La Colonne da Saiiara

Transcription

La Colonne da Saiiara
ie ‘Numéro1>£5* Centimes
Cmquante-cniêine Année. — N* 362
MONITEUR
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d'adresse doivent Être accompagnée* do 60 ee^î. en timbres-poste.
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INSERTIONS
JOURNAL DES DÉPARTEMENTS DU CENTRE
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Annonces, *»• p a g e .» ,,«.«'**<•»•••••••.......................* 8 0 h l i p j .
Réclames, i®8 p*gO«.*.a.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I *
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5
~
L’Agence Hara*, 8, place de la Bourse,
i seule chargée, à Paris, de recevoir les annonces pour te Journal
ouvertc p o u r découvrir la provenance <kf
UN MARIAGE
teu re à eau, p o u r les colporteurs, les
r u t dans ces contrées. I I y a v a it une
cet en g in m ystérieux.
pes, a p r is des m esures telles que to u te
m archands ao cartes postales.
ville appelée à un bel av en ir à en ju ­
B ruxelles, 27 décembre.
h o stilité tom ba en d e v in a n t l’énergie
R éun ion illé g a le
ger p a r lo so rt de B en-O ussif d o n t la
C e m atin , à 10 heures e t demie, a ©u
d o n t nous allio n s fa ire preuve. Toutes
gare dessert F iguig. 30.000 p alm iers en­
lieu le m ariag e de M. A ndré G iron, q u i
B aint-Pétcrebourg, 27 décembre’.
les garnisons échelonnées a u long du
a v ait fu i de D resde avec la princesse
to u re n t ce centre n a issa n t ot so n t p o u r
L
a
police
a suimriß h ier soir, d ans l’é-'
cLemin de fer fu re n t renforcées, une coLouise do Saxe, et Mil© Jeaim o Braqn,
les nomades q u i ne s a u ra ie n t se passer
cole
do
K
o
rn
ilo n , région de Schlussel­
k n c , grosse p o u r le pays, fu t réu n ie à
belle-soeur do M. M aurice H ennequin,
de datte3 un p o in t obligé de réunion.
burg,
une
réunion
électorale illégale
L E
7
J A N V I E R
1 9 0 7
l’aide de tro u p es habituées à la région,
qu i a ssista it avec sa^femme a u m ariag e
M aîtres de Colomb, nous tononB donc
d’environ 600 ouvriers. On a f a it oern4r
P
a
ris
,
27
décembre.
civil
à
l’H
ôtel
do
Ville.
Le
m
ariag
e
reli­
Nous' commercerons en ftu illeton la. trè s entraînées et qui, dans la m ain
local p a r des a g en ts e t des gendarme»
les trib u s qui, si longtem ps, causèrent le
gieu x a été célébré à l’église de Sainfc- elot on
I l résu lte d ’une sta tistiq u e donnée a u
d ’un chef habile, p o u v a it p e rm ettre
a a rrê té tous les assistante q u i o n t
publication do
trouble dans ces parages. Le r a p p o r t de
Gillcs. I l a été suivi d ’un d în er de 30
m in istère de l’in té rie u r, que 71 aivohe*
d ’oser beaucoup.
été
amenés
sous escorte d ans les diffé­
la
colonne
d'occupation,
publié
dans
les
couverts, servi chez les marié3, ruo du
vêchoa e t évêchés, 73 g r a n d i sém inaires,
L E S
%
C ette colonne était* superbe, pleine
ren
ts
postes
do
police de la ville.
M onastère.
annexes ue l’in téressan te brochure édi­ 83 p e tits sém inaires, so it au to ta l 227
__________
d ’e n tra in . Chacun, fran çais, arabes ou
tée p a r un officier d’état-ma-jor : « La
établissem ents, av aien t é té évacués à . la
A journem ent d’u n e loi
légionnaires, e sp é ra it que l’on a lla it
LA SANTÉ DU SCKAH
Conférence d ’À lgésiras », d it que les
datq du 26 décembre.
S aint-P étersbourg, 27 décembre.
passer de la défensive à l’offensive. On
Téhéran, 27 décembre.
ja rd in s abondent en fruit-s et legum es î
L’Affairô T n m a z
com ptait infliger au x B crabers tu r b u - .
Le
ftouss
c ro it savoir que le Conseil
abricots, am andes, figues, grenades, ju ­
Selon los dernières nouvelles, l ’é ta t de
PAR
des
m
inistres
a décidé d -ajo u rn er la 6O7
len ts une leçon q u i lee f ît re n tre r dans
N ancy, 27 décembre.
choses à 5 heures de l’après-m idi ét«Tit lu tio n do la question
jubes, citrons, pistaches e t oranges, puis
de la nouvelle loi
)
^
silence
et
l’om
bre
p
e
n
d
a
n
t
longtem
ps,
s ta tio n n a is . Quelque te in ts a u p a ra v a n t co n cern an t lea ieraéîites
A le x a n d r e D U M A S
L’affaire T u rin az est venue dev an t le
des oignons, des pim enta, des tom ates,
ju sq u ’à la réu ­
en leu r enlevant les idées d ’a g ita tio n e t
1b souverain a v a it parlé* d ’u n e 'fa # m nordes aubergines, des courgettes, des me­ trib u n a l correctionnel do N ancy. L’énion
do
la
D
oum
a
à
laquelle
il soum et­
de guerre comm erciale qu ils m anifes­
iTvakv
~________
vôque, entou ré de nom breux ecclésiastir
N ous n'avons pas à fa ire l tioge des
t r a les docum ents re la tifs à cette ques­
lons
d
’eau
et
des
navets.^
ques, s’est p résenté au p ré to ire devant
tio n . L a D oum a d isc u te ra it le p ro je t e t
T ro is M ousquetaires. C ’est V ctitv-re lo­ ta ie n t depuis p lu sieu rs mois.
