Le vé té rinaire
Transcription
Le vé té rinaire
Le vé té rinaire II avait des cheveux bruns avec un bandeau blanc au niveau du front. II é tait vêtu d’ une blouse blanche qu’il gardait toute la journé e avec un pantalon de couleur grise ou noire serré par une ceinture de couleur gris foncé noir. On apercevait une grosse cicatrice sur sa joue. Son nez s’ ornait d’ un bouton de varicelle. II avait les yeux doré s avec du bleu au milieu. II é tait très, très gentil, ce vé té rinaire. II é tait grand, beau, bien. II arborait toujours un beau collier avec une bague bleu foncé orné e d’un diamant au milieu. II avait trente-cinq ans et demi. II portait de belles chaussures avec des lacets doré s. II s’ appelait Franck, et il aimait bien les chiens, les bergers allemands et les colleys surtout et aussi les chats sauvages. Il avait une valise avec, dedans, des outils de vé té rinaire. Il soignait souvent des serpents, des vipères et même des serpents à sonnette. Une fois il avait entendu à la radio qu’ on pouvait faire voler les pingouins et ça l’ inté ressait vraiment parce qu’ il en possé dait un qui voulait voler pour être un oiseau à part entière. Le vé té rinaire pensait que ce serait plutôt marrant pour lui. Alors il avait dé cidé de chercher le mé dicament né cessaire. Son petit pingouin voulait tellement ce produit pour pouvoir voler qu’ il é tait prêt à se jeter dans les airs tout seul, sans sa mère ou son père. Un jour, il avait fait une piste sur la glace et avait essayé de s’ envoler parce qu’ il n’ avait pas de terrain de jeu. Il é tait tombé . Il é tait revenu tout pâ le mais ne voulait pas en rester là . Le vé té rinaire avait ré flé chi au problème et il avait trouvé . D’ abord, il s’ é tait inscrit à des cours de karaté . Au bout de quatre ou cinq ans, il é tait le premier à ce sport. Il eut la coupe d’ Europe. C’ é tait lui qui é tait le plus fort. D’ ailleurs, il é tait devenu le capitaine de l’ é quipe. On le surnommait le grand champion de France. Après quelques anné es d’ entraînement, il ne craignait plus les mauvaides rencontres. Il pré para de quoi manger et prit quelques pulls. Il avait pré vu aussi des caleçons et même des habits en peau de mouton. Il fallait traverser le Pôle Nord, là où il fait très froid. Il acheta é galement des oranges et des pommes et tout et tout. Son sac é tait plein. On ne pouvait plus le fermer. Il fallut enlever des oranges et les remettre dans un autre. Une fois arrivé dans le pays froid près d’ un glacier, son cheval lui sembla fatigué . Il n’ avançait plus. Alors le vé té rinaire s’ adressa à lui: -Moi-aussi, je suis fatigué . On va s’ arrêter et dormir. Il se fait tard. Il s’ allongea dans sa tente. Le cheval resta dehors. Le lendemain, il replia sa tente et se remit en route. Le cheval galopa, galopa de joie.. Ils traversèrent au moins dix forêts , même plus. Le vé té rinaire é tait à bout de forces, ses pieds enflaient et les sabots du cheval é taient de plus en plus usé s. Ils arrivèrent enfin au pays merveilleux où on pouvait acheter ce fameux mé dicament pour faire voler les pingouins. Ils voyaient des lapins galoper dans l’ herbe, des canards traverser les mares. Le cheval regardait des juments, il é tait très content de les admirer. Son maître le disputait, il aurait é té triste de le perdre. Le cheval boudait, il ne voulait plus avancer. Le vé té rinaire lui donna un coup de cravache sur les fesses. L’ animal avança vite, tellement vite que le vé té rinaire reçut une branche dans le visage et tomba. Il remonta et disputa sa monture. Il acheta le mé dicament pour faire voler les pingouins et tous deux se remirent en route pour rentrer chez eux. A son retour ils é taient é reinté s. Le lendemain matin le petit pingouin vint voler autour de la maison. Le vé té rinaire lui demanda: - Est-ce que tu veux que tes amis veulent voler aussi? -Oui, oui! Les pingouins reçurent tous le mé dicament et remercièrent le vé té rinaire. Ils é taient très contents de pouvoir voler et repartirent en battant des ailes. Le vé té rinaire les regardait voler très, très bien.Le homme de l’ art é tait aussi très satisfait que son mé dicament soit efficace. Il repartit chez lui et pensa beaucoup aux pingouins. Car, avant de s’ é loigner, ils lui avaient promis: - Nous reviendrons dans un mois . -Oui, oui, j’ ai compris. Il aimait é normé ment les animaux. Il ferma la porte de sa clinique. Dès qu‘il fut rentré chez lui il raconta tout à sa famille et à ses amis. C ‘é tait le soir, il alla se coucher. La nuit, il fit un magnifique rêve rempli de pingouins volants. FIN