rhodium molybdene
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rhodium molybdene
Méthodes Spectroscopiques d'Analyse élémentaire, Bases lumière matière principia spectroscopiae, rappel: interaction lumière matière spectre exemple: absorption when radiation passes through a sample of matter, electromagnetic energy is transferred to the atoms, ions or molecules this transfer promotes the particles from their normal room temperature state (=ground state) to states of higher energy (=excited states) énergie intensité atoms, ions, molecules, have a limited number of energy levels consequently, for absorption of radiation to occur, the energy of the exciting photon must exactly match the energy difference between the ground state and one of the excited states of the absorbing species spectre incident après absorption énergie as a result, certain frequencies of the radiation may be selectively absorbed spectre caractéristique de l'hydrogène Niveaux d'Energie Série de Brackett En E4 de En vers transition infra-rouge Balmer - Rydberg : 1/ lambda = K . (1/4 - 1/n²) [n= 3, 4, 5, visible ...] atomistique Série de Paschen En E3 de En vers Série de Balmer En E2 de En vers Série de Lyman En E1 de En vers E1 n=1 n=2 Interprétation de Bohr énergie couche n : énergie couche 2 : E2 n=3 4 5 67 8 ultra-violet exemple de la série de Balmer (visible) E = k / n² n E =k/4 2 saut de couche n en 2 E - E = k . (1/4 - 1/n²) = h.νn n 2 émission photon fréquence νn domaines de longueur d'onde spectroscopie, intro longueur d'onde e nd ro ug -o ro ic in 16 14 10 ondes radio m U V yo ns ra 18 10 1 km 1m e visible X a m am G 20 10 1 mm 1 µm 1 nm fra 1 pm 10 10 12 8 10 10 10 6 10 4 -1 10 s fréquence 500 400 14 600 14 14 7,5.10 750 nm 6.10 14 -1 4.10 s 5.10 λ = 1240 / ∆E (nm) (eV) λ = 1,240 / ∆E Méthodes Spectroscopiques d'Analyse élémentaire, exemples exemplesphénomène quantique (nm) transitions d'électrons "internes" transitions d'électrons "externes" fortement liés énergie mise en jeu 100 keV ... 1keV longueur d'onde faiblement liés 10 eV ... 1 eV 100 nm ... 1 µm 0.01nm ... 1nm longueur d'onde (log) nm pm µm visible Gamma Rayons X durs MeV UV infra-rouge mous keV énergie log(eV) eV mm (keV) Interactions Rayonnement - Matière : le Spectre électromagnétique LAMBDA DOMAINE 25 cm fréquences radio orientation des spins RMN,RPE dans les champs magnétiques 400µm microondes, radar rotations moléculaires, IR lointain 3 µm (FT)-IR Infra Rouge vibrations moléculaires 800 nm Visible AES,(GF)AAS transitions électroniques 400 nm ICP-OES,... "de valence" UV des atomes et molécules 20 nm UV lointain 1 nm transitions électroniques XRF, EPMA ... Rayons X des couches internes des atomes 0.1 nm INAA Rayons Gamma noyau Méthodes Spectroscopiques d'Analyse élémentaire, Repères λ = 1240 / ∆E énergie longueur d'onde (nm) (nm) infrarouge 1000 100 eV visible UV (eV) [vibrations-rotations moléculaires] Emission Atomique (ou 'Optique') (Flamme, Arc, étincelle, Plasma DC/ICP) Absorption Atomique (Flamme, Four) Plasma Emission Spectrometry ICP-OES AAS GF-AAS PES 10 Rayons X keV XRF EPMA SEM / EDX X-ray Fluorescence Microsonde de Castaing MEB + 'EDX' 0.01 Gamma MeV Spectrométrie Gamma (K, Th, U, ...) INAA Instrumental Neutron Activation Analysis analyse élémentaire, méthodes de routine utilisées en géochimie échantillon XRF spectrométrie de fluorescence des rayons X 0.04 .... 4 nm fluorescence émission transit° électrons 'couches internes' 30 ..... 