Merci aux mamans et aux papas des élèves de la classe et de l`é

Transcription

Merci aux mamans et aux papas des élèves de la classe et de l`é
grand méchant loup
Le
voudrait remercier au nom des
enfants tous ses amis, tous ceux qui l’ont accompagné et l’accompagnent encore. Il s’est
efforcé de n’oublier personne mais il était très affairé ces derniers temps, qu’on l’excuse en
cas de trou de mémoire, il se rattrapera…
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Merci à toutes les mamans et tous les papas des élèves de la classe 3a pour avoir gravé des CDs
et reproduit des cassettes, imprimé et mis des documents à disposition, photocopié en couleurs
et en noir et blanc, prêté, transporté, porté et installé ordinateurs et imprimante, cherché des
solutions, fait les allers et retours le samedi, eu des idées et fait des propositions, lu et relu des
attestations, corrigé, traduit, retranscrit et lu des textes, parlé devant un microphone, donné
des conseils et précisions juridiques, compté et recompté, apposé des signatures, scanné et
rescanné et beaucoup d’autres choses encore sans lesquelles rien mais rien du tout n’aurait
avancé. Merci aussi et en particulier au président et au trésorier de l’association.
Merci aux éducatrices et éducateur de l’après-midi qui ont accompagné et soutenu le projet
depuis la première heure, Gaëlle Mignot, Frau Dressler, Christian Bourguignon,
Frau Kleditsch et Madame Havemann.
Merci aux institutrices des enfants, Madame Schmitt et Frau Kraemer, Madame Claire, Frau
Zöckler et Frau Becker, Madame Pöthig et Madame Bocquelet pour leur soutien discret et
efficace.
Et puis,
merci à Konrad Adenauer, à Charles de Gaulle et à leurs successeurs pour le traité de l’Elysée et son
application, et merci aussi bien sûr à Daniel Cohn-Bendit et Joschka Fischer.
Merci à Marianne Alphant pour les rendez-vous au Café Beaubourg et pour France Culture.
Merci à Monsieur l'Ambassadeur Claude Martin pour son écoute et son goût pour les chroniques, du
Moyen-Âge à aujourd’hui.
Merci à France Anthonioz pour sa curiosité d’esprit et sa description de L’homme à l’orchestre un
jour de juin.
Merci à Ralph Ballier pour les courriels du 29-30 novembre qui ont donné naissance à
[email protected] et aussi à cause de Gottfried Benn.
Merci à Jean-Michel Barbier de désirer rester encore un an à Berlin avec les petits méchants
loups (et avec nous) et pour beaucoup de choses encore.
Merci à Laurence Bastin pour les beaux témoignages filmés et ses photographies.
Merci à Patrice Baumann d’avoir été mainte fois disponible.
Merci à Karl-Walter Beise de ne pas trop fumer car nous voulons encore travailler longtemps
longtemps avec lui, et merci pour Dany.
Merci à Anne Bellenger d’être efficace et naturelle.
Merci à Catherine Benoit pour son intégrité et l’humour.
Merci à Marie-Hélène Bollweg pour ses conseils toujours pertinents.
Merci à Catherine Boularand de faire aimer l’allemand aux petits élèves de Saint-Ouen et pour
l’accueil du 2 janvier.
Merci à Ralph Briese pour les attestations écrites.
Merci à Danièle Charron pour la clef du vendredi et le bel entretien à fenêtres ouvertes.
Merci à Anna Cramer-Mehnert qui nous accordé sa confiance quand le grand méchant loup était
encore un louveteau.
Merci à Georg Dietsche non seulement d’être un merveilleux graphiste mais aussi pour son
écoute.
Merci à Tineke van Dijk de continuer à être là et merci à Marie, sa sœur.
Merci à Isabelle Farçat pour certaine discussion au dernier étage de la Maison de l’UNESCO.
Merci à Serge Foucher pour le bon sens qui est un mot décidément difficilement traduisible.
Merci à Simine Foucher pour son humour et sa bonne humeur.
Merci à Jean-Louis Fraysse pour son savoir et sa compréhension des petits.
Merci à Gérard Gabert pour ses conseils et toutes ses connaissances.
Merci à Anne Garvennec de nous avoir ouvert l’école de Saint-Marc-sur-Mer et montré le
marronnier de la cour.
Merci à Regina Giessler pour sa générosité et son appétit de vivre.
Merci à Annick Gilles pour ses idées et en particulier pour la chronique sur RFI.
Merci à Ilse Göttel-Dauber pour sa gentillesse comme l’entendait Jacques Tati.
