Les voyages de Gulliver, de Jonathan Swift, à lire - Lien prof

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Les voyages de Gulliver, de Jonathan Swift, à lire en lecture cursive.
Séquence : le récit de voyage
Textes :
- Marco Polo : le devisement du monde
- Robinson Crusoe de Daniel Defoe
- Voyage au centre de la terre – Jules Vernes
- Extraits du livre de bord de Boris
- Extrait du livre de bord d' IMAGINE
Séance 1 : Voyages, voyages
Objectif :
- faire faire la différence entre livre de bord et récit de voyage
- se familiariser avec le vocabulaire de la navigation




Repérez les différences et les points communs parmi ces textes (oral)
D’après vous, lesquels sont des récits de voyage ? Que sont les autres ? (oral)
Relevez le champ lexical relatif à la navigation. (écrit)
Associer chaque texte à sa référence (titre, auteur…) - écrit
Synthèse : Le récit de voyage
Un récit de voyage est un genre littéraire dans lequel l'auteur rend compte d'un ou de voyages, des peuples
rencontrés, des émotions ressenties, des choses vues et entendues. Contrairement au roman, le récit de voyage
privilégie le réel à la fiction.
Il se distingue du journal intime ou du livre de bord d’un navire par sa narration structurée.
Cette littérature doit rendre compte d'impressions, d'aventures, de l'exploration ou de la conquête de pays
lointains.
Le récit de voyage, quand il n’est pas fictif, peut également être une source historique.
Le récit de voyage peut aussi être fictif, imaginaire, c’est le cas par exemple pour Robinson Crusoé de Daniel
Defoe, ou pour Les voyages de Gulliver, de Jonathan Swift.
2 août 2003.
1
(…) Arrivée au Port vers 19h30, je m’annonce à la capitainerie. La réponse est claire :
- « Mettez-vous n’importe où, dans 30 minutes le ponton visiteurs sera libre ! »
Une heure après le ponton n’est toujours pas libre. Nous allons dîner et là au retour… Plus de bateau.
21h30 : La capitainerie est fermée.
Imagine est quelque part, mais où ?
23h30 – Imagine est retrouvé au ponton de manutention.
Demain il y aura du rififi à la capitainerie.
Aujourd’hui les grands ports sont des entreprises à fric, sans aucun respect, et même les Bretons
perdent leurs âmes !
Dure première journée ! Reste juste que 14 jours de vacances…. Je vais me cacher avec mon bateau !
XXIII
De la ville de Cormos.
2
Cette plaine dont nous venons de parler s’étend au midi d’environ cinq milles ; il y a au bout un chemin par où
l’on est obligé d’aller toujours en descendant. Ce chemin est très méchant et rempli de voleurs et de dangers.
Enfin l’on arrive dans de belles campagnes, qui s’étendent de la longueur de deux milles. Ce terroir abonde en
ruisseaux et en palmiers. Il y a aussi quantité de toutes sortes d’oiseaux, mais surtout de perroquets, que l’on
ne voit pas le long de la mer. De là on vient à la mer Océane, sur le bord de laquelle il y a une ville nommée
Cormos[1], ayant un bon port, où abordent beaucoup de marchands, qui apportent des Indes toutes sortes de
marchandises, comme des parfums, des perles, des pierres précieuses, des étoffes de soie et d’or et des
dents d’éléphant. C’est une ville royale ayant sous sa dépendance d’autres villes et plusieurs châteaux. Le pays
est chaud et malsain. Quand quelque étranger marchand ou autre meurt dans le pays, tous ses biens sont
confisqués au profit du roi. Ils font du vin de dattes ou d’autres espèces de fruits, qui est fort bon ;
cependant, quand on n’y est pas accoutumé, il donne le flux de ventre ; mais au contraire, quand on y est fait, il
engraisse extraordinairement.
3
1er jour :
A midi nous mangeons rapidement pour nous présenter à l’heure… il y a trop de vent et Eliott ne pourra
donc pas en faire, je prends sa place ou plutôt sa tasse !
Le moniteur Yohan, nous met rapidement en confiance avec le matériel puis nous rejoignons le site du «
lagon » sur une barque locale, propulsé par un 40cv Yamaha. Puissance bien nécessaire pour faire face
aux 30km établis et au fort clapot induit. Au milieu de la baie de Fort de France, autant dire au milieu
de nulle part.
