Beyond good and Evil 2 Chapitre 1 Introduction : Hillys, ville de

Beyond good and Evil
2
Chapitre 1
Introduction :
Hillys, ville de beauté et d’eau. Le port et ses bateaux. Et Le
phare lumière dans la nuit. Refuge des enfants.
Le Phare a été complètement saccagé. Double H aide encore à
balayer les poussières du rez-de-chaussée où sont disposés les
sacs de couchages des enfants. Ils dormaient malgré le soleil
qui se levait. Jade alla dehors. L’air frais d’hillys, ça fait du
bien apres Sélène. Coups de chance durant le voyage elle
n’eut que deux malaises. Pey’j était en haut appuyé au mur
démoli, entrain de contempler sa main. Jade hurla :
« - Pey’j ! Qu’est ce que tu fais ?! Les débris ne vont pas partir
tout seuls !
- Hein ?! Ho ! Jade j’ai un truc a te dire ! »
Il sauta et atterrit au sol sur les fesses. Jade vint l’aider à se
relever :
« - oui qu’y a-t-il mon cochon ?
- Hé bien… On a plus une seule unité.
- Quoi ?
- Les travaux coutent trop cher, je crains qu’il ne faille
vendre le béluga.
- Quoi ?! Je ne te laisserais pas faire ça.
- Je sais , le problème… c’est que je n’ai pas de travail.
Et…
- Mais tu peux demander un petit Job à Issam, t’es un bon
bricoleur.
- Oui… tu as raison, j’ai une invention en préparation un
carton que ça fera. Hahahaha ! »
Le rire de Pey’j détendit un peu l’atmosphère, mais jade était
inquiète et demanda :
« - Et quoi d’autre ?
-Hé bien… On nous retirera les enfants.
-Quoi ?! »
Elle recula horrifier à l’idée de ne plus les revoir. Secundo
arriva :
« - Yade ! Un mdisk du département scientifique.
- Ho ! notre seule chance de pouvoir renflouer la tirelire.
Pey’j on a encore du courant au hangar pour lire ?
- Oui, optima coupera a la fin du mois si on ne paye pas
donc t’a encore une bonne semaine. »
Jade se précipita au hangar. Elle entra dans l'atelier et inséra
le Mdisk, la lecture débuta, une jeune femme habillée d'une
blouse blanche au milieu d'une serre apparut a l'écran. Les
couleurs des plantes étaient diverses des pétales roses, bleus,
jaunes, etc... ornaient les plantes. Quelques abeilles
virevoltaient, la jeune femme dit:
« - Bonjour Jade, nous nous sommes déjà parlé par messages,
nous avons été ravis par vos compétences afin de recenser les
espèces d'Hillys. Nous souhaitons vous engager pour une
nouvelle mission. Celle-ci consiste à démontrer que la planète
Aria du système 7 est une ville d'une haute pollution qui
menace leur écosystème, dont les espèces et habitants. Vous
recenserez la faune et flore, et nous publierons un dossier que
nous enverrons a des organismes de protections de
l'environnement qui prendra en charge la planète
officiellement, nous pensons que sous cette norme «
Officielle » et avec le soutien des habitants de ses villes nous
pourrons faire pression au gouverneur de leur planète afin qu'il
prenne des mesures anti-pollution. Veuillez répondre a ce
message le plus vite possible, merci jade. »
Le mdisk s’éjecta. Une planète ? C’était beaucoup de chemin,
et un long voyage. Jade se tourna vers Pey’j et demanda :
« - Tu penses que l’on pourrait y aller ?
- Humm… Double H pourrait s’occuper des enfants.
- Ouais !
- Aria ? ça me dit quelque chose…
- Tu as dit quelque chose ?!
- Non-rien ! »
Il regarda Jade se précipiter pour annoncer la nouvelle.
Chapitre 2
Le départ
Jade termina de faire sa valise, une petite ombrelle, elle avait
entendu dire qu’il y avait du soleil. Elle enleva ses quelques
vestes de la valise et rajouta quelques débardeurs. Déjà le
départ, elle monta l’escalier et regarda l’horizon. Les bateaux
passaient lentement, les mouettes faisaient leur chant matinal.
Hillys allait lui manquer. Elle redescendit, mais sa sacoche
bipa. Elle appuya pour lire le mail. Il se projeta
holographiquement devant elle. Elle lut :
« Jade,
Nous sommes occupés par la gouverneure afin de vérifier
toute trace Domz sur Sélène et a avertir les populations
d’autres planètes. Nous aimerions, car nous avons eu vent que
tu partais, de vérifier toute trace Domz et d’avertir les
populations locales.
