LES PROCHAINS CONCERTS - Orchestre de chambre de Paris

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LES PROCHAINS CONCERTS - Orchestre de chambre de Paris
LES
PROCHAINS
CONCERTS
Salle des concerts / Cité de la musique
Philharmonie 2 - 20 h 30
4 o ct.
dimanche
Salle des concerts / Cité de la musique
Philharmonie 2 - 16 h 30
Vienne, de nuit et de jour
Bach in India
Haydn
Bach
Mahler
Subramaniam
Symphonie no 6 en ré majeur
« Le Matin »
Des Knaben Wunderhorn
(extraits)
Webern
Cinq Mouvements
Schoenberg
Concerto pour violon et orchestre
à cordes en ré mineur
Œuvre pour violon seul
Bach
Chaconne pour violon seul
Subramaniam
Douglas Boyd
Concerto pour violon et orchestre
dans le style indien, création
Tribute to Bach, pour deux violons
et orchestre
Nathalie Stutzmann
Josep Vicent
La Nuit transfigurée
direction
contralto
Netia Jones
vidéo
269
direction
Amandine Beyer
Licence entrepreneur de spectacle : 2-1070176
22 sept.
mardi
15 septembre 2015 \ Théâtre des Champs-Élysées
violon
Dr L. Subramaniam
violon
Ambi Subramaniam
violon
Venkata Ramanamurthy
mridangam
orchestredechambredeparis.com
la musique nous rapproche
LE
CONCERT
La direction
De Mozart à Fazil Say
Sir Roger Norrington Deborah Nemtanu
direction violon
Fazil Say
piano
Mozart
Divertimento en fa majeur
Say
Sonata pour violon et piano
Mozart
Concerto pour piano no 23
en la majeur
Entracte
Mozart
Sérénade no 9
en ré majeur « Posthorn »
© Jean-Baptiste Millot
Sir Roger Norrington
chef d’orchestre - artiste associé
Chef d’orchestre renommé sur la scène internationale,
Sir Roger Norrington manifeste un intérêt tout particulier
pour les interprétations d’époque.
Depuis près de cinquante ans, il collabore avec des orchestres sur le
répertoire des musiques baroque, classique et romantique. Avec l’ensemble des London Classical Players qu’il fonde dans les années 1980
et plus récemment avec l’Orchestre de la radio de Stuttgart ou la
Camerata de Salzbourg, il encourage les musiciens à exprimer et à
s’approprier les caractéristiques originales de ces musiques. Il travaille
ainsi sur le positionnement de l’orchestre, sa taille, le tempo, le phrasé,
l’articulation et le son.
Il se produit dans des salles renommées telles que le Royal Festival
Hall de Londres, le Musikverein de Vienne, la Philharmonie de Berlin
et le Carnegie Hall de New York. Il est régulièrement invité à diriger
les plus grandes formations, comme les orchestres philharmoniques
de Berlin et de Vienne, le Leipzig Gewandhaus, le Concertgebouw, le
London Philharmonic, le Philharmonia, l’Orchestre symphonique de
Cincinnati et le Philadelphia.
Il a été chef principal de l’Orchestre symphonique de la radio de
Stuttgart de 1988 à 2011. Avec cette formation, il a enregistré une
remarquable série de disques consacrés à Mozart, Beethoven,
Mendelssohn, Schumann, Brahms, Bruckner et Mahler, représentatifs
de la façon dont les orchestres modernes peuvent s’approprier les
caractéristiques de la musique ancienne.
Il est actuellement directeur musical de l’Orchestre de chambre de
Zurich.
LES
œuvreS
Wolfgang Amadeus Mozart
Divertimento en fa majeur
ans le répertoire baroque et classique, le divertimento est
assimilable à une musique fonctionnelle. En effet, il a pour
but d’accompagner les événements de la vie quotidienne,
qu’ils se produisent en salle ou en plein air.
On ne sait pour quel mécène Mozart composa cette partition et
on doute qu’elle ait, à l’origine, pris le titre de « divertimento ». C’est la
raison pour laquelle, elle est parfois répertoriée comme la troisième
des « symphonies de Salzbourg ».
Le Divertimento en fa majeur est pour cordes seules, pour un quatuor à l’origine mais avec la possibilité d’être joué par une formation
de chambre élargie. Alors âgé de seize ans, Mozart composa cette
pièce d’autant plus ample de carrure que l’écriture est proche de la
forme concertante, privilégiant les violons. On remarque aussi une
certaine nostalgie dans l’Andante. Il annonce la fin du classicisme
alors que le finale, en forme de rondo, s’inscrit dans une tradition
savante héritée de Jean-Chrétien Bach et Michael Haydn. Assurément, le musicien adolescent n’avait pas oublié son voyage en Italie.