Pendant 3 heures, je découvre ce que l’expression « boire la tasse » recèle comme variantes et manque
de me noyer à plusieurs reprises. La maîtrise du cerf-volant n’est pas suffisante pour planer
immédiatement, il faut en plus contrôler la planche et c’est là que les bactéries attaquent.
Je sors parfois lourdement mon corps trop rigide de l’eau, mais c’est pour y retomber immédiatement.
Soit projeté en avant par un surcroît de puissance mal gérée, tracté bouche ouverte à pleine vitesse
pendant que mon estomac se remplit de toute l’eau de l’océan. Soit, dans un dérapage incontrôlé, je
percute l’eau sur le dos.
Bref, je me réinscris pour lundi. Il va bien falloir que j’y arrive.
Au bateau, je suis vanné.
XXV
Du pays qui est entre Kerman et la ville de Cobinam.
4
En allant ensuite de Kerman à Cobinam, on trouve un chemin fort ennuyant. Car outre qu’il est long de sept journées, on n’y
trouve point d’eau ou fort peu. Encore sont-elles fort salées et amères, étant de couleur verte comme si c’était du jus
d’herbes ; et si l’on en boit, on a le flux de ventre. La même chose arrive quand on use du sel fait de cette eau. Il est donc
à propos que les voyageurs portent d’autre eau avec eux, s’ils ne veulent pas s’exposer à mourir de soif. Les bêtes même
ont horreur de cette eau, lorsqu’elles sont obligées d’en boire ; et quand elles en ont bu, elles ont aussitôt le même mal que
les hommes. Il n’y a dans ces déserts aucune habitation d’hommes ni de bêtes, excepté les onagres ou ânes sauvages, le
pays ne produisant ni de quoi manger ni de quoi boire.
5
La tempête.
Ces sages et sérieuses pensées durèrent tant que dura la tempête, et même quelque temps après ; mais le jour d’ensuite le
vent étant abattu et la mer plus calme, je commençai à m’y accoutumer un peu. Toutefois, j’étais encore indisposé du mal
de mer, et je demeurai fort triste pendant tout le jour. Mais à l’approche de la nuit le temps s’éclaircit, le vent s’apaisa
tout à fait, la soirée fut délicieuse, et le soleil se coucha éclatant pour se lever de même le lendemain : une brise légère,
un soleil embrasé resplendissant sur une mer unie, ce fut un beau spectacle, le plus beau que j’aie vu de ma vie.
6
Le sixième jour de notre traversée, nous entrâmes dans la rade d’Yarmouth. Le vent ayant été contraire et le temps
calme, nous n’avions fait que peu de chemin depuis la tempête. Là, nous fûmes obligés de jeter l’ancre, et le vent
continuant d’être contraire, c’est-à-dire de souffler sud-ouest, nous y demeurâmes sept ou huit jours, durant lesquels
beaucoup de vaisseaux de Newcastle vinrent mouiller dans la même rade, refuge commun des bâtiments qui attendent un
vent favorable pour gagner la Tamise.
Nous eussions, toutefois, relâché moins longtemps, et nous eussions dû, à la faveur de la marée, remonter la rivière, si le
vent n’eût été trop fort, et si au quatrième ou cinquième jour de notre station, il n’eût pas soufflé violemment. Cependant,
comme la rade était réputée aussi bonne qu’un port, comme le mouillage était bon, et l’appareil de notre ancre
extrêmement solide, nos gens étaient insouciants, et, sans la moindre appréhension du danger, ils passaient le temps dans
le repos et dans la joie, comme il est d’usage sur mer. Mais le huitième jour au matin, le vent força ; nous mîmes tous la
main à l’œuvre ; nous calâmes nos mâts de hune et tînmes toutes choses closes et serrées, pour donner au vaisseau des
mouvements aussi doux que possible. Vers midi, la mer devint très grosse, notre château de proue plongeait ; nous
embarquâmes plusieurs vagues, et il nous sembla une ou deux fois que notre ancre ne tenait pas. Sur ce, le capitaine fit
jeter l’ancre de veille, de sorte que nous chassâmes sur deux, après avoir filé nos câbles jusqu’au bout.
