• 8 – 30 avril : Premier festival de la photographie sociale à Sarcelles
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• 8 – 30 avril : Premier festival de la photographie sociale à Sarcelles
8 – 30 avril : Premier festival de la photographie sociale à Sarcelles Par photographie sociale, il faut entendre tout ce qui porte témoignage de notre quotidien. Souvent on considère que l’Histoire s’écrit lors d’événements spectaculaires ou par les actions des « Grands Hommes » dont on ne retient que les hauts faits. Alors que l’Histoire est avant tout la somme de toutes les petites histoires de millions d’individus, au quotidien, loin des projecteurs de l’actualité. C’est cette réalitélà que nous souhaitons montrer au travers des images retenues, qui seront au cur de la vie et des êtres prétendus « ordinaires ». Les thèmes abordés évoqueront les grands thèmes de l’existence : AIMER avec les mariages et le regard intimiste de Philippe DOLLO (USA) à Brooklyn aux Etats-Unis. VIEILLIR avec le témoignage de Simone MARTINETTO (Italie) sur sa grand-mère ayant perdu la mémoire. SOUFFRIR avec les insupportables photographies de Philip Jones GRIFFITHS (ex-président de la prestigieuse agence Magnum) sur les enfants victimes des aspersions de défoliants au Vietnam, 30 ans après la fin des bombardements. En témoigne un terrible livre-réquisitoire chez Trolley, « AGENT ORANGE ». REVER avec les grands espaces et la transhumance suivie par Didier CIANCIA. SE LOGER aujourd’hui, avec l’exploration de la France contemporaine sous un angle insolite par Patricia MEAILLE qui explore l’étrange univers de nos chambres à coucher, en la poétique compagnie de François CAVANNA. Les intérieurs brésiliens de Lucia GUANAES (Brésil), les rencontres suédoises de Sylvestre MEINZER (F) et les étonnants Sauts du Lit de Sylvie HUMBERT lui font écho. MOURIR avec les somptueuses photos de Serge FOUILLET sur les rituels de crémation dans la ville sacrée de Bénarès en Inde. AVOIR PEUR, avec les prisonniers de Ben GRAVILLE, SE PERDRE avec les étranges personnages, à la lisière de la folie, que nous révèle la jeune Allemande Sibylle FENDT, ou SE RETROUVER dans les bistrots de Robin MARCK. LUTTER avec les boxeurs du Kénya et les lutteurs du Sénégal, un voyage photographique et poétique dans l’Afrique des héros, par Philippe BORDAS, un ancien habitant de Sarcelles qui a reçu l’an dernier le Prix Nadar, équivalent du Goncourt pour la photographie. SE SOUVENIR avec le remarquable travail sur la mémoire de la Shoah par un autre Allemand non moins talentueux, Kei MEWES ; avec les photographies de Palestine et d’Israël hier et aujourd’hui par le vieil Arménien Varouj S. ISHKHANIAN et le jeune Canadien Ethan EISENBERG. ETRE REJETE, avec les photos déchirantes en leur simplicité de Pierre LOUAPRE, et les portraits sensibles et profonds de Thierry OZIL. SE REVOLTER avec les manifestants de MAI 68 et FRATERNISER avec ceux qui travaillent et qui créent, grâce à CLAUDE DITYVON et son uvre empreinte d’une rare exigence, dont nous présenterons la très belle recherche intitulée « Et l’homme dans la ville ». Le Festival lui rendra un hommage tout particulier ainsi qu’à FLORE-AEL SURUN , la magie du sacré jusqu’au cur même de la détresse. Adresse : Maison de Quartier des Vignes Blanches Avenue A. de Noailles à Sarcelles (30 min de Gare du Nord) Indication pour s’y rendre LES PLANS POUR S’Y RENDRE : www.photsoc.info PAR le RER ou TRAIN : – RER D de Paris à Garges – Sarcelles depuis Gare de Lyon, Châtelet, ou Gare du Nord (20 mins env.) – SNCF de Paris à Sarcelles – Saint Brice depuis la Gare du Nord. – BUS 252 depuis la Porte de la Chapelle à la gare RER de Garges – Sarcelles, puis bus 368 à « Forum des Cholettes » PAR LA ROUTE – Après le périphérique, sortir au niveau de PORTE DE LA CHAPELLE – Prendre la direction LILLE BRUXELLES sur l’autoroute A 1. Continuer sur la route qui longe le Stade de France. Prendre la sortie numéro 3 en direction de SARCELLES Informations : »http://www.photsoc.org/ »