ANALYSE DES VALEURS VÉHICULÉ

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ANALYSE DES VALEURS VÉHICULÉ
COMMUNICATION ET CRÉATION
(Arts et Lettres)
Cégep de Rivière-du-Loup
PROJET D’INTÉGRATION :
ANALYSE DES VALEURS VÉHICULÉES DANS LA DÉCLARATION
D’INDÉPENDANCE DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE À TRAVERS TROIS
ŒUVRES
par
PATRICIA BOSSÉ
travail présenté à
CHRISTIAN TREMBLAY
PÉPITA ROS NAVA
EMMANUELLE GARNAUD
dans le cadre du cours
502-FJD-04
Projet d’intégration
Rivière-du-Loup
10 FÉVRIER 2008
On a lu et relu les écrits portant sur la formation de la première démocratie formée
il y a environ 2500 ans de cela. La majorité des gens connaissent le côté avant-gardiste des
grecs quant à la politique. « Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant
invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur
droit et de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à
leur sécurité future. » 1 Ce court extrait de la Déclaration de l’Indépendance des États-unis
d’Amérique, écrite en 1776 à Philadelphie, montre l’inspiration politique grecque dont se
sont servis les américains afin d’obtenir leur propre démocratie. Fondée sur la vie, la liberté
et la recherche du bonheur, cette déclaration visait à défaire les colonies anglaises établies
en Amérique du despotisme de la Grande-Bretagne. Cette déclaration est aujourd’hui
considérée comme un trésor national, car elle vient des pères fondateurs de leur nation et
proclame le début de l’histoire des États-unis d’Amérique. Quoi que très abîmé, car les
méthodes de conservation du XVIIIème siècle n’étaient pas très évoluées, ce petit bout de
papier de 23″ x 29″ signé le 4 juillet 1776 représente à son tour un modèle pour toute
nation désirant devenir indépendante. Conservée aux Archives Nationales des États-Unis,
situé à Washington D.C., elle est maintenant conservée selon les meilleures méthodes du
XXIème siècle et protégée contre tout attentat possible. Son message de liberté illustre encore
aujourd’hui, à travers l’histoire de l’indépendance des États-Unis, ces mêmes valeurs
profondes écrites par les pères fondateurs de cette nation qui, qu’on le veuille ou non, est
une des plus importante dans le monde présentement.
L’endroit le plus commémoratif de la déclaration de l’indépendance reste l’endroit
où elle a été signée par les plus grands de l’histoire américaine : John Hancock, John
Adams, Benjamin Franklin, Thomas Jefferson, Roger Sherman, Robert R. Livingston… La
Pennsylvania State House, appelée aujourd’hui l’Independence Hall (voir annexe 1), fait
partie de l’Independence Square, dans l’Independence National Historical Park de
Philadelphie. Ce site historique est formé de plusieurs monuments qui ont été utiles à
l’instauration de l’indépendance. L’Independence Hall a été nommé site national
historique en 1943 et est sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO (United
1
Déclaration de l’indépendance, 1776
1
Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation) depuis 1979. Construit de
1732 à 1753 par l’architecte Edmund Woolley et l’avocat Andrew Hamilton, sa fonction
première était d’abriter l’assemblée coloniale de Pennsylvanie. Presque totalement
reconstitué telles les représentations originales du XVIIIème siècle, le monument se
distingue des hauts gratte-ciels l’entourant.
Ayant été construit avant même l’écriture de la déclaration de l’indépendance, le
bâtiment comporte cependant quelques caractéristiques que l’on pourrait lier à l’idée
principale de liberté et d’indépendance. À l’extérieur, l’air respire la liberté pendant qu’une
statue de George Washington érigée en 1869 déclare l’indépendance au peuple américain.
À l’intérieur, on retrouve deux pièces entièrement réaménagées au style de l’époque : la
salle de rédaction et de concertation ainsi que la salle de signature. L’Independence Hall
étant également le lieu de rédaction de la première constitution des États-Unis, on y
retrouve une pièce avec quelques feuilles de l’original. Le bâtiment est de style géorgien
(nom venant de l’architecture classique des rois britanniques Georges I, II, III et IV). Très
symétrique, le bâtiment comprend un bloc central avec, de chaque côté, trois arches à aire
ouverte et un bloc. Il est fait en brique rouge avec un toit en ardoise bleue avec balustrade
et l’intérieur est en bois peint en blanc, caractéristiques qui sont typiques au style géorgien.
