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POUR L A
J’AGIS BASSE CONSO
P R E B AT H A U T E - N O R M A N DI E J U I N 2 0 10 N° 1
Éditorial
Quand devant la nouveauté
certains hésitent,
doutent, quand devant
l’exigence de performance
certains regardent
ailleurs, tergiversent,
repoussent à plus tard,
d’autres se préparent et
agissent. La réalisation de bâtiments
basse consommation fait partie de ces
défis à relever, combinant nouveauté
et performance que les sceptiques
présentent encore comme trop ambitieux.
Aujourd’hui, la réalité est là, ces projets
se concrétisent : nous assistons à la
pose des premières pierres, d’autres
sont en cours de chantier, certains
sont livrés… L’ensemble de ces projets,
retenus ou non dans l’appel à projets
PREBAT, illustre l’anticipation et la
mise en œuvre de réglementations
qui viennent d’être votées dans la
loi Grenelle 2. Les freins opposés
jusqu’alors : « C’est très bien, mais
c’est plus cher ! », « les professionnels
ne sont pas encore formés ! », et « les
technologies ne sont pas disponibles »,
ne sont plus tous fondés. Aujourd’hui,
les bâtiments qui sortent de terre
montrent que c’est possible, la pratique
et les échanges d’expérience lèvent
les freins les uns après les autres.
Les Bâtiments Basse Consommation
(BBC) d’aujourd’hui le démontrent :
toute la filière du bâtiment est en train
de muter. Poursuivons ces efforts
pour généraliser cette performance
énergétique et même, aller plus loin :
la Basse Consommation ne sera
qu’une étape !
Maïté CACAUX .
I NGÉNIEUR E NERGIE BÂTIMENT - ADEME
COORDINATEUR PREBAT HAUTE-NORMANDIE
!
ZOOM
Construire durablement
MOT I VAT IONS INDI V IDU EL L ES
ET EXPÉRIENCES COLLECTIVES
Diversité des constructions
constructions.
Travail en équipe
équipe.
Contrôle de la performance
performance.
Les échanges d’expérience permettent d’atteindre les consommations énergétiques les plus performantes.
Dix sept projets PREBAT sont menés en Haute-Normandie et
tous concourrent à démontrer la pertinence des Bâtiments Basse
Consommation (BBC). Les lauréats sélectionnés pour participer à ce
programme ont essentiellement des motivations écologiques et sont
accompagnés dans cette démarche par des professionnels engagés.
Ensemble, ils affinent, expérimentent et échangent…
C
onstruire ou réhabiliter selon les standards BBC n’est pas encore une démarche spontanée et semble même,
parfois, encore relativement compliquée. Le
programme de recherche et d’expérimentations sur l’énergie dans le bâtiment (PREBAT)
mené par l’ADEME tend à promouvoir ce type de
construction – ou réhabilitation – avec pour objectif l’amélioration de l’efficacité énergétique et
le développement des énergies renouvelables.
En Haute-Normandie, ce sont 17 projets exemplaires qui sont soutenus par l’ADEME, la Région
1
Haute-Normandie, le Département de l’Eure,
le Département de la Seine-Maritime, l’ANAH
et le FEDER. Ces lauréats PREBAT ont été sélectionnés parmi 84 dossiers et retenus suivant des
critères techniques qui permettent d’évaluer
les performances énergétiques de leur engagement à construire ou rénover des Bâtiments
Basse Consommation énergétique. Parmi ceuxci, 7 projets sont en construction et 10 encore
au stade de l’étude. Les bâtiments PREBAT doivent contribuer à la promotion des meilleures
solutions et des techniques d’optimisation.
!
ZOOM SUR
Construire durablement
tion est encore supérieur de 15 % au coût moyen
de la construction, la démarche entamée par
les lauréats PREBAT prouve clairement que la
réflexion doit être menée pour le long terme.
