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Salle 21
Nous partageons tous, sur la planète,
les mêmes interrogations sur l’origine
du monde et notre place en celui-ci.
De nombreux récits, issus de sociétés
inuite, aborigène, chinoise et du monde,
délivrent différentes interprétations
des débuts de l’univers, de la vie
ou de l’humanité. En parallèle, la
science n’a de cesse de s’y intéresser
et d’interroger le fil du temps. Vous
remonterez le temps des Hommes
jusqu’au Big Bang au fil d’un parcours
qui met en regard deux approches
et formes d’explication du monde :
l’une illustrée par des collections
de sciences naturelles, l’autre par des
collections ethnographiques.
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Conférence—
Sciences et quête de sens
Jeudi 23 avril 2015 | 19 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée | 17 h – 18 h
Elisabeth de Fontenay, philosophe ,
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne |
Pierre Gibert, historien des
religions, Faculté catholique de Lyon |
Pierre Thomas, géologue,
École normale supérieure, Lyon |
Roland Bacon, astrophysicien,
Université Claude Bernard, Lyon |
Pascal Picq, paléo-anthropologue,
Collège de France |
Animation François Euvé, rédacteur
en chef de la revue Études
L’Homme a développé les sciences pour
comprendre le monde. Dans le même
temps, les croyances l’ont accompagné
pour donner sens à son existence.
Néanmoins, sciences et croyances n’ont
pas toujours fait bon ménage, alors
comment les envisager ?
Face à cette question, il est nécessaire
d’exercer son discernement ; c’est-à-dire
faire appel à différents modes de
raisonnement, pour éclairer notre quête
de savoir et de compréhension, pour
comprendre et organiser le monde et ses
variations.
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Salle 22
Quelle est la place des humains
au sein du monde vivant ? La question
de l’identité de l’être humain,
de l’articulation entre ce qu’on a appelé
l’humanité et l’animalité, est
une préoccupation universelle.
Elle interroge la façon dont les
êtres humains se représentent
le monde, s’y intègrent et contribuent
à le modifier. Un monde dans lequel
et avec lequel les êtres vivants,
humains et non humains, tissent
un réseau de liens variés, une
maille où tout se tient et se répond.
7
Conférence—
L’humain, un pont entre nature
et culture
Jeudi 28 mai 2015 | 19 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée | 17 h – 18 h
Claire Salomon Bayet, philosophe
des sciences, Université Paris 1
Panthéon-Sorbonne |
Guillaume Lecointre, systématicien,
Muséum national d’histoire naturelle, Paris |
Marianne Celka, sociologue,
Université Paul-Valéry, Montpellier |
Stéphane Tirard, épistémologue
et philosophe des sciences,
Université de Nantes |
Animation Loïc Mangin, rédacteur en chef
adjoint de la revue Pour la science.
Notre conception occidentale du monde
distingue la nature et la culture, un clivage
qui se traduit par l’opposition des sciences
biologiques et des sciences humaines.
Cette vision n’est pas universelle et, on
le sait désormais, tant que l’homme se
pensera en dehors de la nature, il échouera
à la protéger et à se protéger lui-même.
Un « vivre ensemble » impose d’effacer ces
frontières artificielles et, pour y parvenir,
de surmonter les blocages économiques,
politiques et surtout culturels qui
persistent. L’enjeu ? Une humanité en
harmonie avec son environnement.
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Il n’est pas d’humanité sans la
rencontre et l’échange, sans le défi
de l’horizon et le désir de l’ailleurs.
L’Homme est un être migrant qui
se rassemble, s’arrête pour un temps
et forme sociétés, cultures et
civilisations. À l’image de tout être
vivant, il constitue son territoire
entre dialogue et affrontement,
création et destruction, crainte et
espoir. L’exposition pose la question
de la participation et de l’engagement
de l’individu dans la construction
du « vivre ensemble ».
Conférence—
Que reste-t-il du progrès ?
Jeudi 25 juin 2015 | 19 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée | 17 h – 18 h
Alban Bensa, anthropologue, École
de hautes études en sciences sociales, Paris |
Anne-Françoise Garçon,
historienne des techniques,
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne |
Thierry Ménissier, philosophe de
l’innovation, Université de Grenoble-Alpes |
Jérôme Maucourant, économiste,
Université Jean Monnet, Saint-Étienne |
Animation Philippe Petit, journaliste
indépendant
Croire au progrès revient à avoir la
conviction que l’avenir recèle des ressources
pleines de promesses. Néanmoins,
les fruits du progrès ne sont pas toujours
sources d’espoir et d’harmonie. Nous
sommes responsables des dérèglements
actuels de la planète, mais il est difficile
d’envisager une autre économie de la nature,
alliant déterminisme et liberté d’agir.
Comment un autre imaginaire technique
pour une autre économie de la nature est-il
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Qu’en est-il de la place de la mort
aujourd’hui, quand ses limites sont
sans cesse repoussées ? À la différence
des autres êtres vivants, l’être
humain se questionne sur l’au-delà.
Les rites funéraires expriment
en partie le désir de dépasser cette
inconcevable fin. Le dernier passage
a toujours été entouré de pratiques
destinées à rendre acceptable la
séparation des vivants et des morts.
9
Conférence—
Table ronde—
Devenir mortel
Perte de l’enfant qui n’est pas né
Jeudi 2 juillet 2015 | 19 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée | 17 h – 18 h
Jeudi 11 juin 2015 | 19 h
Petit auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée | 17 h – 18 h
Françoise Dastur, philosophe,
Université de Nice Sophia-Antipolis |
Patrick Baudry, sociologue, Université
Michel de Montaigne, Bordeaux |
Régis Aubry, médecin,
chef du département douleur,
CHU de Besançon, membre du comité
consultatif national d’éthique |
William Robert Higgins, psychanalyste |
Animation Martin Legros, rédacteur
en chef de la revue Philosophie Magazine.
Gaëlle Clavandier, sociologue,
Université Jean Monnet, Saint-Étienne |
Vincent Gourdon, historien,
Université Paris 4 Sorbonne |
Dominique Memmi, politiste,
Université Paris 8 |
François Michaud Nérard,
Directeur général, Services
Funéraires Ville de Paris |
Guillaume Rousset, juriste,
Université Jean Moulin, Lyon |
Valérie Souffron, anthropologue,
Université Paris 1 |
Représentant association Parents
endeuillés.
Avoir conscience de sa propre finitude
n’est pas un état mais une recherche
de sérénité. En comprenant que nous
allons mourir, nous nous révélons à une
existence plus authentique. Accepter
sa fin, c’est accepter la vulnérabilité
et la fragilité que nous partageons tous.
La notion de soin à la personne, devenue
centrale dans les débats de la philosophie
politique et morale, atteint au plus vif
la question de l’orientation de l’action
humaine. La diversité des aspects du soin
dessine les tâches de la politique : elle
indique les besoins fondamentaux en
termes d’attention individuelle, de respect
social, de justice politique et de soin
du monde.
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Les évolutions démographiques et
sanitaires ainsi que les transformations
de la structure familiale font
de la naissance un projet, non le fruit
du hasard. Dans ce contexte, perdre
un bébé est intolérable. Le travail
des institutions prend aujourd’hui
en compte l’accompagnement
de la mortalité périnatale, après avoir
concentré ses efforts sur la réduction
de la mortalité infantile.
La perte d’un bébé in utero ou à la
naissance met à l’épreuve les rapports
familiaux, intergénérationnels
ou communautaires et pose question :
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Jusqu’au 26 juillet 2015
Salle 11
Le musée des Confluences rend
hommage à Émile Guimet, grand
personnage à l’origine de ses
collections, et rend compte de son
voyage au Japon, étape primordiale
dans la conception du musée des
religions qu’il fonde à Lyon, en 1879,
puis à Paris. Novateur dans sa
vision sociale et dans son intuition
muséale, Émile Guimet reste,
un siècle plus tard, d’une grande
actualité.
Grand voyageur, fasciné par l’Asie
en général et le Japon en particulier,
passionné par les rites et croyances,
Émile Guimet a souhaité, à un moment
de sa vie, ne pas avoir la démarche
d’un collectionneur privé mais celle
d’un mécène soucieux de partager
avec la société de son temps.
Tout en poursuivant avec succès
et ténacité l’aventure industrielle de son
père, il a toujours tenu à consacrer
du temps aux voyages, à l’art et à la
musique, à l’acquisition et la diffusion
d’un savoir qu’il refuse de voir confiné
en des cercles érudits.
Le nom d’Émile Guimet apparaît
aujourd’hui encore comme celui qui
a donné, par-delà les époques et
les lieux, un esprit et une philosophie
dont le musée des Confluences s’attache
à respecter la mémoire et la pertinence.
Cette exposition est reconnue d’intérêt
national par le ministère de la Culture
et de la Communication, Direction générale
des Patrimoines, Service des musées
de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien
financier exceptionnel de l’État.
Exposition réalisée avec la collaboration
exceptionnelle du Musée national des arts
asiatiques-Guimet, Paris.
