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PAUL SERE
NOUVEAU SPECTACLE
« Putain, j’ai 30 ans ! »
DATE EXCEPTIONNELLE : JEUDI
14 JUIN à 20h30
A L’EUROPEEN
5 rue Biot
75017 PARIS
Métro Place de Clichy
Caramba spectacles présente
Paul Séré
Dans « Putain, j’ai 30 ans ! »
Jeudi 14 Juin 2012 à 20h30
L’Européen
5 rue Biot – 75017 Paris (Métro Place de Clichy)
Location : 01 43 87 97 13 – 0892 68 36 22 (0,34€/min)
Paul Séré fête ses 30 ans ! Un vrai choc pour lui ! Il s'interroge, avec dérision, sur ce cap à franchir !
Plus tout à fait jeune mais pas encore vieux, Paul fait le point, avec beaucoup d'humour, sur ce qu'il laisse derrière
lui (souvenirs d'enfance, amis, insouciance...), autant que sur son avenir (carrière, vie conjugale, loisirs...)
Dans ce spectacle très rythmé et à mourir de rire, Paul Séré revisite le syndrôme de la trentaine.
Du téléphone fixe à cadran à la drague par texto, du walkman à cassette à Michelle et Barack Obama, des
consoles Atari au cinéma 3D, Paul Séré se fait l'écho d'une génération qui a grandi trop vite, dans un monde qui
s'est transformé encore plus vite !
Paul Séré comme vous ne l'avez jamais vu.
C'est normal : à l'époque, il n'avait pas encore 30 ans !
Contact Management
Contact Production/Diffusion
10 heures 10 – Guillaume Silvestri
Tél. 06 29 24 21 62
[email protected]
Caramba – Julia
Tél. 01 42 18 17 17
[email protected]
Contact Presse
Contact commercialisation
Maud Cattoire
Tél. 06 13 22 65 77
[email protected]
Talent Plus
Tél. 01 42 64 49 40
[email protected]
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Paul Séré – le parcours
Du masque… à la plume
Certes, Paul Séré a pris son temps avant de pousser la
porte du théâtre construit juste en bas de chez lui. C’est là
qu’il entame sa formation, en mettant un mouchoir sur sa
réserve naturelle et en effleurant le plaisir sans pareil de
faire vibrer une salle. Tant est si bien qu’il décide un beau
jour de prendre lui-même la plume pour aider les copains.
Son pote Kamel Le Magicien en sait quelque chose
puisque Paul cosigne tous les textes de ses passages dans
« Le Grand Journal de Canal + ».
Du tatami… aux planches
Paul aime le judo, une discipline qu’il pratique
régulièrement et qu’il considère avant tout comme
un exutoire.
S’il s’attaque désormais aux zygomatiques de ses
contemporains, le bonhomme continue d’enfiler son
kimono deux à trois fois par semaine. Qu’on se le
dise… !
Du cabaret… au petit écran
Il arpente, de préférence en solo, les scènes de France et
de Navarre, il rencontre Kader Aoun… l’occasion de
montrer sa bobine dans la petite Lucarne… et de continuer
à creuser son sillon.
Jamel Debbouze et Kader Aoun l’appellent pour participer
à la saison 2 et 3 de l’émission sur Canal +.
Il participe aussi au doublage de la série « Gang de
Macaques » sur France 5 dont l’adaptation connaît un joli
succès avec une improvisation dans le ton et une dose
supplémentaire d’humour.
Dates importantes à retenir…
1979 Naissance de Nicolas Anelka. Mort de John Wayne. Naissance de Paul
Entre 1979 et 2006 Congés
2006 Première promesse de Nicolas Sarkozy: "Je veux, si je suis élu président de la République, que d'ici 2 ans,
plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir". Premier sketch de Paul.
2007/2008 Paul participe à la Saison 2 et 3 du Jamel Comedy Club et devient le coach sportif de Jamel, qui dira
"ce corps que j'ai, c'est grâce à Paul !"
