Télécharger ce fichier - Acheter Argent Colloidal

L’ARGENT COLLOÏDAL :
OU VA-T-IL QUAND VOUS EN INGEREZ ?
COMBIEN DE TEMPS RESTE-T-IL DANS L’ORGANISME ?
Renonciation
Ce rapport est uniquement à titre informatif. Il n'est pas destiné à être un guide en matière de
dosage de l’argent colloïdal
Les résultats sont basés sur le métabolisme d’une seule personne et un taux d'excrétion qui
peut varier d’un individu à l’autre.
Résumé
Une même quantité d'argent colloïdal a été ingérée chaque jour pendant plusieurs mois afin de
déterminer au préalable un équilibre journalier d’argent en mesurant la quantité d'argent
trouvé dans les excréments, l'urine, les ongles, les cheveux et la transpiration.
Après avoir estimé la quantité d'argent retrouvée en 24 heures dans chacune de ces sources, il
a été conclu que l'urine et les fèces fournissent une bonne première approximation de la
quantité totale d'argent excrétée par le corps.
Cette étude a été suivie d’une seconde phase plus poussée visant à observer la quantité
résiduelle d'argent éliminée au fil du temps par l'estimation du poids d'argent dans les
matières fécales et l'urine à partir de prélèvements hebdomadaires (et plus tard,
trihebdomadaires) sur une période de 24h.
Introduction
Malgré la popularité récente de l'utilisation de l'argent colloïdal pour la purification de l'eau et
pour traiter l'infection, il n'existe pas de données fiables concernant le taux d'élimination de
l'argent de l’organisme, incluant sa répartition dans les matières fécales et l'urine.
Ainsi, j'ai décidé de mesurer mon propre taux d’apport et d’élimination d'argent colloïdal,
ainsi que d'étudier l'accumulation d'argent dans des zones spécifiques du corps, telles que les
cheveux, les ongles et la transpiration.
J'ai également souhaité étudier l'effet d’un excédent d’eau sur la quantité d'argent éliminée
dans l'urine (un seul test).
Ce rapport représente la première tentative pour répondre à ces questions.
Nous espérons que ces premiers résultats pourront servir de première étape dans
l'établissement sûr et efficace de dosages pour l'utilisation d’argent colloïdal thérapeutique, ou
même prophylactique.
L'une des principales difficultés pour estimer avec précision l'élimination et la distribution
d'argent dans le corps a été due à la possible substitution de l’argent colloïdal par des sels
d'argent, ou la mauvaise qualité des produits d’argent colloïdal utilisés pour l'expérience.
Récemment, le procédé électrolytique a gagné en popularité, mais même cette méthode peut
produire un large éventail de résultats dû à des variations importantes de la taille des
particules colloïdales et de la concentration.
Depuis un certain nombre d'années, la méthode la plus commune d'électrolyse compte sur les
batteries (piles) de câblage en série de sorte que deux électrodes d'argent pur (99,9%)
pourraient générer un potentiel d’environ 27-36 volts entre elles.
Ces générateurs d'électrolyse à piles produisent un argent colloïdal qui ne convient pas à des
fins de recherche, car son activité est variable d'une préparation à l’autre, en plus du fait que
cet argent colloïdal est généralement de mauvaise qualité car basé sur une faible concentration
en argent et / ou sur une trop grande taille des particules.
Toutes ces variables contribuent à la formation d'un produit ayant une imprévisible et
généralement faible activité biologique.
Toutefois, ces problèmes peuvent être surmontés dans une large mesure à l'aide de matériel
plus coûteux fonctionnant avec une alimentation 180 volts et avec un courant continu de
sortie et d'entrée de 120 volts.
Étude préliminaire
Un équilibre d'argent journalier a été déterminé en notant la quantité totale d’argent colloïdal
ingérée dans le cadre de cette période, puis en analysant les urines et les fèces, afin de mesurer
la quantité d'argent excrétée par ces deux modes (Labs Kimball, Draper, Utah).
En outre, la quantité d’argent contenue dans la sueur, les cheveux et les ongles a également
été déterminée. Les résultats (donnés en mg) sont résumés ci-dessous.
Aux fins du bilan de masse, la quantité d'argent dans les prélèvements de cheveux, de
transpiration, et des ongles ne peut pas être facilement transformée en un équivalent
correspondant à une période de 24 heures, mais à en juger par le faible niveau d’argent total
présent dans ces sources, je pense qu'il est raisonnable de ne pas tenir compte de ces voies
pour l’élimination significative de l'argent.
En prenant en compte la perte d'argent seulement par les excréments et l'urine, cette étude
préliminaire révèle que:
1) L'argent est excrété facilement du corps, principalement dans l'urine.
