PV du 25 06 2013 - Dominique Martin
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PV du 25 06 2013 - Dominique Martin
PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU 25 JUIN 2013 Le 25 juin 2013 à 18 h 3O, le Conseil Municipal de la Ville de Cluses, convoqué le 18 juin 2013, s'est réuni sous la présidence de Monsieur Jean-Claude LEGER, Maire. Il est procédé à l’appel nominal : Présents : LEGER JC Adjoints : TAVERNIER JC - SALOU N - BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP Conseillers : THABUIS M - MICHEL F - MONNET A - VARESCON R - GOJON ML - PREVIGNANO B HUGARD C - METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N GALLAY P - DELSANTE S PERILLAT A - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C Absents : METRAL G procuration à TAVERNIER JC PICHOT J procuration à MONNET A DURUPT G procuration à REVEREAU P EVERAERE M procuration à BAUMONT MP KURTI L procuration à PERILLAT A AKMOUCHE J Mesdames MONTEIL (procuration de AUPIAIS M.) et GREVAZ arrivent lors de la présentation du 2ème point de l'ordre du jour : acquisition du site CTD / CERD appartenant à l’Etat dans la zone industrielle de la Maladière. Monsieur MIVEL (procuration de MELON R.) arrive lors de la présentation du 5ème point de l'ordre du jour : approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget général de la Ville de Cluses 2012. Le quorum étant atteint, l'assemblée peut valablement délibérer. Rachel VARESCON est élue secrétaire de séance. Monsieur le Maire demande si l’assemblée a des observations à formuler sur le procèsverbal de la séance du 14 mai 2013. Aucune observation n’a été formulée, le procès-verbal est donc adopté à l’unanimité. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 1/108 Monsieur le Maire indique qu’il est déposé sur les tables, les plans des acquisitions du site CTD / CERD appartenant à l’Etat dans la zone industrielle de la Maladière et de divers biens appartenant à la SNCF pour la réalisation du pôle multimodal ainsi que, la question orale du groupe FN. Monsieur le Maire demande l'ajout d'un point complémentaire à l'ordre du jour relatif à l’offre de reprise de l’immobilier de la clinique de Cluses. Ordre du Jour Urbanisme / Foncier (p 4) - Avis du Conseil municipal sur l’enquête publique au titre les ICPE pour la société Bouverat Industries – Marnaz Acquisition du site CTD / CERD appartenant à l’Etat dans la zone industrielle de la Maladière Acquisition de divers biens appartenant à la SNCF pour la réalisation du pôle multimodal Offre de reprise de l’immobilier de la clinique de Cluses Finances (p 18) - Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget général de la Ville de Cluses 2012 Affectation de résultat 2012 du budget général de la ville de Cluses Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget assainissement 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget eau 2012 Affectation de résultat 2012 du budget eau de la ville de Cluses Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget stationnement 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget EHPAD construction 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget office de tourisme 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget canal local 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget CDDRA 2012 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget cuisine centrale 2012 Affectation de résultat 2012 du budget cuisine centrale de la ville de Cluses Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget aménagement économique 2012 Dissolution du budget annexe assainissement et transfert des résultats à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes Dissolution du budget annexe CDDRA et transfert des résultats à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes Décision modificative n°1 - budget général Décision modificative n°1 - budget stationnement Décision modificative n°1 - budget office de touri sme Tarification Festival Musiques en stock et de l’Atelier Tarification pour les Médiathèques des Allobroges et de l’Atelier et pour l’Espace multimédia Tarification du Musée de l’horlogerie et du décolletage : Cluses o’clock 2013 Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 2/108 - Tarification de la location des salles à la Maison des Allobroges et au Parvis des Esserts Tarification de la cuisine centrale Tarification des activités périscolaires et extrascolaires pour l’année scolaire 2013/2014 Techniques (p 78) - Aménagement d'un pôle d'échanges multimodal de la gare de Cluses : attribution de marchés de travaux aménagements extérieurs Travaux de rénovation et accessibilité à l'école de musique : attribution des marchés de travaux SEM Ville de Cluses : procès-verbaux de remise d’ouvrage : o Maison Petite Enfance et Antenne CAF o Travaux gymnase de la Sardagne o Aménagement Parc Carpano o Voie verte : bord Englennaz Clémenceau/Poincaré o Aménagement Rue Pierre Trappier/Avenue Clémenceau o Bâtiments 2009 o Bâtiments 2010 Administration (p 91) - Composition des conseils communautaires des communautés de communes en vue des échéances électorales de mars 2014 Modification du tableau des effectifs 2013 Démarche de prévention hygiène sécurité : plan d'actions du document unique - bilan et pérennisation SIVOM de la Région de Cluses : examen du projet de modification des statuts Adhésion de la commune de Magland au Syndicat Intercommunal Omnisports de la Vallée de l’Arve - modification des statuts Décisions / Information (p 104) Rapport de gestion de la SEM Ville de Cluses 2012 Budgets Primitifs 2013 (Syndicat Intercommunal Omnisports de la Vallée de l’Arve - Syndicat Intercommunal de Secours du Pays d’Arve - SIVOM de la région de Cluses - SIVU Action ville)* * Ces documents sont à votre disposition à la Direction Générale et lors de la séance du Conseil Municipal. Réponse aux questions orales (p 107) Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 3/108 URBANISME / FONCIER Avis du Conseil municipal sur l’enquête publique au titre les ICPE pour la société Bouverat Industries – Marnaz ICPE : Installations Classées pour la Protection de l'Environnement Rapporteur : Monsieur le Maire Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie a prescrit une enquête publique de 33 jours du mardi 21 mai 2013 au samedi 22 juin 2013 pour la régularisation de la situation administrative au titre des ICPE pour les Etablissements BOUVERAT INDUSTRIES dont le siège social est établi au 99 Rue des Charmilles – PAE Les Léchères 74460 MARNAZ et concernant une activité de décolletage et d’usinage de pièces mécaniques pour l’industrie de l’automobile exploitée à la même adresse. Le territoire de la Commune de CLUSES étant situé dans le périmètre d’affichage et conformément à l’article R 512-20 du Code de l’Environnement, le Conseil Municipal est appelé à donner son avis sur le dossier. La société BOUVERAT INDUSTRIES travaille à 99% pour l’industrie automobile et près de 93% de son chiffre d’affaires est réalisé à l’exportation. Elle a intégré le groupe AUTOCAM en 2000 et a entrepris une démarche de certification ISO 14001 qui passe entre autre par la régularisation de la situation administrative au titre des ICPE. Les mesures de publicité ont été régulièrement opérées. Le dossier d’enquête a été tenu à la disposition du public pendant les 33 jours sans qu’aucune demande de consultation n’ait été faite. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Emet un avis favorable à la régularisation administrative au titre des ICPE de la Société BOUVERAT INDUSTRIES à MARNAZ. POUR V O T E 27 LEGER JC - TAVERNIER JC - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - MICHEL F - MONNET A DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML - PREVIGNANO B EVERAERE M (PROC) - HUGARD C - METRAL GA - GUILLARME I PERNET N GALLAY P - DELSANTE S PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 4/108 Acquisition du site CTD / CERD appartenant à l’Etat dans la zone industrielle de la Maladière Rapporteur : Monsieur le Maire Arrivée de Madame MONTEIL, Conseillère municipale (procuration de Madame AUPIAIS) et de Madame GREVAZ. La réorganisation de la gestion des routes entre l’Etat et le Département a entraîné la libération du site CTD/CERD de la Maladière et la Commune de CLUSES a depuis le 1er août 2011 posé sa candidature au rachat du tènement afin de disposer d’une réserve foncière pour la réimplantation d’entreprises. Le nouveau code général de la propriété des personnes publiques accorde un droit de priorité aux Communes sur la vente des biens vendus par l’Etat. L’acquisition de cette propriété cadastrée sous les références Section B N° 2200, 4675, 4677, 4745, et 4748 pour une contenance de 3 725 m² comportant un bâtiment à usage de garages de 170 m² est proposée au prix de 220 000 €. Débat : Monsieur MARTIN : « Je suis ravi que l’on ait le plan sur table, on ne l’a pas eu dans le dossier. Deuxièmement, vous dites « avis des domaines », cela vous le dites mais ce n’est pas marqué dans le rapport. » Monsieur le Maire : « C’est l’avis de l’Etat, puisque c’est l’Etat qui vend et l’Etat, automatiquement, demande à ses services de le faire… » Monsieur MARTIN : « Oui peut-être… » Monsieur le Maire : « Et les domaines sont un service de l’Etat. » Monsieur MARTIN : « Oui, peut-être mais ce n’est pas marqué. Deux, moi je suis un béotien, CTD/CERD, moi, je ne sais pas ce que cela veut dire… » Monsieur le Maire : « C’est le Centre Technique Départemental et Centre d’Exploitation des Routes Départementales. » Monsieur MARTIN : « Merci. Voilà, pour les services, qu’ils nous expliquent de quoi il s’agit, parce que sans plan, si en plus il faut un glossaire et sans l’avis des domaines, voilà, c’est limite ! » Monsieur le Maire : « Bien sûr, mais pour ceux qui ne savent pas où est ce tas de sel, c’est effectivement… » Monsieur MARTIN : « Il fallait marquer « tas de sel », voilà ! Je suis désolé… » Monsieur le Maire : « Depuis le temps que l’on en parlait, je pensais que vous l’aviez retenu. Cette remarque étant faite, est-ce qu’il y a d’autres remarques sur ce point ? » Monsieur PERILLAT : « Ce sont des remarques identiques. C’est dommage que l’on n’ait le plan, moi je me suis rendu à la Maladière il y a un ou deux jours, je n’avais pas de plan, je n’ai pas trouvé le tas de sel. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 5/108 Monsieur le Maire : « La prochaine fois, vous ferez un jeu de piste. Le tas de sel, je signale quand même qu’il est resté pendant vingt-cinq ans ! » Monsieur PERILLAT : « C’est un peu dommage… » Monsieur le Maire : « Il y avait le boulodrome qui était à côté, qui n’était pas loin donc en allant au boulodrome, vous avez bien dû voir le tas de sel. » Monsieur PERILLAT : « Enfin bon, c’était quand même facile de donner le plan, je pense que l’on aurait trouvé plus facilement. La deuxième chose, c’est l’objet, qu’est-ce que vous comptez faire par la suite ? » Monsieur le Maire : « Un terrain de zone industrielle alors que tout le monde clame que l’on manque de terrains pour l’activité industrielle, je crois que la réponse apparaît évidente d’elle-même. Donc c’est en zone industrielle, c’est du terrain industriel, donc que l’activité puisse être industrielle stricto sensu, commerciale/industrielle ou commerciale. » Monsieur PERILLAT : « D’accord, mais cela va être un terrain salé… » Monsieur le Maire : « La facture ne l’est pas, c’est l’essentiel. » Monsieur PERILLAT : « Le sel a dû s’infiltrer dans le sol, non ? » Monsieur le Maire : « Non, il n’y a pas de pollution, il n’y a pas besoin de dépolluer. » Monsieur PERILLAT : « Merci pour ces précisions. » Monsieur GALLAY : « C’est un terrain bien situé à un bon prix qui devrait trouver preneur. » Monsieur le Maire : « Je pense aussi, je l’espère, en tout état de cause, pour le vendre, il faut déjà l’acquérir, c’est ce que nous faisons ce soir. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Acquiert le site de l’ancien site du CTD/CERD de la Maladière au prix de 220 000€, - Charge l’Etude CABOURDIN-LEGER-JUSKOWIAK-CIAVOLELLA-LUX de la rédaction de l’acte authentique. POUR V O T E 30 LEGER JC - TAVERNIER JC - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 6/108 Acquisition de divers biens appartenant à la SNCF pour la réalisation du pôle multimodal Rapporteur : Monsieur le Maire La plus grande partie de l’assiette foncière du Pôle Multimodal de la Gare de CLUSES partie Gare Routière – sera prélevée sur le Domaine Public dépendant de RFF et transférée au Département de la Haute-Savoie par le biais d’un transfert de gestion conformément aux règles édictées par le Code Général de la Propriété des Personnes Publiques. En complément de ces emprises, la Commune doit acquérir de la SNCF des parcelles qui permettront la réalisation des assises de la passerelle de franchissement des voies et servant de liaison piétonne entre le quartier de la Gare (Centre-Ville) et le secteur de la Boquette. Il s’agit en premier lieu : - d’une parcelle cadastrée sous les références Section B N° 5081 d’une surface de 1 a 35 qui constituait précédemment le jardin de la Maison du Chef de Gare, acquise par la Commune en date du 7 juillet 2011 pour un montant de 96 000€ et actuellement démolie. Cette parcelle a été estimée à 3 000 € par les Services fiscaux. En second lieu : - d’une parcelle cadastrée sous les références Section B N° 2997 d’une contenance de 595 m² qui servait d’assiette foncière à la halle « SERNAM » aujourd’hui démolie. Le prix a été fixé par les Services Fiscaux en tenant compte de la valeur du bâtiment à 170 000 € ; sur ce montant, la SNCF a consenti un rabais de 10% ramenant ainsi le prix à 153 000 €. La Halle SERNAM abritait un local technique de la SNCF, et en particulier les engins de déneigement de la gare. Le rachat de ce local et sa démolition ont contraint la SNCF à réaliser des aménagements spécifiques pour reloger le matériel dont le coût a été mis à la charge de la collectivité selon les règles pratiquées habituellement par la SNCF ; le montant s’élève à 22 400,00 € HT. Débat : Monsieur MARTIN : « Je vais vous étonner, mais moi je suis très étonné ! On refait une gare multimodale, vous êtes d’accord avec moi, qui va coûter une fortune, pour accueillir des voyageurs, lesquels voyageurs sont les clients de la SNCF, laquelle SNCF encaisse donc de l’argent. Nous, ville, on va dépenser des millions, on ne va jamais encaisser d’argent, on fait cela parce que c’est bien pour la ville de CLUSES, pour l’accueil de la population, des visiteurs, des touristes, pour l’urbanisme, etc., mais tous ces investissements vont être faits pour qu’il y ait plus de clients à la SNCF qui va encaisser donc théoriquement plus d’argent. A la limite, que l’on achète deux parcelles, pourquoi pas ? Mais que l’on paie 22 400 € de frais de reconstitution du local technique à destination du matériel de la SNCF, je trouve cela terriblement étonnant. Quant aux deux parcelles que l’on rachète, c’est pour les modifier, nous avec notre argent, pour leur rendre service, pour qu’ils aient des clients, qu’ils encaissent plus de recettes. Conséquence de quoi, je trouve que la SNCF ne joue pas le jeu, si la SNCF ne joue pas le jeu, je ne vois pas pourquoi nous devrions jouer le jeu avec l’argent des contribuables clusiens. » Monsieur le Maire : « Je voudrais tout simplement corriger un petit peu les propos. D’abord, on est dans des contrats de plan Etat/Région, vous êtes bien placé pour le savoir puisque ce Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 7/108 sont quand même des points qui se débattent à la Région, de par la compétence des transports ferrés et que dans ces démarches, on a effectivement une marche de manœuvre qui est totalement inexistante, que nous avons un certain nombre de partenaires dans cette réflexion, il y a le département qui intervient assez fortement sur la gare routière, c’est là où il y avait les locaux de la SERNAM, il y a l’Etat, à la fois dans le contrat de plan Etat/Région et dans d’autres politiques contractuelles avec la Région, il y a la Région je le rappelle, il y a RFF et SNCF, donc il y a toute une série de partenaires qui sont là pour accompagner ce projet. Ces projets qui sont des projets malgré tout structurants pour un territoire, parce qu’aujourd’hui, on pourrait effectivement dire en étant extrême comme vous venez de l’être dans vos propos, on pourrait dire finalement « Pourquoi une voie ferrée, pourquoi des transports ferroviaires, pourquoi ceci, pourquoi cela ? ». Je crois que ces transports servent pour alimenter le territoire, pour développer le territoire, et à partir du moment où on aura une gare de qualité ici, on pourra effectivement avoir un accueil meilleur pour les voyageurs qui viennent ici, soit pour des raisons touristiques, soit pour des raisons industrielles, et on peut effectivement penser que cet aménagement de la gare est utile pour le département, pour la région, et pour notre collectivité. Sinon, on peut élargir de la même manière votre discussion en disant « Pourquoi des autoroutes, pourquoi des aéroports ? », si on considère que les transports ne servent à rien, cela ne sert qu’aux autres, c’est une démarche qui est quand même un peu curieuse. Est-ce qu’il y a d’autres remarques ? » Monsieur DELSANTE : « Bonsoir Chers Collègues. Concernant ces acquisitions, autant sur la première parcelle je trouvais que c’était une belle acquisition, elle n’était pas chère à 60 € du mètre, là, on est à 257 € du m², quand même, à mon avis, je trouve cela un petit peu cher. » Monsieur le Maire : « Il y avait un bâtiment qui était sur ce tènement. » Monsieur DELSANTE : « Oui mais qui va être démoli dans tous les cas. » Monsieur le Maire : « Tout à fait mais quand on achète, on achète le terrain et le bâtiment. » Monsieur DELSANTE : « Oui, mais en très mauvais état. » Monsieur le Maire : « Oui, certes, il n’était pas de toute jeunesse, mais il avait une réalité, il a quand même un coût. » Monsieur DELSANTE : « Oui, mais cela reste le prix du m² le plus cher vendu dans le secteur depuis un moment, à 257 €… » Monsieur le Maire : « C’est un prix qui a été validé par les domaines pour reprendre la question de tout à l’heure de Dominique MARTIN, ce n’est pas nous qui le fixons, c’est un prix qui est effectivement fixé à ce niveau-là, et qui correspond aux normes. C’est sûr que ce bâtiment il avait une réalité, le bâtiment SERNAM, celui-ci, l’autre, etc… » Monsieur DELSANTE : « Les domaines, c’est l’Etat, la SNCF, c’est l’Etat… » Monsieur le Maire : « Pas tout à fait, la SNCF c’est une entreprise maintenant industrielle et commerciale, ce n’est plus une entreprise d’Etat. Est-ce qu’il y a d’autres questions, d’autres remarques ? » Monsieur PERILLAT : « Ce n’est pas une remarque. Moi, je comprends le bien-fondé de vos acquisitions. Je pense qu’il y a des bâtiments qui étaient obsolètes, qui n’étaient pas très jolis esthétiquement, donc, vous faites acquisition de parcelles avec du bâtiment que vous Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 8/108 démolissez, je comprends le bien-fondé, sachant que vous faites un projet un peu pharaonique… » Monsieur le Maire : « J’ai déjà entendu cela quelque part… » Monsieur PERILLAT : « Pharaonique, surdimensionné, et j’en passerai des meilleurs, donc nous, on va s’abstenir là-dessus, on ne parlera même pas du prix parce que le prix est ce qu’il est, mais c’est vraiment… On est dans une cohérence contre ce projet surtout dans son surdimensionnement, c’est pour cela que l’on va s’abstenir. Mais on comprend le bien-fondé de vos acquisitions. » Monsieur le Maire : « C’est bien, c’est un début déjà de compréhension, je voudrais quand même, sur ce côté pharaonique, vous savez que c’est un terme qui est choquant parce qu’il ne correspond strictement à rien. En terme de sécurité pour traverser les voies aujourd’hui, écoutez, si vous êtes un homme moderne, un homme d’actions, on ne traverse pas les voies, surtout quand on est une personne à mobilité réduite, comme on les traversait sur des espèces de plateaux. Pour traverser, il y avait deux possibilités, soit le passage souterrain comme cela se fait beaucoup mais qui était techniquement impossible, sauf à partir sur un projet qui au départ était évalué a minima à 8 000 000 €, et on ne savait pas où on s’arrêtait parce que l’on a un terrain qui est épouvantable dessous, mais c’était la mise minimum, ou soit effectivement faire cette passerelle qui elle, n’est qu’à 4 000 000 €, donc à moitié prix et qu’il faut malgré tout pour des raisons, si vous voulez, de sécurité, si on veut donner une dimension à la gare, parce que je reprends les arguments de Dominique MARTIN, si on veut que cette gare existe, il faudrait déjà permettre qu’il y ait la troisième voie qui soit ici, que l’on ait du trafic, on ne peut pas avoir du trafic pendant les périodes d’hiver, je pense que de temps en temps vous venez voir ce qu’il se passe à la gare pendant les grands flux du mois de février, comment voulez-vous que l’on traverse la gare dans des conditions normales si on n’a pas cet équipement ? Il faut sécuriser, il y a quand même des personnes âgées, il y a des personnes fatiguées, vous en êtes, j’en suis, nous sommes bien contents d’avoir des ascenseurs pour traverser la voie, nous sommes contents qu’il y ait des escaliers avec des rampes etc…, donc à un moment donné, il y a un minimum de logique, à la fois pour tenir compte d’un projet qui doit se tenir, de sécuriser ces traversées de voies et d’une réalité économique. Je répète que c’était la solution la moins chère, alors on ne va pas refaire le débat à chaque fois là-dessus, mais je tiens une fois pour toute à bien caler les choses. Estce qu’il y a d’autres questions ? » Monsieur GALLAY : « Je rejoins les observations des différents intervenants et aussi la vôtre, c’est-à-dire, il y a un bien-fondé bien sûr pour l’acquisition de ces parcelles, mais seulement, les observations concernant le prix, le prix est un peu excessif… » Monsieur le Maire : « Je rappelle juste qu’il y a eu un appel d’offres, cet appel d’offres s’est concrétisé par un certain nombre de projets de candidatures, que l’on a pris non seulement le projet le plus chouette mais également le moins cher, j’aurais dû dire le moins cher et le plus chouette, donc il ne faut pas dire non plus que l’on a laissé faire n’importe quoi. Cette concurrence qui était ouverte à des groupes français, voire étrangers, il ne faut pas dire par rapport à l’importance du projet, à la technicité nécessaire du projet, les contraintes imposées, ce n’est pas un projet qui est cher. Je le disais tout à l’heure que si on faisait un passage inférieur, c’était encore plus cher donc à un moment donné, je pense qu’il ne faut pas dire ou laisser dire des choses qui ne le sont pas, qui sont excessives. On aurait pu effectivement laisser le plateau, on aurait pu le faire mais on n’aurait jamais été multimodal. » Monsieur GALLAY : « Monsieur le Maire, l’appel d’offres, ce n’était pas pour l’acquisition des tènements, c’était pour la passerelle ? » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 9/108 Monsieur le Maire : « Oui, pour la passerelle. » Monsieur GALLAY : « Donc ce sont deux choses différentes, là, on fait une observation sur le coût du foncier, c’est tout. » Monsieur le Maire : « Alors désolé mais sur le foncier, c’est une évaluation des domaines, et je redis ce que je disais tout à l’heure à Serge DELSANTE, on a fait l’acquisition d’un tènement sur lequel il y avait un bâtiment et il y avait donc une emprise foncière, et ce prix a été fixé par les domaines et je crois qu’il n’y a pas grand-chose effectivement à redire. C’est toujours trop cher quand on achète, c’est classique, mais ce n’est jamais assez cher quand on vend, mais je crois que ce prix est tout à fait acceptable. » Monsieur MARTIN : « Pour préciser. On n’est pas contre le projet, ce n’est pas cela mais on trouve illogique que ceux qui vont profiter de cette rénovation, et encaisser de l’argent, aient non seulement le toupet de nous vendre ce dont ils sont propriétaires, mais en plus d’exiger qu’on leur rebâtisse un local. Alors oui, ils disent c’est l’Etat, c’est la Région, c’est la commune, je trouve que c’est un peu gros. Les autoroutes ont été vendues à des privés, maintenant ils achètent leurs terrains et ils fabriquent leurs autoroutes. » Monsieur le Maire : « Oui, et on paie l’autoroute aussi. » Monsieur MARTIN : « Oui, comme le billet de train. » Monsieur le Maire : « On la paie à travers nos impôts et on la repaie pour l’utiliser. » Monsieur MARTIN : « Oui parce qu’entre les deux, il y a un Etat qui a vendu la poule aux œufs d’or, c’est encore autre chose…. Je ne trouve pas cela très logique. Ils ne jouent pas le jeu ces gens. » Monsieur DELSANTE : « On a un point de comparaison qui va arriver dans un petit moment. Les mètres carrés que vous allez payer à la clinique, c’est un peu le même prix. On va bientôt acheter un nombre important de mètres carrés à la clinique de l’Espérance, on va les payer combien ? » Monsieur le Maire : « Je vous en parlerai tout à l’heure mais il y a des choses qui ne sont pas comparables. » Monsieur DELSANTE : « Ce sont des bâtiments, c’est à peu près dans le même secteur… » Monsieur le Maire : « Non… » Monsieur DELSANTE : « Non, véritablement, ce terrain on le paie très très cher et vous ne pourrez jamais m’expliquer qu’on l’achète parce que… Bien sûr, les services de l’Etat ont décidé « de », mais quand même, on le paie trois fois ce qu’il vaut et cela, ce n’est pas l’expertise des domaines de l’Etat, c’est la mienne. » Monsieur le Maire : « C’est la vôtre, elle a le mérite d’être, mais je vous redis que dessus, il y a un bâtiment et du terrain. » Monsieur DELSANTE : « Je vous redis que c’est beaucoup trop cher. » Monsieur le Maire : « Oui, vous pouvez toujours dire que c’est trop cher et tout à l’heure, vous direz que ce n’est pas assez cher de l’autre côté, alors vous voyez que l’on a un équilibre. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 10/108 Monsieur DELSANTE : « Non, quand la commune achète peu cher, je suis content, c’est quand elle balance comme cela de l’argent que… » Monsieur le Maire : « Je suis désolé de ce prix qui est effectivement un prix imposé par les domaines. On ne va pas discuter sur le prix du foncier pendant cent sept ans, on ne fera pas avancer le schmilblick. Est-ce qu’il y a d’autres prises de paroles ? Nous passons au vote. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve l’acquisition de la parcelle cadastrée sous les références Section B N°5081 pour un montant de 3 000 €, - Approuve l’acquisition de la parcelle cadastrée sous les références Section B N°2997 pour un montant de 153 000 €, - Assume les frais de reconstitution du local technique à destination du matériel SNCF pour un montant de 22 400 € HT. POUR V O T E 22 LEGER JC - TAVERNIER JC - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S – GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Offre de reprise de l’immobilier de la clinique de Cluses Rapporteur : Monsieur le Maire Le 2 juillet prochain, une SARL en cours de formation représentée par le Docteur Thierry MARTINEZ fera une offre d’acquisition de l’activité de la CLINIQUE DE CLUSES dans le cadre du plan de cession conformément aux dispositions des articles L 631-13 et L 642-1 du Code de Commerce. Le Docteur MARTINEZ exerce depuis 1999 l’activité de chirurgien orthopédique et traumatologue. Ancien assistant chef de clinique à GRENOBLE, il a exercé à l’hôpital d’Annecy et dans divers hôpitaux de Savoie en qualité de praticien hospitalier. Il a intégré la Clinique de CLUSES en 2011. Cette offre de reprise de l’activité médicale englobe le Service de Premier Recours accordé par l’ARS, et s’appuie sur l’activité de radiologie en particulier du scanner. Elle ne peut cependant se faire sans une offre d’achat de l’immobilier que la SARL en cours de formation ne peut actuellement assurer. Compte tenu de l’intérêt général que revêt le maintien du Service de Premier Recours pour le bassin clusien, la Collectivité pourrait se porter acquéreur de l’immobilier qu’elle mettrait à disposition de la société repreneuse pendant une durée de 3 mois pour parer à l’urgence de la situation. Dans ce délai serait élaborée entre la Commune de CLUSES et la Société une convention qui réglerait les conditions de mise à disposition, de location et enfin de cession des immeubles permettant l’exercice de l’activité médicale, la Commune n’ayant pas vocation à rester propriétaire de l’ensemble immobilier. L’approbation de cette convention ou de ce protocole sera soumise au Conseil Municipal lors de sa prochaine réunion. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 11/108 Il est proposé de faire une offre d’achat des bâtiments et du sol de la Clinique cadastrés sous les références Section B N°1505, 1659, 1660, 2 796, 3496, 3497, 3985, 3987 pour une contenance de 10 345 m² au prix de 220 000 €, offre qui a obtenu l’aval des Services Fiscaux. En outre cette offre serait indissociablement liée à l’offre de la SARL en cours de formation représentée par le Docteur Thierry MARTINEZ pour la reprise de l’activité médicale et serait caduque en cas d’attribution de l’activité à toute autre personne physique ou morale que celle sus-désignée. Débat : Monsieur GALLAY : « Nous étions en attente de cette démarche positive, de ce coup de pouce que la commune donne pour essayer de maintenir un outil de santé utile à notre territoire, donc nous apprécions cette intervention immobilière provisoire qui s’élève seulement à 21 € par m², plus la construction, donc c’est une excellente transition. Pour reparler des prix de tout à l’heure du quartier de la gare. Déjà, je pense que KAPA SANTE avait acheté l’ensemble 253 000 €, là, vous rachetez 220 000 €, c’est bien. Vous rachetez à qui ? Au liquidateur ? » Monsieur le Maire : « Bien sûr. » Monsieur GALLAY : « Oui. Donc, nous apprécions cette démarche positive, ce coup de pouce de la commune. Nous votons pour. » Monsieur le Maire : « Merci. Est-ce qu’il y a d’autres remarques ? » Monsieur PERILLAT : « Moi, je pense que l’on a pas mal reproché, notamment à vous, de ne rien faire pour le maintien de la clinique et des soins à CLUSES, à cette clinique de l’Espérance, donc je pense que là, vous faites quelque chose, je ne vais pas vous féliciter quand même parce que cela ne se fait pas…» Monsieur le Maire : « Cela se fait mais cela vous écorche tellement… » Monsieur PERILLAT : « Je crois que c’est une bonne chose, tant au niveau du prix, par contre, ce qui m’inquiète un peu, ce sont les travaux parce que c’est dans un état quand même qui est… Au-delà du prix d’acquisition, je crois qu’au niveau des travaux, il y aura quand même des travaux importants, et est-ce que l’on a pensé au coût des travaux ? » Monsieur le Maire : « Les travaux ne seront pas réalisés par la collectivité dans le cadre de la convention, les travaux seront réalisés par effectivement le locataire dans un premier temps, et qui fera les éventuels travaux d’urgence. Je précise simplement que l’exploitation s’est faite dans des conditions qui étaient quand même acceptables, il y aura effectivement quelques petits travaux, on aura également un rôle à jouer, une intervention pour compléter un petit peu ce que je viens de dire, il y a des choses que je ne suis pas encore en droit d’annoncer ce soir mais si j’ai apprécié ce compliment timide, du bout des lèvres, ce n’est pas pour autant que depuis quand même cinq mois, on travaille ce projet, que ce n’est pas simple quand il faut avoir les médecins, l’administration judiciaire, les services de l’ARS, etc., ce n’est pas simple à monter et que parfois, les travaux de fourmi, discrets, sont tout aussi efficaces que des grandes déclamations qui n’amènent rien. » Monsieur PERILLAT : « Pour résumer, nous, nous sommes très favorables à ce projet de reprise, sachant que nous avons toujours été favorables aux soins de proximité, aux soins d’urgence, donc, nous sommes favorables et s’il faut vous féliciter, nous vous félicitons. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 12/108 Monsieur le Maire : « Je ne vous en demande pas tant. Madame DARDENNE et après Monsieur DELSANTE. » Madame DARDENNE : « Je voulais savoir si vous pouviez nous dire si tous les salariés retrouveraient leur emploi ? » Monsieur le Maire : « Il y a un plan de reprise dont on n’a pas la maîtrise. Il est certain que dans un premier temps, tous les salariés ne seront pas repris, il y aura peut-être trente-cinq, trente-six personnes. Il est bien évident que l’on passe d’une activité en direct plus les urgentistes, plus le scan, mais les trente-cinq, c’est ce qui serait uniquement pour la partie chirurgie. Mais il faut reconstruire le projet, vous savez ce qu’il s’est quand même passé ces derniers temps, donc il y aura malheureusement proposé au tribunal un plan de licenciement et cela, je ne vois pas comment on peut faire autrement. » Madame DARDENNE : « Merci. » Monsieur le Maire : « Monsieur DELSANTE, vous aviez une question ? » Monsieur DELSANTE : « C’est pour une question concernant la structure même, je dirais l’aspect technique de l’acquisition que la commune s’apprête à réaliser. C’est donc le liquidateur qui aujourd’hui est le propriétaire puisqu’il y a eu une extension à la SCI du dépôt de bilan, on va dire, et l’idée serait de porter ces murs pour une période de trois mois ? » Monsieur le Maire : « Non, disons qu’il y a trois mois à partir du moment où le tribunal va prendre sa décision, il faut qu’il y ait une situation claire qui permette aux chirurgiens de fonctionner, d’exploiter. Donc, pendant trois mois, la commune est propriétaire, elle met à disposition les bâtiments, les locaux pour les médecins. Pendant cette période de trois mois, cela nous laissera le temps de construire, de mettre en place une convention entre les médecins et la collectivité pour la suite, qu’il y ait effectivement, que cela se déroule dans un cadre juridique qui soit défini, et que l’on n’avait pas le temps de traiter, de définir dans un délai aussi près. » Monsieur DELSANTE : « C’est bien ce que j’avais compris. Pourquoi, pour faire plus simple, le liquidateur ne loue pas directement les murs à la société en constitution ? » Monsieur le Maire : « Parce que, si vous voulez, le liquidateur, ce qu’il veut, c’est quand même réaliser ces biens, le liquidateur ne peut pas se les réaliser pour lui-même. » Monsieur DELSANTE : « C’est parce que le liquidateur veut vendre… Monsieur le Maire : « Oui, il veut récupérer… » Monsieur DELSANTE : « Il veut faire l’opération, toucher ses honoraires… » Monsieur le Maire : « Non, pas ses honoraires… Les 220 000 € de l’acquisition vont quand même bien aller quelque part, le liquidateur ne peut pas se payer sur les murs et sur la bête, donc il faut bien qu’il trouve un acquéreur. » Monsieur DELSANTE : « Oui, mais je veux dire, à trois mois, à six mois près, il aurait très bien pu les louer et la commune n’avait pas à s’immiscer là, au milieu… » Monsieur le Maire : « Non, absolument pas, parce que c’est une opération, vous savez très bien les problèmes qui trainent depuis pas mal de temps, cela a été reporté et reporté, maintenant, il faut arrêter, il faut qu’il y ait un projet global de reprise, c’est pour cela que l’on Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 13/108 a parlé de projet indissociable où il y a à la fois le repreneur de l’activité et les murs, et c’est là où il y a effectivement cette urgence, et ce caractère d’indissociabilité. » Monsieur DELSANTE : « Aussi une petite chose, par rapport à la convention qui va être établie entre les médecins repreneurs et la commune, le prix de cession est d’ores et déjà établi ? » Monsieur le Maire : « Le prix de cession pourrait être établi mais la convention vous sera présentée. » Monsieur DELSANTE : « Au Conseil Municipal ? » Monsieur le Maire : « Oui bien sûr, c’est une délibération de Conseil Municipal qui sera à prendre dans les trois mois, c’est-à-dire Conseil Municipal de fin septembre ou fin octobre, tout dépend un petit peu des petits problèmes auxquels on aura affaire et qui devra être traité, cela sera je pense fin septembre pour effectivement tenir compte de ce délai. » Monsieur DELSANTE : « L’idée serait justement de profiter de cette belle acquisition à un bon prix pour ne pas les assommer et qu’ils puissent repartir d’un bon pied. » Monsieur le Maire : « Tout à fait. On n’est pas marchand de bien dans cette opération. » Monsieur DELSANTE : « Oui, c’est cela, merci. » Monsieur le Maire : « Est-ce qu’il y a d’autres remarques, d’autres questions ? Oui, Monsieur MARTIN. » Monsieur MARTIN : « Monsieur le Maire, on va voter cela des deux mains parce que l’on estime que c’est une nécessité même si au bout du compte les urgences auront disparu… » Monsieur le Maire : « Non, cela ne s’appelle pas de la même façon… » Monsieur MARTIN : « Mais ce n’est pas un service de premier recours, ce ne sont plus des urgences, cela n’a strictement rien à voir. » Monsieur le Maire : « Vous permettez que je vous réponde là-dessus ? » Monsieur MARTIN : « Oui. » Monsieur le Maire : « C’est une appellation qui est, j’allais dire, administrativement obligatoire dans la mesure où ce secours ne remplissait pas toutes les conditions, à savoir que pour les gens qui arrivaient ici, on doit leur apporter les soins complémentaires qui peuvent être indispensables. C’est la raison pour laquelle on appelle cela premier recours, et cela ne fait que pratiquement confirmer la situation qui durait depuis deux ans, ou trois ans, il n’y a pas de changements sur les soins rendus, sur la réactivité au niveau des soins. Il n’y a pas de changements là-dessus et l’objectif, c’est de revenir à du 24/24 sur 365 jours. Il y a une petite appellation, j’allais dire, technique un petit peu différente mais c’est tout. » Monsieur MARTIN : « Cela c’est votre point de vue, ce n’est pas le mien, et je n’ai pas les mêmes sons de cloche. Si cela devait ne pas avoir changé, je ne vois pas pourquoi on change l’intitulé. Urgence, c’est urgence… » Monsieur le Maire : « Parce qu’administrativement, c’est… » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 14/108 Monsieur MARTIN : « Service de premier recours, c’est de la « bobologie », on met du pansement en attendant et après on évacue soit sur SALLANCHES, soit sur le CHAL… » Monsieur le Maire : « C’est ce qui se passait jusqu’à maintenant. » Monsieur MARTIN : « Le dessein de l’ARS, c’était de tuer les petits pour continuer à pouvoir financer les gros, tout le monde le sait, ils ont eu la peau de la clinique, enfin, du service des Urgences et par voie de conséquence, éventuellement de la clinique, si parce que tout ce que vous dites est vrai, si cela devait devenir viable pour le Docteur MARTINEZ et ses associés, pourquoi donc alors le groupe KAPA se retire ? Ils ne sont pas plus bêtes que les autres. Si KAPA estime qu’ils vont droit dans le mur, comment le Docteur MARTINEZ lui, pense qu’il va gagner de l’argent ? Moi je vote à deux mains, mais je pense que l’ARS, se sont des … , voilà, j’utilise le mot, et qui est derrière l’ARS qui a pris cette décision et je pense que malgré cette mesure, cette clinique disparaîtra à terme parce qu’à terme, ils n’auront pas les moyens de gagner de l’argent, de vous louer le local ou de vous le racheter, mais j’essaie et je vote à deux mains, et que cela soit bien entendu ce que j’explique, parce que chez KAPA, ils ne sont pas plus fous que les autres, si c’était viable, ils auraient gardé, s’ils ont déposé le bilan, c’est que ce n’est pas viable. » Monsieur le Maire : « Il y a des choses que je n’ai pas le droit de dire… » Monsieur MARTIN : « Vous n’avez pas le droit de dire, on ne comprend pas… » Monsieur le Maire : « Je vous le dirai off… » Monsieur MARTIN : « Bien sûr… » Monsieur le Maire : « Je vous le dirai off… » Monsieur MARTIN : « Off mais quand le Docteur MARTINEZ va devoir refaire tous ses bâtiments, lui, contrairement à SNCF à qui on paie pour lui ramener de l’argent, il va se dire « ouh là là ! » et en combien de temps il va amortir cela, eh bien « ouh là là », parce que vendre des sparadraps, je vous assure que cela ne fait pas beaucoup de sous, cela ne fait pas de la recette. » Monsieur le Maire : « On ne va pas faire le débat là-dessus, j’ai entendu ce que vous avez dit. » Monsieur MARTIN : « Il n’y a pas de débat, la vérité s’impose, si KAPA se sauve, c’est qu’il y a un problème. » Monsieur le Maire : « Je pourrais vous répondre mais je vous répète qu’il y a des choses que je ne peux pas dire, je n’ai pas le droit. » Monsieur MARTIN : « Cela ne sert à rien, si vous n’avez pas le droit de dire, on n’a pas le droit de voter, on s’en va. » Monsieur le Maire : « Si vous voulez… » Monsieur MARTIN : « Je vous prends au défi, je m’en vais… Cessez ce genre de défi. » Monsieur le Maire : « Cessez aussi vos histoires, écoutez… » Monsieur MARTIN : « J’ai le droit de vous donner mon sentiment ? Ce n’est pas qu’une chambre d’enregistrement ? » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 15/108 Monsieur le Maire : « Vous avez donné votre sentiment alors… » Monsieur MARTIN : « Oui, mais vous dites que vous n’avez pas le droit de nous dire, que l’on n’a qu’à partir, c’est une façon de présider une assemblée ? » Monsieur le Maire : « Alors non, ce n’est pas moi qui ai dit cela, c’est vous qui l’avez dit d’abord, alors faites attention à ce que vous dites. Ne renvoyez pas aux autres vos propos. » Monsieur MARTIN : « Oui, je maintiens mes propos. » Monsieur le Maire : « Vous avez des choses à dire, vous les avez dites, point final. » Monsieur MARTIN : « Oui, c’est systématiquement « on ne comprend rien », « je n’ai pas le droit de vous dire » et « c’est comme cela et pas autrement », c’est quand même dur ces Conseils Municipaux. Pour des bénévoles que nous sommes et qui travaillons sans service… » Monsieur le Maire : « Bénévoles, oui d’accord… » Monsieur MARTIN : « Oui, bénévoles ! » Monsieur le Maire : « D’accord, est-ce qu’il y a d’autres questions ? » Monsieur GALLAY : « Simplement, en marge de notre appréciation de cette démarche positive, nous confirmons que l’ARS aurait dû se remettre en question et jouer son rôle, autrement dit, ce que la commune fait, c’est très bien, mais cela revient en conclusion, à aider la constitution d’une superbe maison médicale, c’est-à-dire, parce qu’il y a donc la radiologie, le premier recours, autrement dit, c’est un peu au-dessus de la maison médicale. » Monsieur le Maire : « Non, parce qu’il y a de la chirurgie, il y a un projet chirurgical, dans une maison médicale, il n’y a pas de chirurgie. Le Docteur MARTINEZ et son équipe font de la chirurgie, ils ne font pas du premier recours. » Monsieur GALLAY : « Non, lui, il est chirurgien orthopédique et traumatologue. » Monsieur le Maire : « Oui et il y en a d’autres, il n’est pas tout seul dans l’équipe. » Monsieur GALLAY : « En plus, cette offre de reprise englobe le service de premier recours, autrement dit, entre parenthèse « la bobologie » mais c’est utile, accordée par l’ARS et s’appuie sur l’activité de radiologie, en particulier le scanner, c’est dit comme cela, mais c’est déjà bien, cela ne remet pas en cause votre décision, la décision communale, mais on est obligé de faire le constat que l’ARS aurait dû comme dans d’autres cas en France se remettre davantage en question. La critique que je fais n’est pas une critique communale. » Monsieur le Maire : « J’en prends bonne note. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 16/108 Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Valide l’offre d’achat de l’immobilier de la Clinique de CLUSES au prix de 220 000 €, - Précise que cette offre est indissociablement liée à l’offre de reprise de l’activité présentée par la SARL en cours de constitution présentée par le Docteur Thierry MARTINEZ et serait caduque en cas d’attribution de l’activité à toute autre personne physique ou morale, - Autorise la mise à disposition des locaux gratuitement pendant une durée de 3 mois de manière à permettre l’élaboration d’une convention de mise à disposition, de location puis de cession des immeubles à la SARL en cours de constitution, - Habilite Monsieur le Maire à effectuer toutes les démarches nécessaires à la réalisation de cette offre d’achat. - Dit que les crédits nécessaires à cette acquisition seront imputés sur la ligne 215 - chapitre 21 du Budget 2013 de la Commune de CLUSES. POUR V O T E 30 LEGER JC - TAVERNIER JC - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 17/108 FINANCES Monsieur le Maire quitte la salle. Monsieur TAVERNIER, 1er Maire-adjoint est élu à la présidence de séance. Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget général 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Arrivée de Monsieur MIVEL, Maire-adjoint (procuration de MELON R.) Conformément à l’instruction comptable M14, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget général. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget général laissent apparaître un excédent de la section de fonctionnement de 4 450 403,47 € et un excédent cumulé de la section d’investissement de 1 176 500,95€. Au résultat d’exécution de l’investissement de 2012, il est ajouté le résultat des restes à réaliser de 2012 sur 2013. Le solde des restes à réaliser est de -4 399 289,48 €, ce qui conduit à un besoin de financement de 3 222 788,53 €. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur PERILLAT : « Concernant le point 10, le ratio 10, les villes moyennes, c’est 24.20, on est à 20.78 en 2011, là, on est à 14 alors… » Monsieur TAVERNIER : « C’est ce que l’on vient d’expliquer. C’est-à-dire, il y a tellement de restes à réaliser, que l’on ne comptabilise dans ce ratio que les investissements d’équipement effectivement réalisés, comme on en a eu relativement peu pour des tas de raisons techniques, on en a eu relativement moins en 2012, ce ratio a chuté. Il y a fort à parier que l’année prochaine, il aura largement remonté. » Monsieur MODART : « Donc, globalement, forcément le ratio 10, les dépenses d’équipement brutes ont diminué et les recettes de fonctionnement ont augmenté, donc mécaniquement effectivement le ratio prend un sérieux coup entre les deux exercices. » Monsieur GALLAY : « Ce compte administratif traduit plus ou moins fidèlement des orientations budgétaires contestables, une politique budgétaire laxiste sur le plan de la santé, tout au moins jusqu’à ces derniers jours, où comme on l’a dit tout à l’heure, un effort attendu a été fait, une politique budgétaire laxiste sur le plan de la sécurité, une politique budgétaire onéreuse et inefficace en matière de ressources humaines et de communication interne et externe, une politique arbitraire et capricieuse sur le plan de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire et de l’animation, etc., les dépenses de fonctionnement en Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 18/108 particulier les charges de structures, c’est-à-dire les charges à caractère général, les charges de personnels sont en forte inflation, vous en avez parlé tout à l’heure. Les contributions aux syndicats intercommunaux, plus de 3 100 000 € et au budget annexe 738 000 € sont énormes. Les dépenses d’équipement diminuent d’un tiers, et l’endettement augmente de 850 000 € amenant la dette à 20 000 000 €. Les ratios dont vous avez parlé récemment confirment par ailleurs que des recettes de fonctionnement par habitant supérieures à la moyenne impliquent cependant des dépenses d’investissement inférieures et une dette et des impositions directes supérieures par habitant. Avec un tel budget dépendant des contribuables et normalement au service des administrés, on devrait se sentir mieux à CLUSES alors que nous constatons que notre ville perd malheureusement de son attractivité. Ce budget est vraisemblablement mal adapté à la situation clusienne. Nous ne pouvons donc que nous abstenir sur ce budget. Merci de votre attention. » Monsieur MARTIN : « Je m’associe totalement à ce qui a été dit par Monsieur GALLAY mais je voulais rajouter, cela a été dit, mais moi je voudrais insister là-dessus, meilleures recettes, on a de meilleures recettes ce qui veut dire que l’on a un rendement fiscal qui est meilleur, et on voit dans les ratios n°2, on a un r endement fiscal qui nous permettrait, cela on le répète à chaque fois, soit de stabiliser les prélèvements en net, parce que vous, vous parlez à chaque fois du taux que vous n’augmentez pas, voire même de les baisser. Vous expliquez que la baisse des investissements est due à des travaux reportés, oui, mais là, on peut se demander pourquoi ils sont reportés, vous aurez certainement de bonnes explications, mais moi, je peux même être plus méchant en disant que vous les avez reportés sur cette année, ce qui fait que le compte administratif de 2013 qui sera présenté début 2014, vous allez faire les « cakes » en disant « vous voyez comme notre investissement a largement augmenté » mais je n’ose pas penser qu’il s’agit d’une manœuvre électorale. » Monsieur TAVERNIER : « Surtout que le compte administratif sera présenté en juin 2014, alors que les élections municipales seront terminées. » Monsieur MARTIN : « Comment vous le savez que cela sera en juin ? » Monsieur MODART : « Je précise aussi que les restes à réaliser sont transmis aux services préfectoraux qui vérifient les états de restes. » Monsieur MARTIN : « On est d’accord mais je veux dire que c’est un moyen comme un autre d’expliquer que l’on est des gens formidables puisqu’en 2013, d’un seul coup on a doublé notre montant d’investissement. Je n’imagine pas que c’est cela, mais je me dis… Je sais comment cela fonctionne ! Alors, ce que je ne comprends pas, vos dépenses d’investissement diminuent puisqu’il y a des travaux reportés mais en même temps, l’endettement augmente, pas tout à fait 20 000 000 €, 19 886 736.96 €, c’est curieux ! Si on reporte des travaux, on doit être moins endettés, enfin, je ne sais pas, il y a peut-être une explication. » Monsieur MODART : « Après, sur la négociation des emprunts, effectivement, la marge de manœuvre est des fois réduites parce que l’on a des meilleures conditions d’emprunt en empruntant des enveloppes plus larges effectivement qu’en empruntant seulement 1 000 000 €, donc voilà les conditions sont celles-ci en matière d’emprunt. Il vaut mieux emprunter 2 000 0000 € que d’emprunter 1 000 000 €, quitte à le mettre en réserve effectivement pour la suite et pour financer nos restes à réaliser dans tous les cas. » Monsieur MARTIN : « Oui, mais je peux vous répondre que si cela se trouve, l’année prochaine, les taux seront encore meilleurs que cette année. Il y a des bugs quand même dans la gestion, je ne parle pas de la direction du service financier, je parle des choix politiques, c’est étonnant. On emprunte alors que cela ne sert à rien, on reporte des travaux, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 19/108 on ne sait pas pourquoi, et plus dans le détail, j’ai des petites questions. Dans les dépenses de fonctionnement 2012, le poste 60623 alimentation qui augmente de 20.01 %, le poste 6064 qui augmente de 21 %, 48 602 € .» Monsieur MODART : « Pardon, c’est sur quelle page ? » Monsieur MARTIN : « C’est un document à moi. » Monsieur MODART : « C’est la balance comptable ? » Madame DARDENNE : « C’est la balance par rapport à 2011. » Monsieur MODART : « D’accord. » Madame DARDENNE : « C’est ce que je vous expliquais tout à l’heure. » Monsieur MODART : « Donc le 6064, le compte « fournitures administratives », j’ai retenu. » Monsieur MARTIN : « Alors dans ce genre de comptes, dans « services extérieurs, entretien réparations matériel roulant », « entretien réparations autre matériel », augmentation 131 % et 17 %. » Monsieur MODART : « Oui, c’est vrai que les dépenses d’entretien, forcément, ce sont des dépenses assez fluctuantes par nature, les fournitures administratives également sur des masses qui sont beaucoup plus faibles… » Monsieur MARTIN : « Fournitures administratives, non, d’une année sur l’autre, je pense que l’on devrait retrouver, je ne comprends pas. « Versements à des organismes de formation », le compte 6184, qui augmente de 44.95 %, alors que la formation dédiée aux élus est bloquée à 15 000 € pour trente-trois élus depuis bientôt vingt-cinq ans, que vous ne voulez pas augmenter au prétexte qu’il n’est pas dépensé, mais il n’est pas dépensé parce que 400 € par an et par élu, c’est impossible d’aller faire une formation. Donc, nous, on est verrouillé depuis vingt ans à 15 000 € pour trente-trois élus et là, je vois que les versements à des organismes de formation, on passe de 56 000 € à 82 000 €, augmentation de 44.95 %, je ne comprends pas. Toujours dans les autres services extérieurs, autres personnels extérieurs aux services, une augmentation de 206 %, alors vous nous avez expliqué tout à l’heure que la masse salariale globalement a augmenté au vu des bonnes performances de nos employés municipaux et de la nouvelle grille tarifaire. A quoi cela correspond cet autre personnel extérieur ? Les honoraires aussi augmentent de 41 %. Il y a aussi dans les comptes 6232-33-36-37, cela c’est très curieux, « fêtes et cérémonies », on augmente de 439 %, « catalogues et imprimés » de 60 % alors que le bulletin municipal est maintenant tous les deux mois et plus mensuel. « Relations publiques », on augmente de 133 %, passant à 52 000 € au lieu de 22 000 € l’année dernière. Il y a le poste « réceptions » qui m’interpelle aussi, qui augmente de 54 %, j’ai un tout petit poste là, ce n’est pas beaucoup de sous, mais il y a surement une explication très technique, « frais de gardiennage, églises, forêts et bois », + 281 %. En fait, en gros, tout ce qui est autre service extérieur a une augmentation très importante, tout confondu, de 21 %. « Impôts et taxes », cela augmente, je ne sais pas pourquoi, vous allez peut-être pouvoir me le dire, j’ai bientôt fini. Dans « charges de personnels », le poste 64731, augmentation qui est donc allocations chômage, puisque l’on a décidé cette année, je crois, de modifier notre système mais qu’avant on assurait notre propre assurance chômage, c’est pour cela que nous l’avions modifiée, c’est ce qui fait que l’on augmente de 144 %, on arrive à 69 000 € au lieu de 28 000 €, cela paraît curieux. J’ai bientôt fini, je ne vais pas vous embêter mais j’en ai plein des pages. Pour répondre à Monsieur le Maire, mais je remettrais cela à la presse, qui dit « Mais Monsieur Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 20/108 MARTIN, vous passez votre temps à tout contester au sein de ce Conseil Municipal », on l’a encore entendu tout à l’heure. Sois disant que l’on crie au loup, que l’on conteste tout, que l’on ne comprend rien, j’ai préparé un petit tableau des dépenses que nous avons rejetées sur l’année 2012. Donc, sur un budget de fonctionnement de près de 27 000 000 € cumulés, nous nous sommes permis d’en rejeter pour 195 537.57 € et là, je le donnerai à la presse, il y a deux entrées de lecture, soit par Conseils Municipaux, soit par rubrique, voilà, donc vous pourrez transmettre à Monsieur le Maire qu’à ce niveau-là de rejet systématique, ce n’est pas mal. Merci. » Monsieur TAVERNIER : « Merci Monsieur MARTIN. Monsieur PERILLAT ? » Monsieur PERILLAT : « Je ne vais pas reprendre tous les comptes un par un, reprendre les différences, je pense que cela serait beaucoup trop long, simplement schématiquement, ce qui me gêne, c’est la faiblesse des investissements. Je crois qu’une ville, c’est comme une entreprise, quand elle n’investit pas, c’est dangereux et là, visiblement, il y a un problème d’investissement et on l’avait déjà relevé lors de l’orientation budgétaire. On s’était déjà abstenu justement concernant cette faiblesse des investissements qui sont reportés, pour quelles raisons, c’est difficile à comprendre, c’est surtout cela. Par contre, il y a des choses intéressantes, c’est au niveau des frais de personnels, j’ai bien compris et entendu qu’il y avait des frais de personnels qui étaient en augmentation, donc c’est quand même une bonne chose puisque cela récompense les travailleurs municipaux. Par contre, les frais financiers, c’est un peu normal que cela baisse, les taux sont historiquement bas, c’est un peu logique que cela baisse face à un endettement qui augmente. C’est quand même une bonne chose aussi, c’est qu’il n’y a visiblement pas d’emprunts toxiques, donc c’est quand même un endettement qui est sain, malgré tout, on s’était abstenu lors de l’orientation, concernant surtout, sans rentrer trop dans le détail des dépenses et autres, c’était surtout sur les investissements et je pense que l’on va s’abstenir concernant cet important compte d’investissement qui est faible à notre regard. Merci. » Monsieur TAVERNIER : « Merci. Pas d’autres interventions sur cette section de fonctionnement ? Oui, Madame DARDENNE. » Madame DARDENNE : « J’ai juste une question pratique à poser pour les années à venir. En fait, pour les comptes administratifs qui sont présentés reliés, fort bien présentés d’ailleurs, bien détaillés, vraiment bien, est-ce qu’il serait possible de rajouter la balance des comptes de grand livre avec ? » Monsieur MODART : « Oui, c’est tout à fait possible. » Madame DARDENNE : « Oui c’est possible ? » Monsieur MODART : « Tout à fait… » Madame DARDENNE : « Parce que cela ne fait pas beaucoup de pages de plus… » Monsieur MODART : « Même si effectivement la balance comptable reprend un peu ce que l’on a dans le rapport au niveau du détail des services, en partie, sauf que là, c’est agrégé par compte, par imputation comptable. » Madame DARDENNE : « C’est une autre manière de l’avoir globalement, et là, en détail justement, comme cela, il y a les deux. Je vous remercie. » Monsieur TAVERNIER : « Si nous le pouvons, nous accéderons à votre demande. » Monsieur MARTIN : « Vous émettez une réserve ? » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 21/108 Monsieur TAVERNIER : « Si on nous dit que techniquement c’est possible, je ne vois pas pourquoi on dirait non. » Monsieur MARTIN : « Merci. » Monsieur MODART : « Je rappelle juste que tous les ans effectivement le compte de gestion est disponible en séance et il peut être demandé à tout moment bien évidemment pour comparer avec le document compte administratif puisque les deux doivent être strictement concordants. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget général : Section de fonctionnement : POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Débat : Monsieur GALLAY : « C’est très curieux. Il y a une excellente présentation budgétaire, autrement dit avec des graphes, des tableaux et puis vous interprétez les choses bizarrement. Je reprends ce que vous avez dit Monsieur TAVERNIER. Les dépenses d’équipement, vous avez dit qu’elles diminuent légèrement, en consolidé, c’est-à-dire tout budget confondu effectivement de 900 000 € mais tout budget confondu, et là, on parle de budget général. Le budget général, les dépenses d’équipement baissent de 30 % donc voilà, il faut dire ce qui est. Après, vous parlez éventuellement si on vous écoute, vous avez une stratégie de désendettement alors que c’est une stratégie d’endettement. L’endettement de la commune progresse de 850 000 € et on a une dette totale de 20 000 000 €. Alors, je dirais que l’on ne peut pas dire une chose et son contraire. Nous utilisons les mêmes sources que vous, à savoir, les pages 10,11 et 12 du document que nous avons reçu. Alors bien sûr, vous pouvez atténuer les choses en disant « voilà, on s’endette un peu plus pour avoir des meilleurs taux » mais je dirais, les tableaux et les graphes sont les graphes. Quand Monsieur MARTIN parlait tout à l’heure des reports d’investissement, c’est vrai que dans mon commentaire de départ j’avais dit tout simplement je crois que ce compte administratif traduit plus ou moins fidèlement des orientations budgétaires, c’est-à-dire effectivement une partie a pu être réalisée et une autre partie non, reportée sur l’année prochaine. Voilà les quelques commentaires que je voulais faire, qui sont de simple bon sens. » Monsieur TAVERNIER : « Merci. Monsieur MARTIN ? » Monsieur MARTIN : « Non, je l’ai dit tout à l’heure. A part l’investissement qui diminue alors que l’endettement progresse, moi, je ne comprends pas. Moi, à titre privé, quand je Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 22/108 m’endette, c’est que j’ai consommé, si j’arrête de consommer, normalement, je ne m’endette plus. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur PERILLAT ? » Monsieur PERILLAT : « En ce qui concerne cette capacité de désendettement, moi, je parlerais plutôt de l’endettement par rapport à ce que l’on appelle la CAF, Capacité d’Autofinancement, on en avait déjà parlé. En ce qui me concerne, je ne suis pas obnubilé par l’endettement, je pense qu’il y a un endettement de 20 000 000 €, par rapport à ce que la commune peut dégager d’autofinancement, cela représente, de mémoire quand on en a discuté une première fois, quatre années alors que dans certaines communes, c’est beaucoup plus, donc quelque part, je ne fais pas une fixation sur cet endettement, 20 000 000 €, une capacité d’autofinancement de 4 000 000 €, pour mémoire, c’est un peu cela, donc moi, je m’en rappelle à l’époque j’avais dit que ce n’était un endettement vraiment… Je pense que CLUSES n’est pas encore en faillite, loin de là, maintenant, vous parlez de capacité de désendettement, moi, je parle plutôt de l’endettement par rapport à la CAF, c’est surtout comme cela que je réagis. Pour moi, il n’y a pas vraiment de péril en la demeure. » Monsieur GALLAY : « Encore une petite observation puisque Monsieur PERILLAT parlait de l’endettement. Effectivement, on peut ne pas faire une fixation mais on est obligé de dire qu’il progresse et les impositions directes progressent aussi. C’est-à-dire que tous les ratios page 16 et 17 ne vont pas dans le sens de vos propos. Nous, on les a interprétés, d’ailleurs les différents intervenants les ont interprétés différemment. Après, on peut dire les dépenses réelles de fonctionnement augmentent, est-ce que ce sont des dépenses utiles ou pas ? Je dirais qu’à partir du moment où l’endettement monte, les impôts montent, l’équipement descend, effectivement, on peut se poser des questions. » Section d'investissement : POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Affectation du résultat 2012 du budget général de la Ville de Cluses er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M14, le Conseil municipal doit procéder à l’affectation des résultats de l’exercice 2012, issus du compte administratif du budget général. Rappel des principes d’affectation L’arrêté des comptes permet de déterminer : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 23/108 - le résultat 2012 de la section de fonctionnement, constitué par le résultat comptable constaté à la clôture de l’exercice ainsi que les résultats antérieurs reportés ; le solde d’exécution de la section d’investissement, incluant les résultats antérieurs reportés ; les restes à réaliser en investissement qui sont reportés au budget de l’exercice 2013 ; le besoin de financement global de la section d’investissement, constitué du solde d’exécution de la section d’investissement augmenté du solde des restes à réaliser. Le résultat de la section de fonctionnement constaté à la clôture de l’exercice 2012 doit en priorité couvrir le besoin de financement 2013 de la section d’investissement (compte 1068). Le solde du résultat de la section de fonctionnement, s’il est positif, peut, selon la décision du Conseil municipal, être affecté : - à la section d’investissement par une dotation complémentaire au compte 1068 (excédents de fonctionnement capitalisés) pour financer de nouvelles dépenses d’investissement ; et/ou - à la section de fonctionnement au compte 002 (excédent reporté). Vu le Compte administratif 2012, Vu l’arrêté des comptes 2012, Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Vote l’affectation des résultats suivante : Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 recette) 1 176 500,95 € Excédents de fonctionnement capitalisés (compte 1068) 3 222 788,53 € Dotation complémentaire au compte 1068 1 227 614,94 € - Dit que ces résultats repris par anticipation au budget primitif voté le 19 mars 2013, seront définitivement inscrits au budget supplémentaire voté lors du prochain conseil municipal. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 24/108 Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe de l’assainissement 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M49, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe de l’assainissement. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe de l’assainissement laissent apparaître un résultat d’exploitation excédentaire d’un montant de 618 974,44€ et un déficit cumulé d’investissement de 875 758,44 €. Au résultat d’exécution de l’investissement de 2012, il est ajouté le résultat des restes à réaliser de 2012 sur 2013. Le solde des restes à réaliser est de -110 460,70 €, ce qui conduit à un besoin de financement de 729 339,14 €. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur GALLAY : « J’ai peu de choses à dire. Simplement, je veux dire que ce budget annexe va trouver sa vraie place dans la 2CCAM. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur MARTIN ? » Monsieur MARTIN : « Rien à dire. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur PERILLAT ? » Monsieur PERILLAT : « Que l’on transfère un déficit à la 2CCAM, cela ne me gêne pas non plus. » Monsieur MARTIN : « Du coup, je vais dire quelque chose. Vous avez l’impression que la 2CCAM, c’est quelqu’un d’autre qui va payer, mais il ne faut pas vous tromper, au bout du compte, ce sont toujours les mêmes qui vont payer, donc, il ne faut pas vous enchanter plus que cela. Moi, je suis contre la 2CCAM parce qu’elle va générer du fonctionnement en plus, donc de l’impôt en plus. Cela s’appelle des tours de bonneteau, du passe-passe. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe de l’assainissement. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 25/108 POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe de l’eau 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M49, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe de l’eau. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe de l’eau laissent apparaître un résultat d’exploitation excédentaire d’un montant de 2 422,67€ et un excédent cumulé d’investissement de 216 224,01€. Au résultat d’exécution de l’investissement de 2012, il est ajouté le résultat des restes à réaliser de 2012 sur 2013. Le solde des restes à réaliser est de -307 146,68 €, ce qui conduit à un besoin de financement de 90 922,67€. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur GALLAY : « Vous parliez du tableau page 28. La SAUR a augmenté un petit peu. » Monsieur TAVERNIER : « Je précise que les augmentations d’une année sur l’autre sont calculées, il y a des formules de révision et des formules de re-calcul qui sont incluses dans le contrat qui est passé entre la commune et la SAUR. Donc, ce n’est pas une augmentation au bon gré de la SAUR, c’est l’application stricto sensu des formules de révision. » Monsieur GALLAY : « Oui mais c’est une augmentation tout de même. » Monsieur TAVERNIER : « C’est une augmentation quand même, je vous le concède. » Monsieur GALLAY : « Alors compte tenu d’une délégation de service public coûteuse, le budget de l’eau mériterait que l’on se penche davantage, que l’on se repenche sur son mode de gestion qui est loin d’être satisfaisant. L’expérience de communes voisines prouve que la régie municipale est loin d’être démodée. Nous aurions avantage, mais je l’ai déjà dit la Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 26/108 dernière fois, à transférer ce budget à la 2CCAM comme nous l’avons fait pour l’assainissement. Nous nous opposerons à une reconduction du contrat d’affermage sur une longue durée. Une prolongation de contrat d’un an environ permettrait de prendre une décision en toute connaissance de cause, c’est-à-dire l’année prochaine. Voilà les observations que je voulais faire à propos de ce budget. » Monsieur PERILLAT : « En ce qui concerne l’eau, nous avons toujours été hostiles à une délégation de service public, nous avons toujours prôné la municipalisation et la régie municipale et on parlait de communes environnantes qui ont opté pour ce choix-là, j’ai vu cet après-midi une autre commune, pas environnante, qui est SAINT-JULIEN, qui a opté pour la municipalisation. Ils ont fait une étude, un audit, je pense que c’est quand même nécessaire face à des multinationales qui nous roulent un peu dans la farine, ils ont fait un audit qui a coûté, parce que nous avons fait beaucoup d’études, quelques fois qui coûtent 20, 30 ou 40 000 € et je pense qu’ils ont fait une étude, et ils se sont aperçus que nous les roulions dans la farine. Ils sont maintenant passés à la municipalisation et à la régie municipale. Je pense que nous aurions dû faire cela. Ce qui est malheureux, c’est que de nouveau nous sommes partis pour la délégation de service public, en choisissant… Enfin, pour l’instant, le choix n’est pas encore fait, il va se faire, mais je pense que c’est quand même regrettable. On va s’abstenir sur cette eau, nous avons toujours été défavorables à la délégation de service public et on continue à l’être, donc on va s’abstenir sur ce budget. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur MARTIN ? » Monsieur MARTIN : « C’est exactement les mêmes remarques. On l’a vu, je ne sais plus si c’est au dernier Conseil Municipal ou celui d’avant, quand il s’est agit de renouveler ou pas le contrat de délégation avec la SAUR et que vous nous aviez expliqué que de toute façon « on n’a pas le temps », « on est obligé de renouveler », donc nous partageons l’avis exposé par Monsieur GALLAY et Monsieur PERILLAT. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe de l’eau. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Affectation du résultat 2012 du budget annexe de l’eau de la Ville de Cluses er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M49, le Conseil municipal doit procéder à l’affectation des résultats de l’exercice 2012, issus du compte administratif du budget annexe de l’eau. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 27/108 Vu le Compte administratif 2012, Vu l’arrêté des comptes 2012, Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Vote l’affectation du résultat suivante : Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 recette) 216 224,01 € Excédents de fonctionnement capitalisés – Couverture besoin financement (compte 1068 recette) - 2 422,67 € Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013 POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe du stationnement 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M4, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe stationnement. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe stationnement laissent apparaître un résultat d’exploitation nul et un excédent cumulé d’investissement de 230 818,37€. La section d’investissement ne fait pas apparaitre de besoin de financement et le résultat global est positif, par conséquent, le conseil municipal n’a pas à délibérer sur l’affectation des résultats qui sont repris automatiquement de la façon suivante : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 28/108 Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 recette) 230 818,37 Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur GALLAY : « Une simple remarque habituelle. Disons que ce budget continue d’épuiser anormalement le budget général par sa participation annuelle à hauteur de plus de 400 000 €. » Monsieur TAVERNIER : « On a quand même une légère augmentation des produits de 139 à 152, et on a quand même une légère baisse de la participation du budget général mais qui reste quand même à la hauteur de 440 000 € comme vous l’avez dit. » Monsieur GALLAY : « Vous voyez Monsieur TAVERNIER, depuis 1990 jusqu’en 2007, on a quand même payé chaque année 400 000 € et les recettes des parcovilles ne compensent pas l’entretien. C’est-à-dire que même si maintenant on est enferré là-dedans depuis des années, on est obligé de faire la remarque annuellement. C’est-à-dire que cela fait partie des très mauvais investissements, autrement dit, des investissements qui nous ont coûté très cher et que nous subissons et que l’on va subir encore quelques temps. Après, ils seront détériorés donc cela nous coûtera encore un petit peu. Je dirais que là, nous sommes obligés, malheureusement, on boit le calice jusqu’à la lie. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur MARTIN ? » Monsieur MARTIN : « Même remarque que Monsieur GALLAY. Ce qui est intéressant dans le tableau page 32, c’est flagrant, autant on voit de 2009 à 2012 les recettes horodateurs augmenter, celles de Vigiparc et Parcoville diminuer de façon importante parce que de 2009 à 2012, on passe de 41 000 € à 34 000 €. Est-ce qu’il y a un problème de communication ? Un problème de matériel abîmé qui fait que les places ne peuvent pas être occupées ? Les gens craignent de se garer ? Je ne sais pas mais c’est très curieux. Effectivement, on est enferré chaque année, cela nous coûte de l’argent, si on ne les avait pas fabriqués, cet argent sur les vingt ans que cela existe maintenant, je crois, il serait dans notre poche. Une question subsidiaire, j’en profite, j’ai cru comprendre que pour le week-end qui arrive, la fête des musiques, le parking Claude ANTHOINE va être fermé pour y mettre des chapiteaux pour nourrir les gens ? » Monsieur TAVERNIER : « Oui. » Monsieur MARTIN : « Bien. Cela, c’est une bonne idée mais tous les gens qui vont se garer là-bas gratuitement, il va falloir qu’ils se garent par là, ce qui va être compliqué, et cela va être payant. Je pense que l’on aurait pu faire la gratuité des stationnements en centre-ville puisque l’on interdit aux gens de stationner gratuitement. Je pousse même un peu plus loin ma question, alors que dans le même temps, les transports urbains sont gratuits, y compris pour nos jeunes qui peuvent ainsi passer de quartier en quartier, dégrader, brûler, abîmer, frapper les gens, on s’aperçoit que ce week-end ci, ceux qui viennent travailler, on leur enlève leur stationnement gratuit pour les forcer à venir payer en centre-ville. Je pense qu’il ne serait pas sot, in extremis, de dire que le stationnement en ville, exceptionnellement, sera gratuit pour les travailleurs clusiens. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 29/108 Monsieur TAVERNIER : « Je peux simplement dire que pour le samedi qui se révèle être le premier jour des soldes, nous avons pris une mesure en accord avec l’union commerciale pour autoriser le stationnement de cent vingt places seulement et jusqu’à 20 h, heure d’extrême limite le samedi, sur le parking Claude ANTHOINE, de façon à libérer cent vingt places supplémentaires mais ce n’est pas l’objet du débat. Monsieur PERILLAT ? » Monsieur PERILLAT : « Ce n’est pas nouveau, mais je pense que chaque fois que l’on parle de stationnement, c’est un peu la pierre d’achoppement, à chaque fois cela blesse, on est toujours, compte tenu de ce qui a été fait il y a vingt ans qui pèse encore et qui va peser encore quelques années financièrement, et qui nous a coûté une fortune, je pense que l’on ne peut que s’abstenir devant ce stationnement. On a vraiment un coût qui a été exorbitant et maintenant, on ne sait pas dans les années qui viennent comment cela va se passer notamment au niveau de la maintenance. On va s’abstenir encore une fois pour ce budget. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe stationnement, - Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe EHPAD construction 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M14, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe EHPAD construction. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe EHPAD construction laissent apparaître un résultat de fonctionnement nul et un excédent cumulé d’investissement, de 521 823,99€. La section d’investissement ne fait pas apparaitre de besoin de financement et le résultat global est positif, par conséquent, le conseil municipal n’a pas à délibérer sur l’affectation des résultats qui sont repris automatiquement de la façon suivante : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 30/108 Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 recette) 521 823,99 € Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe EHPAD construction, - Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013. POUR V O T E 31 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe Office de tourisme 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M4, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe Office de tourisme. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe Office de tourisme laissent apparaître un résultat d’exploitation nul. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur GALLAY : « Une petite observation. Ce budget pourrait être orienté différemment et davantage concentré sur le cadre de vie clusien. Vous avez compris ce que je voulais dire ? » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 31/108 Monsieur TAVERNIER : « Oui, tout à fait. » Monsieur GALLAY : « C’est une observation générale, je pense que le cadre de vie est lié à l’activité touristique. » Monsieur MARTIN : « Moi, j’irais même plus loin. Je pense qu’il y a plusieurs structures qui pourraient être réunies pour être plus efficaces, en termes d’animation, soit culturelle, soit sportive, ou touristique. » Monsieur PERILLAT : « Je n’ai pas d’observations particulières, l’Office fait ce qu’il peut. Est-ce que l’on a beaucoup d’atouts avec les moyens qu’il a ? Est-ce que CLUSES a beaucoup d’atouts touristiquement ? Cela, même si c’est le tremplin pour l’évasion, je ne sais pas. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe Office de tourisme. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe Canal local 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M4, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe Canal C. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe Canal C laissent apparaître un résultat d’exploitation nul et un excédent cumulé d’investissement de 1 730,37€. Au résultat d’exécution de l’investissement de 2012, il est ajouté le résultat des restes à réaliser de 2012 sur 2013. Le solde des restes à réaliser est de -10 663,77 €, ce qui conduit à un besoin de financement de 8 933,40€. Le conseil municipal n’a pas à délibérer sur l’affectation des résultats qui sont repris automatiquement de la façon suivante : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 32/108 Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 recette) 1 730,37 € Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur MARTIN : « C’est une question récurrente. Qui regarde CANAL C sur Internet et combien sont-ils ? » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur le Directeur de la Communication ? Est-ce que l’on a des chiffres à donner sur la fréquentation du site CANAL C ? Entre 6 000 et 8 000 visionnages par mois. » Monsieur MARTIN : « C’est bien faible. » Monsieur TAVERNIER : « Ce ne sont pas des chiffres cumulés, ce sont des passages différents. » Monsieur MARTIN : « Oui, des visiteurs uniques, mais bon, je me demande si on ne peut pas trouver une autre solution. » Monsieur GALLAY : « Ce sont des connexions ? » Monsieur TAVERNIER : « Oui, mais des connexions différentes, c’est-à-dire que l’on ne comptabilise pas trois ou quatre connexions identiques. S’il y en a quatre de la même personne, on ne les comptabilise pas, il n’y en aura qu’une de comptabilisée. » Monsieur MARTIN : « En plus, moi, je veux rajouter quelque chose. Ils ont changé leur logiciel d’exploitation, c’est très compliqué, cela rame, les vidéos sont bloquées ou elles rament et si on veut, parce que, me semble-t-il, c’est un outil de communication, et comme tous les sites, on devrait pouvoir repiquer l’image pour la poster sur d’autres blogs, c’est-àdire, on fait des petits, et il y a de plus en plus de monde qui entend parler de CLUSES, on ne peut plus. On ne peut plus repiquer, c’est particulier. » Monsieur TAVERNIER : « Il y a probablement des solutions techniques, mais je ne suis pas à même de vous répondre sur ce domaine-là. Monsieur PERILLAT ? » Monsieur PERILLAT : « Je ne sais pas depuis combien de temps CANAL C existe, une vingtaine d’années je pense, et à une époque, c’était bien d’avoir une télé municipale, dans les manifestations sportives et autres, maintenant, je pense que c’est devenu un peu obsolète. C’est vrai que je ne comprends pas trop. Il y a des emplois à la clef, c’est bien, mais on s’est toujours abstenu concernant CANAL C, on va continuer à s’abstenir sur cette télévision locale qui est devenue obsolète. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe Canal C, - Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 33/108 POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe CDDRA 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M14, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe CDDRA. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe CDDRA laissent apparaître un résultat d’exploitation excédentaire d’un montant de 43 942 € et un excédent d’investissement de 957,82 €. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Débat : Monsieur MARTIN : « Je n’oserais pas dire qu’effectivement les dépenses, parce que vous parlez tout le temps de budget Monsieur le Maire-Adjoint, on parle d’un compte administratif et dans l’intitulé, c’est marqué budget mais peu importe, si les dépenses du CDDRA ont largement diminué sur l’année 2012, est-ce que l’on peut imaginer que cela démontre que ces dépenses sont inutiles ? On n’arrive même plus à les consommer, elles sont budgétées mais on ne les consomme pas. » Monsieur TAVERNIER : « C’est peut-être que les projets n’étaient pas tout à fait aboutis et qu’ils ont été un peu différés dans le temps. » Monsieur MARTIN : « Encore ! » Monsieur TAVERNIER : « Mais il faut quand même reconnaître qu’il y a un côté positif à toute chose, à savoir, que les participations des communes se verront diminuer d’autant. » Monsieur MARTIN : « Heureusement ! En gros, que cela soit CDDRA, donc un budget communication, moi, je passe cela pour de la communication, plus les travaux que vous différez, vous allez mettre le paquet sur 2013, et début 2014, vous allez nous expliquer que vous avez été les champions du monde. C’est récurrent, « on a différé », mais c’est astucieux, je trouve que politiquement c’est astucieux. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 34/108 Monsieur TAVERNIER : « Vous nous prêtez des intentions que l’on n’a pas. » Monsieur MARTIN : « C’est astucieux mais comme il y a des témoins, ils sont présents, ils pourront le rapporter. C’est astucieux ! Ils vont tout dépenser l’année prochaine pour avoir un bilan formidable. » Monsieur TAVERNIER : « Bien. Monsieur GALLAY ? » Monsieur GALLAY : « Nous ne sommes pas mécontents que ce budget annexe sorte de la gestion communale. » Monsieur PERILLAT : « Concernant le CDDRA, je n’ai pas de remarques particulières. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe CDDRA. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe de la Cuisine Centrale 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M4, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe de la cuisine centrale. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe de la cuisine centrale, laissent apparaître un excédent de la section d’exploitation de 87 598,23 € et un déficit cumulé de la section d’investissement de 9 490,15 €. Au résultat d’exécution de l’investissement de 2012, il est ajouté le résultat des restes à réaliser de 2012 sur 2013. Le solde des restes à réaliser est de -2 153,13 €, ce qui conduit à un besoin de financement de 11 646,28 €. Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 35/108 Débat : Monsieur GALLAY : « Ce budget présente un excédent d’exploitation qui augure de bonnes perspectives si son marché s’étend dans les communes voisines. Remarquons cependant que l’amortissement financier du bâtiment n’est pas inclus, ce qui serait plus rationnel. Troisième remarque, l’intercommunalisation de la cuisine centrale permettrait une mutualisation des dépenses. » Monsieur MARTIN : « Je ne sais plus si c’est à ce Conseil Municipal ou un peu plu loin que l’on aborde les tarifs. » Monsieur TAVERNIER : « On vote les tarifs plus tard dans la séance. » Monsieur MARTIN : « D’accord, j’aurai quelque chose à dire pour les tarifs, veuillez m’excuser. » Monsieur PERILLAT : « Je pense que cette cuisine centrale marche bien, je pense que l’on y mange bien, et elle est saluée par Que Choisir et les consommateurs donc, quelque part, je pense que l’on ne peut que saluer. Au-delà de l’excédent, c’est quand même municipal et puis c’est vrai que l’on aurait pu, on parlait d’intercommunalité, mais au-delà je crois que c’est quand même quelque chose qui a été fait, le budget a été respecté, la qualité est au rendez-vous donc on votera favorablement à ce budget. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe de la cuisine centrale. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) MICHEL F - MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Affectation du résultat 2012 du budget annexe de la Cuisine centrale de la Ville de Cluses er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M4, le Conseil municipal doit procéder à l’affectation des résultats de l’exercice 2012, issus du compte administratif du budget annexe de la cuisine centrale. Vu le Compte administratif 2012, Vu l’arrêté des comptes 2012, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 36/108 Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Vote l’affectation des résultats suivante : Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 dépenses) 9 490,15 € € Excédents de fonctionnement capitalisés (compte 1068) 11 646,28 € Solde d’exécution de la section de fonctionnement reporté (c/002 recette) - 75 951,95 Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) MICHEL F - MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Approbation du compte de gestion et du compte administratif du budget annexe Aménagement économique 2012 de la Ville de Cluses Annexes : Compte Administratif et compte de gestion er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Conformément à l’instruction comptable M14, le Conseil municipal doit arrêter le compte de gestion transmis par le comptable public et approuver le Compte Administratif de l’exercice 2012 pour le budget annexe de l’aménagement économique. Dans les séances où le Compte administratif est débattu, le Maire se retire au moment du vote. Les résultats 2012 du budget annexe de l’aménagement économique laissent apparaître un déficit cumulé d’investissement de 1 148 487,20€. Les réalisations 2012 sont les suivantes : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 37/108 SECTION DEFONCTIONNEMENT Réalisations Réalisations DEPENSES RECETTES REELLES Terrains à Aménager S/Total Dépenses REELLES 0,00 € S/Total Recettes REELLES 414 400,00 € 414 400,00 € ORDRE Variationdes stocks 414 400,00 € S/Total Dépenses POUR ORDRE 414 400,00 € S/Total Recettes POUR ORDRE Total DEPENSES 2012 414 400,00 € 0,00 € Total RECETTES 2012 414 400,00 € RESULTAT au 31/12/2012: 0 € SECTIOND'INVESTISSEMENT Réalisations Réalisations DEPENSES RECETTES MIXTE Déficit reporté 1 562 887,20 € ORDRE Terrains aménagés Total DEPENSES 2012 1 562 887,20 € 414 400,00 € Total RECETTES 2012 414 400,00 € DEFICIT au 31/12/2012 : - 1 148 487,20 € Le conseil municipal n’a pas à délibérer sur l’affectation des résultats qui sont repris automatiquement de la façon suivante : Solde d’exécution de la section d’investissement reporté (c/ 001 dépense) 1 148 487,20 € Vu le rapport de présentation au Conseil municipal du Compte administratif, Vu la maquette budgétaire du Compte administratif, Vu le Compte de gestion, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 38/108 Débat : Monsieur MARTIN : « Puisque c’est le dernier compte administratif qui nous est présenté, je voulais m’associer à ce qui a été dit par mes collègues au niveau de la qualité des documents présentés, ils sont très bien faits, beaucoup mieux qu’à l’habitude, ils sont lisibles, on comprend. Je voulais féliciter la Direction des services financiers. » Monsieur GALLAY : « Ce budget devrait sortir de la stricte gestion communale. » Monsieur TAVERNIER : « Pour être mis où ? » Monsieur GALLAY : « L’aménagement du territoire et puis l’aménagement économique, probablement à terme, sera géré par la 2CCAM. Qu’en pensez-vous ? C’est une simple remarque mais de toutes les façons, à la 2CCAM, nous sommes en train de travailler sur un aménagement concerté, c’est pour cela que je dis que ce budget à terme, n’a peut-être plus lieu d’être. » Monsieur PERILLAT : « Concernant les réalisations 2012, vous nous avez dit qu’il y avait eu… » Monsieur TAVERNIER : « Il y a eu deux cessions, l’une pour, de mémoire 225 000 €, et l’autre pour 179 400 €. » Monsieur PERILLAT : « Il y a eu une cession, c’était YLMAZ, c’est cela ? » Monsieur TAVERNIER : « Oui. » Monsieur PERILLAT : « Je vais m’abstenir là-dessus, je ne vais pas revenir sur ce que j’avais dit dans le passé, mais je vais m’abstenir pour des raisons personnelles. » Monsieur TAVERNIER : « D’accord. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Arrête le Compte de gestion du comptable public pour l’exercice 2012, - Approuve le Compte administratif 2012 du budget annexe de l’aménagement économique, - Dit que ces résultats sont inscrits au sein du budget primitif 2013 voté le 19 mars 2013. POUR V O T E 23 TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Monsieur TAVERNIER : « Je vous remercie doublement ou triplement, d’abord parce qu’au cours de ces six ans, vous avez fait preuve d’une patience et d’une compréhension tout à fait sympathique à mon égard, parce que c’est un exercice qui n’est pas forcément agréable à subir et à faire aussi, vous remercier de votre attention ce soir et je me fais l’interprète de Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 39/108 tout le Conseil Municipal pour vraiment féliciter les services financiers et Florent MODART pour la qualité des documents et la qualité des explications et des réponses qu’ils ont pues nous apporter. Merci pout tout cela et il serait bon que quelqu’un aille chercher Monsieur le Maire de façon à ce que l’on reprenne le cours normal de ce Conseil Municipal. » Monsieur TAVERNIER : « Monsieur le Maire, je vous rends la présidence de ce Conseil Municipal en vous informant que nous avons donc à la majorité voté tous les comptes administratifs qui ont été présentés ce soir, et que j’ai félicité en votre nom, mais je suis sûr que vous allez le refaire, la qualité des documents et des interventions du service financier. » Monsieur le Maire : « Merci Jean-Claude, merci pour cette présentation des comptes, merci aussi au service pour le travail qui a été effectué, parce que chaque année, on se doit de le faire, parce que chaque année, les choses sont de plus en plus difficiles et délicates et demandent de plus en plus de travail. Merci à tous les services administratifs, aux services techniques, par les services administratifs et les services techniques, j’entends bien entendu, tous les collaborateurs de la mairie. Merci à celles et à ceux qui ont validé ces comptes administratifs, merci de leur confiance. » Monsieur le Maire reprend la présidence de la séance. Dissolution du budget annexe assainissement et transfert des résultats à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes Rapporteur : Monsieur le Maire Depuis le 1er janvier 2013, la Commune de Cluses a transféré la compétence d’assainissement à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes (2CCAM). Cela signifie non seulement le transfert du service en matériel, immobilisation, personnels, emprunts, mais également le transfert des comptes de résultat (fonctionnement et investissement). Lorsqu’une compétence transférée à un Etablissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI) concerne un Service Public Industriel et commercial (SPIC) comme l’assainissement, le transfert présente des particularités dans la mesure où le service, qui était généralement individualisé dans un budget annexe, doit de la même façon être géré dans un budget spécifique de l’EPCI et financé par la redevance acquittée par les usagers. Conformément aux engagements pris lors du transfert de compétence « Assainissement» il est proposé de transférer les résultats du budget annexe assainissement ainsi que les restes à réaliser au budget annexe assainissement gestion déléguée de la 2CCAM. Vu les articles L-2121-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales, er Vu l’arrêté préfectoral du 16 juillet 2012, portant création de la 2CCAM à compter du 1 janvier 2013, Vu les statuts de la 2CCAM et notamment son article 4-2-4, Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la dissolution du budget annexe assainissement de la commune, - Intègre dans le budget principal de la commune les résultats du budget annexe assainissement : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 40/108 001 Déficit cumulé d’investissement 002 Excédent de fonctionnement - 875 758,44 € 618 974,44 € Adopte le principe de la reprise des résultats du budget annexe assainissement ainsi que des restes à réaliser par la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes, Procède aux écritures comptables nécessaires au transfert à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes des résultats repris au budget principal de la commune : 1068 Excédent de fonctionnement capitalisé (recette) 678 Autres charges exceptionnelles (dépense) - 618 974,44 € Dit que les crédits budgétaires seront inscrits au budget supplémentaire voté lors du prochain conseil municipal. POUR V O T E 875 758,44 € 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Dissolution du budget annexe Contrat de Développement Rhône-Alpes et transfert des résultats à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes Rapporteur : Monsieur le Maire Depuis le 1er janvier 2013, la Commune de Cluses a transféré la compétence relative au portage du Contrat de Développement Rhône-Alpes (CDDRA) à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes (2CCAM). Cela signifie non seulement le transfert du service en matériel, immobilisation, personnels, emprunts, mais également le transfert des comptes de résultat (fonctionnement et investissement). Conformément aux engagements pris lors du transfert de compétence relative au portage du CDDRA il est proposé de transférer les résultats du budget annexe CDDRA au budget principal de la 2CCAM. Vu les articles L-2121-1 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales, Vu l’arrêté préfectoral du 16 juillet 2012, portant création de la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes à compter du 1er janvier 2013, Vu les statuts de la 2CCAM et notamment son article 4-1-1-4, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 41/108 Débat : Monsieur PERILLAT : « Je n’ai pas d’opposition, c’est vrai que c’est technique mais malgré tout, il faut quand même constater que l’on est le seul groupe qui n’est pas représenté à la 2CCAM, et c’est quand même regrettable, encore une fois, mais comme c’est technique, on ne va pas s’opposer bien évidemment et on va voter favorablement. » Monsieur le Maire : « On a parlé en son temps d’un certain nombre de problèmes, on ne reviendra pas dessus, on en est les premiers désolés. On ne refait pas le débat sur la participation à la 2CCAM, pour l’instant, l’ordre du jour, c’est le transfert des soldes. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la dissolution du budget annexe CDDRA de la commune - Intègre dans le Budget Principal de la commune les résultats du Budget Annexe CDDRA : 001 Excédent cumulé d’investissement 002 Excédent de fonctionnement - 957,82 € 43 942,00 € Adopte le principe de la reprise des résultats du budget annexe CDDRA par la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes, Procède aux écritures comptables nécessaires au transfert à la Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes des résultats repris au budget principal de la commune : 1068 Excédent de fonctionnement capitalisé 957,82 € (dépense) 678 Autres charges exceptionnelles (dépense) 43 942,00 € - Dit que les crédits budgétaires seront inscrits au budget supplémentaire voté lors du prochain conseil municipal. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Décision modificative n°1 – 2013 budget général Rapporteur : Monsieur le Maire 1) Recettes de fonctionnement : 168 657 € de crédits supplémentaires sont inscrits correspondant au reversement du SIVOM de la région de Cluses concernant la compétence « Tri sélectif » (compte 7788) et à des dégrèvements de taxes foncières et rôles supplémentaires d’impôts. (comptes 7328 et 73111). Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 42/108 2) Dépenses de fonctionnement : 20 000 € de crédits supplémentaires sont inscrits au compte 6226 concernant l’assistance à maîtrise d’ouvrage pour le renouvellement de la délégation de service public pour la gestion du chauffage urbain des EWUES. 8 500 € de crédits de fonctionnement supplémentaires sont inscrits en charges de fonctionnement courant. 69 255 € sont ajoutés au montant initial de 209 228 € pour le versement au titre du Fonds de Péréquation Intercommunal et Communal (FPIC) suite à la notification par les services de l’état du montant 2013 fixé à 278 483 €. 3) Recettes d’investissement : 70 995 € d’autofinancement supplémentaire est dégagé. 4) Dépenses d’investissement : 20 000 € sont ajoutés au compte 238 afin de prendre en compte les dépenses de l’étude diagnostic social et urbain de la ZUS des EWUES. Concernant les chapitres 20 et 21, 20 000 € de crédits nouveaux sont inscrits pour les équipements sportifs, et 15 250 € pour l’école de musique. Il n’y avait pas eu de crédits prévus au budget primitif. 10 745 € sont inscrits pour procéder à l’annulation de titres de recettes Taxe Locale d’Equipement (TLE) émis en 2012. 5 000 € sont inscrits au compte 2188 pour équilibrer les dépenses. Débat : Monsieur MARTIN : « Ce qui est dommage, comme on ne peut pas voter par division, on va voter contre tout, mais nous aurions été contents de récupérer les 168 657 € qui venaient du SIVOM. En revanche, concernant le FPIC, manifestement, je ne sais pas qui a fait l’erreur d’analyse mais cela contredit tout ce qui nous a été expliqué l’année dernière, puisque l’on tournait aux alentours de 800 000 € et finalement, on va passer à 1 200 000 €… » Monsieur le Maire : « Je peux, enfin, je vais essayer de vous donner une explication làdessus, si vous permettez ? » Monsieur MARTIN : « Je finis, merci. En revanche, je suis totalement opposé aux « 20 000 € sont ajoutés au compte 238 afin de prendre en compte les dépenses de l’étude diagnostic social et urbain de la ZUS des EWUES », cela fait trente ans que l’on fait des diagnostics, 20 000 € de plus, mais j’aurais été content de donner 15 250 € à l’école de musique, etc., voilà, mais comme il n’y a pas possibilité de voter par division, on sera contre l’ensemble de cette DM1. » Monsieur le Maire : « Je ne suis pas surpris quant à votre position sur les crédits supplémentaires pour les EWUES, c’est dans une logique que vous développez chaque fois, par contre, concernant le FPIC, je tiens quand même à apporter deux types de réponses. Tout d’abord, il est bien évident que c’est la première fois que nous avons une participation du FPIC, à la fois 2CCAM, jusqu’à présent, le FPIC, l’an dernier était communal, et maintenant, il y a à la fois une augmentation, et on en aura d’autres malheureusement dans les années à venir, vous le savez très bien, une augmentation je vais dire un peu classique du FPIC communal, et comme on était également en FPIC intercommunal, il y avait une sorte de deuxième couche de FPIC. Les éléments que l’on avait, qui étaient effectivement au départ que des éléments estimatifs, nous avait amenés à grosso modo 850 000 €. Ces 850 000 €, de par des renseignements insuffisants, seront effectivement à abonder. L’autre partie importante de l’abondement, c’est qu’a priori, il y a une erreur de l’administration qui a compté deux fois des recettes pour évaluer notre FPIC, et nous avons effectivement un contentieux gracieux avec l’administration pour faire en sorte que les recettes qui ont été comptées à la fois au niveau des communes et dans la 2CCAM soient rétablies à leur réalité, ce qui ferait que l’on aurait, on espère tout au moins de par les calculs qui ont été faits, que l’on aurait une réduction d’environ 120 000 € ou 130 000 € à définir, de ce montant de FPIC, Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 43/108 mais dans un premier temps, nous sommes obligés de payer. C’est comme toujours, on paie puis on se fait rembourser. Voilà le pourquoi de cette augmentation relativement importante et qui nous amènera demain à devoir revoter un FPIC pour faire face à cette augmentation. Je précise que les dix collectivités ont accepté à l’unanimité cette nouvelle répartition pour tenir compte de cet élément nouveau sur lequel on n’avait pas effectivement de possibilités de prévoir, et surtout de prévoir l’évolution, et j’allais dire, en plus de prévoir l’erreur. Voilà, si vous voulez, les réponses à vos observations globalement. Est-ce qu’il y a d’autres remarques ou d’autres observations ? Oui, Monsieur GALLAY. » Monsieur GALLAY : « Bien sûr, il y a des choses que vous ne pouviez pas prévoir dans le budget, comme le FPIC, par contre je reviens sur les dépenses de diagnostic de la ZUS, cela vous l’aviez déjà prévu puisque vous nous en aviez parlé, d’ailleurs nous avions dit que ce n’était pas utile de payer une étude de cette nature. C’est rajouté après coup, alors c’est l’objet des décisions modificatives, mais je dirais que je n’y trouve pas très clair, nous nous abstenons. » Monsieur PERILLAT : « Simplement une question concernant le crédit supplémentaire au compte concernant l’assistance à maîtrise d’ouvrage pour le renouvellement de la délégation de service public pour la gestion du chauffage urbain des EWUES, de quoi s’agit-il exactement ? » Monsieur le Maire : « Le contrat de la DSP avec DALKIA arrive à son terme pendant la saison de chauffe 2013-2014 et il faut effectivement prévoir le renouvellement ou un appel d’offres pour ce contrat. Voilà ce qu’il va se passer et on aura besoin, comme on l’a fait pour l’eau, d’avoir une assistance à maîtrise d’ouvrage pour nous accompagner dans cette réflexion. » Monsieur PERILLAT : « Cela confirme ce que nous avons toujours dit, c’est que nous sommes contre cette délégation de service public, on est pour la municipalisation donc quelque part, on continue à être sur cette voie-là. La deuxième chose, concernant les 20 000 € afin de prendre en compte les dépenses de l’étude du diagnostic social et urbain, alors moi je pense, je l’ai redit tout à l’heure lorsque l’on a évoqué les comptes, je pense qu’il aurait mieux valu faire une étude de diagnostic concernant l’eau. Je crois qu’il y a une association qui fait ce diagnostic sur toute la durée, sur toutes les années où on a délégué ce service de l’eau, cela coûte 40 000 € et je pense que l’on aurait économisé, on aurait évité de nouveau une délégation de service public et je pense que ce diagnostic-là est inutile. Je pense que l’on aurait mieux fait encore une fois d’utiliser cet argent pour faire un audit sur l’eau. On s’abstient concernant ces dépenses supplémentaires. » Monsieur MARTIN : « C’est intéressant ce qu’a dit Monsieur PERILLAT. Il est contre le diagnostic social et urbain ? Il a dit qu’il aurait préféré que l’on prenne cette somme pour faire un diagnostic pour le contrat de renouvellement de la SAUR, c’est bien ! Donc, vous estimez qu’il est inutile de faire un diagnostic social et urbain ? Oui ? Merci. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la décision modificative n°1 – 2013 budget général : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 44/108 DECISION MODIFICATIVE N°1 - EXERCICE 2013 BUDGET GENERAL I - Vue d'Ensemble SECTION D'INVESTISSEMENT Crédit B.P. 2013 + Restes à réaliser Crédit B.P. 2013 + Restes à réaliser DM n°1 2013 DEPENSES DM n°1 2013 RECETTES REELLES Dotations, fonds divers er réserves - 10 745,00 € Immobilisatons incorporelles 2 500,00 € -1 650,00 € Immobilisatons corporelles 24 676,95 41 900,00 € Immobilisation en cours 60 000,00 + 20 000,00 € ORDRE Virement section fonctionnement Total Dépenses DM n°1 +70 995,00 € 2 422 045,00 € Total Recettes DM n°1 +70 995,00 € +70 995,00 € SECTION DE FONCTIONNEMENT Crédit B.P. 2013 DM n°1 2013 Crédit B.P. 2013 DEPENSES DM n°1 2013 RECETTES REELLES Charges à caractère général 32 790,00 € + 28 500,00 € Impôts et taxes Atténuations de produits 69 255,00 € + 69 255,00 € Produits exceptionnels 7 470 067,00 € - 45 455,00 € 123 202,00 € ORDRE Virement section investissement Total DEPENSES - DM n°1 2 422 045,00 € +70 995,00€ + 168 750,00 € Opération d'ordre de transfert 112 800,00 € Total RECETTES - DM n°1 Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 45/108 93,00 € + 168 750,00 € II - Section de FONCTIONNEMENT A - Les Dépenses Pour Mémoire CREDITS B.P. 2013 DM 1 2013 Dépenses REELLES 6182 Documentation générale et technique 6226 Honoraires 62878 Remboursement de frais 73925 Fonds péréquat. Recettes fiscales comm. et intercomm 8 500,00 € +1 500,00 € 20 000,00 € +20 000,00 € 4 290,00 € +7 000,00 € 209 228,00 € +69 255,00 € TOTAL DEPENSES REELLES DM n°1 2013 + 97 755,00 € Dépense POUR ORDRE 023 Virement à la section d'investissement 2 422 045,00 € +70 995,00 € TOTAL DEPENSES POUR ORDRE DM n°1 2013 +70 995,00 € TOTAL GENERAL DEPENSES FONCTIONNEMENT DM n°1 2013 +168 750,00 € B - Les Recettes Pour Mémoire CREDITS B.P. 2013 DM 1 2013 Recettes REELLES 73111 Taxeq foncières et d'habitation 7328 Autres reversements de fiscalité 7 470 067,00 € - +37 000,00 € 7788 Produits exceptionnels divers - +123 202,00 € TOTAL RECETTES REELLES DM n°1 2013 +8 455,00 € +168 657,00€ Recettes POUR ORDRE 777 Quote part subv.invest.transférées au compte résultat 112 800,00 € +93,00 € TOTAL RECETTES POUR ORDRE DM n°1 2013 +93,00€ TOTAL GENERAL RECETTES DE FONCTIONNEMENT DM n°1 20 13 +168 750,00 € III - Section d'INVESTISSEMENT A - Les Dépenses Pour Mémoire Crédit B.P. 2013 + Restes à réaliser DM 1 2013 Dépenses REELLES 10223 T.L.E. à rembourser 2051 Concessions et droits similaires 2183 Matériel de bureau et informatique - +10 745,00 € 2 500,00 € - -1 650,00 € +4 600,00 € 2188 Autres immobilisations corporelles 24 676,95 € +37 300,00 € 238 Avances versees sur commandes d'immo. Corporelles 60 000,00 € +20 000,00 € TOTAL DEPENSES REELLES DM n°1 2013 + 70 995,00 € Dépense POUR ORDRE TOTAL DEPENSES POUR ORDRE DM n°1 2013 +0,00 € TOTAL GENERAL DEPENSES FONCTIONNEMENT DM n°1 2013 +70 995,00 € B - Les Recettes Pour Mémoire Crédit B.P. 2013 + Restes à réaliser DM 1 2013 Recettes REELLES TOTAL RECETTES REELLES DM n°1 2013 +0,00€ Recettes POUR ORDRE 021 Virement de la section de fonctionnement TOTAL RECETTES POUR ORDRE DM n°1 2013 TOTAL GENERAL RECETTES DE FONCTIONNEMENT DM n°1 20 13 2 422 045,00 € +70 995,00 € +70 995,00€ +70 995,00 € Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 46/108 POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N - MELON R ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Décision modificative n°1 – 2013 budget annexe stat ionnement Rapporteur : Monsieur le Maire Deux titres ont été émis en 2012 au compte 1335 « Participation pour non-réalisation d’aires de stationnement » pour un montant total de 76 224,50 €. Les montants inscrits sur ce compte doivent faire l’objet d’une reprise en section d’exploitation au compte 777 sur 15 ans. Il convient donc d’augmenter les crédits au compte 777 de 5 081 € et d’inscrire des crédits en dépense au compte 13935 pour 5 081 €. 5 081 € sont inscrits au compte 611 pour le remplacement de 5 horodateurs défectueux. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 47/108 DECISION MODIFICATIVE N°1 - EXERCICE 2013 BUDGET ANNEXE STATIONNEMENT Rapport de Présentation I - Section EXPLOITATION A- Les Recettes LIBELLES B.P. 2013 D.M. 2013 Recette POUR ORDRE 777 19 642 € Quote part subv.invest.transférées résultat +5 081 € TOTAL GENERAL RECETTE DE FONCTIONNEMENT DM N°1 +5 081 € B- Les Dépenses LIBELLES B.P. 2013 D.M. 2013 Dépense REELLE 611 Sous traitance générale - +5 081 € TOTAL GENERAL RECETTE DE FONCTIONNEMENT DM N°1 +5 081 € II - Section d'INVESTISSEMENT Les Dépenses LIBELLES Dépense REELLE 2135 Installations générales - agencements … B.P. 2013 D.M. 2013 164 584 € -5 081 € - +5 081 € Dépense POUR ORDRE 13935 Part.pour non réal.d'aires stationnement TOTAL GENERAL DEPENSE D'INVESTISSEMENT DM N°1 Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 48/108 +0 € Débat : Monsieur GALLAY : « Ce montant annuel de 76 000 € semble faible. A quels immeubles correspond cette participation pour non réalisation d’aires de stationnement ? » Monsieur le Maire : « Cela vous semble faible ? Ecoutez, cela est quand même lié au nombre de places. La partie la plus importante qui doit faire, je ne sais pas si Florent MODART l’a, mais de tête il y a 46 000 € qui proviennent de la SCI BELAPP, c’est l’Hôtel Le National qui a transformé des chambres d’hôtel en appartement, donc il y a 46 000 € de mémoire là-dessus, il y a 5 000 € pour La Reine des Tartes qui a transformé son garage en magasin et donc, par ce fait, ne répondait plus à l’obligation de stationnement, et il y a 5 000 € de mémoire également rue Pasteur, il y a un appartement qui a été fait dans des combles et il y en a encore peut-être un autre. Voilà les trois grosses opérations, j’ai donné les chiffres de tête, les 46 000 € de BELAPP, c’est peut-être un peu plus mais voilà les opérations qui se sont faites. Pour la redevance de parking, il faut qu’il y ait des créations d’appartements supplémentaires et qu’il n’y ait pas pu y avoir un garage affecté à ces appartements. Je rappelle quand même que l’on a autant d’indemnités de non réalisation de parking. » Monsieur GALLAY : « C’est faible, cela correspond à peu près à sept ou huit appartements. » Monsieur le Maire : « Non, vous divisez par 7 000 €, cela fait à peu près… » Monsieur GALLAY : « C’est combien ? 8 000 € ? 10 000 € ? » Monsieur le Maire : « Non, c’est un peu plus de 7 000 €, cela fait à peu près dix. » Monsieur GALLAY : « Il y a des immeubles de prévus, notamment avenue de la Libération, est-ce qu’il y en aura ? Parce que là, c’est prévu une quarantaine de logements. » Monsieur le Maire : « Il y a des logements qui sont prévus, il y a des places de parking qui sont prévues et s’il y avait effectivement dans un cas ou dans un autre des manques de places de stationnement, ils seront soumis au droit commun comme tout le monde. Tout dépend la dernière fois où on avait parlé, il y a des investissements immobiliers qui ont un régime spécifique… » Monsieur GALLAY : « Non, mais là, le permis a été donné… » Monsieur le Maire : « Lequel ? » Monsieur GALLAY : « Le permis a déjà été donné, est-ce qu’il y aura des taxes ou pas ? » Monsieur le Maire : « Les taxes, cela vient après. Les taxes, il faut d’abord que le permis échappe à tous les recours, et c’est lorsque tous les travaux commencent qu’il y a les versements après, parce qu’il y a des permis qui sont effectivement déposés et qui sont ensuite annulés et il n’y a pas dans ces cas-là versement de taxes… » Monsieur GALLAY : « Mais c’est prévu ? » Monsieur le Maire : « Mais bien sûr ! Comme partout ! S’il n’y a pas de parking, il y a le paiement de cette taxe pour non réalisation de places de stationnement. Dans certains cas, et vous le savez puisque s’est délibéré depuis très longtemps, on signe des conventions pour l’utilisation des Parcovilles ici pendant dix ans, quinze ans, on oblige les gens à prendre un Parcoville pour compenser une non réalisation de parking. C’est une réglementation qui Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 49/108 est en place depuis très longtemps, vous le savez. Est-ce qu’il y a d’autres questions ? Oui, Monsieur DELSANTE. » Monsieur DELSANTE : « Ce que veut dire Monsieur GALLAY, sur le permis qui vient d’être accordé avenue de la Libération, ce permis a été accordé à ce jour… » Monsieur le Maire : « Oui, avec des parkings. » Monsieur DELSANTE : « Oui, c’était la question. Avec des parkings ou avec des taxes pour parking manquant ? » Monsieur le Maire : « Avec des parkings. » Monsieur DELSANTE : « Donc, il n’y a pas de taxes sur cette promotion-là ? » Monsieur le Maire : « Pour l’instant, il n’y a pas de taxes sur cette promotion-là, mais je dis que pour l’instant, ces redevances ne peuvent être perçues que lorsque les travaux seront faits… » Monsieur DELSANTE : « Non, attendez, on ne va pas mélanger Monsieur le Maire. Vous dites « les redevances peuvent être perçues », ce n’est pas la question. Au moment de la délivrance du permis de construire, s’il y a suffisamment de parkings, pas de taxes, s’il n’y a pas suffisamment, il y a des taxes. Sur cette promotion, est-ce qu’il y a eu des taxes de demandées ou pas ? » Monsieur le Maire : « Il y aura des taxes de demandées si le permis va au bout parce que pour l’instant les redevances… » Monsieur DELSANTE : « Non, la loi est très claire Monsieur le Maire, je m’excuse, c’est au moment de la délivrance du permis de construire… » Monsieur le Maire : « Laissez-moi terminer ma phrase, cela sera beaucoup plus simple. Lorsque les permis sont déposés, le nombre de places de parking doivent être effectivement suffisantes et que les redevances de parking ne sont perçues que lorsque l’investissement réalisé et dans un délai qui ne doit pas excéder un an, donc il faut attendre… » Monsieur DELSANTE : « La redevance est perçue mais le montant des taxes est décidé au moment de la délivrance du permis… » Monsieur le Maire : « Tout à fait. » Monsieur DELSANTE : « Et pas après ! Et vous n’avez toujours pas répondu, je suis désolé de vous le dire, sur cette promotion qui est au bout de l’avenue de la Libération… » Monsieur le Maire : « Les parkings sont… » Monsieur DELSANTE : « Ma question ne peut pas être plus simple, laissez-moi juste terminer ma question, et si vous ne voulez pas me répondre, on prendra acte ! » Monsieur le Maire : « Je viens de vous répondre, je vous dis que les parkings sont là… » Monsieur DELSANTE : « Est-ce qu’il y a eu oui ou non une demande de taxes pour parking manquant ou est-ce que la promotion sus visée est suffisante en places réalisées ? » Monsieur le Maire : « Nous sommes suffisants en places de parking… » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 50/108 Monsieur DELSANTE : « Ah ben voilà ! Donc, il n’y a pas de taxes ? » Monsieur le Maire : « Si c’est suffisant, il n’y a pas de taxes. » Monsieur DELSANTE : « Ah bon ! D’accord. Donc ils sont en sous-sol ? » Monsieur le Maire : « Evidemment, ils ne peuvent pas être en étage ! Vous avez vu comment c’est fait ? Il y a deux étages qui sont en dessous, il y a deux niveaux inférieurs. » Monsieur DELSANTE : « Donc pas de taxes pour cette promotion. » Monsieur le Maire : « Pas de taxes de fonctionnement aujourd’hui qui seront demandées puisque l’on a le nombre de places de parking. On le verra, il y aura, ce que j’ai dit tout à l’heure, si la promotion va à son terme, c’est-à-dire qu’il faut construire pour pouvoir demander après la redevance, si ce n’est pas construit, on ne peut pas la demander. Ce n’est pas comme pour le branchement pour la PAC, c’est au moment du branchement que l’on demande la PAC, là, c’est lorsque le projet est terminé avec un délai maximum d’un an, que l’on demande effectivement les redevances de parking si elles sont paralysées, donc faut que cela soit fini et voir ce qu’il peut se passer de temps en temps, c’est que des permis peuvent être modifiés en cours de construction et de réalisation, en fonction de l’évolution des marchés, ce qui peut signifier que le nombre d’appartements peut éventuellement être modulé, si on part par exemple, je donne un chiffre illustratif, on peut partir avec dix appartements et terminer avec huit ou douze, donc, il y a à ce moment-là, le résultat sera… » Monsieur DELSANTE : « Donc il y a pour le moment sur le permis qui a été demandé vingtet-un logements… » Monsieur le Maire : « Je n’ai pas le permis en tête… » Monsieur DELSANTE : « Moi je l’ai, il y a vingt-et-un logements, d’ailleurs, c’est sur votre note d’urbanisme que l’on a reçue, le permis a été accordé pour vingt-et-un logements, donc, il y a à ce jour quarante-deux places de parking qui ont été créées en sous-sol. » Monsieur le Maire : « Et si le nombre de logements évolue et que cela ne correspond pas… » Monsieur DELSANTE : « Non, sur le permis de construire, il y a vingt-et-un logements et quarante-deux places qui sont faites en sous-sol sur l’emprise du terrain… » Monsieur le Maire : « Oui, et il y a, je précise que pour les textes, c’est une place couverte et une place découverte. » Monsieur DELSANTE : « Justement, quarante-deux places sur l’emprise du terrain. » Monsieur le Maire : « Ce que l’on fait pour sortir de ce cas spécifique ici, ce que l’on fait et que l’on sera amené à faire assez souvent pour faciliter des constructions en centre-ville, c’est de signer des conventions pour pouvoir utiliser des emplacements de parking qui existent là où techniquement les parkings ne peuvent pas se faire. On l’a évoqué à une ou deux reprises, c’était le cas au BELAPP où il n’y avait pas la possibilité de faire des parkings où les bâtiments existaient, dans d’autres cas si vous voulez, la surface au sol n’est pas suffisante pour pouvoir avoir les places et auquel cas, on utilise cette possibilité de faire payer une redevance pour non réalisation mais le principe, c’est d’avoir une place couverte et une place découverte. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 51/108 Monsieur DELSANTE : « Cette convention n’a pas été établie avec la promotion dont je parle. » Monsieur le Maire : « Pour l’instant, il n’y a pas de convention de signée puisque les places de parking sont là. » Monsieur DELSANTE : « D’accord ! C’est tout ce que je voulais savoir. » Monsieur le Maire : « On refera effectivement un bilan total quand la réalisation sera faite en espérant que cela se fasse vu que le premier essai n’a pas été concluant. » Monsieur PERILLAT : « En ce qui concerne le remplacement des horodateurs défectueux,, je pense qu’il n’y a rien de plus désagréable d’avoir des horodateurs qui ne marchent pas. » Monsieur le Maire : « C’est bien pour cela que l’on en remplace cinq ! » Monsieur PERILLAT : « Là-dessus, on ne peut pas être contre. En ce qui concerne les titres qui sont émis pour la participation pour la non réalisation d’aires de stationnement, on ne peut pas être contre. Malgré tout cela, on va s’abstenir car sur le budget stationnement qui nous hérisse un peu les poils chaque fois, on va donc s’abstenir parce que c’est le budget global et on ne peut pas, même si c’est un modification de la décision du budget initial, on s’est abstenu sur le budget initial, on va donc s’abstenir également sur cette décision modificative. » Monsieur le Maire : « Oui, Monsieur MARTIN, vous vouliez dire ? » Monsieur MARTIN : « Moi, c’est une question technique. Les 5 080 € dégagés, est-ce qu’ils abondent le compte 611 pour remplacer cinq horodateurs, ou est-ce qu’ils financent les cinq autres horodateurs ? Autrement dit, est-ce qu’un horodateur vaut 1 000 € ? Cela me paraît peu. » Monsieur le Maire : « Non, ce qui va être fait, c’est qu’il y a des endroits où les horodateurs n’ont plus de raisons d’être parce qu’il y a des modifications liées au stationnement et là où il y a une recette d’un stationnement par an, on va enlever les horodateurs, on va les mettre là où il y a une utilisation forte. Voilà ce qu’il se passe. Là où il y a un besoin mais c’est sûr qu’un horodateur coûte plus que 1 000 €. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la décision modificative n°1 – 2013 budget annexe stationnement. POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M(PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 52/108 Décision modificative n°1 – 2013 budget annexe Offi ce de tourisme Rapporteur : Monsieur le Maire Les crédits relatifs à la billetterie sont augmentés de 50 000 € en recette au compte 706 et de 50 000 € en dépenses au compte 658. DECISION MODIFICATIVE N°1 - EXERCICE 2013 BUDGET ANNEXE : OFFICE DE TOURISME Rapport de Présentation Section de FONCTIONNEMENT A - Les Recettes Pour Mémoire CREDITS BP 706 Prestation de services DM N°1 2013 95 000 € +50 000 € TOTAL RECETTES FONCTIONNEMENT DM n°1 - 2013 +50 000 € B - Les Dépenses Pour Mémoire CREDITS BP 658 Charges de gestion courante DM N°1 2013 50 000 € +50 000 € TOTAL DEPENSES FONCTIONNEMENT DM n°1 - 2013 +50 000 € Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la décision modificative n°1 – 2013 budget annexe Office de tourisme. POUR V O T E POUR POUR CONTRE 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 53/108 Tarification Festival Musiques en stock et de « L’Atelier » Rapporteur : Monsieur REVEREAU, Maire-adjoint Ces tarifs n’ont pas fait l’objet d’une augmentation depuis septembre 2009. De même, cette année, il n’est pas envisagé de modification dans la tarification. ATELIER 2012/2013 Proposition 2013/2014 Adhésion (obligatoire pour pouvoir fréquenter le studio) valable durant toute l'année scolaire : 10 12* 2 heures 12 12 10 heures 50 50 200 200 tarif public 4 4 tarif musicoman 2 2 tarif public 20 20 tarif musicoman 16 16 Le studio de répétition : Les membres des groupes qui fréquenteront le studio de répétition devront s’acquitter d’une carte d’abonnement pour pouvoir accéder aux services proposés par le studio de répétition (mise à disposition du matériel, mise en place du studio par le régisseur…) Cette carte d’adhésion donnera aussi droit à des réductions sur les concerts organisés par la ville de Cluses. Location du studio Ce tarif s’appliquera à tous les groupes désirant utiliser le studio. Ce tarif concerne l’ensemble des groupes et non pas par membre. Le studio fonctionnera par tranche de 2 heures pour permettre aux groupe de travailler sérieusement et de manière confortable. Une carte de 10 heures (toujours par tranche de 2 heures) sera également proposée afin de fidéliser les groupes. Caution à signature du règlement intérieur au début de chaque saison culturelle : pour le groupe, par chèque non- encaissé. Une caution sera systématiquement demandée à la signature du règlement intérieur, aux groupes, afin de les responsabiliser. Le matériel mis à disposition de ceux-ci et le lieu doivent être respectés. Les personnes fréquentant le studio devront adopter une attitude irréprochable. Les ateliers Musiques Actuelles les stages de courte durée (une demi-journée, une journée) les stages de longue durée ( de 3 à 7 jours) Tarifs avec intervenant(s) extérieur(s) : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 54/108 Tarifs sans intervenant extérieur : tarif public 15 15 tarif musicoman 12 12 10 10 15 et 20 15 et 20 3 3 heure pour l'enregistrement 30 30 4 heures de travail consacré au mixage 50 50 10 12* 2 2 Autre boisson 2,50 2.5 Café et thé équitable 1,50 1.5 1 1 Petite restauration 2,50 2.5 Barre chocolatée 1,50 1.5 Stage pour le jeune public par enfant pour un stage d'une semaine. par enfant pour un stage de longue durée (de 1 semaine à 2 semaines). Location de cymbales Les cymbales pour batterie sont des accessoires qui s'usent très vite et dont le coût reste assez important. Nous souhaitons proposer aux groupes fréquentant le studio la location d'un pack de 4 cymbales par séance de 2 heures. Enregistrement audio Nous souhaitons proposer aux groupes désirant produire leur maquette une possibilité d’enregistrement de leurs compositions, comprenant mise à disposition du régisseur et de matériels spécifiques. Une convention sera signée entre le représentant légal de la Mairie et le responsable du groupe. La salle de concert : Adhésion à l’année : (donne droit à des réductions sur les concerts et évènements organisés par la ville de Cluses) pour la saison culturelle Le public pourra ou non adhérer à l’Atelier en achetant une carte d’adhésion. Cette carte donnera droit à des réductions sur les concerts et évènements organisés par la ville de Cluses et permettra à ses détenteurs d’acheter leurs billets avant l’ouverture officielle de la billetterie. Le bar : Boisson non-alcoolisée Verre ecocup réutilisable (caution) Dans le cadre de l'opération “Sam capitaine de soirée” menée à chaque concert, les participants ont droit à deux boissons non alcoolisées à retirer au bar de l'atelier. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 55/108 Le merchandising : Tee-shirt l’Atelier 15 15 Sweat-shirt l’Atelier 30 30 petit 2 2 moyen 7 7 grand 15 15 T-Shirt adulte 15 15 T-Shirt PRAND 30 30 T-Shirt enfant 12 12 T-Shirt édition précédente 10 10 Sweat adulte 30 30 Sweat édition précédente 20 20 Objets promotionnels Musiques en Stock 10 Body enfant 6 mois, 9 mois et 12 mois (nouveau) Casque de protection auditive pour enfants 18 20 Carte postale 1 1 Sac 10 10 Casquette 10 10 Livre sur les 10 ans de MES 39,80 39.80 Médiator 1,50 1.50 Affiche 1 1 Badge 2 2 Porte clé 2 2 Poncho 2 2 Cendrier 2 2 Mug 8 8 Eco-cup consigné (gobelet) 1 1 1 Porte-verre ceinture (nouveau) 1.5 Porte-verre tour de cou (nouveau) 1 1 1,50 1.50 Diabolo 2 2 Bière pression 0.25 cl 3 3 Bière pression 0.50 cl 5 5 Sirop Limonade Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 56/108 5 5 Jaune (promotion 2 bières) 5 5 Vert (écocup) 1 1 Violet (permettant l’achat de tout type de boissons) 1 1 900 900 Offre spéciale 2 bières Boissons dont la vente est réalisée par le biais de tickets chèque de caution pour les restaurateurs présents à Musiques en Stock en cas de non respect des consignes inscrites dans la charte d'engagement * Dans le cadre des activités de l'Atelier, service Musiques Actuelles, nous proposons au public une carte d'adhérent permettant de bénéficier de tarifs préférentiels sur les concerts et spectacles jeune public ainsi que sur des projets développés au cours de l'année. Pour cette nouvelle saison 2013-2014, nous souhaiterions augmenter le tarif de cette carte. Tarif qui n'a jamais évolué depuis 2007. Débat : Monsieur MARTIN : « Il n’y a pas d’augmentations, on va le voter mais une question technique. Avant, les tarifs de l’ATELIER et les tarifs de Musiques en Stock étaient votés séparément, il me semble que le budget de Musiques en Stock, on l’a sorti du budget général pour voir un peu plus clair ? » Monsieur le Maire : « Les tarifications, cela n’a rien à voir avec les manifestations. » Monsieur MARTIN : « Oui mais c’est curieux comme présentation. » Monsieur le Maire : « Ce sont deux choses différentes. » Monsieur MARTIN : « Pourquoi ? » Monsieur le Maire : « C’est le merchandising que l’on met ici en décision. » Monsieur MARTIN : « Très bien. » Monsieur PERILLAT : « Une remarque. Le médiator à 1 €, on a vu certains musiciens joueurs de guitare, le médiator à 1.50 €, on trouve qu’il est cher, mais on va quand même voter favorablement. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la tarification pour le Festival Musiques en stock 2013, - Approuve la tarification de « l’Atelier » applicable du 1er septembre 2013 au 31 août 2014. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 57/108 POUR 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C V O T E ADOPTE A L'UNANIMITE Tarification pour les Médiathèques des Allobroges et de l’Atelier et pour l’espace multimédia Rapporteur : Monsieur REVEREAU, Maire-adjoint Rappel : Tous les abonnements sont valables sur les deux structures pendant un an de date à date. Tarifs spéciaux : − Demi-tarif pour les retraités, les demandeurs d’emploi, les bénéficiaires des minima sociaux (avec demande de justificatifs à jour), les 16/25 ans, les étudiants, − Gratuité pour les enfants et les jeunes jusqu’à 16 ans, − Un abonnement découverte gratuit d'une durée de 6 mois est proposé durant les mois d'été aux détenteurs d'un chéquier Pass Vacances dans la limite d'un abonnement par famille. Deux niveaux d’abonnement : − Abonnement lecture : livres et revues, − Abonnement lecture et cinéma (réservé au plus de 16 ans) : livres et revues + cédéroms + DVD. L’un et l’autre de ces abonnements donnent accès à la salle Multimédia (Internet, bureautique et consultation de cédéroms). La durée de prêt est fixée à trois semaines quelque soit le support. Elle est de cinq semaines pour les structures partenaires (écoles, bibliothèques,…). Documents empruntables : - Abonnement enfants : 15 documents au choix parmi livres et revues - Abonnement lecture : 15 documents au choix parmi livres et revues - Abonnement lecture et cinéma : 15 documents au choix parmi livres et revues + 5 documents au choix parmi Dvd et cédéroms - Abonnement Structures pro et / ou partenaires (bibliothèques extérieures, écoles,…) : 20 livres. Il est proposé une augmentation des tarifs de 2%. Tarifs : Clusiens - Abonnement enfants : gratuit jusqu’à 16 ans - Abonnement lecture : 12,30 Є Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 58/108 - Abonnement lecture et cinéma : 21,80 Є - Demi-tarif lecture : 6,15 Є - Demi-tarif lecture et cinéma : 10,90 Є - Structures pro et/ou partenaires : gratuit Non clusiens - Abonnement enfants : gratuit jusqu’à 16 ans - Abonnement lecture : 15,90 Є - Abonnement lecture et cinéma : 29,50 Є - Demi-tarif lecture : 7,95 Є - Demi-tarif lecture et cinéma : 14,75 Є - Structures pro et/ou partenaires : gratuit. Il n'est pas envisagé de modification dans la tarification des services et matériels proposés aux usagers. Photocopies, impressions et matériels − Unité : 10 cts − Carte 10 : 80 cts (soit 8 cts l’unité) − Carte 25 : 1.70 Є (soit 7 cts l’unité) − Carte 50 : 3.00 Є (soit 6 cts l’unité). Durant l'année 2008, un sac en coton équitable a été remis à tous les inscrits aux médiathèques et continuera d’être remis gratuitement à chaque nouvel inscrit. Pour ceux qui souhaitent en acquérir de nouveaux : −Unité : 2 Є. Pénalités de retard En cas de retard dans la restitution des documents empruntés, des lettres de rappel sont envoyées au titulaire de l'abonnement. Un courrier est émis dès qu'un lecteur a en sa possession un ou plusieurs documents dont la date de retour est dépassée de 7 jours au moins ; il récapitule l'ensemble des documents concernés par le retard. La procédure suivante est appliquée : 7 jours de retard : envoi d’une première lettre de rappel (mail) 15 jours plus tard : envoi de la deuxième lettre de rappel (courrier postal) 15 jours plus tard : envoi de la troisième lettre de rappel (courrier postal) 15 jours plus tard : envoi de la quatrième lettre de rappel (courrier postal) 15 jours plus tard : envoi du dossier au Trésor Public pour mise en recouvrement. Des pénalités de retard sont demandées en cas de dépassement de la durée du prêt. Le montant de la pénalité de retard demandée à l'usager coïncide avec le nombre de courriers (électronique ou postal) envoyés avant le retour des documents : − 1ère lettre de rappel : pas de pénalité − 2ème lettre de rappel : 2 Є − 3ème lettre de rappel : 4 Є − 4ème lettre de rappel : 6 Є − Émission d'un titre de recettes : 8 Є (en plus du remboursement des ouvrages). Rappel : Le remboursement des documents détériorés ou perdus (Livres, revues, DVD, cédéroms) est fixé au prix d'achat. Tarifs et conditions d'accès aux services multimédias Il n'est pas envisagé de modification dans la tarification des conditions d’accès aux Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 59/108 services multimédias des deux médiathèques. L'espace Multimédia de l’Atelier est composé de 11 postes informatiques mis à disposition des publics ; la médiathèque des Allobroges dispose d’un poste informatique. Les services proposés sont les suivants : Libre Accès Il permet principalement la consultation d'Internet et l'utilisation des logiciels de bureautique. Un bibliothécaire est présent en permanence pour assurer une surveillance et guider les usagers. L'accès est gratuit sur réservation pour les abonnés des médiathèques. La tarification horaire pour les usagers ponctuels est de : − 1 Є pour une heure de consultation Cours et ateliers informatiques Un animateur multimédia dispense des cours et ateliers pour tous les publics : • Des cours thématiques de deux heures sur des sujets divers : traitement de texte, utilisation messagerie, création d'albums photo, … • Des cursus débutant ou perfectionnement pour appréhender les bases de l'informatique. Ils sont composés de cinq cours de deux heures. Les tarifs sont les suivants : − 2 Є la séance de deux heures de cours pour les clusiens − 4 Є la séance de deux heures de cours pour les non clusiens − 10 Є le cursus de cinq séances de deux heures pour les clusiens − 20 Є le cursus de cinq séances de deux heures pour les non clusiens − gratuité pour les enfants et jeunes de moins de 16 ans − gratuité pour les publics de structures partenaires ou de services municipaux. De tels accueils sont conditionnés par l'élaboration d'un projet partagé entre les médiathèques et la structure ou le service demandeur. La validation d'objectifs communs est un pré requis obligatoire à toute fréquentation. Mise à disposition de l'Espace Multimédia Il est prévu qu'un agent en charge de l'espace multimédia (animateur ou bibliothécaire) soit toujours présent lors de son utilisation. Une mise à disposition gratuite peut être envisagée ; elle est soumise à la validation par les deux parties (médiathèques et structure ou service demandeurs) d'un projet commun aux objectifs clairement définis. Toute mise à disposition fera l'objet d'une convention d'utilisation signée par les deux parties. Débat : Monsieur MARTIN : « On aurait aimé, comme le rapport précédent, la comparaison au tarif N-1, que l’on n’a pas, et d’autre part, il semble que déjà l’année dernière, la Médiathèque et l’Atelier aient pris une hausse de 2 %... » Monsieur REVEREAU : « Non, parce que l’Atelier n’a pas pris une hausse de 2 %. » Monsieur MARTIN : « Et la Médiathèque ? » Monsieur REVEREAU : « Et la Médiathèque non plus. » Monsieur MARTIN : « On n’a pas les mêmes… » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 60/108 Monsieur REVEREAU : « Peut-être mais moi, je peux vous dire que l’on n’a pas augmenté l’année dernière. » Monsieur MARTIN : « En lisant les comptes rendus, on n’a pas trouvé cela mais bon, peutêtre. Enfin, tout cela pour dire que vu que le pouvoir d’achat diminue, nous on condamnait une augmentation sur deux années successives à chaque fois de 2 %. » Monsieur REVEREAU : « Peut-être que vous avez mal calculé, je pense. » Monsieur MARTIN : « On ne peut pas comparer vu que vous n’avez pas mis le tableau N-1 ! » Monsieur REVEREAU : « Evidemment, on ne va pas mettre tous les tableaux quand même ! » Monsieur MARTIN : « Pourquoi le rapport d’avant, on l’a ? » Monsieur PERILLAT : « Là, si on voit une augmentation de 2 %, comme on n’a pas le comparatif par rapport à l’année précédente, pour nous, 2 %, c’est supérieur au coût de la vie, donc quelque part, c’est regrettable quand même, que l’on n’ait pas le comparatif, le N-1, parce que 2 %, le coût de la vie, c’est quoi ? 1 % ? » Monsieur le Maire : « Non, 1.6 %. » Monsieur PERILLAT : « Donc, 2 %, c’est supérieur. » Monsieur le Maire : « On ne peut pas demander des pièces de 1 centième d’euro. » Monsieur PERILLAT : « Cela nous gêne un peu. » Monsieur REVEREAU : « Déjà, on a des 6.15 €, on a 12.30 €… » Monsieur PERILLAT : « Si on a augmenté de 2 % l’année dernière, plus 2 % encore… » Monsieur REVEREAU : « Non, il ne faut pas vous focaliser là-dessus, on est très largement en dessous des tarifs qui se pratiquent à ANNEMASSE, à BONNEVILLE et dans d’autres villes qui nous environnent. MEGEVE par exemple, CHAMONIX… » Monsieur PERILLAT : « MEGEVE c’est normal ! » Monsieur REVEREAU : « BONNEVILLE par exemple, vous voyez… » Monsieur PERILLAT : « BONNEVILLE, oui, parce que vous n’aimez pas le Maire ! » Monsieur le Maire : « Ce n’est pas le Maire qui tient la bibliothèque. Ces remarques étant faites, passons au vote. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la tarification pour les Médiathèques des Allobroges et de l’Atelier et les conditions d'accès à l’Espace Multimédia applicables du 1er septembre 2013 au 31 août 2014. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 61/108 POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Tarification du Musée de l’horlogerie et du décolletage : Cluses o’clock 2013 Rapporteur : Monsieur REVEREAU, Maire-adjoint Il est proposé une simplification des emplacements pour la bource horlogère et, un maintien des tarifs des repas exposants ainsi que l’entrée gratuite pour les visiteurs. Pour facilité la réservation et l’installation des stands de la bourse horlogère, il serait nécessaire de simplifier leur tarif. Pour Cluses O’Clock 2012, les tarifs étaient les suivants : - Réservation d’un stand aménagé par les organisateurs comprenant une table de 2x0.80m : 40€ - Réservation au mètre linéaire (sans aménagement) : 15€. Pour Cluses O’Clock 2013, les tarifs et les aménagements seraient les suivants : - Réservation d’un stand aménagé par les organisateurs comprenant une table de 2x0.80m : 40€ - Nous souhaitons supprimer la réservation au mètre linéaire qui génère des questionnements de la part des participants et qui est difficilement réalisable en pratique (les tables mesurent 2 mètres). Les Repas : pas de changement par rapport à 2012, soit : - Petit déjeuner offert. - Repas du déjeuner : 10€ Entrée visiteurs : gratuité pour tous. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la tarification du Musée de l’horlogerie et du décolletage : Cluses o’clock 2013. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 62/108 POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT - MP REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L’UNANIMITE Tarification de la location des salles à la Maison des Allobroges et au Parvis des Esserts Rapporteur : Monsieur REVEREAU, Maire-adjoint Il n’est pas proposé d’augmentation des tarifs pour la location des salles municipales pour 2013/2014. Tarifs 2013 / 2014 ESPACE DES ALLOBROGES – Patrick RIBES SALLE AB Pour les associations clusiennes Pour les autres organismes (uniquement réunion) Pour les autres organismes avec buffet (nettoyage à la charge de l'utilisateur) SALLE M Pour les associations clusiennes Pour les autres organismes SALLE AB + M Pour les associations clusiennes Pour les autres organismes (uniquement réunion) Pour les autres organismes avec buffet (nettoyage à la charge de l'utilisateur) GALERIE EXPOSITION Pour les associations clusiennes Pour les autres organismes (exposition) SALLE SPECTACLE (Auditorium A. MALRAUX) Associations clusiennes ou groupes scolaires clusiens Spectacle gratuit Spectacle avec entrées payantes Organismes extérieurs Manifestation organisée par la collectivité ou dans laquelle elle est partie prenante Autres Heures de régie Forfait repas régisseur (quand gratuité de la salle) SAISON 2012/13 SAISON 2013/2014 Gratuit 199 706 Gratuit 199 706 Gratuit 129 Gratuit 129 Gratuit 328 829 Gratuit 328 829 Gratuit 318 Gratuit 318 CAUTION Gratuit 1fois/an 326 1 077 Gratuit 21,50 12,85 Gratuit 1fois/an 326 1 077 Gratuit 21,50 12,85 Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 63/108 273 326 1077 Tarifs 2013 / 2014 - PARVIS DES ESSERTS - Thierry BOURGEY PETITE SALLE MARIAGES : 250 personnes maximum Forfait Vin d'honneur sans cuisine (location + nettoyage) Forfait Vin d'honneur + cuisine (location + nettoyage) Forfait Mariage (salle+cuisine+vaisselle+nettoyage) avec installation la veille à partir de 13h30 Association dont le siège social est à Cluses Autre association, comité d'entreprise, mutuelle... Association ou organisation à but caritatif ou reconnue d'utilité publique *** Groupe scolaire clusien Manifestation organisée par la collectivité ou dans laquelle la collectivité est partie prenante Sté Commerciale - commerce - salon - congrès professionnel - parti politique - syndicat (de Cluses) 1er jour 2° jour et suivant Sté Commerciale - commerce - salon - congrès professionnel - parti politique - syndicat (hors Cluses) 1er jour 2° jour et suivant Supplément cuisine Supplément cuisine & vaisselle Utilisation de la salle pour installation ou moins de 2 heures (ex: réunion) Caution Forfait de nettoyage (équivalent 2 agts X 5h) Tarifs 2013/2014 Tarif été Tarif hiver ** 264 465 317 558 1 162 205 359 Gratuité 1 394 246 430 Gratuité 1 gratuité/an 1 gratuité/an Gratuité Gratuité 559 250 670 300 743 333 85 176 891 400 85 176 50% du tarif 50% du tarif x nbre de jours x nbre de jours = au montant de la location = au montant de la location = 273 € si gratuité = 273 € si gratuité 245 245 ** le tarif hiver est applicable du 01/10 au 30/04 (période de chauffage + 20%). *** Pour association ou organisation à but caritatif dont les statuts prévoient de façon claire que l'objet premier de l'association est de porter secours aux personnes en difficulté. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 64/108 PARVIS DES ESSERTS GRANDE SALLE MARIAGES : 500 personnes maximum Forfait Vin d'honneur sans cuisine (location + nettoyage) Forfait Vin d'honneur + cuisine (location + nettoyage) Association dont le siège social est à Cluses Autre association, comité d'entreprise, mutuelle... Association ou organisation à but caritatif ou reconnue d'utilité publique*** Groupe scolaire clusien Manifestation organisée par la collectivité ou dans laquelle la collectivté est partie prenante Sté Commerciale - commerce - salon - congrès professionnel - parti politique syndicat (de Cluses) 1er jour 2° jour et suivant Sté Commerciale - commerce - salon - congrès professionnel - parti politique - syndicat (hors Cluses) 1er jour 2° jour et suivant Supplément cuisine Supplément cuisine & vaisselle Utilisation de la salle pour installation ou moins de 2 heures (ex: réunion) Caution Main d'oeuvre/TTC/Heure/personne Forfait de nettoyage (équivalent 2 agts X 8h) Tarifs 2013/2014 Tarif été Tarif hiver ** 528 929 412 721 Gratuité 1 gratuité/an Gratuité 633 1 115 495 866 Gratuité 1 gratuité/an Gratuité 1 119 501 1 343 601 1 489 1 786 666 799 85 354 85 354 50% du tarif 50% du tarif x nbre de jours x nbre de jours = au montant de la location = au montant de la location = 546 € si gratuité = 546 € si gratuité 24,50 392 24,50 392 ** le tarif hiver est applicable du 01/10 au 30/04 (période de chauffage + 20%). *** Pour association ou organisation à but caritatif dont les statuts prévoient de façon claire que l'objet premier de l'association est de porter secours aux personnes en difficulté. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 65/108 Remplacement du matériel TTC Table 180 X 60 Table 120 X 60 Chariot de transport des tables Table ronde Chaise complète Coque seule teintée (chaise) Carcasse chromée (chaise) Diable transport sièges Distributeur papier toilette Balai et porte-balai toilettes Distributeur savon Maxiplus Miroir blanc 42 X 60 Figurine "femme" Figurine "homme" Barre de relèvement Patère 2 têtes pour douche Assiette plate 22 cm diamètre Assiette dessert 14 cm diamètre Fourchette Couteau Cuillère à café Ensemble tasse/soucoupe Verre Flûte à champagne Carafe à eau Corbeille à pain Légumier Soupière Plat ovale Plat à gratin Seau à champagne Plateau rectangulaire inox Plateau Tire-bouchons Cintre Tarif 2012-13 509,00 406,50 379,10 813,10 141,80 81,80 65,50 102,40 36,90 31,90 50,20 27,50 7,20 7,30 20,80 28,05 2,45 2,35 1,85 2,05 1,30 2,15 1,45 2,40 2,90 13,90 20,90 24,50 15,70 24,50 40,70 26,20 9,90 9,80 2,50 Tarif 2013-14 509,00 406,50 379,10 813,10 141,80 81,80 65,50 102,40 36,90 31,90 50,20 27,50 7,20 7,30 20,80 28,05 2,45 2,35 1,85 2,05 1,30 2,15 1,45 2,40 2,90 13,90 20,90 24,50 15,70 24,50 40,70 26,20 9,90 9,80 2,50 TARIFS 2013/2014 DES SALLES MUNICIPALES Louées pour les assemblées générales de copropriétés Salles : le Chevrier (en priorité), Consulaire, des Sociétés, des Mariages SAISON 2012/13 106 € SAISON 2013/14 106 € Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la tarification de la location des salles municipales ainsi que le matériel du Parvis des Esserts applicable du 1er septembre 2013 au 31 août 2014. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 66/108 POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Tarification de la cuisine centrale Rapporteur : Monsieur MODART, Directeur financier Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 67/108 Tarifs 2013 - Cuisine Centrale taux TVA actuel : 5,50% Tarifs selon les secteurs concernés : Tarifs 2012 Cuisine Centrale Tarifs 2013 Cuisine Centrale HT TTC HT TTC 4,79 € 5,05 € 4,89 € 5,15 € Vente repas à l'EHPAD Ville de Cluses (prix comprenant repas midi et soir) 9,15 € 9,65 € 9,33 € 9,85 € Vente repas au CCAS portage à domicile (à l'unité) 10,05 € 10,60 € 10,25 € 10,81 € 8,23 € 8,68 € 8,39 € 8,86 € 8,23 € 8,68 € 8,39 € 8,86 € 8,23 € 8,68 € 8,39 € 8,86 € Vente repas petite enfance - tarif grands 3,81 € 4,02 € 3,89 € 4,10 € Vente repas petite enfance - tarifs petits 3,35 € 3,53 € 3,42 € 3,60 € 7,27 € 7,67 € 7,42 € 7,82 € 10,17 € 10,73 € 10,37 € 10,94 € Vente directe repas classiques N°2 pour des réunion s et évenements (à l'unité) niveau amélioré 14,49 € 15,29 € Vente directe repas classiques N°3 pour des réunion s et évenements (à l'unité) niveau supérieur 19,80 € 20,89 € Vente directe repas classiques N°4 pour des réunion s et évenements (à l'unité) niveau festif 27,60 € 29,12 € 0,60 € 0,63 € 4,80 € 5,06 € 5,77 € 6,90 € 3,50 € 4,19 € 20,00 € 23,92 € 2,50 € 2,64 € Scolaire Vente repas secteur scolaire et extrascolaire Tarifs adoptés lors de la séance du Cm du 11/12/12 Gérontologie Vente repas au Foyer personnes âgées Sans souci (à l'unité) Vente repas au service Accueil de jour du CCAS (à l'unité) AJ - repas invité Petite Enfance Autres Vente directe repas aux agents Ville et CCAS de Cluses consommés dans la salle de restauration du FPA Sans souci (à l'unité) Vente directe repas classiques N°1 pour des réunion s et évenements (à l'unité) niveau ordinaire Nouveaux tarifs Viennoiseries (par personne) Boissons TVA 19,6 % Petit cocktail (par personne) Bouteille de vin (la bouteille) Vin en pichet (au litre) Bouteille de champagne (la bouteille) Boissons sans alcool (par personne) Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 68/108 Débat : Monsieur MARTIN : « Une petite question, si je prends par exemple le chapitre gérontologie ou autre, quand il y a un repas 7.80 € aux agents ville et CCAS, et celui qui est à 10.94 € pour vente directe repas classique n°1 pour des réu nions, est-ce que c’est exactement le même plat ou c’est un plat différent ? Même question si vous voulez en gérontologie, on imagine que celui à 10.80 € puisqu’il y a un portage à domicile, c’est le même mais il est plus cher parce que l’autre est mangé sur place mais quelle différence il y a entre ceux à 8.86 € et les autres ? Est-ce que ce sont exactement les mêmes ? » Monsieur le Maire : « Ceux qui sont faits pour les réunions ou événements ont à la fois une formalisation, une présentation et un grammage probablement différents, mais pour être honnête, je ne suis pas avec la bascule pour peser, mais il y a effectivement des assiettes différentes. » Monsieur MARTIN : « Alors maintenant pour une explication de vote, on va voter contre parce que l’on a une augmentation. » Monsieur le Maire : « Cela, ce sont les prix de revient mais au-delà de votre observation, même l’augmentation des prix de revient, si vous aujourd’hui vous êtes capables d’acheter les produits agricoles aux mêmes prix que l’an dernier, il faut nous dire où vous allez, sauf à ce que vous achetiez de l’OGM etc., mais quand on veut faire du produit de qualité et autre, je ne sais pas s’il y a beaucoup de personnes qui achètent effectivement tout ce qui contribue à l’alimentation… » Monsieur MARTIN : « Bon, très bien ! Vous nous dites que ce sont les prix de revient, mais d’abord, ce n’est pas marqué dans le rapport, et c’est très difficile quand même à évaluer cela, à partir de ce qu’il a pu acheter, quand il fait, s’il a mis le gaz, l’électricité, à moins qu’il soit brillantissime, je suis surpris. Surtout, je voulais en venir et j’attire votre attention làdessus, suite au débat sur les allocations familiales. C’était soit on supprimait les allocations familiales au-delà d’un certain revenu, soit on augmentait le quotient familial. Finalement, le gouvernement a choisi l’option d’augmenter le quotient familial, vous me suivez ? La majorité de ces plats qui vont être vendus, vont être soumis au quotient familial, cela veut donc dire que la recette va forcément être supplémentaire à ce qu’elle était auparavant du fait du changement d’échelle du quotient familial… » Monsieur le Maire : « Ce n’est pas sûr… » Monsieur MARTIN : « Si c’est sûr… » Monsieur le Maire : « Non, ce n’est pas sûr, on a quand même toute une série de population qui ne répond pas à ce quotient… » Monsieur MARTIN : « Si, c’est sûr, c’est certain ! Donc, si vous voulez, pour moi, l’augmentation n’est pas justifiée parce qu’elle est de 2 %, même si c’est le prix de revient, mais j’aimerais le voir, et d’autre part, elle n’est pas modifiée vu que la loi a changé concernant les allocations familiales qui sont maintenues mais compensées par une hausse du quotient familial, donc tous les enfants dont les parents sont au-delà d’un revenu de 5 000 € je crois par mois, vont payer beaucoup plus cher que l’année dernière. Voilà, je voulais dire cela et vous verrez, je suis sûr que l’année prochaine dans compte administratif de la cuisine centrale, on verra une belle progression. » Madame SALOU : « Excuse-moi Dominique, tu es en train de confondre entre les allocations familiales et le quotient familial tel qu’il est abordé en ce moment par le Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 69/108 gouvernement. Le quotient familial dont il parle, c’est celui au niveau de l’imposition, cela n’a rien à voir avec le quotient familial considéré au niveau de la CAF. » Monsieur MARTIN : « Oui, tout à fait mais après tous les tarifs sont calculés par rapport aux revenus et quotient familial… » Madame SALOU : « Non… » Monsieur MARTIN : « Si, quand tu vas acheter une prestation municipale, il faut amener ta déclaration de revenus pour savoir dans quelle case on va te mettre. » Madame SALOU : « Dans ce cas-là, c’est le quotient familial de la CAF… » Monsieur MARTIN : « Qui va donc évoluer de la même façon… » Madame SALOU : « Non, ce n’est pas celui-là. » Monsieur MARTIN : « On verra ! » Monsieur MIVEL : « C’est la délibération d’après, tu verras que l’on n’augmente pas et que ce n’est pas en lien. » Madame SALOU : « Je voulais juste préciser par rapport à ce tableau, effectivement, notamment la petite enfance, quand on parle des ventes repas petite enfance, c’est effectivement le prix de revient tel qu’il est facturé à la ville, à savoir qu’aucun parent ne paie les repas pour la petite enfance, que cela soit le multi accueil ou les micro-crèches, donc les repas sont gratuits. » Monsieur MIVEL : « Ils sont intégrés dans la prestation. » Monsieur le Maire : « Ce n’est pas individualisé. On vous fera passer les chiffres Monsieur MARTIN quand on aura effectivement toutes les précisions mais vous verrez que ce qu’il vous a été dit par Madame de la CAF vous apportera quand même un certain aspect positif, cela va vous rassurer. » Monsieur PERRILLAT : « Une simple question, j’ai vu qu’il y avait des repas dont le prix de revient est supérieur à 10 €, c’est quand même assez cher, donc je voulais savoir si la cuisine centrale accepte les tickets restaurants ? » Monsieur le Maire : « La cuisine centrale pour l’instant n’est pas prestataire de services, on travaille uniquement pour les services municipaux, on n’est pas un établissement industriel et commercial, donc on sert uniquement les services publics ville. On n’est pas prestataire de services, on n’est pas SODEXO, on n’est pas le traiteur du coin. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Vote la tarification applicable à la cuisine centrale pour l’année 2013. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 70/108 POUR V O T E CONTRE 30 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Tarification des activités périscolaires et extrascolaires pour l’année scolaire 2013/2014 Annexe : grille tarifaire Rapporteur : Monsieur MIVEL, Maire-adjoint Il vous est présenté les tarifs municipaux périscolaires et extrascolaires pour l’année scolaire 2013/2014. A noter : en lien avec le travail mené sur les actions concernant les jeunes de 11-17 ans, l'animation de quartier est renommée "Animation de Proximité" Pour l’année scolaire 2013-2014, une augmentation de 2% a été appliquée à la tarification des services du Pôle EEJ, excepté pour le dispositif « pass vacances » et pour l'Animation de Proximité. Les conditions d’annulation et de facturation ont été revues et clarifiées afin de faciliter leur application et le fonctionnement des structures. Les règlements intérieurs sont modifiés en conséquence. L'Accueil périscolaire : augmentation de 2 %. L'Accueil Etendu en périscolaire et extrascolaire : augmentation de 2 % L’animation de Proximité : ces tarifs ne subissent pas d'augmentation en raison de leur spécificité "terrain" et notamment l'encaissement direct en régie, en évitant les cents et donc les rendus difficiles de monnaie sur le terrain. Accueils de loisirs : application d’une augmentation de 2 % à partir de la rentrée scolaire 2013/2014, soit le 03/09/2013. Cette grille « Accueils de Loisirs Enfance Jeunesse » regroupe les CLAE du Noiret, de la Sardagne, du Centre ville, de Messy et le Centre Aéré de la Frasse (avec supplément) et le Centre d’Animation. Restauration : application d’une augmentation de 2 % à partir de la rentrée scolaire 2013/2014. Séjours et camps : augmentation de 2 %. Chéquier Pass Vacances : pas de modification Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 71/108 Centre Polyvalent de la Frasse : modification des tarifs et du règlement de mise à disposition en lien avec l'impossibilité d'hébergement de nuit et à la prestation de restauration fournie par la cuisine centrale. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Vote la tarification applicable à la rentrée scolaire 2013/2014 pour les activités périscolaires et extrascolaires exposées ci-dessous : RESTAURATION SCOLAIRE TARIFS 2012-2013 TARIFS 2013-2014 Augmentation 2,00% Quotient spécifique 0 à 313 314 à 473 474 à 510 511 à 537 538 à 568 569 à 634 635 à 739 740 à 798 799 à 1500 1501 et plus Enseignants 2,26 € 3,71 € 4,17 € 4,41 € 4,81 € 5,11 € 5,52 € 5,80 € 6,07 € 6,39 € 7,03 € 6,56 € 2,30 € 3,78 € 4,25 € 4,49 € 4,90 € 5,21 € 5,63 € 5,91 € 6,19 € 6,51 € 7,17 € 6,69 € * Tarif dégressif de 6 % sur l'ensemble des repas dès le huitième repas consommé dans le mois * Tarif spécial de moins 40% sur l'ensemble des repas dans le cadre d'un protocole d'accueil individualisé * Abattement cumulable de 6 % pour les familles composées d'au moins 2 enfants fréquentant la même structure ( à partir du quotient 314 ) * Gratuité pour le (ou les) repas du (ou des) enfant(s) dont le parent encadre sur la journée, temps de midi compris (12 à 14h), une sortie organisée dans le cadre de l'école. Production d'un justificatif signé du directeur d'école. * Application de la procédure de surfacturation en cas de retard ou de non respect des procédures d'inscription ou d'annulation. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 72/108 Tarifs 2012-2013 ACCUEILS DE LOISIRS JOURNEE 0 à 313 314 à 376 377 à 473 474 à 537 538 à 634 635 à 798 799 et plus Journée sans repas Journée avec repas Tarif spécial de moins 40% sur les repas dans le cadre du protocole d'accueil individualisé 7,63 € 7,75 € 7,87 € 7,99 € 8,23 € 8,36 € 8,84 € 11,35 € 11,93 € 12,05 € 12,42 € 13,36 € 14,16 € 15,24 € 9,86 € 10,26 € 10,38 € 10,64 € 11,31 € 11,85 € 12,69 € Tarifs 2013-2014 Augmentation 2 % Prévision Prévision Tarif spécial de moins Journée avec Journée sans 40% sur les repas dans repas repas le cadre du protocole d'accueil individualisé 7,78 € 7,90 € 8,02 € 8,14 € 8,39 € 8,52 € 9,01 € Tarifs 2012- 2013 2,55 € 5,68 € Suppléments Centre Aéré Mini Camp 0 à 313 314 à 376 377 à 473 474 à 537 538 à 634 635 à 798 799 et plus Prévision Prévision demi demi journée journée avec sans repas repas 3,81 € 3,87 € 3,92 € 3,97 € 4,11 € 4,18 € 4,42 € 7,52 € 8,05 € 8,10 € 8,40 € 9,24 € 9,98 € 10,82 € 10,05 € 10,46 € 10,58 € 10,85 € 11,53 € 12,08 € 12,94 € Tarifs 2013-2014 2,60 € 5,79 € Tarifs 2012-2013 ACCUEILS DE LOISIRS DEMI-JOURNEE 11,57 € 12,16 € 12,29 € 12,66 € 13,62 € 14,44 € 15,54 € Tarif spécial de moins 40% sur les repas dans le cadre du protocole d'accueil individualisé Tarifs 2013-2014 Augmentation 2 % Prévision Prévision demi-journée demi-journée Tarif spécial de moins sans repas avec repas 40% sur les repas dans le cadre du protocole d'accueil individualisé 6,03 € 6,39 € 6,44 € 6,64 € 7,19 € 7,67 € 8,26 € 3,88 € 3,94 € 3,99 € 4,04 € 4,19 € 4,26 € 4,50 € 7,67 8,21 8,26 8,56 9,42 10,17 11,03 6,15 6,51 6,56 6,77 7,33 7,82 8,42 Les horaires en demi-journée sont arrêtés comme suit : Demi-journée sans repas : 6h30 à 12h15 et de 13h15 à 18h15 Demi-journée avec repas : 6h30 à 13h30 et de 11h30 à 18h15 *Abattement cumulable de 6 %pour les familles composées d’au moins 2 enfants fréquentant la même structure (à partir du quotient 3114) * Application de la procédure de surfacturation en cas de retard ou de non respect des procédures d’inscription ou d’annulation * Tarification qui s’applique à tous les Accueils de Loisirs Enfance Jeunesse (soit les anciens CLAE, le Centre Aéré et le Centre d’Animation) * NB : le Centre Aéré ne propose que des journées avec repas et avec facturation d’un supplément. chéquier pass vacances Tarifs 2012-2013 Tarifs 2013-2014 Augmentation 0% Quelle que soit la tranche d'âge Participation par chéquier 5,00 € 5,00 € * chéquier réservé aux familles identifiées selon une procédure définie à partir de critères sociaux SEJOUR ET CAMPS Tarif à la journée Tarifs 2012-2013 Tarifs 2013-2014 Augmentation 2,00% 21,33 € 21,75 € * Les participations "vacances CAF" et Chèques Vacances, Comité d'Entreprise et autres viennent en déduction des tarifs présentés ci dessus. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 73/108 * Application de la procédure en cas de retard des parents, au-delà de 19h, au retour du séjour. * Cette tarification s'applique pour les camps et séjours d'une durée minimum de 5 jours et 4 nuits * Application de la procédure de surfacturation en cas de retard ou de non respect des procédures d'inscription ou d'annulation. Accueil Périscolaire Rappel des tranches : 6h30-8h30 11h30-12h15 16h30-18h15 accueil du midi sans restauration Tarifs 2012-2013 ACCUEILS PERISCOLAIRES Par tranche Forfait au delà de 9 tranches 0 à 313 314 à 376 377 à 473 474 à 537 538 à 634 635 à 798 799 et plus 1,74 € 17,09 € 1,84 € 17,69 € 1,91 € 17,80 € 2,05 € 18,79 € 2,19 € 20,00 € 2,40 € 21,85 € 2,59 € 24,01 € Tarifs 2013-2014 augmentation 2 % Par tranche Forfait au delà de 9 tranches 1,77 € 1,87 € 1,94 € 2,09 € 2,23 € 2,44 € 2,64 € 17,43 € 18,04 € 18,15 € 19,16 € 20,40 € 22,28 € 24,49 € * Abattement cumulable de 6 % pour les familles composées d'au moins 2 enfants fréquentant la même structure (à partir du quotient 314) * Gratuité de l'accueil périscolaire pour le (ou les) enfant(s) dont le parent encadre, durant ce temps, une sortie organisée dans le cadre de l'école. Production d'un justificatif signé du directeur d'école. * Gratuité de l'accueil pour le (ou les) enfant(s) dont le parent participe à une réunion organisée par le service : commission menu, lieu de parentalité * Application de la procédure de surfacturation en cas de retard ou de non respect des procédures d'inscription ou d'annulation. Extension d'accueil périscolaire et extrascolaire 18h15 - 19h Tarifs 2013-2014 Augmentation 2 % Tarifs 2012-2013 Par tranche Forfait ACCUEILS Par tranche Forfait au delà de 9 tranches PERISCOLAIRES au delà de 9 tranches 0 à 313 314 à 376 377 à 473 474 à 537 538 à 634 635 à 798 799 et plus 0,74 € 0,79 € 0,81 € 0,87 € 0,92 € 1,02 € 1,10 € 7,32 € 7,57 € 7,62 € 8,04 € 8,56 € 9,36 € 10,28 € 0,75 € 0,80 € 0,82 € 0,88 € 0,93 € 1,04 € 1,12 € Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 74/108 7,46 € 7,72 € 7,77 € 8,20 € 8,73 € 9,54 € 10,48 € * Abattement cumulable de 6 % pour les familles composées d'au moins 2 enfants fréquentant la même structure (à partir du quotient 314) * Gratuité de l'accueil périscolaire pour le (ou les) enfant(s) dont le parent encadre, durant ce temps, une sortie organisée dans le cadre de l'école. Production d'un justificatif signé du directeur d'école. * Application de la procédure en cas de retard des parents, au-delà de 19h. * Gratuité de l'accueil pour le (ou les) enfant(s) dont le parent participe à une réunion organisée par le service : commission menu, lieu de parentalité * Application de la procédure de surfacturation en cas de retard ou de non respect des procédures d'inscription ou d'annulation. Accueil Spécifique tarifs facturés aux enfants provenant d'une commune extérieure Augmentation basée sur l'augmentation des coûts de personnels Tarifs 20122013 Tarifs 20132014 Accueil en centre de loisirs à la journée 116 € 121 € Accueil en centre de loisirs à la demi journée 58 € 60 € 1 h d'accueil périscolaire 14 € 16 € * Tarif concernant l'accueil des enfants en situation de handicap, nécessitant un encadrement spécifique * Ce tarif peut être divisé en fonction du nombre d'enfants pris en charge par cet encadrant spécifique, en fonction de la décision de la commission Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 75/108 ANIMATION DE PROXIMITE TARIF MINIMUM Tarif de participation minimale pour les activités impliquant une dépense faible pour le service Tarif de participation activité ou repas Tarifs 20122013 Tarifs 20132014 1,00 € 1,00 € 2,00 € 2,00 € 3,50 € 3,50 € 6,00 € 6,00 € 3,50 € 3,50 € TARIF PAR ACTIVITE EN SOIREE Activité à prix de revient standard Activité à prix de revient élevé (ex : Karting, Paint Ball ou Intervention de prestataire) TARIF ATELIER CULTUREL OU AUTRE comprenant 4 séances, encadrement par le service TARIF PROJETS PARTICULIERS (sorties concert festival - match de foot..) Participation égale à 50% de l'estimation du coût de l'activité, hors charges de personnel 2% Augmentation et remise à jour des prestations CENTRE POLYVALENT LA FRASSE Semaine en gestion libre Mise à disposition par jour Location week-end sans hébergement Supplément "petit déjeuner" par personne Supplément «repas » par personne Supplément "Chalet Paul Laporte" Supplément "mise à disposition de personnel pour service de repas chaud le midi par tranche de 40 convives" convives" Tarifs 2012-2013 Tarifs 2013-2014 1 280,15 € 148,31 € 296,63 € 4,80 € 6,55 € 153,86 € Supprimé 151,27 € Supprimé Supprimé Supprimé 156,93 € Non existant 94,38 € * Les prestations possibles sont réduites en lien avec l'impossibilité d'hébergement. * Seule les personnes morales peuvent bénéficier de la mise à disposition du centre polyvalent. * Le réchauffage et le service des repas chauds ne peuvent être assurés que par du personnel du service restauration du Pôle EEJ (nouvelle prestation) * La fourniture de repas chaud est assurée obligatoirement par la cuisine centrale de la ville de Cluses selon sa grille tarifaire. * Les prestations de repas froids, goûters, collations ne pas sont assurées par le Pôle EEJ. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 76/108 POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 77/108 TECHNIQUES Aménagement d'un pôle d'échanges multimodal de la gare de Cluses : attribution de marchés de travaux aménagements extérieurs Rapporteur : Monsieur LEROY, Directeur des Services Techniques La Ville de Cluses a délégué à la Société d'Economie Mixte de la Ville de Cluses les travaux d'aménagements extérieurs d'un pôle d'échanges multimodal de la gare. La procédure choisie pour la passation des marchés est celle de la procédure adaptée en application de l'article 28-I du Code des marchés publics. Les travaux sont répartis en 6 lots, dont seuls 4 lots ont fait l'objet de la présente procédure. Les deux derniers lots seront lancés prochainement, selon la même procédure, pour attribution au prochain conseil municipal. Les 4 premiers lots sont les suivants : Lot n° 01 : Terrassements/VRD/bordures/dalles/pavés /mobilier urbain Lot n° 02 : Réseaux secs/éclairage public Lot n° 03 : Revêtements de surface/enrobés Lot n° 04 : Aménagements paysagers Le dossier de consultation des entreprises comportait, pour le lot n° 01, une solution de base et trois prestations supplémentaires ou alternatives : n°01 : "moins-value remplacement bordures granit pa r du béton" n°02 : "intégration d'un bloc sanitaire PMR double sous passerelle" n°03 : "moins-value remplacement dalles béton par d u béton désactivé" Le montant estimé des 4 lots s'élève à 2 142 587,50 € HT pour la solution de base et 2 132 114,50 € HT pour la solution incluant les prestations supplémentaires ou alternatives. Un avis d'appel public à la concurrence a été transmis au BOAMP le 16 avril 2013 et le dossier de consultation a été mis en ligne sur le site de dématérialisation. Onze plis ont été réceptionnés à la date de remise des offres fixée au 17 mai 2013 à 12 h00. Une négociation, portant sur le prix, a été réalisée auprès de tous les candidats, comme le spécifiait le règlement de la consultation. Après analyse des offres négociées, effectuée au regard des critères de jugement définis dans le règlement de la consultation, un classement a été établi et les lots ont été attribués comme suit : Lot n° 01 : " Terrassements/VRD/bordures/dalles/pav és/mobilier urbain" SAS GUELPA, 736 Avenue de Genève, BP 17, 74190 LE FAYET pour le montant HT de 1 080 970,13 € (solution de base) Lot n° 02 : "Réseaux secs/éclairage public" SAS SOBECA, 2 Avenue de la Colombière, 74950 SCIONZIER, pour le montant HT de 350 034,50 € Lot n° 03 : "Revêtements de surface/enrobés" SA COLAS RHONE-ALPES AUVERGNE, Agence de Haute-Savoie, 180 Avenue Roche Parnale, ZI Les Fourmis, 74130 BONNEVILLE pour le montant HT de 239 405,00 € Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 78/108 Lot n° 04 : "Aménagements paysagers" Groupement SA MILLET PAYSAGE ENVIRONNEMENT/GONTHIER PAYSAGISTE (mandataire : SA MILLET PAYSAGE ENVIRONNEMENT, 354 Route des Chènes, BP 21, 73420 DRUMETTAZ-CLARAFOND) pour le montant HT de 271 968,17 €. Débat : Monsieur MARTIN : « Rien que des inconnus. » Monsieur le Maire : « Ecoutez, il y a des gens qui répondent aux appels d’offres et qui répondent de manière positive, maintenant, s’il faut prendre le plus cher, je veux bien. » Monsieur MARTIN : « On va voter pour parce que l’on s’aperçoit, je parle sous le contrôle du directeur des services techniques, que le montant cumulé des enveloppes, est-ce qu’il y a une explication, est inférieur au montant estimé ? Il y a un bel écart, c’est bien. » Monsieur le Maire : « Oui, cela peut arriver. » Monsieur MARTIN : « Mais cela veut dire quoi ? Est-ce que cela veut dire que le marché est en baisse ou est-ce que cela veut dire que l’estimation était trop forte ? » Monsieur LEROY : « Non, il y a eu une concurrence assez serrée dès le premier tour, même avant la négociation, les prestataires, enfin certains, ceux qui se sont proposés là, ont tout de suite fait une offre compétitive. » Monsieur PERILLAT : « On s’abstient, même si le coût paraît moins élevé, il y aura peutêtre des avenants qui vont venir comme au gymnase. On a un mauvais esprit, je sais. » Monsieur le Maire : « Merci de m’avoir coupé ma réplique, mais je vous ai connu plus positif à des moments. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise la Société d'Economie Mixte de la Ville de Cluses à passer les présents marchés et à signer toutes les pièces et documents s'y rapportant avec les entreprises ci-dessus dénommées pour les montants indiqués, suivant les termes de la convention de mandat conclue entre la Ville de Cluses et la SEM de la Ville de Cluses, - Dit que les crédits nécessaires à la réalisation de cette opération sont inscrits au titre du budget général. Lesdits crédits sont repris dans la convention de mandat signée entre la Ville de Cluses et la SEM de la Ville de Cluses. POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E POUR 2 MARTIN D - DARDENNE C ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ADOPTE A LA MAJORITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 79/108 Travaux de rénovation et accessibilité à l'école de musique : attribution des marchés de travaux Rapporteur : Monsieur LEROY, Directeur des Services Techniques La Ville de Cluses a délégué à la Société d'Economie Mixte de la Ville de Cluses les travaux d'accessibilité et de rénovation du rez+2 à l'école de musique. La procédure choisie pour la passation du marché est celle de la procédure adaptée en application de l'article 28-I du Code des marchés publics. Les travaux sont répartis en 12 lots : Lot n° 01 : Gros-œuvre/démolition/VRD Lot n° 02 : Charpente/couverture Lot n° 03 : Menuiseries extérieures aluminium Lot n° 04 : Serrurerie/garde-corps Lot n° 05 : Menuiseries intérieures bois Lot n° 06 : Cloisons Lot n° 07 : Faux-plafonds Lot n° 08 : Sols souples/moquette Lot n° 09 : Peintures intérieures Lot n° 10 : Electricité/courants faibles Lot n° 11 : Plomberie sanitaire/chauffage Lot n° 12 : Monte-personnes Le montant total de l'ensemble de l'opération a été estimé à 215 200,00 € HT. Un avis d'appel public à la concurrence a été transmis au BOAMP le 28 mai 2013 et le dossier de consultation a été mis en ligne sur le site de dématérialisation. Vingt-cinq plis ont été réceptionnés à la date de remise des offres fixée au 14 juin 2013 à 12h00. Après analyse des offres effectuée au regard des critères de jugement définis dans le règlement de la consultation, un classement a été établi et les lots ont été attribués comme suit : Lot n° 01 : " Gros-œuvre/démolition/VRD" SAS ZANETTO, 1200 Route de Gravin, 74300 MAGLAND pour le montant HT de 73 340,01 € Lot n° 02 : "Charpente/couverture" Lot infructueux (aucune offre) Lot n° 03 : "Menuiseries extérieures aluminium" SAS VITOR, ZI Les Fourmis, 180 Avenue du Buet, 74130 BONNEVILLE pour le montant HT de 4 838,00 € Lot n° 04 : "Serrurerie/garde-corps" Lot infructueux (aucune offre) Lot n° 05 : "Menuiseries intérieures bois" SA André ROUX, ZI La Perrière, 1250 Chemin La Glière, BP 27, Magland, 74308 CLUSES Cedex pour le montant HT de 17 133,00 € Lot n° 06 : "Cloisons" Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 80/108 SA BONGLET, 330 Rue des Frères Lumière, ZI, BP 30035, 39001 LONS LE SAUNIER pour le montant HT de 14 697,51 € Lot n° 07 : "Faux-plafonds" SAS S.P.C.P. (Société plafonds suspendus, cloisons mobiles, planchers techniques), 60 Avenue du Château, 74520 VULBENS pour le montant HT de 9 613,30 € Lot n° 08 : "Sols souples/moquette" SARL LAPORTE, 66 Rue des Chênes, ZA des Glières, 74800 SAINT-PIERRE EN FAUCIGNY pour le montant HT de 13 426,60 € Lot n° 09 : "Peintures intérieures" SA BONGLET, 330 Rue des Frères Lumière, ZI, BP30035, 39001 LONS LE SAUNIER pour le montant HT de 6 602,84 € Lot n° 10 : "Electricité/courants faibles" SDEL SAVOIE LEMAN, 51 Rue Adrastée, BP 9022, 74990 ANNECY cedex 9 pour le montant HT de 29 502,40 € Lot n° 11 : "Plomberie sanitaire/chauffage" SARL PLOMBERIE SERVICE ROYBIN, 450 Rue des Iles, 74300 CLUSES pour le montant HT de 10 998,00 € Lot n° 12 : "Monte-personnes" SARL ERMHES, 23 Rue P. et M. Curie, BP 20408, 35504 VITRE pour le montant HT de 34 490,00 € Débat : Monsieur MARTIN : « Est-ce que l’on pourrait avoir en papier ce qui est à l’écran et deuxièmement, puisque je n’ai pas eu le temps de faire l’addition, est-ce que l’on est inférieur au montant estimé ? » Monsieur LEROY : « On est juste dans l’enveloppe. » Monsieur le Maire : « Vous aurez la présentation papier dans les jours à venir. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise la Société d'Economie Mixte de la Ville de Cluses à passer les présents marchés et à signer toutes les pièces et documents s'y rapportant avec les entreprises ci-dessus dénommées pour les montants indiqués, suivant les termes de la convention de mandat conclue entre la Ville de Cluses et la SEM de la Ville de Cluses ; - Dire que les crédits nécessaires à la réalisation de cette opération sont inscrits au titre du budget général. Lesdits crédits sont repris dans la convention de mandat signée entre la Ville de Cluses et la SEM de la Ville de Cluses. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 81/108 SEM Ville de Cluses : procès-verbaux de remise d’ouvrage Annexes : procès verbaux Rapporteur : Monsieur LEROY, Directeur des Services Techniques Maison Petite Enfance et Antenne CAF Par délibération en date du 29 novembre 2005, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "CONSTRUCTION MAISON PETITE ENFANCE ET ANTENNE CAF" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 10 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 4 269 137,58 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 4 258 000,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la SEM Ville de Cluses est de11 137,58 € TTC. Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement du solde de l'opération soit 11 137,58 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Travaux gymnase de la Sardagne Par délibération en date du 18 décembre 2007, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "GYMNASE SARDAGNE" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 82/108 Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 1 797 464,56 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 1 794 000,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la SEM Ville de Cluses est de 3 464,56 € TTC. Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Débat : Monsieur PERILLAT : « En ce qui concerne le gymnase, je pense que les travaux ont été une bonne chose pour les clubs sportifs, qu’ils aient une salle rénovée, mais à l’époque, tout le monde se rappelle du nombre d’avenants qu’il y a eu entre le budget initial et le coût final. Ce n’est pas pour m’opposer aux travaux mais vraiment, il y a eu de nombreux avenants, et je préfère m’abstenir sur les travaux du gymnase. » Monsieur le Maire : « Je voudrais en la matière, Monsieur PERILLAT, vous rafraîchir quelque peu la mémoire sur cette opération. Si vous regardez l’évolution de ce projet, toutes les demandes complémentaires qui sont intervenues au fur et à mesure que le projet avançait, parce qu’effectivement des clubs n’avaient peut-être pas vu la totalité des problématiques, qui souhaitaient des choses supplémentaires et quand on fait également de la démolition et reconstruction, on s’aperçoit également très souvent qu’il y a des dépenses qui nous tombent sur le coin de la tête qui n’étaient pas prévues. Entre ces petites choses-là effectivement, des choix qui ont été faits, ne serait-ce que ce qui n’était pas prévu au départ comme les panneaux solaires, les demandes des clubs, tout cela a effectivement contribué à alourdir la facture, mais cela a été des choix librement consentis, en se disant que quand on fait un projet de cette qualité-là, on ne va pas ergoter sur quelques centimes. Il y a des avenants dont nous sommes totalement responsables et ce ne sont pas aux services techniques qu’il faut dire qu’ils ont mal fait leur évaluation. » Monsieur PERILLAT : « Je pense que nous l’avions dit à l’époque, c’est vrai qu’au niveau de l’étude, si vous avez tenu compte de l’avis des clubs qui pratiquent… » Monsieur le Maire : « Si on avait tenu compte de l’avis des clubs au départ, et pas de l’avis des clubs à l’arrivée, on n’aurait pas eu tous ces avenants. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement du solde de l'opération soit 3 464,56 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 83/108 POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E POUR 2 MARTIN D - DARDENNE C ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ADOPTE A LA MAJORITE Aménagement Parc Carpano Par délibération en date du 17 juin 2008, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "AMENAGEMENT PARC CARPANO" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 18 682,82 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 18 000,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la SEM Ville de Cluses est de 682,82 € TTC. Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Débat : Monsieur PERILLAT : « Concernant le jardin CARPANO, 18 000 €, je suis allé là-bas me promener ce matin, je pense que c’est quand même regrettable personnellement 18 000 €, c’est nettement insuffisant compte tenu, je pense que c’est un jardin qui est complètement en déshérence, c’est un haut lieu de… » Monsieur le Maire : « Je voulais aussi vous rafraichir quelque peu la mémoire qui ce soir vous manque un peu… » Monsieur PERILLAT : « J’ai eu un accident ! » Monsieur le Maire : « Non, je ne plaisante pas avec ce genre de choses-là. Soyons clairs, ce n’est pas là-dessus que je vous titille. Il y a eu des crédits qui ont été votés pour faire une étude complète sur le réaménagement complet de ce parc. On avait mis des crédits pour que des propositions soient faites. Dès que l’on a eu un certain nombre d’esquisses, et le coût où ces esquisses nous amenaient, il a été décidé d’arrêter là puisque l’on en était, je n’ai plus les chiffres en tête parce que je ne pensais pas que vous me poseriez la question, mais on devait se situer à une hypothèse basse à 1 600 000 €. Il y a eu un groupe de travail qui a été fait, peut-être que vous avez oublié tous ces chiffres et quand on a vu ces sommes qui étaient colossales, on a dit « Halte au feu, ce n’est pas la peine de poursuivre et d’affiner Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 84/108 des études qui de toute façon n’aboutiront à rien », c’est la raison pour laquelle, il y avait un crédit de voté, une utilisation de crédit puisqu’il y avait eu deux ou trois concours, cela date de trois ou quatre ans. Il y a deux ou trois personnes qui ont concouru et que l’on a effectivement dédommagé, voilà le pourquoi de cette somme-là et le pourquoi nous ne sommes pas allés au bout, tout simplement. » Monsieur PERILLAT : « Ces 18 000 € correspondent à quoi ? » Monsieur le Maire : « Des études qui se sont arrêtées à ce niveau-là, on a fait un appel d’offres, il y a eu deux ou trois candidats qui sont venus, et comme chaque étude, je le rappelle, nous amenait à des chiffres épouvantables, on a dit que ce n’était pas la peine de poursuivre les études, de redépenser encore 20 000 ou 30 000 € supplémentaires en choisissant un tel ou un tel pour affiner parce que l’on ne fera jamais le projet. » Monsieur PERILLAT : « On pourrait quand même l’entretenir, il n’est pas entretenu, c’est tout tagué. C’est à côté de l’Office de Tourisme, c’est quand même un endroit du vieux CLUSES… » Monsieur le Maire : « Cela n’est pas le même type de problèmes ce dont vous débattez, c’est de voir de quelle manière on peut un petit peu l’entretenir, il y a peut-être un certain nombre d’efforts à faire, je tiens tout simplement, si vous l’avez remarqué, depuis un certain nombre de semaines ou de mois, on n’a pas particulièrement un temps très favorable pour aller tailler, faucher, etc., mais c’est du travail qui se fait, que les services feront d’une manière ou d’une autre, et là, on est dans un cadre différent qui est l’entretien des espaces. Vous auriez pu me citer également, j’en profite pour faire un petit clin d’œil aux services parce que j’ai totalement omis de le faire, mais ils vont me répondre que ce n’est pas de leur compétence parce que la maison RICHARD que nous avons achetée, effectivement, il ne serait pas totalement inutile et idiot d’aller faucher l’herbe qui commence à être assez haute, ce n’est pas de notre compétence, on n’a pas de moutons malheureusement, mais je pense que pour la fête des musiques, il ne serait pas stupide d’aller faucher un petit peu. Si on revient à l’ordre du jour, ce n’est pas cela, donc, je voudrais que le débat se ramène à ce qui est à l’ordre du jour. » Monsieur PERILLAT : « Quand il y a un ordre du jour, on l’étudie sérieusement et on va sur le terrain. Vous pouvez le constater. » Monsieur le Maire : « Vous l’étudiez très sérieusement mais de temps en temps, on se plante. Merci. Oui je vous écoute Monsieur GALLAY. » Monsieur GALLAY : « Vous parliez du temps pluvieux qui a alimenté les nappes phréatiques et qui a probablement alimenté la marre aux canards ! » Monsieur le Maire : « C’est très bien mais la chasse aux canards n’ouvre que début septembre. » Monsieur GALLAY : « Je ne voulais pas dire cela mais vous m’avez donné l’opportunité, merci. Simplement, nous acceptons les remises d’ouvrage car pour finir, cela concerne des petites sommes, c’était décidé, et puis, tout en rappelant que nous étions fortement opposés en son temps aux gros avenants dont nous avons quelques spécialistes ici et qui sont maintenant dans le record GUINESS des avenants. » Monsieur le Maire : « L’essentiel, c’est d’être dans le GUINESS, quand vous êtes à l’extérieur, ce n’est pas marrant, on ne parle pas de vous alors que quand vous êtes dans le GUINESS, c’est intéressant. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 85/108 Monsieur GALLAY : « Donc, vous avez fait de la communication ? » Monsieur le Maire : « Voilà. » Monsieur MARTIN : « Même si je partage l’avis de Monsieur PERILLAT concernant le parc CARPANO qui est devenu l’un des points chauds de la ville, notamment la nuit, je voulais venir un petit peu à votre secours et rappeler à Monsieur PERILLAT comme à Monsieur GALLAY, qu’après la fête, il n’y a plus de saints, il n’y a plus de débats, en fait, c’est simplement une régularisation administrative. Vous parlez mais cela a déjà été débattu. » Monsieur le Maire : « Merci d’abonder dans mon sens, je n’en attendais pas autant de vous. » Monsieur MARTIN : « Je fais un appel à la compétence. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement du solde de l'opération soit 682,82 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E POUR 2 MARTIN D - DARDENNE C ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ADOPTE A LA MAJORITE Voie verte : bord Englennaz Clémenceau/Poincaré Par délibération en date du 10 mars 2009, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "AMENAGEMENT VOIE VERTE : bord Englennaz Clémenceau/Poincaré" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 187 429,81 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 193 000,00 € TTC. Le solde de l’opération, soit – 5 570,19 € TTC, se décompose comme suit : - Trop perçu par la SEM Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 86/108 Génie-Civil Espaces Verts - Solde à devoir par la Ville de Cluses à la SEM Eclairage public : - 5 695,61 € : + 125,42 € Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Constate le remboursement de la SEM Ville de Cluses à la Ville de Cluses, du trop perçu soit 5 695,61 € TTC sur l'imputation Génie-Civil Espaces Verts, - Autorise le versement, par la Ville de Cluses, du solde de l'opération Eclairage public soit 125,42 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération et que la recette sera perçue sur le budget général, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E POUR 2 MARTIN D - DARDENNE C ABSTENTION 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ADOPTE A LA MAJORITE Aménagement Rue Pierre Trappier/Avenue Clémenceau Par délibération en date du 10 mars 2009, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "AMENAGEMENT RUE PIERRE TRAPPIER/AVENUE CLEMENCEAU" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 2 105 765,08 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 2 099 000,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la Sem Ville de Cluses, soit 6 765,08 € TTC, se décompose comme suit : - Génie-Civil Espaces Verts - Eclairage public : 6 364,94 € : 400,14 € Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 87/108 Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement, par la Ville de Cluses, du solde de l'opération soit 6 765,08 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C V O T E ADOPTE A L'UNANIMITE Bâtiments 2009 Par délibération en date du 10 mars 2009, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "BÂTIMENTS 2009" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 390 760,26 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 390 600,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la Sem Ville de Cluses, soit 160,26 € TTC, se décompose comme suit : - Groupes scolaires : 54,72 € - Bâtiments communaux : 105,54 € Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Aucune observation n’a été formulée. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 88/108 Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement, par la Ville de Cluses, du solde de l'opération soit 160,26 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C V O T E ADOPTE A L'UNANIMITE Bâtiments 2010 Par délibération en date du 16 mars 2010, la Ville de Cluses, Collectivité mandante, et maître de l'ouvrage a décidé de confier les travaux "BÂTIMENTS 2010" à la SEM VILLE DE CLUSES, mandataire. Les travaux étant entièrement achevés conformément au programme défini, et l'enveloppe financière ayant été respectée, la SEM VILLE DE CLUSES demande à la Ville de Cluses afin de clôturer cette opération, le quitus de sa mission en application de l'article 14 de la convention de mandat. Ainsi le bilan général de l'opération, présenté par la SEM VILLE DE CLUSES dans son procès-verbal de remise d'ouvrage approuvé par le Conseil d'Administration en date du 20 juin 2013, fixe le montant des dépenses totales à 619 788,45 € TTC et un montant des avances financières effectuées par la Ville à la SEM à 574 410,00 € TTC. Le solde à devoir par la Ville de Cluses à la Sem Ville de Cluses, soit 45 378,45 € TTC, se décompose comme suit : - Groupes scolaires - Bâtiments communaux : 2 941,16 € : 42 437,29 € Une attestation du Comptable Public certifiant l'exactitude des facturations et paiements résultant des pièces justificatives et la possession de toutes ces pièces justificatives accompagne ce procès-verbal. Aucune observation n’a été formulée. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 89/108 Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Autorise le versement, par la Ville de Cluses, du solde de l'opération soit 45 378,45 € TTC, - Donne quitus à la SEM VILLE DE CLUSES pour l'exécution complète de ses missions, - Dit que la dépense sera prélevée sur les crédits inscrits au budget général pour cette opération, - Autorise Monsieur le Maire à signer toute pièce s'y rapportant. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 90/108 ADMINISTRATION Composition des conseils communautaires des communautés de communes en vue des échéances électorales de mars 2014 Rapporteur : Monsieur le Maire Par circulaire en date du 04 mars 2013, Monsieur le Préfet demande aux conseils municipaux de délibérer avant le 30 juin 2013 afin de fixer le nombre global de conseillers communautaires de la communauté de communes et la répartition de ceux-ci par commune. Ce délai a ensuite été repoussé à la date du 30 Août 2013. Après réception des délibérations des communes concernées, le Préfet arrêtera la composition du conseil communautaire par arrêté. Lors de l’élaboration des statuts de la communauté de communes Cluses Arve et Montagnes, il a été fait application des dispositions légales de l’article L 5211-6-1 du Code Général des Collectivités Territoriales issu de la loi 2010-1563 du 16 décembre 2010 relative à la réforme des collectivités locales. La composition actuelle du conseil communautaire répond donc aux exigences légales. Nonobstant ce fait, la Préfecture de la Haute-Savoie a confirmé que - bien que la composition et la répartition des sièges soient conformes à la loi - il est obligatoire pour chaque commune de se prononcer sur la décision d’augmentation du nombre de sièges de 10% et sur la répartition des sièges entre les communes. Il est proposé de reconduire les dispositions adoptées dans les statuts de la communauté de communes, à savoir : - Nombre de sièges : 38 sièges pour une population municipale de l’établissement comprise entre 40 000 et 49 999 habitants (article L 5211-6-1 II) - Attribution de sièges supplémentaires : 3 sièges - pour les communes n’ayant pu bénéficier de l’attribution d’un siège en raison de la faiblesse de leur poids démographique à savoir Le Reposoir, Nancy-sur-Cluses et Saint-Sigismond (article L 5211-6-1 IV 2°) - Décision d’augmentation du nombre de sièges de 10% : 4 sièges - par accord de la majorité des deux tiers des conseils municipaux des communes représentant la moitié de la population totale de celles-ci ou la moitié des conseils municipaux représentant les deux tiers de la population (article L 5211-6-1 VI). Soit un nombre total de 45 sièges à répartir ainsi entre les communes membres : Commune Nombre de représentants Arâches-la Frasse 4 Cluses 12 Le Reposoir 2 Magland 4 Marnaz 5 Mont-Saxonnex 3 Nancy sur Cluses 2 Saint-Sigismond 2 Scionzier 6 Thyez 5 TOTAL 45 Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 91/108 Aucune observation n’a été formulée. Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve la décision d’augmentation du nombre de sièges de 10%, - Approuve la répartition des sièges telle que détaillée ci-dessus. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - NREVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Modification du tableau des effectifs 2013 Rapporteur : Monsieur LEFORT, Directeur Général des Services Vu l’avis consultatif du CTP en date du 28 mai 2013, Monsieur le Maire propose de modifier le tableau des effectifs comme suit : POLE EDUCATION ENFANCE JEUNESSE – Service Ressources Transformation de deux temps non complet La fonction « ressources » (accueil du public, inscriptions, suivi facturations etc) du pôle Education-Enfance-Jeunesse est occupée par un volume agent en équivalent temps plein de 2.94 hors encadrement d’équipe reposant sur une équipe de 5 personnes. Cette organisation se singularise par la composition et la répartition des temps de travail : Un agent à temps complet, deux agents à temps non complet, et deux agents à temps partagés avec d’autres services. Parmi cette dernière catégorie, un agent partage son temps entre le service « ressources » et le service « enfance » pour le secrétariat lié à la restauration et l’animation (contrats de travail, planning des vacataires, secrétariat de l’encadrement du pôle etc…). L’activité de direction du pôle EEJ nécessite un apport plus conséquent en tâches administratives, parallèlement, il convient également de « désengorger » l’encadrement « enfance jeunesse » de la gestion administrative quotidienne liées aux RH de proximité et d’apporter un soutien logistique au service ressources humaines, via la saisie déconcentrée des éléments de paies pour tous les contractuels occasionnels. Cet agent n’aura plus de disponibilité horaire pour couvrir les plages d’accueil au service « ressources » sauf à titre exceptionnel. Le transfert de cet agent à 100% vers la direction EEJ vient réduire l’équivalent temps plein du service « Ressources ». La marge de manœuvre envisagée pour combler le déséquilibre consiste à augmenter les deux postes à temps non complet du service « ressources ». Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 92/108 La modification s’établit comme suit : Adjoint administratif 1ère classe : suppression du poste à 55,7% et création à 68.6% (24H hebdomadaires) Adjoint administratif 2ème classe : suppression du poste à 57,10% et création à 68,6% dans un premier temps et 80% au retour d’un agent en congé parental estimé en novembre 2013. En résumé, l’impact budgétaire portera sur la création d’un équivalent temps plein de 24,8% puis de 36.2% à terme. SERVICE POPULATION : « cimetières » Transformation d’un temps non complet A ce jour l’équipe est composée de deux agents pour un équivalent temps plein de 1,5 (un poste à 100% et un temps non complet à 50%). Afin de mieux sécuriser le cimetière, il est nécessaire d’assurer une surveillance préventive plus soutenue en accroissant les horaires de présence d’agents. Par ailleurs, l’entretien des espaces verts des deux cimetières nécessite une plus grande attention avec la volonté d’embellir le carré « enfants » du cimetière du Chevran. Il est proposé pour faire face à ces nouvelles exigences de rajouter un équivalent temps plein de 30% en augmentant les horaires de l’agent à 50%. La modification s’établit comme suit : Adjoint technique 2ème classe : suppression du poste à 50% et création du dit-poste à 80%. VIE ASSOCIATIVE : Transformation d’un temps non complet Il est envisagé de regrouper au sein d’un seul et même pôle, l’activité administrative de la gestion de l’OMSL et celui de la vie associative. Actuellement le service « vie associative » est doté d’un agent d’accueil à 70% et d’une responsable à 100%, le poste d’assistant pour la gestion de l’OMSL représente quant à lui, un temps plein. Le regroupement de ces deux entités favorisera la visibilité pour le public et facilitera également la gestion d’équipe. A ce titre, il est envisagé de mutualiser entre les postes administratifs « sport » et « vie associative » des missions communes (réservation des gymnases, ouvrants, relations avec les clubs sportifs etc…) La mise en œuvre de la transversalité de ces missions va se traduire par un accroissement du volume d’activité de l’agent d’accueil de la « vie associative » que l’on peut établir dans un premier temps à 10% supplémentaire. La modification s’établit comme suit : Adjoint administratif de 2ème classe : suppression d’un 70% et création du dit-poste à 80%. Débat : Monsieur MARTIN : « Pour une explication de vote, on va voter contre, non pas que l’on ait quelque chose contre le pôle éducation ou les cimetières, ou la vie associative, mais c’est un petit peu comme le budget. Vous avez des recettes et vous les affectez où vous voulez, donc c’est un choix très politique. La gestion du personnel, c’est pareil, vous avez un certain nombre d’employés, vous embauchez pour aller vers telle et telle direction, c’est un choix très politique. Nous par exemple, on aurait peut-être aimé mettre plus de monde à la vie Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 93/108 associative ou à la police municipale, en retrancher ailleurs, donc comme il s’agit d’un choix très politique, on votera contre. » Monsieur le Maire : « Vous savez très bien que tout est politique, mais vous savez très bien qu’au-delà de cette boutade, on essaie quand même de faire en sorte que dans notre gestion des effectifs, on aille dans un sens d’efficacité au service de la population. Cela peut effectivement intéresser et affecter toute une série de secteurs. Je crois que ce qui est fait, en recherche d’efficacité, à la fois opérationnelle et financière, il y a surtout une efficacité pour une qualité de services et de fonctionnement, il y a toute une démarche d’ailleurs qui se fait sur la certification et la qualité et c’est dans cet esprit-là qu’il faut voir les réflexions qui sont menées et pas autrement. Est-ce qu’il y a d’autres remarques ? » Monsieur GALLAY : « Vous nous parlez de suppression de poste à 55.70 %, et création à 68.60 %, etc., mais vous oubliez de nous parler d’un nouveau poste de direction des affaires culturelles. » Monsieur le Maire : « Ce n’est pas un nouveau poste. Je vais laisser répondre techniquement là-dessus mais c’est un poste qui existait, c’est un transfert. » Monsieur GALLAY : « C’est un poste comment ? » Monsieur le Maire : « C’est un poste de catégorie qui passe d’un coin à un autre mais il n’y a pas une création de poste. C’est un côté fonctionnel mais pas un côté budgétaire. Il n’y a pas de modification au niveau du tableau des effectifs, il reste le même, on passe d’un point à un autre, mais il n’y a pas de changement opérationnel. » Monsieur GALLAY : « Autrement dit, c’est un poste qui existait déjà mais qui n’était pas représenté, c’est cela ? » Monsieur le Maire : « C’est un poste qui existait en A mais pas affecté directement à cela. » Monsieur GALLAY : « Oui, mais là, par contre, ce ne sont pas des petits postes, cela nous crée un gros poste. » Monsieur le Maire : « Non, c’est exactement le même poste qui est déplacé, pas d’impact budgétaire, pas d’impact sur la totalité des effectifs. » Monsieur GALLAY : « Cela nous fait un coût supplémentaire… » Monsieur le Maire : « Non. » Monsieur GALLAY : « Qui occupait ce poste avant ? » Monsieur le Maire : « Dans tout ce qu’il y avait sur le plan auparavant de tout ce qui était lié à la vie culturelle, il y avait entre autre sans remonter à mathusalem, on avait embauché une directrice du musée. Cette personne n’a pas souhaité continuer son contrat pour toutes sortes de raisons, le poste existait et donc on le transfert d’un autre côté, c’est un poste existant. » Monsieur GALLAY : « C’était le poste de la conservatrice du musée. » Monsieur le Maire : « C’est réorganisé, mais il n’y a pas de création de poste supplémentaire, on n’a pas pris quelqu’un en plus pour lui donner le titre de directeur, c’est une réorganisation de fonctionnement du service culturel. Pas d’imputation budgétaire, pas d’affectation budgétaire. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 94/108 Monsieur GALLAY : « Au niveau des frais de structures, la conservatrice du musée est remplacée par deux personnes ? » Monsieur le Maire : « Il y a une réorganisation, je n’ai pas tout le détail du fonctionnement du musée, c’est une réorganisation de fonctionnement de ces services, on redéploye un certain nombre de personnes en affectant des tâches nouvelles, des fonctions nouvelles, c’est la transversalité… » Monsieur GALLAY : « Oui mais là, elle est remplacée par deux personnes, à la place de la conservatrice, vous avez deux animatrices maintenant… » Monsieur le Maire : « Les deux animatrices existent depuis dix ans, quinze ans, depuis le début du musée. On a réorganisé le fonctionnement sans création de personnel nouveau. » Monsieur MIVEL : « Je comprends la question de notre collègue, c’est qu’en fait, là, on est sur le tableau des effectifs, sur la structuration des postes et des niveaux de catégorie, donc on est sur le budget, et pas sur l’organigramme de la commune, d’où le fait que vous parliez un langage différent. Un côté, on a cette structure, de l’autre, on a l’organigramme. Notre collègue pose la question sur l’organigramme, mais c’est vrai qu’à titre d’information, c’est important de le préciser. C’est plus à ce niveau-là mais ce sont deux choses différentes. » Monsieur GALLAY : « Merci, parce que c’est plus important ce genre d’affectation que des postes partiels à 50 %... » Monsieur MIVEL : « Oui mais dans le cadre légal, on est bien obligé d’annoncer les modifications. » Monsieur le Maire : « C’est un autre domaine. On ne parle pas au Conseil Municipal de la répartition entre les cantonniers, les machins, les trucs, les chouettes, donc il y a un fonctionnement de services, qui est une chose, il y a le tableau des effectifs qui est autre chose, ce que vous dites, c’est le fonctionnement du service culture que vous évoquez mais qui n’a rien à voir avec le tableau des effectifs qui est constant. » Monsieur GALLAY : « Pourquoi nous nous abstenons sur ce tableau des effectifs ? Parce que cela fait des années que je considère cela très flou, voire très obscur, et en fin de compte, je dirais que ce n’est même plus la peine, enfin, en ce qui me concerne, de nous présenter ce type de document. » Monsieur le Maire : « Je ne peux pas accepter ce genre de remarques Monsieur GALLAY. Cela n’a absolument rien d’obscur, nous sommes contraints et conduits à faire évoluer notre fonctionnement pour les raisons que j’évoquais tout à l’heure. Il y a des choses qui changent, qui évoluent, il y a des services qui a un moment donné prennent plus d’importance, sont une priorité et c’est dans ce souci d’efficacité en terme budgétaire et en terme de service que nous travaillons. Il y avait des insuffisances sur le fonctionnement de cette dimension culturelle qui était importante, on a voulu réorganiser, restructurer ce service en utilisant des postes qui existaient en catégorie A, on a pris ces postes pour gérer cette opération culture. Il n’y a rien d’autre. C’est ce que vous faites dans votre entreprise à un moment donné quand vous êtes confrontés à une réorganisation, vous changez des gens de place, c’est une question d’organisation. Quand on a un effectif à 350 personnes dans différents services, en terme d’efficacité, parfois il y a des mouvements de personnel qui sont obligatoires pour répondre aux besoins de gestion des ressources humaines et de réponse à des problèmes qui prennent plus d’activité. » Monsieur GALLAY : « Enfin, vous m’avez compris. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 95/108 Monsieur MIVEL : « Monsieur le Maire, il n’empêche, même si l’horaire est tardif, pouvezvous préciser la réorganisation qu’il y a eue parce que cela évite tout amalgame et c’est d’autant plus clair. Je pense que c’est important sinon on est sur deux choses qui sont différentes et c’est intéressant quand même d’avoir l’explication pour l’ensemble du Conseil Municipal. » Monsieur le Maire : « Il pourrait être fait mais il faut être global, avec la directrice etc., parce qu’il n’y a pas que le musée. » Monsieur MIVEL : « Paul peut le faire ? » Monsieur REVEREAU : « Monsieur GALLAY, s’il vous plait, on a réorganisé la vie associative, pour une simple raison, pour être beaucoup plus efficace, pour que notre personnel soit polyvalent, parce que nous avions des manques lorsqu’une personne manquait. Le poste était libre à l’OMSL, c’est-à-dire que la personne qui s’en occupait est allée sur un autre poste, donc on a repris une personne pour l’OMSL et nous allons réunir la personne de l’OMSL avec le service vie associative. Elles vont donc travailler ensemble sur le même lieu. D’autre part, au musée, comme Monsieur le Maire le disait tout à l’heure, la directrice est partie, nous avons repris une médiatrice, mais on n’a pas d’embauche supplémentaire, on a remplacé la directrice. Maintenant, nous avons trois personnes au musée. On a demandé à Florence POIRIER qui est responsable du patrimoine de travailler avec les trois médiatrices de façon à être beaucoup plus efficace sur le plan du musée parce que nous devons développer ce musée absolument en dehors de CLUSES. En fait, on n’a pas du tout embauché, on a rééquilibré les fonctions des personnes qui étaient sous nos ordres. » Monsieur le Maire : « On vous fera passer une note de synthèse sur l’ensemble du service, cela sera beaucoup plus facile à suivre mais je voudrais simplement que vous ayez à l’esprit cette volonté de répondre aux besoins et non pas de voir la main du malin dans tout cela. » Monsieur GALLAY : « Vous voyez, cela a lancé un petit débat, merci de vos explications. » Monsieur le Maire : « Vous semblez convaincu, avec vos remerciements et vos explications, vous êtes d’une conviction forte. » Monsieur GALLAY : « Les ressources humaines sont un élément moteur de la collectivité donc il est important de savoir ce qu’il s’y passe. » Monsieur le Maire : « Mais bien sûr, et croyez bien que l’on consacre beaucoup de temps et beaucoup d’intérêts et de passion à cela, parce que ce sont elles qui font vivre la collectivité et qu’il faut tenir compte de leur vie, de leurs compétences, les remercier et les saluer pour la compétence qu’elles mettent au service du public et que parfois, elles nous amènent des suggestions pour ce souci d’efficacité. Ce ne sont pas des gens que l’on manipule, ce sont des gens qui sont là au service pour apporter leur contribution. C’est pour cela que je ne voudrais pas qu’il y ait de malentendus sur l’organisation que nous sommes amenés à avoir parfois, dans un souci de respect des gens, d’efficacité de service et d’efficacité effectivement en direction de la population, ce qui est quand même notre motivation essentielle. » Monsieur PERILLAT : « Nous, on va être favorable sur ce point mais simplement, parce qu’il y a une augmentation du temps de travail. Il y a des postes qui passent de 70 à 80 %, il y a du plein temps, quelque part, cela va vers une amélioration et la deuxième chose, c’est le cimetière. Je pense que deux personnes, maintenant que c’est devenu un haut lieu touristique, on fait visiter, je vous encourage d’ailleurs à les visiter, c’est plein d’enseignements, c’est l’histoire, et j’aurais pu m’y retrouver dans ma dernière demeure. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 96/108 Monsieur le Maire : « C’est un lieu important, on doit respect, je ne vais pas dire aux occupants du cimetière… » Monsieur PERILLAT : « Il y a tous les anciens Maires d’ailleurs. » Monsieur le Maire : « C’est la raison pour laquelle on travaille en direction de cela. Je vois que cela en amuse quelques uns, mais pour nous, c’est quelque chose d’essentiel. » Monsieur PERILLAT : « C’est une visite guidée qui est très intéressante. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve l'actualisation du tableau des effectifs du personnel communal de la ville de Cluses. POUR V O T E 24 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R POUR 3 PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C ABSTENTION 3 GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E CONTRE 2 MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A LA MAJORITE Démarche de prévention hygiène sécurité : plan d'actions du document unique - bilan et pérennisation Rapporteur : Monsieur LEFORT, Directeur Général des Services Après consultation du CTP en date du 28 mai 2013, il convient de présenter au Conseil Municipal le degré d’avancement du projet de mise en œuvre du document unique relatif aux risques professionnels. L’action relative à l’élaboration du document unique actée par le Conseil Municipal de Cluses par délibération du 21 septembre 2010 a été initiée en janvier 2011 après sélection de l’accompagnant et communication auprès de l’ensemble des agents de la collectivité. L’équipe d’évaluateurs des risques après un temps de formation a terminé l’évaluation des risques entre septembre et octobre 2011. L’évaluation a révélé 488 risques qui ont été hiérarchisés par ordre de priorité (45 en priorité 1 et 275 en priorité 2). 250 unités de travail ont été identifiées dans 48 services. A partir de 2012, un programme d’actions a été déployé afin de tendre vers une maîtrise totale du risque. 170 actions ont été recensées sur l’ensemble des services de la collectivité (Ville et CCAS). Afin de mieux les traiter, elles ont fait l’objet du classement suivant : Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 97/108 NATURE D'ACTIONS Priorité 1 Total général Priorité 2 ACTIONS INVESTISSEMENTS/TRAVAUX 12 35 47 ACTIONS D'ORGANISATION 12 5 17 7 14 21 ACTIONS DE FORMATION ACTIONS FACILES/RAPIDES 23 62 85 Total général 54 116 170 Evolution du plan d’actions : En avril 2012 : 14 % des actions étaient réalisées et 18% en cours. Les actions classées « faciles à réaliser » et celles liées à la formation sont celles qui sont résolues le plus rapidement. En novembre 2012, 40% des actions sont finalisées. En avril 2013, l’avancée est significative : 68% d’actions réalisées avec une projection fin 2013 de 80% des actions qui seront soldées. Certaines actions n’avaient plus de raison d’être (changement d’organisation) ce qui nous ramène à 170 actions au lieu de 191 initialement. Focus sur les actions : Actions de formation Sur les 21 actions de formation/sensibilisation, 12 sont traitées (57%), 6 projets de formation sont en cours ce qui nous amènera à une réalisation proche de 86% voire plus car certaines actions restantes seront réalisées en interne. Le budget dédié à ces actions représentera fin 2013 environ 17000 €. Ces formations viennent se rajouter aux formations habituelles liées à la sécurité. Actions structurantes nécessitant acquisition de matériels et réalisation de travaux : Sur les 47 opérations d’investissement/travaux projetées, 31 ont été réalisées (66%) et une devrait intervenir avant fin 2013 (ouvrant à la médiathèque). Parmi ces actions, certaines seront sans objet car le danger n’existe plus (ex : achat de produits d’entretien qui ne présentent plus de risques à l’inhalation en raison de l’absence d’éléments toxiques) Globalement les opérations restantes concernent des réfections de locaux, l’installation de climatisations dans certains services et des aménagements techniques spécifiques. Ces opérations s’inscriront dans la durée car elles nécessitent une mobilisation budgétaire conséquente et une stratégie d’action. Budgétairement, l’investissement consacré aux opérations les plus importantes s’élève à environ 102 000 € (hors petits matériels) : Quelques exemples : scène mobile, aspirateur ATEX, lignes de vie « ateliers musiques actuelles », systèmes de ventilation/climatisation, déligneuse, réaménagement de la banque d’accueil au CCAS, mise aux norme du monte charges dans la salle de spectacle, racks, chariots de transport etc… Actions d’organisation : Ces actions portent essentiellement sur des remises à niveau de définitions de poste, déploiement de personnel et quelques réajustements, des demandes de supervision pour des services exposés à une forte charge mentale (action sociale), des changements de pratique. Sur les 17 actions de ce type, environ 80% seront réalisées fin 2013. PERENNISATION DE LA DEMARCHE : La réalisation de cette démarche de prévention a permis d’apporter une valeur ajoutée sur l’organisation des circuits de mise en œuvre des opérations d’hygiène et sécurité. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 98/108 Elle a permis de rendre plus lisible et de consolider la place de chacun dans la chaîne de responsabilité : celui du Maire et de la Direction générale pour veiller à la cohérence et fixer les orientations et les attentes, le rôle d’interface du service RH à travers la mission du coordonnateur de prévention chargé d’animer, de coordonner et de contrôler la mise en œuvre, des assistants de prévention, relais de proximité, des chefs de service acteurs de la mise en œuvre opérationnelle, des représentants du personnel au sein du CHS, de l’ACFI et des agents. Une véritable politique de prévention hygiène et sécurité au travail est désormais engagée avec la mise en œuvre d’objectifs généraux et opérationnels. Cette politique de prévention est confortée par le recrutement d’un chargé de prévention qualifié, reconnu et légitimé par l’ensemble des partenaires. Débat : Monsieur PERILLAT : « Une question concernant ce document unique qui existe dans le privé depuis des années, je pense que c’est une bonne chose qu’il soit mis en place… » Monsieur le Maire : « Il y a déjà quelques temps qu’il existe. » Monsieur PERILLAT : « Oui, mais cela existe dans la banque depuis dix ans, je crois qu’il faut qu’il y ait le suivi. Il y a un organisme indépendant qui s’est chargé de cela ? C’est compliqué, comment cela s’est passé ? » Monsieur le Maire : « C’est sûr, on nous a assisté et le document unique date au moins de deux ans, de mémoire, mais on a eu effectivement le soutien d’une organisation pour nous amener à cela. C’est un travail énorme qui a été mené de concert par les services qui sont très fortement impliqués dessus et puis avec l’aide extérieur. » Monsieur LEFORT : « Régulièrement on vous repropose au Conseil Municipal la convention avec le centre de gestion sur la mission d’inspection. Il y a un agent chargé des fonctions d’inspection au sein du centre de gestion de la Haute-Savoie qui passe régulièrement dans les services pour voir de quelle manière on fonctionne, et il rend un rapport qui est soumis à l’approbation du CHS et qui nous permet, je dirais, d’avancer dessus. Il y a donc bien un auditeur extérieur qui vient bien vérifier le travail qui est réalisé au sein des services. » Monsieur PERILLAT : « Les locaux font partie aussi des conditions de travail. Je pense et j’ai eu vent de certaines plaintes concernant les locaux. Vous avez mis de beaux tableaux d’affichage mais il y aurait besoin d’un bon ravalement, les locaux commencent à être assez vétustes. Vous avez mis encore une fois de beaux panneaux signalétiques mais je pense qu’il est quand même nécessaire de donner un coup de peinture. » Monsieur le Maire : « Je pense que de vous-même vous avez fait la différence entre le coût de la signalétique et le coût d’une refonte complète des travaux de cette mairie. Si d’aventure cela ne vous avait pas frappé, on peut quand même vous donner le rapport des coûts. Au-delà de cela, vous serez peut-être surpris un jour de voir que des propositions pourraient être faites pour apporter des réponses aux remarques que vous venez de formuler, qui ne m’ont pas échappé, soyez en assuré, mais vu le montant des travaux et les problèmes qui peuvent se poser, et ce n’est pas ce que l’on connaît actuellement qui me fera revenir en arrière sur les propos que je vais tenir, je pense que la réflexion doit se faire dans un contexte totalement différent. Nous y réfléchissons, soyez en sûr, parce que l’on est conscient de cette douce réalité. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 99/108 Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Prend acte du bilan de la démarche de prévention hygiène sécurité : plan d'actions du document unique. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE SIVOM de la Région de Cluses : examen du projet de modification des statuts Annexes : Délibération n°2013 – 31 du Comité syndical du 4 ju in 2013 Statuts Rapporteur : Monsieur le Maire Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment les articles L.5211-5 et L.5211-20; Vu l’arrêté préfectoral en date du 17 décembre 1971 portant création du Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple de la Région de Cluses (SIVOM) ; Vu les différents arrêtés préfectoraux portant modification des statuts ; Vu les statuts en vigueur ; Vu la délibération du Conseil syndical du 4 juin 2013 portant modification des statuts du SIVOM; Vu le courrier de Monsieur le Président du SIVOM reçu le 10 juin 2013 soumettant le projet de modification des statuts à l’approbation du conseil municipal, Considérant que conformément aux dispositions des articles L 5211-5 et L 5211-20 du Code Général des Collectivités Territoriales, les conseils municipaux des communes membres sont amenés à se prononcer sur les projets de modification dans un délai de trois mois à compter de la date de réception, le silence gardé valant acceptation. Les modifications répondent à plusieurs objectifs : • • • • Prendre en compte de la création de la 2CCAM (Communauté de Communes Cluses Arve et Montagnes et de la 2CGM (Communauté de Communes des Montagnes du Giffre), Permettre l’adhésion de la commune de Mieussy, ès qualité de commune, à la compétence « Assainissement collectif – transport et traitement des eaux usées », Intégrer les conséquences des délibérations du Conseil communautaire de la 2CCAM, en date du 23 mai 2013, visant à reprendre plusieurs compétences actuellement exercées par notre syndicat, Redéfinir le contenu, les modalités de financement et d’exercice de la compétence « Assainissement collectif », Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 100/108 • Préciser les modalités de représentativité de la 2CCAM au sein du Comité syndical s’agissant de la compétence « Assainissement collectif ». Monsieur le Maire invite le Conseil Municipal à débattre de cette modification. Débat : Monsieur GALLAY : « Cette grosse machine n’est pas prête d’être réduite puisque l’on augmente la structure. » Monsieur le Maire : « Je ne vous entends pas du tout, désolé, parlez dans le micro. » Monsieur GALLAY : « Normalement, la 2CCAM a la compétence de l’assainissement, le SIVOM agit sur un territoire, un périmètre plus large, donc c’est normal que la 2CCAM soit représentée au SIVOM, par contre, on abandonne jamais le millefeuille, c’est-à-dire qu’à la 2CCAM on a des indemnités, au SIVOM, on en a aussi. » Monsieur le Maire : « Ce n’est pas à l’ordre du jour, là, on est aux modifications statutaires. Si vous déviez, personne ne comprendra rien déjà qu’au début, votre introduction n’était pas facile, si vous rajoutez cela, on ne va plus rien comprendre. » Monsieur GALLAY : « Vous, vous n’êtes pas mal à l’aise parce que vous avez eu l’élégance d’abandonner votre indemnité SIVOM, donc c’est bien, mais je dirais qu’il faudrait que les autres communes fassent la même chose. L’objet du SIVOM est un peu différent, le périmètre est différent de celui de la 2CCAM mais je dirais que maintenant, il faudrait que l’on tire un peu les leçons de tous ces empilages. Alors, les statuts, on va les voter, il est certain qu’il faut accepter MIEUSSY, il faut effectivement qu’il y ait un dialogue entre les deux structures, par contre, il faut peut-être plus de vigilance, plus de sagesse dans les différentes participations, parce que là, nous avons quand même une contribution de la ville de CLUSES qui est relativement importante, qui a diminué un petit peu mais qui pourrait être beaucoup plus réduite. » Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Émet un avis favorable aux modifications statutaires du Syndicat Intercommunal de la Région de Cluses proposées par le Conseil syndical dans sa délibération n° 2013 – 31 du 4 juin 2013, - Charge Monsieur le Maire de notifier la présente délibération à Monsieur le Président du Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple de la Région de Cluses. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 101/108 Adhésion de la commune de Magland au Syndicat Intercommunal Omnisports de la Vallée de l’Arve - modification des statuts Annexe : statuts er Rapporteur : Monsieur TAVERNIER, 1 Maire-adjoint Dans le cadre du projet d’adhésion de la commune de MAGLAND au SIOVA à compter du 1er janvier 2014 (projet validé lors du Comité syndical du 21 février 2013), Monsieur le Maire présente le projet de modification statutaire ci-joint. En vertu des articles L 5212 - 16 et L 5212 - 17 du CGCT, les communes de Cluses, Scionzier, Thyez et Marnaz sont invitées à se prononcer sur l’adhésion de la commune de Magland à la compétence « centre nautique » du SIO. Débat : Monsieur PERILLAT : « La piscine est déjà bien fréquentée, est-ce que cela va changer quelque chose ? » Monsieur TAVERNIER : « La piscine est bien fréquentée mais on croit savoir qu’il y a un centre nautique d’importance qui s’est ouvert à quinze kilomètres de chez nous et que ma foi, un peu plus de fréquentation et un peu plus de participation, cela ne sera pas pour nuire au centre nautique de CLUSES SCIONZIER. » Monsieur GALLAY : « Nous approuvons l’adhésion de MAGLAND ainsi que des autres communes si elles en font la demande. Cependant, avec la création de la 2CCAM, le SIO est-il nécessaire maintenant ? Je le dis d’autant plus que quand il s’est agi de créer la 2CCAM, c’était indiqué dans les documents de la Préfecture. Va-t-on continuer à empiler les structures ? Et cumuler les indemnités ? Alors qu’il faudrait dégraisser le millefeuille. » Monsieur le Maire : « Non, c’est le mammouth, le millefeuille ne se dégraisse pas ! » Monsieur TAVERNIER : « En l’occurrence, là, c’est le dauphin. » Monsieur GALLAY : « Répondez à ma question. » Monsieur le Maire : « Je vais vous répondre avec délectation puisque vous parliez de millefeuille et je me délecte face au millefeuille. Je voudrais simplement faire une ou deux observations. Nous avons déjà supprimé un certain nombre de syndicats intercommunaux existants ou pas existants, et d’autres qui vont être supprimés. On a supprimé le SIRCA pour la gendarmerie, après dans la foulée, il y aura le SISPA, le SIO probablement, on aura le SIVU aussi. Quand on a demandé effectivement au Préfet un certain nombre de suppressions de syndicats, curieusement, on a eu des réponses pas toujours positives. Vous le prenez dans le sens où vous voulez, mais nous sommes effectivement demandeurs pour réduire un certain nombre de structures intercommunales ou autres. Vous prêchez un ou des convaincus dans cette réflexion, ce n’est pas toujours aussi simple que cela parce que parfois on a aussi des recoupements administratifs qui ne permettent pas d’aller aussi loin quand vous avez des compétences qui sont partagées avec des communes qui sont dans des communautés de communes différentes. On peut le faire mais après il faut signer des conventions avec la commune qui est dans une autre communauté de communes, c’est assez compliqué aussi mais soyez bien assuré que l’on travaille pour arriver à des réductions. Il nous faudra également définir l’intérêt communautaire, cela sera à faire dans les mois à venir, mais on est également très sensible à votre observation. » Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 102/108 Après exposé et en avoir délibéré, Le Conseil Municipal - Approuve l’adhésion de la commune de Magland à la compétence « centre nautique » du Syndicat Intercommunal Omnisports de la Vallée de l’Arve, - Approuve les modifications statutaires afférentes. POUR V O T E 32 LEGER JC - TAVERNIER JC - MIVEL JL - SALOU N - METRAL G (PROC) BAUMONT MP - REVEREAU P - PASQUIER MP PICHOT J (PROC) - THABUIS M - AUPIAIS M (PROC) - MICHEL F MONNET A - DURUPT G (PROC) - VARESCON R - GOJON ML PREVIGNANO B - EVERAERE M (PROC) - MONTEIL S - HUGARD C METRAL GA - GUILLARME I - PERNET N – MELON R PERILLAT A - KURTI L (PROC) - MEUNIER C GALLAY P - DELSANTE S - GREVAZ E MARTIN D - DARDENNE C ADOPTE A L'UNANIMITE Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 103/108 DECISIONS INFORMATION MARCHES DE FOURNITURES ET SERVICES - Ville de Cluses Mission de surveillance dans le cadre du festival "musiques en stock" Une mise en concurrence a été effectuée au Dauphiné Libéré et sur le site de dématérialisation le 29 mars 2013 pour une date limite de remise des offres fixée au 22 avril 2013 à 12 h 00. Il s'agit d'un marché à bons de commande avec minimum et maximum définis comme suit : Seuil minimum : 8 000 € HT – Seuil maximum : 20 000 € HT Deux candidats ont remis une proposition de prix à la date et à l'heure limites (LYONNAISE DE SECURITE et A.G.S. 74) Après analyse, le marché a été attribué à la SARL A.G.S. 74, domiciliée à Annecy. Le marché est conclu pour une période initiale à compter de sa notification jusqu'au 31 décembre 2013. Il peut être reconduit par période successive de un an pour une durée maximale de reconduction de 3 ans, sans que ce délai ne puisse excéder le 31 décembre 2016. MARCHES DE TRAVAUX - SEM Ville de Cluses Armoire pour manifestations Une mise en concurrence a été réalisée sur le site de dématérialisation le 07 mars 2013 pour une remise des offres fixée au 02 avril 2013 à 12 h 00. Il s'agit de la réalisation d'armoire électrique pour l'accueil de manifestations en extérieur au droit de l'Espace des Allobroges. Deux candidats ont remis une offre de prix (MOLLIEX INDUSTRIE et GRAMARI). Après analyse, le marché a été attribué à la SA MOLLIEX INDUSTRIE, domiciliée à Scionzier, pour le montant HT de 14 343,00 €. Réfection de faux-plafonds (centre aéré de la Frasse et Maternelle Groupe Scolaire des Ewües 2) Une mise en concurrence a été réalisée au BOAMP et sur le site de dématérialisation le 22 mars 2013 pour une remise des offres fixée au 12 avril 2013 à 12 h 00. Quatre candidats ont remis une offre de prix (SARL BIGEY, LA CEFLO, SEDIP et ALPES PEINTURE). Après analyse, le marché a été attribué à la SARL BIGEY, domiciliée à Vulbens (74520), pour le montant HT de 7 453,90 €. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 104/108 Travaux de désamiantage au Groupe Scolaire des Ewües 1 Une mise en concurrence a été réalisée au BOAMP et sur le site de dématérialisation le 08 avril 2013 pour une remise des offres fixée au 30 avril 2013 à 12 h 00. Deux candidats ont remis une offre de prix (SDBA et BENEDETTI). Après analyse, le marché a été attribué à la SAS JB BENEDETTI, domiciliée à Passy, pour le montant HT de 18 305,09 €. Débat : Madame DARDENNE : « Est-ce qu’il y en a encore beaucoup de bâtiments ? » Monsieur le Maire : « C’est une question maladroite, si vous me permettez Madame. » Madame DARDENNE : « Cela fait un peu peur. » Monsieur le Maire : « C’est une question extrêmement maladroite, Jean LEROY vous expliquera en aparté tout à l’heure, c’est très compliqué face à des bâtiments qui se sont faits à une époque, mais soyez assurée que l’on travaille avec la célérité nécessaire et avec, je crois toute l’attention et les précautions qui peuvent être apportées. Il y a des textes qu’il faut appliquer d’une manière extrêmement obtuse et cela pose effectivement problème. » Monsieur MIVEL : « Monsieur le Maire, je pense qu’il faut préciser que dans tout bâtiment, il y a aujourd’hui de l’amiante et que c’est en perspective des travaux qu’il y a une mesure particulière, ce n’est pas quand on est dans un statu quo bien évidemment. Sinon, cela voudrait dire que l’on aurait un souci, mais on a aucun souci, sinon sur quelques bâtiments que cela soit au niveau de la commune. Par contre, il faut regarder chez vous si vous n’en avez pas et que vous faites des travaux sans le savoir. C’est plutôt cela la question. » Monsieur le Maire : « Sur ce qui a été dit, c’est vrai que tant que l’on ne touche rien, cela va, mais c’est dès que l’on touche l’amiante qu’il y a effectivement des poussières qui se dégagent. Quand on ne touche pas, le risque n’existe pas, mais quand on fait des travaux dans les bâtiments des années 1960-1970, cela n’est pas évident, on est bien payé pour le savoir. » Réfection étanchéité de toiture terrasse (Maternelle Groupe Scolaire des Ewües2) Une mise en concurrence a été réalisée au BOAMP et sur le site de dématérialisation le 16 avril 2013 pour une remise des offres fixée au 15 mai 2013 à 12 h 00. Deux candidats ont remis une offre de prix (SMAC et APC ETANCH). Après analyse, le marché a été attribué à la SA SMAC, domiciliée à Annecy, pour le montant HT de 56 431,81 €. MARCHES DE FOURNITURES ET SERVICES - SEM Ville de Cluses Mission de contrôle extérieur METAL pour une passerelle de franchissement des voies SNCF Une mise en concurrence a été réalisée le 18 mars 2013 auprès de 4 bureaux de contrôle (GINGER/CEBTP/SOLEN ; IS SERVICES ; CETE et Pascal DESCAMPS), avec une date limite de remise des offres fixée au 10 avril 2013 à 12 h 00. Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 105/108 Deux candidats ont remis une offre de prix (CETE et IS SERVICES). Après analyse, le marché a été attribué à CETE DE LYON, domicilié à Bron (69674) pour le montant HT de 9 934,00 €. Mission de contrôle extérieur BETON pour une passerelle de franchissement des voies SNCF Une mise en concurrence a été réalisée le 18 mars 2013 auprès de 4 bureaux de contrôle (CG 74 ; CETE ; EGIS GEOTECHNIQUE et GINGER/CEBTP/SOLEN), avec une date limite de remise des offres fixée au 10 avril 2013 à 12 h 00. Un seul candidat a remis une offre de prix (EGIS GEOTECHNIQUE domicilié à Seyssins). Après analyse, ce dernier a été retenu pour le montant HT de 6 775,00 € Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 106/108 Réponse aux questions orales Groupe Front National Dominique MARTIN QUESTION ORALE N°1 Exposé des motifs : Lors du conseil municipal du 14 mai dernier, suite à un accident provoqué par un chauffard ivre, drogué et multirécidiviste dans la nuit du 7 au 8 mai vers 1h30 rue Emile Chautemps, nous avons évoqué les problèmes d’insécurité qui règnent à Cluses. À nos questions : « Quand comptez-vous prendre la mesure de l’insécurité structurelle qui règne à Cluses ? » Et « Quelles mesures concrètes pensez-vous prendre en coordination avec les services de l’Etat ? », vous avez répondu que c’est un regrettable accident, qu’il n’y en a pas eu en 2012 ni en 2011, et qu’il n’y a pas de rodéo à Cluses. Le lundi 27 mai dernier à 17h50, un jeune couple accompagné de ses 2 enfants en bas âge s’est fait violemment agressé à titre gratuit en plein centre-ville de Cluses (coups de poing et de pied au père et coups de poing à la mère, plus traumatisme psychologique). Ces faits se sont déroulés 13 jours après vos propos certifiant que tout va bien à Cluses. Questions : Nous reposons donc les questions suivantes : Quand comptez-vous prendre la mesure de l’insécurité structurelle qui règne à Cluses ? Quelles mesures concrètes pensez-vous prendre en coordination avec les services de l’Etat ? Réponse de Monsieur le Maire : « Pour reprendre, le point n°1, dans la remarque, j ’avais eu l’occasion de vous faire part de mes observations. Sur le point n°2, quant à ces personnes qui se sont faites agresser, je suis le premier désolé de ce qu’il leur est arrivé, ceci étant, on ne peut quand même pas mettre des éthylotests à l’entrée de la ville et faire passer tout le monde à l’éthylotest. Le gars était complètement imbibé d’alcool, voire d’autres choses, et il a eu une crise de folie, il a tapé sur quelqu’un. Je n’appelle pas cela de l’insécurité, j’appelle cela de la folie d’une personne. Il ne faut pas non plus, de cela, en tirer des conclusions, en faire des choux gras, en faire des titres énormes, il faut quand même regarder ce que sont les réalités des choses, et un type un peu fou ne doit pas conduire à dire qu’il y a un sentiment d’insécurité. Sur le reste, je n’ai jamais prétendu que les choses étaient parfaites mais je voudrais simplement vous dire que l’on travaille actuellement avec Monsieur le Préfet de la Haute-Savoie et les forces de la gendarmerie pour essayer de poser un projet de ZSP qui sera effectivement remonté chez le Ministre de l’Intérieur et on espère avoir une réponse positive. Mais cela, c’est une décision politique et ne nous demandez pas de faire quelque chose où on n’est pas compétent mais la démarche se fait, les arguments se montent et cette ZSP qui serait montée évidemment avec BONNEVILLE pour avoir plus de chances de réussite, on espère qu’elle sera acceptée par le Ministre à la fin de cette Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 107/108 année, c’est tout ce que l’on peut souhaiter. Je voudrais le redire, comme pour la clinique tout à l’heure, croyez bien que ce n’est pas parce que l’on ne fait pas de déclamation de tous les côtés, à tous les coins de rue que l’on ne se préoccupe des problèmes, y compris ceux liés à la sécurité. » La séance est levée à 22 h 20. Le compte-rendu a été affiché le 2 juillet 2013, conformément aux prescriptions de l’article L 2121 – 25 du CGCT. Pour le Maire empêché Et par délégation, Jean-Claude TAVERNIER 1er Maire-adjoint Procès-verbal - Conseil municipal du 25 juin 2013 - 25/07/2013 - 108/108