Déjà une terrible tempête mugissait, et je commençais à voir la stupéfaction et la terreur sur le visage des matelots euxmêmes. Quoique veillant sans relâche à la conservation du vaisseau, comme il entrait ou sortait de sa cabine, et passait
près de moi, j’entendis plusieurs fois le capitaine proférer tout bas ces paroles et d’autres semblables : « Seigneur, ayez
pitié de nous ! Nous sommes tous perdus, nous sommes tous morts !... » Durant ces premières confusions, j’étais stupide,
étendu dans ma cabine, au logement des matelots, et je ne saurais décrire l’état de mon esprit.
7
Le lendemain, à mon réveil, je regardai autour de moi. Ma couchette, faite de toutes les couvertures de
voyage, se trouvait installée dans une grotte charmante, ornée de magnifiques stalagmites, dont le sol était
recouvert d’un sable fin. Il y régnait une demi-obscurité. Aucune torche, aucune lampe n’était allumée, et
cependant certaines clartés inexplicables venaient du dehors en pénétrant par une étroite ouverture de la
grotte. J’entendais aussi un murmure vague et indéfini, semblable à celui des flots qui se brisent sur une
grève, et parfois les sifflements de la brise.
2ème jour :
8
Remonté à bloc je salue Yoan, chausse mon équipement et me lance : le but est de réussir à sortir de l’eau.
Incroyablement, chausser la planche devient facile, boire toute l’eau de l’océan tout en continuant à régler sa voile, une
évidence.
Du coup je sors rapidement la tête de l’eau, puis les fesses… ça y est, je plane… un peu et VLAN : la vautre !
Quelques vols planés plus loin, je plane bien et me plante de moins en moins. Quelques erreurs de bases me font prendre
quelques mètres de hauteur « mais l’important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage », systématiquement violent.
Au sortir de l’eau, je suis rassuré, encore capable d’apprendre un sport « débile » rapidement sans trop me faire mal. En
fait, il y a dans ce sport un parfum de parapente et de puissance incontrôlable. Ajoutez à cela un zeste de manque
d’autonomie, du moins sur une côte sous le vent où il faut un bateau sécurité, c’est sûr. Pas trop adapté à notre situation
de tour du mondistes que Nicolas Fouillet appelle : les naufragés du Bounty !
9
Notre situation était alors vraiment déplorable, nous voyions tous pleinement que la mer était trop grosse pour que notre
embarcation pût résister, et qu’inévitablement nous serions engloutis. Comment cingler, nous n’avions pas de voiles, et nous
en aurions eu que nous n’en aurions rien pu faire. Nous nous mîmes à ramer vers la terre, mais avec le cœur gros et comme
des hommes marchant au supplice. Aucun de nous n’ignorait que la chaloupe, en abordant, serait brisée en mille pièces par
le choc de la mer. Néanmoins après avoir recommandé nos âmes à Dieu, de la manière la plus fervente, nous hâtâmes de
nos propres mains notre destruction en ramant de toutes nos forces vers la terre où déjà le vent nous poussait.
Le rivage était-il du roc ou du sable, était-il plat ou escarpé, nous l’ignorions. Il ne nous restait qu’une faible lueur d’espoir,
c’était d’atteindre une baie, une embouchure de fleuve, où par un grand bonheur nous pourrions faire entrer notre barque,
l’abriter du vent, et peut-être même trouver le calme. Mais rien de tout cela n’apparaissait ; mais à mesure que nous
approchions de la rive, la terre nous semblait plus redoutable que la mer.
Après avoir ramé, ou plutôt dérivé pendant une lieue et demie, à ce que nous jugions, une vague furieuse, s’élevant comme
une montagne, vint, en roulant à notre arrière, nous annoncer notre coup de grâce. Bref, elle nous saisit avec tant de furie
que d’un seul coup elle fit chavirer la chaloupe et nous en jeta loin, séparés les uns des autres, en nous laissant à peine le
temps de dire « ô mon Dieu ! » car nous fûmes tous engloutis en un moment.
10
Une vaste nappe d’eau, le commencement d’un lac ou d’un océan, s’étendait au-delà des limites de la vue. Le rivage,
largement échancré, offrait aux dernières ondulations des vagues un sable fin, doré et parsemé de ces petits coquillages
où vécurent les premiers êtres de la création. Les flots s’y brisaient avec ce murmure sonore particulier aux milieux clos
et immenses. Une légère écume s’envolait au souffle d’un vent modéré, et quelques embruns m’arrivaient au visage. Sur
cette grève légèrement inclinée, à cent toises environ de la lisière des vagues, venaient mourir les contreforts de rochers
énormes qui montaient en s’évasant à une incommensurable hauteur. Quelques-uns, déchirant le rivage de leur arête aiguë,
formaient des caps et des promontoires rongés par la dent du ressac. Plus loin, l’œil suivait leur masse nettement profilée
sur les fonds brumeux de l’horizon.