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Divertimento en fa majeur, K. 138
Composition : entre janvier et mars 1772 à Salzbourg
Mouvements : Allegro, Andante, Rondo - presto
Durée : 14 minutes
Fazil Say
Sonata pour violon et piano
eu d’artistes possèdent à ce point le talent de faire bouger
les frontières de la musique, d’associer aussi bien les répertoires du classique, du folklore et du jazz. Depuis plusieurs
années, le public entend régulièrement les œuvres du catalogue, déjà
substantiel, du pianiste et compositeur turc. Sa Sonata pour violon et
piano est emblématique du mélange « épicé » des esthétiques. Son éducation musicale en Allemagne – entre formes classiques
occidentales et éléments de la musique folklorique de son pays, sans
oublier le jazz – et la diffusion internationale de ses œuvres comprenant aussi bien des pièces pour piano seul que des concertos et des
oratorios permettent de mieux comprendre la démarche unique de
Fazil Say dans l’univers de la musique classique.
L’œuvre s’ouvre dans une atmosphère éthérée, une mélodie du
violon qui « vrille » bientôt, accompagnée par une guirlande de notes
de plus en plus lyriques au piano. Après ce refrain populaire, le
second mouvement (Grotesque) joue sur des motifs orientaux et une
pulsation jazzée pleine d’effets sonores. Le bref Perpetuum mobile
déchaîne une énergie pulsée. Des jeux d’arpèges mais aussi des
résonances sur les cordes mêmes du piano semblent immobiliser le
chant du violon. Ce chant est comme l’écho lointain de la mélodie
mélancolique initiale. Celle-ci apparaît à nouveau dans le mouvement
le plus ample, le finale, qui est une reprise du premier mouvement,
comme si les interprètes et les auditeurs avaient accompli un voyage
imaginaire.
Fazil Say (né en 1970)
Sonata pour violon et piano, op. 7
Composition : 1997. Commande des Amis de la musique de
chambre de l’Arizona
Création : février 1997 à Tucson (États-Unis) par Fazil Say
(piano) et Mark Peskanov (violon)
Mouvements : Introduction: Melancholy - Andante misterioso,
Grotesque - Moderato scherzando, Perpetuum mobile - Presto,
Anonymous - Andante, Epilogue: Melancholy - Andante
misterioso
Durée : 14 minutes
Wolfgang Amadeus Mozart
Wolfgang Amadeus Mozart
Concerto pour piano et orchestre no 23 en la majeur
Sérénade en ré majeur no 9 « Posthorn »
ous sommes alors en 1786, très précisément le 2 mars, et
Mozart est en pleine écriture des Noces de Figaro. Le nouveau concerto pour piano qu’il est sur le point d’achever
est destiné à des concerts d’académies qui se déroulent pendant le
carême, à Vienne. Mozart a réuni un orchestre digne d’une petite
symphonie classique, avec notamment une flûte, deux clarinettes,
deux bassons et deux cors. Il a toutefois supprimé les hautbois,
les trompettes et les timbales qui composaient l’instrumentation si
brillante du Concerto en do majeur, le fameux Vingt et unième.
L’œuvre s’ouvre dans la chaude lumière des cordes qui présentent
le thème principal de l’Allegro. La douceur des timbres et l’intimité d’un climat si reposé dissimulent quelques nuages. L’orchestre
laisse sagement le piano entrer dans le mouvement et l’on devine, au
second plan, une impression d’ineffable tristesse. Le piano volubile
semble improviser comme pour mieux cacher une vérité. Sous l’apparente simplicité, la construction du mouvement est particulièrement
élaborée.
L’Adagio qui suit ne masque plus les sentiments, portés par la
tonalité rarissime chez Mozart de fa dièse mineur : celle-ci marque
l’inquiétude et l’instabilité. La mélodie du piano n’est plus uniquement
celle de l’instrument, mais bien de la voix humaine. Il s’agit d’une
« sicilienne », une danse triste au rythme à 6/8, marquée par la résignation.
Le piano entre le premier dans le finale, Allegro assai. L’esprit est
celui d’une ritournelle modelée sans fin et avec une vélocité contenue. C’est comme si le compositeur voulait faire oublier les ombres
planant au-dessus de lui. Il n’y parvient pas. Ni dans ce concerto, ni
dans celui en ut mineur (no 24, K. 491) qu’il achève quelques jours
plus tard.
