Robyn Orlin Gregory Maqoma

Transcription

Robyn Orlin Gregory Maqoma
Robyn Orlin
City Theater & Dance Group
We must eat
our suckers
with the wrappers
on...
© John Hogg
du mardi 27 septembre
au mercredi 5 octobre
Gregory Maqoma
Vuyani Dance Theater
© Agathe Poupeney
Beautiful
du mardi 4
au vendredi 7 octobre
DOSSIER
DE PRESSE
❚❙ Bureau de presse
Opus 64
❚❙ Communication
Centre national de la danse
Valérie Samuel
Arnaud Pain
71, rue Saint Honoré
75001 Paris
T 01 40 26 77 94
F 01 40 26 44 98
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Karine Atencia
Anne-Sophie Voisin
1, rue Victor Hugo
93507 Pantin cedex
T 01 41 83 98 11 / 12
F 01 41 83 27 24
[email protected] / [email protected]
Sommaire
CALENDRIER..........................................................................................P.3
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers with the wrappers on...............P.4
RÉSIDENCE LONGUE DE ROBYN ORLIN AU CND................................P.6
GREGORY MAQOMA / Beautiful................………………………………...P.7
RENSEIGNEMENTS PRATIQUES....................................…………........P.9
À SUIVRE AU CND...............................……………………......................P.10
L’ABONNEMENT AU CND......................................…………...................P.11
RÉSERVATIONS
01 41 83 98 98
2
« Il appartient à toute culture de découvrir l’autre
en elle ».*
Création : Studio sur sud
Largement inspirée de la question des identités - qu’elles soient culturelles, artistiques, religieuses
ou politiques - la saison 2005>2006 du Centre national de la danse se parcourt comme un voyage
autour du monde : Chine,Thaïlande, Inde, Japon, Moyen-Orient, Europe, Brésil, États-Unis, Afrique
du Sud…, multiples miroirs où se réfléchit la culture de l’autre.
Elle se lit comme une saga, celle des histoires croisées que nous content onze chorégraphes en
résidence, Robyn Orlin qui débute une résidence longue au CND, Rachid Ouramdane, Gregory
Maqoma, Karim Sebbar…, et près de trente chorégraphes invités, dont les uns nous livrent une
réflexion empreinte d’humour sur leur métier et leurs pratiques, Claudia Triozzi, Dominique Boivin,
Jochen Roller, Frédéric Werlé,Thierry Baë…, tandis que le propos des autres est traversé par les
convulsions de notre monde, Lia Rodrigues, Robyn Orlin, Haïm Adri,Yasmeen Godder…
Michel Sala, Directeur général
*Alaa Khaled, rédacteur de la revue Territoire Mediterranée
DU 27 SEPTEMBRE AU 7 OCTOBRE 2005
RÉSERVATIONS
01 41 83 98 98
SEPTEMBRE
mar. 27 ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
20h30
Grand studio
mer. 28
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
20h30
Grand studio
jeu. 29
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
20h30
Grand studio
ven. 30
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
20h30
Grand studio
OCTOBRE
sam. 1er ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
17h30 & 20h30 Grand studio
lun. 3
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
14h30 & 20h30 Grand studio
mar. 4
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
GREGORY MAQOMA / Beautiful
19h
20h30
mer. 5
ROBYN ORLIN / We must eat our suckers…
GREGORY MAQOMA / Beautiful
14h30 & 20h30 Grand studio
19h
Studio 3
jeu. 6
GREGORY MAQOMA / Beautiful
20h30
Studio 3
ven. 7
GREGORY MAQOMA / Beautiful
20h30
Studio 3
Grand studio
Studio 3
3
Robyn Orlin / City Theater and Dance Group
We must eat our suckers with the wrappers on…
spectacle
Mardi 27 au vendredi 30 septembre à 20h30,
samedi 1er octobre à 17h30 et 20h30,
avec le soutien du
lundi 3 à 14h30 et 20h30, mardi 4 à 19h
et mercredi 5 à 14h30 et 20h30
grand studio
Nous devons manger nos sucettes avec l’emballage…
À travers cette métaphore, Robyn Orlin évoque avec une extraordinaire
vitalité la transmission du sida, fléau qui décime l'Afrique. La pièce, servie
par une jeune troupe de quinze interprètes, nous transporte au cœur du
township sud-africain où la souffrance et la grâce, la tendresse et la violence
font la vie de tous les jours, où la beauté des pas traditionnels zulus et
celle des chants a cappella disent la douleur et l’espoir.
