PLe parcours d`interprétation Le Corbusier sur le site de Firminy

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PLe parcours d`interprétation Le Corbusier sur le site de Firminy
Juillet2007
PLe parcours d’interprétation Le Corbusier sur le site de Firminy
Saint-Etienne Métropole avec la ville de Firminy et ses partenaires institutionnels ont engagé un vaste programme de
réhabilitation du patrimoine Le Corbusier.
La finalité : faire vivre et animer un patrimoine mondialement reconnu dans le cadre d’un programme de développement culturel et économique.
L’église, associée aux édifices le Corbusier de Firminy, à la
piscine Wogenscky, devient ainsi l’accélérateur de la dynamique culturelle et touristique du territoire. La fin du chantier de l’église en novembre 2006 s’accompagne comme
prévu d’une mise en visite de l’ensemble du site avec pour
corollaire la mise en place de services liés à l’accueil et à
la visite des publics.
• Dans la partie basse de l’église seront présentés des éléments permettant la compréhension du travail de Le Corbusier sur les édifices religieux et le sacré. Certains de ses
travaux artisitiques y seront exposés, ainsi qu’un certain
nombre d’exemplaires originaux de mobilier.
La nef de l’église, est, elle, le temps fort « architectural »
de la visite.
Des œuvres (mobilier, tableaux, sculptures) ponctuent la
visite. Elles proviennent de la collection du Musée d’Art
Moderne de Saint-Etienne, ou ont été empruntées.
On retrouve ainsi, outre Le Corbusier : Willi Baumeister,
Marcelle Cahn, Amédée Onzenfant, Jacques Lipchitz, Marcel Breuer, Pierre Jeanneret, Charlotte Perriand, Ludwig
Mies Van Der Rohe, Mart Stam, Flora Steiger-Crawford.
L’ouverture au public du site est associée à un dispositif de
présentation pérenne de l’œuvre de Le Corbusier :
• On trouvera au sein de l’unité d’habitation ses projets et
réalisations sur l’habitat.
Le parcours d’interprétation présente les grands axes de
travail de Le Corbusier, qu’il s’agisse de la question urbaine, de l’architecture ou du design, des arts plastiques
ou de l’écriture.
Le contenu du centre d’interprétation est établi par le
conservateur en chef du Musée d’Art Moderne de SaintEtienne et le conservateur du patrimoine de la ville de Firminy, en étroite collaboration avec la Fondation Le Corbusier, les milieux scientifiques et universitaires et le ministère
de la culture et de la communication.
Unique en France, et véritable “fil rouge” de la visite, ce
parcours s’appuie sur l’ensemble des édifices Le Corbusier implantés à Firminy.
• Ainsi, le point d’accueil est installé à la maison de la
culture, où l’on peut bénéficier d’une vue sur l’ensemble
du site. Lieu d’échange et de débat, ce bâtiment accueille
la présentation des travaux de le Corbusier sur l’urbain.
Le site touristique est géré par l’Office du Tourisme communautaire de Saint-Etienne Métropole, qui vient d’être
mis en place.
A ce jour, la maison de la culture et l’église sont les pièces
maîtresses du parcours d’interprétation. L’unité d’habitation complètera prochainement le dispositif.
La maison de la culture
L’œuvre de Le Corbusier est de multiples registres qui se
nourrissent et s’abondent chacun dans une vie de « recherche patiente » : peintre et sculpteur, urbaniste et architecte, essayiste et poète.
C’est à cette œuvre et aux réalisations de « Firminy-Vert »
que l’exposition à la maison de la culture convie.
Porté en 1953 par la volonté d’un maire, Eugène Claudius
Petit (1907 – 1989) de moderniser la ville en appliquant les
théories de la « Chartre d’Athènes » de 1933 des « Congrès
Internationaux pour Une Architecture Moderne » (C.I.A.M),
« Firminy-Vert » est le nom du programme pilote d’extension de la ville ou Le Corbusier sera appelé à pouvoir mettre en œuvre ses théories urbaines jusqu’alors restées, en
France, lettres mortes.
Commanditaire, Claudius-Petit fut un ami protecteur, humaniste convaincu du génie social de Le Corbusier et des
théories du mouvement moderne, qu’il n’aura de cesse
d’appliquer à la ville et à Firminy-Vert pendant ses mandats
de maire de 1953 jusqu’en 1971, puis jusqu’à sa mort, par
la réalisation de l’église Saint Pierre pour Firminy-Vert.
