dossier Trotignon - Belmondo

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dossier Trotignon - Belmondo
BAPTISTE TROTIGNON
PRESS 2013
BIOGRAPHIE
Baptiste Trotignon est né en 1974 en région parisienne, puis passe son enfance proche
de Saumur, dans les Pays de la Loire. Il commence le piano à l’age de 8 ans, et quelques
années plus tard, il rejoint le Conservatoire de Nantes où il obtient à 17 ans des Prix
de piano et d’écriture. Adolescent, il découvre le jazz et l’improvisation qu’il apprend
en autodidacte, et c’est à Nantes qu’il fait ses premiers concerts à l’âge de 16 ans.
En 1994, il est à la fois pianiste et comédien dans le film d’Alain Corneau “le Nouveau
Monde”, et un an plus tard, décide de s’installer à Paris.
En 1998, il monte son trio avec Clovis Nicolas (contrebasse) et Tony Rabeson (batterie) et développe ainsi ses activités de leader : son premier album “Fluide” sorti en juin
2000 le révèle, à 26 ans, comme l’un des plus spectaculaires, complets et séduisants
pianistes de la nouvelle génération. Ce disque se voit décerner en mars 2001 un Django
d’Or “Espoir pour un premier disque”. En 2001, toujours avec le même trio, Baptiste
Trotignon sort son deuxième disque “Sightseeing” : Jazzman attribue au disque un
“Choc de l’année”, et l’Académie de Jazz décerne à Baptiste en décembre 2001 le Prix
Django Reinhardt qui récompense le musicien français de jazz de l’année.
Progressivement, il apparaît de moins en moins en sideman, mais est de plus en plus
présent sur les scènes des festivals internationaux avec son trio, ainsi qu’en solo : Jazz
in Marciac, Montréal, La Villette Jazz Festival, Vienne, Nice, Montreux, Vancouver,
Toronto, Ramatuelle, Parc Floral de Paris, Nancy Jazz Pulsations …
En octobre 2002, il obtient le Grand Prix de la Ville de Paris du Concours International
Martial Solal, et quelques mois plus tard, les Victoires du Jazz 2003 lui décernent la
Révélation française de l’année. Au printemps 2003, Baptiste Trotignon sort son nouveau
disque, cette fois-ci en piano solo, dans un répertoire composé entièrement d’originaux,
grandement salué par la presse (“ffff ” de Télérama, “Choc de l’année” de Jazzman,
“Disque d’émoi” de Jazz Magazine), et succès public autant pour le disque (plus de
15.000 exemplaires vendus) que sur scène (Festival de La Roque d’Anthéron, Piano aux
Jacobins à Toulouse, Salle Pleyel à Paris...).
Début 2005, sortie d’un excellent quartet en co-leading avec David El-Malek, l’album
éponyme “Trotignon – El-Malek” reçoit un très bon accueil du public et des médias.
Et le 25 octobre 2005, sortie de “Solo II”, nouveau CD studio agrémenté d’un DVD
live à “Piano aux Jacobins” ainsi que d’un entretien avec Michel Contat, sous la double
forme d’un Digipack et d’une Longbox en Edition Limitée. Bien au-delà des genres,
ce nouvel opus en solo s’inscrit dans la droite ligne du premier album et confirme s’il en
était besoin, l’originalité incontestable de Baptiste dans ce domaine.
C’est à cette période qu’il rencontre Aldo Romano avec qui une réelle amitié musicale
se développe au fil des concerts, la plupart du temps en trio avec Rémi Vignolo, et de
cette rencontre nait à l’automne 2006 un album hors du commun, “Flower power”,
clin d’oeil nostalgique à cette période de la fin des années 60 au début des années 70.
Les trois musiciens y rejouent à leur façon et sans rien renier de leur language
un répertoire choisi de chansons pop où Led Zeppelin, Pink Floyd ou Bob Dylan
cotoient Gainsbourg et Polnareff.