Philippe Tessier en est convaincu : « Si l’investissement de départ est plus important, l’objectif
c’est d’être gagnant dans le temps. Nous espérons ainsi dépenser moitié moins d’énergie. De
toute manière, notre démarche est claire : nous
sommes prêts à assumer cet investissement au
départ pour nous inscrire dans une démarche
Le futur centre hospitalier de Dieppe. Architecte : Chabanne et Partenaires / Bureau d’études : Betom Ingenierie.
Clé du succès : la collaboration entre architectes et bureaux d’études pendant toute la
durée des travaux. (Voir témoignage ci-contre :
Nicolas Bougaut, Centre hospitalier de Dieppe).
Une préoccupation écologique
et un vrai suivi
Parmi les principales préoccupations qui déterminent le choix d’une construction basse
consommation, l’environnement s’impose
comme une donnée incontournable. Valérie et
Marc Telitchko, habitants du Grand-Quevilly, se
sont lancés dans l’aventure, séduits par le projet d’éco-quartier de leur commune : « Dans ce
projet, la collectivité a été moteur, son action
nous a boostée et nous avons voulu profiter
du privilège d’habiter cet éco-quartier. Souvent dans les émissions télévisées, les maisons
à ossature bois sont présentées avec de nombreux avantages et un réel atout pour la santé
comparé au béton ».
Une démarche récurrente pour Richard Lefebvre, responsable de la société de construction « Les Airelles », qui confie trouver cette
sensibilité écologique chez la plupart de ses
clients : « C’est l’avenir ! Mes clients, souvent
propriétaires, sont des gens sensibilisés à la
problématique écologique qui veulent sauter
le pas vers la basse consommation. C’est le cas
de mes clients, Florence et Quentin Delescluse,
très sensibilisés au développement durable
puisque travaillant dans le domaine de l’énergie éolienne ». Autre point rassurant pour les
lauréats PREBAT, le suivi d’un bureau d’études
et d’un architecte pendant toute la durée des
travaux. « Lorsque nous avons vu le cahier des
charges phénoménal correspondant à notre
logement, nous avons souhaité n’avoir qu’un
seul interlocuteur.
Nous avons alors été dirigés vers un cabinet
d’architectes qui connaissait bien le produit et
nous a tout expliqué de A à Z », explique Valérie
Telitchko.
Pour ceux qui ne baignent pas dans le sujet, les
informations utiles sont disponibles dans les
espaces infos énergie (EIE) – ouverts aux particuliers –, auprès de l’ADEME – pour les professionnels –, ou encore dans la riche bibliographie proposée sur tous ces sujets.
Une démarche exemplaire et
un sur-investissement compensé
La maison des Telitchko
Telitchko. Architecte : ARTECH Architectes /
Bureau d’études : ETC.
Directeur général de la CCI de l’Eure, Philippe
Tessier explique avoir souhaité s’engager dans
ce type de projet afin de s’inscrire dans les objectifs du Grenelle de l’environnement. Une démarche destinée à répondre à plusieurs cibles :
« La santé au travail, le traitement des eaux,
développement durable forte. Nous serons aidés
pour cela par des subventions qui compensent
partiellement le coût supplémentaire ». Fabricant
de maisons à ossature bois, de type préfabriqué,
Richard Lefebvre comptabilise six commandes de
maisons pour 2010. Un marché qui s’installe doucement mais dont l’investissement reste encore
supérieur à un budget classique, précise-t-il : « Il
faut compter de 15 à 25 % de plus mais le développement du marché devrait permettre de faire
baisser significativement les prix dans les prochaines années. Aujourd’hui, même si les clients
sont conscients que la qualité a un prix, les crédits
d’impôts alloués à ces projets sont indispensables
pour entraîner la décision. C’est un investissement
pour l’avenir, car demain avec un pétrole cher, les
possesseurs de bâtiments basse consommation
s’y retrouveront forcément ».
Une position également partagée par Valérie
Telitchko qui projette son investissement dans
la durée : « L’aspect environnemental était important mais l’équilibre économique est déterminant. Nous avons joint l’utile à l’agréable
avec l’idée de tendre vers une qualité de maison supérieure ».
Si à l’initiative d’un projet BBC, on rencontre souvent la motivation d’un individu, on constate
rapidement que ces projets sont avant tout
des aventures collectives, chargées d’échanges
et d’expériences… constructives !
La Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Eure.
Architecte : ENIA Architectes / Bureau d’études : IOSIS.
la qualité paysagère, les économies d’énergie
et donc la mise en place d’une pompe à chaleur, de panneaux photovoltaïques… afin de
mettre en avant le développement durable
ainsi que le savoir-faire de nos entreprises ». Un
projet qui inclut également la mise en place
d’un système de gestion des énergies afin de
connaître les consommations du futur bâtiment : « On ne s’engage pas seulement sur des
conditions de performances, on veut suivre
cela dans le temps. C’est une démarche qui se
veut exemplaire ».
S’il est vrai que, pour le moment, le coût de
construction des bâtiments basse consomma2
!
DÉCOUVER TE
TÉMOIGNAGE
NICOL A S BOUGAU T
Directeur Grands travaux et du patrimoine
Centre hospitalier - Dieppe
PREBAT Pourquoi vous être inscrit dans une démarche
de développement durable ?
JEAN-Y VES SELLIER
N.B. En tant qu’établissement de santé, nous avons ce que l’on appelle un projet d’établissement,
dont un volet développement durable a été voté en 2006. Tous les aspects de l’établissement sont
concernés : responsabilité sociale, formation, ressources humaines, prise en compte des problématiques
énergétiques… C’est en 2006 que s’est décidée la reconstruction du bâtiment psychiatrique, vieux de
30 ans et devenu inadapté pour nos patients. D’emblée, il y a eu une volonté HQE (haute qualité
environnementale), notamment sur les aspects énergétiques du bâtiment à construire.
Bureau d’études Lecacheur
• Quelle est la place de la basse
consommation dans votre
métier ?
Aujourd’hui, sur la partie logement,
70 % des projets sont basse
consommation : c’est devenu
la base. Au début, beaucoup de
maîtres d’ouvrages ont hésité sur
le sujet à cause d’un éventuel
surcoût. Mais, finalement, on s’est
aperçu qu’il n’y avait pas de coût
supplémentaire sur les matériaux.
Le problème principal réside dans le
manque de formation du personnel.
• Que vous a apporté votre
formation ADEME ?
L’objectif de cette formation BBC*
était de rechercher de nouvelles
solutions techniques. Ce stage
m’a conforté dans ma façon
de travailler au sein de notre
bureau d’études et la plupart
des participants ont trouvé des
informations intéressantes. C’est
une bonne formation généraliste
sur la basse consommation
que j’aimerais compléter par
un approfondissement sur
les matériaux nouveaux, des
principes constructifs et des points
techniques particuliers.
• La basse consommation est-elle
concurrentielle ?
Elle l’est devenue, l’important,
c’est d’être vigilant. Les matériaux
et équipements techniques se
développent et les fabricants
nous montrent régulièrement des
évolutions techniques. Aujourd’hui,
nous suivons trois projets PREBAT
en cours.
S;E S.O mm
PREBAT Comment avez-vous choisi le projet ?
N.B. Nous avions un déficit d’informations sur ces sujets, nous doutions même de leur faisabilité
essentiellement à cause des surcoûts induits. Nous avons alors opté pour une solution THPE (très haute
performance énergétique) et demandé la basse consommation en option, sachant que nous avions
une procédure de conception-réalisation qui permet de connaître les délais et le prix. Il y a eu tout un
travail entre l’entrepreneur et le bureau d’études afin d’obtenir le bâtiment le mieux conçu, avec une
meilleure coordination et une enveloppe financière mieux maîtrisée.
PREBAT Avez-vous rencontré des difficultés ?
N.B. Après avoir choisi l’entreprise, nous avons dû demander à revoir leur projet basse consommation
car il y avait des erreurs dans les montants financiers. En 2008, le projet choisi proposait un surcoût de
1,3 M€ pour un projet basse consommation d’un coût total d’environ 13 M€. Sans les subventions, c’est
le genre de projet qui demande un retour sur investissements d’une quarantaine d’années ! Avec les
aides, celui-ci tombe à 12 ans. On s’est donc inscrit dans le processus PREBAT.