P o u r ceux q u i o n t f a it colonne sur
une aallo comble. In te rro g é, le p r é la t
M ais à peine fu t-il acquis que le gé­ les H a u ts P la te a u x Colomb-Bcchar, c’est
é la b o re ra it une loi.
p in s vivante et la jdus populaire d u
s’est borné à rap p e le r les fa its de la
r e r a i L yautey a lla it p én étrer dans les
le
p
a
ra
d
is
terrestre.
cause. I l e’cet défendu d ’avoir _ voulu
y r a n d conteur. Ceux o u i l ont lu, i o t a
oasis su r lesquelles le su lta n du M aroc
Les Intentions d’EI Gucbbas
C’est ce q u ’il a p p a r a ît a u x tro u p es
exercer des violences su r Je b rig a d ie r
de longues années, seront heureux de re- n’exercc Aucune a u to rité , môme nom i­
T anger, 27 décembre.
q u i reviennent de nos postes lo in tain s
de gendarm erie Meyer. I l d i t être in te r­
tire ce ton:an extraordinaire, reste le
nale, et la g ran d e vaillance des B era­
venu p o u r em pêcher que l’on f ra p p â t
s u r la ro u te do T o u at Boni Abbés, Ig li
L
a
p
lu
ie
est
tombée
to u te la n u it et
te r s s’a p aisa. Les tigres sc firent m ou­
p .odile des recits^de cape et d epée. Ceux
des
femmo
3
.
Treize
tém
oins
Ont
été
en
­
a
détrem
pé
le
cam
p
de
GucLbas.
Cc m a­
ou Tagb.it.
P a ris , 27 décembre*
o u i ilc l'ont pas lu seront ravis de le con­ tons. Iis e sp éraien t d’a ille u rs quo lea
tendus ensuite. Lo p ré sid en t a f a it re­ tin , p a r les sentiers boueux e t sous la.
A r douin-B um aze t.
tro u p e s rassemblées à grands fra is al­
m arquer à l’évêque que sa d éclaratio n
pluie, la p lu s gran d e p a rtie de la Menaître^ et pourront se convaincre au il
LES CO ULO i RS
é ta it en co n trad ictio n aveo les téiuoigna- L a lla s ’est tra n sp o rtée su r le p la tea u
la
ie
n
t
se
disperser.
M
ais
la
colonne
res­
id a point usurpe sa renommée légendaire.
ges et même, s u r certain s points, avec
M . Combe«, p a r onze voix contro 7 à
te dans la contrée, jacs détachem ents
de M arsh an, au-aessus de T anger, eans
sa prem ière déposition.
Mj Fessard, a été élu membre de la com­
tra v e rse r la ville. E lle occupera des
b a tte n t le pays en tous cens, le sTionM. Turina.z a alors invoqué sa m au :
m ission tic sép aratio n cn rem placem ent
abri« couverts à m oins do m ille m ètres
rc-nt, en achèvent la connaissance qui
vaieo
vue
e
t
la
confusion
reg
rettab
le
qu
i
dö
M. A lasse ur.
du
fil
Sokko.
E
l
GueÜbas
reçoit
journe}Icé ta it f o rt vague, dressent la carte, élu ­
ß’est p ro d u ite d ans son esp rit. Le subs­ m ont des renforts. L a situ a tio n est cliaL ’E s c r e l c e t l a Ç .'tîli©
d e n t les ressources en vivres et en eau.
t i t u t du p ro cu reu r do la République,
d
j B ref, les velléités de su rp rises tra ître sM. M aréchal, reco n n aissan t quo l’affai­
j scs ont le tem ps de e’émousser. Q uand
re est des p lu s banales, f a it resso rtir
----- , _
pas 1 -----------------Clermont, le 2S décembre 1900.
quo' le d é lit tie n t son im portance de la •extrém ité p a r R ais ou li lui-même. G-ucbJe«- troupes seront enfin disloquées, las
7— i. - ~— "7—
#
• .......; 1—— ^
--11e r Je p ro je t ü u a n d su r i ‘c^creicc# du
«personnalité du prévenu. Il réclam e
T ous n ’ignorez pas, sans doute, quo E erabers tro u v e ro n t d ’ailleu rs des pos­
bau pensq c a p tu re r le pacha do Faim
culte. La- commission a donné audience
1 l’ap p lic a tio n do la loi, e’en ra p p o rta n t
que G outienrirait ‘u niquem ent Moliam-J
Î EglioO est persécutée, fci vous l’igno- tes renforcés e t ils a u ro n t fini p a r com­
«à M. B rian d . Le m iç.istre des cultes a«
p
o
u
r
le
su
rp
lu
s
à
la
prudence
du
t
r
i
­
med
el
Torres,
son
cüérilf.
C
n
s’a
tte
n
­
rie /, p a r h asard, cela p ro u v e ra it sim ple­ p re n d re combien il nous est facile d ’aCOHSEiL DES MINISTRES
présenté
dc-3 observations générales te n ­
bunal.
.
d
a
it
à
cc
que
le
Maghzcn
d
e
stitu
â
t
le
m en t que vous ne lisez jam ais les^ jo u r­ n-.ener des renfort?, m ain te n a n t q u 'u n
P a ris , 27 décembre,
d
a
n
t
à
cc
que le p ro je t de réglem entation
M® F e rro n s, oui défend M. T urinaz,
pach a de l ’a lis ; c’é ta it le p rem ier acte
n a u x cléricaux. D ans ce cas, et si vous chemin do fer a tte in t un pays ja d is con­
du culte «oit ad o p té sans m odification
m inistres ob sous-sccrét-aires d ’E ta t •tout en reconnaissant la m a té ria lité dca d ’a u to rité s u r lequel co m p tait le corps
miuîoz être convaincu que lit persécution sid éré comme inaccessible.
c i dans lo plus bref délai possible.
