
principes d’investissement toujours focalisés
sur la connaissance des sociétés et de leurs
managements, la qualité des résultats et
le suivi de leurs performances sur le long
terme.
*signal haussier quand la MM50 croise à la hausse la MM200
&
p a t r i m o i n e
conseils d’investissement
Cibler les poches de croissance
liste principale
VALEURS
En zone euro, l’économie résiste au choc et
poursuit sa reprise. Les résultats du semestre
sont plutôt bons même s’ils n’ont pas permis
d’inverser la tendance avec des objectifs
annuels simplement reconduits. Nous
continuons d’accompagner ce mouvement avec
des choix d’investissement plus que jamais
focalisés sur la qualité des fondamentaux
et la création de valeur. Nous décidons de
reconduire Air Liquide qui annonce enfin les
modalités de son augmentation de capital et
Cap Gemini. Nous intégrons Airbus Group, BNP
Paribas sur opportunité et Vinci.
valeurs moyennes
. Eurofins Scientific
. Jacquet Metal Service
. Plastic Omnium
. SEB . Wavestone
Dans l’ensemble, les Valeurs Moyennes se
comportent relativement bien depuis le début
de l’année, avec parfois des déceptions. Certains
de nos choix en ont subi les conséquences
mais sans que nos convictions ne soient
remises en question, sur Adocia, Ingenico ou
Figeac en particulier que nous conservons en
portefeuille. Nous revenons par ailleurs sur
des sociétés bien connues et déjà largement
présentes dans les portefeuilles mais dont
on ne peut que réaffirmer les qualités :
Eurofins Scientific, Jaquet Metal Service, Plastic
Omnium, SEB et Wavestone.
125
. Alibaba
. BioMarin Pharma
. Facebook . Fresenius
. Urban Outfitters
Nous restons résolument focalisés sur les
technologies du numérique et la recherche
biotechnologique où la création de valeur
peut rapidement devenir importante. Nous
reconduisons Facebook, nous arbitrons
Genmab par BioMarin Pharma et intégrons
Alibaba, Fresenius et Urban Outfitters.
AIR LIQUIDE
120
-
115
-
110
-
105
-
100
-
95
-
90
-
15/09/15
31/12/15
15/09/16
AIR LIQUIDE (15-09-2016)
Achat
M€
déc-15
CA
Rés.op
Marge op.
RN
16 380
2 755
16,8%
1 756
déc-16e
18 603
3 160
17,0%
1 899
85
Cours/Objectif
97,0€ / 105,0€
déc-17e
21 371
3 614
16,9%
2 119
déc-15
PER
VE/CA
VE/ROP
Rendement
19,0
2,7
15,4
2,7%
déc-16e
déc-17e
18,4
2,9
17,0
2,7%
17,4
2,5
14,7
2,9%
Sources : FU, Factset
Présentation
Argumentaire
Air Liquide est le leader mondial dans la
production de gaz industriels issus de l’air
(oxygène, azote, argon, gaz rares...). Ses produits
sont employés dans les industries de la chimie, de
la métallurgie, de l’électronique ainsi que dans le
domaine médical (anesthésie et traitement des
maladies respiratoires). Le groupe est présent
dans 80 pays et réalise plus de 80% de son CA à
l’international. Avec ses 4 principaux concurrents,
il se partage les trois quarts du marché des gaz
industriels et commerciaux mais il reste avec
l’allemand Linde le plus actif à l’international.
Le groupe vient d’annoncer une augmentation
de capital de 3.3Md€ en vue de l’acquisition de
l’américain Airgas. Cette acquisition va propulser
le groupe à la place de n°1 mondial des gaz
industriels avec par ailleurs un portefeuille de
produits parmi les plus équilibrés du marché.
Cette annonce intervient au moment même
où son concurrent Linde indique l’échec des
négociations avec l’américain Praxair, laissant
toute latitude à Air Liquide de bénéficier
de la croissance solide de ce marché.
17
-
2015 2016
-
JACQUET METAL SERVICE
16
-
15
-
14
-
13
-
12
-
11
-
15/09/15
31/12/15
15/09/16
JACQUET METAL SERVICE (15-09-2016)
Achat
M€
valeurs internationales
VALEUR
2015 2016
-
. Airbus Group
. Air Liquide
. BNP Paribas
. Cap Gemini . Vinci
EN
-
déc-15
CA
Rés.op
Marge op.