Tout en multipliant des rencontres dans des directions les plus diverses (concerts en
duo avec des improvisateurs de haut vol comme Tom Harrell, Brad Mehldau ou encore
avec le pianiste classique Nicholas Angelich ; direction artistique de soirées-hommages
à Edith Piaf et Claude Nougaro à Montreux avec des invités tels que Catherine Ringer,
Bernard Lavilliers ou encore Ute Lemper ; “expériences classiques” en jouant la “Rhapsody
in blue” et le Concerto en Fa de Gershwin joué avec les Orchestres Lamoureux ; musique
de film pour le “Sartre” de Claude Goretta…), il continue à développer une musique
résolument ouverte et bouillonante à la fois au sein du quartet co-leadé avec David ElMalek, et de cette union musicale nait leur deuxième album, “Fool time”, en septembre 2007,
double CD enregistré Live, toujours aux côtés de Darryl Hall et Dré Pallemaerts.
Fin 2008, son label Naive ré-édite pour ses 10 ans son premier album solo regroupé avec
un récital en piano solo enregistré Salle Pleyel Mai 2007. A cette occasion il participe
à la soirée naïve au Theatre des Bouffes Du Nord où il joue notamment avec
Anne Gastinel.
C’est à cette période qu’il renoue avec un de ses premiers amours, l’orgue Hammond B3,
en participant à l’album de Stefano Di Battista “Trouble shootin’ “(Blue Note) aux côtés
d’Eric Harland, Fabrizio Bosso et Russell Malone, enregistrement suivi d’une tournée
de plus de 60 concerts dans les plus beaux festivals européens.
Début 2009 sort le premier album “américain” de Baptiste, “SHARE”, enregistré
à New-York en juin 2008. Il y retrouve Eric Harland et y réunit deux maîtres qu’il
admire tout particulièrement : Tom Harrell, légende vivante et inimitable de l’histoire
du jazz, et Mark Turner, deux solistes qu’il aime décrire comme des “warriors of beauty”
(“guerriers de la beauté”). L’album est un succès, une vingtaine de concerts avec ce
quintet de rêve s’ensuit, dont une tournée d’été en 2009 (avec Jeremy Pelt remplaçant
Tom Harrell) où les concerts sont tous enregistrés, donnant ainsi naissance à l’album
“Suite…” (enregistré à Londres, sorti en mai 2010) où Baptiste affirme de plus en plus
ses qualités de compositeur, ce LIVE survolté étant comme le pendant scénique de
l’aventure “Share”. Dans les mois qui suivent il écrit une version avec orchestre à cordes
et vents de cette “Suite pour quintet” créée au Festival Jazz in Marciac en août 2010.
En 2011, outre des rencontres scéniques inédites (duos avec Alexandre Tharaud, le
saxophoniste Mark Turner ou encore Christophe Miossec qu’il invite dans une carte
blanche au Printemps de Bourges pour des chansons co-écrites), il entame l’écriture d’un
Concerto pour Piano pour Nicholas Angelich et l’Orchestre de l’Opera de Bordeaux.
En septembre sort une compilation intitulée “For a while” qui présente une sélection de
ses 10 années passées au côtés de la maison de disques Naive (complétée par un DVD
bonus de la captation du concert de Marciac d’août 2010), ainsi que l’album “Inner
smile” d’Aldo Romano qu’il retrouve en tant que sideman aux côtés d’Enrico Rava.
La Sacem lui décerne en novembre son Grand Prix du Jazz 2011.
2012 est une année riche en événements… Outre plus de 80 concerts en France et Europe
ainsi qu’en Asie, Baptiste sort à l’automne un album étonnant et audacieux intitulé
“Song Song Song” où il invite une belle poignée de voix à se joindre à lui : Jeanne
Added, Mônica Passos, Miossec (avec qui il co-écrit 2 titres) et la délicieuse Melody
Gardot. Cette “déclaration d’amour à la voix” (Le Monde) mêle avec gourmandise
son univers de compositeur avec des reprises de chansons francaises savamment choisies jouées en piano solo. L’album est un succès critique et commercial et à la même
période est créé son Concerto pour Piano “Different Spaces” par Nicholas Angelich
et l’O.N.B.A., première pièce orchestrale d’envergure, totalement écrite et sans improvisation, accueillie avec beaucoup d’enthousiasme par le milieu de la musique “classique”
également. Cette nouvelle facette de son travail l’amène à développer ce type de projets
(musique de film pour Vincent Trintigant-Corneau, écriture d’un premier Quatuor à
Cordes …).