C’était un océan véritable, avec le contour capricieux des rivages terrestres, mais désert et d’un aspect effroyablement
sauvage.
Si mes regards pouvaient se promener au loin sur cette mer, c’est qu’une lumière « spéciale » en éclairait les moindres
détails. Non pas la lumière du soleil avec ses faisceaux éclatants et l’irradiation splendide de ses rayons, ni la lueur pâle et
vague de l’astre des nuits, qui n’est qu’une réflexion sans chaleur. Non. Le pouvoir éclairant de cette lumière, sa diffusion
tremblante, sa blancheur claire et sèche, le peu d’élévation de sa température, son éclat supérieur en réalité à celui de la
lune, accusaient évidemment une origine purement électrique. C’était comme une aurore boréale, un phénomène cosmique
continu, qui remplissait cette caverne capable de contenir un océan.
La voûte suspendue au-dessus de ma tête, le ciel, si l’on veut, semblait fait de grands nuages, vapeurs mobiles et
changeantes, qui, par l’effet de la condensation, devaient, à de certains jours, se résoudre en pluies torrentielles. J’aurais
cru que, sous une pression aussi forte de l’atmosphère, l’évaporation de l’eau ne pouvait se produire, et cependant, par une
raison physique qui m’échappait, il y avait de larges nuées étendues dans l’air. Mais alors « il faisait beau » . Les nappes
électriques produisaient d’étonnants jeux de lumière sur les nuages très-élevés. Des ombres vives se dessinaient à leurs
volutes inférieures, et souvent, entre deux couches disjointes, un rayon se glissait jusqu’à nous avec une remarquable
intensité. Mais, en somme, ce n’était pas le soleil, puisque la chaleur manquait à sa lumière. L’effet en était triste et
souverainement mélancolique. Au lieu d’un firmament brillant d’étoiles, je sentais par-dessus ces nuages une voûte de
granit qui m’écrasait de tout son poids, et cet espace n’eût pas suffi, tout immense qu’il fût, à la promenade du moins
ambitieux des satellites.
Séance 2 : Histoire et géographie
Quand le récit de voyage est « vrai »
Textes : Le devisement du monde, de Marco Polo
 Les indications de lieux (adverbes, groupes nominaux, relatives, subordonnées…)
 Les valeurs du présent
De la ville de Cormos.
Du pays qui est entre Kerman et la ville de Cobinam.
De quoi parle chacun des textes ?
S’agit-il de discours narratifs, descriptifs, argumentatifs ?
Ces endroits sont-ils attrayants ? Pourquoi ? Justifiez votre réponse en citant les textes.
À votre avis, ces textes reflètent-ils la réalité ? Justifiez.
Quel est le temps dominant ? Pourquoi ?
Relevez toutes les expressions qui répondent à la question « où ? » (d’où, par où…), qui donnent des
indications de lieu. Pour chacune, indiquez s’il s’agit d’un adverbe, d’un groupe nominal, d’un pronom ou d’une
proposition subordonnée conjonctive.
 Quelles sont les prépositions ou les locutions prépositives qui introduisent un complément de lieu ? En
connaissez-vous d’autres ?
 Relevez dans le premier texte deux subordonnées relatives introduites par « où », quel nom chacune
complète-t-elle ?
 Relevez les verbes qui indiquent l’emplacement, puis le déplacement.






Langue : les indications de lieu + les valeurs du présent
Écriture : en cinq à dix lignes, décrivez la ville de Cazères à la manière de Marco Polo.
Séances 3, 4 et 5 : Voyage en mer
Textes : Robinson Crusoe
Séance 3 : Texte 5 : Voyage en mer, Les indications de temps
La tempête.
Où se déroule l’histoire ?
Qu’est-ce qui vous permet de le savoir ?
Dans quel état la mer est-elle ? Justifiez.
À quelle personne la narration est-elle faite ?
Relevez les verbes qui peuvent appartenir au champ lexical de la durée.