© John Hogg
Chorégraphie, décor, costumes
Robyn ORLIN
Interprètes
Foxy RIET
Makhosi DLAMINI
Prince MNGOMEZULU
Sam Jack MABONA
Tshepo GABORONE
Phindile NTULI
Nthabiseng BALOYI
Anna LOUW
Bongani NGENELWA
Ntombi MAQALIKA
Takalani PHOPHI
Walter MALEKANE
Sibusiso NDUMNDUM
Rodney BUYEYE
Richard MANAMELA
Directeur de tournée
Michael MAXWELL
Régisseur
Thabo PULE
Assistant du régisseur
Mthokozisi MCHUNU
Assistante du Directeur de tournée
Phillippa Jane DE VILLIERS
Administration, diffusion
Damien VALETTE
http://www.jgdv.net
Coproduction
Théâtre de la Ville - Paris,
City Theater & Dance Group,
Market Theater Laboratory,
Johannesburg – Afrique du Sud.
Avec le soutien du National Art
Council of South Africa,
du FNB Vita Dance Umbrella et
des Rencontres chorégraphiques
internationales de Seine-SaintDenis – France
Tournée en Île-de-France
le 11 octobre 2005 à Aulnaysous-Bois - Espace Jacques
Prévert – France, le 14 octobre
2005 à Brétigny-sur-Orge Espace Jules Verne – France,
le 15 octobre 2005 à Tremblayen-France - Centre culturel
Aragon – France
« Ce spectacle de Robyn Orlin est un tour de force. Il réussit à réconcilier dans un même
geste dramatique, un genre que l’on croyait perdu pour la scène, le “théâtre d’intervention”,
surgi dans les années 1960 pour dire les déréglements sociaux et politiques de l’époque,
le “théâtre d’images”, apparu un peu plus tard pour décrire le monde avec les armes des
plasticiens, et la “danse-théâtre”.
[…] Comment figurer le virus du sida, au-delà de la douleur qu’il inscrit dans les visages
et dans les corps ? Par des accessoires très simples, comme toujours avec Robyn Orlin.
[…] En chemin, la chorégraphe aura abandonné l’essentiel de sa patte jusqu’ici, l’humour,
à l’exception de quelques moments souriants, pour lui préférer le sérieux, et une poésie
qu’on pouvait soupçonner mais qu’on ne lui connaissait pas. À la faveur d’une scène finale
extraordinaire, l’émotion sera à son comble et la réponse du public à la mesure de cet
instant : inoubliable. »
Olivier Schmitt, Le Monde, 22 février 2002.
Représentations au Théâtre de la Ville, 19 au 23 février 2002.
Robyn Orlin
Diplômée de l’École d’Art de Chicago, Robyn Orlin a reçu de nombreux prix pour son
travail, notamment le FNB Vita Award pour la meilleure chorégraphie au festival Dance
Umbrella de Johannesbourg en 1985, 1988, 1990, 1997 et 1999 ou le prix du meilleur
artiste en 1997. Robyn Orlin a tenté de redéfinir la chorégraphie et l’art de la scène dans
son pays, l’Afrique du Sud. Partant du principe que « la danse est politique », elle prend
en considération dans ses créations la situation sociale et culturelle de l’Afrique du Sud :
ses influences, son histoire, ses clivages et ses ruptures.
La chorégraphe crée ainsi « une danse iconoclaste qui met les pieds dans le plat », une
danse-chronique de la société sud-africaine d’aujourd’hui maniant avec talent l’ironie et la
dérision, une danse brassant sans vergogne références et identités, alliant cultures
traditionnelles populaires et radicalité des avant-gardes, une danse enfin capable de briser
les frontières artistes-publics en remettant le spectateur au cœur de la création (parfois à
ses risques et périls !).
Elle révèle ainsi la réalité poignante et complexe de l’Afrique du Sud et y intègre diverses
expressions artistiques (textes vidéo, arts plastiques…), afin d’explorer une nouvelle
théâtralité qui se reflète et s’étend dans son vocabulaire chorégraphique. Parallèlement à
ses créations, Robyn Orlin développe un travail de collaboration artistique notamment avec
le plasticien William Kentridge dans le cadre de la création Ubu and the Thruth Commission.