0.3 keV source X-ray spectromètre émission spectromètre ICP-OES spectrométrie d'émission optique à source ICP 180 .... 600 nm transit° électrons 'de valence' 7 ....... 2 eV plasma échantillon AAS spectrométrie d'absorption atomique ICP-MS lampe absorption atomes flamme, four échantillon ions spectrométrie de masse à source plasma spectromètre de masse plasma (isotopes) échantillon IC chromatographie ionique méthode chimique échantillon colonne séparation des espèces chimiques (cinétique des échanges ioniques) spectrométrie d'émission atomique émission spectromètre 100 .... 800 nm 10 ....... 1 eV spectromètre OES p Em tica i l Sp ssio ec n tro m et ry source O échantillon (en amont: nébuliser = fractionner l'échantillon en gouttelettes) source atomiser (=détruire les liaisons) + exciter les atomes flamme étincelle (métaux) plasma à couplage inductif (ICP) ... LIBS: Laser Induced Breakdown Spectrometry spectrométrie d'émission optique à source plasma à couplage inductif ICP-OES (ou 'atomique': AES) Inductively Coupled Plasma - Optical Emission Spectrometry longueur d'onde: 180* .... 600 nm énergie: 7 ....... 2 eV émission plasma échantillon * (spectro non purgé: absorption <180 nm) plasma d'argon spectromètre haute température (9000 K) plasma torique échantillon introduit au coeur Ar = GazRare > énergie d'ionisation élevée atomisation / excitation / ionisation efficaces sensibilité (limite détection 0.1 ppb - 20 ppb) absence d'effets de matrice réponse linéaire de l.d. à 10^5 l.d. analyse multi-éléments quantitative rapide spectres d'émission très riches nécessité de spectrométrie haute résolution Intérêt de la Source Plasma en Spectrométrie d'émission atomique ICP OES ~1920, Langmuir et Tonks, plasma= gaz ionisé (produit dans des tubes à décharge) ~ "quatrième état de la matière" état gazeux (-> compressible) + propriétés électromagnétiques > milieu CONDUCTEUR présence d'électrons libres énergétiques densité électronique 1/10000 (plasma d'analyse) Utilisation comme Source en Emission Atomique Greenfield,'64 Fassel,'65 ... détruit les liaisons moléculaires excite les atomes et ions source plus efficace que sources classiques (flammes) pour une excitation efficace et reproductible, l'échantillon est introduit sous forme d'aérosol 1980-1985: stabilisation comme méthode de routine Importance du système de nébulisation ICP OES capacité pour exciter / ioniser la plupart des éléments Ar+ + X > Ar + X+* + ∆E plasma d'argon He Premier Potentiel d' Ionisation, kJoules / mole 2400 premier potentiel d'ionisation (X + ∆E > X+ + e-) en fonction du numéro atomique Ne 2000 Ar Kr N O GAZ RARES Xe C 1000 Rn Be 15,6 eV B Li Na K 200 0 20 5 Rb ALCALINS Cs 40 Fr 60 95 80 Numéro Atomique mécanismes zone d'émission spire d' induction plasma ICP OES magnetic dans une spire, field puissance HF, 700-1500 Watts, 40 MHz, production de courants induits Argon + Etincelle électrons accélérés, haute énergie collisions Ar- e ionisations tubes quartz argon 'plasmagène' production d'un nuage électronique entretient la réaction aérosol e + Ar > Ar+ + e + e [si E(e_HF) > 15,6 eV] (HF) e + X > X* + e e + X > X+ + e + e + Ar > Ar+ + e- +* e + X >e + X Ar+ + X > Ar + X+* + DE importance des raies ioniques ('raies II') Ar > Ar+ + e- ICP OES Fonctions de la 'torche' à plasma Distribution des températures dans la torche FONCTIONS zone d'émission 6000 K IONS IONISER ionic line emission excitation 7000 K ATOMES spires d'induction 9000 K plasma