2) Plus d'argent quittant le corps qu’y entrant, au cours d'une période test de 24 heures, peut
probablement être expliqué par la variabilité de la quantité totale d'urine et des matières
fécales produites sur une base au jour le jour, c'est à dire, le tissu du corps agit comme un
pondérateur, retenant et excrétant plus ou moins d'argent selon le volume quotidien des
déchets corporels générés.
3) Puisque la même quantité d'argent par jour avait été prise pendant plusieurs mois avant
cette période test de 24 heures, il est raisonnable de conclure que la quantité totale d'argent
résidant dans les tissus est de plusieurs fois celle de la quantité quotidienne éliminée (cette
conclusion est étayée par des preuves supplémentaires données plus tard). Par conséquent, il
semble tout à fait possible que l’argent colloïdal pris de manière prophylactique offre une
meilleure protection que l’argent colloïdal pris seulement à l'apparition de la maladie.
Procédure de la première étude
La procédure utilisée pour surveiller le taux d'élimination d'argent comportait ces étapes:
1) L’argent colloïdal a été consommé quotidiennement pendant plusieurs mois, allant de
l'ingestion de moins d’1mg (pendant le premier mois) à 2,34 mg par jour (pour le reste de
l'étude).
2) Durée d’environ 5 mois et demi d’ingestion quotidienne d’argent colloïdal, en notant le
volume quotidien consommé.
3) Le premier prélèvement de matières fécales et d'urine a été recueilli 5 jours après que
l'ingestion d’argent colloïdal ait cessée. Après cela, des prélèvements ont été effectués chaque
semaine pendant une période de 24 heures jusqu’à la cinquième semaine incluse.
Au-delà de ce point, les prélèvements sur 24 heures se sont produits une fois toutes les trois
semaines. Le poids des selles et le volume de d'urine ont été notés pour chaque période de
collecte de 24 heures.
Ensuite, environ 50 grammes de matières fécales et 50 ml d'urine ont été prélevés de la
quantité totale collectée et envoyés au laboratoire (Labs Kimbal, Draper, Utah) pour l'analyse
d'argent.
Les résultats ont été rapportés en ppm pour les échantillons d'urine et en mg d'argent pour le
poids mesuré des fèces (contenant la quantité initiale d’humidité).
L’argent total dans les matières fécales a été ensuite calculé à partir du rapport entre le poids
total collecté divisé par le poids rapporté par le laboratoire. La quantité d'argent dans l'urine
(en mg) a été obtenue en multipliant la ppm rapportée par le laboratoire par le volume d'urine
total pris au cours de la période des 24 heures correspondantes.
4) En raison de la variation d’un jour à l’autre du volume de l'urine et des fèces, la quantité
d’argent (en mg) dans un prélèvement donné a été normalisée à une moyenne journalière en
milligramme du volume des urines et du poids fécal en utilisant les équations et les valeurs
indiquées ci-dessous:
Ajustement des prélèvements d’urines et de matières fécales sur une période de 24 heures
Les matières fécales:
[Mg d'argent normalisé] = CF x mg d'argent dans l’échantillon de fèces individuel
Où CF = Poids moyen pour les échantillons de matières fécales (503 grammes) / poids d'un
échantillon de selles individuel
Urine:
Mg d'argent normalisé] = CU x mg d’argent dans l’échantillon d'urine individuel
Où CU = Poids moyen pour les échantillons d'urine (1648 ml) / volume d'un échantillon
d'urine individuel
Les premières données ainsi que les données corrigées sont résumées dans le tableau I.
L'estimation du taux d'élimination d'argent
Comme le corps est appauvri en argent, le taux de son élimination ralentit.
Un graphique illustrant cette relation montre une quantité d’argent excrétée proche de zéro qui
tend asymptotiquement avec le temps vers l'infini.
Puisque j'ai un nombre très limité de points de données, cette relation graphique nécessiterait
d’installer une relation curviligne avec un axe temps (x), ce qui augmenterait l'incertitude.
La précision peut être améliorée en traçant la réciproque des milligrammes totaux d'argent
éliminés par jour, car cette fonction crée une relation approximativement linéaire pour la
plupart des données.
Même s'il y a peu de doute qu’un peu d’argent résiduel soit resté dans mon corps au bout de
96 jours (quand le dernier échantillon a été pris), j'ai choisi de ne pas extrapoler la réciproque
des milligrammes d'argent éliminés par jour à un temps infini, car cela ne ferait qu'ajouter
d’autres éléments d'incertitude.
Par conséquent, le pourcentage d'élimination de l'argent discuté ci-dessous doit être considéré
comme une valeur maximale, qui peut être ajustée lorsque davantage de données deviennent
disponibles.
La Figure 1 montre un graphique des taux d'élimination d'argent données dans la dernière
colonne du tableau I.
A noter que ces valeurs, qui sont la réciproque des données normalisées, semble linéaire sur
une période de temps appréciable (entre 19 et 96 jours).
