La Ville-du-Bois fait confiance à Aasset Security

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La Ville-du-Bois fait confiance à Aasset Security
Etude de cas
Pour parution immédiate
Argenteuil, le 28/03/2013
La Ville-du-Bois fait confiance à Aasset Security
D’une superficie d’environ 360 hectares, la ville du Bois est située dans le nord de
l’Essonne, à 25 kilomètres de Paris. Jean-Pierre MEUR, maire de la Ville, revient sur
les raisons de la mise en place d’un système de vidéoprotection, et de sa confiance
pour Aasset Security.
La vidéoprotection pour améliorer l’efficacité des actions des forces de l’ordre
Voici plus de dix ans, la commune de la Ville-du-Bois eut un premier projet de
vidéoprotection, dans l’objectif d’améliorer l’efficacité des actions des forces de
l’ordre, en matière de prévention et de sécurité publique.
La première installation vidéo, de type analogique, fut donc installée sur un, puis
deux secteurs de la commune, ces deux systèmes n’étant pas reliés entre eux.
En 2009, le besoin de repenser l’ensemble des installations devient alors
nécessaire en raison, notamment, d’une technologie devenue obsolète et inefficace,
l’exploitation des images ne permettant plus de confondre les auteurs des délits, ce
qui se traduisait par une augmentation de la délinquance de voie publique.
De plus, le décret du 3 août 2007 a fixé de nouvelles normes techniques pour
les systèmes de vidéoprotection.
Ainsi, fin 2009, un diagnostic de sécurité est effectué par le référent sûreté de la
gendarmerie. En 2010, un premier projet d’installation de la vidéoprotection (avec
une demande de subventions FIPD) est présenté en préfecture mais n’aboutit pas,
notamment en raison de la complexité du montage du dossier. Or, lors de la
restructuration de la police municipale fin 2010 début 2011, la mission d’instruire
ce dossier est confiée au responsable de ce service qui, en collaboration avec un
cabinet conseil, le mène à son terme. C’est seulement fin 2011 que la commune
obtient l’accord (ainsi que l’autorisation d’installation et l’acceptation des
subventions) de la préfecture pour lancer ce projet.
Cette action, selon le maire, s’inscrit d’une manière générale dans la lutte contre
l’insécurité et/ou le sentiment d’insécurité. « Mais au-delà des diverses missions
projetées, la vidéoprotection a pour but de dissuader le délinquant par une
présence ostensible des caméras et d’une information substantielle, faire diminuer le
nombre de faits commis, renforcer le sentiment de sécurité, localiser avec précision
les lieux de l’infraction ou du trouble, faciliter l’identification des auteurs de
l’infraction et l’administration de la preuve. »
Quant à la délinquance constatée sur la commune de la Ville-du-Bois, pour l’élu,
elle est caractérisée par les infractions liées aux véhicules
(vols, vols à la
roulotte, destructions ou dégradations, les cambriolages d’habitations principales ou
secondaires, de locaux industriels, commerciaux ou financiers) et les agressions sur
la voie publique.
D’autres faits, non quantifiables mais pris en compte malgré l’absence de dépôt
de plainte, sont les incivilités et les regroupements de jeunes qui génèrent un
sentiment grandissant d’insécurité et sont régulièrement à l’origine de tapages. »
Les réponses apportées par le Cabinet de Conseil missionné par la Ville-du-Bois
Pour ce faire, Guy Conan, alors directeur des opérations chez TechnoMan, cabinet
de conseil Infrastructure IP et vidéoprotection, relate qu’il a été choisi par la villedu-Bois pour étudier les zones de commission des faits, l’implantation des caméras
pour effectuer réellement le contrôle de ces zones et permettre le rapatriement des
informations. Les préconisations et conseils alors prodigués ont été de limiter le
génie civil, en privilégiant le lien radio ; mais également de prévoir des extensions
futures.
