Institut Saint-Luc et Institut Saint-Jean

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Institut Saint-Luc et Institut Saint-Jean
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Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, volume J, chapelle (I) et aile F, rue d'Irlande 61 à 57 (photo 2004).
SAINT-GILLES
Institut Saint-Luc et Institut
Saint-Jean-Baptiste de la
Salle
Région de Bruxelles-Capitale
INVENTAIRE DU PATRIMOINE
ARCHITECTURAL
FRERE MARES-JOSEPH /
CHARLES-LOUIS DE PAUW 1893-1905
JO DE BOUWER - 1930-1932
AUGUSTE DRIESEN - 1930-1934
PIERRE M. PORTO - 1962
ART DÉCO
ÉCLECTISME
MODERNISME
NÉOGOTHIQUE
MONUMENTS & SITES
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ÉTABLISSEMENT SCOLAIRE
Rue d'Espagne 54
Rue Maurice Wilmotte 33, 33a, 35, 37
Rue d'Irlande 57, 59, 61, 63
Rue Moris 19
DescriptionCes deux écoles occupent un îlot entier de 94 ares
compris entre les r. d'Irlande, Maurice Wilmotte, d'Espagne et Moris.
Dans la partie nord-ouest de ce quadrilatère s'étend l'Institut
Saint-Luc, qui occupe un complexe plus ou moins rect., organisé
autour de deux cours (C et E), auquel on accède par la r. d'Irlande.
La partie sud-est du terrain est quant à elle occupée par l'Institut
Saint-Jean-Baptiste de la Salle, avec entrée principale r. Moris. Les
locaux s'organisent autour de deux espaces, une vaste cour (L) et un
préau (N), situés parallèlement aux r. d'Espagne et d'Irlande.
En 1892, quand l'idée est lancée d'édifier un Institut Saint-Luc à
Saint-Gilles, dans la continuité des Instituts de Gand (1862) et de
Schaerbeek (1887), la commune est dépourvue de tout
enseignement catholique pour garçons. Le frère Marès-Joseph,
Charles De Pauw de son nom civil, frère des Écoles chrétiennes et
l'un des fondateurs des écoles Saint-Luc, est à l'origine du projet. Il
est secondé financièrement, politiquement et spirituellement dans sa
tâche par des membres de la haute bourgeoisie catholique, tels la
baronne de Monin-Rendeux, Henri Calmeyn ou Henri Carton de
Wiart, ainsi que par sa hiérarchie, le cardinal Goossens et les
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Supérieurs des Frères des Écoles chrétiennes.
Le projet du frère Marès-Joseph comprend la fondation de trois
écoles sur un même site : une école supérieure, l'Institut Saint-Luc,
une école moyenne, Saint-Jean-Baptiste de la Salle, ainsi qu'une
école primaire gratuite pour la petite bourgeoisie et les pauvres,
constituée par les Instituts Saint-Albert et de la Sainte-Trinité. Les
locaux de ces deux derniers établissements, aujourd'hui disparus,
ont été annexés et transformés par l'Institut Saint-Jean-Baptiste de la
Salle.
On peut distinguer trois grandes phases de construction. La 1re
concrétise, de 1894 à 1910, les constructions projetées un an plus
tôt par le frère Marès-Joseph : de longs bâtiments de style
néogothique en briques, sous toit en bâtière, implantés pour la
plupart en intérieur d'îlot, de vastes cours et jardins fermés à front de
rue par un mur de clôture. Une chapelle (I) est prévue sur le site,
partagée par les différents établissements.L'implantation actuelle
correspond approximativement à ce projet, à l'exception des ailes
érigées à front de la r. d'Espagne et d'une partie de la r. Wilmotte (A
et K). Marès-Joseph signe la plupart des plans, secondé par les
arch. Hucq, Georges Dhaeyer et Léopold Pepermans. L'édification
des bâtiments sera confiée à l'entrepreneur Joseph Detry. Elle
débute par l'Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle qui ouvre déjà
ses portes en 1895. Suivent Saint-Albert et Sainte-Trinité, puis le
complexe Saint-Luc qui accueille ses 1ers étudiants en octobre
1904.