Toutefois, le point de données pour le 19ème jour nécessite une grande correction du volume
des urines pour l'uniformiser à la valeur nominale (1648 ml).
Par conséquent, il peut être plus prudent de supposer la linéarité entre le 33ème jour et le
96ème jour.
En outre, les données comprenant le 12e et le 33e jour semblent présenter un taux
d’élimination constant d'argent, alors que les données comprenant le 5e et le 12e jour
semblent être en relation linéaire avec le temps.
La rareté de données précises dans la période du 0 au 33e jour crée de l'incertitude en ce qui
concerne la relation exacte entre le taux d'élimination d'argent et le temps des quelques
premières semaines de prélèvements.
Néanmoins, cela permet tout de même de remarquer le changement de répartition de l'argent
entre les urines et les fèces en fonction de la concentration d'argent dans les tissus du corps.
Cette répartition variable d’argent entre les matières fécales et l'urine est compatible avec
l'influence de deux mécanismes qui contrôlent la façon dont l'argent est excrété par le corps.
La section suivante traite de cette proposition plus en détail.
Pour convertir l'élimination d'argent de «Jours requis pour éliminer un mg d'argent" en
«Pourcentage d'argent éliminé" en fonction du temps, une intégration numérique a été
réalisée après que les expressions analytiques pour les trois courbes de la figure 1 ont été
obtenus (voir Annexe I pour plus de détails).
Les résultats de ce calcul sont donnés dans le tableau II et sont représentés graphiquement à la
figure 2.
Mécanisme d'élimination de l’argent et autres observations
Le tableau I montre également que, lorsque suffisamment d’argent colloïdal a été ingéré pour
atteindre un état stable, l’"excès" d’argent colloïdal apparaît en grande partie pour aller
directement dans les urines. (Notez que le 5e jour, juste 5 jours après l’arrêt d’ingestion
d’argent colloïdal, 9 mg d'argent ont été déposés dans les urines et seulement 0,7 mg ont été
retrouvé dans les selles).
Ce premier mécanisme concernant l'élimination de l'argent est représenté par la courbe «A»
dans la figure 2.
Puis une phase de transition se produit lorsque, en plus de l’influence du premier mécanisme,
un second mécanisme est évident au moment où l’élimination métabolique de l’'argent
contenue dans les tissus du corps commence à jouer un rôle plus important.
Cette période de transition est marquée courbe "B".
Enfin, le second mécanisme prédomine (marqué comme "C" dans la même figure), comme le
montre clairement un changement dans les points de données dans la figure 2 au-delà du 33e
jours, et soutenu en notant le grand changement dans la distribution d'argent entre l'urine et les
fèces sur le 96e jour, comparativement à celui du 5e jour.
Cette évolution est tout à fait significative et suggère fortement deux mécanismes distincts de
l'élimination d'argent.
En outre, les données recueillies le 33e jour (tableau I) montrent que quand plusieurs litres
d'eau sont consommés (en plus) par jour, l'élimination urinaire d'argent semble augmenter
proportionnellement.
Toutefois, cette accélération de la perte d'argent ne fera probablement que marcher quand il y
a présence significative d’argent dans le sang par rapport à celle résidant dans les tissus du
corps.
Conclusion
L'ingestion d’argent colloïdal bien préparé n'entraîne pas d'accumulation d’argent dans le
corps. Il n'existe aucune preuve que l’argent se dépose de façon significative dans les cheveux
ou les ongles et, en réalité, les données soutiennent la conclusion que, après avoir pris plus de
2 mg d’argent colloïdal par jour pendant plusieurs mois, l'argent semble être purgé de
l'organisme (principalement par l'urine) à peu près au même rythme au cours duquel il est
consommé. Par ailleurs, dès l’arrêt d’ingestion d’argent colloïdal, il apparaît que près de la
moitié de l'argent résidant dans les tissus de l’organisme sera purgé (par l'urine et les fèces,
mais de plus en plus par les excréments au fil du temps) en moins d'un mois. Même ce temps
de rétention relativement court peut être considérablement réduit si plusieurs litres d'eau sont
consommés quotidiennement.
A propos de l'auteur - Dr. Roger Altman
Le Dr Altman a reçu en 1971, de l'Université Columbia, un doctorat en sciences de l'ingénieur
(Eng, Sc, D.), spécialisé dans les procédés métallurgiques. Depuis ce temps, il a accumulé
quelques 15 années d'expérience en R & D dans le cuivre, le plomb et la fusion
arsenic/antimoine.
Actuellement, le Dr Altman teste et commercialise un dispositif qui réduit l’accumulation de
plomb de sulfate dans les batteries au plomb-acide, ce qui améliore considérablement les
performances et la longévité dans un large éventail d'applications.
M. Altman a un intérêt personnel pour l'argent colloïdal et a étudié ses effets sur le corps
humain.