Bon courage
Hahn, Meï , Hub et Nino. »
Elle répondit :
« Merci de tout cœur.
Et encore merci a Double H de prendre soin des enfants.
Je vous souhaite à vous aussi bon courage.
Jade »
Elle descendit, les enfants l’attendaient. Ils lui sautèrent
dessus. Elle leur fit un câlin en pleurant silencieusement, elle
monta dans le Bélugua. Waff était en train de dormir dedans,
elle lui dit au revoir et partit avec Pey’j vers Aria.
Chapitre 3
Le Voyage
Jade observait l’espace, tien ? Un Megaptera Anaerobia , Jade
apprécie cet d’animal, lourd et imposant et pourtant gracieux.
Elle le prit en photo, Pey’j dit :
« -Tu veux un sandwich ?
- Non merci, je… je n’ai pas faim.
- Tu sais…j’ai un vieux hangar là bas.
- Ha bon ?
- Oui j’ai stocké plus d’une chose dedans, il y a tant de
souvenirs.
- Est-ce que tu…
- Attention on arrive dans l’holotransporteur. »
L’holotransporteur est comme sur hillys, un bon moyen de
locomotion sauf qu’ici il y a une différence, celui sur hillys
sert aux piétons donc la vitesse ne dépasse pas 14Km/h.
Tandis que celui-ci qui sert aux transports spatiaux permet de
voyager à 4600km/s . Pey’j arriva au guichet. Un message
arriva au tableau de bord tactile demandant une autorisation à
débiter 200 unités de leur compte pour passer. Pey’j dit :
« - allons faire une sieste.
- C’est amusant, je n’ai…jamais voyagé comme ça.
- Hé bien ça y est. Allez je te conseille de faire une sieste,
dans une demie heure on a quitté notre système et pares
deux heures pour le trajet automatique vers le port
spatial de Aria.
- OK, laisse-moi juste regarder les étoiles dans le noir.
- Vas-y, d’ailleurs je crois qu’il y a une nébuleuse par ici.
Cherche bien. »
Jade se tint en tailleur devant la vitre a contemplé les étoiles et
a cherché la nébuleuse, elle commença a se dire a qu’elle point
hillys lui manquait. Il n’y en avait que pour quelques jours.
Elle alla se coucher, mais la pièce devint rouge, elle tourna la
tête vers la vitre et vit la nébuleuse.
Elle sortit son appareil photo et prit la magnifique vue malgré
qu’éloignée de la nébuleuse, elle zooma vers le nuage noir et
découvrit un somptueux mélange de couleurs digne d’un
artiste. Elle prit cette deuxième vue en photo. Heureusement,
car désormais elle était au loin, le vaisseau allait bigrement
vite.
Jade s’endormit souriante.
Chapitre 4
Atterrissage imminent
Jade tombe, réveil brutal. Elle vois flou, une lumière rouge
clignote. « Bon sang, c’est vrai je suis dans le béluga, vite !
Pey’j. »
Elle alla le secouer :
« -Pey’j réveille toi !! On va s’écraser !!! »
L’oncle se réveilla en sursaut. Un tir arriva encore dans el
vaisseau faisant rebondir le cochon jusqu’au plafond. Il s’étala
au sol et alla au tableau de bord. Il dit :
« - Ce sont les autorités locales, elles nous tirent dessus ! jade
envoie un message ! »
Illico jade alla envoyer un appel aux vaisseaux. Pey’j tenta de
faire redresser le vaisseau qui fonçait dans l’atmosphère. Il
dit :
« - rien a faire, je vais nous déposer dans un bon endroit !
-On est gravement touché ! »
Des flammes prenaient sur l’aile gauche. Pey’j changea a
moitié la direction du crash. Il se dirigeait vers une montagne .
Les autres vaisseaux rebroussèrent chemin, leur cible était
désormais éliminée. Le vaisseau allait s’écraser sous peu,
Pey’j dit :
« -Met-toi dans l’autre pièce !!
-Et toi?!!!
-J’arrive !!! »
Jade alla dans la pièce arrière, elle se tint sur le socle qui sert a
l’entrée et a la sortie, et attendit, Pey’j arriva une
télécommande a la main. Il activa un bouclier qui s’ouvrit au
dessus d’eux et se ferma au sol. Le vaisseau s’écrasa. Jade
roula dans la descente et s’arrêta. Des morceaux de tôles
étaient dispersés, et le bouclier qui s’est éteint a envoyé un
peu d’explosion sur Pey’j. Elle le savait, car ça sentait le
bacon. Elle chercha du regard agrippé a la terre chaude, son
Oncle Pey’j, il dévalait la montagne. Vite Jade prend une tôle
et se met dessus. Elle commença à dévaler la pente accroupie.