Ouvrier ébéniste, catholique, syndicaliste, professeur d’art
appliqué, résistant proche du Général de Gaulle, député,
ministre de l’urbanisme et de la reconstruction dans l’après
seconde guerre mondiale, Claudius-Petit peut confier à Le
Corbusier, placé au centre d’une première équipe composé
d’architectes du mouvement moderne - Charles Delfante,
Jean Kling, Auguste Mathoulin, Marcel Roux et André Sive,
- de magnifier un exemple abouti de la ville pour le XXème
siècle.
Aujourd’hui, les éléments de cette réalisation sont tous
protégés parmi les Monuments Historiques.
Les éléments souvent inédits et originaux de cette exposition ont pour source les fonds conservés et les prêt
consentis par :
Le Ministère de l’Equipement et du Logement, Paris, France,
La Fondation Le Corbusier,
L’Association Les Amis de Le Corbusier,
L’association Le Corbusier pour l’église Saint Pierre de Firminy-Vert,
Les archives publiques de la Ville de Firminy,
Les archives publiques de l’Office Public d’Habitation à
Loyers Modérés de Firminy,
Le Fond Ito Josué, photographe, conservé au Musée d’Art
Moderne de Saint Etienne Métropole, et,
M. Charles Delfante, Architecte Urbaniste,
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M. Michel Dieudonné, photographe,
Les familles Bertoletti-Kalabalian, et
Pour des photographies d’Eugène Claudius Petit, par la
famille Claudius Petit.
Ce recueil de fonds doit aussi au travail commandé par la
Direction Régionale des Affaires Culturelles de Rhône Alpes (M. Yves Belmont, Conseiller pour l’Architecture, Mme
Nathalie Ponchel et M. Luc Aguillera, Architectes à Pessac,
Gironde).
L’église
La réalisation de l’église Saint Pierre s’insère dans le premier plan d’urbanisme élaboré par Le Corbusier en 1954, à
proximité de la Maison de la Culture, du stade et de la piscine. Ce projet est la matérialisation de l’un des éléments
forts de la pensée Corbuséenne: l’articulation de trois activités humaines fondamentales: la culture et les loisirs, le
sport et la spiritualité.
La commande de l’église est passée en 1960 à Le Corbusier par le maire de Firminy, Eugène Claudius- Petit et Jean
François Baud, président du comité paroissial de Saint
Pierre de Firminy.
Les principes fondateurs de ce projet s’inscrivent dans la
continuité de l’église du Tremblay étudiée brièvement en
1929. Le principe du socle carré coiffé d’une coque, celui
de la rampe extérieure qui forment l’identité du projet de
Firminy, sont déjà présents dans l’œuvre de Le Corbusier
d’avant guerre. La coque prolonge, quant à elle, certaines
des propositions formelles expérimentées à Chandigarh.
Le Corbusier, assisté de José Oubrerie et de Louis Miquel,
a réalisé la totalité des études pour l’église Saint Pierre.
Le 28 janvier 1965, quelques mois avant sa mort, il écrit à
l’abbé Tardy:
« J’ai lutté avec les matériaux, les formes, l’entreprise. J’ai
rempli toutes les conditions du contrat. J’ai fait mon travail.
Je me sens plus lié que jamais par cette œuvre qui est
notre … Et je ne peux envisager autre chose à présent que
l’ouverture du chantier, pour la plus grande joie spirituelle
de tous».
Mais les travaux ne débuteront qu’en 1970, soit cinq ans
après son décès, pour être interrompus une première fois
en 1974 après la construction des trois premiers niveaux.
Les travaux reprennent en 1976 : les 4ème et 5ème niveau
sont construits puis arrêtés, au départ de la coque, en
1978.
Pendant la longue parenthèse qui fait suite à cette seconde
interruption les «parties construites de l’édifice» font l’objet d’un procédure de classement au titre des Monuments
Historiques ( en 1996 ).
Une mise à jour du dossier, effectuée en 2001, débouche
sur un nouveau permis de construire déposé en 2002 par
l’Association des amis de l’église de Firminy Vert, propriétaire de l’édifice.