En septembre 2013 sort un nouvel opus chez Naïve “Dusk is a quiet place”, album
réalisé en duo avec le saxophoniste Mark Turner (qu’il retrouve quelques années après
“Share”), composé essentiellement de ballades au climat nocturne et envoûtant.
Il a joué avec :
(par ordre alphabétique)
Ambrose Akinmusire, Nicholas Angelich, Stephane Belmondo, Lionel Belmondo,
Fabrizio Bosso, Sylvain Beuf, André Ceccarelli, Alban Darche, Riccardo Del Fra, Stefano
Di Battista, David El-Malek, Christian Escoudé, Laika Fatien, Jean Fauque, Glenn
Ferris, Anne Gastinel, Eric Harland, Tom Harrell, Donald Harrison, Gregory
Hutchinson, Ari Hoenig, Bob Hurst, Manu Katché, Angelique Kidjo, Elisabeth
Kontomanou, Bireli Lagrène, Eric Le Lann, Eric Le Sage, Didier Lockwood,
Jeanette Lindstrom, Jean-Loup Longnon, Russell Malone, Albert Mangelsdorff, Rick
Margitza, Brad Mehldau, Malik Mezzadri, Christophe Miossec, Bill Mobley, Francois et
Louis Moutin, David Murray, Milton Nascimento, Claude Nougaro, Dré Pallemaerts,
Leon Parker, Jeremy Pelt, Michel Portal, Enrico Rava, Aldo Romano, Jacques SchwarzBart, Archie Shepp, Geoffroy Tamisier, Alexandre Tassel, Mark Turner, Alexandre Tharaud,
Jean Toussaint,Reggie Washington, Jeff “Tain” Watts, Kenny Wheeler, Bojan Z...
et beaucoup d’autres....
Stephane Belmondo : Ever After
« Quand je pense à la musique, je l’envisage comme un tout, une unité. Du blues le plus rustre
jusqu’à la symphonie la plus élevée. Aussi ce que j’aimerais faire, c’est illustrer chaque style, qu’elle
qu’en soit l’époque, autant que ça m’est possible. » Ces mots-là, Stéphane Belmondo aurait pu les
prononcer, et ce n’est pas son nouvel album, « Ever After », qui emprunte au jazz et à la soul, à
l’Afrique et au classique, qui le démentirait. Ces propos, en fait, sont de Donny Hathaway, chanteur
et compositeur, génie touche-à-tout de la musique afro-américaine tragiquement disparu en 1979.
Pas étonnant que sa musique trouve une résonnance particulière aux oreilles du trompettiste
français qui a choisi de placer au cœur de son disque des reprises de certaines de ses chansons les
plus emblématiques, conviant pour l’occasion deux grandes voix d’aujourd’hui, Gregory Porter et
Sandra Nkaké, à les interpréter.
« Cet album est davantage un disque de chansons que le précédent, The Same As It Never Was
Before, qui mettait en valeur le quartet et était plus orienté vers le jeu collectif. Cela faisait
longtemps que j’avais envie d’inviter des amis à chanter et pas seulement à jouer. Ever After
concrétise ce désir », explique Stéphane Belmondo. Pour autant, « Ever After » n’est ni un disque de
reprises, comme l’avait été « Wonderland » (sa relecture de Stevie Wonder sous le sceau du jazz), ni
un disque centré sur la voix (comme sa collaboration passée avec le chanteur brésilien Milton
Nascimento). En choisissant Donny Hathaway pour figure tutélaire de son nouvel opus, Stéphane
Belmondo n’a pas seulement voulu rendre hommage à l’un de ses chanteurs favoris ; il s’est placé
sous le sceau d’un musicien « total » qui composait, écrivait, arrangeait et interprétait lui-même ses
chansons dans un grand brassage d’influences, qui refusait les distinctions entre les genres, voyait
des correspondances entre la musique de Ravel et celle de Coltrane et était allé cherché auprès du
saxophoniste Yusef Lateef les conseils nécessaires à l’achèvement de sa vision musicale (il n’y a pas
de hasard : Stéphane et son frère Lionel ont fait pareil trois décennies plus tard).