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Jusqu’au 26 juillet 2015
Salle 13
Entrez dans l’intimité des cabinets
de curiosités et découvrez une
atmosphère, un esprit, l’évocation
d’un temps où des hommes,
fascinés par la complexité du monde,
accumulent des objets émanant
du génie humain, les Artificialia,
et des prodigieuses créations de
la nature, les Naturalia. Ils présentent
alors leur propre vision du monde
dans des chambres de merveilles.
13
À partir de la Renaissance, ces
« esprits curieux » récoltent des objets
à la fois insolites, fascinants,
extraordinaires ou mystérieux, qu’ils
rassemblent et présentent à des
visiteurs privilégiés. Dans ces cabinets
de curiosités, ils font ainsi partager
à leurs contemporains leur soif
de connaissance. Animés d’un insatiable
désir de découvertes, certains
se feront aussi grands voyageurs.
Au départ, les mises en scène
et compositions devaient susciter
admiration et émerveillement.
Peu à peu, guidés par l’émergence d’un
esprit scientifique, les collectionneurs
se spécialisent et proposent de nouvelles
classifications de leur collection.
Des questionnements et d’importants
débats émergent au sein d’un vaste
réseau européen où, entre crédulité et
scepticisme, la science va se construire.
Les cabinets de curiosités jouent
alors un rôle majeur dans la circulation
du savoir et des idées de l’époque.
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L’exposition propose d’observer les deux
équipes, leurs motivations et les
étapes minutieuses de leur préparation.
Nous les suivons ainsi dans leur vie
Jusqu’au 28 juin 2015
de camp, dans l’attente, ou en missions
Salle 12
scientifiques parallèles. L’équipe
Un continent inexploré, une course
norvégienne privilégie les chiens pour
entre nations imprévue, des stratégies
tracter les traîneaux et concentre
et des objectifs différents : qui atteindra son parcours sur un objectif unique :
le pôle Sud en premier ? Entre 1911 et
atteindre le pôle. L’équipe anglaise
1912, deux explorateurs, le Norvégien
choisit les poneys et mène en parallèle
Roald Amundsen et le capitaine
une exploration scientifique telle que
britannique Robert Scott, se lancent
la collecte d’espèces encore méconnues.
dans une course éprouvante de près
Au cours d’une éprouvante course contre
de 3 000 km pour atteindre le pôle Sud
la montre de plusieurs mois, chaque
et revenir à leur camp de base le long
heure compte pendant le bref été polaire,
de la barrière de Ross.
seule fenêtre météorologique
pour braver les éléments et les limites
de l’endurance des hommes. Découvrez
ces hommes qui se sont surpassés
et dont le périple a ouvert la voie aux
recherches scientifiques en Antarctique.
Exposition organisée par l’American
Museum of Natural History, New York,
en collaboration avec le musée
des Confluences et le Royal BC Museum,
Victoria, Canada.
Le musée des Confluences s’inscrit dans
cette philosophie : un lieu de transmission
et d’échanges animé par le goût
du merveilleux. L’exposition présente une
sélection de 800 pièces, principalement
issues des collections du musée.
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Jeudi 7 mai 2015 | 19 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Emmanuel Le Meur, glaciologue,
Laboratoire de glaciologie et
de géophysique de l’environnement,
Grenoble |
Albane Barbero, ingénieure d’études,
lauréate du meilleur blog d’hivernant
en 2013, Laboratoire de glaciologie
et de géophysique de l’environnement,
Grenoble |
Animation Lise Barnéoud, journaliste
indépendante.
L’Antarctique d’aujourd’hui n’a aucun
équivalent sur la Terre. Il n’a ni habitants
autochtones, ni citoyens, ni États,
ni armées. Depuis la conquête du pôle
Sud, les recherches scientifiques
ont révélé des terres riches en fossiles
et un océan rempli de vie.
L’immensité même de l’Antarctique
invite à se poser d’importantes questions
scientifiques. Ses seuls occupants
permanents, environ 4 000 l’été et
1 000 l’hiver, sont des chercheurs, des
étudiants et du personnel logistique
qui mènent, dans des conditions
extrêmes, des programmes de recherche
en astronomie, glaciologie, chimie
de l’atmosphère, sciences de la terre,
microbiologie et médecine.
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15 Expo
Téléconférence— Échangez avec les
hivernants actuels de la base Concordia.
En collaboration avec l’Institut polaire
français Paul-Émile Victor (IPEV).
Projection— La conférence sera
précédée du film Concordia, sciences
australes.
Film de Marcel Dalaise | 2008 |
34 minutes | Institut Paul-Émile Victor |
Prix de l’exploration au festival
du film international du film maritime
(2008, Toulon), Prix au festival
« L’appel de la mer » de Saint-Pétersbourg
(2009, Russie).
Film conférence—
The Great white Silence
Samedi 6 juin 2015 | 15 h
Grand auditorium
Adultes | 2 h
Film de Herbert Ponting | 1924 |
108 minutes | Muet | Conservé au British
Film Institut, Londres | Analyse par
Clément Puget, maître de conférences
en Cinéma et Audiovisuel, Université
Michel de Montaigne, Bordeaux.
Avec des choix de mise en scène tout
à fait surprenants et des plans très
impressionnants des glaciers, ce film
documentaire raconte l’expédition
de Robert Scott jusqu’à son dénouement
tragique.
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Du 14 mai au 31 août 2015
Salle 14
Installation pour spectateur en
promenade | Théâtre Turak | Conception
du projet, photos et croquis, Michel
Laubu et Emili Hufnagel | Construction,
Michel Laubu, Emmeline Beaussier,
Charly Frénéa et Priscille Du Manoir |
Vidéo, Maximilien Dumesnil.
En Turakie, les habitants sont insolites
et prennent la forme d’objets
et d’éléments du quotidien, transformés
ou détournés. Au cœur de cet
appartement témoin, les Turakiens vous
invitent à découvrir des microcosmes
en état de marche, qui laissent entrevoir
leurs vies inventées et leurs mythologies
étranges. Des petits moteurs mettent en
mouvement et en son ces univers.
documents me rappelant la rapidité des
grandes marées au Mont Saint-Michel,
j’ai adopté une paire de bottes
en caoutchouc pour ne pas me laisser
surprendre. Pour la suite, je tiens
mon kayak prêt à intervenir. Sa petite
taille devrait me permettre de manœuvrer
aisément d’une pièce à l’autre. Chaque
meuble laisse apparaître les traces
d’une présence et témoigne d’un monde
insoupçonné, discret, quelquefois
minuscule. »
Extrait, par Michel Laubu
« Ils se sont installés au cœur même
des tiroirs, ont déplié leur quotidien dans
l’épaisseur du dossier des chaises,
accroché leurs habitudes aux pieds des
tables, déroulé leur emploi du temps
sur les étagères de l’armoire. Je déambule
entre ces mondes qui habitent là. Pour
le moment, je me déplace encore à pied,
au sec. Mais, depuis la lecture de
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Pendant la nocturne
du jeudi, profitez
d’une visite originale
à la lumière d’une
personnalité du monde
scientifique ou
culturel qui vous fait
partager son regard
sur des objets
et des thématiques
du musée.
Jeudi 30 avril | 20 h
Informations pratiques
David Besson
Tarifs 5 € | 3 €
+ droit d’entrée au musée
Paléontologue, responsable adjoint des
collections du musée des Confluences,
David Besson est chargé de projet de
l’exposition Espèces, la maille du vivant.
Jeudi 25 juin | 20 h
Billetterie
activités culturelles
Ouverture des ventes
le premier mercredi
du mois pour la visite
d’un soir du mois en
cours.
La vente se fait
uniquement
par téléphone
T. + 33 (0)4 28 38 11 90
Mercredi, samedi et
dimanche de 10 h à 1 7 h
Jeudi de 16 h à 20 h Plus d’information
p.54
Christian Sermet
Archéologue de formation, Christian
Sermet est responsable des collections
d’Archéologie, de Préhistoire et
d’Égyptologie, et chargé de projets
d’expositions, notamment : Origines,
les récits du monde et Éternités,
visions de l’au-delà.
Jeudi 28 mai | 20 h
Deidre Emmons
Après une formation en chinois
et en ethnologie, Deirdre Emmons est
aujourd’hui en charge des collections
asiatiques au sein du service des
collections et des expositions du musée
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Sous forme d’intermèdes, les
médiateurs du musée vous invitent
à partager un moment d’échange
autour d’un objet de collection ou
d’un thème d’exposition.
Présents dans les salles, ils proposent
de voir et de toucher de véritables objets
ou des répliques d’œuvres. Les « temps
pour vous » peuvent également apporter
un éclairage sur l’architecture.
Informations pratiques
Compris dans le prix
du billet d’entrée
Sans réservation
12 h | 14 h | 15 h | 16 h | 17 h
Période scolaire
Mercredi, samedi et dimanche
Vacances scolaires
Tous les jours
d’ouverture du musée
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Visites gr
Accompagnées par un médiateur
culturel du musée, ces visites,
adaptées aux attentes et envies
de chacun, permettent d’appréhender
toutes les facettes des expositions
et des collections. Les visites sont
proposées en français, anglais, italien,
allemand et espagnol (autres
langues spécifiques sur demande).
Visite découverte
À travers la découverte du bâtiment
et des quatre salles du parcours
permanent, cette visite permet
de comprendre l’architecture et
la philosophie du musée : faire
dialoguer les disciplines et les regards.