La 2e phase, menée de 1930 à 1934, comprend la construction du
vaste bâtiment de style Art Déco destiné à Saint-Luc (A), à l'angle
des r. d'Espagne et Maurice Wilmotte. Elle est le fait de l'arch.
Auguste Driesen ainsi que du bureau d'architecture J. De Bouver.
La 3e phase est dirigée par l'arch. Pierre M. Porto. Elle débute dans
les années 1950, avec le remplacement du dispositif d'entrée de
l'Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle (T), r. Moris, et la finalisation
de la chapelle (I) prévue par Marès. Elle se poursuivra en 1962, par
l'édification d'une nouvelle aile (K) pour l'Institut Saint-Jean-Baptiste
de la Salle, à front de la r. d'Espagne et la modification de l'anc. aile
de l'école primaire (G).
L'entité Saint-Luc a connu, dans les années 1980, des rénovations
ponctuelles de bâtiments existants (A et H), par l'arch. Jean
Bredoux.
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune.
Cette école déploie, sur les r. d'Irlande et Wilmotte, des parties
conçues à des dates différentes.
Organisées autour de la cour nord (E) s'élèvent quatre ailes érigées
entre 1903 et 1910. Conçue sur plusieurs années, cette architecture
n'apporte pas toujours de solution parfaite à des problèmes tels que
la déclivité du terrain et les raccords entre les diverses façades. Les
élévations, à l'origine de trois niveaux, sont en briques rouges,
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rythmées d'assises de briques blanches formant bandeaux continus
et surlignant les arcs. Le soubassement en pierre bleue est
bouchardé. L'entablement terminal présente une frise à jeu de
briques en saillie. Les toitures étaient à l'origine toutes en bâtière ;
certains versants ont été pourvus ultérieurement de lucarnes. Les
châssis à petits-bois d'origine sont conservés. À front de rue, les
façades sont scandées de pilastres, de plan triangulaire au r.d.ch.,
de section rect. aux étages. Au sommet de ces pilastres prend place
un petit larmier de pierre.
L'aile bordant la r. Wilmotte (B) est dessinée entre 1903 et 1906 par
l'arch. Léopold Pepermans. Le bâtiment présente un 3e étage sous
toit plat, percé de baies rect., établi en 1934 en remplacement de la
toiture en bâtière. Les façades vers la cour et la rue, percées de
baies de dimension dégressive, sont analogues. Vers la rue, la
plupart des fenêtres du r.d.ch. sont jumelées et à arc brisé, sous arc
de décharge commun. À l'origine, une travée sur deux présentait une
devanture commerciale. Il n'en subsiste aujourd'hui que deux. Côté
cour, le r.d.ch. est ajouré de larges baies à arc brisé ouvrant sur un
corridor sous voussettes. Au 2e niveau, fenêtres à arc surbaissé,
jumelées pour la plupart, chacune sous arc de décharge brisé. Vers
la rue, les tympans ménagés par ces arcs sont ornés d'un petit
cartouche figurant le blason d'un métier de la construction. Au 3e
niveau, baies rect. à meneaux, celles vers la rue sous linteau
délardé à accolades. À front de la r. d'Irlande, l'aile (B) compte trois
travées organisées en symétrie au n° 57 de la rue, à l'angle de la r.
Wilmotte. La travée axiale est percée de l'entrée, comprenant une
vaste porte sous triplet d'imposte à arcs brisés, inscrit sous un arc
surbaissé. L'entrée est surmontée, au 1er étage, d'une large logette
rect. à toiture en pavillon. À l'intérieur : vestibule d'entrée sous voûte
à croisée d'ogives ; large baie à arc brisé, à imposte garnie d'un
vitrail figurant la Vierge, saint Luc et un ange.
