Piché : entre ciel et terre - Festival du film de l`Outaouais
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Piché : entre ciel et terre - Festival du film de l`Outaouais
présentent PICHÉ entre ciel et terre un film de Sylvain Archambault écrit par Ian Lauzon produit par André Dupuy Sortie en salle le mercredi 7 juillet 2010 Durée : 107 minutes Produit avec la participation financière de Téléfilm Canada, Crédit d’impôt provincial, Sodec, TVA Films, Productions Pixcom, Crédit d’impôt fédéral, Fonds Harold Greenberg, Super Écran et TVA. BANDES-ANNONCES ET PHOTOS disponibles sur le site web de TVA Films : www.tvafilms.com cliquez sur l’onglet média et utilisez ces accès : nom d’utilisateur : tva0029 mot de passe : media0309 Site internet : www.piche-lefilm.com Relations de presse Brigitte Chabot Communications Mélanie Mingotaud (Montréal) [email protected] 514.861.7871 Mara Gourd-Mercado (régions) [email protected] 514.861.7850 Synopsis Grâce à son instinct et à son passé tumultueux, Robert Piché trouve la force et le sang-froid nécessaires pour faire atterrir son avion en panne d’essence et sauver ainsi les 306 personnes qui s’y trouvent. En traitement dans une clinique de désintoxication pour un problème d’alcool aux lendemains de cet acte héroïque, il doit revivre non seulement ce moment fort mais aussi son passage en prison. Il ne pourra redonner un sens à sa vie que lorsqu’il aura assumé son passé. Le film PICHÉ : ENTRE CIEL ET TERRE vous racontera comment cet homme assoiffé d’aventure a toujours su rebondir. Il montrera aussi que derrière celui qui a sauvé ces passagers en août 2001, derrière celui qui ne cesse depuis de fasciner et d’attirer les foules et qui a vu sa biographie se vendre à plus de 65 000 exemplaires; derrière ce héros donc, il y a l’être humain, avec ses sensibilités et ses faiblesses qui nous le rendent encore plus vrai et plus fort que nature. Robert Piché : pour le meilleur et pour le pire, mais toujours… entre ciel et terre. Mot de Robert Piché Au cours des huit années d'attente de financement, j’avoue qu’il m’est arrivé parfois de douter que ce film se ferait. Mais c'était mal connaître la ténacité du producteur André Dupuy. Ce délai et l’ingénieux scénario qu’a écrit Ian Lauzon m’ont toutefois permis d’apprendre à vivre avec le fait qu’une grande partie de ma vie, parfois intime, serait ainsi dévoilée sur grand écran. Étant aussi impliqué comme consultant, j’ai eu la chance de côtoyer le réalisateur Sylvain Archambault qui était vraiment soucieux de la crédibilité et qui a su faire en sorte que je me sente très utile. J’ai d’ailleurs été impressionné par sa grande sensibilité et sa compréhension profonde de ce que j’ai vécu. C’est certainement pour ça qu’il a su diriger aussi bien les comédiens, tous excellents d’ailleurs, avec autant de réalisme. Et que dire de mon rapport avec Michel Côté! Que du bonheur! Son ouverture et sa générosité ont permis d’établir très rapidement une grande complicité entre nous. De l’avoir vu s’approprier si bien ma personne contribue dans le film à démontrer qu'après tout je suis un homme bien ordinaire qui a été mis dans une situation extraordinaire. Et qu'avec mon petit bagage personnel de vie et le courage de l'équipage du vol 236, on a pu sauver la vie de 306 personnes. À l’écran, le résultat final est impressionnant. Pour moi, Sylvain Archambault a réussi à faire un grand film racontant le cheminement d'un homme, parfois en montées parfois en descentes, mais qui finalement doit réussir l'atterrissage de sa propre vie. R.Piché. Mot du réalisateur Premièrement, je rends grâce au ciel de m’avoir mis sur le chemin du projet de film traitant de la vie du commandant Piché. Cette formidable aventure fut enrichissante autant professionnellement qu’humainement. Il est, dans une vie, rare de rencontrer un héros, un vrai. Un homme qui a passé sa vie à se chercher, à fuir et à enfin se rencontrer sans artifice ni défaite, dans la lumière et l’obscurité qui le définissent. Il est encore plus rare de voir, dans le même cadre, la planète Michel