Visite exposition temporaire
Renouvelée au fil des saisons
culturelles, cette visite propose
de découvrir une exposition temporaire
du musée : Les trésors d’Émile Guimet
et À la conquête du pôle Sud.
Informations pratiques
1 h 30 | Tarif 155 €
Prix forfaitaire pour un
groupe de 10 à 20 personnes,
+ droit d’entrée | 7 €
Sur réservation uniquement,
2 mois à l’avance
Par mail
reservations@
museedesconfluences.fr
Téléchargez le formulaire
de réservation sur www.
museedesconfluences.fr
Par téléphone
T. +33 (0)4 28 38 12 00
du lundi au vendredi
de 10 h à 17 h
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Activités
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Informations pratiques
Période scolaire
Mercredi, samedi
et dimanche | 11 h | 16 h
Vacances scolaires
Mardi au dimanche | 11 h | 16 h
Jours fériés
8, 14 et 25 mai | 11 h | 16 h
Tarif 6 €
Durée 1 h 30
Les enfants sont pris
en charge par un médiateur
durant ces ateliers
qui leur sont réservés,
sans accompagnant
Inscription
Le jour même au musée
dans la limite des places
disponibles
Achat à l’avance
Sur le site internet,
via la billetterie en ligne
www.
museedesconfluences.fr
Par téléphone
T. + 33 (0)4 28 38 11 90
Mercredi, samedi et dimanche
de 10 h à 1 7 h
Jeudi de 16 h à 20 h Dragon nuage
4 à 7 ans
Et si Émile Guimet avait rapporté
un œuf de ses voyages lointains ? Et si,
à l’intérieur, il y avait un dragon prêt
à naître ?
Une aventure mêlant histoire et fiction,
tout en musique et en danse, pour
éveiller les enfants à l’histoire du musée
et à la protection du patrimoine.
Tempête sur les collections
8 à 12 ans
Le musée ouvre les portes de son
cabinet de curiosités, rempli
d’objets extraordinaires et insolites.
Mais la menace gronde… les enfants
seront-ils capables de résoudre
l’énigme et d’arrêter le sortilège qui
détruit les collections ?
Une visite étrange au cours de laquelle
le jeune public est sensibilisé
à l’origine des collections du musée
et à la nécessité de les conserver et
de les inventorier.
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Spectacle | Temps fort—
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(Escarmouche dans le palais)
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Spectacle—
Samedi 11 avril | 20 h
Grand auditorium
Spectacle sous-titré
15 € | 12 €
Adultes | 3 h avec entracte
Placement libre assis
Avant le spectacle—
Maquillage des artistes | 16 h 30
Grand auditorium
Gratuit
Tout public | 3 h Compagnie Prana
Les costumes et les maquillages
définissent la qualité des personnages
et transforment les acteurs en
surhommes. Assistez à la préparation
du maquillage : dans une atmosphère
très concentrée et ritualisée, l’acteur
entre dans son personnage.
Compagnie Prana
Ce spectacle flamboyant présente un
extrait du Râmâyana, la grande épopée
indienne.
Ravana, le roi des démons qui règne
sur l’île de Lanka, a enlevé la belle Sita,
épouse du prince Rama. Hanuman,
le roi des singes, traverse l’océan pour
libérer Sita. Mais Ravana se présente
dans le jardin où Sita est prisonnière
et tente de la séduire. Elle refuse ses
avances et le maudit de l’avoir séparée
de Rama. Hanuman, qui écoutait
tout ce dialogue du haut d’un arbre,
se révèle comme le messager de Rama
et console Sita : grâce à l’armée
des singes, son époux vaincra le démon
et viendra la délivrer.
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Spectacle jeune public—
Conférence—
Concert—
Spectacle—
Rencontre avec un singe
remarquable
Rencontre avec les artistes
Chant et percussions
du Kerala
Démonstration de Kalaripayatt
Vendredi 10 avril | 20 h
Grand auditorium
10 € | 8 €
Tout public à partir de 7 ans |
50 minutes
Placement libre assis
Compagnie Prana
Le Kathakali est une danse narrative
où le corps, les mains et le visage
expriment des sentiments. La mythologie
indienne abonde en histoires où
les dieux se métamorphosent et prennent
une forme animale pour tester
le courage ou la dévotion du héros.
Vendredi 10 avril | 18 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 1 h
Compagnie Prana
Les artistes indiens et français
présentent le Kathakali dans son contexte
historique et social. La démonstration
s’oriente sur l’aspect narratif de la danse
avec les mudras (langage symbolique
des mains) en relation avec l’abhinaya
(expressions du visage). Les danseurs
sont accompagnés par plusieurs
musiciens.
Dans cette nouvelle mise en scène,
deux univers se confrontent et se mettent
en valeur mutuellement : la dynamique
corporelle du danseur occidental, sans
costume, face au personnage traditionnel
de Kathakali avec sa gestuelle stylisée.
Jeudi 9 avril | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes | 2 h
Placement libre assis
Compagnie Prana
Le Kerala, région tropicale à la végétation
luxuriante, a su préserver une culture
traditionnelle d’une extraordinaire
diversité, avec le théâtre, la danse et la
musique.
Les orchestres de tambours, très
différents des tablas du Nord de l’Inde,
impressionnent par la richesse
des rythmes et des timbres, mais aussi
par leur puissance sonore qui évoque
« la superbe Afrique ».
La tradition musicale du Kerala s’est
transmise depuis des temps très anciens
jusqu’à nos jours, où elle est jouée
dans le contexte dévotionnel et festif des
rituels de temple, devant un public
enthousiaste. Les percussions utilisées
sont le tambour Maddalam et le tambour
Chenda. Les textes en sanskrit sont
chantés dans une mélodie au style souple
et grave.
Bhima, par amour pour sa belle
princesse, part à la recherche d‘une fleur
et traverse une forêt en cassant les
arbres. Il fait peur aux animaux qui fuient
en tous sens ! Dans cette jungle
profonde le dieu singe Hanuman médite
depuis des siècles… Mais qui ose
le déranger ? Quel tour va jouer le singe
à son frère humain ?
Trois formes musicales autour de
ces percussions sont proposées à travers
un même concert : le Maddalam Kéli,
suivi du Melappadam et du Thayambaka.
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Jeudi 9 avril | 18 h 30
Grand auditorium
Gratuit
Tout public à partir de 9 ans |
45 minutes
Compagnie Prana
Pratiqué depuis des siècles par la caste
des guerriers Nayar, le Kalaripayatt
est l’art martial le plus élaboré en Inde.
Peu connu en Europe, il serait pourtant
l’ancêtre d’arts martiaux comme le
Kung-Fu et le Karaté. Véritable discipline
de vie, le Kalaripayatt s’est transmis
jusqu’à nos jours dans différents styles.
Dans cette démonstration, les artistes
présentent les salutations, les exercices
de base et différents combats toujours
codifiés (bâtons, épées/boucliers,
poignards...).
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Projection—
Projection—
Ateliers—
Exposition—
La table aux chiens
Les dieux ne meurent jamais
Percussions
Kerala, la danse des dieux
Samedi 11 avril | 15 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 40 minutes
Samedi 11 avril | 17 h 30
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 1 h 30
Jeudi 9 avril | 18 h 30
Salle 15
Gratuit | sur réservation
Adultes | 45 minutes
Du samedi 4 au dimanche 12 avril Salle 15
De Cédric Martinelli et Julien Touati |
2010 | 40 minutes | France/Inde |
production AVS ROAD | Prix du patrimoine
culturel immatériel, Festival international
Jean Rouch, 2011 | En présence de Julien
Touati, réalisateur.
De Patricia Plattner, Laurent Aubert,
Ravi Goplan Nair | 2004 | 51 minutes |
Suisse/Inde | Production MEG et Light
Night | Film présenté et commenté
par Laurent Aubert, conservateur
et ethnomusicologue.
Le temps d’un atelier-découverte,
faites vibrer le Chenda, tambour
emblématique du Kerala du Sud-Ouest
de l’Inde. Il est joué dans les rituels
de temples, les danses rituelles
de possession et le théâtre Kathakali.
Ces dernières années, Julien Touati est
le seul élève occidental à avoir intégré
PSV Natyasangham, une institution
dédiée au Kathakali. Il nous ouvre les
portes de cette école et nous donne accès
à l’intimité d’une communauté d’hommes
qui consacrent leur vie à cet art.
Pendant la saison sèche, certains villages
du district de Calicut dans le Sud de
l’Inde célèbrent le Tirayâttam, ou Danse
de la splendeur. Durant plusieurs jours,
les villageois vivent au rythme des
rites dédiés aux ancêtres et aux divinités
protectrices.
Ce film nous plonge dans l’univers
du Kathakali. Il prend le parti de nous
immerger dans l’enseignement
rigoureux des techniques de corps avant
de nous dévoiler la finalité de
cet apprentissage. Ainsi, dépouillée des
costumes et maquillages imposants,
la danse se révèle sous ses aspects les
plus fascinants. Plus qu’une description
didactique du Kathakali, le film invite
le spectateur à une expérience sensorielle
et insolite, parfois hypnotique.