ATOMISER atomic line emission excitation GAZ VAPORISER injection au coeur SOLIDE (SELS) DESOLVATER tubes de quartz aérosol argon 'plasmagène' ECHANTILLON GOUTTELETTES (1%) NEBULISER SOLUTION 12 litre/min source plasma -> nécessite un spectromètre haute résolution Température élevée, Injection au Coeur 0.2 l/min Excitation efficace ICP OES Absence d'interférences 'chimiques' Haute Sensibilité (ppb) Courbes de calibration linéaires sur une large gamme ( 10^5 ) spectres d'émission très riches, nombreuses interférences optiques possibles Nécessité d'un disperseur à fort pouvoir de résolution Schéma d'un Monochromateur en montage Czerny - Turner miroir sortie fente de Spectromètres sortie à réseau holographique (2400 ou 3600 traits / mm) et de grande focale (1 mètre) réseau de diffraction fente d'entrée miroir entrée 1 mètre élément essentiel du spectromètre, le disperseur : réseau de diffraction ('diffraction grating') pour analyser un rayonnement, on le fait interagir avec une structure périodique de longueur d'onde équivalente 0.1..1 nm rayons X UV-Visible-IR ICP-OES dispersion par cristal 100..1000 nm dispersion par réseau réseau = rôle central dans l'appareillage spectroscopique réseau : une série de miroirs (lames réfléchissantes) de largeur comparable à la longueur d'onde de la lumière analysée UV: env° 5000 traits / mm IR: env° 500 traits / mm sur une plaque de verre, céramique, ou résine, sont gravés des sillons parallèles, biseautés, 1000 à 4000 sillons par mm, rendus réfléchissant par un revêtement les ondes réfléchies par les facettes des sillons interfèrent entre elles, des interférences constructives apparaissent, suivant des valeurs particulières de l'angle d'incidence et de la longueur d'onde incidente loi de diffraction d'un réseau condition de diffraction à la longueur d'onde λ ICP-OES normale au plan du réseau α:incidente α β:diffractée β relation entre angle de la lumière incidente angle de la lumière diffractée, et longueur d'onde sinα + sinβ = (1/d).n.λ β(λ) = arcsin( n.λ/d - sinα ) d.sinβ β α d.sinα d nombre de traits plus élevé d plus faible plus haute résolution mais domaine spectral plus réduit pouvoir de résolution = nombre total de 'traits' accessibles = résolution du réseau X largeur utile du réseau (= nombres de traits du réseau / mm: 1200, 2400, 3600, 4800 traits/mm) (= fonction de la focale du montage) XRF source de rayons X: tube absorption des rayons X par la matière: émission de rayons X secondaires ('fluorescence') source masque de collimateur rX primaire filtre primaire échantillon rX 'secondaire' (fluorescence) échantillon vide X primaire goniomètre collimateur X secondaire & diffusé spectromètre cristal source spectromètre θ tube flux gazeux 2θ compteurs scintillation fenêtre Al Production de Rayonnement X par la matière 1 Energie Incidente (rayonnement X, électrons, ...) Electrons éjectés 2 émission X M Atome Excité 2 22 ionisation L Ka Retour stabilité K 3 2 ps 8 excitation nomenclature L,M M,N K = 'Raies K' L = 'Raies L' 1 X rays, électrons, ... 