En octobre 2002, l’association en fait don à la Communauté d’Agglomération, Saint Etienne Métropole, afin d’en permettre l’achèvement. Reconnu d’intérêt communautaire le
chantier de l’église est rouvert en novembre 2003 et les
travaux reprennent sous la direction de José Oubrerie.
Enfin terminée, l’Eglise Saint Pierre de Firminy Vert est
inaugurée le 25 novembre 2006.
Cette réalisation constitue avec la chapelle de Ronchamp
(1955) et le couvent de La Tourette le troisième projet finalisé de Le Corbusier dans le domaine de l’art sacré.
L’Esprit Nouveau, la rencontre du classicisme
et de la modernité
La première formation de Le Corbusier, étroitement liée à
la tradition artisanale horlogère, prend place au moment
où les structures économiques et sociales qui sous-tendent l’activité familiale cèdent sous l’effet des premières
concentrations industrielles.
La période de voyages qu’il entreprend en Europe Centrale et autour du bassin méditerranéen (1907 - 1911) lui
permet, à l’instar des personnages des romans de formation du XIXème siècle, de se confronter à quelques unes
des réalisations les plus ambitieuses de l’humanité : ainsi
l’impact de l’Acropole d’Athènes et du Parthénon s’exercera-t-il, sur son œuvre, de manière profonde et durable.
Mais ces voyages seront aussi un vecteur d’échanges décisifs avec certains des initiateurs du mouvement moderne
(Behrens, Gropius, Mies van der Rohe, Perret …)
Cette période lui permet d’engranger une culture visuelle
très étendue qui se partage entre l’admiration pour les témoignages d’un passé prestigieux et la revendication des
principes fondateurs de la modernité, conséquences des
bouleversements, sociaux et technologiques, induits par la
révolution industrielle.
Cette double formation lui fait prendre conscience du caractère caduc de la pratique artisanale et de la nécessité
d’un nouveau langage, d’une esthétique différente découlant des transformations générées par le machinisme et la
production en série.
Le Corbusier s’érige alors en militant de cette nouvelle
culture, de cet « esprit nouveau » dont son architecture,
comme le Purisme pictural qu’il met au point avec le peintre Amédée Ozenfant, seront l’une des expressions les
plus caractéristiques.
Pour un mouvement moderne international
L’œuvre de Le Corbusier participe d’un mouvement international qui, mettant à profit les méthodes constructives
permises par l’apparition de techniques nouvelles, va profondément bouleverser le langage et la finalité du projet
architectural.
Ces acquis technologiques laissent entrevoir de nouvelles
possibilités pour la construction et suscitent, chez les jeunes architectes, l’ambition d’une architecture capable de
participer à l’élaboration de nouveaux modèles sociaux.
« La science et l’art collaborent » : les nouveaux principes
constructifs fondés sur des impératifs de rationalité, de
fonctionnalité et d’économie s’accordent à une esthétique
de la pureté, à un idéal d’harmonie et de transparence assimilable à celui que l’on souhaiterait voir régner entre les
hommes.
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Ces idéaux, fondés sur la croyance en l’universalité du progrès, sont aussi ceux véhiculés par les mouvements artistiques les plus avancés: constructivisme, néo- plasticisme,
purisme …
Les idées de Le Corbusier sur la « machine à habiter », les
« maisons en série », « l’immeuble villa » … se rapportent
à un courant dont l’unité d’intention et de langage s’exprimera magnifiquement lors du projet d’exposition «Die
Wohnung» au Weissenhof près de Stuttgart en 1927.
C’est à cette occasion qu’il formule ses « cinq points d’une
architecture nouvelle » (pilotis, plan libre, toit terrasse, façade libre, fenêtres en bandeau) qui serviront longtemps
de base à son vocabulaire architectural.
Cette ambition qu’il met dans la réalisation de ce qui est
pour lui, avant tout, un projet social d’envergure planétaire
- un projet pour l’humanité - dont la communauté des architectes, dans son ensemble, doit être porteuse sera à
l’origine de l’organisation des CIAM (Congrès Internationaux d’Architecture Moderne); de ces réunions découlera
« la charte d’Athènes », plate-forme minimum pour une architecture et un urbanisme nouveaux.