Relevez les indications de temps (indices temporels), à quelle question chacune répond-elle ?
À quelles autres questions pourraient répondre des compléments de temps ? Donnez des exemples dans des
phrases.
Donnez la nature de chacun des compléments de temps relevés dans le texte.
Dans les groupes de mots relevés, y a-t-il des adverbes de temps ? Lesquels ?
Quelle conjonction de subordination (ou locution conjonctive) introduit une subordonnée circonstancielle de temps ?
En connaissez-vous d’autres ?
Langue : l’expression du temps
Séance 4 : Texte 6 : Voyage en mer, Valeur des temps (présent, imparfait, passé simple)
Paragraphe 1
À quelle personne la narration est-elle faite ?
Quand se déroule l’histoire ? Citez le texte.
Combien de temps le bateau reste-t-il immobile ?
Pourquoi ?
À quel temps sont la majorité des verbes ?
À quels temps sont les verbes « avions fait » et « fûmes obligés » ?
À quel temps est le verbe « attendent » ? Comment l’expliquez-vous ?
Paragraphe 2
Relevez les verbes dans la première phrase. A quel temps et à quel mode sont les verbes dans la première phrase ?
Sans changer le sens du texte, changez de mode les deux premiers verbes. A quel mode les avez-vous mis ?
Sans changer le sens du texte, changez de mode les deux verbes suivants ; à quel mode les avez-vous mis ?
Qu’en déduisez-vous sur la valeur du mode subjonctif ici utilisé ?
Dans quel état d’esprit est l’équipage ? pourquoi ? citez le texte
À quel temps sont la majorité des verbes dans la 2eme phrase ?
Quelle est ici la valeur de ce temps ?
À quel temps est le dernier verbe ? pourquoi ?
Que se passe-t-il au 8eme jour ?
Quel temps domine dans la suite du paragraphe ? pourquoi ?
Paragraphe 3
Dans quel état d’esprit est l’équipage ? pourquoi ? citez le texte
Langue : valeurs du présent, de l’imparfait, du passé simple
Vocabulaire :
Dans tout le texte, relevez les mots ou expressions qui expriment un sentiment ou une émotion. Classez-les selon
qu’ils sont positifs ou négatifs.
Complétez chacune des deux listes avec des mots que vous connaissez
Relevez dans le texte tout ce qui peut faire penser qu’un danger approche.
Séance 5 : Texte 9 : Voyage en mer, le naufrage
Que raconte ce texte ?
À votre avis, que s’est-il passé juste avant ?
À quelle personne la narration est-elle faite ?
Relevez dans le texte tout ce qui peut faire penser que la situation est sans espoir.
Relevez le champ lexical de la violence.
Écriture : imaginez la suite du texte
Séance 6 : réveil au centre de la terre
Jules Vernes
Texte 7
De quoi parle le texte ?
À quelle personne la narration est-elle faite ?
Où se trouve le narrateur ?
Quel temps domine le texte ?
Pourquoi ?
L’endroit vous paraît-il agréable ? Justifiez.
Relevez tout ce qui peut paraître étrange ou inquiétant.
Le vocabulaire des sensations
Relevez dans le texte tout ce qui se rapporte au sens de la vue.
À quel autre sens le texte fait-il appel ? Justifiez votre réponse en relevant tous les mots se rapportant à ce sens.
Quel est le verbe qui se rapporte au sens de la vue ? Trouvez-en d’autres.
Quel est le verbe qui se rapporte au sens de l’ouïe ? Trouvez-en d’autres.
Trouvez des verbes se rapportant au sens de
- L’odorat
- Le toucher
- Le goût
Langue : Le vocabulaire des sensations
Séance 7 : Un océan inexploré
Texte 10
À quelle personne la narration est-elle faite ?
De quel type de discours s’agit-il ?
Quel champ lexical domine la première partie du texte ? relevez-le
Quel autre champ lexical domine la deuxième partie du texte ? Relevez-le.
Quel champ lexical domine la 3eme partie ?
Recopiez le texte de « Le pouvoir éclairant… » à « contenir un océan … » (2eme partie), en sautant deux lignes à
chaque fois
Surlignez les mots
Soulignez les mots ou groupes de mots qui complètent ces noms et précisez en dessous quelle est leur nature et
leur fonction.
Langue : les expansions du nom