«a. nt/» ainitr.
so sont réunis ce martin H; l’Elysée, sous d’ailfl, affirm e que son clien t n 'a ïUifc mrdnmntinnf» Gr>ffr>
an tire lig ieu se bat son plein, lisez, s il
N ous avons mis longtem ps à nous im ­
M. Gui Hier «..présenté des observations
• q u ’obéir à un sentim ent trè s 1ou.aide do
la présidence de M. Fallicrcs.
su r l ’clfet ré tro a c tif de la loi. Cet effet
vous p la ît, le compte rendu de 1*au d ien ­ p la n te r dans ces régions dont l’oçcupala
p
a
r
t
ddun
homme
q
u
i
no
s
a
u
r
a
it
vqir
L a S uppression des Conseils
g u e rre frapper, ïes'Tfurdbles ©t les faibles. A pres
lu i p a r a it inadm issible a u p o in t de vue
ce tenue h ier p a r lo trib u n a l correction­ . ion plus ra p id e eut évité à la F ran ce
nat. Ila iso u îi n ’a p as q u itté Z in a i un
M.
Cheron,
eous-sccrétairc
d
’E
t
a
t à la une demi-l:.Qurc de délibération, le t r i ­ seul jo u r depuis longtcrûps.
ju rid iq u e.
nel de Nancy. Les juges a v a ie n t un client bien des embûches. Vers 1873 ou 1ST! le
guerre, a f a it connaître les grandes li­ b u n al ren d un jugem ent longuem ent
M. Chevalier dépose e t défend un
M arab o u t de K enadsn, véritable s u lta n
p eu o rd in a ire : révoque lui-même, M.
gues du p ro je t q u ’il a élaboré, d ’accord m otivé qui condam ne M. T u rin az à 50
La Situation de la Mehalla
^amendement
ain si conçu : « L a déclara»
'L'urinaz. fci vous ignorez la « persécu­ de cette p a r tie du désert quo les B era­
avec M. le général F ic q u a rt, e t qui a fran cs d ’amende.
Ak>r p ro scrite p a r l ’a rtic le 25 de la loi d u
.
T
anger,
27
décembre,
1
h.
25
soir.
tio n », vous n ’ignorez certainem ent pas te r s o p p rim en t, v in t en A lgérie p o u r
p o u r b u t la suppression ties conseils de
9 décembre 1905 co n tin u era à être de r i­
A la sortie, quelques cris de « Vive
T oute la m ehalla est m a in ten a n t sur
que M. T u rin az se d istin g u a, des long­ n o u s offrir ou à peu près le p ro te c to ra t I guerre. Le p ro je t diffère trè s eeusibîcM onseigneur ! » o n t été poussés. L'évê­ le p la te a u do M arshall avec Guebbas.
gueur p o u r toutes les ré unions se te n a n t
tem ps, p a rm i nos prélats, comme 1 un de son pays. J ’étais alo rs arch iv iste au
dans d 'au tre» édifices que ce lu i affecté a u
que est re n tré en v o itu re à son dom i­ ‘ U ne p o rtio n des tro u p es a été détachée
dos p lu s fougueux et des plus colériques. b u reau arabe de Tlcmcen et je fus mis
culte p a r la d ite loi. P o u r les réu n io n s te­
cile devant loque! un fo rt b a r r a g e d ’a­ .'joour occ-upcr ' un vieux fo rt p o rtu g a is
au p rès do ce p u issa n t personnage com­
nues dans ce d ern ier edifice, la déclara­
11 é ta it accusé d ’avoir, lors de son ex p u l­
gents a v a it été form é.
;
s
u
r
la
plage
à
tro
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Kilomètres
à
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’Eîjt
m
is
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a
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de«
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tio
n ne sera p lu s exigée‘Ju sq u 'à la désaf­
me
k
h
a
d
ja
ou
secretaire
français.
Mes
sion de I évêché, « exercé dco violences »
de la ville. Guebbas déclare q u ’il va
Les Incidents d’Avignon
yuaticiqUcs des trib u n a u x de d ro it com­
fectation.
»
cu r u n -b rig ad ier de gendarm erie. Il s’est souvenirs s u r son voyage sont donc bien
a lle r v ite p o u r opefer contre Ilaisouîi
m un. Toutefois, les pénalités ap p lica­
C
et
am
endem
ent a été re je té p a r 11
Av
i
g
n
o
n,
27sU
écemb
re.
d ’aiileuTS défendu cio cette accusation... nets. No l'a i-je pas accom pagné oa-ns la
ftu ’il com pte ré d u ire a v a n t tro is semai- ■
bles «aux m ilita ire s seraien t plus élevées
voix
co
n
tre
5.
M.
B ria n d a déclaré ce­
Lç
p
a
rq
u
e
t
do
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r
a
s
c
o
n
est
a
rriv
é
ce
:
nc«j
e n inv o q u an t sa m auvaise vue. M. Tu- prem ière étape qu’il dem anda à un ca r­ et l’in fra c tio n à la discipline s e ra it sou­
p
en
d
an
t
qu’il
so
u
tien
d rait volontiers 1q>
rin a z est myope — à m oins ou il ne soit rosse acheté chez nous ci qu’il em m ena
Coups do feu
mis© à l’a p p ré c ia tio n dos conseils do dis­ ■m utin à B arbefltane et s’est in sta llé ii
p
ro
je
t
actuellem
ent
soumis
à la Chambre*
presbyte. Il a affirmé, à l’audience, être au désert, à la g ran d e stu p éfactio n de
cipline. Los m in istres ab o rd ero n t lu n d i la m airie. D eux com pagnies cl in fa n te ­
e
t
te
n
d
a
n
t
à
su
p
p
rim
er
toute
d éclaratio n '
Tanger,
27
décembre,
1
h.
50.
rie, deux escadrons cle fiiissSTds et p u is
p ro ch ain Fctude do co p ro jet.
in terv en u p o u r empêcher que Ton f r a p ­ scs zélateurs !
p o u r les réunions religieuses comme
U n p q rte placé p a r E l Guebbas près
do 60 gendarm es a ssu ra ie n t le 6 ervi.ee
J ’ignore si ce m arabout est encore v i­
p â t des femmes. Le sentim ent é ta it, h
p o u r les autres.