Entre 1998 et 2003, Laurent Aubert,
ethnomusicologue, et Jonathan Watts,
photographe et vidéaste, ont séjourné
à plusieurs reprises dans la région
du Kerala. Accompagnés d’un spécialiste,
ils ont rapporté pour le compte du
Musée d’Ethnographie de Genève plus
de 70 heures de rushes. Confiés
à Patricia Plattner, celle-ci leur redonne
sens par un travail de montage
rigoureux. Extrait du
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Avec le prêt d’objets et de clips vidéo
du Musée d’Ethnographie de Genève.
Photographies, Henriette Palavioux
et Jonathan Watts | Scénographie,
Étienne Yver, peintre et plasticien |
Commissariat et textes, Laurent Aubert,
ethnomusicologue, spécialiste
de l’Inde.
Samedi 11 avril | 15 h
Salle 15
Gratuit | sur réservation
Adultes | 45 minutes
Pour en savoir plus sur le contexte
religieux, social et géographique
du théâtre Kathakali, cette exposition
présente l’État du Kerala ainsi
que les rituels et cérémonies au sein
desquelles le théâtre du Kathakali
est aujourd’hui joué.
Cet atelier vous invite à découvrir
les principes fondamentaux du Kathakali,
un art complet qui relie le physique
et le mental à travers des enchaînements
corporels, la codification des expressions
du visage et les frappes de pieds en
rythme.
Des photographies et des extraits
de films documentaires sont présentés,
ainsi que des objets emblématiques
de cet art : des coiffes spectaculaires,
des instruments de musique et des
marionnettes de Pâvakathakali
(miniatures des personnages de théâtre).
Danse Kathakali
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33
Ciné-concert | Temps fort—
Création musée des Confluences—
Une page folle
(Kurutta Ippeiji)
Scène contemporaine |
Japon, Jazz, musiques
électroniques
Samedi 2 mai | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes | 1 h
Placement libre assis
Musique originale composée
par Nguyên Lê | Nguyên Lê, guitare
électrique | Mieko Miyazaki,
koto | Chris Jennings, contrebasse |
Nils Petter Molvaer, trompette |
Jan Bang, live sampling |
Louise Salmona, Manuel Solans,
violons | Emmanuel François, alto |
Marie Ythier, violoncelle.
Un film de Teinosuke Kinugosa |
Japon | 1926 | noir et blanc | 59 minutes |
muet | Issu de la collection George
Eastman House.
Une page folle est un chef-d’œuvre
mondial du cinéma muet, sans aucun
doute le premier film d’avant-garde
du cinéma japonais à la virtuosité
époustouflante et dont la modernité
et la liberté créatrice surprennent
encore aujourd’hui.
du film
Extraits
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L’histoire est celle d’un vieux marin
devenu employé d’un hôpital
psychiatrique afin de favoriser l’évasion
de sa femme internée depuis
qu’elle a tenté de noyer leur enfant…
« J’ai voulu écrire cette musique
comme une musique de film, avec des
moments sonores précisément
synchronisés selon chaque scène, mais
à l’intérieur desquels les improvisations
pourront éclore. L’ordinateur jouera
à la fois le film et quelques pistes
de sons abstraits, ainsi que des grooves
électroniques. La forme, le chapitrage
de la pièce est très précisément défini.
À l’intérieur évoluent plusieurs
modules qui dialoguent, se frôlent
ou se repoussent, pour finalement
se marier : la section de cordes,
scellant le concept et l’imaginaire par
la délivrance de l’écriture ; le musicien
électronique, décrivant les abysses
de l’âme tourmentée autant que
la sérénité du relâchement ; le koto,
éminemment acoustique, pur comme
la fleur du cerisier ; la contrebasse,
tantôt du côté des cordes, tantôt du
côté écrit de la guitare électrique et des
grooves machiniques ; la trompette,
électron libre survolant l’espace grâce
à ses improvisations ; la guitare,
participant à tous ces côtés à la fois,
plus comme un chef d’orchestre que
comme un papillon. Un film ténébreux
et intense, tendu et contrasté :
telle est la musique, assurément la plus
sombre que je n’ai jamais écrite. »
Nguyên Lê
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Concerts—
Saiyuki Vietnam et Saiyuki India,
deux concerts inédits du trio Saiyuki
Saiyuki est le nom japonais pour
Le Voyage en Occident, le célèbre roman
chinois du 16e siècle de Wu Cheng’en
(en français Le Voyage en Occident
ou parfois Le roi des singes). Il raconte
l’expédition en Inde, au 8e siècle,
d’un moine à la recherche de textes
bouddhiques sacrés.
« J’ai voulu prendre ce Voyage
en Occident comme symbole des
voyages, réels ou imaginaires,
qui nous amènent à créer cette
musique. Comme la quête d’un secret
qui doit nécessairement passer
par l’aventure de l’Ailleurs, tout
en gardant le plus précieux des
trésors : notre identité. Du Vietnam
à l’Inde en passant par le Japon,
nous tisserons les fils de soie qui
peignent le visage d’une Asie sans
frontières...
Mon langage est le Jazz, mais j’ai
choisi de l’ouvrir et de le nourrir
d’autres cultures essentielles qui
me fascinent et me rappellent
mon origine. En tant que musicien
de Jazz j’ai autant de plaisir à improviser
avec eux qu’avec un autre grand
musicien de Jazz. Le challenge est
toujours là, la liberté et l’inspiration
aussi. L’improvisation, cette
compréhension et création musicale
instantanée, repousse les limites
du croisement de nos cultures.
Saiyuki est la rencontre de trois visages
de l’Asie d’hier et d’aujourd’hui.
Dans ce terrain de jeu, les identités
ont tant à partager et à apprendre
de l’autre ! »
Nguyên Lê
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35 Ren
Saiyuki Vietnam
Hen Ho
(Promesse d’une rencontre)
Mardi 28 avril | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes | 2 h
Placement libre assis
Trio Saiyuki | Nguyên Lê, guitare
électrique | Mieko Miyazaki, koto, voix |
Prabhu Edouard, tabla | Invités |
Ngo Hong Quang, luths, vièle, chant |
Nguyên Kiêu Anh, chant, cithare |
Nguyên Hoang Anh, flûtes.
Le trio Saiyuki invite trois artistes de
Hanoï représentant la nouvelle génération
des musiciens traditionnels du Vietnam.
Le répertoire de la soirée est basé
sur la tradition revisitée : morceaux
de Saiyuki et pièces de différents
styles traditionnels du Vietnam, comme
les berceuses Ru Con, le Ca Trù
(poésie chantée du 11e siècle), le Quan ho
(chants lors de rencontres des villages
dans la région de Bac Ninh), le Chau van
(musique de possession), ou la musique
des minorités ethniques H’mong.
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Saiyuki India
Yatrika (Voyageur)
Jeudi 30 avril | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes | 2 h
Placement libre assis
Au contact des mélodies vietnamiennes
ou des compositions japonaises,
les pas de danse Kathak et les volutes
vocales indiennes prennent toute
leur place et se dévoilent sous un jour
inédit.
Trio Saiyuki | Nguyên Lê, guitare
électrique | Mieko Miyazaki, koto, voix |
Prabhu Edouard, tabla | Invités |
Sharmila Sharma, danse Kathak de l’Inde
du Nord, et Chiranjib Chakraborty,
chant de l’Inde du Nord.
Depuis très longtemps la musique
de l’Inde fascine : c’est assurément
la musique traditionnelle qui a le plus
poussé la virtuosité à son extrême,
tout en étant enracinée dans une
profonde spiritualité.
Pour Yatrika, le trio Saiyuki invite
Sharmila Sharma, danseuse Kathak
de l’Inde du Nord, et Chiranjib
Chakraborty, chanteur Khyal, style
classique d’Inde du Nord. Les invités
sont intégrés dans les structures
d’improvisation de Saiyuki et dans des
morceaux du répertoire indien
comme Sweet Ganesh ou Sangam.
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Le trio Sa
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Concerts-rencontres—
Musiques traditionnelles
du Vietnam
Mercredi 29 avril | 12 h 30
Petit auditorium
Gratuit
Adultes | 1 h
Ngo Hong Quang, luths, vièle, chant |
Nguyên Kiêu Anh, chant, cithare |
Nguyên Hoang An, flûtes.
Nguyên Kiêu Anh, Nguyên Hoang Anh
et Ngo Hong Quang proposent
un petit panorama de quelques styles
musicaux du Nord du Vietnam :
le chant Ca Trù (poésie chantée
du 11e siècle, dont Kiêu Anh est une
des plus jeunes artistes), les chants
populaires Quan Ho (du 13e siècle,
par lesquels les jeunes hommes
et femmes se faisaient la cour lors
de fêtes de villages), le Chau Van,
musique d’invocation des esprits
durant les rites de possession
(une des musiques les plus rythmées,
pour rechercher la transe) et les
musiques des minorités ethniques,
dont Quang est un des
rares spécialistes aujourd’hui.
37
Danse et
musique classique indienne
Jeudi 30 avril | 18 h
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 1 h
Prabhu Edouard, tabla |
Sharmila Sharma, danse Kathak |
Chiranjib Chakraborty, chant.
