Diapositive 1 - LGB Bio Industries

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Diapositive 1 - LGB Bio Industries
L’importance du silicium organique pour
notre organisme
Les bienfaits du silicium formulés pour votre bien-être
Présent dans l'ensemble de notre métabolisme, le silicium est un élément essentiel de
notre santé, acteur de notre biologie interne. C'est à la fois une molécule clé pour notre
architecture corporelle, mais aussi un agent essentiel pour entretenir nos articulations et
nos tissus cellulaires.
Le corps humain ne peut le synthétiser et une carence engendrera des effets néfastes
sur les os, les cartilages, les parois vasculaires, la peau et les os. Son apport extérieur est le
meilleur remède pour couvrir nos besoins métaboliques.
Notre laboratoire LGB Bio Industries propose plusieurs types de formules à base de
silicium organique en fonction de vos besoins spécifiques. Pour l’alimentation ou la
cosmétique Nous proposons entre autre, une formule organique liquide constituée de
silicium sous sa forme la plus biodisponible, c'est-à-dire hautement assimilable, l'acide
orthosilicique stabilisé par de la choline. De nombreuses études ont mis en avant son
assimilation supérieure aux autres formes de silicium disponibles sur le marché [31]. Nous
pouvons aussi vous proposer des solutions à base de monométhylsilanetriol (à partir de la
même molécule que le G5) ou encore des solutions d’acide silicique et d’extraits de plantes.
Laboratoire LGB Bio Industries
Z.I. Albipôle - 9 Avenue Albipôle - 81150 TERSSAC - France
Tél. 00 33 (0)5 63 60 90 18 - Fax 00 33 (0)5 63 43 26 33
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A l'état minéral, le silicium est avant tout le 2ème plus abondant élément minéral de la croûte terrestre
(26 %), après l'oxygène et avant l'aluminium. En combinaison avec ces deux derniers éléments sous forme
d'aluminosilicates, le silicium constitue l'essentiel des argiles, granites et autres roches sédimentaires
(quartz, sable, diatomite...) sur lesquels croissent les végétaux. Au sein de nos roches siliceuses, le silicium
se présente sous forme de silice SiO2, une molécule pratiquement insoluble dans l'eau qui n'est que très
peu assimilable par l'organisme. Une autre source minérale biodisponible est l'acide orthosilicique
disponible dans les eaux minérales et autres boissons [1]. De formule Si(OH)4, cette source est facilement
assimilable par les êtres vivants mais reste une source faible car présente à quelques milligrammes par litre
de liquide.
A l'état végétal, la quasi totalité de la silice est stockée sous forme de silice inerte dans l'épiderme de
la plante (feuilles et tiges). Une très petite quantité de silicium sous forme d'acide orthosilicique se trouve
solubilisée dans la sève de la plante (moins de 1 % du capital silicium de la plante) [2].
Chez les êtres vivants, le silicium est présent dans l'ensemble des organes et tissus de l'organisme.
Cependant, une faible proportion de silicium est disponible dans le sang, le reste forme l'architecture du
métabolisme animal et n'est que très faiblement absorbé lorsque l'on consomme de la viande [3, 4 & 5].
Les silicium issus de la synthèse sont des sources de silicium organique considérés comme très
assimilables par l'organisme, du fait de la combinaison d'une molécule siliceuse et d’une molécule carbonée
(protéine par exemple). Les travaux du chercheur français Norbert DUFFAUT ont abouti à la mise au point
de la molécule silanetriol, une forme de silice organique hydrosoluble et assimilable. Cette molécule a
ensuite été reprise par Loïc Le RIBAULT, la baptisant "G5". Depuis 2009, elle est interdite en complément
alimentaire mais son utilisation en cosmétique reste autorisée du fait de sa grande assimilation par la peau
[6]. D'autres recherches plus récentes ont été menées, aboutissant à la stabilisation de l'acide orthosilicique
par l'apport de groupes carbonés, tels que la choline.