Concerto pour piano et orchestre no 23 en la majeur, K. 488
Composition : 2 mars 1786
Mouvements : Allegro, Adagio, Allegro assai
Durée : environ 26 minutes
eu d’informations nous sont parvenues sur les circonstances
de la composition de la Sérénade « Posthorn » dont la durée,
les proportions et l’instrumentation tiennent davantage de la
symphonie que de la sérénade.
Dès les premières mesures de l’Adagio maestoso, l’auditeur est
surpris par la solennité et la puissance de l’orchestre. La complexité
de l’écriture et la force suggérée explosent dans l’Allegro con spirito. L’humour du premier Menuet ferait songer à quelque partition de
Haydn. La Concertante avec son Andante grazioso apparaît comme
un hommage aux instruments à vent et à l’esprit de la sérénade.
Le Rondo aurait-il définitivement quitté l’esprit de la symphonie ?
Il s’agit, en effet, d’une pièce aimable, au charme galant, qui dissimule sa complexité polyphonique. L’Andantino rompt brutalement
les climats. Nous voici à nouveau dans l’esprit de la symphonie mais,
cette fois-ci, d’une allure et d’une gravité presque beethovéniennes.
Comment ne pas songer au mouvement lent de la Symphonie
« Héroïque » composée un quart de siècle plus tard ?
C’est dans le Menuetto et plus précisément dans le second Trio
qu’apparaît le fameux cor de postillon – « Posthorn » – qui donna son
titre à la partition. Comme le nom l’indique, l’instrument était utilisé
pour annoncer l’arrivée du courrier ou d’une diligence dans les relais
de poste. Son emploi dans une œuvre aussi solennelle dérouta, on
s’en doute, le public. L’effet produit étonne encore. Il préfigure les
essais sonores des premiers compositeurs romantiques dont Carl
Maria von Weber. Le finale, un Presto jubilatoire, pose déjà les jalons
de l’ultime symphonie « Jupiter » du compositeur.
Textes : Stéphane Friederich
Sérénade en ré majeur no 9 « Posthorn », K. 320
Composition : été 1779 à Salzbourg
Création : 3 août 1779 à Salzbourg
Mouvements : Adagio maestoso - Allegro con spirito,
Menuetto - Allegretto, Concertante - Andante grazioso, Rondo Allegro ma non troppo, Andantino, Menuetto, Trio I & II, Finale Presto
Durée : 40 minutes
LES Artistes
Deborah Nemtanu
violon
Fazil Say
piano
© Lyodoh Kaneko
© Marco Borggreve
Lorsque le compositeur Aribert entendit un peu par hasard
à Ankara le jeune Fazil Say, alors âgé de dix-sept ans, il
alerta le pianiste américain David Levine, l’exhortant à se
rendre sur-le-champ au conservatoire de la ville : « Il faut
absolument que tu l’entendes ! Il joue comme un diable ! »
Son professeur Mithat Fenmen lui demanda d’improviser tous les jours
sur des thèmes du quotidien. Ce travail est à l’origine du talent d’improvisateur de Fazil Say, pianiste et compositeur, auquel on doit des pièces
pour piano, de la musique de chambre, des concertos ainsi que des
œuvres symphoniques.
À partir de 1987, Fazil Say se perfectionne auprès de David Levine.
Un singulier mélange de finesse (dans Haydn, Bach, Mozart) et de virtuosité (dans Liszt, Moussorgski ou Beethoven) lui vaut de remporter en
1994 le concours international Young Concert Artists à New York. Il
s’est produit depuis sur tous les continents, jouant un vaste répertoire,
de Bach à la musique contemporaine, ainsi que ses propres compositions. Il mène également une carrière de musicien de chambre avec
notamment Nicolas Altstaedt, le quatuor Minetti et la chanteuse turque
Serenad Bagcan avec qui il enregistra ses premières chansons.
En résidence au Konzerthaus de Dortmund, puis au Konzerthaus de
Berlin, on a pu l’entendre récemment au Festival de Schleswig-Holstein,
à Paris, Tokyo, Meran, Hambourg et Istanbul. En 2012-2013, il est en
résidence au Hessischer Rundfunk à Francfort ainsi qu’au Rheingau
Musik Festival, puis, en 2013-2104, au Konzerthaus de Vienne.
En 2014 ont paru ses enregistrements d’œuvres de Beethoven ainsi
que le CD « Say plays Say ».
Née dans une famille passionnément musicienne, Deborah
Nemtanu a quatre ans lorsqu’elle choisit le violon. Son
parcours est synonyme de précocité dans la réussite et de
diversité dans le talent.