M . A lap etite nom m é ré s id e n t à T u n is
d ’ordre. I l a été procédé à sept a rres­ do la v illa do M. H a rris , à l’E st de
MAI. T hésard et de Las Cases o n t en ­
coup sûr, louable, c-t i excuse, a la. r i ­ vant, en tous cas le m arab o u t actuel est
Tanger, su r la plage, près de la m onta­
Le Conseil a approuvé la nom ination ta tio n s de personnes compromises lors
core présonlé des observations p o r ta n t
g u eur, p o u v a it s'adm ettre1. Nos lecteurs resté fidèle à sa p o litiq u e ; il n ’a pas
de M. A lupetifc, p ré fe t du Rhône, comme des incident« du l<i décembre. Cc sont gne des A n d jfras, a échangé des coups
sav en t que nous n uvcr.s jam ais voulu cessé de nous dem ander 1’occupation du
résid en t général do F ranco à Tunis.
cto fou avec les m ontagnards. Des ren ­ su r des p o in ts de d é ta il ; p u is M. M axi­
les nommés L ouis B ruyère, 30 a n s ; i au l
me Le comte a été chargé de rédiger au .
fo rts o n t été envoyés s u r ce p ein t.
la m ort du pécheur — même si le pécheur m assif m ontagneux do Bécliar qui do­ CVcle n om ination va donner lieu à un G rau ier, 23 a n s ; Ilaofll R ocher; A rth u r
nom de la commission un ra p p o rt favo­
m
ouvem
ent
im
p
o
rta
n
t
a
d
ln
in
is
tra
tif
qui
Les
coups
do
fusil
entendus
p
rès
de
Cur«, 32 a n s; A ntoine L a’îlbcrt, 13 a n s;
est évêque. L a cause en cllc-mêai© é ta it m ine la région dont il est le chef à la
rable au p ro je t du gouvernem ent. M.
sera p u b lié 'd a n s le co u ra n t du m ois p ro ­ L ouis B ertran d , 17 & ns;Louifj G u irau d ,
la v illa de M. H a rris é ta ie n t des si­
donc des plus banales, comme l ’a fo rt fois civil e t religieux. M ais si nous
M axim e Leteomi© a rédigé im m édiate­
17 ans. Ü 3 o n t tous été appelés comnTo g n a u x échangés en tre les postes chérihlr-n observé le su b stitu t d u P ro c u re u r de avons tro p longtem ps hésité, il f a u t re­ chain,
m ent son ra p p o rt e t l ’a soum is à l'a p ­
tém oins ot m aintenus en c’t a t d’arres- liens. L a m ehalla a établi son q u a rtie r
la R épublique. E t c’cst précisém ent cette co n n aître que, uno fois engagés, nous
p ro b atio n de l'a coinmibsion.
ROUVEMENT ADHINISTRATIF
général
«
à
la
v
illa
H
a
rris
.
E
l
Guebbaß
. ta lio n .
o b servation du m in istère public qu il avons poussé d ro it au but. Le Tou&t et
On les a .e m b a rq u é s^ su ^ d .e ^ Jo u jg o n s
est p a r ti p o u r inspecter le camp. I l
P
a
ris
,
27
décembre.
n ous convient de souligner. Les jo u rn a u x le G o u ra ra occupés, la jonction avec
d
o it ctro rendu 6 u r lo p la te a u de M ar».
-d’a
rtille
rie
q
u
i
o
n
t
été
difigCs
s
u
r
TaA insi q u ’on l’a annoncé, o’e st M. Lùc léricau x ne su co n ten ten t pas d a iu r- le Soudan assurées, la longue ligne de
rascon.
Les
voitures
é
taien
t
escortées
shan
à 4 heures.
ta u d , p ré fe t de la G ironde, q u i r e in ^ a m er chaque jo u r que l’Eglise est persé­ l ’Oued Zousfc.ua devenue p a r ses p oints
p
a
r
deux
gendarm
es.
Au
m
om
ent
de
leur
L a séance est ouverte à 3 h. 40,. sous la
Une Lettre du Sultan
cera à la p réfectu re du Bhôno M. Àlad ép art, la foule est devenue houleuse
cutée. E s a jo u te n t que, p o u r persécuter d ’eau une ro u te régulière fortem ent te ­ p etite,
présidence
de M . A n to n in Dübosl.
T anger, 27 décembre.
e t a été difficilem ent m aintenue. D ivers
l ’Eglise, le G ouvernem ent, l ’infâm e G ou­ nue, telle est l’œuvre commencée qiii,
M. D u rcau lt, p ré fe t du Pos-de-Qalais,
Vote do divers projets
cris o n t etc pousses e t des branches de
On assure qu’on l i r a d em ain à la
vernem ent rép u b licain , « fa it m archer » depuis 1900, s’est poursuivie.
p assera à la p réfectu re de la G ironde
la
u
rie
r
o
n
t
été
jetées
vers
les
prisonMbçquéc
ûfte
le
ttre
du
S
u
ltan
,
à
Gueb­
N ous avons pu la m ener teb ien , grâce
non seulem ent ses p réfets e t scs sous-preLe S én at vote un p rq je t a u to ris a n t lae t il sera rem placé à A rrâ s p a r M. Gréniers, T*cs fôiuiûps on t cli&nts ücb csn tij
bas, d e stitu a n t R aiséü ii 1 de son t i t r e
ville do P a ris à changer l ’affectation d o
fets, m ais scs m a g istrals assis ou de­ à ce chemin de fer d u Sud-O r an ai s qui p ont, p ré fe t du L oiret.
de pacha.
fonds d’em p ru n t.
j
M. N époty, ancien cher du s e c ré ta ria t ques? Le comte T e rray , m aire, a exhorte
re n d it de &i g ran d s services lors de
bout. Or, voici un m a g istra t debout, un
la
foule
au
calme.
L
a
comtesse,
à
la
A
près
un
échange
d’observations
entre'
p
a
rtic
u
lie
r
du
P
ré
sid
e
n
t
du
Conseil,
est
A
rrestation
d'un
Portugais
su b stitu t, qui, a y an t un évêque à se m et­ l’in su rrectio n de Bou A m am a et qui a
tê te des femmes m anifestantes, a fo r­
M i l . de Carné et S a vo ry, lo S én a t vote
t r e sous la dent — et ce n ’est p as tous été peu à peu poussé jusque dans les nommé sous-préfet cl’E p e rn ay , en rem ­ mé un cortège q u i ß’cßt ren d u à 1 église.