3 2 L b 3 s ν = ∆E / h 1 Ka Transitions électroniques émission photons X 3 ps d 18 Kb 1 1 Produire des Rayons X par irradiation XRF Apporter aux électrons des couches internes une énergie supérieure à l'énergie qui les lie à l'atome Irradier la matière avec des particules / rayonnement de haute énergie ... émission X des particules (électrons, protons, alpha, ...) de haute énergie échantillon émission X électrons microsonde électronique, SEM + EDX PIXE = Proton Induced X-ray Emission source spectromètre ou bien, des rayons X ou Gamma produits par une source radioactive ( utilisé pour fluo X compacte (portable) [détecteur à dispersion d'énergie] ) ou bien, des rayons X d'un tube cathodique rayons X primaires échantillon rayons X secondaires fluorescence X échantillon fluorescence émission source X-ray spectromètre Source de rayons X : le Tube : bombarder une cible par des électrons de haute énergie Fenêtre Latérale 'Side Window' V<0 filament high Tem° (deux géométries) (ancienne) (nouvelle) V=0 électrons Fenêtre Frontale 'End Window' V=0 CATHODE en anneau V>0 ANODE ANODE CATHODE fenêtre béryllium Rayons X Rayons X tension du tube: jusqu'à 100 kV (60 en général) rendement X: <3%, le reste en chaleur Anode de Tube RX Rhodium, Chrome, Cuivre, Molybdène, Tungstène, Or [MEB, Microsonde: anode = échantillon] ANODE CATHODE en anneau fenêtre béryllium Spectre d'émission d'un 'tube de Rayons X: BremsStrahlung' fluorescence X: appareillage Spectre continu: BremsStrahlung (rayonnement de décélération) les électrons sont décélérés ('bremsen') quand ils pénètrent dans l'anticathode [conversion énergie cinétique rayonnement] produisent une distribution continue de longueurs d'onde (rayonnement: 'strahlung') intensité borne supérieure en énergie de la Bremsstrahlung ( borne inf. en longueur d'onde) énergie maximale acquise par un électron accéléré par la tension nominale V du tube, Bremsstrahlung E=e.V λ0 = h.c /(eV) = 1.2398 / V kVolt nm Spectre d'émission de tubes à Rayons X : nature de l'anode XRF INTENSITE 100 anode Chrome, sous 60 kV Cr K Kα 50 β λ0 0.1 0.3 0.4 anode Tungstène, sous 60 kV W INTENSITE L L γ β2L β L 1 α 50 0 0.2 LONGUEUR D'ONDE (nm) 100 0 0.05 0.1 0.15 Tungstène, Z plus élevé que Cr > sous 60 kV, le spectre ne contient pas de raies K 0.2 LONGUEUR D'ONDE (nm) 0.25 0.5 émission X - effet de la tension du tube 400 αK β Tube Rhodium XRF énergie vs intensité Raies caractéristiques du métal de l'anode 300 L 200 30 kVolt 50 kVolt 60 kVolt 100 0 0 10 30 20 50 40 énergie max. = tension tube 60 keV Absorption et Diffusion des X dI / I = - µ dx lin 'coeff. atténuation linéaire' XRF I matière 0 I I X I X = 0 . exp ( - µ.m) x µ=µ /ρ lin (masse volumique) coeff. attenuation massique (cm²/g) I I 0 - X τ Absorption Photoélectrique fluorescence X + émission Auger σ Diffusion des photons par collision avec les atomes diffusion 'cohérente' / Rayleigh diffusion 'incohérente' / Compton µ=τ+σ cas d'un échantillon multi-élément: plusieurs éléments i (i=1..n) de concentration Ci, et coeff.absorpt° µi coefficient d'absorption global (bulk) µ = ΣCi.µi Absorption Versus Diffusion τ µ σ XRF absorption photoélectrique cohérente choc élastique sur électron lié =|= Rayleigh diffusion incohérente choc sur un électron non lié ('de recul') =|= Compton Uranium eV vs. 'Sigma' diffusion Uranium 10,000 eV vs. 'Tau' (cm²/g) absorption photoélectrique 10 (cm²/g) Sigma Coherent ('Rayleigh') τ >> σ (éléments lourds) Sigma Incoherent ('Compton') Sigma Coherent 0 0.01 (tables NIST) e.Volts 1 100,000 0.001 0 e.Volts 100,000 effet Compton: diffusion incohérente: choc élastique sur électron lié matrice légère "diffusion Rayleigh" BN choc sur un électron non lié ('de recul', recoil) transfert énergie photon->électron "diffusion Compton" Rh Ka1 rayleigh hn'/c photon diffusé hn/c photon incident hn'/c f Rh Ka1 compton φ ψ p électron ALU matrice lourde hn/c CU λ(Compton) - λ(Rayleigh) = (h/mc).