Après un prix mention très bien obtenu à l’unanimité en 2001 au
CNSMD de Paris, son talent ne met pas longtemps à être reconnu à
l’échelle internationale : prix de l’Académie internationale de musique
Maurice-Ravel, quatrième prix agrémenté de deux prix spéciaux au
concours Jacques-Thibaud, deuxième prix du Concours international
Benjamin-Britten de Londres.
Depuis 2005, elle est violon solo super soliste de l’Orchestre de
chambre de Paris. Elle a marqué les esprits en jouant au théâtre des
Champs-Élysées notamment le Troisième Concerto de Saint-Saëns avec
John Nelson, la Symphonie espagnole de Lalo avec Joseph Swensen,
Tzigane de Ravel avec Louis Langrée ou le Concerto de Brahms avec
Juraj Valcuha. Curieuse, passionnée, Deborah Nemtanu va encore plus
loin : en dirigeant elle-même l’orchestre, elle privilégie la connivence
entre la soliste qu’elle est et les musiciens, et donne au concerto un
véritable esprit chambriste. Elle multiplie aussi, au fil des saisons et des
festivals – comme ceux des Folles Journées de Nantes et Tokyo –, les
rencontres musicales fécondes avec, entre autres, Boris Berezovsky,
Stephen Kovacevich, François Leleux, Emmanuel Pahud ou Jian Wang.
En 2013 paraît un CD de musique française, sous le label Mirare,
ovationné par la critique : outre le Premier Concerto de Saint-Saëns, il
comprend des pièces de Fauré, sous la direction de Thomas Zehetmair
avec l’Orchestre de chambre de Paris.
En 2014 sort un enregistrement des concertos pour violons de Bach
et Schnittke, dans lequel elle s’illustre avec sa sœur Sarah Nemtanu.
Deborah Nemtanu joue sur un violon de Domenico Montagnana de 1740, généreusement
prêté par Monceau Investissements Mobiliers, société du groupe Monceau Assurances.
La
rencontre
Fazil Say
Vous avez travaillé avec Sir Roger Norrington par le passé. Comment
envisagez-vous votre collaboration sur ce concert ?
Il est pour moi une grande source d’inspiration. Je le considère
comme un éminent chef d’orchestre, doté d’une forte personnalité.
Nous avons travaillé ensemble un certain nombre d’œuvres,
principalement des pièces de Beethoven. J’apprécie sa manière
d’équilibrer l’orchestre et de rechercher l’harmonie entre
les musiciens, pour aboutir immanquablement à d’excellents
résultats musicaux.
De même, vous vous êtes déjà produit avec l’Orchestre de chambre de
Paris. Quelle image avez-vous de cet orchestre de chambre ?
Je suis vraiment ravi de retrouver cet excellent orchestre de chambre,
qui sait mettre en valeur ses éléments et réaliser un travail musical de
qualité. Jouer un concerto avec une formation chambriste est toujours
agréable pour un soliste.
Parlez-nous de votre Sonata pour violon et piano. Quelles en sont les
grandes lignes esthétiques ?
Je l’ai composée il y a vingt ans. Depuis, j’ai eu l’occasion de la jouer
de nombreuses fois, notamment avec de grands solistes comme
Patricia Kopatchinskaja au violon et aujourd’hui avec Deborah
Nemtanu ! Elle raconte une histoire qui se passe en Turquie,
sur les rives de la mer Noire, et s’inspire de chansons traditionnelles
d’Anatolie. Elle comporte cinq mouvements tout en étant courte,
d’une durée d’environ quinze minutes. Une certaine mélancolie
émane du début et de la fin. En tant que pianiste, c’est toujours
un plaisir de jouer mes propres compositions.
© Marco Borggreve
Pour ce concert, vous êtes le pianiste du Concerto pour piano no 23 de
Mozart, dont vous êtes un fin connaisseur. Quelles sont les particularités
de cette œuvre ? Quels passages affectionnez-vous particulièrement ?
C’est tout simplement l’une des plus belles œuvres de Mozart,
une grande composition avec une mélodie magnifique. Je retiens en
particulier le second mouvement, fabuleux, tout en finesse, empreint
d’une belle couleur italienne. Il dégage une véritable atmosphère.
Le dernier mouvement est brillant, virtuose, très proche des sonorités
de la musique de Beethoven. Ce concerto offre une part active aux
bois. C’est du Mozart dans la période de la fin de sa vie.