Un mobilier pour la « Machine à habiter »
Dès les premiers numéros de L’Esprit Nouveau, Le Corbusier s’attache à mettre en évidence les qualités propres à
l’objet moderne: un objet avant tout défini par le recours
au machinisme et à une production en série qui seule peut
conduire « à la perfection et à la pureté ».
Les objets auxquels il adhère sont ceux issus de la standardisation, des objets avant tout fonctionnels, « fabriqués
dans l’industrie, existant dans le commerce, n’ayant aucun
caractère d’art fourni par un décor chargé d’intentions ».
Ainsi érigera-t-il en modèles les sièges en bois cintré fabriqués en Autriche, depuis le milieu du XIXème siècle, par
la firme Thonet. Ceux ci répondent en tous points aux exigences et à l’esprit de l’architecture moderne : fonctionnalité, légèreté, transparence, facilité d’entretien, faible coût
d’achat…
Ce sont ces notions qui guideront les architectes du mouvement moderne au cours d’échanges stimulés par la
confrontation du Weissenhof.
Plusieurs d’entre eux proposent, à partir de la fin des années vingt, des prototypes de mobiliers, conçus pour la
fabrication en série, à partir de l’utilisation du tube métallique courbé, matière qui, mieux que le bois, incarne l’idéal
machiniste.
Le Corbusier dépouille l’intérieur domestique de tout ce qui
n’est pas rigoureusement nécessaire: pour lui « la maison
n’est autre chose que des casiers d’une part, des chaises
et des tables d’autre part. Le reste est encombrement ».
Le monde des couleurs et des formes
Au contact d’Amédée Ozenfant, Le Corbusier entame une
carrière de peintre qu’il poursuivra, fruit d’un travail quotidien, jusqu’à sa mort. Persuadé que la couleur doit avoir
sa part dans l’architecture il insiste sur son pouvoir spatialisant, sa capacité à accompagner ou rendre plus prégnantes les qualités propres à l’espace architectural.
Il définit, très tôt, pour ses constructions, des gammes de
couleurs dont il étudie très précisément les qualités. La
couleur doit s’identifier, tout uniment, à la paroi refusant
tout effet de trompe-l’œil. Dans cet esprit il réalisera également, à deux reprises, pour la marque Salubra, un catalogue de papiers peints.
Mais, telle qu’associée à l’architecture, la couleur ne peut
se substituer à la peinture. Activité hautement spirituelle
la peinture (comme, plus tard, la sculpture) ont leur place
dans l’architecture mais doivent être, avant tout, préservées dans leur autonomie.
Refusant la fresque, la frise, génératrices d’ambiguïté, il
entend créer « un site architectural fait de matières, de lumière et de proportions dans lequel peuvent vivre à l’aise
des œuvres de haut potentiel émotif, des œuvres denses et
fortes d’où irradie la pensée ou l’émotion » (Le Corbusier).
Il convient, pour cela, de détacher du mur la peinture et la
sculpture et les laisser « seules agir avec le radium qu’elle
peuvent contenir ».
L’activité picturale, qu’il étend plus tard à la sculpture (avec
Savina) et à la tapisserie, est pour lui complémentaire de
son activité d’architecte et de théoricien. Les deux participent d’une attitude philosophique, qui fait de l’homme,
devenu créateur, l’acteur de sa vie, le centre d’une œuvre
d’art totale.
Accompagner la rénovation de l’Art Sacré
S’il se déclare lui-même agnostique, Le Corbusier a toujours défini la mission de l’architecte comme la réalisation
d’un « ordre qui est pure création de son esprit » et l’architecture comme « un fait d’art, un phénomène d’émotion,
en dehors des questions de construction, au-delà ».
Tourné vers la communauté des hommes, l’artiste serait
donc ce passeur qui, par l’intermédiaire de ses créations,
« nous donne la mesure d’un ordre qu’on sent en accord
avec celui du monde ».
Aussi Le Corbusier ne verra-t-il pas d’obstacle véritable à
accepter les propositions qui, à plusieurs reprises, lui seront faites par l’Eglise Catholique de concevoir des édifices
à vocation religieuse. Malgré l’échec des projets pour Le
Tremblay et la basilique de la Sainte Baume, trois édifices
verront le jour qui comptent au nombre des réalisations
majeures de l’architecte: la chapelle de Ronchamp (1955),
le Couvent de La Tourette (1959) et, terminée en 2006,
l’église Saint Pierre de Firminy Vert.