Quarante ans après la parution du mythique « Extension of a Man », véritable album-monde dans
lequel le partenaire de Roberta Flack tentait de fusionner les musiques chères à son cœur (Stéphane
Belmondo y a puisé la chanson Flying Easy), « Ever After » est lui aussi un disque à multiples entrées,
où les voix côtoient les instruments, où l’acoustique fricote avec l’électrique, où les cordes
enveloppent les cuivres et où le jazz vibre au frisson de la soul. La présence de Gregory Porter et celle
de Sandra Nkaké, qui furent les deux révélations vocales de l’année 2012, s’explique d’autant mieux
que, eux-mêmes, dans leur propre parcours, ont une vision sans œillères de la musique. Du premier,
rencontré sur scène, à l’occasion de la soirée annuelle de la radio TSF à l’Olympia, Stéphane
Belmondo dit ouvertement : « On a un vrai truc musicalement. C’est le chanteur que j’attendais
depuis longtemps ! Et je ne suis pas le seul, visiblement ! Il est capable de trouver des accents à la
Nat King Cole, comme dans For All We Know, tout en étant à l’aise sur les titres de Donny Hathaway.
» De la seconde, qu’il a côtoyée dans différents projets, il vante également un vibrato qui lui rappelle
Tina Turner et « la personnalité incroyable : elle chante avec un côté soul mais son placement n’a
rien à voir, elle a vraiment trouvé un truc à elle ». Ensemble, Porter et Nkaké interprètent Someday
We’ll All Be Free, écrit à l’origine pour donner à Donny Hathaway l’espérance de se défaire de ses
souffrances psychiques mais qui résonne désormais comme un hymne à la liberté de la communauté
noire.
« Jouer une chanson de Donny Hathaway ou un standard de jazz, je ne vois pas la différence, affirme
Stéphane Belmondo. Flying Easy sonne comme un morceau que Joe Henderson ou Freddie Hubbard
auraient pu enregistrer. C’est là qu’on voit que, comme Stevie Wonder, Donny Hathaway avait un
vrai talent de compositeur. » La troisième composition qu’il lui reprend, You Were Meant for Me
(sortie en single en 1978, peu avant que le chanteur ne se donne la mort) est ainsi revisitée à 7 temps
par Belmondo avec celui qui est le troisième invité de cet album : Jacky Terrasson (ils s’étaient déjà
retrouvé à l’occasion du disque « Gouache » du pianiste, paru l’an dernier). « Jacky, je l’adore, car il
prend des risques toutes les deux secondes quand il joue. Il est très fort. On a toujours été très
proches, c’est vraiment un frère. On est de la même génération, on est arrivé au même moment à
Paris, on a littéralement commencé ensemble. » Privilégiant le Fender Rhodes plutôt que son
habituel piano, Jacky Terrasson électrise ainsi un disque qui renoue avec le meilleur de la production
seventies, lorgnant vers le son vintage de galettes mythiques publiées chez Atlantic ou CTI à la
grande époque. Il y côtoie le pianiste américain Kirk Lightsey, qui participa aux premières séances du
label Motown avant de s’imposer comme le partenaire de choix de Dexter Gordon ou Woody Shaw ;
le contrebassiste Thomas Bramerie, ami d’enfance de Stéphane Belmondo, et compagnon de longue
date, à New York et à Paris ; et le batteur américain Johnathan Blake, découvert dans le trio de Kenny
Barron et qui accompagne depuis plusieurs années Tom Harrell, trompettiste auquel Stéphane voue
une vraie admiration.
Reste que ce disque, malgré ses invités de choix, met surtout en évidence les talents de Stéphane
Belmondo, à la trompette et au bugle. Il y ranime ce qui l’a hissé parmi les plus remarquables
jazzmen issus du Vieux Continent, ce mélange de puissance féline et d’hypersensibilité, de lyrisme
sincère et de sauvagerie maîtrisée, qui donne à son jeu une inspiration que l’on reconnaît entre mille.