Son fenestrage d’autant plus symétrique donne beaucoup de lumière, tout en donnant
l’impression d’une ambiance feutrée. Un clocher surmonte le bloc central, remplaçant le
lanternon retrouvé notamment chez les édifices de type géorgiens. La cloche qui y était
suspendue autrefois est aujourd’hui nommée la Liberty Bell. Déplacée dans un abri situé
face à l’Independence Hall, elle est aujourd’hui exposée aux touristes et au peuple
américain et c’est la cloche du centenaire qui carillonne aujourd’hui pour rappeler à la
nation leur indépendance acquise. Ce style architectural donne un air officiel au bâtiment,
une structure telle que voulue des colonies unies l’une à l’autre, tout en étant libre et
indépendante.
Cependant, parce que le style géorgien se retrouve pendant la période néoclassique
on y décèle aussi une grande influence. C’est ici que revient l’inspiration grecque. À
2
l’intérieur de l’Independence Hall, on retrouve des colonnes doriques, des frises ainsi que
des frontons triangulaires typiques à l’architecture grecque, puis des arcades d’influence
romaine. Ce néoclassicisme très populaire à l’époque, ramène à l’Antiquité, période
importante dans l’histoire de la politique et des idéaux de liberté. Le côté romain ajoute
également un peu de pouvoir au tout, symbole de justice et d’indépendance.
Dans la salle de signature, complètement rénovée, on retrouve des tables et des
chaises d’époque, de même que la véritable chaise de George Washington qui trône au
fond de la salle, avec un soleil gravé au dos. Benjamin Franklin lui-même aurait déclaré
après la signature de la constitution des États-Unis (le résultat final de la déclaration de
l’indépendance) : "Je l'ai souvent… au cours de cette session… regardé… sans être capable de dire s’il
se couchait ou se levait ; mais maintenant, enfin, je suis content de savoir qu’il est le lever et non pas
la coucher du soleil." 2 La chaise représente donc aujourd’hui un grand symbole
d’indépendance dans l’histoire des États-Unis. De plus, les tables sont dotées de nappes
vertes et les fenêtres de rideaux verts, tels qu’ils l’étaient à l’époque. Le vert est symbole
d’espérance et de liberté (en faisant référence à la nature). Le blanc de la pièce invoque la
pureté et la paix des lieux et rehausse la couleur du vert.
Tous les efforts mis par tous les organismes de plus ou moins grande importance
pour redonner le cachet original de chaque partie de l’Independence Hall ont contribué à
mettre en valeur tout ce que les pères fondateurs voulaient que leur nation soit : une
nation libre et indépendante. Le fait également qu’il soit devenu un lieu uniquement
touristique sera utile notamment à protéger le souvenir de ces valeurs aux yeux du peuple
américain.
Plus récemment, soit au tout début du XXème siècle, un artiste a tenté de raviver la
mémoire de son peuple. Jean Leon Gerome Ferris (1863-1930), un artiste peintre né à
Philadelphie, a peint toute sa vie afin de ramener les valeurs initiales des États-Unis de
2
WIKIPEDIA, L’encyclopédie Libre. (page consultée le 22 février 2008). L’Independence Hall, [En ligne].
Adresse URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/Independence_Hall
3
l’avant. Il ajoutait une touche humanitaire à la grandeur de ces évènements passés. Après
avoir vendu sa première œuvre, il s’était résigné à ne plus jamais en vendre, car il trouvait
que l’idée du concept historique se révélait dans la totalité de ses œuvres, au lieu d’une
seule. Cette série de 78 œuvres débute par la découverte du Nouveau-Monde par
Christophe Colomb en 1492 et se termine par le début de la première guerre mondiale en
1914.
Une d’entre elles s’est fait attribuer le titre de Drafting of the Declaration of
Independence, 1776 (voir annexe 2). Elle a été peinte aux alentours de 1900 et est une huile
sur canevas. On dit de Jean Leon Gerome Ferris qu’il a acquis une technique tirée de
l’impressionnisme français lors de ses études en France et on le voit légèrement dans cette
œuvre. Elle représente trois membres du comité des cinq rédacteurs de la déclaration de
l’indépendance : Benjamin Franklin, John Adams et Thomas Jefferson. Ils sont assis autour
d’une table, ayant l’air de discuter de ce qui semble être l’éventuelle déclaration, dans une
pièce ensoleillée par une grande fenêtre de l’appartement de Jefferson. À gauche on peut
voir quelques feuilles accrochées où il est écrit 1776. Le décor ressemble beaucoup au style
géorgien et néoclassique de l’Independence Hall, quoi qu’il ne s’agisse pas du même
endroit.
