Dossier Cine-concert Vampyr untel
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Dossier Cine-concert Vampyr untel
[unTel] ELECTRO POST/ROCK Ciné concert «Vampyr» de CT DREYER, 1932 BIOGRAPHIE P2 DISCOGRAPHIE P3 DATES P4 CINE CONCERT «VAMPYR» DE DREYER P5 RETOURS DE PRESSE P7 CONTACT P8 FICHE TECHNIQUE P9 BIOGRAPHIE Untel est une formation rock-électro instrumentale qui a développé un univers sonore intimiste et narratif s’associant aux arts visuels dans le cadre de ciné-concerts et de créations avec des vidéastes. Formé en 2000 à Dijon (France), le groupe affi che son affi nité pour les arts visuels et collabore fréquemment avec d’autres artistes scéniques : aussi peut-on entendre les productions du groupe au détour d’une pièce de théâtre, d’une performance ou dans le cadre de soirées V’Jing regroupant musique et vidéo. Suite à la demande du centre culturel de l’Athénéum de Dijon, le groupe recompose la bande sonore du fi lm Eraserhead de David Lynch en 2004, dans le cadre du Festival Soundtrack. En 2008, untel poursuit l’expérience du ciné-concert en travaillant sur la musique de Vampyr, un fi lm Franco- Allemand de CT Dreyer (1932), création présentée dans de nombreuses villes en France et dans plusieurs festivals. Atypique dans le champ de l’expressionnisme au cinéma, ce long métrage contient une atmosphère onirique et étrange dans laquelle l’ambiance musicale du groupe trouve une proposition idéale pour dérouler sa musique sur la durée. Sélectionné au Festival de fi lms muets mis en musique à Aoste (Italie) dédié à Buster Keaton, le groupe a montré qu’il pouvait sortir de son univers habituel -plutôt sombre- pour développer des compositions plus en accord avec les fi lms de Buster Keaton qui déclinent des personnages en proie à des situations grotesques et absurdes. Convict 13 a été l’occasion pour Untel de «repenser» sa musique et de trouver l’alchimie entre la légèreté de la thématique du court-métrage et l’empreinte sonore du groupe. DISCOGRAPHIE untel état 1 (2000) // 4 titres SITE INTERNET >>>>> www.myspace.com/untel >>>>> www.collectif-ras.org untel état 2 (2002) // 8 titres untel projection (2006) // 9 titres Depuis 2011 le ciné-concert Vampyr est inscrit au répertoire de l’ADRC (Agence pour le Développement Départemental du Cinéma). Pour plus d’information consulter les conditions de circulation des ciné-concerts sur : http://www.adrc-asso.org/films_du_repertoire/cine_concerts.php 2012 Mai / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma La Bobine de Quimperlé 2011 Mai / Ciné-concert sur Vampyr au CRAC Alsace (Centre d’art contemporain) à Altkrich 2009 Janvier / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Les Tanneurs de Dole 2009 Janvier / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Olympia de Pontarlier 2009 Avril / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Eden de Louhans 2008 Fevrier / Ciné-concert sur Vampyr au Théâtre du Pont Neuf de Toulouse 2008 Fevrier / Ciné-concert sur Vampyr à l’Intermédiaire de Marseille 2008 Fevrier / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Les Templiers de Montélimar 2008 Fevrier / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Les Lumières Vitrolles 2008 Fevrier / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Le César Apt 2008 Avril / Ciné-concert sur Vampyr à l’Autre Canal de Nancy 2008 Mai / Concert V’jing à l’Athénéum de Dijon 2008 Juin / Ciné-concert sur Buster Keaton aux selections internationales de Turin (Italie) 2008 Juillet / Ciné-concert sur Vampyr au Festival Partie de Campagne à Ouroux sur Saône 2008 Juillet / Ciné-concert sur Vampyr au festival Dièse de Dijon 2008 Août / Ciné-concert sur Convict 13 de B. Keaton au Festival d’Aoste (Italie) 2008 Octobre / Ciné-concert sur Vampyr à la Vapeur de Dijon 2008 Novembre / Ciné-concert sur Vampyr au cinéma Oblo de Lausanne (Suisse) VAMPYR