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1 PROCÈS-VERBAL ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2015 DE L’ASSOCIATION DU LAC TREMBLANT L’assemblée générale annuelle de l’Association du Lac Tremblant s’est tenue à 16h00, samedi le 25 juillet 2015 à la Salle des loisirs, rue du Couvent, à Mont-Tremblant. 1. OUVERTURE DE LA SÉANCE Présentation des membres du conseil d’administration par M. Steve Shaw: Bryce Liberty, Neal Rankin, Ann Chauvin, Raymond Houle, Steve Shaw, Don Badke, ÉdithEdith Dubois, Earl Kaplin. Les membres du conseil Andrew Liebmann and Annette Pankrac-Liebmann ne pouvaient pas être présents. Présentation des invités: Kevin Ratcliffe, conseiller municipal, District 1; M. Pascal de Bellefeuille, conseiller municipal, District 2; M. Hugh Scott, maire, Municipalité de LacTremblant-Nord; Mme Sandra Gagné, biologiste, Ville de Mont-Tremblant. Monsieur Steve Shaw préside l’assemblée et Mme Rachel Tardif agit à titre de secrétaire d’assemblée. 2. ADOPTION DE L'ORDRE DU JOUR Motion proposée par Mme Sylvia Orlando et appuyé par M. Kevin Reynolds et acceptée à l’unanimité. 3. ADOPTION DU PROCÈS-VERBAL DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DE L’ALT 2014 Motion pour approbation proposée par M. Philip Belec et appuyée par M. Ken Hall et acceptée à l’unanimité. 1 1 4. MOT D'INTRODUCTION M. Steve Shaw a remercié tous les membres pour leur présence à l’assemblée générale annuelle. Il a également remercié les membres du conseil d’administration pour leur travail acharné. Il a brièvement expliqué le mandat de l’ALT aux nouveaux membres présents. Il a mentionné que certains directeurs, comme Mme Ann Chauvin, ont contribué bénévolement de leur temps depuis les tout débuts. 5. RAPPORT DU TRÉSORIER ET ADOPTION DE CELUI-CI M. Don Badke, trésorier, a résumé les états financiers de l’Association en date du mois de décembre 2014 : le solde de la trésorerie se chiffrait alors à 23 158 $, comparativement à 24 512 $ en 2013. Le nombre d’abonnements payés pour l’année 2014 est de 87 versus 98 en 2013. Un sommet avait été atteint en 2009 avec un total de 153 membres. Les revenus totaux pour 2014 sont de 9 839 $, en hausse par rapport à 2013 où on enregistrait des revenus de 5 780 $. Les dépenses totales pour l’année 2014 se chiffrent à 11 193 $, en baisse relativement aux 12 929 $ de l’année 2013; en déficit de 1 354 $. Les états financiers détaillés sont disponibles pour libre consultation sur le site web de l’Association. Motion pour approbation proposée par Mme Barbara Chapman et appuyée par M. Don Murphy et acceptée à l’unanimité. 6. RATIFICATION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION ET RÉÉLECTION DU MÊME M. Shaw s’est enquis à savoir si quelqu’un voulait se joindre au conseil des administrateurs. Personne ne s’est porté volontaire. Présentation de la liste des membres du conseil. Motion pour réélire le Conseil d’administration actuel. Motion pour approbation proposée par Mme Sylvia Orlando et appuyée par M. Kevin Reynolds et acceptée à l’unanimité. 7. RÉSEAU DE SURVEILLANCE DES LACS (RSVL) M. Raymond Houle a présenté les résultats pour 2014. L’ALT effectue cette surveillance pour la 7ème année et le lac se trouve en bon état. Des copies des résultats de l’année dernière ont été distribuées. Les coûts engendrés par ce travail sont défrayés par, à la fois la Ville de Mont-Tremblant et la Municipalité de Lac-Tremblant-Nord. Il y a eu trois échantillonnages 2 1 d’eau prélevés cet été et le degré de limpidité de l’eau est vérifié à toutes les deux semaines. Ce travail est effectué sous la responsabilité de M. Houle. 