Les musiques et danses classiques
de l’Inde sont le fruit d’une lente
évolution esthétique, technique
et syncrétique au cours des siècles.
Leurs racines remontent à l’hindouisme
antique où l’art du spectacle fut
codifié selon un traité nommé Natya
Shastra. Écrit au 2e siècle, il fut le
texte de référence donnant les règles
de base pour les arts tels que le jeu
dramatique, la poésie, la danse,
le chant et la musique. Le classicisme
dans la danse et musique indienne
est un concept empreint à la fois
du respect des règles et de la quête
de leur transcendance.
Trois prestigieux artistes nous dévoilent
les arcanes de leur art millénaire
et toujours réinventé par la magie
de l’improvisation. Originaires du Tamil
Nadu (Sud), du Rajasthan (Nord-Ouest)
ou du Bengale (Nord-Est), ils partagent
leur maîtrise d’un art savant transmis
de maître à disciple et leur volonté d’en
repousser les limites en le confrontant
à des genres aussi variés que le jazz, le
flamenco ou la musique contemporaine…
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39
Tables rondes—
Ressources naturelles,
environnement et
développement durable
en Amérique latine
Mardi 26 mai | 16 h
Petit auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée |
14 h 30 – 15 h 30
Sergio Álvarez, écrivain, Colombie |
Martine Droulers, géographe,
IHEAL – Institut des hautes études
de l’Amérique latine |
Bernard Francou, chercheur
à l’IRD – Institut de Recherche pour
le Développement |
Animation Jean-Joinville Vacher,
chargé de mission de l’IRD sur
la question du changement climatique.
L’Amazonie est une région capitale
pour les équilibres écologiques et
climatiques mondiaux.
Elle est également une région sous
forte pression du fait de l’avancée
de systèmes d’usage des sols destructeurs
de la couverture forestière et du fait
de la demande locale pour de meilleures
conditions de vie, qui entraînent souvent
la mise en place de modes d’exploitation
non durables. Pour autant, depuis près
de vingt ans, l’Amazonie est aussi devenue
un laboratoire mondial du développement
durable. L’attention de la communauté
internationale pour sa préservation, mais
aussi, de plus en plus, celle des sociétés
des pays du bassin amazonien, ont ainsi
entraîné la multiplication des initiatives
visant à promouvoir la durabilité.
Le recul accéléré des glaciers dans
les Andes de Bolivie et du Pérou est scruté
par les glaciologues pour apprécier
l’ampleur du phénomène et en connaître
les causes et les effets. Les communautés
font appel à leur cosmovision pour
chercher des réponses aux questions
qu’elles se posent sur la disparition
de ces nevados, qui font depuis toujours
l’objet d’un culte. Les cimes enneigées
sont en effet pour elles une source d’eau
et de vie.
Après les dictatures,
la démocratie ?
Mercredi 27 mai 2015 | 16 h
Petit auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée |
14 h 30 – 15 h 30
Diego Trelles Paz, écrivain, Pérou |
Yves Saint-Geours, diplomate
et universitaire |
Renée Frégosi, enseignante-chercheur,
IHEAL, Paris 3 Sorbonne Nouvelle |
Jean-Jacques Kourliandsky,
chercheur, Institut des relations
internationales et stratégiques –
IRIS, Paris |
Animation Bruno Patino, directeur
général délégué aux programmes,
aux antennes et aux développements
numériques, France Télévisions.
Quatorze pays latino-américains sont
retournés à la démocratie entre 1979
et 1991, après des dictatures militaires
ou des guerres civiles qui avaient
détruit en profondeur les sociétés.
Le monde paraissait alors plus lisible.
Aujourd’hui, les termes sont différents
de ceux en usage dans les années 80 :
il y a les pays qui ne connaissent
pas encore le pluralisme et la liberté
d’opinion, ceux qui subissent
la pression des puissances financières
et médiatiques et ceux dont la
rhétorique et les dogmes supportent
mal la contestation. Toutes ces
situations ne sont pas totalement
étranges pour les Européens. Comment
décrypter la diversité des situations
en Amérique latine et les évolutions
en cours ?
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Projections—
Nostalgie de la lumière
Planète glace : Andes,
la fin des glaciers ?
Mercredi 27 mai 2015 | 12 h 30
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Mardi 26 mai 2015 | 12 h 30
Grand auditorium
Gratuit
Adultes | 2 h
Film de Patricio Guzmán | 2010 |
90 minutes | En présence du cinéaste
Patricio Guzmán | Projection
suivie d’une discussion.
Projection suivie d’une discussion |
Film de Vincent Amouroux,
Pierre-François Gaudry | 2014 |
51 minutes | Collection Planète Glace,
Auteur Thierry Berrod – Ep. Andes,
la fin des glaciers ? | Producteur Exécutif
© Mona Lisa Production.
Dans le désert d’Atacama,
au Chili, à trois mille mètres d’altitude,
des astronomes étudient l’univers
avec des télescopes parmi les plus
puissants du monde car la transparence
du ciel permet d’y regarder jusqu’aux
confins de l’univers.
En présence de
Bernard Francou, chercheur au
CNRS – Centre National de la Recherche
Scientifique et à l’IRD – Institut
de Recherche pour le Développement |
Vincent Amouroux, auteur-réalisateur |
Thierry Berrod, auteur
de la collection Planète glace |
Pierre-François Gaudry, producteur
délégué.
Les astronomes y scrutent notamment
les galaxies les plus éloignées
en quête d’une vie extraterrestre.
La sécheresse du sol en fait aussi
un lieu de recherches archéologiques
et conserve intacts les restes humains :
ceux des momies, des explorateurs
et des mineurs mais aussi les ossements
des victimes et disparus de la dictature
militaire d’Augusto Pinochet.
Concert—
Ce film présente le regard croisé que
portent les scientifiques et les
communautés andines traditionnelles
sur le recul accéléré des glaciers
dans les Andes de Bolivie et du Pérou.
Synonyme de mers turquoises et
de plages de sable blanc, la région des
tropiques abrite pourtant des glaciers.
Perchés dans la cordillère des Andes,
à plus de 5 000 mètres d’altitude,
ils sont vénérés comme des dieux par
les populations locales qui s’inquiètent
aujourd’hui de les voir disparaître.
Un phénomène lié aux conditions
locales ou un signe précurseur d’une
catastrophe de grande ampleur ?
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Mardi 26 mai | 20 h
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes | 2 h 30 avec entracte
Placement libre assis
Diana Baroni & La Tregua
Diana Baroni, chant, traverso |
La Tregua : Alfonso Pacin, guitare, violon,
compositions | Fulvio Paredes, guitare |
Sebastian Quezada, percussions.
Entre rythmes populaires, traditions
afro-amérindiennes et réminiscences
baroques, Diana Baroni & La Tregua
ouvrent leurs carnets de voyages au
Nouveau Monde. À travers des chansons
et des danses aux rythmes lents, des
lamentos empreints de nostalgie
du Pérou, du Venezuela ou de la Bolivie,
parfois aux accents de jazz, inspirés
d’une Argentine revue par Piazzolla,
ils nous proposent un voyage séduisant
sur les traces de l’héritage métissé
de l’Amérique latine.
Agathe Iracema
Brazilian Music Band
Agathe Iracema, chant | Léonardo
Montana, clavier | Rubens Santana,
basse | Pierre-Alain Tocanier, batterie |
Natascha Rogers, percussions |
Eneas de Jesus, guitares.
Plongée dans la musique depuis
son plus jeune âge, Agathe Iracema
tire de sa culture franco-brésilienne
une précieuse richesse musicale.
Avec sa voix chaude et suave,
elle nous propose une interprétation
contemporaine de la musique
brésilienne, de classiques revisités
et quelques compositions. Son
répertoire joue sur plusieurs textures
avec une facette éclectique sous
l’influence du Samba rock des années 70.
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Musique classique
hindoustanie
Inde du Nord
Jeudi 21 mai | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes |
Placement libre assis
Sougata Roy Chowdhury, sarod |
Nihar Mehta, tabla.
Ce concert de musique classique
du Nord de l’Inde propose deux ragas
(mélodie) interprétés par deux
talentueux musiciens, Sougata Roy
Chowdhury au sarod et Nihar Mehata
au tabla.
Le sarod est un instrument dont
l’origine est très ancienne (1er siècle).
Il est proche du rabab afghan
et du rabab indien. C’est aujourd’hui
un instrument qui tient une
des premières places dans la musique
hindoustanie. Le tabla, un instrument
à percussion d’une étonnante
variété de nuances, est utilisé pour
l’accompagnement.
La musique classique du Nord
de l’Inde, ou musique hindoustanie,
trouve son origine dans les Védas,
les plus anciens textes sacrés dans
la tradition hindoue. Comme pour
tout concert de musique indienne,
les ragas seront choisis par le soliste
au dernier moment en fonction
de l’atmosphère, de l’audience et de
l’humeur de l’instant.
43
Tao
Composition de He ShaoYing
Percussions Claviers de Lyon
Chœur d’Oratorio de Lyon
Jeudi 4 juin | 20 h 30
Vendredi 5 juin | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes |
Placement libre assis
She Kelong, baryton solo | Chœur
d’Oratorio de Lyon, Percussions
Claviers de Lyon | Yue Smith, piano |
Direction musicale, Nicholas Smith.