T anger, 27 décembre.
en p rem ière délibération, cn cn m odi­
p
la
c
e
m
e
n
t
de
M.
V
a
illan
t,
décédé.
oasis populeuses et riches du K enadza.
les jours, même en ces tem ps troublés,
Des m iliciens de Ben-M ansour o n t a r ­ fia n t le titre , la p roposition de M. Bon-^
Lo Chanoine Fralou
I l no pénètre pas encore dans le K sa r
que pp.reil!o aubaine échoit à u n mem­
rêté h ie r soir un su jet p o rtu g a is à la
nefey-Sibour co m plétant l’a rtic le 23 dôj
Le M ans, 27 décembre.
LÉGION D’HONNEUR
su ite d ’une querelle avec un Espagnol.
b re du p a rq u e t — se contente do récla­ c a p itale, m algré le d ésir du m arabout
la loi d u 18 a o û t 1871 su r les conseils gé-^
Le
P
o
rtu
g
a
is
a
rrê
té
f
u
t
b
ru
ta
lisé
e
t
Le
chanoine
P
ra
lo
u
,
curé
de
Baintnépaux.
_ i
m er l’a p p licatio n de la loi, s’en rem et­ que ses fidèles c o n tre c a rre n t dans ces
P a r is , 27 décembre.
co n d u it à la légation de P o rtu g a l; m ais
Benoît, a été p o u rsu iv i a u jo u ra hui,
Lo
S
é
n
at
vote
encore
une
proposition*'ta n t, p o u r le su rp lu s, à la pru d en ce du vœux. C ette ligne qui p a r t d’Arzew, ait
P lu sieu rs 'm inistres o n t soumis au
les conditions a r b i t r a i r e dans lesquel­ de M. M illics-L acroix m odifiant les a r-]
o u r avoir o u trag é, le 17 décembre, le
trib u n a l. E t la p rudence du trib u n a l se bord de la M éditerranée, et croise à
Coneeil des m in istres leu rs pronositiem s pcom
les cette a rre s ta tio n a été opérée p ro u ­
m
issaire
qui
lu
i
d
ressait
une
co
n
tra­
ticles 58 à 62 do la loi de 1871 su r les;
t r a d u it p a r une am ende de 50 fr. infligée î ’e rré g au x la voie m aîtresse d ’A lger àr p o u r la Légion d’honneur a 1 occasion
vent que la présence de la colonne chc- conseils généraux (budgets départem en-j
vention
à
l
’issue
do
la
messe%
S’adresà l ’évêque. E t voici, d ’a u tre p a r t, u n cha­ O ran, est à voie é tro ite ; elle suffit ce­ du nouvel An. Cce p ropositions vont ßant «au com m issaire, le cu ré a d it : rifieune n ’a pas- modifié la situation*
ta u x ).
J
n o in e d u M ans, p o u rsu iv i p o u r avoir p e n d a n t a u x tra n s p o rts des ra v ita ille ­ être envoyées à la C hancellerie do la L é­ « V raim ent, e ’est h o n teu x ! N ous somA
la
dem
ande
do
M.
V
alli,
la
séance
Autre Incident
o u tra g é le com m issaire qui lu i d ressait m ents p o u r des postes e t des colonnes g io n d ’honneur.
est suspendue à 4 heures.
D ana co nom bro sont les prom otions jnes ici une poignée de catholique«. On
line contravention à l’issue do la messe. d’un effectif restrein t.
M adrid, 27 décembre^
L a •sconce est rep rise «à 5 h . 25.
v
eu
t
nous
empocher
de
p
rie
r.
Veut-on
L e chanoine déclare que scs outrages yiL a voie ferrée d ’un parcours« de plus , des m inistères de l’intérieur,- de. la giisr- noua exasp érer e t nous fa ire descendre
On
télég
rap
h
ie
de
M
ellila
q
u
’un
in
ci­
.To e t do la m arine.
La Séparation
dans la ruo avec des fusils % » Le cha­ d en t s’est p ro d u it en face de Alhucema,
e a ie n t les événements e t non le magis* do 165 lieues, a peu à peu déplacé leM . M a xim e Lccomtc dépose son r a p ­
noine déclara, le eoir même, au commis­ d ans les eaux te rrito ria le s, e n tre un bat r a t — e t il est acquitté. V oici enfin le c e n tre de n otre a c tio n ; longtem ps arrep o rt que vient d ’a p p ro u v er la commis­
saire et au p ro c u re u r que ces paroles
EN MAURITANIE
ta u de contrebande anglais, Le lltcarâo,
cu ré de la cath éd rale do S aint-D ié p o u r­ tére à Aïn-*So!fra où elle a f a i t n a ître une
sion de sép aratio n . L a lecture im m édiate
v isaien t les événements et non le m a­ une barque montée p a r des indigènes
su iv i p o u r avoir outragé, lu i aussi, lo
p e tite v ille devenue siège c en tral d u
P a ris , 27 décembre.
est ordonnée. De fréquentes in te r r u p t
g
is
tr
a
t
h
q
u
i
il
p
a
rla
it.
Le
trib
u
n
a
l
cor­
<jui a id a ie n t à un chargem ent d’œufs et
com m issaire de .police lors de l’érvacua- com m andem ent et q u i semble une cité
Le m inistère des colonies comm unique rectio n n el «a acq u itté le cure P ralo u .
tio n s de la d ro ite oouvrent la lecture
'
une
barque
envoyée
p
a
r
les
au
to
rités
estic n do l’évêclié : il est condam né à 100 des M ille et une N u its p o u r qui v ien t
la note suivante■:
fa ite p a r M. M axim e Lecomt© qui cons­
f
pagnoles
p
o
u
r
em
pêcher
la
frau
d
e.
Lo
ba­
« Le com m andant A rnoud est p a r v o
Le Curé do Saint-Dié
fran cs d’am ende, m ais avec sursis. Nous des solitudes de l’E xtrêm e-Sud, elle a
ta te 1 union des catholiques fra n ça is aveo
teau
espagnol
f
u
t
reçu
p
a
r
des
m
ena­
nu, lo 8 décembre, à la tSto do sa colon­
p rio n s nos lecteurs de no p as se m épren­ a tte in t D jenien Bou Rezg e t en fit notre
Rome, e t estim e que le p ap e vo u lait, par!