Côté venir s’enligner pour créer un portrait parfait. La destinée, j’en suis sûr, existe. Jamais je n’avais dirigé pareil acteur. Son énorme talent, sa sensibilité et son instinct redoutable en font le plus digne interprète du commandant. Le tout galvanisé par le scénario brillant de Ian Lauzon qui, toujours à l’écoute, a su livrer des textes d’une impressionnante profondeur et d’une retenue tant souhaitée. Oui je rends grâce d’avoir eu l’insigne honneur de me retrouver parmi des hommes de cette trempe, d’une équipe et une distribution aussi passionnées et talentueuses. Je me sentais investi d’une mission; j’espère maintenant de tout cœur ne pas avoir échoué. Sylvain Archambault Sylvain Archambault réalisateur Sylvain Archambault est détenteur d’un BFA (Bachelor of Fine Arts) en production cinématographique de l’Université Concordia, promotion 1986. Dès la fin de ses études, il crée Les Productions Wolfpack et s’empresse alors de produire des documentaires, des longs métrages, et des clips vidéo pour de grands artistes québécois tels que Marjo, Paul Piché ou The Box. C’est un peu par accident qu’il tombe dans le monde de la publicité, d’abord à titre de producteur exécutif où il gère la production d’environ un millier de films publicitaires et ensuite comme réalisateur. Il signe plus de 200 réalisations tournées à travers le monde (Afrique du Sud, Mexique, France, États-Unis...), par exemple de grandes campagnes nationales notamment pour les Jeux olympiques. En 2004, il passe à la réalisation de dramatiques : Le Négociateur I & II (2004) pour TVA, Le 7e round (2006) pour Radio-Canada, Bob Gratton II (2007) pour TQS, Les Lavigueur, la vraie histoire (2007) pour SRC, Bob Gratton III (2008), et en 2008, il signe son premier long métrage Pour toujours les Canadiens. Sylvain Archambault siège au conseil d’administration Hoppenheim School of Cinema» de l’Université Concordia. du «Mel Après deux nominations, meilleure réalisation pour une série dramatique aux Prix Gémeaux en 2005 et 2007, il remporte avec la série Les Lavigueur, la vraie histoire le Prix Gémeaux de la meilleure réalisation, série dramatique, en 2008. Il est récipiendaire de multiples prix internationaux dont un Coq d’Argent et un Coq de Bronze du Publicité Club de Montréal et fut deux fois finaliste au London Advertising Film Award. Ian Lauzon scénariste Ian Lauzon a étudié en littérature à l’Université de Montréal. Il a remporté le Grand prix international de la fiction radiophonique Paul-Gilson en 1995 à Bruxelles et le Best Writing Award au Festival Hot Docs à Toronto en 1999. Scénariste et réalisateur pour le cinéma (Bobby, Confession des masques), il a signé l’adaptation québécoise de la série britannique The Office (La Job) et a coscénarisé la comédie à succès De père en flic. On lui doit aussi la comédie dramatique Cabotins (réalisée par Alain Desrochers) qui sortira en salle le 23 juillet prochain. Il scénarise présentement Québec Air Force, un film sur la vie d’Yves La Roche, célèbre skieur acrobatique québécois. Pour la télé, Ian Lauzon développe avec Catherine Léger à RadioCanada une comédie dramatique, Le Meeting, qui raconte les aventures tragi-comiques d’un groupe de support pour alcooliques. André Dupuy producteur L’univers des dramatiques ne comporte aucun secret pour André Dupuy, travaillant dans ce domaine depuis près de 25 ans. Au fil des ans, il a su faire preuve d’une grande polyvalence en produisant avec succès autant des longs métrages que des séries lourdes ou mi-lourdes, des téléromans et des documentaires. Pour les diffuseurs, il a produit plus de 275 heures prime time dont, récemment, Aveux, Destinées, Le 7e round, Un tueur si proche et Au nom de la loi. Côté cinéma, il a mis son talent à contribution dans des longs métrages comme Octobre de Pierre Falardeau, Le collectionneur de Jean Beaudin et La ligne brisée de Louis Choquette. Pixcom la production Pixcom opère maintenant depuis plus de 20 ans et est un des plus importants producteurs télévisuels au Québec, voire au Canada. C’est aussi un des producteurs