L'aile à front de la r. d'Irlande (F) est dessinée en 1905 par
Marès-Joseph. Elle présente sept travées vers la rue, percées de
baies de formes variées. Au r.d.ch., certaines baies sont jumelées
sous arc brisé et arc de décharge. Aux étages, les baies de chaque
travée sont comprises dans un pan de mur en retrait. Aux deux 1res
travées, les baies de l'étage sont jumelées à encadrement de pierre
et arc trilobé, sous arc de décharge commun. Vers la cour, la façade,
devancée d'une cour anglaise, présente un jeu varié de fenêtres
principalement à arc surbaissé, de divers gabarits et non alignées.
L'aile (H) bordant la cour vers la r. Moris, dessinée en 1906, est
entièrement remodelée en 1983. Celle séparant les deux cours (D),
date de 1910. À l'origine de deux niveaux, elle est exhaussée en
1983 d'un 4e niveau, entièrement vitré (arch. Jean Bredoux). Ses
deux façades de six travées chacune, présentent un 2e niveau percé
de fenêtres jumelées à arc surbaissé sous arc de décharge brisé.
Les r.d.ch. varient : celui de la façade nord est percé de triplets de
baies à arc surbaissé, sous un vaste arc de décharge, tandis que
celle de la façade sud s'ouvre en galerie à piliers de pierre bleue.
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Plus haut dans la r. d'Irlande, au n° 59, se dresse la chapelle (I)
prévue par Marès-Joseph. Son 1er niveau, dessiné par l'arch. en
1905, devait servir d'entrepôt à vin destiné à la location. Le 2e fut
conçu en 1908 par l'arch. Georges Dhaeyer. Ce n'est que bien plus
tard, en 1952, que le volume reçoit son 3e niveau et qu'une chapelle
est aménagée aux étages, par l'arch. Pierre M. Porto. Façade en
briques de trois niveaux, à pignon à rampants droits. Porte cochère
axiale à arc surbaissé. Au 2e niveau, trois fenêtres aveugles du
même type. 3e niveau percé d'un grand oculus axial, à vitrail figurant
la Trinité. Frise d'arceaux soulignant les rampants du pignon ponctué
au faîte d'une croix en pierre bleue. L'intérieur de la chapelle,
aménagée en 1952-1953, d'inspiration moderniste, sert act. de salle
de sport à l'Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, avec lequel elle
communique. Plan de type basilical de sept travées et deux niveaux,
composé de trois nefs : une haute nef centrale flanquée de
collatéraux plus bas. L'entrée du chœur, situé du côté rue, est
marquée par un arc monumental en plein cintre, condamné lors de
l'aménagement en salle de sport. L'autre extrémité de la chapelle est
occupée par une tribune d'orgue. La nef centrale est éclairée de
hautes baies rect. à vitraux à motifs géométriques bleus et jaunes.
Son plafond est plat et à caissons. Encastrés dans les murs,
confessionnaux aux lignes épurées. Les murs de la travée jouxtant
le chœur sont ornés d'une scène biblique peinte. Chœur recouvert
d'une large voûte en berceau percée à dr. de deux lunettes cintrées.
Mur couvert jusqu'à mi-hauteur d'un lambris en marbre noir veiné.
Table d'autel en marbre beige, surélevée de trois marches en
marbre noir.
À g. de la chapelle, au n° 61, petit volume (J) conçu en 1908 par
l'arch. Georges Dhaeyer, présentant une façade en briques sous toit
plat, ordonnancée de manière analogue aux deux 1ers niveaux de la
façade de la chapelle.
À l'angle de la r. d'Espagne et de la r. Maurice Wilmotte, où il porte le
n° 33-33a, bâtiment de plan en L de style Art Déco (A) bordant
l'ancienne cour des Instituts Saint-Albert et Sainte-Trinité (C).
Bâtiments de trois étages, à façades en briques, rehaussées
d'éléments de béton et de pierre bleue. Le r.d.ch. est établi en 1930
sur les plans de l'arch. Auguste Driesen, les étages en 1932-1934
par le bureau d'architecte J. De Bouver. Suite à des problèmes de
stabilité, toute l'aile sera consolidée en 1981 par l'arch. Jacques
Buchel. La toiture mansardée ouverte de larges lucarnes est
conservée r. d'Espagne. R. Wilmotte, elle est en grande partie
remplacée par un toit plat hérissé de sheds, aménagé en 1983 (arch.
