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Publirédactionnel Traite robotisée Des experts à proximité de chez vous Aujourd’hui, DeLaval dans le Grand-Est, c’est sept concessionnaires spécialisés, 25 techniciens et près de deux cents robots de traite en service. Un réseau de techniciens spécialisés, à proximité de la clientèle, pour une réactivité optimale : voilà comment la société conçoit son service. Gaec de la Frigeolotte Une mise en service très surveillée La plupart des dépannages s’effectuent à distance, par téléphone. Delaval H.Grare/Pixel Image Claude et Jean-Luc Patoux, associés en Gaec à Igney (54), exploitent 200 ha et produisent 520 000 l de lait avec une cinquantaine de vaches laitières. Le robot de traite, installé par DeLaval Est, est en route depuis novembre dernier. « La salle de traite avait trente ans. Il était grand temps de la changer. Le développement des robots de traite sur la région nous a amenés à nous poser la question pour notre propre exploitation. D’autant plus que le bâtiment devenait trop juste en termes de place. Nous sommes allés voir différentes exploitations. La possibilité offerte par le robot DeLaval de poser les gobelets trayeur manuellement en cas de problème a fait la différence. Aussi, leurs conseils en matière de conception de bâtiment. Nous avons investi le bâtiment taurillons que nous avons transformé pour accueillir les laitières. Au moment de la mise en route, Ils sont passés tous les jours pendant une semaine. Ils nous ont appris à manipuler le logiciel. Aujourd’hui, dès que nous avons une question, ils sont là pour nous répondre. La plupart des problèmes peuvent se régler par téléphone. » « Les éleveurs doivent connaître leur machine et pouvoir l’entretenir eux-mêmes », estime Michel Guérin de Soplan Élevage. PUBLI_DELAVAL_210X297.indd 1 robots en service sur quatre départements. DeLaval veille à former en continu l’ensemble de ses intervenants en traite robotisée. « Nos techniciens ont bénéficié en tout de six à huit semaines de formation sur cinq ans », précise Maurice Chapuis. Former les éleveurs Des connaissances et une expertise que les concessionnaires DeLaval mettent au service de tout nouveau projet de robot de traite. « On commence par emmener les éleveurs en visite chez des utilisateurs de robots de traite. Ensuite, différents plans sont réalisés, plusieurs implantations sont proposées et nous accompagnons chacune d’elle de préconisations économiques. Nous travaillons en partenariat avec tous ceux qui interviennent chez l’éleveur : vendeurs d’aliment du bétail, contrôle laitier… », explique Michel Guérin. Un seul technicien suit l’ensemble du projet. « Surtout, on n’impose jamais nos choix », insiste le directeur de Soplan Élevage. Le technicien passe, le moment venu, le relais au responsable du montage du robot de traite qui explique à l’éleveur le fonctionnement du matériel et du logiciel avant sa mise en service. « Il ne faut pas rendre dépendants les éleveurs. Ils doivent connaître leur machine et pouvoir l’entretenir eux-mêmes. On organise donc systématiquement un stage de formation à destination des éleveurs avant la mise en service de leur robot. Ce qui nous permet aussi à nous de ne passer que tous les quatre mois pour la maintenance », témoigne Michel Guérin. « Un entretien régulier du robot de traite est indispensable », insiste Maurice Chapuis. Avantage non négligeable : 80 % des pièces sont communes entre les anciennes et les nouvelles versions du robot. Mais même avec une maintenance régulière, les éleveurs ne sont pas à l’abri d’un incident. Alors, chaque concessionnaire assure un service de dépannage 24 heures/24, 7j/7. Intervenir rapidement « La plupart des dépannages s’effectuent à distance, par téléphone. On dénombre moins d’une intervention sur site par semaine, souligne Michel Guérin. Pour l’ensemble des soixante robots en service, une seule personne est d’astreinte, joignable sur un seul et même numéro pour les quatre départements que nous couvrons. » « Ce qui nous a décidés, c’est avant tout la façon dont DeLaval gère la circulation des animaux », admet Thierry Ramand, l’un des associés du Gaec de Laquemine (Meuse). H.Grare/Pixel Image «U n tracteur se change en moyenne tous les cinq ans, une salle de traite tous les vingt-cinq ans », rappelle Maurice Chapuis, de la concession Chapuis Frères à Saint-Marc-sur-Seine (21) qui a d’ores et déjà installé huit robots de traite DeLaval sur son secteur. « Alors il faut être sûr de son matériel et des services qui l’accompagnent. D’autant plus avec un robot de traite, un matériel qui est en fonctionnement 24 heures/24. » DeLaval, c’est, aujourd’hui, sept concessionnaires spécialisés répartis dans le Grand-Est et formant un réseau d’échanges et de services, pour accompagner au mieux les clients et futurs clients. « Pour répondre au plus vite et au mieux aux éleveurs, nos techniciens sont formés par DeLaval et aussi en interne sur les aspects alimentation, le suivi du troupeau… Un technicien