DE DREYER Après sa création musicale dans le cadre de Soundtrack #2 à l’Athénéum (2004) et de l’Estivade de Dijon (2005), le groupe s’engage sur une nouvelle création ciné-concert. La préférence du groupe s’oriente d’abord sur un mouvement artistique qui a eu une forte infl uence au cinéma : l’expressionnisme. De part sa recherche formelle, son esthétique novatrice qui a donné naissance à un univers onirique et angoissé, l’ambiance musicale d’untel trouve ici une proposition idéale à son incarnation visuelle. Écartant les classiques du genre ( Nosferatu de MURNAU, Le cabinet du Docteur Caligari de WIENE), le choix du groupe s’est porté sur Vampyr de Carl Theodor Dreyer, un film muet de 1932 (1h15). Synopsis Vampyr ou l’étrange aventure de David Gray, fi lm franco-allemand de Carl Theodor Dreyer avec Julan West (David Gray) - 1h15. Un soir, alors que David Gray rentre à son auberge, un vieil homme lui confi e un paquet à n’ouvrir qu’en cas de décès. La vie déjà somnambulique de Gray bascule alors. Il se rend dans un château étrange, noyé dans la brume, où la fille du châtelain, Léone, semble possédée. Le livre contenu dans le paquet révèle que celle-ci est vampirisée par une certaine Marguerite Chopin avec la complicité du médecin qui la soigne... Notes Le réalisateur a plutôt misé sur le visuel, ce qui nous donne un fi lm absolument étrange contenant des images fascinantes : «convaincu que le sentiment de terreur naît de la suggestion et non de l’effet, le cinéaste nous plonge dans un monde peuplé d’ombres facétieuses, un cauchemar éveillé. Dreyer fut enthousiasmé par le tirage d’une première bobine qui, à la suite d’une imperfection technique, donna à la photographie une atmosphère brumeuse. Le chef opérateur Rudolph Maté brouilla alors délibérément le reste du fi lm, ce qui en intensifi e le climat onirique» (Franck Garbaz, TELERAMA). Le N/B du fi lm n’étant pas très contrasté, le gris délavé de l’image accentue l’intemporalité du film. Vampyr distille à l’aide d’images fantomatiques et de décors vaporeux une inquiétante étrangeté, réhaussée par une narration labyrinthique. L’approche musicale Le point fort du film reste cette ambiance déstabilisante que ressent progressivement le spectateur. Un véritable malaises’installe devant les images qui se suivent, se chevauchent sans but scénaristique; un film fragmenté qui laisse un large espace à la création musicale. Loin de donner une cohérence à un film qui ne l’est -a priori- pas, untel privilégie des séquences rythmiques discontinues, préférant renforcer, appuyer musicalement cette étrange incertitude qui parcourt l’oeuvre de Dreyer. Afin d’apporter un grain sonore brouillé et sale qui fait écho à l’image grisâtre, le trio a choisi de compléter son style electro-rock par l’utilisation d’un vieil orgue électrique (farfi sa) et d’un synthétiseur analogique des années 70 (Korg MS-20). Entre séquences douces-amères, envolées rythmiques soutenues et guitares saturées, les musiciens tentent de réactualiser un film magnifique, poétique, aux effets stupéfiants pour l’époque. Les compositions d’untel, mélées à la relative insouciance scénaristique du f lm au profi t d’une «vision», peuvent donner lieu à des filiations inattendues comme le «Eraserhead» de David Lynch ou le «Pig» de Niko B. et Rozz Williams. « Au terme d’une semaine de résidence, le pari est plutôt réussi. D’autant plus que le comédien Julien Colombet ajoute l’ambiance vocale en traduisant les textes en anglais d’une voix puissante et inquiétante » Le Bien Public, janvier 2007 Retours de Presse «Atmosphériques, émotives et colorées… Les Projections d’Untel nous dévoilent un univers musical intimiste, entre post-rock aérien et arrangements machinistes. En une véritable rêverie sonore et cinématographique, la formation dijonnaise protéiforme réussit à donner vie à l’inconscient et aux