Une artiste qui, par les questionnements incessants qu’elle développe, est en prise avec
la dimension politique de son art.
4
Quelques créations...
If you can’t change the world, change your curtains (1990),
The Polka dot lives on! pour le Soweto Dance Theatre (1995),
Orpheus… I mean Euridice… I mean the natural history of a chorus girl (1998),
Daddy, I’ve seen this piece six times before and I still don’t know why they’re hurting each
other… (1999),
F… (Untitled) (on trying to understand a classic) (2000),
We must eat our suckers with the wrapper on (2001),
Ski-Fi-Jenni… and the frock of the new (2002),
Although I live inside... My hair will always reach towards the sun... (2004),
When I take off my skin and touch the sky with my nose, only then can I see little voices
amuse themselves... (2005)
Robyn Orlin au CND par le passé...
> Dans les studios du CND
Daddy, I’ve seen this piece six times before and I still don’t know why they’re hurting each
other, avril 2000
Robyn Orlin rencontre, 7 avril 2003
The future may be bright, but it’s not necessarily orange, 24 au 27 septembre 2003
> Hors les murs
F…. (untitled) (on trying to understand a classic) Coréalisation CND, 3 au 11 novembre 2001
au Théâtre de la Cité Internationale avec le Festival d’automne à Paris
We must eat our suckers...
Une pièce bouleversante évoquant
le sida avec pudeur et poésie.
Quinze interprètes nous transportent,
entre pas traditionnels zulus
et chants a capella,
au cœur du township sud-africain.
© John Hogg
5
Résidence longue de Robyn Orlin au CND
La reprise de la pièce We must eat our suckers with the wrappers on... (2001), jouée à
travers le monde dans les plus grands théâtres mais aussi hors des scènes (gymnases,
écoles, prisons...), adaptée ici à l’intimité du studio, marquera le début de la résidence
longue de Robyn Orlin au CND, permettant des rencontres avec les publics de proximité.
Robyn Orlin entreprendra d’aller à la rencontre des habitants de Pantin et des environs,
créant des interférences, des va-et-vient entre l’extérieur et l’intérieur, et imaginant des
situations ludiques comme elle sait le faire, où se croiseront des groupes d’âges et d’horizons
très divers et les activités du CND. Ce travail sera le point de départ d’une future création.
Dix autres compagnies seront également accueillies pour des périodes plus courtes, afin de
préparer des créations dont certaines verront le jour dans nos murs, les autres sur les scènes
des théâtres partenaires ou d’autres coproducteurs : Claudia Triozzi, Gregory Maqoma,
Christina Ciupke, Marc Bamuthi Joseph, Rachid Ouramdane, Anna Godowska,
Karim Sebbar, Yasmeen Godder, Katarzyna Kozyra et Marie-Claude Pietragalla.
Dates de la résidence de Robyn Orlin - septembre 2005 > juin 2007
> novembre - décembre 2005
> mars - avril 2006
> mai - juin 2006
> automne 2006
> mars - avril 2007
> juin - juillet 2007 : création en résidence au CND
6
Gregory Maqoma / Vuyani Dance Theater
Beautiful création en résidence
Mardi 4 octobre à 20h30,
mercredi 5 à 19h,
jeudi 6 et vendredi 7 à 20h30
studio 3
Les milliers de kilomètres qui les séparent (Gregory Maqoma
vit et travaille à Johannesbourg alors que Shanell Winlock,
engagée depuis trois ans dans la compagnie d'Akram Khan, vit
désormais à Londres), des plannings de tournées chargés et un
mariage à préparer (celui de Shanell avec Akram) n'ont pas
empêché les deux danseurs de se retrouver pour travailler sur
un nouveau duo, en France au CND puis à Johannesbourg.
C'est du reste au CND, en février 2002, qu'ils avaient dansé pour
la dernière fois ensemble leur précédent duo Southern Comfort.
© Agathe Poupeney
Chorégraphie
Gregory MAQOMA
Interprètes
Gregory MAQOMA
Shanell WINLOCK
Musique
George MOTAUNG
Coproduction
Centre national de la danse Pantin.
Avec le soutien de l’AFAAMinistère des affaires étrangères
Depuis leur première rencontre au sein de la Compagnie
Moving Into Dance dans les années 90, les liens qu'ils ont tissé
restent tels que chacun d'eux est prêt à tous les efforts pour
continuer à travailler ensemble. Maqoma avoue également la difficulté à trouver une
interprète qui comprenne son processus de travail comme Shanell peut le faire. "Être en
scène avec elle est toujours un pari, tant elle sait jouer de la surprise et de changements
imprévisibles", sourit Gregory, "il y a un accord tacite entre nous".