Saint-D ié, 27 décembre.
ces. Le Ricardo e u t le tem ps de lever
ne,
& itis a . Co p o in t se tro u v e à h u it
des décisions injustifiées, provoquer un©
d re su r la penséo q u i nous guide quan d avan t-p o ste; celui-ci se tra n s p o rta en­
l
’ancre.
L
a
même
n
u
it
on
t
i
r
a
p
lu
sie
u
rs
Lé curé de la cath éd rale qui, lo 19
jo u rs do fortes étapes do N ioro e t h sept
persécution violent©. I l term in e en dé­
jicus com m entons ces m enus incidents.
coups
de
feu
sur
la
ville.
Les
a
u
to
rité
s
su ite à D uvcyrier àr l’ouest du fam eux
jo u rs do m arche de Tidji-K idjy.. Lc_ com­ décembre, a v a it d it au com m issaire do
c
la ra n t que la loi sau v eg ard era le lib re
espagnoles o n t exigé l’expulsion des in ­
N ous n ’avons nullem ent le dessein d ’in ­ kßour do F ig u ig . A ctuellem ent le te rm i­ m a n d a n t A rnoud p re n d ses dispositions
police chargé d u service^ d ’o rd re lors
exercice
du culte ©t en d o n n a n t l’avis
digènes
q
u
i
av
aien
t
favorisé
la
fraude,
crim in er la m odération des m a g istrats nus est plus à l’ouest encore, à la fro n ­ p o u r y in stalle" un poste. I l annonce de l’évacuation de l’évêché : « Quelle
émis
p
a
r
M. Combes que le p ro je t d o it
p
lu
s
l’a
rre
sta
tio
n
et
la
rem
ise
des
cou­
besogne vous faites ! » a été condam né
que, to u t a u co n traire, nous approuvons tiè re même do ce T afilalet q u i devien­ qu’une fractio n im p o rtan te do la trib u
être voté sans m odification.
pables.
L
’in
cid
en
t
s’est
a
in
si
term
iné.
volontiers. M ais nous avons bien le d ro it d ra, m algré que nous en ayons, une a u ­ des E l-Sidi-M ahm oud a f a it ea soum is­ à 100 fran cs d’am ende avec sursis p a t
L a discussion du p ro je t de loi est fixée?
L a conduite des au to rité s espagnoles a
sion ; elle a rem is des arm es e t des otage» le trib u n a l correctionnel.
’d e d ire que si l’E glic é ta it v ra im e n t t r e p a rtie de n otre domaine.
à
dem ain.
été trè s louée.
qui ont été envoyés à Knycs. II en a été
persécutée* les choses sc p asseraien t au ­
P o u r qui n ’envisage que nos cartes
do mémo p o u r u n p a r ti de Souakcrs. U n
Le Rachat de TOviest
UN PRÊTRE IGHOBLE
où les to rre n ts e t leurs vallées donnent convoi
tre m e n t.
cîô
rav
ita
illem
en
t
est
ch
roulo
M. B ie n donne lecturo d ’uno déclar.1 T h. M ourgue.
^ ’illusion de rivières, on no s’explique
p o u r Blisa.- »
A tten tats à Ja pudeur
•
iio
n do la Gaucho radicale-socialiste ex­
Jg hère comment Béehar a été choisi su r
^
n
p
r
im
a n t le vœu que lo p ro je t de .rach at
P
a
ris
,
27
décembre.
^un cours d’eau dont le p arcours à su i­
C A U S E R IE M I L IT A IR E
A F am b assa d e d e P aris
Ce l’Ouest soit discuté a v a n t le 31 déocniD u T e m p s:
vre allonge fo rt le chemin vers les grands
hre.
S aint-P étcrebourg, 27 décembre.
« L’abbé Gougct, cu ré do Saintc-Ço;
oasis du T ouat, nos possessions nouvelles,
L a séance est levée à 5 h. 40.
Llomba, âgé do 54 ans, v ien t d e tre a rrê te
Lo lie u te n a n t Pogoulaief, aide de
alors qu’un a u tre fleuve
l’oued N a c
Séance dem ain à 2 heures.
Le roulement
♦Sous l’in cu lp atio n d’a tte n ta t a la pu- tî&mp du m in istre do la m arine, est nomr meus, offre une voie directe. O’est que
Æour sur des fillettes do d ix ans auxquel­ üné attach é naval do l ’am bassade do R us­
P a r i 3 , 27 décembre.
ce fleuve est sa n s eau e t n ’offro aucune
PETITES NOUVELLES
sie à P a ris.
Lo Conseil m u n icip al do B a ris a énn& les il fa is a it lo catéchisme. »
/ J ’a i eous les yeux la le ttre d ’un offi­ ♦ressource alo rs que l ’oued Z ousfana et
u
n
vœu
favorablo
au
repos
p
a
r
roulem
ent
P a ris , 27 décembre.
Un ex p lo sif bizarre
l’oued G u ir sont do véritables cours
cie r de la colonne organisée dans l’cxLA NEIGE
accordé au x m agasins de cbaueaurcs eti
x Do Châlons-sur-M arne : Lo Conseil
trêm e-sud o ra n a is p o u r s’opposer à l’in ­ d ’eau, peuplés de poissons, co qui in d i­
de chapellerie q u i em ploient plu sieu rs
Varsovie, 27 décembre.
P e rp ig n a n , 27 décembre*.
