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COMMUNIQUE DE PRESSE SOUS EMBARGO
JUSQU'A MARDI 17 FEVRIER 2015 MINUIT Classement des hôpitaux en 2020 : COMMUNIQUÉ
Tours, 11ème, grimpe dans le classement et gagne 5 places alors qu’Angers et Poitiers sont 24 et 27èmes ! Quels hôpitaux travaillent à une relève de qualité et ont une formation
exigeante ? C’est à cette interrogation que le classement réalisé par
What’s up Doc répond. Pour la deuxième année consécutive, les
Hôpitaux Civils de Lyon sont en tête des CHU choisis par les jeunes
médecins. Pour Tours, c’est une belle envolée car il gagne 5 places et
se tient 11ème alors qu’Angers et Poitiers se positionnent dans les
derniers.
Pour le Docteur Alice Deschenau, rédactrice en chef du
magazine What’s up Doc, ce deuxième classement a
beaucoup de sens : « Analyser le choix des jeunes
médecins ne garantit pas d’identifier les meilleurs hôpitaux
d’aujourd’hui : nous nous plaçons dans une perspective à
moyen terme. Ce classement indique les hôpitaux où les
meilleurs espoirs de la médecine française veulent se
diriger pour se former. Et à ce titre, il est intéressant de
noter l’attractivité des uns (Lyon, Nantes, Grenoble) et les
mauvais résultats d’autres comme l’AP-HP (Paris) et l’APHM (Marseille), fuis par les médecins généralistes, pour
imaginer le paysage hospitalier et médical de 2020. »
Envolée pour le CHU de Tours
Alors qu’il était, lors de la première édition du classement What’s Up Doc, dans la
partie basse du classement (16ème), le CHU de Tours s’envole cette année pour
la 11ème place. Avec le CHU nancéen, c’est la plus belle évolution au sein du
classement général.
En face c’est la chute libre pour les CHU angevin et pictavien qui perdent
chacun trois places et se positionnent au pied du classement aux 24ème et 27ème
places. Toutefois on peut noter qu’ils sont mieux classés en médecine générale,
surtout Poitiers qui gagne 6 places !
Tours, à deux doigts du podium en dermatologie
Ce classement est également l’occasion de comparer les spécialités entre CHU et
ainsi de déterminer où les étudiants les plus brillants décident d’exercer.
Contact Presse : LauMa communication
20 • [email protected]
Marion Fichet & Laurent Mignon • tél 01 73 03 05
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JUSQU'A MARDI 17 FEVRIER 2015 MINUIT
Jamais présent sur le podium, le CHU de Tours obtient
tout de même de bons résultats en dermatologie (4ème)
et en santé publique (8ème). En endocrinologie, il est
cependant dernier du classement alors qu’Angers est
16ème.
Autre réussite pour Angers, sa 5ème place en médecine
physique et de réadaptation, loin devant Tours, 21ème.
Globalement, le CHU angevin se place devant ce
dernier dans 11 spécialités. Etonnant au vu de leur
différence de classement !
Le CHU de Poitiers quant à lui – malgré sa position
d’avant-dernier – obtient la 9ème place en rhumatologie
passant ainsi devant Tours (17ème) beaucoup plus haut
dans le classement national.
Enfin, on peut distinguer une spécialité où les trois
CHU obtiennent un bon classement au coude à coude :
la neurochirurgie, pour laquelle Tours est 6ème, Angers
7ème et Poitiers 9ème.
« Le médecin, un citoyen comme les autres »
Au-delà de l’excellence du CHU qui pèse pour
beaucoup dans le choix des internes, l’attractivité de la
ville en elle-même ne doit pas être minimisée. Pour
cela, nous avons demandé à Pierre Falga, rédacteur à
l’Express et en charge du classement des villes les
plus attractives de France, de commenter notre
nouveau classement. Selon lui, les grandes
agglomérations, comme Paris (8ème), Lille (9ème),
Marseille (17ème) ne sont pas très attrayantes. « Il y a
vraiment des quartiers laissés à l’abandon. C’est pour
cela que les étudiants en médecine se tournent plutôt
vers des villes de plus petite envergure ». On retrouve
par exemple Rennes, « une ville vivante » à la 7ème
place ou Nancy, « une ville étudiante avec un centreville sympa » en 14ème place.
Méthodologie
Pour la deuxième année consécutive, le magazine What’s up Doc a mené l’enquête et
établi le classement des CHU (Centres Universitaires Hospitaliers) et des spécialités
choisis par les internes en médecine. Comment ? Tout simplement en étudiant et
analysant les choix des nouveaux internes en médecine à l’issue des Epreuves
Classantes Nationales (ECN).
En septembre 2014, 8 304 internes ont prononcé leurs vœux d’affectation vers 30
spécialités différentes, et se sont répartis dans 28 CHU en France, en fonction de leur
place dans le classement national. L’analyse des résultats, réalisée par What’s up Doc
ème
dans son 18
numéro sorti le 11 février 2015, révèle les dynamiques et les tendances
qui déterminent les choix des jeunes internes actuels.
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JUSQU'A MARDI 17 FEVRIER 2015 MINUIT
L’intégralité du dossier et du classement des CHU par les jeunes médecins
Ce numéro 18 de What’s Up Doc livre donc les clés du système de santé de demain
en dévoilant un classement inédit, celui des CHU en 2020. Un dossier spécial à
retrouver en pièce jointe et dans son intégralité, ville par ville, CHU par CHU,
spécialité par spécialité, sur le site du magazine : www.whatsupdoc-lemag.fr.
À propos de WHAT’S UP DOC
Edité depuis 2011 par Planète Med, WHAT’S UP DOC est le magazine des jeunes
médecins. Tiré à 18 000 exemplaires, il réunit, tous les deux mois, 35 000 lecteurs.
Chaque numéro explore les différentes composantes de l’exercice de la médecine et de la
santé d’aujourd’hui et de demain, et éclaire un domaine particulier à travers une enquête
exclusive.
Chroniques, interviews, sujets de fond et enquêtes s’y enchaînent avec dynamisme et
humour, et donnent à voir la médecine et ceux qui la font sous un prisme tout particulier,
suivant une ligne éditoriale alternative, propre aux nouvelles générations de médecins qui
accordent autant d’importance à leur vie personnelle qu’à leur vie professionnelle.
En complément du magazine, WHAT’S UP DOC, c’est également un site internet,
www.whatsupdoc-lemag.fr, un compte Twitter @WhatsUpDoc_mag et une communauté
sur Facebook : www.facebook.com/WUDmagazine.
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