Désormais paré de nouveaux instruments, développés pour lui par un luthier hollandais, Hub van
Laar (c’est à lui, et au mentor éternel, Freddie Hubbard, qu’il dédie Brother Hub), Stéphane peut
librement s’exprimer, signant plusieurs compositions qui mettent en lumière les différentes facettes
de sa personnalité : le ludique Turn Around and Go Deep, négocié à vive allure avec Terrasson en
embuscade ; la délicate chanson Ever After, qui donne son titre à l’album, sublimement portée par
Sandra Nkaké ; ou encore l’entêtant Thought of Spirit, à l’origine écrit pour le triumvirat de
trompettes qu’il formait avec Roy Hargrove et Tom Harrell, et qu’il a enregistré seul, grâce à la
technique, dans le contrechant de lui-même.
Un morceau, enfin, possède une dimension spéciale dans ce disque, un standard parmi d’autres,
celui sans doute où sont le mieux mises en valeur les cordes arrangées par Christophe Larrieu (autre
compagnon d’adolescence rencontré par le biais de la musique, aujourd’hui attaché à l’Orchestre
National du Capitole à Toulouse). Ce morceau, qui par son titre même est chargée de tendresse,
Little Girl Blue, est étroitement lié au souvenir de Chet Baker : « C’est une des premières ballades que
j’ai jouée avec Chet. Il m’avait invité, je crois me souvenir que c’était au New Morning, et juste après
m’avoir annoncé, il est sorti de scène, me laissant seul. Il n’est revenu que pour jouer la mélodie. A
l’époque, je connaissais tout son répertoire par cœur. Le deuxième morceau que nous avons joué,
ensuite, était Little Girl Blue, qu’il a chanté pendant que je l’accompagnais à la trompette. » A
l’époque, Stephane sortait tout juste de l’adolescence, courant les occasions de côtoyer les géants.
Plus de vingt ans après, c’est lui, désormais, qui est en première ligne, portant à la fois le chant et la
chanson, la parole et le geste, authentique jazzman jusqu’au bout du souffle et de la note — ever
after.
SORTIE
25 AVRIL 2011
The Same as it never was before
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1. So we are (Stéphane Belmondo)
2. You & I (Stevie Wonder)
3. Habiba (intro) (Kirk Lightsey)
4. Habiba (Kirk Lightsey)
5. Free for three (Stéphane Belmondo)
6. Light upon Rita (Stéphane Belmondo)
7. Everything happens to me (Matt Denis)
8. Godspeed (Stéphane Belmondo)
9. United (Wayne Shorter)
10. Haunting by now* (Stéphane Belmondo)
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EN CONCERT
16 JUIN 2011
PARIS - CAFÉ DE LA DANSE
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Stéphane Belmondo Trumpet, Flugelhorn, Shells,
Malagasy flutes on 8, Bass Trumpet on 10
Kirk Lightsey Piano, C Flute on 3
Sylvain Romano Accoustic Bass
Billy Hart Drums
*Laurent Fickelson Piano and Fender Rhodes on 10
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Recorded in october 24th to 25th 2010 @ Studios La
Buissonne by Gérard de Haro & Nicolas Baillard
Mixed in november 23rd & 24th 2010 @ Studios La
Buissonne by Nicolas Baillard & Stéphane Belmondo
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Chapitre : Stéphane BELMONDO - Mot de passe : garfield
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LES CONCERTS
28.05 COUTANCES
Jazz sous les Pommiers
(Billy Hart remplacé par Al Foster)
16.06 PARIS
Café de la Danse
17.06 GOTEBORG
Nefertiti (TBC)
18.06 VIENNE
Porgy and Bess (TBC)
27.06 MONTREAL
Festival de Jazz de Montréal
12, 13 ou 15.07
PORQUEROLLES
Jazz à Porquerolles (TBC)
16.07 SETE
Jazz à Sète (TBC)
2.08 AVIGNON
Tremplin Jazz d'Avignon
7.08 BRUXELLES
Skoda Jazz Festival (TBC)
15.10 HAUTERIVES
Jazz sur son 31
Théâtre Alégora