Coproduction Percussions Claviers
de Lyon, Spirito / Chœurs et Solistes
de Lyon – Chœur Britten, Théâtre de la
Renaissance, musée des Confluences.
Le deuxième mouvement est intitulé
La philosophie naturelle de LaoTseu.
Le troisième mouvement est intitulé
Retour aux origines. Il commence
par une complainte, expression des
choses extrêmes, de la vieillesse,
de tout ce qui est contraire au Taoïsme.
Une berceuse, retour à l’origine,
conclue tout en synthétisant la musique
du premier mouvement.
Pour ce programme unique, les Chœurs
et Solistes de Lyon retrouvent les
Percussions Claviers de Lyon avec une
œuvre magistrale, symbolique et
puissante. Tao a été élu comme œuvre
vocale majeure de l’année 2011 en Chine.
Jeudi 18 juin | 20 h 30
Grand auditorium
15 € | 12 €
Adultes |
Placement libre assis
Guo Gan, erhu | Fiona Siang Yun Sze,
Guzheng (cithare chinoise).
Fiona Sze est une spécialiste
mondialement reconnue de la cithare
chinoise, le guzheng. Guo Gan
est un maître de l’erhu, un instrument
que l’on joue avec un archet installé
entre ses deux cordes.
La rencontre unique de ces deux virtuoses
chinois « jouant et se jouant » de leur
instrument traditionnel millénaire sera
l’occasion d’un voyage intemporel, bercé
par La mélodie d’un pêcheur ramant
au crépuscule, ballotté par La course des
chevaux ou encore subjugué par la grâce
à l’évocation soyeuse du film In the mood
for love.
Le Tao De Jing de LaoTseu ou Le livre
de la voie et de la vertu, est l’un
des plus grands trésors philosophiques
au monde. En 2009, à Pékin, Nicholas
Smith, directeur de l’International Festival
Chorus commande une pièce pour
baryton solo, chœur, percussions et piano
au compositeur He Shaoying, dont
le père a été l’un des grands spécialistes
en Chine du Tao Jing, le Taoïsme.
Seule, la composition de He Shaoying
ne peut exprimer la totalité de cette
philosophie de vie, de ce « Tout Universel ».
Néanmoins, il va à l’essentiel,
le Tao, qu’il explore et dessine en trois
mouvements. Le premier mouvement
est intitulé Le Cosmos de LaoTseu. Il traite
du concept de Lao Tseu sur le taoïsme.
Le développement musical décrit l’origine
de l’univers, la surgissement des gaz
primitifs, le « Big Bang ».
Musique chinoise
Guo Gan,
duo avec Fiona Sze
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Vous aimez collectionner ?
Samedi 16 et dimanche 17 mai |
10 h – 18 h
Gratuit
Vous aimez collectionner certains
objets ou êtes passionné par
la conservation de vos documents
de famille ? Le musée des
Confluences vous donne rendez-vous,
chaque année, pour Passion
Collection, un week-end familial
et festif qui provoque la rencontre
entre collectionneurs amateurs
et experts. Venez faire examiner
vos objets par des professionnels !
Parmi les objets qui nous entourent,
pourquoi certains prennent-ils
à nos yeux une valeur particulière ?
Souvent liés à un souvenir, à une
personne, les objets cristallisent nos
émotions et nos sentiments.
Ces objets, ces archives familiales
sont des héritages, qui ont
quelquefois une valeur monétaire
mais, plus encore, sont des souvenirs
qui ont une âme que nous souhaitons
transmettre.
Pour mieux reconnaître et
conserver vos objets et documents
personnels, venez rencontrer
conservateurs, restaurateurs,
chercheurs et collectionneurs.
Par l’application de mesures préventives,
souvent peu coûteuses, les objets
du patrimoine familial pourront
faire encore le bonheur de plusieurs
générations.
cult
dez-vous
45 Ren
Objets concernés | Archives,
photographies, cartes postales,
ouvrages, papiers de famille,
objets de sciences naturelles,
objets techniques et scientifiques,
objets d’ethnographie, objets
liés à l’histoire de la ville de Lyon.
En collaboration avec
les musées Gadagne,
les services d’archives municipales,
départementales et métropolitaines,
et la section Rhône- Alpes
des professionnels
de la conservation-restauration
Attention, aucune valeur
marchande ne sera donnée par
les professionnels
me
le program
Retrouvez
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Passion co
sur www.
es.fr
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Nuit des m
Récits imaginaires
Samedi 16 mai | Gratuit
19 h à minuit | Itinérant
Tout public, à partir de 7 ans
Expérience en neurosciences
Hey madam, let’s play
master and servant !
Prenez le pouvoir et la pose,
la science vous attend…
18 h à minuit | Salle 15
Jean-Baptiste Van der Henst,
Laboratoire sur le langage,
le cerveau et la cognition (CNRS),
Université Claude Bernard, Lyon |
Audrey Breton, chercheuse
en sciences cognitives, Laboratoire
sur le langage, le cerveau
et la cognition (CNRS), Université
Claude Bernard, Lyon |
Oram S. Dannreuther, photographe.
Pour la Nuit des musées, le CNRS,
le studio photographique OSD
et le musée des Confluences forment
un trio éphémère. Un objectif simple :
participer à une étude internationale
dans le domaine des neurosciences,
de la biologie cérébrale, sur la notion
de pouvoir dans les relations hommefemme.
L’expérimentation consiste à proposer
à un couple en visite au musée,
une femme et un homme, de scénariser
une situation de pouvoir, immortalisée
par une photographie. Les clichés de
ces situations d’asymétrie hiérarchique,
encadrés par des scientifiques,
serviront à comprendre comment
notre cerveau réagit aux questions
de pouvoir inter-genres.
Histoires improvisées
Compagnie Il sera une fois
Au détour d’un couloir, laissez-vous
emporter par les histoires improvisées.
Tribulations
d’un colporteur de mots
Joël Bailliart Parti en triporteur à assistance
électrique du lac Léman pour rejoindre
la Méditerranée par la ViaRhôna,
Joël Bailliart, auteur, lecteur et raconteur
d’histoires, fait étape au musée
des Confluences. Le colporteur de mots
a dans le coffre une cinquantaine
d’extraits de romans, de poèmes
ou de récits d’écrivains voyageurs.
Ils évoquent tous le rapport de l’Homme
à la nature. Si vous le croisez au
hasard des galeries, il vous proposera
d’en tirer un au sort pour vous le lire.
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Le colpor
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Présentat
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Table ronde—
Femmes, Genre, Histoire
Autour de la publication Clio
Dimanche 31 mai 2015 | 15 h
Petit auditorium
Adultes | 2 h
Dédicaces | Librairie du musée |
14 h – 14 h 30
En coordination avec
Rebecca Rogers et
Michelle Zancharini-Fournel |
Avec Léora Auslander,
professeure d’histoire sociale
de l’Europe contemporaine,
Université de Chicago |
Natalie Scholz, professeure
d’histoire moderne et contemporaine,
Université d’Amsterdam |
Denis Chevallier, ethnologue,
conservateur en chef, Mucem
(sous réserve) |
Olivier Gosselain, anthropologue,
Université Libre de Bruxelles.
Qu’est-ce que les objets révèlent
à l’histoire des femmes et du genre ?
Comment les objets fabriquent-ils
le genre ?
Le numéro de Clio « Objets et
fabrication du genre » tente de répondre
à ces questions. En insistant sur
la spécificité de la culture matérielle
des temps bibliques au très
contemporain, les auteur(e)s analysent
des mouchoirs politiques,
des uniformes de soldat, des bijoux,
des jouets publicitaires, de
la vaisselle, des fragments de tissus
cult
dez-vous
47 Ren
et de poteries, mais aussi des
représentations littéraires et visuelles.
À partir de ces approches et de ces
sources variées, les articles montrent
comment les femmes et les hommes
se construisent grâce aux objets,
comment l’objet-acteur construit le genre,
comment les objets nous racontent
une autre histoire que les mots. La culture
matérielle apparaît ainsi déterminante
pour la connaissance historique des
relations entre femmes et hommes et des
conceptions du masculin et du féminin.
Sous la direction de Leora Auslander,
Rebecca Rogers et Michelle ZancariniFournel | 2014 | Revue Clio, Belin | 6 €
urels
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Concerts—
Dans le cadre de son édition 2015,
Les Nuits de Fourvière propose un
cycle de quatre concerts exceptionnels
au musée des Confluences.
Antonio Zambujo
Saudade
Lundi 15 juin | 20 h 30
Révolution de velours avec ce chanteur
portugais qui, dépassant de loin l’horizon
du fado, renverse en douceur les genres
et les cœurs.
Lambchop
Plays Nixon Mardi 21 juillet | 20 h 30
Fleuron de la musique alternative
américaine, le collectif de Nashville
rejoue sur scène l’intégralité
d’un album référence qui, en 2000,
nouait un mariage rêvé entre
country et soul.
Informations et réservations
www.nuitsdefourviere.com
Musica Nuda
Petra Magoni et Ferruccio Spinetti
Mercredi 24 juin, 20h30
De tous les duos Voice n Bass – voix
de fille et contrebasse de garçon –,
Musica Nuda n’est pas le plus propret.