Jean Bredoux). À front de rue, élévation de dix travées, cinq dans
chaque rue, articulées autour d'un monumental pan de mur biais à
l'angle, couronné d'un amortissement triangulaire en pierre bleue. R.
Maurice Wilmotte, r.d.ch. percé, dans sa partie supérieure, de
fenêtres en bandeau de faible hauteur. R. d'Espagne, le r.d.ch. est
act. aveugle. Étages scandés de pilastres colossaux sur culot
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figurant différents emblèmes se référant aux disciplines enseignées.
2e et 3e niveaux percés de baies jumelées ou en triplet, formant
fenêtre en bandeau. 4e niveau percé d'étroites fenêtres séparées
par les modillons géométriques de la frise d'entablement. La 3e
travée r. d'Espagne est couronnée d'une imposante lucarne
interrompant la corniche et la mansarde, à couronnement
triangulaire stylisé. Vers la cour, les façades, assez simples, sont
percées de baies rect. séparées par des trumeaux crépis.
Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle.
On accède à l'Institut par le n° 19 de la r. Moris. Le complexe, ceint
d'un mur de clôture s'étirant à front des r. Moris et d'Irlande, est
composé d'ailes conçues à des dates diverses. La majorité des
bâtiments, remontant à la 1re phase de construction (1894-1910),
présente un aspect homogène. Ils s'élèvent principalement sur deux
niveaux, percés de baies pour la plupart à meneau de briques et à
traverse en pierre bleue. Ces baies sont surmontées d'un arc de
décharge surligné, sur certaines façades, d'un cordon continu en
pierre bleue. Aux étages, elles sont pour la plupart sous arc de
décharge brisé. Les élévations sont toutes couronnées d'un
entablement à décor géométrique de briques en saillie. Toitures en
bâtière à croupe, la plupart percées de lucarnes de bois à fermette
saillante.
Au n° 19 de la r. Moris se dresse depuis 1956 un portique d'entrée
(T) en pierre bleue, sobre et monumental. Dessiné par l'arch. Pierre
M. Porto, il remplace un porche d'entrée à pignon de 1895.
Dans l'axe du portique, au-delà d'une petite cour, se dresse un
bâtiment d'entrée de 1895 (R), de trois travées inégales. La façade
est percée d'un triplet de baies ouvrant sur un porche dans-œuvre, la
baie principale à arc brisé, les latérales rect. Surmontant l'entrée, à
l'étage, une petite niche abrite la statue de Saint-Jean-Baptiste de la
Salle en compagnie de deux enfants. Ce bâtiment est flanqué, à g.,
d'un petit volume (Q) abritant la porterie, d'un niveau sur cour
anglaise. À l'intérieur, dans le porche du bâtiment d'entrée s'ouvrent
trois portes à arc surbaissé, menant à un vestibule. Ce dernier
dessert, à g., une cage d'escalier de plan carré, dont les baies sont
munies de beaux vitraux figurant héron et iris au 1er niveau, motifs
végétaux au second.
Au sud, une vaste cour est bordée, vers la r. Moris, d'une longue aile
de 1894 (P), dont l'angle sud coïncide avec celui des r. Moris et
d'Espagne. Il est marqué par une tourelle engagée de plan
polygonal, percée d'étroites fenêtres rect., abritant un escalier de
service. Cette aile (P) s'agence en L avec une aile de 1899 (M), plus
longue, bordant la cour au nord-est. À front de la r. d'Espagne, se
dresse une aile bâtie en 1962 (arch. Pierre M. Porto), dont l'entrée
se situe au n° 54 de la r. d'Espagne. Élévation moderniste de quatre
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niveaux, sous toit-terrasse, ajourée de fenêtres en bandeau à
châssis métalliques alternant avec des plaques bleues de type «
glasal ».
