L e cascade u r

L e cascade u r
Il avait les cheveux bruns et les yeux verts.
Son menton é tait petit et large.
Sa peau é tait très tendue et on voyait son squelette.
Il é tait maigre mais costaud. Il é tait bronzé .
Il semblait grand et ne mesurait pas loin de deux mètres.
Il portait un pantalon blanc et bleu et arborait un V rouge sur sa
veste bleue. Ses chaussures é taient blanches.
Il avait des lèvres fines, une langue rose et petite, des dents qui
é taient toujours très blanches, un nez tout petit mais normal, un
visage bien rond et très pâle.
Pas de moustache, ni de barbe.
Il portait un collier avec des é meraudes et une alliance en or avec
un diamant blanc. Il avait de grosses cicatrices, violettes et de
larges brû lures sur l’é paule.
Il é tait vêtu d’un manteau bleu avec un V rouge sur la manche
gauche.
Il souffrait d’un dé faut : il é tait têtu et nerveux.
Il aimait beaucoup sa casquette bleue et ses gants noirs cuivré s.
Il n’é tait jamais sale.
Il avait bon caractère. Il é tait patient et très gentil.
Il voulait se mettre à la recherche d’une voiture qui pourrait
dé passer les 10 000 kilomètres et qui é tait actuellement la
proprié té d’un Alien fé roce, vivant dans un château. Cette
machine é tait rouge, elle pouvait parler et aussi rouler toute
seule. Il lui é tait impossible de brû ler, d’avoir un accident car elle
é tait blindé e. Il é tait sû r d’être champion grâce à cette fameuse
auto. Il espé rait ainsi devenir cé lèbre. Il allait obtenir la coupe de
l’an 2000 et celle de 2003.
Mais surtout il voulait gagner toutes les courses avec sa voiture
spé ciale. Cette voiture é tait très dure à trouver car elle é tait la
seule de cette sorte au monde et elle é tait magique. Sa magie
é tait capable de tout. Elle pouvait remonter le temps. Elle avait un
radar. Pour la conduire il emporterait un é quipement spé cial. Elle
pouvait servir de sous-marin, d’avion et de fusé e.
Elle é tait armé e de lance-missiles et de mitraillettes. Seulement
cette merveille avait un problème : elle pouvait se faire voler par
un bandit comme l’Alien.
Il partit le soir pour que personne
ne s’aperçoive de son dé part. Il
emporta un couteau, une carte,
des biscuits, des piles pour ses
lampes de poche, ainsi qu’une
trousse d’infirmier. Il alla d’abord
voir son père parce qu’il
connaissait toutes les villes où se
trouvaient des châteaux. Il faisait
noir.
Trois heures apré s il é tait parti. Juste avant de se ré veiller il
entendit des aboiements. Il sursauta vivement, il avait eu peur. Il
s’approcha mais les chiens sautèrent sur lui ; il se dé fendit avec
son couteau. Il ré ussit à les blesser. Il prit sa longue corde et en
fit des laisses pour les attacher à la gouttière de la maison du
coin.
Il continua bravement son chemin. Il arriva dans la forêt. Il é tait
bien content d’être presque arrivé chez lui. Son père lui raconta
bien plus de choses qu’il n’espé rait. Dès qu’il eut fini d’é couter les
conseils paternels le cascadeur alla voir sa mère puis partit. Il
traversa le dé sert, il n’avait même pas pensé à prendre de l’eau.
Il faisait très chaud mais comme il é tait chanceux il rencontra un
magicien qui lui dit :
-Si vous voulez de l’eau donnez-moi une lampe de poche.
Alors le cascadeur lui en donna une sans hé siter. Il reçut de l’eau.
Une fois qu’il eû t bu il repartit en pleine forme.
Au bout de quelques jours il entendit un enfant qui criait au
secours. Il accourut et vit un petit de six ans qui se faisait
racketter par un homme très costaud. Il prit la plus forte de ses
lampes de poche et nargua l’homme. Ce dernier le considé ra
mé chamment et s’approcha de lui. Le cascadeur leva rapidement
sa lampe et la mit juste en face de ses yeux. Le bandit fut
aveuglé par cette lumière puissante et se sauva. Il revint vers le
petit qui tremblait de peur et lui demanda s’il avait faim. L’enfant
lui ré pondit:
-Oui.
Il lui donna des biscuits. Lui-même en mangea car ça faisait une
semaine qu’il n’avait rien avalé . Il prit sa carte et repartit dans le
dé sert.
Soudain il entendit un chien qui lui disait:
-Je suis le magicien qui a donné de l’eau. Mon ennemi m’a
transformé en chien, je n’ai plus aucun pouvoir. Pour me sauver il
faut aller en haut d’une montagne et redescendre en vingt-quatre
heures. Il partit vers la montagne et l’escalada avec beaucoup de
mal. Quand il arriva au sommet ça faisait dé ja quinze heures qu’il
avait rencontré le magicien. Il descendit avec moins de mal.
Quand il fut arrivé le magicien apparut et lui dit merci puis
disparut. Le cascadeur continua sa route vers le château.
Quelques heures plus tard il y parvint. Il avait très, très peur. Il
serra son couteau et entra. L’Alien l’attendait derrière la porte.
C’é tait une cré ature toute gluante avec des dents de quinze
centimètres.
Le cascadeur prit son couteau et se battit. Mais l’Alien s’empara
de ce ridicule canif. Derrière notre hé ros il y avait une armure. Il
prit l’é pé e et tenta de couper les bras de son ennemi. Mais ce fut
un é chec. Alors il essaya de trouver un fusil tout en faisant le tour
du château et en é tant poursuivi par l’Alien. Enfin il trouva une
arme. Il essaya de tirer mais l’Alien n’arrêtait pas de bouger. Ca
faisait quinze minutes qu’ils se battaient. Il arriva enfin à viser.
L’Alien tomba, la terre trembla car il pesait cent cinquante kilos.
Le cascadeur se sauva et alla chercher sa voiture.
Il repartit là où il habitait. Quand ses amis le revirent ils firent la
fête. La mairie lui donna vingt milliards d’euros car c’é tait le
premier qui revenait vivant du château de l’Alien.