Un dispositif de vidéoprotection évolutif
Les élus ayant tenu compte des préconisations
du Cabinet de Conseil, le dispositif de
vidéoprotection installé sur la commune est de
type hertzien. Les emplacements choisis par la
collectivité pour installer les caméras vidéo
correspondent aux lieux criminogènes recensés
par la brigade de gendarmerie territorialement
compétente ainsi que des lieux susceptibles de
présenter un attrait particulier aux délinquants
potentiels (commerce du centre-ville, parkings, établissements scolaires et
administratifs).
« Ce projet a été renforcé par le diagnostic établi par le référent sûreté de la
gendarmerie, chargé de conseiller les collectivités et d’apporter des recommandations
pour la conception globale d’un système de vidéo protection, notamment sur la voie
publique. Le poste de police municipale est aujourd’hui équipé d’un centre
d’enregistrement avec un écran permettant de visionner en temps réel ou différé.
Conformément à la loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 et à l’autorisation délivrée par
la préfecture, ces images ne peuvent être consultées que par les personnes dûment
habilitées. Les enregistrements sont détruits dans un délai de plusieurs semaines,
ce qui permet aux forces de l’ordre ayant connaissance de faits antérieurs de
consulter les vidéos.
« La commune a privilégié un système de vidéoprotection évolutif permettant
d’envisager une extension ultérieure en fonction des évènements constatés.
Une seconde phase est envisagée pour sécuriser des bâtiments administratifs et
la nouvelle école sur le secteur des Bartelottes (9 classes à terme), avec
gymnase dans un quartier dépourvu d’équipements publics », explique le maire.
« Lorsque les anciennes caméras n’étaient plus opérationnelles, la gendarmerie a
constaté une augmentation de faits délictueux dans des zones précédemment vidéo
surveillées. La délinquance locale avait pris conscience qu’elle pouvait agir
impunément dans ces lieux.
Depuis l’installation de ce nouveau système vidéo constitué de caméras plus
performantes, nous percevons une évolution du comportement des délinquants,
notamment le déplacement de ceux-ci vers des secteurs « non vidéo
surveillés. Toutefois, cette installation étant récente, il est peut-être trop tôt pour
évaluer l’impact réel produit sur cette délinquance et de chiffrer la baisse des
infractions. Ce que nous pouvons dire, c’est que depuis sa mise en fonction, les
images enregistrées permettent de fournir aux enquêteurs des éléments essentiels
pour rechercher et identifier les auteurs d’infractions », ajoute Jean-Pierre MEUR.
Pour Alain Le Gall, responsable de la police municipale, les dômes IR sont une
bonne solution, « l’éclairage IR permet de continuer à travailler même lorsque
l’éclairage est défaillant, voire quand l’éclairage public subit des actes de
malveillance. En outre, la différence de prix avec les autres caméras sans IR est
très faible. Il serait donc dommage de s’en priver. »
Quel coût pour un tel dispositif ?
« La municipalité est très attachée à une
gestion rigoureuse de l’argent public. C’est la
raison pour laquelle nous nous sommes employés à
mettre en place un système de vidéoprotection
performant mais à un coût raisonnable. L’attrait de
disposer de subventions a permis de réduire
d’autant nos dépenses dans ce domaine.
Ainsi, le montant du marché s’est élevé à
125 580 € TTC pour 11 caméras. La subvention
obtenue de L’ACSE dans le cadre du FIPD s’élève à 46 060 €. Ainsi, le coût
de l’installation, déduction faite des subventions, représente 0.75% (moins de 1%)
du budget d’investissement 2012.
La commune de la Ville-du-Bois étant une petite collectivité, elle ne dispose pas
de personnel pour effectuer une étude afin d’évaluer le coût des dégradations et
autres délits. Néanmoins, suite à l’installation cette année du système de vidéo
protection, la commune a l’intention de renégocier
les primes d’assurances pour
l’année 2013 ».
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Constructeur et distributeur depuis 1984, un des leaders en Europe pour les produits de vidéoprotection.
offrant une large gamme de matériels de vidéoprotection tant pour les applications standards que pour les
projets sur mesure. Un leader technologique qui accompagne le marché en pleine mutation, de l’analogique au
numérique avec des solutions de sécurité réseau full IP.
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