québécois les plus actifs dans la coproduction de séries documentaires internationales, dans la production de fiction pour la télé et pour le cinéma, dans la production de séries jeunesse, de magazines et de quiz; sans compter sur ses activités de postproduction, de distribution et de doublage. Michel Corriveau compositeur Michel Corriveau est un compositeur d’inspiration à la fois éclectique et éclatée. Au cinéma, il a mis en musique des drames (Le Survenant), des thrillers (Le Dernier Tunnel) et des comédies (Bon Cop, Bad Cop). À la télévision, il a rythmé l’action de plusieurs séries marquantes comme Answered by Fire, Les Lavigueur ou The Phantom. À chaque fois, il a trouvé la note juste. Portrait. Né dans la ville de Grand-mère en 1962, Michel Corriveau a grandi dans une famille où la musique était reine, entre un grand-père violoniste et chef d’orchestre (Philippe Filion) et une mère professeure de piano. C’est donc tout naturellement qu’il suit une formation de pianiste puis qu’il embrasse, dans les années 80, une carrière de musicien professionnel. Claviériste, arrangeur et programmeur à ses débuts, il accompagne des groupes et artistes sur scène… puis en studio : que ce soit à l’orchestration ou à la réalisation, de nombreux albums d’artistes québécois, canadiens et internationaux (Julien Clerc, Corey Hart, Richard Séguin, Luce Dufault, Sylvain Cossette) portent ainsi sa marque. Ses premières compositions, Michel Corriveau les doit au monde de la publicité, qui, durant près de dix ans, lui donnera l’occasion d’explorer tous les sons, tous les rythmes et tous les styles. Au total, il ne signera pas moins de 500 « 30 secondes » pour des grandes campagnes nationales, récoltant au passage plusieurs récompenses, parmi lesquels deux Coqs d’or du Publicité Club de Montréal. Au milieu des années 90, renouant avec une vieille tradition familiale – ses grands-parents accompagnaient au piano et au violon les films muets des années 20 – le compositeur se lance dans l’aventure du grand écran. À l’invitation du réalisateur Érik Canuel, il crée la musique de Hemingway : A Portrait, un documentaire présenté dans les cinémas IMAX en première partie du film Le Vieil Homme et la mer d’Alexander Petrov. L’expérience sera une révélation. Pour le public d’une part, qui découvre un artiste capable de décupler le pouvoir des mots et des images. Pour Michel Corriveau d’autre part, qui voit toutes ses passions et toutes ses expériences converger dans un seul art, unique et multiple à la fois. Suivront deux productions américaines – dont Wilder de Rodney Gibbons – puis Nez Rouge en 2003, pour lequel la SACEM lui décerne un « Coup de chapeau » au Festival du cinéma québécois à Paris. Depuis, Michel Corriveau a mis en musique de nombreux longs métrages, alternant entre les ambiances intimistes des films d’auteurs et l’ampleur symphoniques des œuvres à grand déploiement. Cette polyvalence tous azimuts et sa signature cinématographique unique lui ont d’ailleurs valu plusieurs prix, nominations et distinctions. Michel Côté Robert Piché Diplômé de l’École nationale de théâtre en 1973, Michel Côté s’est produit sur les plus grandes scènes du Québec : Théâtre du Nouveau Monde, Nouvelle Compagnie Théâtrale, Théâtre de Quat’Sous, Compagnie Jean-Duceppe, etc. Sans compter la carrière exceptionnelle de Broue, qui tourne toujours avec la même distribution 31 ans après sa création (un record homologué au Guiness). À la télé, les prestations du comédien dans les Bye Bye de Radio-Canada (de 1984-1986), l’inoubliable Jean-Lou de La Petite Vie et le Pierre Gauthier des téléséries Omertà I, II et III lui ont valu plusieurs prix Gémeaux. Au cinéma, l’acteur se distingue dans plusieurs films dont Au clair de la lune et Le vent du Wyoming (André Forcier), Liste noire (Jean-Marc Vallée), Dans le ventre du dragon (Yves Simoneau), T’es belle Jeanne (Robert Ménard) – qui lui vaut le Gémeaux du meilleur acteur –, La vie après l’amour (Gabriel Pelletier), Le Dernier Tunnel (Érik Canuel) – pour lequel il est en nomination aux Jutra et aux