PREBAT Quelles retombées espérez-vous après un tel engagement ?
N.B. Selon le rapport Attali, la locomotive en matière de basse consommation doit être le secteur
public. On a voulu montrer cette préoccupation en tant qu’établissement de santé. La motivation
économique était également forte, avec en particulier la baisse des charges d’exploitation. Autre
espoir : susciter l’intérêt de nos patients, nos personnels et du grand public sur ce sujet, notamment
avec l’aide de l’ADEME, pour faire de la sensibilisation. Cette démarche, c’est aussi un moyen de
participer au progrès technique et à l’évolution des entreprises qui mettront à profit cette expérience
sur d’autres opérations et ainsi, contribuer à faire diminuer les prix. Notre expérience prouve que l’on
peut faire de la basse consommation à un prix raisonnable.
2 Q U E S T I O N S À FRÉDÉRIC BERNAD
Chargé d’opération - Communauté de communes du Pays du Neubourg
Pourquoi avoir choisi la basse consommation pour le nouveau gymnase ?
J’ai une sensibilité particulière à tout ce qui touche à l’environnement. Pour la construction du
gymnase du collège Pierre Corneille du Neubourg, j’ai souhaité faire partager mon idée aux élus. Je les
ai emmenés voir plusieurs gymnases et leur ai expliqué les avantages de ce type de bâtiment. A cela
s’ajoutait le fait de bénéficier de subventions égales au surcoût d’un bâtiment basse consommation, et
surtout par la suite, de très importantes économies d’énergie. J’ai trouvé des élus très ouverts au projet
et qui ont même voulu aller plus loin avec la certification HQE.
Quels sont vos objectifs ?
Ce gymnase, dont le projet est en cours de sélection, sera un outil pédagogique qui permettra
d’expliquer aux enfants les bienfaits des bâtiments basse consommation. Je veux qu’ils comprennent
comment fonctionne, par exemple, la récupération des eaux de pluie pour les toilettes, l’arrosage des
sols ou encore l’aspect paysager… Et que pour cela il n’y a pas besoin de se servir d’eau potable.
Les enfants seront les premiers utilisateurs du bâtiment, c’est donc un moyen de former la nouvelle
génération aux nouveaux comportements.
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* plus d’infos sur
2
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www.agenda-ademehautenormandie.fr
C
Tertiaire
EN DIREC T AVEC LE TERR AIN
Habitat collectif
Habitat individuel
• CCI de l’Eure
• Société Dialoge
• Maison RENARD
TRAVAUX
TRAVAUX
TRAVAUX
Le permis de construire a été obtenu en mars.
Après étude géothermique, il a été décidé
de remplacer la pompe à chaleur eau-eau
initialement prévue par une pompe à chaleur
air-eau. Ce nouveau type de chauffage
sera complété par l’ajout de membranes
photovoltaïques en toiture. D’autre part, la
Communauté d’Agglomération d’Evreux
prolonge le projet en uniformisant ses futurs
travaux de voiries à ceux de la CCI.
• Centre Hospitalier de Dieppe
TRAVAUX
La pose du plancher chauffant et de l’isolation par
l’extérieur sont en cours, le travail d’étanchéité de
la toiture touche à sa fin.
En projet : la construction d’un centre de
compteurs pour assurer le suivi dans le temps des
consommations énergétiques. Objectif : vérifier
qu’elles correspondent bien aux normes BBC. Les
travaux devront s’achever en octobre 2010.
Pose de la 1 pierre vendredi 23 avril 2010 en
présence d’Antoine Ruffenach, Maire du Havre
et président de la CODAH, Jacques Laurent,
président du Conseil de surveillance de Dialoge,
Nathalie Nail, vice-présidente du Conseil général
de Seine-Maritime, Pierre Ory, Sous-Préfet du
Havre, Laurent Lojou, vice-président du Conseil
régional de Haute-Normandie.
La fin des travaux est proche. Un ultime test
d’étanchéité à l’air et une visite de fin de travaux
en vue de l’attribution du label BBC Effinergie
sont prévus pour le mois de juin.