Elle slaloma entre les rochers. Elle se mit debout et prit de la
vitesse. Son oncle était proche, mais la fin de la pente aussi.
À la vitesse où ils allaient, le choc allait être terrible, mais
Jade ne fit pas attention au rocher qui choqua la tôle. Jade fut
propulsé vers l’avant et heurta la tôle de Pey’j réveillant le
cochon encore fumant. La tôle ralentit sous le poids et ils
arrivèrent juste à la fin de la pente. Jade dit :
« -Pey’j ça va ?
- Humff.
- Ton bandage à br…
- Ho…Jade je.
- Tu est…
- Non, ce n’est pas ce que…
- Comment c’est arrivée ?! Je veux savoir !!! c’est moi
c’est ça ???!!! »
Elle pleurait, le vert du Domz la rendait nerveuse. Un flash lui
parvint. Le prêtre domz rampait, il dit :
« - Shauni, mon enfant, Barcraft. Je ne suis pas mort, rejoinsmoi, il t’a tout caché. Tu es mon enfant, Shauni B…
-Jade !!! »
La vision s’estompa. Jade revit le vert du Domz dans le creux
de la main montant jusqu’au poignet. Pey’j dit :
« - On en reparlera, mon hangar n’est plus très loin. Aidemoi à serrer ce nouveau bandage. »
Il sortit un mouchoir et le mit autour de l’empreinte. Jade dit :
« - pourquoi il faut serrer le bandage ?
-Pour diminuer la circulation du sang, comme ça il vit moins
bien et progresse plus lentement. Qu'est-ce que t’as sauvé ?
-Il ne me reste que mon ombrelle, mon daï-Jo et ma sacoche.
- Tant pis, je crois que c’est là-bas.
- Quoi ?
-Le bar… »
Chapitre 5
Le bar
La chaleur était intenable, 45°. L’ombrelle servait, Pey’j dit :
« - je…ne …me souvenais….Plus qu’il faisait… aussi
chaud…
- Là-bas ! un bar !
- Le voilà ! »
Ils avancèrent, le trajet était plus long que prévu. Il fallut deux
heures et demie pour y arriver. Le bar était petit genre celui
des westerns, en bois et un peu sale. L’écriteau affichait, « Au
cactus mouillé ». Jade entra. Le bar était plus salle et un
ventilateur tournant très lentement faisait le seul
rafraichissement. La chaleur était étouffante une simple
lumière était utilisée pour l’éclairage. Leurs vêtements
trempés de sueur collaient désormais à leur peau. Le barman
trempé de sueur les fixaient comme le seul client assis penché
et tenant son verre de whisky dans une seule main. Pey’j dit :
« - ça fait longtemps, Pedro…
-pey’j ! mon bon cochon, wu comment t’est grillé ye t’avais
pas reconnu !
-ça fait des années… Pedro… heum tu peut me donner les clés
du garage.
-Bien sur lé porc. Tien ye te l’ai astiqué toutes les semaines.
-Merci.
-Astiqué ? »
Ils entrèrent dans l’arrière de l’établissement, à droite se
trouvait quelques chambres. Ils entrèrent dans une porte de fer
très résistant verrouillé. C’était un établi de bricoleur rempli
de plans de photos il y avait un coin avec des cartons sous
une table, Pey’j alluma la lumière, un petit ventilateur
démarra. Il y avait plusieurs outils au sol, amis le plus
impressionnant était une voiture, décapotable, une ancienne,
mais connue pour sa rapidité, ce sont des ventilateurs qui font
8960/tours seconde pour permettre de survoler la surface du
sol. Jade dit :
« -Ouahou, c’est trop fort !
- En plus de ce temps, on l’a amélioré avec ton p…
- Pey’j il faut vraiment que tu m…
- Si tu veux savoir cherche par toi-même ! je te donne
vingt minutes. Après on s’en va. »
Il sortit en claquant la porte, Jade commença à pleurer, mais se
retint. Elle regarda le garage, qu’est ce qui pouvait contenir
des informations sur ses parents ? Les cartons. Elle se
précipita dessus, elle l’enleva de dessous une pile de
magazines et le tira vers la lumière. Il était plein de poussières,
elle éternua. Elle ouvrit et regarda. Des plans, que des plans.