Génie – et Ma fille mon ange (Alexis Durand-Brault). Pour son rôle dans C.R.A.Z.Y. (Jean-Marc Vallée), il reçoit le titre de Meilleur acteur aux Jutra, aux Prix Génie et au Vancouver Film Critics Awards. Michel Côté coécrit avec le réalisateur Robert Ménard les scénarios de Cruising Bar et Cruising Bar 2 (qu’il coréalise), en plus d’en tenir les quatre rôles principaux. Son immense succès populaire vaut à Cruising Bar 2 le Guichet d’or, remis par Téléfilm Canada, et le Billet d’or décerné par les Jutra. Sorti à l’été 2009, De père en flic (Émile Gaudreault) devient le plus grand succès de l’histoire du cinéma francophone au Canada et remporte à son tour le Guichet d’or et le Billet d’or. Michel Côté retrouvera Louis-José Houde à l’été 2010 sur le plateau du prochain film d’Émile Gaudreault, tout de suite après la sortie de Piché : Entre ciel et terre (Sylvain Archambault) dans lequel il tient le rôle-titre. Pour son apport au cinéma, Michel Côté recevait en 2006 le Prix Hommage de la Bobine d’Or, remis par l’Association des propriétaires de cinémas et ciné-parcs du Québec (APCCQ). Maxime LeFlaguais Robert Piché – jeune Maxime LeFlaguais a suivi de nombreuses formations théâtrales notamment auprès des Ateliers Danielle Fichaud. Il fait par la suite quelques apparitions à la télévision dans L’auberge du chien noir, Laura Cadieux, Un tueur si proche et La galère. Dès janvier 2010, on a pu le découvrir sur les ondes de Radio-Canada dans la télésérie Trauma où il incarne Éric Lanoue, résident à l’urgence et ardent défenseur de la médecine sociale. Côté cinéma, Maxime LeFlaguais participe à C.R.AZ.Y. de Jean-Marc Vallée, Borderline de Lyne Charlebois, Dans une galaxie près de chez vous de Philippe Gagnon et Le banquet de Sébastien Rose. En 2008, il interprète Dièse dans Babine de Luc Picard, sur un scénario de Fred Pellerin. En 2009, nous le retrouvons sous les traits de Jérémie dans le film Les grandes chaleurs de Sophie Lorain. Au théâtre, Maxime LeFlaguais a joué dans la pièce Chroniques des jours entiers et des nuits entières de Xavier Durringer et mise en scène par Michel Monty, ainsi que dans Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit de Fabrice Melquiot dans une mise en scène de Jean-François Poirier. Normand D’Amour Le thérapeute Avec plus de 50 grands rôles à son actif, Normand D’Amour poursuit une carrière exemplaire au théâtre. Au cours de son expérience, il travaille régulièrement avec René Richard Cyr (Grossière indécence, La langue-àlangue des chiens de roche, Un monde merveilleux, Le vrai monde), Serge Denoncourt (Le chemin des passes dangereuses, Rien à voir avec les rossignols et Hosanna), Michel Monty (Antarktikos, La société des loisirs), Lorraine Pintal (Les sorcières de Salem) ou Claude Poissant (Crime contre l’humanité). Il s’attaque ainsi aux répertoires les plus variés : Jason Miller (L’année du championnat par Denis Bernard), Arthur Miller (La mort d’un commis voyageur par Monique Duceppe), Patrick Marber (Bluff par Claude Maher) ou Trevor Fergusson (Le pont par Guy Sprung). En 1999, il reçoit le Masque de l’interprète masculin de l’année pour son rôle dans 15 secondes, un texte de François Archambault qu’il met également en scène. Récemment, il a de nouveau collaboré avec Serge Denoncourt pour les créations de Fragments d’un mensonge inutile et du Blues d’la métropole, la comédie musicale basée sur les œuvres de Beau Dommage. Du côté du petit écran, son nom apparaît au générique de plus de 30 séries. Il plonge dans les univers les plus cosmopolites: du XVIIIe siècle (Marguerite Volant de Charles Binamé) au monde de l’entreprise (Caméra Café de Michel Courtemanche), en passant par le quotidien d’un snack-bar (Casse-croûte chez Albert). Il participe également aux populaires séries Lance et compte – le grand duel, 3 x rien, Les invincibles, Histoires de filles ou Smash. À deux reprises, il se retrouve en nomination aux prix Gémeaux, d’abord pour son rôle de gourou dans L’or du temps de Roger Legault puis grâce au personnage de Carl dans la série Emma, réalisée par