Séparant la cour de Saint-Jean-Baptiste de la Salle (L) de la cour est
de Saint-Luc (C), une aile (G), conçue en 1896 par Marès-Joseph,
était anc. occupée par les Instituts Saint-Albert et Sainte-Trinité. Le
r.d.ch. conserve son apparence d'origine mais les étages ont été
transformés en style moderniste en 1962.
Du côté droit, le bâtiment d'entrée est flanqué d'un volume (S), bâti
en 1906 et 1910, disposé perpendiculairement, dont la façade vers
la r. Moris est munie d'un pignon à rampants droits. À ce volume est
adossé, en 1910, dans le même axe, une longue aile de neuf
travées et trois niveaux (O).
Derrière le volume d'entrée, vaste préau (N) de plan rect.
d'inspiration éclectique, conçu en 1908 par l'arch. Georges Dhaeyer.
Il comporte, à l'étage, une galerie continue, à garde-corps en
ferronnerie remplacé, soutenue sur les petits côtés par des consoles
métalliques. Les deux niveaux sont percés latéralement de fenêtres
jumelées à traverse et de portes à arc surbaissé ouvrant sur les
salles de classe. Certaines d'entre elles ont conservé leur mobilier
d'origine, comme les salles d'étude, de physique et de chimie.
Toiture à croupe, à charpente et voligeage apparents. Fermes en
bois à entrait et poinçon métalliques se rejoignant en un cercle. Le
faîte est ajouré et vitré.
Archives
ACSG/Urb. 57 : 265 (1903), 318(1905) ; 59 : 159 (1905), 186
(1908), 87 (1953); 61 : 186 (1908) ; 33-37 : 265 (1903), 37 (1904),
368 (1906), 210 (1930), 168 (1934), 41 (1981) ; 19 : 3714
(1894),100 (1895), 670 (1896).
Collection cartes postales Dexia Banque.
Ouvrages
DONATELLA, F., L'Institut Saint-Luc à Saint-Gilles (Mémoire de
licence en Histoire) UCL, Louvain-la-neuve, 1989.
École Saint-Luc, Institut Jean Béthune, 77, rue d'Irlande, Saint-Gilles-lez-Bruxelles, En
artistique. Rapport sur l'œuvre, Bruxelles, 1912.
STERCKX, P., Fragments d'histoire des origines de l'Institut Saint Luc à Saint-Gilles,
Nevada, 1986, p. 28.
Recherches et rédaction : 1997-2004.
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Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, chapelle (I), rue
d'Irlande 59 (photo 2003).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, aile B, rue Maurice
Wilmotte 35-37 (photo 2002).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, aile B, rue Maurice
Wilmotte 35-37, façade vers la cour E (photo 2002).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, aile A, rue Maurice
Wilmotte 33-33a, à l'angle de la rue d'Espagne (photo 2004).
Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, dispositif d'entrée (T)
dans la rue Moris no 19, des années 1950 (photo s.d).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, aile A, façade vers
la rue d'Espagne, vaste lucarne à couronnement triangulaire
(photo 2004).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, chapelle (I), rue
d'Irlande 59, vue de la nef centrale vers la tribune d'orgue
(photo 2002).
Institut supérieur Saint-Luc Jean Béthune, aile F, rue
d'Irlande 57, vitrail ornant le vestibule d'entrée (photo 2002).
Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, aile P, cage
d'escalier, vitrail ornant le 1er niveau (photo 2002).
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Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, vue générale
(Collection de Dexia Banque, s.d.).
L'Institut Saint-Luc (Collection ISJB, CHDStG, I.798, 1910).
Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, préau (N), rue Moris
19 (Collection de Dexia Banque, 1911).
Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle et Institut supérieur
Saint-Luc Jean Béthune, plan de situation.
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Institut Saint-Jean-Baptiste de la Salle, bâtiment d'entrée (R),
rue Moris 19 (Collection de Dexia Banque, 1911).
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