Merci à Dominique Granoux pour son calme et ses très bonnes idées.
Merci à Werner Greve de redonner confiance et pour l’offensive en douceur.
Merci à Jutta Haacke pour son efficacité et les longues discussions dans la cuisine et au
téléphone.
Merci à Herr Hartmann pour qui nomen non est omen.
Merci à Marita Hebisch-Niemsch de bien vouloir se consacrer au Grand méchant loup et d’avoir
indiqué sur la porte de son bureau la prononciation de son nom aux visiteurs français.
Merci à Robert Hummel pour le long travail en commun.
Merci à Anke Illigen pour sa grande efficacité et sa fiabilité et merci à Nicola Mertens.
Merci à Heinz Jaeck pour les budgets prévisionnels.
Merci à Knut Johannson de se consacrer aux enfants et aux choses de la vie.
Merci à Chantal Kaiser qui dirige une école qui mérite tout à fait son nom.
Merci à Eric Kirchhoff pour les conseils techniques et sa flûte enchantée.
Merci à Elke König pour sa compétence et les discussions à propos de Jutta.
Merci à Nathalie Lakotta de ne pas être compliquée dans les situations oh combien complexes.
Merci à Susanne Lankow de nous donner plus qu’un coup de main et à l’ange gardien qui nous
l’a envoyée.
Merci à Simone Lück-Hildebrandt pour son mode de pensée et de travail.
Merci à Anne Le Naour, l’amie et la conseillère de toujours.
Merci à Aldo Ligori pour sa confiance.
Merci à Peter Mattenklott qui nous a aidés avec sa compétence, sa maîtrise du programme word
et sa gentillesse.
Merci à Nikolai Neufert d’avoir conservé le petit papier blanc (ou jaune) épinglé à son mur.
Merci à Nicolas Moll de s’être intéressé au projet à ses débuts et d’avoir trouvé l’interlocutrice
de rêve.
Merci à Bernard Obermosser d’avoir accompagné Manon à l’ordinateur.
Merci à Catherine Philippe pour la voix de son loup.
Merci à Joseph Philipps pour la rencontre un jour où les transports parisiens étaient en grève et
pour ce qu’il a dit sur le désir d’apprendre une langue.
Merci à Claude Renucci pour les idées que nous devrions enfin mettre en pratique.
Merci à Valérie Restrépo pour la curiosité et l’envie de mettre deux mondes différents en
contact.
Merci à Hans Richter d’avoir navigué bien loin pour nous.
Merci à Chantal Roques pour ses idées, son enthousiasme et les discussions sur Proust et sur
l’agrégation.
Merci à Dirk Rothenpieler pour les conseils juridiques et merci aussi à Corinne Giraud.
Merci à Ulrike Sachweh pour un très gentil petit courriel après la première émission sur RFI.
Merci à Frédéric Sauvage de bien vouloir continuer à s’occuper du projet.
Merci à Andrea Schlotterbeck pour dear mister et yours sincerely et les petits lapins.
Merci à Gabriele Schmid de nous avoir fait de nouveau apprécier le monde universitaire, et
merci à Michaela Ott qui nous a donné l’idée.
Merci à Wilfried Seiring pour bien plus qu'on ne pourrait le dire ici.
Merci à Arnaud Sète pour deux, trois conversations au téléphone et au Molkenmarkt 1.
Merci à Macha Smirnowa pour l’étonnement et la berceuse russe.
Merci à Françoise Steinlein de garder son mardi de libre pour nous accompagner et merci aussi
pour sa perspicacité.
Merci à Pascal Thibaut pour avoir toujours été simple et efficace et permis ainsi beaucoup de
choses.
Merci à Annette und Patrick Thomas pour leur remarquable site et pour l’échange entre ici et làbas.
Merci à Holger Thymian d’avoir converti le journal (numériquement parlant).
Merci à Gladys Verger pour l’opportunité de ses conseils.
Merci à Monika Vogler pour sa compréhension et son attention.
Merci à Sven Weickert pour l’idée du coaching.
Merci à Martina Weinland pour son enthousiasme.
Merci à Marion Werwoll pour sa porte ouverte.
Merci à Lothar Wiesweg qui a, d’une certaine façon, sauvé le projet un jour de juin 2003 et
d’autres fois encore.
Merci à Helmut Witten pour les deux ou trois coups de main.
Merci à Johnny Zuber pour ses connaissances en informatique et sa disponibilité.
Et merci à Catherine d’avoir aidé à déplacer des montagnes.
Wouhhh