Jean-François Mercier. On peut le retrouver sur les ondes de TVA dans la série Yamaska. Le cinéma sourit aussi au comédien. Depuis ses débuts dans Crème glacée, chocolat et autres consolations de Julie Hivon, le comédien a collaboré avec Guy A. Lepage (Camping sauvage), François Bouvier (Maman Last Call), François Aubry (Frontières), Francis Leclerc (Mémoires affectives), Robert Morin (Et que Dieu bénisse l’Amérique) ou Patrice Sauvé (Cheech). Son interprétation d’un père alcoolique dans Tout est parfait d’Yves-Christian Fournier lui vaut le Jutra 2009 du meilleur acteur dans un rôle de soutien. Depuis, on l’a retrouvé dans La chambre noire de François Aubry, Impasse de Joël Gauthier et le succès De père en flic d’Émile Gaudreault. Après Sur le Seuil, il a retrouvé le réalisateur Éric Tessier pour 5150, rue des Ormes où il terrorise autant Marc-André Grondin que les spectateurs ! Sophie Prégent Régine Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada, Sophie Prégent a amorcé une prolifique carrière à télévision. Elle marque d’abord les esprits des enfants avec la série La princesse astronaute, une émission qui sera diffusée de 1993 à 1996. Puis après sa participation à la série KM/H, elle est révélée au grand public par la populaire série Le retour d’Anne Boyer et Michel d’Astous. On la retrouve dès lors au générique de nombreuses séries comme Cauchemar d’amour, Catherine, Les aventures tumultueuses de Jack Carter ou Tribu.com IV. En 2005, elle devient Brigitte Caron, la chef du canal M dans le téléfilm Miss Météo, un rôle trépident qu’elle reprendra dans la série éponyme. Elle change de registre lors de Nos étés où elle tient le rôle Maria, la passionnée de piano du clan Desrochers. Elle participe par la suite à deux nouvelles séries cultes : Rumeurs, dans le rôle d’une mère –légèrement !– débordée, puis Lance et compte : la revanche et Lance et compte : le grand duel, en incarnant l’avocate Chantal Fillion. Elle a également été de la comédie de situation Grosse vie. Elle fut nommée au Gala Artis dans la catégorie meilleure comédienne dans une télésérie pour son rôle dans Le Retour en 2000 et fut nommée à nouveau, cette fois pour son rôle dans Nos Étés, pendant quatre années consécutives de 2006 à 2009 pour finalement l’emporter en 2009. Au cinéma, la comédienne fait ses débuts, en 2001, dans Un crabe dans la tête d’André Turpin avant d’incarner une femme au foyer, mariée à un millionnaire, dans la comédie Les 3 p’tits cochons de Patrick Huard. Parallèlement à sa carrière sur les écrans, elle collabore régulièrement avec la metteure en scène Alice Ronfard pour les créations de Cyrano de Bergerac, La seconde surprise de l’amour et Tristan et Yseult. Depuis l’automne 2009, Sophie s’est également lancée dans l’univers de l’animation radio puisqu’elle coanime l’émission quotidienne Tout un retour sur les ondes de CKOI. Isabelle Guérard Louise Diplômée du cégep Lionel-Groulx en interprétation, la comédienne Isabelle Guérard se fait d’abord connaître à la télévision. À la suite de ses premières apparitions dans les téléséries Les Bougon – c’est aussi ça la vie ! et Tag II, elle incarne le personnage de Manuelle Vien dans Watatatow puis l’infirmière Jeanne Guindon, le temps des trois saisons du Négociateur. C’est dans le monde de la boxe qu’elle plonge par la suite à l’occasion du 7e round. Depuis, elle a rejoint la clinique jouvence de Destinées pour devenir la psychologue Jane Simard. Au cinéma, la comédienne débute dans le film La peau blanche de Daniel Roby où elle campe une prostituée. En 2006, elle enchaîne avec La rage de l’ange de Dan Bigras où elle fait partie, en compagnie de Patrick Martin et Alexandre Castonguay, du trio déchirée qui tente de s’en sortir. Puis dans Détour de Sylvain Guy, elle devient Lou, une femme aussi désirable que vénéneuse, aux côtés de Luc Picard et Guillaume Lemay-Thivierge. Ce rôle lui a valu une nomination aux Prix Jutra en 2010. Son travail d’actrice a également été reconnu par la Golden Sheaf Award lorsqu’elle a remporté le prix de la meilleure interprétation