Conséquence inattendue de cette belle alchimie chorégraphique : Shanell se faisait remarquer
d'Akram Khan en octobre 2001 à Londres, lors d'une représentation de Southern Comfort...
avec la suite qu'on connait.
Que Shanell Winlock soit devenue une muse pour Maqoma puis pour Khan n'est pas
surprenant, lorsqu'on la voit, à la fois si spontanée et si concentrée, maniant une incroyable
dextérité rythmique, dégageant une présence intense, presque électrique... Sa propre
créativité restant au service du répertoire respectif des deux chorégraphes.
Pour ce nouveau travail, Gregory Maqoma a décidé de s'éloigner de l’usage du texte qu'il
avait utilisé pour Rhythm 1.2.3 en 1999 ou pour Rhythm Blues en 2000 pour ne s'appuyer
que sur le mouvement, offrant à l’inspiration conjointe des deux danseurs une nouvelle
perspective, un nouveau point de départ. Si le duel entre modernité et tradition reste tracé
dans leurs corps, ils souhaitent s’attacher à la plénitude d’une maturité nouvellement
gagnée, à l’énergie que l’homme reçoit de la nature, et à l’harmonie entre le mouvement et
la musique, créée par George Motaung . « Avec Beautiful, nous aimerions créer une pièce
que les gens quitteront en disant : "c’était beau à voir" ».
Beautiful, dont la première a lieu à Johannesbourg le 23 juin 2005 aura plusieurs
prolongements : une pièce de groupe pour sa compagnie Vuyani Dance Theatre qui verra le
jour en septembre 2005 pendant le Festival Arts Alive. Une troisième partie est constituée
d’un projet de solo peu ordinaire : Maqoma a demandé à trois de ces pairs distingués,
Vincent Mantsoe, Akram Khan et Faustin Linyekula (qui sont aussi des amis proches) de
lui créer une phrase de deux minutes. Les prémices de ce travail seront expérimentés avec
Mantsoe et Linyekula en résidence au Festival de Bates aux États-Unis cet été (alors
qu’Akram et Shanell célébreront leur mariage en Afrique du Sud), à la suite de quoi il se
développera sur une année. Défier le temps et la distance entre les continents pour faire un
art ensemble. « How beautiful is that ? »
Adrienne Sichell, critique au journal "The Star", Johannesbourg, mai 2005.
7
« Mon premier souvenir de Gregory est celui d’un jeune danseur plein d’énergie trônant au
milieu d’une scène, une botte en caoutchouc à la main, scrutant d’un regard interrogateur
le public, entre curiosité et rage… c’était l’une de ses premières pièces, présentée à
Johannesbourg…
Gregory Maqoma est désormais considéré comme l’un des plus talentueux artistes de la
nouvelle génération en Afrique du Sud. Il est le directeur artistique de Moving into Dance,
dont Vincent Mantsoe a également été directeur artistique avant lui, compagnie créée par
Sylvia Glasser, artiste qui a beaucoup fait pour l’échange et le dialogue entre des danseurs de
différentes cultures. Il travaille parallèlement pour sa propre compagnie, créant des pièces
courageuses et engagées. Il y parle, au risque de choquer, de la place de l’identité,
de la sexualité et de la beauté dans l’Afrique du Sud d’aujourd’hui. »
Robyn Orlin
Gregory Maqoma
Né à Johannesbourg, Gregory Vuyani Maqoma découvre la
danse au sein d’une association de jeunes. Il commence sa
formation en 1990 avec Moving Into Dance, une compagnie et
école de danse basée à Johannesbourg, dont il devient danseur.
En 1994, sa première création pour la compagnie remporte le
prix du FNB Vita Pick of the Fringe ; un an plus tard, il est
lauréat, cette fois dans la catégorie Stepping Stones.
En 1998, il reçoit une bourse pour créer Layers of Time,
son dernier travail au sein de Moving Into Dance. En 1999,
une autre bourse lui est offerte pour aller étudier à P.A.R.T.S.
pendant un an et c’est à Bruxelles qu’il forme le Vuyani Dance
Theatre Project pour lequel il crée Rhythm 1.2.3., présenté au
© Agathe Poupeney
Festival d’Amsterdam.