8. ZONE RESTREINTE DE 300 MÈTRES – ÉTUDE DES BERGESRIVES – PROPOSITON POUR LES ZONES DE WAKE/SURF Premièrement, Mme ÉdithEdith Duboispuis s’est présentée et a discuté de ses motivations à se joindre à l’Association du Lac Tremblant (ALT). Elle avait d’ailleurs été informée des problématiques en lien avec le lac lorsqu’elle a participé au « Forum du Lac » l’an dernier où elle a pu se renseigner sur différents enjeux tels que l’eutrophisation et l’érosion du sol et des berges. L'an dernier, le Conseil a reçu comme mandant de se pencher sur la problématique reliée aux activités de wakeboard et wakesurf. sportives à bateaux légers et de la planche nautique. Ce genre d’activités contribue à l’érosion des berges et du rivage, et apporte son lot d’inconvénients aux résidents du lac (les quais qui basculent). Des photos ont été distribuées illustrant l’érosion sur le lac. En consultant plusieurs spécialistes et d’autres associations de lacs, on a pu déterminer que plus ces activités se déroulent loin du rivage, moindre est l’impact ressenti sur les berges. Une brochure résumant l’étude de l’UQAM a été distribuée et l’étude a été brièvement expliquée. Cette étude démontrait que les vagues se dissipent si les bateaux demeurent à une distance d’au moins 300 mètres du rivage. C’est suite à cette étude et à ces consultations que l’Association du Lac Tremblant a mis sur pied les trois programmes suivants, à savoir notamment : 1. L’embauche, via une subvention gouvernementale, de deux personnes pour cartographier les berges du lac et détailler la topographie du fond du lac près desdites berges. Ce travail permettra à l’ALT de suivre de près l’évolution des berges et du lit du lac au fil du temps, tout en servant de point de référence. 2. De concert avec divers intervenants dont le Centre nautique Pierre Plouffe (CNPP) et l’Association des bateaux motorisés (ABM), uUn code de courtoisie volontaire a été développé dans lequel on encourageait les adeptes de wakesurf et fortement que la pratique de toute autre activité générant de grosses vagues s’effectue plutôt dans le milieu du lac, à 300 mètres du rivage. Ce code est issu d’une coopération avec le Centre nautique Pierre Plouffe (CNPP) et l’Association des bateaux motorisés (ABM). 3. Afin d’oOffrir aux usagers du lac une meilleure compréhension des endroits où pratiquer les activités de wake/surf, et autre activité générant de grosses vagues, nautiques à grand déploiement avec une la carte de navigation a été mise à jour pour y inclureant les zones de plus de 300 mètres. Cette carte mise à jour a été distribuée et ses diverses zones dûment expliquées. Cette mesure n'empêchera en rien la navigation de plaisance, le ski nautique ou la voile. On demande plutôt que les sports et autres activités nautiques de wake et surf à vagues soient pratiqués au centre du lac afin de limiter les dommages aux berges et les désagréments pour 3 1 les riverains du Lac. Aucun autre changement n’a été apporté au Code environnemental et de courtoisie nautique. Les échanges avec les autres municipalités et associations ont démontré l’importance de conscientiser les gens et d’informer les utilisateurs du lac de l’impact qu’ont les grosses vagues. Les suivantes activités suivantes sont proposées pour la prochaine année : 1. Poursuivre avec les projets permettant de mieux comprendre ce qui peut affecter les berges, le sol et la qualité de l’eau. 2. Procéder à l’analyse, par des experts (biologistes de l’UQAM), des informations données recueillies au courant du présent été et utiliser ces données comme référence afin de suivre l’évolution de la qualité des sédimentsdu lit du lac et de l’érosion des berges. 3. Continuer à envisager des mesures afin de protéger le lac pour le bénéfice de tous les utilisateurs, incluant les plaisanciers en bateau. 