féminine dans un court métrage en 2002 pour son rôle dans La Première Fois. Au théâtre, Isabelle Guérard a collaboré avec les metteurs en scène Peter Batakliev (Peer Gynt) et Robert Bellefeuille (Le comte de MonteCristo, 2e partie). Sarah-Jeanne Labrosse Geneviève Piché La comédienne Sarah-Jeanne Labrosse apparaît dès son plus jeune âge dans le téléroman Le volcan tranquille dont l’action se déroule durant la Seconde Guerre mondiale. Après sa participation à Human Trafficking de Christian Duguay, elle devient la vénéneuse Sunny Capuduca de la série 15/Love. Dans Nos étés de Lyne Charlebois et Francis Leclerc, elle campe Lison Belzile, à 15 ans. Au cinéma, elle débute avec Un été avec les fantômes de Bernd Neuburger, qu’elle tourne en anglais et en Autriche. Puis elle revient au Québec où elle participe à Aurore de Luc Dionne, en incarnant la sœur de l’héroïne. C’est en fille de Patrick Huard qu’on l’a retrouve dans le succès Bon Cop, Bad Cop d’Érik Canuel. Pour Promesses de l’ombre de David Cronenberg, elle compose le rôle bouleversant d’une jeune prostituée droguée, sous la coupe de la mafia russe. Cette année, elle est également à l’affiche de The Trotsky de Jacob Tierney. Jules St-Jean Paul-André Piché Du haut de ses 14 ans, le jeune Jules St-Jean trouve ici son premier grand rôle au cinéma après avoir participé aux films L’orpheline de Jaume Collet-Serra, C’est pas moi je le jure ! de Philippe Falardeau, Un été sans point ni coup sûr de Francis Leclerc ou 1981 de Ricardo Trogi. Cette année, il a fait partie de la distribution de La dernière fugue, le nouveau long métrage de Léa Pool. Gilbert Sicotte Le président d’Air Transat Comédien chevronné, Gilbert Sicotte s’est taillé une place prépondérante dans le paysage culturel québécois, tant par ses inoubliables performances au petit et grand écran que sur les scènes du Québec. Ses rôles se comptent par dizaines, mais nous pouvons en souligner quelques-uns. À la télévision, il a créé de nombreux rôles marquants, notamment JeanPaul Belleau dans Des Dames de cœur, Antoine Beauchemin dans Bouscotte, Gabriel Johnson dans Fortier et J.A. Bombardier dans la série du même nom. Il est aussi Gerry Elliot dans Les Sœurs Elliot et Antoine Légaré dans Trauma. Au cinéma, soulignons ses performances dans L’Enfant d’eau de Robert Ménard, Les Pots cassés de François Bouvier, Les Bons débarras de Francis Mankiewiecz, la narration du film Léolo, Jean-Louis dans Cap Tourmente, Bernard Dufresne dans La Vie secrète des gens heureux, Marcel dans Continental, un film sans fusil et plus récemment, il a participé au film L’Instinct de mort, Mesrine. Au théâtre, il a évolué sous la direction d’Yves Desgagnés dans La Nuit des rois et dans Tchekhov, Tchekhova. Lorraine Pintal l’a aussi dirigé dans Les Beaux dimanches au TNM, il a été de la distribution dans Nature Morte ainsi que dans Les Trois Mousquetaires. Sa dernière présence sur scène a été dans Les Grandes occasions sous la direction de Frédéric Blanchette. Il est important de mentionner sa participation au Grand Cirque Ordinaire dans les années 70. M. Sicotte enseigne l’interprétation au Conservatoire d’art dramatique de Montréal depuis 1987. Il a été membre du Conseil d’administration de l’Institut National de l’Image et du Son durant plusieurs années. Vincent Leclerc Peter Hill Maîtrisant parfaitement le français et l’anglais, Vincent Leclerc a participé à un grand nombre de productions cinématographiques et télévisuelles aussi bien au Québec qu’au Canada anglais : Ni plus ni moi, Tout sur moi, François en série, Au nom de la loi, The Last Chapter, Seriously Weird ou Outraged. Sa participation à Science Point Com lui a valu une nomination au gala des prix Gémeaux 2003 comme meilleur acteur de soutien. Au cinéma, on a déjà pu le voir dans See Jane Date de Robert Berlingers, La vengeance d’Elvis Wong de Pierre Falardeau, Table 13 d’Emmanuel Hoss-Desmarais ou Ma tante Aline de Gabriel Pelletier. Plusieurs institutions théâtrales font également régulièrement appel à son talent dont les théâtres du Trillium, de la