L'homme naît avec un capital de silicium qui va progressivement décroître à partir de la maturité
sexuelle. Ce manque est normalement compensé par notre régime alimentaire. Le silicium est
naturellement présent dans les aliments sous forme de dioxyde de silicium (de formule SIO2, appelé aussi
silice) [7]. Il est abondamment présent dans les aliments dérivés des plantes tels que les céréales, l'avoine,
l'orge, le blé et le riz. Au contraire, les teneurs en silicium sont plus faibles dans les produits d'origine
animale comme la viande ou les produits laitiers. Enfin, l'eau potable, les eaux minérales (de 2 à 5 mg de
silicium/L) et la bière (de 9 à 39 mg de silicium/L) contiennent une faible proportion de silicium [8 & 9]. Ce
sont en grande partie les céréales qui nous permettent de consommer du silicium (30 % de l'apport
moyen), suivies par les fruits, les boissons et les légumes qui comptent ensemble 75 % de l'apport total de
silicium [10].
Malgré cet apport en silicium, leur biodisponibilité est questionnable du fait de la faible solubilité des
formes de silicium disponibles dans ces aliments (colloïdal en grande partie) [8, 11, 12 & 13]. Avec l'âge, le
silicium est moins absorbé [1] par notre corps. De plus, son apport par l'alimentation diminue car nous
consommons des aliments de plus en plus raffinés (pain blanc, céréales décortiquées), les fruits et légumes
sont peu abondants et de qualité insuffisante, l'eau courante est systématiquement floculée par
l'aluminium qui élimine une grande partie des silicates. Une carence en silicium va ainsi provoquer de
nombreux troubles métaboliques : perte de tonus des tissus cutanés, cheveux moins épais, ongles cassants,
diminution de la souplesse articulaire accompagnée de douleurs plus ou moins importantes, ostéoporose
suite à une déminéralisation osseuse.
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Que ce soit l'être humain ou l'animal, le silicium apporte les mêmes fonctions métaboliques. Dés la
formation du fœtus au cours de la gestation, le silicium va se fixer en premier au niveau du cerveau, des
muscles et de la rate. Puis le silicium va se diversifier vers d'autres organes, présent sous forme monomère
(acide orthosilicique) ou sous forme complexe (lié à des macromolécules).
"Le silicium représente le troisième plus abondant oligo-élément dans le corps humain après le fer et le
zinc. On en trouve entre 1 et 10 ppm dans les cheveux, les ongles et l'épiderme" [9]. Il est présent dans
l'ensemble de la structure cellulaire et se trouve dans le sang à 5 mg/L sous forme libre (acide
orthosilicique) [18]. On le retrouve en quantité abondante dans les tissus conjonctifs (aorte, trachée et
tendons), le tissu cartilagineux, la peau ou encore les poumons.
La présence du silicium dans tout l'organisme humain est nécessaire à de nombreuses activités
physiologiques :
i.il aide la résorption de calcium, intervient dans son transfert et stimule la minéralisation osseuse par
les ostéoblastes ; prévient l'ostéoporose ; permet une guérison osseuse plus rapide [3 & 19].
ii.il joue un rôle dans la structure moléculaire du tissu conjonctif et dans la formation des tissus mous
tels que le foie, le cerveau et les poumons ; il est nécessaire à la structuration des parois vasculaires
(artères, veines et cellules capillaires) en augmentant l’élasticité, la rigidité et l’imperméabilité des
vaisseaux sanguins.
iii.Le silicium est nécessaire pour la biosynthèse de certaines molécules comme le collagène, l'élastine
et les glycosaminoglycanes . Il agit en tant qu'agent de réticulation des glycoprotéines afin d'assurer la
bonne mise en place de structures moléculaires [20].
iv.Le silicium stimule le système immunitaire [21].
v.Il diminue les inflammations en intervenant sur le métabolisme des cytokines pour jouer sur divers
inflammations tels que l'arthrite, l'ostéoarthrite, le psoriasis ou encore les irritations de la peau [22].
vi.La consommation d'acide silicique (en oligomères) permet de diminuer l'absorption de l'aluminium
(Al3+) à travers le tube digestif et ainsi de diminuer le risque de développer une maladie
neurodégénérative telle que la maladie d'Alzheimer [9 & 23].
vii.Il apporte rigidité et brillance aux ongles et cheveux et stimule leur croissance [24].
viii.Il agit à titre préventif sur le développement de l'athérosclérose et des autres affections causées
par le stress oxydatif tels que le diabète (action anti-oxydante) [25 & 26].