La pièce lui vaut d’être élu Chorégraphe de l’année 2000 par le Festival Dance Umbrella
à Johannesbourg. La même année, il chorégraphie Rhythm Blues, collabore avec
Faustin Linyekula pour le projet Tales of the Mud Wall présenté au Festival de Vienne
et participe au projet New directions pour le Standard Bank National Arts Festival.
Parmi les dernières pièces de la compagnie : Moving Cities (2001), Revolution (2001)
et Southern Comfort (2001). Grégory Maqoma vit et travaille à Johannesbourg.
Résidence de création pour Beautiful...
4 - 23 mai 2005
27 septembre - 7 octobre 2005
Gregory Maqoma au CND par le passé...
Southern comfort, 14 février 2002
Miss Thandi coproduction, 22 au 25 janvier 2003
8
RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Centre national de la danse
1, rue Victor Hugo
93507 Pantin cedex
ROBYN ORLIN
14 e, TR 11 e
Abonné
10 e, TR 8 e
GREGORY MAQOMA
12 e, TR 10 e
Abonné
8 e, TR 6 e
Renseignements et réservations
T 01 41 83 98 98
Accueil du lundi au vendredi, de 10h à 19h
[email protected]
www.cnd.fr
Tarifs
Tarif réduit : - de 26 ans, demandeurs d’emploi sur présentation d’un justificatif, groupes et
collectivités à partir de 5 personnes.
Les billets ne sont ni repris ni échangés.
Les spectacles commencent à l’heure : en cas de retard, l’entrée dans la salle n’est plus
garantie et les billets ne sont pas remboursés.
Accès
En transports en commun
> Métro ligne 5, arrêt Hoche
20 minutes depuis la République. Prendre sortie n° 1 rue Hoche (à gauche).
Suivre la rue Hoche en direction de la mairie. Le CND est au bout de la rue.
> RER E, station Pantin (Direction Villiers-sur-Marne, Zone 2)
10 minutes depuis Haussmann/Saint-Lazare, 5 minutes depuis la Gare du Nord/Magenta.
En sortant, à droite de la gare, prendre l’avenue Édouard Vaillant sur votre gauche en direction
de la mairie.
Le CND est devant vous, de l’autre côté du canal de l’Ourcq.
Centre national
de la danse
Présidente
Anne Chiffert
Directeur général
Michel Sala
> Bus 170, arrêt Centre national de la danse
15 minutes depuis la Porte des Lilas. À l’arrêt, vous êtes devant le CND.
En voiture depuis la Porte de Pantin
5 minutes environ (D115). Prendre la D115, direction Drancy, Centre national de la danse.
Le CND est le long du canal de l’Ourcq.
À pied ou à vélo (piste cyclable)
10 minutes du Parc de la Villette. Par les berges du canal de l’Ourcq.
Iconographies disponibles
www.cnd.fr/presse
RÉSERVATIONS
01 41 83 98 98
9
À SUIVRE AU CND…
Lia Rodrigues / Création 2005
Coproduction
Du jeudi 3 au samedi 12 novembre 2005 à 20h30
© Luli Barzman
(rel. dim. 6 et ven. 11)
«Cette pièce est née des questions que nous nous sommes posées : Que ressent-on devant la douleur
des autres ? Quels rapports compose-t-on avec l’autre ? Comment interroge-t-on ces choses et que
nous répondent-elles ? Qu’est-ce qui compte vraiment de nos jours ? Qu’est-ce qui nous fait réagir ?
Qu’y a t’il de plus terrible : 200 000 morts dans un tremblement de terre ? 50 000 morts dans un
attentat terroriste ? 2 personnes enlevées et égorgées devant les télévisions ? 5 morts non déclarés,
à cause d’un conflit dans un tout petit pays ? 1 condamné à mort dans une prison ? La mort de son
père, sa mère, sa fille ? Comment le mesurer, derrière tant de nombres et de statistiques qui
déferlent chaque soir? Toujours des nombres. Encore des statistiques. Est-ce encore possible de se
rapprocher de l’autre si différent de soi-même ? Quelqu’un qui est fait de la même matière que soi ?
Comment casser les barrières et recréer un territoire commun ? Travailler en groupe, créer des
communautés, danser, serait peut-être une forme de résistance ?»