Catapulte ou du Nouvel-Ontario. Il a été particulièrement remarqué dans le rôle d’Austin dans la production True West d’Octo Productions, compagnie dont il est le cofondateur. À Montréal, il a participé à Louisiane Nord par Claude Poissant, Oreste à travers le temps (mise en scène collective), Jouliks par Robert Bellefeuille et Lucidité passagère par Patrice Coquereau. Michèle Sirois Julia Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Québec, Michèle Sirois débute sa carrière à la télévision en interprétant la deuxième épouse du premier ministre du Québec René Lévesque dans la série éponyme, réalisée par Roger Cardinal. Puis on la retrouve dans de nombreuses séries populaires autant sur les ondes de Radio-Canada (Les héritiers de Duval, L’auberge du chien noir, La galère ou Les Lavigueur, la vraie histoire), TQS (Coroner) que TVA (Histoires de filles). La comédienne officie aussi en tant qu’animatrice et on a pu la découvrir à la tête des émissions Ça me dit chaud et Quizzontario pour TFO, la télévision éducative et culturelle de l’Ontario français. Elle coanimait également Autostop sur TQS. Côté cinéma, Michèle Sirois a participé aux films Elvis Gratton II : Miracle à Memphis de Pierre Falardeau et La vie avec mon père de Sébastien Rose. Avec Piché : entre ciel et terre, c’est la seconde fois que la comédienne collabore avec le cinéaste Sylvain Archambault, après Pour toujours les Canadiens. Sur les planches, on la retrouve à Québec dans des productions notamment du Théâtre La Fenière, du Bois de Coulonge, La Bordée ou Repère. Elle y interprète ainsi les pièces L’auberge espagnole, Fleurs d’acier, Les papillons de nuit ou Salon de l’antipode. Frédéric Pierre René Frédéric Pierre connaît une prolifique carrière à la télévision où il a l’occasion de montrer l’étendue de son talent. Car depuis ses débuts dans Le club des 100 watts ou Virginie, il s’est retrouvé plongé dans les univers les plus éclatés : le monde des détectives privés (Les aventures tumultueuses de Jack Carter), le milieu des gangs de rue (Tag) ou celui du show business (Music-Hall). Il offre une nouvelle facette de son talent avec le personnage coloré de Lana Brown dans la série Cover Girl, pour lequel il obtient une nomination aux Prix Gémeaux, comme meilleur premier rôle. On le retrouve par la suite dans Miss Météo (téléfilm et série), Nos étés III et Le 7e round. 2009 est comme une année bien chargée car il se retrouve dans quatre séries : il est oncologue dans Annie et ses hommes, magicienclown dans Destinées, entraîneur de soccer dans Tactik et enfin, chef de la section des homicides dans Le gentleman. Au cinéma, c’est dans Le sexe des étoiles de Paule Baillargeon qu’il fait ses premiers pas. S’ensuivent Louis 19, le roi des ondes de Michel Poulette, Pouding chômeur de Gilles Carle et La peau blanche de Daniel Roby. Récemment, il incarnait un leader étudiant dans Le banquet de Sébastien Rose. Fiche technique Un film de Un scénario de Sylvain Archambault Ian Lauzon Producteur André Dupuy Producteure déléguée Valérie Allard Producteurs exécutifs Directeur de la photographie Directeur artistique Création des costumes Musique originale Montage Son Jacquelin Bouchard Sylvie Desrochers Carole Dufour Philippe Lapointe Ronald Plante Mario Hervieux Francesca Chamberland Michel Corriveau Yvann Thibaudeau Patrick Rousseau Mathieu Beaudin Luc Boudrias Hans Laîtres Superviseur des effets visuels Olivier Goulet Distribution des rôles Daniel Poisson Pierre Pageau Directeure de production Superviseur de postproduction Distribution Renée Gosselin Erik Daniel TVA Films Fiche artistique Robert Piché Robert Piché – jeune Le thérapeute Régine Louise Le président d’Air Transat Peter Hill Julia Geneviève Piché Paul-André Piché René Bones Johnny Expert en communication Dez Madame Blanc – passagère Michel Côté Maxime LeFlaguais Normand D’Amour Sophie Prégent Isabelle Guérard Gilbert Sicotte Vincent Leclerc Michèle Sirois Sarah-Jeanne Labrosse Jules St-Jean Frédéric Pierre Michel Perron Antoine Mongrain François L’Écuyer Gouchy Boy Danielle Fichaud