Mais le plus gai, le plus inventif,
le plus déréglé, oui.
Raphaël Imbert
Music is my home, Cie Nine Spirit
& invités
Jeudi 9 juillet | 20 h 30
Des figures du blues du « Deep South »
américain s’associent à des esprits
libres du jazz français, emmenés par
le saxophoniste le plus inspiré
de sa génération : une rencontre
intense et jubilatoire entre mémoire
et actualité.
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51
À paraître—
Catalogues d’exposition—
Cahier de jeux et d’activités—
Mémoires en réserve
Les trésors d’Émile Guimet
Ma chambre des merveilles
Bernard Plossu | Cédric Lesec
Sortie le 19 mars
Réunissant une série d’essais
et notices d’œuvres, il explore
la notion d’éducation et de
transmission de la connaissance,
ambition tout à la fois partagée
par Émile Guimet hier comme
par le musée des Confluences
aujourd’hui.
Ce cahier d’activités fait le bonheur
des enfants à partir de 6 ans, pour
jouer avec les collections du musée
des Confluences, recomposer
des animaux et créer des chimères,
mettre en scène des objets et
découvrir les secrets de ces antres
incroyables que sont les cabinets
de curiosités. Les enfants pourront
s’amuser à se glisser dans la peau
de collectionneurs fantasques
et passionnés des 17e et 18e siècles.
À travers cette série de photographies, Bernard Plossu propose
un voyage poétique dans les
réserves du musée des Confluences.
Traquant la cohérence secrète
d’un ensemble hétéroclite d’objets,
dans l’ambiance clinique de ces
espaces mystérieux, il va parvenir
à réveiller l’inerte pour le rendre
à l’existence.
Conçue dans le droit fil du projet
muséal qui est de Raconter
l’Homme, la collection Récits
d’objets, coéditée avec les éditions
Invenit, invite des auteurs à
s’emparer de l’un des deux millions
d’objets conservés par le musée
pour en faire la matière d’un récit.
Dans la même collection
S63 de Jean-Bernard Pouy |
Téléscopages de Valérie Rouzeau |
L’Enfant fossile de Philippe Forest |
En cheveux d’Emmanuelle Pagano
Collection Récits d’objets |
de 9 € à 12 € | Coédition musée des
Confluences – Invenit
35 € | 288 pages | Coédition musée
des Confluences – Actes Sud
Dans la chambre des
merveilles
L’ouvrage Dans la chambre des
merveilles s’ouvre tel un trésor et
propose un contenu original avec,
outre des articles scientifiques,
trente-deux planches de dessins
signés Camille Renversade : elles
illustrent les récits des Voyages
de Balthasar de Monconys.
Ce diplomate et physicien lyonnais
n’a, en effet, cessé d’arpenter
le monde au 17e siècle et a ramené
des objets qui ont constitué
les premiers cabinets de curiosités.
Il avait regretté à l’époque de ne pas
être accompagné d’un illustrateur.
Le musée des Confluences lui rend
cet hommage en lui offrant
a posteriori la plume et l’aquarelle.
24,90 € | 128 pages | Coédition musée
des Confluences – Flammarion
9,90 € | 48 pages | Coédition
musée des Confluences – Éditions
courtes et longues | Également
disponible en anglais, My Wonder
Room
ed
52 musé
es Confl
uences
53
ratiques
p
s
n
io
t
a
Inform
Renseignements
Accès
T. +33 (0)4 28 38 11 90
contact@
museedesconfluences.fr
www.
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Musée des Confluences
86 quai Perrache
CS 30 180
69285 Lyon cedex 02
Horaires
Mardi, mercredi et vendredi
11 h – 19 h
Jeudi
11 h – 22 h
Samedi, dimanche
et jours fériés
10 h – 19 h
Fermeture le lundi
et le 1er janvier, 1er mai,
1er novembre
et 25 décembre
Fermeture des guichets
18 h 15 | jeudi à 21 h 15
Ouvert
le lundi de Pâques,
6 avril 2015, et le lundi de
Pentecôte, 25 mai 2015
Évitez la file d’attente ,
achetez vos
billets à l’avance
Tarifs expositions
Groupes
Lettre d’information
Individuels
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Chaque mois, suivez toute
l’actualité du musée en
vous abonnant à la lettre
d’information.
Entrée principale,
Cristal
Visiteurs individuels
Billet unique, valable
à la journée, pour
la visite des expositions permanentes
et temporaires
Les groupes sont
accueillis sur réservation
uniquement,
2 mois à l’avance
Visite découverte
1 h 30 | 155 € *
museedesconfluences.fr/
newsletter
Entrée groupes
Niveau -1, côté parvis
Groupes, visiteurs
à mobilité réduite
Revenez toute
l’année avec
le Pass annuel
Adultes tarif plein 9 €
Adultes réduit * 6 €
Adultes à partir de 17 h 6 €
Jeunes 18 - 25 ans 5 €
Entrée auditorium
Niveau -1, côté Rhône
Accès direct lors des
spectacles, conférences
et manifestations.
Les portes ouvrent 1 h
avant le début de
chaque représentation.
L’horaire d’ouverture
de la salle est relatif aux
contraintes artistiques
Transports
Arrêt
musée des Confluences
Tramway— T1
Bus— C7, C10, 15, 63, 88
Voiture—
Parking Tony Garnier
Covoiturez !
Rendez-vous sur
le site covoituragegrandlyon.com.
Depuis la gare Part-Dieu
Métro B arrêt Debourg
puis tram T1
Depuis la gare de Perrache Tram T1
Accès illimité et direct
aux expositions
permanentes et temporaires
pendant 1 an
Adultes 30 €
18 - 25 ans 15 €
Gratuit
Jeunes -18 ans, lycéens,
étudiants et apprentis
de moins de 26 ans,
demandeurs d’emploi,
bénéficiaires du RSA
et de minima sociaux,
guides conférenciers
Comment obtenir son pass ?
Sur place, se présenter
à la caisse réservée
« Pass » avec les éventuels
justificatifs associés
à une réduction tarifaire
Gratuité Jeunes de moins de 18 ans
Lycéens, étudiants
et apprentis de moins
de 26 ans
Demandeurs d’emploi
Justificatif de moins
de 6 mois
Bénéficiaires du RSA
et de minima sociaux
Membres de l’ICOM
Titulaires de la carte presse
Guides conférenciers
Détenteurs de la Lyon City
Card en vente sur place
Personnes à mobilité
réduite et leurs
accompagnateurs sous
réserve de bénéficier
de l’AAH, de l’AEEH
ou de détenir une carte
d’invalidité
* Pour les adultes
agrémentés IAE (insertion
par l’activité économique),
en contrat avenir ou aidé,
et les travailleurs handicapés
en milieu protégé
Les droits d’entrée gratuits
et à tarif réduit sont
accordés aux guichets
du musée, sur présentation
d’un justificatif en cours
de validité
Visite exposition temporaire
1 h 30 | 155 € *
* Prix forfaitaire pour
un groupe de
10 à 20 personnes,
en sus du droit d’entrée
aux expositions | 7 €
Réservation
Par mail
reservations@
museedesconfluences.fr
Téléchargez le formulaire
de réservation sur www.
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Par téléphone
T. +33 (0)4 28 38 12 00
du lundi au vendredi
de 10 h à 17 h
Plus d’information
p.17
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uences
Tarifs visites et ateliers
Ateliers enfants 6 €
Visites d’un soir
5 € | 3 € * + droit d’entrée
Tarifs manifestations
Spectacles 15 € | 12 € *
Spectacles jeune public
10 € | 8 € *
Projections, conférences,
tables-rondes
Gratuit, dans la limite des
places disponibles
* Tarif réduit visites, ateliers
et manifestations
Jeunes -26 ans, demandeurs
d’emploi, bénéficiaires
de minima sociaux, adultes
agrémentés IAE (insertion
par l’activité économique),
en contrat avenir ou
aidé, travailleurs handicapés
en milieu protégé, personnes
à mobilité réduite et leurs
accompagnateurs, sous réserve
de bénéficier de l’AAH,
de l’AEEH ou de détenir une
carte d’invalidité et groupes
de plus de 10 personnes
Attention
Le musée des Confluences
n’est pas en mesure
de rembourser les tickets
oubliés ou égarés
Billetterie visites,
ateliers et
manifestations
Accessibilité
Visiteurs en situation
de handicap
Individuels
Visiter le musée
Préventes, en ligne
www.