• Logéal Immobilière •
projet à Malaunay
• Maison DELESCLUSE
re
TRAVAUX
Au stade du gros œuvre, 19 sondes thermiques
verticales ont été installées dans le sol, en
préparation de la pose de la pompe à chaleur
géothermique. Les travaux devraient s’achever en
décembre 2010.
• Ville de Fauville-en-Caux
ÉTUDE
Le projet est encore à l’étude, les travaux devraient
débuter début janvier 2011. C’est le cabinet
Aliquante qui est chargé de l’architecture du projet.
• EPF Normandie • Communauté
de communes de Pont-Audemer
• Société La Grenouille
ÉTUDE
L’immeuble a été soumis à un test d’étanchéité
avant travaux. La valeur relevée est de 3,86
m3/h/m2 . Conclusion : les fuites détectées sont
maîtrisables.
L’EPF Normandie et la Communauté de
Communes de Pont-Audemer ont lancé le
dossier de consultation des entreprises. Les
travaux devraient démarrer en septembre 2010.
• Communauté de communes
du Pays du Neubourg
ÉTUDE
• Logéal Immobilière •
projet à Gruchet-le-Valasse
ÉTUDE
Le choix de l’architecte est en cours.
Les entreprises pour travailler sur le projet ont été
choisies et les travaux débuteront en juin 2010.
L’architecture sera gérée par les Ateliers 6.24.
• Université de Rouen
• Société HLM Rurale de l’Eure
ÉTUDE
ÉTUDE
Le 6 mai, le jury de concours s’est réuni pour
le choix de la maîtrise d’œuvre. Les travaux
débuteront en septembre 2011.
• Ville du Havre
ÉTUDE
Le dialogue compétitif pour la sélection des
entreprises est en cours. Réponse fin mai.
Les travaux démarreront en juillet 2010.
✚ D’INFOS
SUR LES PROJETS :
www.prebat-hautenormandie.fr
• Maison AUTIN
ÉTUDE
Le permis de construire a été déposé. Les travaux
devraient commencer prochainement.
TRAVAUX
Les travaux sont au stade du second œuvre.
Ils s’achèveront début juillet.
• Maison TELITCHKO
TRAVAUX
Un test réalisé le 20 mai dernier a mesuré une
étanchéité à l’air d’un niveau remarquable. Celleci approche en effet les performances d’une
maison passive (0,37 m3.h/m2), bien en dessous
de la valeur limite de 0,6 m3.h/m2 exigée pour la
performance BBC de ce type de bâtiment. Les
travaux devraient s’achever fin juin.
• Maison DIEU
Elle est achevée depuis fin 2009. A son
architecture particulière pour s’intégrer dans un
terrain très pentu, s’ajoute la mise en place d’une
toiture végétalisée.
N° 1 - juin 2010
Rédacteur en chef : Frédéric Guillot
Conception Rédaction : Partenaires d'Avenir
Crédits photos : p.1 Stéphane Leitenberg,
ADEME
ADEME
30 rue Gadeau de Kerville
76100 ROUEN
WWW.PREBAT-HAUTENORMANDIE.FR
ÉTUDE
C’est le Cabinet Ropponen Brunel qui a conçu le
lotissement, les travaux devant commencer en
octobre 2010.
!
Ministère
de l'Écologie,
de l'Énergie,
du Développement
durable
et de la Mer
À NOTER
Du 14 au 15 juin 2010 - Formation « Réaliser un audit énergétique de
qualité dans le bâtiment ».
1er juillet - Etanchéité à l’air des bâtiments.
15 septembre - Rénovation BBC de bâtiments tertiaires.
7, 8, 11, 12 octobre - Bâtiment basse énergie, atteindre la basse
consommation (construction et rénovation).
Pour en savoir plus et vous inscrire :
www.agenda-ademehautenormandie.fr
4
Partenaires d'Avenir : 02 35 60 31 96 - Ce numéro ne peut être vendu, pour toute reproduction prendre contact avec l’ADEME
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