4. Promouvoir Continuer l’éducation et la sensibilisation auprès de tous les utilisateurs du lac sur de ce qui peut causer des dommages à affecter la rive, le sol ou l’eau. 5. Faire la promotion de la nouvelle mesure volontaire des zones de 300 mètres pour les activités à hautes vagues (wake/surf) en mettant à la disposition des usagers mettant à la disposition des cartes de navigation et en les installant à différents endroits (comme le CNPP, PLTN, Village Pinoteau). 6. Demander au Conseil de ville de Mont-Tremblant de mettre une carte à jour sur son site web la carte où se verraient reflétées la pratique des activités de wake/surf à 300 mètres des berges. les susmentionnées zones à 300 mètres pour les activités à vagues. L’ALT requiert qu’une motion à ce sujet soit approuvée en assemblée générale afin qu’elle puisse demander au Conseil de ville de procéder à ’appliquer ces changements. MOTION PROPOSÉE Afin de protéger le rivage, l’ALT propose que la pratique des activités de wake/surf, ainsi que toute autre activité générant de grosses vagues, se fasse au milieu du Lac Tremblant, en gardant une distance de 300 mètres du rivage. Questions/Commentaires Une copie écrite de la MOTION mention proposée et du procès-verbal de l’an dernier ont été demandées. Malheureusement, il n’était pas possible de se la procurer et aucune copie n’était disponible et aucune façon de fournir de telles copies. On a toutefois précisé que cette mesure était volontaire et qu’il s’agit d’un choix personnel de voter en faveur ou contre cette motion. Ledit procès-verbal est disponible sur le site web de l’ALT. Un certain nombre de problématiques, de questions et de commentaires ont alors été soulevés. En voici un résumé : • Les plaisanciers ne suivent pas les règlements et ne respectent pas les démarcations des bouées. 4 1 • • • • • • • • • • • • Les vagues représentent une nuisance pour ceux qui sont assis sur leurs quais. Un participant a expliquédétaillé les problèmes qu’il a rencontrés à sa propriété à cause des fortes vagues. Un de ces événements a mis sa vie en danger. Il a lu une missive envoyée l’an dernier à l’ALT. La pratique du wakeboard (e la planche nautique) n’est pas compatible dans des aires confinées et l’empêche de pouvoir profiter pleinement de sa propriété. Plusieurs s’inquiètent qu’il y aura trop de bateaux au milieu du lac si e de restreindre les activités de wake/surf y sont restreintes et que ceci au milieu du lac pourrait compromettre la sécurité et la sûreté des usagers sur le lac. En période estivale, les vacances ne s’étalent que sur une période de 3 à 4 semaines et les enfants jeunes désirent s’adonner à leurs sports. S’ils convergent tous dans la même zone du lac, cela pourrait être problématique. Serait-il possible que cette zone de 300 mètres ne soit qu’un projet pilote pour cet été et de revoir cette mesure l’an prochain? Quelques-uns Plusieurs craignent que si l’on vaallait de l’avant avec une telle mesure, ça pourrait mener éventuellement à l’interdiction de bateaux de type wakeboat/wakesurf légers sportifs ou de planche nautique sur le lac. Cette mesure changerait-elle quoi que ce soit en lien avec la pratique du ski nautique? Est-ce que l’ALT installerait des bouées afin de délimiter la zone des 300 mètres? Des précisions ont été requises concernant cette mesure. En votant oui à cette motion, deviendrait-elle une règlementation municipale? Comment une telle mesure sera-it-elle appliquée? La Ville de Mont-Tremblant a-t-elle approuvé cette résolution des 300 mètres du rivage? Si ladite mesure est volontaire, alors pourquoi la soumettre à la Ville? Réponses aux questions, commentaires et enjeux soulevés • • • • • La sûreté et la sécurité des usagers du lac est de la plus