Elle fouilla un peu dedans. Des plans, elle tomba sur un autre
modèle du béluga, elle le mit dans sa poche. Elle remit le
carton et en le tournant vit marqué « plans », génial elle aurait
put gagner 15 minutes. Vite elle ouvrit un autre carton. Des
photos. Une photo du Phare, elle retourna la photo et vit au
dos « 2414, Lily tu devrais y aller avec ta femme. Pey’j. »
Serait-ce ses parents dont il parlait ? Elle la mit dans sa
sacoche et commença a re-fouiller, quand soudain Pey’j
arrive affolé et dit :
« - Vite ! On a plus le temps ils nous ont retrouvés !
- Mais…
- Plus le temps Jade, fait chauffer le moteur pendant que je
soulève cette & #] de porte de garage ! »
Jade plongea sa main dans le carton en extirpa une dizaine de
choses te les fourra dans sa sacoche, elle donna un coup de
pied dans le carton pour le ranger. Elle sauta dans la voiture.
De l’autre côté du bar, cinq policiers habillés de noir portant
des armes et des casques attendaient que leur chef ( le
sixième) termine l’interrogatoire. Le chef dit a Pedro :
« - Tu caches des fugitifs ?!
- Non, y’a pas oune rat dans l’coin.
- J’chui sur que tu nous cache quelque chose.
- Tou té fie a ma sueur ? Hahaha ! Pas besouin d’être El
Sherlock Holmes pou savoir qu’é c’é la chaleur.
- On va quand même fouillé dans les chambres, mais je te
préviens ! À la moindre entourloupe, je te file tout un
tribunal au cul et je ferme ton putain de bar !
- Yes senor. »
Il sortit d’un petit tiroir un revolver et le garda
silencieusement dans sa main. Il fit un signe à son client, il
hocha la tête. Les policiers avancèrent et entrèrent dans la
première chambre à louer, quand tout d’un coup un bruit de
moteur surgit du garage. Les policiers tentèrent d’ouvrir la
porte de fer, mais n’y parvint pas, vite ils se précipitèrent
vers la sortie. Le chef dit :
« - À plus tard Pedro ! T’auras la justice au cul !
-
Ça me ferait mal ! »
Il sortit son revolver et tira sur un des policiers, le client sortit
une mitraillette de sous son poncho et tira. Ce ne fut que trois
policiers qui sortirent en trombe, dont le chef. Ils se
précipitèrent dans une voiture à roues. Les policiers de cette
planète n’ont que peu de voitures volantes. Ils mirent à fond le
moteur, Pedro sortit avec la mitraillette de son client :
« - dégagez ! Connard ! »
Il tira sur la carrosserie, hélas la voiture partait déjà. Jade et
Pey’j avaient le vent sur leur peau qui leur faisait du bien,
mais ce n’était pas une partie de plaisir, car des tirs
commencèrent à fuser. Pey’j prit de l’altitude et Jade
commença a lancer des gyrodisk sur les roues, Pey’j dit :
« - regarde sous le siège il y a une mitraillette ! »
Jade prit de sous le siège une mitraillette. Elle se retourna,
monta sur l’arrière de la voiture en s’allongeant et tenta de
bien tirer, la voiture de police subissait de gros dommages. Le
chef de la police qui n’était pas au volant tira en direction du
visage de Jade, Jade se poussa sur le coté et évita le tir, plus
rapide que l’éclair elle tire en direction du visage du chef. Le
chef ne le remarque qu’après et c’est a la joue que la balle
passe a coté et fait déjà couler le sang chaud. Jade tira dans la
tête du conducteur et tira encore, mais cette fois-ci dans une
roue. Le policier encore vivant et non touché tenta de
conduire malgré qu’il ne pouvait que peu avancer, de leur
altitude, le chef de la police tira dans un joint de la voiture
faisant couler de l’huile. Le chef content fit demi-tour. La
voiture continua de survoler, Pey’j dit :
« - content qu’ils partent ! Mais ont va pas continuer
longtemps avant de s’écraser, je vais baisser l’altitude.
- Je…j’ai tu…
- Oui, arrête de te plaindre Jade… Heu… qu’as-tu trouvé
sur tes parents ?
- Je…ne sais pas… »
Pey’j laissa Jade réfléchir et la voiture fit un son strident de
grincement et puis un « boum ! » sonore, Pey’j atterrit. Jade
monta sur l’arrière et sous son ombrelle médita a ce qu’elle a
fait. Pey’j ne sachant que dire, se tut. Et il prit la boite à outil
sous son siège et commença à réparé la voiture. Deux heures
plus tard fatigué, il s’assit sous un arbre et se met un
magazine sur la tête tout avalant les mouches par le nez.