2009 Paul travaille avec Kamel Le Magicien sur un tour pour faire disparaître les impôts. Le tour ne fonctionne
pas. Mais un an plus tard, début de l'affaire Bettencourt.
2010 L'équipe de France de foot perd contre le Mexique, la Chine, l'Afrique du Sud et la bande à Mickey.
Paul signe avec Warner Chappell et Caramba.
Paul est au Trévise chaque lundi à 21h30.
2011 Paul s'incruste dans la tournée de Soprano et de Ben L'Oncle Soul. Il fait leur première partie et en
échange il vend leur CD au marché.
Paul intègre l'émission "Vendredi sur un plateau" sur France 3. Il rencontre l'indien Raoni, qui l'invite en vacances.
Il débute son spectacle sur les trentenaires "Auto-reverse" au Théâtre du Petit Gymnase. L'aventure continue...
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Paul Séré – L’interview
Comment l’aventure a-t-elle commencé ?
J’ai démarré la scène en 2006. Au début, je bossais au chapeau, dans des petites
salles, les gens donnaient ce qu'ils voulaient. Ensuite, un noyau de fidèles s'est
formé et m'a suivi. Sans le savoir, ils continuent de me faire un bien fou en
m’obligeant à renouveler mes textes constamment.
Pourquoi avoir choisi le stand up précisément ?
Réussir à transporter les gens dans mon univers à partir de rien, pour moi, c'est le
vrai kiff du stand-up.
Comment construisez-vous vos spectacles ?
On met toujours un peu de temps à trouver sa mécanique. Cela m’a pris environ
deux ans pour transformer en sketches ce qui me faisait marrer dans la journée.
Souvent, je suis en voiture, je m’arrête au feu, et j’enregistre une idée sur le
dictaphone de mon portable : la plupart des vannes que vous entendez dans le
spectacle sont nées comme ça. Ça casse un peu la légende du mec seul à sa table
qui se prend la tête dans les mains, non ? Le soir, je couche tout sur le papier et,
quand ça ressemble à quelque chose, je le teste sur mes proches. À ce stade, je
sens tout de suite si ça va fonctionner ou pas. Ensuite, il y a un gros boulot sur le
rythme, la diction, les enchaînements etc. car, une fois sur scène, il n’y a pas
d’interactivité possible sans travail.
Comment l’avez-vous souhaité ce nouveau one-man show ?
Le plus riche possible en thématiques : j'aime les choses qui vont vite, qui
foisonnent, qui percutent. À mon avis, il est impossible de résumer le spectacle !
L'idée, c'est de faire partager aux gens ma vision de la vie, comme une discussion
entre amis : ce que l'on me dit, ce que je lis, ce que je vois à la télé…
C’est un spectacle que vous jouez pour, mais surtout avec le public, non ?
Avec le stand up, contrairement aux pièces de théâtre extrêmement cadrées, le
décollage est autorisé. Mieux, il est recommandé ! C'est pour cela que j'essaye
toujours d’aller au-delà de ce qui est prévu dans le texte ; les gens sentent bien
lorsque vous leur donnez le minimum syndical. Aussi, je demande généralement
que l'on éclaire les cinq premiers rangs dans la salle. Car sur scène, non seulement
j’entends absolument tout,… mais je m’en sers ! De fait, une soirée réussie, c’est
une soirée qui m’a offert la possibilité d’improviser avec le public. De l’intégrer au
spectacle dès que possible.
Que peut-on vous souhaitez pour les années à venir ?
De pouvoir aller jouer partout ! Sur scène, ma philosophie, c'est le partage : briser
l’écran entre le public et moi. Quelle que soit la ville, j’essaye souvent de placer
quelques mots sur les lieux que je traverse. L'idéal, ce serait de parler une sorte de
langage universel pour faire rire les gens quel que soit l’endroit du globe.
Entretien réalisé par Pierre Stroh
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