museedesconfluences.fr
L’accès pour les
personnes à mobilité
réduite se fait à l’entrée
groupes, au niveau -1
Préventes, par téléphone
T. +33 (0)4 28 38 11 90
Mercredi, samedi et
dimanche de 10 h à 17 h
Jeudi de 16 h à 20 h
Au guichet
Dans la limite des places
disponibles
Pour les spectacles :
devant les auditoriums,
une heure avant le
début de la représentation
Pour les visites et ateliers :
aux guichets d’entrée du
musée, le jour de l’activité
Groupes
Par mail
reservations@
museedesconfluences.fr
Par téléphone
T. +33 (0)4 28 38 12 00
du lundi au vendredi
de 10 h à 17 h
Personnes à mobilité
réduite
Pour tout achat de place
de spectacle pour les
personnes à mobilité
réduite, merci de contacter
la billetterie des activités
culturelles
Par mail
billetterie@
museedesconfluences.fr
Par téléphone
T. +33 (0)4 28 38 11 90
Des fauteuils roulants
et sièges cannes sont
disponibles sur demande
Les fauteuils électriques
et chiens guides sont
les bienvenus au musée
Les espaces sont
accessibles aux
personnes à mobilité
réduite
Venir aux spectacles
L’accueil des personnes
à mobilité réduite
est assuré par l’équipe
d’accueil en salle,
qui facilite l’accès vers
les places adaptées
Afin de garantir le
meilleur accueil, merci
de réserver vos places
auprès de la billetterie
des activités culturelles,
voir contacts ci-contre
Services
La librairie-boutique
Niveau 0
Horaires d’ouverture
du musée
T. + 33 (0)1 58 65 15 60
La Brasserie
des Confluences
Niveau 0
par la Maison Pignol
associée au
chef Guy Lassausaie
midi et soir,
du mardi au dimanche
Réservation
T. + 33 (0)4 72 41 12 34
Comptoir Gourmand
Niveau 4
Restauration légère
avec terrasse
Horaires d’ouverture
du musée
Vestiaire
Niveau -1
Service gratuit
Prêt de fauteuils
roulants,
poussettes
et sièges cannes
Table à langer
Niveau -1
Règlement intérieur
du musée
Espace non-fumeur
Photos avec flash
non autorisées
Ne pas boire et manger
Chiens non admis
Vélos, patins à roulettes,
trottinettes et
skates non admis
Ne pas toucher
les œuvres et objets
naires
Nos parte
Exposition
Les trésors d’Émile
Guimet
Offre jeunesse
Exposition est reconnue d’intérêt
national par le ministère de la
Culture et de la Communication,
Direction générale des
Patrimoines, Service des musées
de France. Elle bénéficie
à ce titre d’un soutien financier
exceptionnel de l’État.
Rendez-vous culturels
Exposition réalisée avec
la collaboration exceptionnelle
du Musée national
des arts asiatiques-Guimet,
Paris.
Journées de
l’Amérique latine
Exposition
Kerala, la danse des
dieux
Passion Collection # 1
que
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Conceptio
,
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Chantal
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Impressi
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Agenda
avril
9 | jeudi
18:30 Atelier—
Percussions
Gratuit | Sur réservation
Adultes | p.29
16:30 Avant
le spectacle—
Maquillage des artistes
Gratuit | Tout public
p.25
20:00 Spectacle—
Torana Yudha
15 € | 12 € | Adultes
p.25
18:30 Spectacle—
Démonstration de
23 | jeudi
Kalaripayatt
Gratuit | À partir de 9 ans
19:00 Conférence—
p.27
Sciences
20:30 Concert—
et quête de sens
Chant et percussions
Gratuit | Adultes |
du Kerala
17:00 Dédicaces
15 € | 12 € | Adultes
à la librairie | p.5
p.27
10 | vendredi
18:00 Conférence—
Rencontre
avec les artistes
Gratuit | Adultes
p.26
20:00 Spectacle
jeune public—
Rencontre avec
un singe remarquable
10 € | 8 € | À partir
de 7 ans | p.26
11 | samedi
15:00 Atelier—
Danse Kathakali
Gratuit | sur réservation
Adultes | p.29
15:00 Projection—
La table aux chiens
Gratuit | Adultes | p.28
17:30 Projection—
Les dieux ne meurent
jamais
Gratuit | Adultes | p.28
ateliers enfants
17 | dimanche
28 | jeudi
juin
ateliers enfants
août
Dragon nuage
4-7 ans | 6 €
Tempête sur les
collections
8-12 ans | 6 €
11:00 | 16:00 Ateliers—
Mar 14 | 21
Mer 8 | 15 | 22
Jeu 16 | 23
Ven 17 | 24
Sam 4 | 11 | 18 | 25
Dim 5 | 12 | 19 | 26
p.18
10:00 – 18:00
Rencontre—
Passion Collection # 1
Gratuit | p.44
19:00 Conférence—
L’humain, un pont
entre nature et culture
Gratuit | Adultes |
17:00 Dédicaces
à la librairie | p.6
4 | jeudi
ateliers enfants
20:00 Visite d’un soir—
David Besson
5 € | 3 € p.16
5 | vendredi
Dragon nuage
4-7 ans | 6 €
Tempête sur les
collections
8-12 ans | 6 €
11:00 | 16:00 Ateliers—
Mer 3 | 10 | 17 | 24
Sam 6 | 13 | 20 | 27
Dim 7 | 14 | 21 | 28
p.18
mai
12:30 Projection—
Planète glace : Andes,
la fin des glaciers Gratuit | Adultes
p.40
28 | mardi
2 | samedi
20:30 Concert—
Saiyuki Vietnam
15 € | 12 € | Adultes
17:00 Dédicaces
à la librairie | p.34
20:30 Ciné-concert—
Une page folle
15 € | 12 € | Adultes
p.32
29 | mercredi
12:30 Concertrencontre—
Musiques
traditionnelles du
Vietnam
Gratuit | Adultes | p.36
30 | jeudi
18:00 Concertrencontre—
Danse et musique
classique indienne
Gratuit | Adultes
p.36
20:00 Visite d’un soir—
Christian Sermet
5 € | 3 € p.16
20:30 Concert—
Saiyuki India
15 € | 12 € | Adultes
p.35
7 | jeudi
19:00 Conférence—
La vie en Antarctique
aujourd’hui
Gratuit | Adultes | p.14
16 | samedi
18:00 – minuit
Nuit des musées—
Expérience en
neurosciences
Gratuit | Adultes | p.45
19:00 – minuit
Nuit des musées—
Récits imaginaires
Gratuit | À partir de 7 ans
p.45
10:00 – 18:00
Rencontre—
Passion Collection # 1
Gratuit | p.44
21 | jeudi
20:30 Concert—
Musique classique
hindoustanie
15 € | 12 € | Adultes
p.42
26 | mardi
16:00 Table ronde—
Ressources naturelles,
environnement
et développement
durable en Amérique
latine
Gratuit | Adultes |
14:30 Dédicaces
à la librairie | p.38
20:00 Concert—
Diana Baroni
& La Tregua /
Agathe Iracema
Brazilian Music Band
15 € | 12 € | Adultes
p.41
27 | mercredi
12:30 Projection—
Nostalgie de la lumière
Gratuit | Adultes | p.40
16:00 Table ronde—
Après les dictatures,
la démocratie ?
Gratuit | Adultes | p.39
31 | dimanche
15:00 Table ronde—
Femmes, Genre,
Histoire
Gratuit | Adultes |
14:00 Dédicaces
à la librairie | p.46
ateliers enfants
Dragon nuage
4-7 ans | 6 €
Tempête sur les
collections
8-12 ans | 6 €
11:00 | 16:00 Ateliers—
Lun 25
Mer 6 | 13 | 20 | 27
Jeu 14
Ven 8
Sam 2 | 9 | 16 | 23 | 30
Dim 3 | 10 | 17 | 24 | 31
p.18
20:30 Concert—
Tao
15 € | 12 € | Adultes
p.42
20:30 Concert—
Tao
15 € | 12 € | Adultes
p.42
6 | samedi
15:00 Film commenté—
The Great
white Silence
Gratuit | Adultes | p.14
11 | jeudi
19:00 Conférence—
Perte de l’enfant
qui n’est pas né
Gratuit | Adultes |
17:00 Dédicaces
à la librairie | p.9
18 | jeudi
20:30 Concert—
Musique chinoise
Guo Gan,
duo avec Fiona Sze
15 € | 12 € | Adultes
p.43
25 | jeudi
19:00 Conférence—
Que reste-t-il du
progrès ?
Gratuit | Adultes |
17:00 Dédicaces
à la librairie | p.7
20:00 Visite d’un soir—
Deirdre Emmons
5 € | 3 € p.16
juillet
2 | jeudi
Dragon nuage
4-7 ans | 6 €
Tempête sur les
collections
8-12 ans | 6 €
11:00 | 16:00 Ateliers—
Mar 4 | 11 | 18 | 25
Mer 5 | 12 | 19 | 26
Jeu 6 | 13 | 20 | 27
Ven 7 | 14 | 21 | 28
Sam 1 | 8 | 15 | 22 | 29
Dim 2 | 9 | 16 | 23 | 30
p.18
19:00 Conférence—
Devenir mortel
Gratuit | Adultes |
17:00 Dédicaces
à la librairie | p.8
ateliers enfants
Dragon nuage
4-7 ans | 6 €
Tempête sur les
collections
8-12 ans | 6 €
11:00 | 16:00 Ateliers—
Mer 1 | 8 | 15 | 29
Sam 4 | 11 | 18 | 25
Dim 5 | 12 | 19 | 26
Mar 7 | 14 | 21 | 28
Jeu 9 | 16 | 23 | 30
Ven 10 | 17 | 24 | 31
p.18
Atelier—
Concert,
concert-rencontre—
Conférence,
table ronde—
Projection,
film commenté,
ciné-concert—
Rencontre—
Spectacle—
Visite—