Des expériences menées pendant plus de 40 ans sur les animaux et les hommes démontrent un rôle
important du silicium dans le tissu conjonctif et les os [27]. Des études in vitro sur de jeunes souris et de
jeunes rats révélèrent ainsi la présence de silicium dans les zones de croissance des os et de son action sur
la minéralisation. En 1972, les expériences de CARLISLE sur de jeunes poussins prouvèrent que la carence
en silicium ne permettait pas la croissance et le développement du squelette et qu’il était alors nécessaire
d’en apporter en supplément. L’étude de FRAMINGHAM [28] indique qu’un apport de silicium supérieur à
40mg/jour améliore la densité minérale des os de l’homme et de la femme pré-ménopausée.
Le silicium contribue donc à la biosynthèse des molécules de collagène [3 & 29], de l’élastine et de
l’acide hyaluronique en agissant dans le tissu conjonctif général (principalement les cartilages, les os, la
peau et le système immunitaire) où elles interviennent de façon importante.
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L'EFSA (European Food Safety Authority), l'Autorité européenne de sécurité des aliments, a rendu un
avis scientifique favorable en janvier 2009 sur "l'acide orthosilicique, stabilisé par de la choline à des fins
nutritionnelles à des compléments alimentaires". [14] Le groupe scientifique a défini que l'élément silicium
est parfaitement biodisponible à partir de l'acide orthosilicique stabilisé par de la choline et que son
utilisation dans des compléments alimentaires ne pose aucun problème toxicologique.
La communauté européenne à défini depuis décembre 2009 trois sources de silicium autorisées dans
les compléments alimentaires dont l'acide orthosilicique stabilisé choline, le dioxyde de silicium et l'acide
silicique sous forme de gel [15].
A ce jour, aucune valeur nutritionnelle recommandée (VNR) n'a été établie. Cependant, "l'EFSA a
estimé que la consommation alimentaire type de silicium est 20-50 mg/jour, ce qui correspond à 0,3-0,8 mg
de silicium/kg de poids corporel par jour pour une personne de 60 kg" [16]. D'après les études de toxicité
sur le silicium, la dose létale est supérieure à 5 g/kg de poids corporel, soit plus de 1000 fois supérieure à la
dose utile pour notre organisme [14].
Concernant la choline, la dose létale est de 3400 mg/kg de poids corporel [17], soit 200 fois supérieure
à la dose maximale proposée dans les formules liquides de Silicium Biogénique©. Considérée comme un
nutriment essentiel, la choline joue un rôle particulier dans le contrôle musculaire, le bon fonctionnement
du foie et de la mémoire. Elle facilite la transmission de l'influx nerveux et lutte contre l'excès de
cholestérol. Elle est aussi utilisée dans certains problèmes circulatoires et pour la perte de mémoire et la
maladie d'Alzheimer.
*1+ Jugdaohsingh, Ravin et al., ‘Dietary Silicon Intake and Absorption’, The American Journal of Clinical Nutrition, 2002
*2+ Silva Lobato, Allan Klynger da et al., ‘Silicon: A Benefic Element to Improve Tolerance in Plants Exposed to Water Deficiency’, in Responses of Organisms to Water Stress, ed. by Sener
Akinci (InTech, 2013)
*3+ JUGDAOHSINGH, R., ‘Silicon and Bone Health’, The Journal of Nutrition, Health & Aging, 11 (2007), 99–110
*4+ Carlisle, E. M., ‘Silicon as a Trace Nutrient’, The Science of the Total Environment, 73 (1988), 95–106
*5+ Nielsen, Forrest H., ‘Ultratrace Elements in Nutrition: Current Knowledge and Speculation’, The Journal of Trace Elements in Experimental Medicine, 11 (1998), 251–74
[6] EFSA - Autorité européenne de sécurité des aliments, ‘Monométhylsilanetriol Ajouté Aux Compléments Alimentaires À Des Fins Nutritionnelles’, January 2009
[7] EFSA - Autorité européenne de sécurité des aliments, ‘Silicate de Calcium et Dioxyde de Silicium/ Gel D’acide Silicique Ajoutés À Des Compléments Alimentaires À Des Fins
Nutritionnelles’, juin 2009
*8+ Bellia, J. P., J. D. Birchall, and N. B. Roberts, ‘Beer: A Dietary Source of Silicon’, Lancet, 343 (1994), 235