haute importance. Lors de la pratique de ces activités et sports, les gens doivent faire appel à leur bon sens et à leur jugement en gardant en tête la sécurité sûreté de tous. La démarche afin d’obtenir une règlementation de la Ville a été expliquée. On a également expliqué que lLa présente mesure dont il est question, en fait, N’EST PAS n’est pas une demande de règlementation. La requête vise la mise à jour du site web de la Ville pour qu’apparaisse cette mesure volontaire et qu’elle figure dans le Code environnemental et de courtoisie nautique. Présentement, le site web de la Ville mentionne la pratique d’activités de wake/surf à grosses vagues à une distance de 100 mètres du rivage – nous voudrions que cette mentionlimite passe désormais à 300 mètres. Aucun autre changement n’a été apporté au Code. Conséquemment, la pratique du ski nautique demeure inchangée, tout en gardant à l’esprit les sections du Code qui continuent de peuvent s’y appliquer. On a expliqué que dans plusieurs autres pays, les rivières et les lacs sont beaucoup plus petits et qu’il y a beaucoup plus d’usagers qu’au Canada. Les utilisateurs cohabitent ensemble et sont très respectueux des codes et règlementations qui permettent à tous les usagers de pouvoir profiter des différents plans d’eau. Par l’entremise d’un résident du Lac, l’ALT a recueilli l’expertise d’un surfeur professionnel international qui mentionneait que, dans plusieurs autres juridictions, la pratique de ce sport s’effectue dans des couloirs linéaires plutôt que d’une manière dispersée ou aléatoire un peu partout. Cela n’entre donc pas en conflit avec les autres 5 • • • • • • • • 1 activités, le large corridor sur le Lac Tremblant fournitssant suffisamment d’espace pour tous les enthousiastes de surf nautique. Cet enjeu a beaucoup à voir avec la cohabitation harmonieuse. Le bon sens veutvoudrait que le plus loin des berges ces activités s’effectuente déroulent des berges, moindres sont les dommages causés. D’appliquer cette mesure comme étant volontaire estserait la bonne voie à suivre et le sujet pourra être rediscuté l’an prochain afin de voir s’il y a eu amélioration. L’ALT a travaillé en étroite collaboration avec le CNPP et l’ABM lors de l’élaboration de cette mesure. Aucune bouée ne sera installée pour délimiter dans l’objectif d’identifier la zone des 300 mètres et l’ALT n’a aucune intention d’en faire la demande. L’ALT recherche la collaboration de tous et appelle à la coopération de chacun des usagers du lac de pratiquer volontairement bien vouloir pratiquer les activités générant de fortes vagues (wake/surf) le plus loin possible de la rive. Elle invite les gens à garder en tête que ces petites actions aident à protéger le lac, ses berges et permettent à tous de pouvoir profiter du lac autant maintenant que dans les générations futures. Il ne s’agit pas d’un projet pilote. Cette mesure et volontaire, et comme telle, pourrait changer ou être modifiée ausi besoin était. Le but ’objectif de la proposition est de demander à ’inviter la Vville deà modifier son site web afin de refléter les changements apportés au Code. À l’heure actuelle, la Vville indiquedentifie une limite à 100 mètres des berges. Il n'y aura pas de mesures coercitives d’application formelles. Toutefois, des organisations comme le CNPP, l’ABM et le Village Pinoteau ont convenu d’informer tous leurs membres de cette mesure et de veiller à ce qu’ils s’y conforment. La Ville de Mont-Tremblant n'a pas officiellement approuvé la résolution de la zone de 300 mètres. Par contre, la suggestion d’établir une zone à partir de 300 mètres des berges pour les activités de wake/surf à grosses vagues a été apportée faite par un des biologistes de la Ville, lequel