cv JCG photographe - ligth

Transcription

cv JCG photographe - ligth
Mise à jour, le 03/10/2010
Jean Christophe GRIGNARD - Photographe
www.jcgrignard.com
Potrait…
Attiré par l’eau depuis toujours, Jean-Christophe est né le 11 décembre 1968. Il passe
une partie de son enfance en vacances dans le sud de la France où il découvre la beauté
de la mer méditerannée. Fasciné par les épopées du Commandant Cousteau, il se
passionne pour le monde aquatique et la vie sous-marine… Il obtient en 1992 une
licence en Sciences Biologiques et effectue son mémoire au Laboratoire de Biologie
Marine de l’Université de Mons - Hainaut.
A travers les nombreux voyages qu’il effectue tant pour le travail que pour le plaisir, il
poursuit sa quête d’images...et découvre à travers la plongée sous-marine de nouveaux horizons. En effet, de 1991
à 1995, il effectue de nombreuses plongées scientifiques pour le laboratoire de Biologie Marine qui l’emploie. Il
utilise diverses techniques d’imageries allant de la macro à la microphotographie en passant par la microscopie
électronique. Féru de photographie, il décide de franchir le cap de l’amateurisme et obtient en 1999, au terme
d’une formation de 3 ans à l’école de Métiers d’Art du Hainaut, le diplôme de photographe.
La photo "nature" l’interpelle de plus en plus et ce qu’il observe autour de lui l’inspire. A travers l’Asie,
l’Afrique mais aussi à travers l’Europe et en particulier le Benelux, il porte un regard nouveau et différent sur
l’élément "EAU".
Dans le cadre de ses activités professionnelles, il publie plusieurs articles scientifiques et qualité d’auteur ou coauteur. Par la suite, il quitte le domaine de la recherche scientifique et s’intéresse à l’environnement sensu lato. Il
continue à expérimenter diverses techniques spécifiques et à développer son "oeil". Toujours à la recherche de
l’image, en quête de nouvelles sensations... en étroite relation avec le domaine aquatique, il réussi divers brevets
de plongée et devient moniteur.
Ayant acquis une maîtrise des techniques de plongée, il se lance dans le monde
fascinant de la photographie sous-marine en 2003... Equipé au départ d’un
Nikonos V, qu’il rachète d’occassion à bon prix, il hésite longtemps avant de
passer au numérique. Ce n’est qu’en 2006 qu’il investit dans un appareil reflex et
son caisson adapté.
Amoureux de la nature, son objectif est de préserver et de faire apprécier le
milieu aquatique, de montrer la richesse et la biodiversité de nos lacs, mers et
océans. Sachant que la photographie sous-marine est un domaine complexe car il
implique non seulement la maîtrise de tous les paramètres relatifs à la plongée
mais aussi de la lumière et des techniques photographiques, il se lance en quête
de" l’image".
Monde fascinant où chaque cliché représente un instant chargé d’émotions...
Capturer l’instant n’est pas toujours évident d’autant qu’il faut gérer les
contraintes du milieu aquatique. Errements, tâtonnements, essais, sont souvent le
lot du photographe en devenir...
Ses images, publiées, exposées à plusieurs reprises et primées dans différents concours, sont à la fois une manière
de participer à la protection et à la valorisation du milieu aquatique mais constituent aussi, l’expression d’un
sentiment de fascination et de liberté.
Vous pouvez découvrir d’autres cliché de Jean Christophe GRIGNARD sur son site internet
www.jcgrignard.com
Matériel photographique utilisé
Il est clair que l’accès au milieu aquatique demande un équipement adapté tant pour la photo que pour le
photographe.
Mes premières images sous marines ont été réalisées avec un appareil argentique le Nikonos V. Acheté en 2002,
cet appareil étanche jusqu’à 50 m équipé d’un 35 mm ouvrant à 2,5 fut mon premier compagnon de plongée.
Extrêmement robuste avec son enrobage de caoutchouc orange, ce 24 x 36 est un des derniers modèles fabriqués
dans la longue série des célèbres Nikonos dont la production a cessé au début des années 2000. C’etait en
quelque sorte l’aboutissement du concept de l’appareil étanche par construction par opposition aux appareils
utilisables en plongée à l’intérieur d’un caisson dédié.
Ce n’est qu’en 2006 que j’ai franchis le cap du numérique. La mise sur le
marché de nombreux APN compacts et la démocratisation du reflex
numérique sans concession aux possibilités créatives a orienté mon choix
vers le Nikon D80. Ce dernier est un appareil à la fois simple d’utilisation,
perfectionné et un bon compromis qualité-prix. Il est apte à satisfaire les
exigences des utilisateurs les plus pointus et dispose d’une palette d’objectifs
de qualité. En plongée, j’utilise essentiellement le Nikkor 18-70 DX ED 3.54.5 AFS.
Le caisson, un FD-80 de Fantasea, donne accès aux principales fonctions de l’appareil photo et est étanche
jusqu’à une profondeur de 60 mètres… De plus outre la différence de prix importante avec les marques
habituelles, il était livré avec le hublot et présentait une compatibilité avec les flashs -broches 5 fiches- de type
nikonos. Cela permettait de compléter le tout d’un flash iTTL le SB-800 auquel s’ajoute en fonction des besoins
le SB-105 en esclave.