*9+ Jurkid et al., ‘Biological and Therapeutic Effects of Ortho-Silicic Acid and Some Ortho-Silicic Acid-Releasing Compounds: New Perspectives for Therapy’, Nutrition & Metabolism, 10
(2013)
*10+ McNaughton, S. A. et al., ‘Dietary Silicon Intake in Post-Menopausal Women’, The British Journal of Nutrition, 94 (2005), 813–17
*11+ Dyck, K. Van et al., ‘Bioavailability of Silicon from Food and Food Supplements’, Fresenius’ Journal of Analytical Chemistry, 363 (1999), 541–44
[12] Pennington, J. A., ‘Silicon in Foods and Diets’, Food Additives and Contaminants, 8 (1991), 97–118
[13] Sripanyakorn, Supannee et al., ‘The Comparative Absorption of Silicon from Different Foods and Food Supplements’, The British Journal of Nutrition, 102 (2009), 825–344
[14] EFSA - Autorité européenne de sécurité des aliments, ‘Acide orthosilicique stabilisé par de la Choline, ajouté à des fins nutritionnelles à des compléments alimentaires’, January 2009
[15] Règlement (CE) N O 1170/2009 de La Commission Du 30 Novembre 2009 Modifiant La Directive 2002/46/CE Du Parlement Européen et Du Conseil et Le Règlement (CE) N O 1925/2006
[16] Agency, Food Standards, ‘Expert Group on Vitamins and Minerals (2003) Safe Upper Levels for Vitamins and Minerals | Food Standards Agency’
[17] National Institute for Occupational Safety and Health, RTECS (Registry of Toxic Effects of Chemical Substances). Hamilton (Ont) : Canadian Centre for Occupational Health and Safety.
[18] Carlisle EM. 1984. Silicon. In: Frieden E, editor. , ed, Biochemistry of the Essential Ultratrace Elements . New York: Plenum Press. Pp.257–291
[19] Carlisle, Edith M., ‘Silicon: A Requirement in Bone Formation Independent of Vitamin D1’, Calcified Tissue International, 33 (1981), 27–34
[20] Schwarz, K., ‘A Bound Form of Silicon in Glycosaminoglycans and Polyuronides’, Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, 70 (1973), 1608–12
[21] Schiano et al., ‘Silicon, bone tissue and immunity’, Revue Du Rhumatisme Et Des Maladies Ostéo-Articulaires, 46 (1979), 483–86
[22] Lassus, A., ‘Colloidal Silicic Acid for the Treatment of Psoriatic Skin Lesions, Arthropathy and Onychopathy. A Pilot Study’, The Journal of International Medical Research, 25 (1997),
206–9
[23] Jugdaohsingh et al., ‘Oligomeric but Not Monomeric Silica Prevents Aluminum Absorption in Humans’, The American Journal of Clinical Nutrition, 71 (2000), 944–49
[24] Lassus, A., ‘Colloidal Silicic Acid for Oral and Topical Treatment of Aged Skin, Fragile Hair and Brittle Nails in Females’, The Journal of International Medical Research, 21 (1993), 209–15
[25] Loeper, J., J. Goy-Loeper, L. Rozensztajn, and M. Fragny, ‘The Antiatheromatous Action of Silicon’, Atherosclerosis, 33 (1979), 397–408
[26] Loeper, J., J. Loeper, and M. Fragny, ‘The Physiological Role of the Silicon and Its AntiAtheromatous Action’, in Biochemistry of Silicon and Related Problems, 40 (Springer US, 1978), pp.
281–96
[27] Carlisle, E. M., ‘Silicon: An Essential Element for the Chick’, Science (New York, N.Y.), 178 (1972), 619–21
[28] Jugdaohsingh, Ravin et al., ‘Dietary Silicon Intake Is Positively Associated With Bone Mineral Density in Men and Premenopausal Women of the Framingham Offspring Cohort’, Journal
of Bone and Mineral Research, 19 (2004), 297–307
[29] Seaborn, C. D., and F. H. Nielsen, ‘Silicon Deprivation Decreases Collagen Formation in Wounds and Bone, and Ornithine Transaminase Enzyme Activity in Liver’, Biological Trace
Element Research, 89 (2002), 251–61
[30] Danil de Namor et al., ‘Turning the Volume down on Heavy Metals Using Tuned Diatomite. A Review of Diatomite and Modified Diatomite for the Extraction of Heavy Metals from
Water’, Journal of Hazardous Materials, 241-242 (2012), 14–31
[31] Calomme et al., ‘Silicon Absorption from Stabilized Orthosilicic Acid and Other Supplements in Healthy Subjects’, in Trace Elements in Man and Animals 10, ed. by A. M. Roussel, R. A.
Anderson, and A. E. Favrier (Springer US, 2002), pp. 1111–1
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