celui-là même qui a fourni l’étude de l’UQAM. Toutes les organisations présentes à la réunion étaient en faveur de cette résolution, mais la Ville n’était pas un participant. MOTION 1 L'ALT propose de demander au Conseil de Ville de Mont-Tremblant de mettre laune carte à jour sur son site web où se verraient reflétées les susmentionnées zones à 300 mètres pour les activités à vagues; et, d’qu’il adopter la suivante MOTION suivante: Afin de protéger le rivage, l’ALT propose que la pratique des activités de wake/surf, ainsi que toute autre activité générant de grosses vagues, se fasse au milieu du Lac Tremblant, en gardant une distance de 300 mètres du rivage. PROPOSITION ADOPTÉE POUR : 26 CONTRE : 18 ABSTENTIONS : 6 1 MOTION 2 L’ALT demande d’appuyer les suivantes activités suivantes proposées pour la prochaine année : 1. POURSUIVRE avec les projets permettant de mieux comprendre ce qui peut affecter les berges, le sol et la qualité de l’eau. 2. PROCÉDER à l’analyse, par des experts (biologistes de l’UQAM), des donnéesinformations recueillies au courant du présent été et utiliser ces données comme référence afin de suivre l’évolution de la qualité des sédiments du lit du lac et de l’érosion des berges. 3. CONTINUER à envisager des mesures afin de protéger le lac pour le bénéfice de tous les utilisateurs, incluant les plaisanciers en bateau. 4. CONTINUER PROMOUVOIR l’éducation et la sensibilisation auprès des tous les utilisateurs du lac sur ce qui peut affecter causer des dommages à la rive, le sol ou l’eau. 5. FAIRE LA PROMOTION de la nouvelle mesure volontaire des zones de 300 mètres pour les activités à hautes vagues (wake/surf) en mettant à la disposition des usagers des cartes de navigation et en les installant à différents endroits (comme le CNPP, PLTN, Village Pinoteau). PROPOSITION ADOPTÉE POUR : 29 CONTRE : 0 ABSTENTIONS : 9. BAIE SUD Il y a un nombre croissant d’embarcations dans la Baie Sud, et des bouées continuent à être installées. Un plan en cours propose la mise en place de 100 quais flottants. Ceci est particulièrement préoccupant. Il devrait y avoir un nombre limité de bateaux sur le lac et la Ville de Mont-Tremblant (Ville) doit assumer ses responsabilités dans cette affaire. La Ville n’a toutefois pas de juridiction. C’est le gouvernement fédéral qui règlemente la navigation alors que le gouvernement provincial régit le fond du lac. Cette problème ématique doit être réglé prise en considération et la Ville devrait assumer ses responsabilités s’immiscer dans cette question. Une des actions proposées serait que la Ville soit locataire du fond du lac. Elle serait dès lors en mesure de pouvoir limiter le nombre de bateaux dans la zone de la Baie sud. Afin de remédier à ce problème, on devra compter sur l’Aagglomération de Mont-Tremblant, c’est-à-dire comprise de la Ville de Mont-Tremblant et de la Municipalité de Lac-TremblantNord. 7 1 La suivante motion a été proposée: Que l’Association du Lac Tremblant demande à la Ville de Mont-Tremblant de régler aborde le problème de la prolifération des bateaux dans la Baie Sud, via conjointement avec le Comité des lacs et en incluant la municipalité de Lac-Tremblant-Nord. PROPOSITION ADOPTÉE À L’UNANIMITÉ 10. DIVERS Une motion a été proposée afin d’établir une zone « sans vagues » dans le secteur de la Baie des Chevreuils avant que quelqu’un ne soit grièvement blessé. Il a été convenu que cette discussion et motion seraient reportées à une date ultérieure. 11. LEVÉE DE LA SÉANCE M. Shaw a remercié tous les intervenants et les membres qui ont pris le temps afin de pouvoir assister à cette assemblée. L’ordre du jour étant épuisé, et plus personne n’ayant demandé droit de parole, la séance est levée à 18h00. 8