doit connaître l’impact du robot sur les vaches et sur le troupeau », reconnaît Michel Guérin, directeur de Soplan Élevage qui compte une soixantaine de 22/02/12 10:01:02 e Delaval Toujours prêt à intervenir, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. EARL de la Vôge Un SAV qui tient la route Les concessionnaires bénéficient eux-mêmes d’une hotline 24 heures/24. « Il y a toujours quelqu’un au siège DeLaval France pour répondre à nos questions en cas de difficulté », précise Nicolas Enderlin, commercial pour la société AC-Andelfinger SA. Le Haut-Rhin compte aujourd’hui treize robots, installés ou à installer. Pour assurer l’astreinte, deux hommes, Nicolas Enderlin ainsi qu’un technicien. « Nous sommes à 10-15 minutes en moyenne, maximum 30, des installations. On peut ainsi intervenir rapidement. » À Soplan, l’équipe robotique comprend trois vendeurs et cinq techniciens spécialisés dans la traite robotisée, dont deux dédiés à la mise en service et trois à l’entretien. L’un deux a reçu une formation spécifique au nouveau système Herd Navigator, le premier élevage français à en avoir bénéficié étant dans la Meuse. « Nous avons monté un partenariat avec un cabinet vétérinaire pour la mise en route et le suivi du troupeau », précise Michel Guérin. Au sein de l’entreprise Jacquot (70), quatre personnes sont dédiées à la robotique. Dix machines devraient tourner d’ici la fin de l’année. « Nous travaillons en collaboration avec les concessions limitrophes, ce qui nous permet de bénéficier d’un pôle important de techniciens », précise Jean-Philippe Jacquot. Gaec de Laquemine Des conseils pertinents en matière de circulation des animaux Thierry Ramand est l’un des associés du Gaec de Laquemine, situé à Pretz-en-Argonne (55). Ils produisent, chaque année, 750 000 l avec 65 vaches laitières. Pour monter leur robot, les exploitants ont fait appel à Soplan Élevage. « Nous avons installé notre premier robot en 2006, après le départ d’un associé. À l’époque, nous avions déjà opté pour DeLaval. Ce qui nous a décidés, c’est avant tout la façon dont DeLaval gère la circulation des animaux. Nous n’avions pas la volonté de révolutionner l’alimentation du troupeau. Nous sommes en ration semi-complète à l’auge. Aujourd’hui, les vaches ont accès à l’eau d’un côté, à l’alimentation de l’autre, et elles n’ont pas à passer obligatoirement par le robot pour aller de l’un à l’autre. En 2011, nous avons souhaité changer de robot. Nous avons choisi le dernier modèle avec le système HerdNavigator. La mise en route s’est très bien passée. Nous sommes désormais à 3,3 traites/VL/jour de moyenne pour une production de 35 à 39 kg/VL/jour. » PUBLI_DELAVAL_210X297.indd 2 Installé à Uzemain (88), Vincent Humbert produit 460 000 l de lait avec une cinquantaine de vaches laitières. Il s’est adressé à DeLaval Est pour installer un robot de traite. « J’ai visité plusieurs exploitations, comparer les différentes marques. Le robot DeLaval me plaisait, le commercial a su me vendre son produit. Il m’a aussi très bien conseillé sur l’implantation du robot et la circulation des animaux dans le bâtiment existant. La mise en route, en septembre dernier, s’est déroulée sans problème. Le technicien m’a expliqué le fonctionnement du matériel. Au bout de huit jours, j’étais déjà à 2,5 traites de moyenne. Je voulais améliorer les performances du troupeau. Or, le robot de traite permet d’exploiter au mieux le potentiel des vaches laitières, surtout des fortes productrices. La différence se fait déjà sentir : sur les douze derniers mois, la production moyenne est à 11 000 kg contre 10 500 kg auparavant. Aujourd’hui, je ne reviendrais pas en arrière. D’autant plus que le service après-vente tient la route et ça, c’est important. » Un label « expert en robotique » DeLaval a mis en place un label « expert en robotique ». Les concessions doivent respecter un cahier des charges regroupant certaines obligations comme assurer un niveau minimum de formation des techniciens, avoir un nombre suffisant de personnes par rapport au nombre de robots en service, s’engager à assurer le suivi technique des machines, etc. « DeLaval nous audite une fois par an. L’entreprise vérifie qu’on respecte bien le cahier des charges. C’est plus un outil de motivation que de contrainte. Et c’est un plus dans la communication vers les éleveurs, la présence du label leur garantit un certain niveau de services », conclut Michel Guerin. Sept concessionnaires certifiés « expert en robotique » répartis sur le Grand-Est • ACS-Andelfinger SA, Waldighoffen (68). Tél. : 03 89 07 96 54 • DeLaval Est, Sainte-Hélène (88). Tél. : 03 29 65 93 79 • Chapuis Frères, Saint-Marc-sur-Seine (21). Tél. : 03 80 93 22 28 • Dhyevre SARL, Montier-en-Der (52). Tél. : 03 25 04 20 40 • Lesserteur SA, Neuilly l’Évèque (52). Tél. : 03 25 84 01 33 • Jacquot, Vallerois-le-Bois (70). Tél. : 03 84 78 30 76 • Soplan Élevage, Vouziers (08). Tél. : 08 11 26 00 08, ou Bras-sur-Meuse (55). Tél. : 03 24 71 76 66 22/02/12 10:01:05