■de guerre du 6 e corps a condam né le sol­
que leu r péren n ité. C’est pourq u o i on
v a sio n des hordes arabes d o n t on nous
employés. Le repos du dim anche m idi
U n p aysan a y a n t tro u v é une boîte do d a t Richjrt, du 155e, à cinq ans de réclu­
L a neige, tombée avec abondance dans
n ’a pas c ra in t de fa ire cc détour qui
a u lu n d i m idi, au x Sociétés do chaussu­
m enaçait. L ’a u te u r ne s e ra it p a s um
cuivre
dans de l’e n g rais p ro v e n an t do sion p o u r te n ta tiv e de viol 6 u r uno fil-*
a v a it en o u tre l’avantage de nous don­ res e t do chapellerie a y a n t des gérances lo départem ent, a occasionné des m orts
so ld a t fran çais s’il n ’é ta it u n b rin
Varsovio em p o rta sa tro u v a ille d ans le lette de 4 ans.
e
t
des
écroulem
ents
do
m
aisons.
Le
v
il­
un a u tre jo u r que lo dim anche, p a r
village do K laudyne,#où il la v en d it à
m a r r i do n ’avoir pu fa ire p a rle r la pou­ n er la possession du djebel B éehar, ré­ et
x Do B rest : E n raison de brim ade»
roulem
ent, au x employés des p e tits bi­ lage do Soîan, d ans l’arrondissem ent do un m arch an d ju if qu i v o u lu t l’ouvrir.
gion
où
les
p
illa
rd
s
s’abritaient.'
sous
la
dre. M ais il est ém erveillé que l’on a it
P rades, a été en tièrem en t d é tru it. Le bé­
jo
u
tiers
e
t
p
e
tits
horlogers,
a
u
x
m
ar­
exercées
récem m ent su r des élèves de la
protection de fictions diplom atiques a t­ chands de p arap lu ies, à des lavoirs, a u x
ta il a p éri. Les. h a b ita n ts eo sont ré fu ­ Im m édiatem ent se p ro d u is it une explo­ d ern ière prom otion, lo p ré fe t m aritim ©
obtenu la pacification du T afilalet sans
sion
épouvantable
q
u
i
le
d
écap
ita
net.
trib u a n t ce pays au M aroc.
av o ir besoin de reco u rir aux moyenà
en trep ren eu rs de tra n sp o rts, de l ’a li­ giés dans un village voisin. D ans lo h a u t
a décidé que les élèves du Borda ne p a r­
L a tête d u m arch an d ro u la au x pieds du
C’est
en
1903
que
f
u
t
créé
le
poste
do
m entation, dca H alles et a u x blanchis­ arrondissem ent do P rades, les com m uni­ paysan, un e n fa n t f u t égalem ent tu é p a r
extrêm es.
tir a ie n t en vacances que lo 28 décembre»
series. Les avis défavorables sont émis cations sont in terro m p u es e t les vivres
au lieu du 24, d ate à laquelle le congé d9r
i l y eû t là, en effet, une action victo­ T ag d a au B éehar auquel on a donné le
l’explosion et i la m aison fu t presque
m anquent. 300 o u v rie rs tra v a ille n t ,au
o u r les m aisons d ’optique, do sellerie,
nom
de
Colomb,
celui
du
général
qui,
v a it commence?rie u se sans quo le sang fû t rép an d u . Le
com
plètem
ent
d
é
t
r
u
i
t
e
U
ne
enquête
est
déblaiem ent*. lia rnachcm ent, lee fab rican t? do compgénéral Ljgautçy^ com m andant d e s tro u ­ des p r e m i e r s , i l g a trente-cinq an?, p a ­
8=
m
FEUI L L ET ONS
sroismousquetaires
va BÆ a r o c
Au L u x e m b o u rg
LU
TIQUE
DU « -MOITEUR DU PUY-DE-DOME »
Dépêches Tels
I
LA SÉANCE DU SÉNAT
EN RUSSIE
La Colonne da Saiiara
LE REPOS HEBDOMADAIRE
,
yiy Mg*»-»**-:
►
Trésorier : M. Louis Péronnet, principal
D ’a u tre p a r t, tro is douzaines d ’a ­ eler, voyez donc si, d ans l a salle des Pasclerc
d’a voué.
P
erd
u
s,
il
n
’y
a
u
r
a
it
pas
un
avocat
louettes e t d eu x bécasses av aien t été
Secrétaire : M. Lnrrîgaldic-Gauthier, an*
p o u r...
p a r Sansoloys à M. _B ertra n d ,
cicn avoué.
Choix considérable de Fantaisies ponr vendues
M. M andonnct a co m p ris; il se p ré ­
p ro p rié ta ire de l’hôtel Term inus. I n u ­
Membres honoraires assesseurs : MM. BonEtrennes , Modèles nouveaux • — P rix de tile de d ire que dès que co d ern ier eu t c ip ite dans la salle des P as-P crdu3 et neton,Germains
père,Fournier Antoine, doc­
fabrique •
______________
teur Ucnton, Bouchon-Couriol, P arrain Mi­
tro is m inutes ap rès rev ien t avec un
a p p ris la provenance du gibier à lu i
céaé p a r Sansoloys, il re to u rn a les vo­ avoué, M# Pcrceau, qui s’in sta lle aus­ chel, Bodrel, Bouhot, üourduge, Gilles Mi­
lie Cadeau de l ’année
chel.
sitô t à la gauche du P résid en t.
latiles à son collègue du. Gastronom e.
Membres actifs assesseurs : MAL BonneE
t
l’audienee
commence
p
a
r
une
série
P a r is , 2 8 décem bre, 2 h . m*
M.
B
e
rtra
n
d
se
trouve
donc,
lu
i
aussi,
Tous les cadeaux sont adm is à la 'c o n ­
foy,
Tantôt, Ju il lard.
de délits de pêche. Les prévenus so n t
d itio n qu’ils fassen t p la is ir ; aussi un être victim e des gâte-sauces.