(1-cosφ) décalage en longueur d'onde ne dépend que de l'angle d'observation (maximal pour angle d' observation à 90° du faisceau incident) diffusion plus importante par les légers > permet de quantifier l'absorption ('correction par le Pic Compton de l'échantillon') diffusion incohérente, l'effet Compton intérêt historique: montre le comportement corpusculaire des rayons X conservation du moment cinétique hν'/c XRF photon diffusé hν/c photon incident x = hν/c , x' = hν'/c β = v/c (v=vitesse de l'électron) électron de vitesse v et masse au repos m quantité de mouvement = p = m.(1-β²)-½.β.c énergie = E = m.(1-β²)-½. c² E(électron) électron p hν'/c φ p² = x² + x'² - 2.x.x'.cosφ p² = (x - x')² + 2.x.x'.(1-cosφ) bilan d'Energie E - m.c² = hν - hν' = c.x - c.x' φ ψ hν/c E² - p².c² = m².c4 p² = (x - x')² + 2 mc (x - x') E(photon) 1-cosφ = mc (1/x' - 1/x) = mc (c/ν' - c/ν) /h λ(Compton) - λ(Rayleigh) = (h/mc).(1-cosφ) spectre d'absorption Discontinuités d'absorption faible énergie : forte atténuation (ionisation couches externes) V photon plus énergétique = moins absorbé 'absorption edge' 4 M pour un élément donné 10 I XAFS 3 10 L III I m /r (l) énergie critique d'excitation d'un niveau d'énergie (M, L, K, ...) Xrf 2 10 K 'possible ionisation de ce niveau 10 remontée du coefficient d'absorption. 1.5 2 discontinuité d'absorption 'absorption edge' Couche K: 1 niveau Couche L: 3 niveaux Couche M: 5 niveaux 3 4 6 10 15 20 30 40 60 100 ENERGIE (keV) l=0, j=½: 1S1/2 2S1/2, 2P1/2, 2P3/2. 3S1/2, 3P1/2, 3P3/2,3D1/2, 3D3/2 atome instable -> désexcitation -> fluorescence & Auger j = l -1/2, l+1/2: couplage spin/orbite (Zoom sur Absorption Edge: XAFS X-Ray Absorption Fine Structure) Discontinuité d'Absorption = Seuil d'excitation d'une série de raies d'un élément Raie K-Edge K-M4,5 K-M3 K-M2 K-L3 K-L2 K-L1 L1-Edge L1-N2 L1-M3 L1-M2 L2-Edge L2-M4 L2-M1 L3-Edge L3-M5 L3-M4 L3-M1 M1-Edge M2-Edge M3-Edge M4-Edge M5-Edge N2-Edge N3-Edge eVolt int nm Xrf Seuils et Raies du Zinc (tables NIST) 9659 pour provoquer une émission K Kb5 9648.8 0.00 0.128 (= fluorescence raie K), Kb1 9570.4 0.08 0.130 Kb3 9567.6 0.04 0.130 le rayonnement incident Ka1 8637.2 0.57 0.144 doit avoir éjecté un électron K Ka2 8614.1 0.29 0.144 Ka3 8462.8 0.00 0.146 M 1196.2 L Lg2 1195.2 0.07 1.037 K Lb3 1107.6 0.54 1.119 Lb4 1104.8 0.38 1.122 1044.9 Lb1 1034.7 0.93 1.198 Ln 905.1 0.06 1.370 1021.8 La1 1011.7 0.84 1.225 > il doit avoir une énergie La2 1011.6 0.09 1.226 supérieure à l'énergie de liaison K Ll 882 0.06 1.406 > 'seuil d'excitation' 139.8 8.87 91.4 13.5 cohérence entre spectres d'absorption 88.6 14 (= énergies des niveaux K,L1,L2,...) 10.2 121 et spectres d'émission ou fluorescence (= ∆énergie) 10.1 122 9659 1196.2 8462.8 1 1239 1 1239 E(K-L1) = E(K) - E(L1) augmente avec Z seuil d'excitation (discontinuité d'absorption) : Z augmente attraction du noyau aumente énergie ionisation K augmente énergie = Cte. (Z-s)² (Moseley, 1913) [s: 'constante d'écran'] XRF énergie de liaison (keV) 100 10 Th ('shielding') 1 keV Pb Au 80 .1 W Lu K K 60 .01 L1 La 40 L2 1 Sn Rh Nb Rb 20 O SK 20 Zn Fe Z 60 10 1 eV Z 100 ex: tube de 60 kV efficace sur raies K des éléments légers passage à raies L pour éléments lourds L1 40 M1 80 Rendement de Fluorescence n = bilan entre n n Xrf fluo n photons primaires qui ont induit une ionisation sur un niveau donné (= photons secondaires produits en conséquence de cette ionisation) photons qui, parmi les n photons secondaires, fluo 'quittent' effectivement l'atome et participent à la fluorescence n- n fluo = nombre de photons directement réabsorbés par l'atome (effet Auger). 