Dans la pièce, on remarque un désordre évident, des feuilles de papier couvrent le
plancher et la table. Deux plumes servant à écrire, l’une dans un encrier posé sur la table et
l’autre dans la main de Jefferson montrent qu’ils modifient ou rédigent probablement la
déclaration de l’indépendance. Franklin semble lire, Adams semble réfléchir et Jefferson
semble plus animé (selon sa position debout) ou partager ses idées (Jefferson étant le
principal rédacteur de la déclaration). En étudiant le tableau de plus près, on remarque que
le sujet principal est la déclaration que Benjamin Franklin tient dans ses mains. La fenêtre
derrière lui éclaire la feuille, les yeux des trois signataires sont posés sur celle-ci et le bras de
Thomas Jefferson (celui qui tient la plume) tend vers elle. En allant même un peut plus
loin, on pourrait dire que la forme carrée de la feuille se répète très souvent dans le
tableau : dans les carreaux de la fenêtre, les murs et les autres feuilles sur le plancher.
4
Ceci a été créé ainsi probablement pour montrer l’importance des propos inscrits
quant à la liberté et l’indépendance voulue par les colonies malgré le désordre et les
querelles envers la Grande-Bretagne. Ils (les trois personnes) semblent cependant au
courant de la signification de ce désordre : qu’il est temps de se remonter un peu et de se
supporter dans cette démarche pour remettre de la clarté dans toutes ces idées. On voit très
bien la détermination dans les yeux des trois signataires qui ont mis toute leur vie et leur
honneur au nom de la liberté et de l’indépendance des États-Unis.
Puis, aujourd’hui, on entend toujours parler de la déclaration de l’indépendance et
des valeurs de liberté qu’elle véhicule au tout début du XXIème siècle. Jon Turteltaub, un
réalisateur américain, avec l’aide du producteur Jerry Bruckheimer et des scémaristes Jim
Kouf, Cormac Wibberley, Marianne Wibberley produit le film Trésor National (Benjamin
Gates et le trésor des templiers) (National Treasure). D’une production de Walt Disney pictures,
le film raconte l’histoire du dernier descendant de la lignée Gates, Benjamin (Nicolas
Cage), qui recherche le trésor des templiers (protégé par les francs-maçons) qui est soidisant le plus gros trésor dans l’histoire de l’humanité. Remontant à très loin, les indices
servant à le trouver se devaient d’être conservés. Le premier indice se trouvant à l’endos de
la déclaration de l’indépendance, un autre sur le billet de 100,00$ américain où se trouve
l’Independence Hall et Benjamin Franklin, les lettres de Silence Dogood (écrite par
Benjamin Franklin sous un pseudonyme) et un autre sur les propres lunettes inventées par
Franklin. Cependant, la trahison d’un ami de Benjamin Gates le forcera à voler la véritable
déclaration de l’indépendance, afin qu’elle ne se retrouve pas entre de mauvaises mains. Le
reste s’ensuit de péripéties dignes d’Indiana Jones lui-même avec le même esprit enfantin
des chasseurs de trésors.
D’abord, il est certain que l’histoire est très hollywoodienne, avec des poursuites en
voitures, des armes à feu et de la technologie à en revendre. C’est un film d’aventure
moderne avec des cascades, des ennemis et où ça ne va pas toujours bien. Cependant audelà de la forme du film se retrouve un contenu historique très cohérent, surprenant même
5
compte tenu de la complexité des liens entre les indices. Les valeurs tirées de la vieille
déclaration de l’indépendance sont toujours vraies, malgré l’immense décalage temporel et
le progrès technologique. On cite même un passage de la déclaration très important, le
même que celui cité plus haut : « Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant
invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur
droit et de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à
leur sécurité future. » La déclaration reste la partie la plus précieuse du film due aux valeurs
de liberté qu’elle contient et conserve. Le reste de l’histoire sert à montrer combien les
patriotes se sont battus pour ce que ce document contient et la volonté qu’ils avaient afin
de rendre ces états indépendants. Il s’agit d’une vision un peu plus actuelle des choses,
quoique les valeurs restent sensiblement les mêmes.
Les films de Walt Disney comme on les connaît, sont des contes de fées où tout fini
bien et où tout le monde peut s’identifier aux personnages principaux parce qu’ils ont
toujours de bonnes valeurs. Trésor National est un compte pour enfant pour adulte. Avec les
péripéties des aventures d’Indiana Jones et les valeurs morales des contes de Walt Disney.