RN
1 378
73
5,3%
51
déc-16e
1 635
25
1,5%
7
Cours/Objectif
16,6€ / 18,0€
déc-17e
1 727
52
3,0%
27
PER
VE/CA
VE/ROP
Rendement
déc-15 déc-16e
ns
55,2
0,4
0,4
28,0
24,9
2,4%
2,4%
déc-17e
14,3
0,4
11,9
3,3%
Sources : FU, Factset
Présentation
Argumentaire
Jacquet Metal Service est un leader européen
de la distribution d’aciers spéciaux. Le groupe
développe et exploite un portefeuille de marques
qui sont aujourd’hui au nombre de quatre :
JACQUET (tôles quarto inox), Stappert (produits
longs inox), Abraservice (tôles quarto antiabrasion) et IMS group (aciers pour la mécanique).
Avec un effectif de 3 356 collaborateurs,
Jacquet Metal Service dispose d’un réseau de
109 centres de distribution dans 26 pays en
Europe, en Chine et en Amérique du Nord.
Les bons résultats du 1er semestre en matière
de progression des volumes vendus, de gains de
parts de marché et de profitabilité accroissent
notre confiance quant au potentiel d’amélioration
de la rentabilité de Jacquet Metal Service à partir
de la fin du S2 2016. L’intégration de la société
Schmolz+Bickenbach Distribution acquise en
2015 se déroule conformément aux prévisions.
La visibilité sur le redressement de cette
importante activité qui représente à présent
30% du CA groupe, s’améliore sensiblement.
b o u r s e
&
p a t r i m o i n e
10
fcp actualités
Outils de gestion qui permettent une exposition à un grand nombre de marchés.
FCP ACTIONS
OPCVM
Valorisation
Performance
Valorisation
au au
Performance
16-09-2016 depuis le 31-12-2009
depuis le
5-02-2010
31/12/2015
WWW PERF (PEA)
Performance
12 mois
sur 12 mois
glissants
3Performance
ans
sur 3 ans
glissants
170,69 €
- 1,47 %
+ 9,64 %
+ 35,48 %
2 504,41 €
+ 1,29 %
+ 7,44 %
+ 58,61 %
ALIZÉ ASIA EQUITIES(I)
12 483,46 €
+ 2,42 %
+ 10,07 %
+ 9,73 %
ALIZÉ ASIA EQUITIES(R)
114,58 €
+ 1,70 %
+ 8,99 %
+ 6,13 %
BOSCARY UZÈS SÉLECTIONS (PEA-PME)
Les performances passées ne préjugent pas des performances à venir. Le portefeuille des FCP est soumis aux fluctuations des marchés.
Voilà 10 ans, UZÈS GESTION lançait un fonds PEA basé sur le
stock picking avec une gestion discrétionnaire. La performance
est au rendez-vous. WWWPERF progresse de + 71,23 % contre
+ 12,41 % pour l’indicateur de référence (DJ50 dividendes
réinvestis) sur la période. Cette performance s’explique par
le choix des valeurs qui est différent de l’indice. La recherche
permanente de valeurs de croissance et la proximité des gérants
avec le management des sociétés ainsi que leur réactivité au
marché, ont permis de creuser un écart significatif par rapport
à une gestion «benchmark». Cette méthodologie de gestion
se poursuit et permettra d’obtenir de la performance malgré la
volatilité des marchés.
Pour suivre nos FCP, nous vous invitons à consulter notre site
www.finuzes.fr
L’ASSURANCE-VIE ÉVOLUE À LA FINANCIÈRE D’UZÈS
La FINANCIÈRE D’UZÈS, comme courtier d’assurance
immatriculé à l’ORIAS, propose à ses clients - depuis plus de
25 ans - des contrats d’assurance-vie tant en France qu’au
Luxembourg. Nous avons sélectionné plusieurs partenaires
parmi les leaders de l’assurance : La Mondiale Partenaire
(historique), Foyer International (Luxembourgeois) et notre
nouvelle compagnie : SwissLife Insurance.
La fiscalité avantageuse de l’assurance-vie vous permet
d’avoir une épargne active sans problématique d’impôts
sur les plus-values et sur les revenus, avec des frais de
succession allégés.
Nous sommes parmi les premières maisons de gestion à
avoir proposé des contrats investis et gérés sous mandat
en titres vifs, comme des comptes classiques. Ils nous
permettent d’investir sur toutes les classes d’actifs, sans
contrainte, afin d’assurer une bonne diversification de vos
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p a t r i m o i n e