100 La raies K Th Yb Au Pd Zr nfluo n Rb Se Ga Ni Mn Ti K XRF= peu sensible sur les légers raies L lourds: analyse possible sur raies L P 0 5 94 Z. partie utile du spectre incident seuil d'excitation Xrf Données sur Sn exemple: excitation de l'étain, par un Tube Rhodium sous 60 kV Edge 29.2 Ka1 25.3 Ka2 25 Kb1 28.5 400 intensité Rh K seule la partie du spectre primaire d'énergie > 29.2 keV contribue à la fluorescence des raies K de Sn 300 a b 200 K K Rh L spectre rX incident 100 Sn Sb L Cs La Ba Ba Cs La 0 10 0 30 énergie 20 50 40 XRF, appareillage échantillon source 60 keV spectromètre masque de collimateur échantillon filtre primaire vide goniomètre maintient la géométrie "en position de Bragg" au cours du balayage en θ X primaire collimateur X secondaire & diffusé source X diffacté par cristal tube cristal θ flux gazeux compteurs scintillation 2θ fenêtre Al Fluorescence 'Primaire' Fluorescence Secondaire µ intensité intensité énergie Fe Ka 0 0.05 λ0 Ni K Ni, λ Fe Ka a Fe, λ Kb partie utile µ µ Xrf Fe, l 0.1 0.15 0.2 longueur d'onde λ longueur d'onde (nm) abs,Ni λ λ exemple d'un mélange Ni-Fe abs,Fe intensité incidente coefficient d'absorption massique m l abs,Fe fluorescence primaire de Ni K a excite Fe K a fluorescence additionnelle Fe K ex: Fer dans Fe-Ni: les atomes de Ni agissent comme une source X supplémentaire d'excitation de la fluorescence K du Fer µ Ni,λ Fe Kα Ni K α Ni µ Tertiaire, ... K Fe α K α Cr K α Fluorescence Secondaire a intensité Fe,λ longueur d'onde (nm) λ λ abs,Ni exemple d'un mélange Ni-Fe prim' second' abs,Ni tertiaire λ abs,Fe λ abs,Fe fluorescence primaire de Ni K α excite Fe K α fluorescence additionnelle Fe Kα 'fluorescence secondaire' 1 Ni Kα 2 Fe Kα Fe Kα 1 3 2 1 Cr Kα Cr Kα Cr K α λ abs,Cr problème de l'analyse quantitative: les effets inter éléments fluorescence 'nette' (émergeante) produite par un point M de l'éch°: prendre en compte les effets des autres éléments: : absorption du faisceau primaire sur le trajet A, : absorption, sur le trajet R, de la fluorescence produite en M λ λ λ λ φ φ incident émergeant λ λ plus l'élément est léger, plus sa fluorescence est abosrbée spectre du tube (discrétisé en ∆λ plus la matrice est lourde, plus le rayonnement est absorbé, plus la fluorescence provient de la surface problème de l'analyse quantitative: les effets de matrice λ = spectre du tube (discrétisé en ∆λ équation de Sherman, 1955 signal émergeant mesuré λ = composition de l'échantillon (inconnues) Σ ∆λ λ (machine) (concentrations) λ λ Σ ( λ λ φ λ φ λ λ λ φ φ incident λ émergeant λ absorption XRF tableau des "profondeurs de pénétration" = profondeur dont provient 90% de la fluorescence observée Zr U Cu Fe rayonnement Cr Ca Si Na F mou dur matrice légère GRAPHITE Ka1 44000 La1 28000 Ka1 5500 Ka1 2700 Ka1 1600 Ka1 500 Ka1 49 Ka1 12 Ka1 3.7 VERRE 2700 1700 380 200 122 54 16 5 1.7 ACIER 235 150 160 136 104 36 5 1 0.3 matrice lourde PLOMB 29 22 20 11 7 3 2.5 0.7 0.2 (profondeurs en microns) ex1: pour doser Zr de manière fiable dans du graphite, l'échantillon doit faire plus de 4 cm d'épaisseur ex2: le signal XRF du Sodium, d'un échantillon de verre, provient à 90% des 5 premiers microns faible sensibilité sur les légers importance de la matrice influence de l'état de surface