Les Américains (parce que c’est eux que la déclaration rejoint le plus) peuvent s’identifier
au héros et garder en mémoire les idées de liberté que ce document, qui existe réellement
malgré les fictions du film, garde toujours en mémoire.
Le 4 juillet 2001, devant la salle de l’indépendance à Philadelphie, le président
George Bush a déclaré : « Ce document continue de représenter la norme selon laquelle
nous jugeons les autres et la norme d'après laquelle nous nous mesurons. Nos réalisations
les plus grandes ont eu lieu lorsque nous nous sommes montrés à la hauteur de ces idéaux.
Nos tragédies les plus grandes se sont produites lorsque nous n'avons pas réussi à les
respecter. »
3
Ces valeurs qui sont la vie, la liberté et le bien être, font toujours partie
intégrale de cette nation, quoique la liberté se démarque un peu plus. On ne cesse de faire
3
FRIEDMAN, Michael Jay. (Page consultée le 20 février 2008). La fête nationale de l’Indépendance aux Étatsunis, [En ligne]. Adresse URL : http://usinfo.state.gov/xarchives/display.html?p=washfilefrench&y=2006&m=June&x=20060630154926liameruoy0.8378412
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ressortir ces valeurs du moule dans lequel il a été formé, la déclaration de l’indépendance.
On l’interprète toutefois différemment selon l’époque dans laquelle on se trouve. Cette
déclaration en a inspiré plusieurs autres, dans plusieurs pays. En 1917, on retrouvait une
douzaine de démocraties dans le monde et aujourd’hui il y en a au moins une centaine,
dont la plupart ont écrit une constitution. C’est même ce que le président actuel aux ÉtatsUnis tente de faire en Irak. Entre 1820 et 2001, plus de 67 millions de personnes de tous
les coins du globe se sont dirigées vers les États-Unis, inspirées par les promesses de liberté
et d’indépendance. Le peuple de cette nation semble être lié non pas par grade de religion,
de race ou de généalogie, mais par les mêmes idéaux de liberté. On ne cesse de se référer à
ces propos célèbres de 232 ans d’histoire. Les États-Unis en sont fiers, mais ça ne veut pas
nécessairement dire que parce que ce système a bien fonctionné aux États-Unis qu’il
fonctionnera bien ailleurs. Quand on pense à l’Irak où George W. Bush tente de créer une
démocratie, on se dit qu’il ne faudrait toutefois pas en faire trop. Les États-Unis ont un
pouvoir et une emprise sans cesse grandissants et ils oublient parfois pendant un instant
ces principes de liberté et d’égalité sur lesquels leur nation est fondée.
7
Annexe 1 : Exterior view of Independence Hall (circa 1770s) 4
4
The U.S. National Archives and Records Administration (NARA), Travels of the Declaration of
Independence, [En ligne]. URL:
http://www.archives.gov/exhibits/charters/treasure/declaration_travels.html
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Annexe 2 : Drafting of the Declaration of Independence, 1776,
par Jean Leon Gerome Ferris 5
5
Bridgeman Art Library, The Drafting of the Declaration of Independence in 1776 by Jean Leon Gerome
Ferris, [en ligne]. Adresse URL :
http://www.bridgemaninteriors.com/art/108384/The_Drafting_of_the_Declaration_of_Independence_in_17
76
9
Bibliographie
Livres:
FRANKLIN, Benjamin, commenté par Jean Audouze, Moi, Benjamin Franklin – Citoyen du
monde, homme des Lumières, Paris, © Dunod, 2006, 331 p.
Sites Internet :
THE U.S. NATIONAL ARCHIVES AND RECORDS ADMINISTRATION. (Page
consultée le 20 février 2008). The Charters of Freedom “A NEW WORLD IS AT HAND”, [En
ligne]. Adresse URL: http://www.archives.gov/exhibits/charters/
FRIEDMAN, Michael Jay. (Page consultée le 20 février 2008). La fête nationale de
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INDEPENDENCE HALL ASSOCIATION. (Page consultée le 20 février 2008). The
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10
Encyclopédies:
WIKIPEDIA L’Encyclopédie libre. (Page consultée le 20 février 2008). Déclaration
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http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_d'ind%C3%A9pendance_des_%C3%8
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WIKIPEDIA L’Encyclopédie libre. (Page consultée le 22 février 2008). Independence Hall,
[En ligne]. Adresse URL :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Inhttp://www.bucketreviews.com/nationaltreasure.htmldepe
ndence_Hall
Dvd :
TURTELTAUB, Jon. National Treasure, [DVD]. BRUCKHEIMER, Jerry Production, Walt
Disney Pictures, © 2005.
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