Propos recueillis par Émilie Tachdjian
Les
Musiciens
Violons
de l’Orchestre de chambre de Paris
L’Orchestre de chambre de Paris est aujourd’hui au carrefour
de nombreux défis : étendre son rayonnement, compter
parmi les plus grands orchestres de chambre à l’international,
affirmer sa dimension citoyenne, sensibiliser une grande
diversité de publics, tout cela en développant ses capacités
de financement propre…
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de Paris permet de relever ces défis. En le rejoignant et en soutenant l’engagement artistique et
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… et les membres amis qui ont souhaité garder l’anonymat.
* Membres du Cercle au 1er septembre 2015
Tout au long de l’année,
l’orchestre propose de
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exclusives autour des
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de Paris. Votre soutien
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Altos
Deborah Nemtanu
Violon solo super soliste
Philip Bride
Premier violon solo
Franck Della Valle
Violon solo
Daniel Garlitsky
Chef d’attaque
Pascale Blandeyrac
Jean-Claude
Bouveresse
Hubert Chachereau
Philippe Coutelen
Marc Duprez
Sylvie Dusseau
Hélène LequeuxDuchesne
Gérard Maître
Florian Maviel
Mirana Tutuianu
Guillaume Latour
Serge Soufflard
Alto solo
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Anna Brugger
Aurélie Deschamps
Philippe Dussol
Claire Parruitte
Violoncelles
Benoît Grenet
Violoncelle solo
Étienne Cardoze
Livia Stanese
Emmanuelle Cohen
Sébastien Renaud
Contrebasses
Eckhard Rudolph
Contrebasse solo
Ricardo Delgado
Matthias Bensmana
Flûtes
Clarinettes
Florent Pujuila
Clarinette solo
Judith Chiapparin
Bassons
Fany Maselli
Basson solo
Henri Roman
Cors
Micha Cliquennois
Gilles Bertocchi
Trompettes
Pierre Désolé
Trompette solo
Jean-Michel
Ricquebourg
Trompette solo
honoraire
Timbales
Nathalie Gantiez
Timbales solo
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© Jean-Baptiste Millot
Orchestre de chambre de Paris
Depuis sa création en 1978, l’Orchestre
de chambre de Paris, avec ses 43 musiciens
permanents, s’affirme comme l’orchestre
de chambre de référence en France.
L’Orchestre de chambre de Paris reçoit les soutiens de la Ville de Paris,
de la DRAC Île-de-France – ministère de la Culture et de la Communication, de Crescendo,
cercle des entreprises partenaires, ainsi que du Cercle des Amis.
La Sacem soutient les résidences de compositeurs de l’Orchestre de chambre de Paris.
L’orchestre rend hommage à Pierre Duvauchelle, créateur de la marque Orchestre de chambre de Paris.
La forme originale de ses concerts, ses lectures « chambristes » des
œuvres, son travail de décloisonnement des répertoires et des lieux
comme sa démarche citoyenne en direction de nouveaux publics lui
confèrent une identité originale dans le paysage musical parisien.
Après avoir travaillé avec Jean-Pierre Wallez, Armin Jordan, Jean-Jacques
Kantorow, John Nelson – directeur musical honoraire –, Joseph Swensen
ou encore Thomas Zehetmair, l’orchestre se dote d’un nouveau directeur
musical, le chef d’orchestre Douglas Boyd. Il s’entoure d’une équipe artistique composée du chef d’orchestre Sir Roger Norrington, de Deborah
Nemtanu, violon solo super soliste, et de la contralto et chef d’orchestre
Nathalie Stutzmann, artiste associée. Il poursuit sa complicité avec le chœur
de chambre accentus et Laurence Equilbey, et met à l’honneur le compositeur associé Philippe Manoury.
En plus des concerts parisiens au théâtre des Champs-Élysées, à la
Philharmonie de Paris, à la cathédrale Notre-Dame ou encore au Théâtre
du Châtelet, l’orchestre étend son rayonnement en France et à l’étranger à
l’occasion de tournées et de festivals.
Ces dernières années, l’Orchestre de chambre de Paris s’est distingué
par plus d’une vingtaine d’enregistrements mettant en valeur les répertoires
vocal, d’oratorio, d’orchestre de chambre et de musique d’aujourd’hui.
L’Orchestre de chambre de Paris est porteur d’une démarche citoyenne
déclinée autour de quatre engagements : territoire, éducation, solidarité,
insertion professionnelle, au travers d’actions culturelles et d’une forte
présence dans le nord-est de la métropole parisienne. Dans le domaine de
l’insertion professionnelle et de la formation, il collabore avec des étudiants
de conservatoires.

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