Patrick Corillon / Les Oblomons
Du jeudi 3 novembre 2005 au vendredi 3 février 2006
Les Oblomons sont des machines qui nous amènent à tourner en rond pour découvrir des images
et des textes que seul notre déplacement met en mouvement.
Huit Oblomons, accessibles aux petits comme aux grands, sont disposés au rez-de-chaussée du
Centre national de la danse. Grâce au jeu de deux cylindres s’entrecroisant par un mécanisme
d’engrenage, les aventures fictives d’un amateur éclairé entrent en relation, archives de la
médiathèque à l’appui, avec de véritables épisodes de l’histoire de la danse. Seul le mouvement
des spectateurs peut donner vie à ces histoires.
© Patrick Corillon
Les dessous du métier
Le plateau dévoile toujours quelque chose des conditions dans lesquelles le spectacle s’est fabriqué.
Du long cheminement depuis l’idée initiale qui a germé dans la tête du chorégraphe jusqu’au lever
de rideau le soir de la première, s’additionnent et se soustraient énergies et passages à vide, espoirs
déçus et petites victoires, plaisirs intenses et souffrances aiguës.
Depuis son fauteuil de théâtre, malgré des signes plus ou moins perceptibles, que sait-on exactement
des secrets de fabrication, des dessous du métier ? Il ressort aujourd’hui que de nombreux
chorégraphes en ont fait le sujet de leur spectacle.
Avec une bonne dose d’ironie et de poésie, parfois de dérision, sans aucune complaisance, ils nous
rappellent, poignants de vérité, que par tous les moyens il faut soutenir la danse, protéger les
danseurs et consolider les métiers !
Dominique Boivin © Agathe Poupeney
Colloque international :
Identités culturelles / Identités artistiques
de Bombay à Tokyo
Du jeudi 12 au dimanche 15 janvier 2006
Lin Feng-Shue © Lee Ming-Shen
Le terme «Identités» suppose le même et le différent, regroupe des idées et des individus, et isole des
catégories et des origines : il constitue des personnes. Comment déterminer une permanence à travers
et malgré le changement, dans un ensemble complexe de techniques, de connaissances, de croyances
et de coutumes ?
Les différents territoires de cette partie de l'Asie sont composés de sociétés fondées sur des
cultures, des religions, des lois et des langages pluriels et sur des structures aux configurations
politico-religieuses hétérogènes. Bien que liées à l’Occident, ces sociétés ont parfois hérité
d’archaïsmes provenant en partie des régimes totalitaires ou autoritaires, issus notamment des
décolonisations. Il est communément admis que les cultures qui en émanent sont profondément
ancrées et réfractaires au changement. Pourtant, de nombreuses réappropriations, codifications,
transformations se sont produites dans les danses dites traditionnelles et dans les danses modernes.
Elles sont apparues en réponse et/ou en opposition aux bouleversements introduits par la
colonisation et la pénétration d’une rationalité qui se voulait universelle. Comment le travail des
danseurs a-t-il contribué à (re)construire une identité nationale? Quelle influence l’orientalisme
a-t-il eu en Orient sur l’esthétique de certaines danses ?
Des historiens, des théoriciens et des artistes asiatiques tenteront de répondre à ces
questions pour faire entendre une autre voix.
Retrouvez tous les détails de la programmation dans la brochure de saison 05>06
du CND, sur simple demande au T 01 41 83 98 98.
10
L’ABONNEMENT AU CND
Les avantages de l’abonnement…
> bénéficiez de tarifs préférentiels sur tous nos spectacles, pour vous et aussi pour
la personne qui vous accompagne (tarif place supplémentaire).
> bénéficiez du "+ abonné" : accéder à de nouvelles propositions tout au long de la saison
pour des rendez-vous uniques et conviviaux (spectacles, visites d’expositions, signatures
de livres…).
> réservez en un seul endroit pour des propositions variées dans les différentes salles et
théâtres d’Île-de-France.
> devenez un interlocuteur privilégié grâce à un accès prioritaire, simplifié et rapide à
l’information, envoi à domicile de Kinem, le journal du Centre national de la danse.
> bénéficiez de la carte CND : des tarifs abonnés à partir du 15 septembre en achetant
une carte CND au tarifs de 10 e (3 e pour les moins de 15 ans).
> pour 10 abonnements, le 11e vous est offert.
RÉSERVATIONS
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Pour obtenir de plus amples informations sur la carte CND : T 01 41 83 98 98
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