L’arrivée de Charlotte Perriand, en 1927, dans l’atelier de
Le Corbusier accélèrera la conception et la mise en œuvre
d’une gamme de mobiliers « standard »toujours produits
aujourd’hui.
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Bien que profondément singulières, se démarquant souvent des formes et des principes définis par la liturgie, ces
trois réalisations s’inscrivent dans le mouvement de rénovation de l’Art Sacré conduit depuis les années 30 par le
Père Couturier.
philosophiques ou religieuses, la collaboration de quelques
uns des maîtres de l’art vivant (Léger, Matisse…) seuls capables, à ses yeux, d’atteindre un haut niveau d’exigence,
à une forme de spiritualité où croyants et non croyants
puissent, ensemble, se reconnaître.
Persuadé que tout chef d’œuvre véritable confine au sacré,
ce dernier choisit de s’attacher, par delà leurs convictions
La scénographie du parcours d’interprétation, par l’Atelier Cahen & Grégori
Nadine Cahen, coloriste-plasticienne, née à Saint-Etienne
et Laurent Grégori, designer, né à Genève ont associé leur
spécificité avec une même envie : concevoir des produits
et des environnements dont les surfaces sont porteuses
de sens, d’émotions et d’informations.
Par la couleur, la texture, le motif, ils interrogent les sens,
incitent au toucher, égarent le regard, recherchent la profondeur de la surface.
Références : groupe Seb, groupe Michelin, Abet Laminati,
BHV, RATP… Exposition : Tokyo Designer’s Week, Triennale de Milan,
l’institut Français Valencia, Bangkok, Biennale Internationale Design Saint-Etienne…
« Nous avons choisi d’habiter l’espace, de faire vivre le
Corbusier dans son propre édifice, humainement présent
par de grandes photographies qui nous plongent au cœur
de la thématique de chaque salle, il nous commente l’exposition par un choix de citation écrite directement sur les
murs.
Les niveaux d’informations plus approfondies nous sont
donnés par des pupitres qui accompagnent les œuvres
originales ».
Les vitrines viennent s’emboîter et s’opposer aux gradins,
à la fois sobres et efficaces elles s’appuient sur les formes
architectoniques sans en troubler l’équilibre.
Le mobilier muséographique dessiné sans effet, simple par
sa forme mais raffiné par sa texture.
Un graphisme qui reprend le rythme des façades et du
mouvement du soleil.
La surface ainsi informative devient tactile.
Le langage formel joue en résonance avec le lieu, les
oeuvres, les couleurs et les volumes. Une rigueur poétique
Information pratiques, site Le Corbusier
Maison de la Culture : accueil billetterie
Route de Saint-Just-Malmont - 42 700 Firminy
Parking visiteurs : boulevard périphérique (proche de la Maison de la Culture)
Horaires d’ouverture :
Du 1er avril au 30 septembre : tous les jours de 10h à 19h
Du 1er janvier au 31 mars et du 1er octobre au 31 décembre :
tous les jours (sauf mardi) de 10h à 18h
Fermeture : 1er janvier, 1- mai et 25 décembre
Tarifs :
• Visite libre du site comprenant la maison de la culture, le
stade et l’église Saint-Pierre
• Visite guidée (3 h) comprenant : la maison de la culture, le
stade, l’église et l’unité d’habitation (l’appartement, l’école
et le toit terrasse) : 10 h 30 et 14 h 30 (sous réserve de 5
personnes minimum).
• Groupes sur réservation
• Possibilité de visite partielle du site sur demande
• Adulte
Visite libre :
5,00 euros
Visite guidée : 12,00 euros
• Tarif réduit
Visite libre :
Visite guidée
3,50 euros
7,50 euros
• Groupes adultes
Visite libre
Visite guidée
4,00 euros
9,00 euros
• Groupes tarif réduit Visite libre
Visite guidée
3,00 euros
6,00 euros
Contacts visiteurs
Office du Tourisme de Saint-Etienne Métropole – antenne
de Firminy
Tél. : 33 (0) 4 77 56 30 22
[email protected]
Musée d’art moderne - La Terrasse - BP 80241 - 42006 Saint-Étienne Cedex 1 - -Tél. : 04 77 79 52 52 - [email protected]
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