ressentis.» VACARM.NET -------------------------------------------------------------------------------------------«Par ce caractère narratif prégnant, qui passe notamment par l’incorporation de tranches de discours dans ses morceaux, le parallèle entre la musique d’Untel et celle d’Arca n’est pas usurpé, même si les sources sonores et la densité diffèrent quelque peu.» ONDEFIXE. -------------------------------------------------------------------------------------------«Pas de chanteurs/chanteuses mais au moyen des archives sonores (enregistrements lors de dialogues privés, lors d’émissions de radiotélévision ?) des voix sont perceptibles : spoken words sur Tarkos, voix féminine parlant à quelqu’un sur Post Hoc chant féminin sur Landlady. UNTEL admire David LYNCH - ils ont souvent improvisé leur musique lors de ciné-concerts où Eraserhead était projeté - ou PAN AMERICAN mais le concept global se rapprocherait davantage du groupe MOGWAI.» TRAVERSES -------------------------------------------------------------------------------------------«Dans sa façon de tisser des ambiances aériennes et pensives, toujours proches d’un post-rock nuancé, où samples et monde numérique ont un important droit de parole, Untel s’installe doucement et sûrement auprès d’autres activistes discrets de la scène française.» BENZINEMAG.NET -------------------------------------------------------------------------------------------«Ne reniant pas tout de même ses racines post-rock, les musiciens d’Untel nous proposent sur «Projections» une musique aux accents électro enrichis d’un univers sonore intimiste et narratif venu de l’expérience des ciné-concerts.» AUXPORTESDUMETAL.COM -------------------------------------------------------------------------------------------« …untel a prouvé qu’il avait le calibre pour se faire connaître sur la scène noise-post-rock hexagonale.» LE BIEN PUBLIC -------------------------------------------------------------------------------------------«leurs prestations relèvent plus de l’expérience que du concert habituel (...). Pluridisciplinaire et à géométrie variable, leurs morceaux évoquent à la fois de grands espaces et des sphères plus intimes... Nul ne saurait désormais oublier leur nom» POLYSTYRENE -------------------------------------------------------------------------------------------«Propice à la réfl exion, à la mélancolie, à l’émotion, «Projections « oscille entre révolte et résignation, d’où l’impression constante qu’un malaise plane au-dessus de nos têtes.» TRIP-HOP.NET -------------------------------------------------------------------------------------------«Untel fait donc du post-rock et ne se contente pas de copier les schémas de Mogwai ou d’autres mais compose son univers et apporte sa vision d’un pop-rock envoûtant et sans chant. Projections est un tout, un ensemble où les ambiances changent sans heurt.» W-FENEC. ORG Contact COLLECTIF RAS 2, rue Boutaric Appartement 118 21000 DIJON 03/80/30/15/81 [email protected] www.collectif-ras.org Présidente / Cristina Anghel Trésorier / Simon Galley Administration / Antoine Lenoble Communication/ Kévin Fromantin Partenaires institutionnels 2011/2012 Partenaires culturels 2011/2012 Conditions techniques Fournis par le producteur 3 musiciens avec instruments + amplis et si nécessaire: 1 video-projecteur 1200 LUMEN min. (projection en façade) 1 écran A fournir par l’organisateur 1 système de diffusion en façade 1 console 16 voies 5 retours le matériel de projection TARIF// NOUS CONTACTER Le groupe peut apporter son propre matériel de sonorisation (coût supplémentaire d’environ 150 € du à la location de véhicule et de micros) ainsi qu’un technicien son (200 € supp). FICHE TECHNIQUE SONORISATION INSTRUMENTS _Batterie micro Grosse Caisse micro Caisse Claire 3 micro toms 2 overheads (cymbales) _Machines 4 D.I. _Basse micro ou D.I. _Guitares 2 micros