Virginie Catoire chante les chemins sinueux du cœur humain, à
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Virginie Catoire chante les chemins sinueux du cœur humain, à
Virginie Catoire chante les chemins sinueux du cœur humain, à travers un voyage musical qui emprunte à la chanson française, au jazz, à la bossa, voyage jalonné des poèmes de Prévert. Au son du piano de Thierry Gautier, le dialogue se noue avec Jacques Prévert et le public. Contre les portes de la nuit, ou au marché aux oiseaux, on entend la musique de l’amour . Thierry Gautier débute la musique à l’âge de huit ans par la trompette dans la fanfare de sa ville, étudie ensuite la trompette d’harmonie et entre au conservatoire en 1982. Il s’intéresse parallèlement au piano jazz qu’il travaille d’abord en autodidacte, puis au JAM. Dès lors, il accompagne des artistes venus d’horizons variés, comme la chanteuse Elsa Gely, les groupes de salsa Kaliqueno ou Stromboli, la formations de fusion Tetrys, ou les musiciens de jazz Patrick Torreglosa, Olivier Roman Garcia , Hervé Aknin. Il s’illustre aussi avec son propre trio et le « Pascal Gautier quartet ». Thierry Gautier, s’il est devenu un pianiste incontournable de la scène méridionale, est aussi arrangeur pour de nombreux projets de polyphonie vocale, notamment « les fêlés du vocal » et son dernier spectacle « oh ! Nougaro ! » où il tient à la fois le piano et sa place de chanteur, talents qu’il met aussi au service du spectacle « Prévert et moi ». Virginie Catoire s’installe à Montpellier aux débuts des années 90 où elle découvre le négro spiritual et le gospel qu’elle va longtemps pratiquer au sein du chœur « Gospelize it mass choir ». Elle entreprend parallèlement un travail de technique vocale, puis approfondit le jazz et l’improvisation auprès des artistes Sarah Lazarus, Pascale Gautier, David Eskenasy, Juliette Pradelle et Odile fargère, avec lesquels elle va aussi beaucoup apprendre sur la pédagogie du chant. Elle suit une formation au JAM, et dès 1999 se produit régulièrement sur scène avec son groupe « Swing Fever », en compagnie du pianiste Cédric Chauveau, du contrebassiste Jean-Philippe Cazenove et du batteur Bernard Rességuier. En 2002, elle collabore avec le pianiste Pierre Coulon Cerisier dans un répertoire expérimental de gospels et spirituals. Depuis, elle s’est aussi beaucoup consacrée à l’enseignement du chant et à l’apprentissage de la musique auprès des jeunes enfants. « Prévert et moi » M’Bolo (chant traditionnel africain) Samba de uma nota (A.C. Jobim / N.Mondonça – vf : M.Arnaud) A felicidade (A.C. Jobim / V.de Moraes) Pour toi mon amour ( J.Prévert) Le tourbillon mondain (B. Strayhorn – vf : M.Périn) Comes love (L. Brown / S.H.Stept, C. Tobias) Diamond’s are a girl’s best friend (L.Robin / J.Styne) Morning (C. Fischer) Le tendre et dangereux visage de l’amour (J.Prévert) Je bois (B.Vian) et Intoxicated man (S.Gainsbourg) ‘Round midnight (T.Monk / C. Williams, B.Hanighen) Voyage au paradis (B.Vian) Cabaret (J.Kander / F.Ebb) On frappe (J.Prévert) Monsieur le jazz (B.Vian) It don’t mean a thing (D.Ellington / I.Mills) Nica’s dream (H.Silver) Peut être bien / Maybe this time (J.Kander / F.Ebb) Les enfants qui s’aiment (J.Prévert) E com esse que eu vou ( P.Caetano) Afro blue (J.Coltrane) Beautiful love (V.Young) Paris at night (J.Prévert) Our love is here to stay (G.Gershwin) My one and only love (G.Wood / R.Mellin) L.O.V.E. (B.Kaempfert / M.Gabler) Je suis heureuse (J.Prévert)