Y
oici
les
nouvelles
adhésions
de
Comi­
L a d irectio n en a été confiée, à l’u n a­
condam nés à une am ende avec c o n tra in ­
EN RUSSIE
Son com pagnon d’in fo rtu n e, M. Jo al,
g ra n d nom bre de personnes ont-elles jeté
tés républicains p o u r la m an ifestatio n
nim ité, à M. M anu by, qui, depuis de
te p a r corps.
dont le débit a reçu la visite de Desisle
u
r
dévolu,
cette
année,
s
u
r
l
’exquise
et
p o litiq u e organisée en l ’h o n n eu r de M.
nombreuses année«, s’est dévoué .à la
s a lu ta ire L iq u eu r « Le P a u v re Hom m e », sert, Ohigros et feanßoloys a été, h ier
JjO. nouvelle circulaire d u garde des
Nouvelle bombe. — Nombreux blessés
Guyot-Dessaignc ;
Société
et l’a conduite à de nom breux
m
atin,
le
plus
étonné
des
hommes
en
q u i se vend en litres, dem i-litres et fla­
sceaux. — E tien n e B ru n rau ro l, accusé de
C lerm o n t-F erran d . — C om ité rad icalK harkoff, 27 décembre.
__________
lis a n t dans le M oniteur, que les cuisi­ vol à C eyrat, a été condam né précédem ­ succès.
cons.
F
.
G
énestine
à
C
lerm
ont
FerrancL
socialiste. Délégué : M. L agaye.
n iers é ta ie n t allés s ’ap p ro v isio n n er dans
U n voyageur a r r iv a n t h ie r soir à la
V
ente
au
d
étail
:
m
ent,
m
ais,
en
v
ertu
de
la
nouvelle
c
ir
­
Yinzollcs. — M. M ontagnicr-D upuy,
gare a laissé tom ber u n e bombe q u i a
c u la ire du g ard e des sceaux, le p ré si­
M aisons F A U C H E R , ru e Neuve, n® 1, son m agasin. D em eu ran t loin de son
m
aire.
com ptoir, il ig n ô ra it to u t de#l’aventure.
éclaté, tu a n t p lu sie u rs voyageurs e t en
d en t île donno p as lecture du casier ju ­
e
t
M
O
LETTE,
ru
e
B
aint-L
ouis,
n°
17*
S ain t-H é rc n t. — M . B oissat, in stitu ­
On devine aveo quelle hâte il so re n d it
b lessant d ’a u tre s. Lvexplosion a determ i­ te u r .
d ic ia ire t c’est la prem ière ap p licatio n
Le m e ille u r Café e st vendu par T
à son établissem ent de la rue Fontgièvo
ne u n e p a n iq u e d ans la foule q u i s’ost
de ceilc circu laire d ev an t le trib u n a l
L a Chapelle-Agnon. — M. PassaiguO,
JLo barreau do Riom
où il put^ co n stater que nos renseigne­ de C lerm ont.
M
aison
GHA1A1N, ruo N euve, 34.
e n fu ie à tra v e rs les rues. L a g a re a été
p ré sid e n t d u Com ité rép u b lic ain démo­
m
ents
éta
ie
n
t
exacts.
cernée p a r la tro u p e.
Donc,
B
vunm
urol
est
un
voleur.
Il
Yoici ,1e tab leau de l ’o rd re des avocats
c ratiq u e.
Il est difficile d’évaluer au ju ste les
L ’in d iv id u q u i p o r ta it l’en g in e s t u n
B ongheat. — H . P a illa rse , m aire, e t de Riom. p o u r l’an n ée ju d ic ia ire 1908- m archandises dérobées. M. H ugon, ce­ s’est in tro d u it dans la m aison C ellier,
o u v rie r o n t été tu és ; une femme a été
à C eyrat, en l’absence du p ro p rié ta ire ,
M . D um as, in s titu te u r.
1907 :
p
en
d
an
t,
estim
e
«à
150
fran
cs
environ
g rav em en t a tte in te . Onze a u tre s person­
a f a it sau ter le cadenas d ’u n coftreb et
S aint-Jean-dcs-O llières. — MM. D iMM. Clauselo J e a n , Buisson P ie rre ,
les
victuailles
prises
chez
lu
i
et
à
25
nes o n t été légèrem ent blessées.
s
’est em paré d ’une somme do 200 fr.
cham p, m aire; P in tra n d , a d jo in t; G our- »Salvy G eorges, L a c a rriè re A rm a n d ,
fra n c s les vêtem ents
D. — Vous avez été a rrê té . On a tro u ­
cy,
conseiller
m
un
icip
al
;
M
ontel,
in
sti­
Goydn
Charles,
E
v
e
ra
t
E
d
o
u
a
rd
.
M
illet
De n o tre co rresp o n d an t de M o u lin ;
Le mouvement socialiste«
L ’enquête se p o u rsu it e t il n ’y a u r a it
vé su r vous une «ommo de 165 francs.
A lbert, T alion A ndré, Seguin G abriel,
tu te u r.
I lio r jeu d i, est venue dev?,^’ Io jugo
Lodz, 27 décembre.
/ #
Ceilloux. — MM. F o u rt, p resid en t a u
de Laorosso Y ictor, Jardofc P ie rre , Mo- rie n d ’éto n n an t si l’on découvrait quel­ Q u’avez-vous f a it du re s te 1?
do
p aix , co n trad icto irem en t ootto fois,
que
a
u
tre
h
isto
ire
peu
p
ro
p
re
su
r
lo
R. — J ’ai eu la guigne, mon p rési­
Com ité d ém o cratiq u e; A rta u d , m a ire ;
rel F rançois, Massé E m ile, G roisne M i­
: P a r s u ite du lock-out des p lu s grandes
ce
s
u r c ita tio n directe d o jn te aux p ro ­
com
pte
des
tro
is
inculpés.
Chigros
p
r
in
­
dent. On m’a volé 35 francs. (R ires.) ^
chel, D ellcstrade Louis, B oudet A uguste,
fab riq u es, q u i a été annoncé p o u r lo 29 G ira rd , in stitu te u r.
venus,
l’alfaire re la tiv e au x contraven­
cipalem
ent
a
uno
ré
p
u
ta
tio
n
d
ép
lo
ra­
E
tien
n
e
B
ru
n
in
u
ro
l
est
condam
né
a
P a re n t. — MM. H a u d o u r, m aire, e t le V ernièro P a u l, Salvy D aniel, L a carrière
de oo mois, les socialistes m enacent de
tio
n
s
dressées
au clergé des tro is p a ­
ble.
C’est
lu
i
q
u
i
semble
le
chef
de
la
doux mois de prison.
Conseil m unicipal.
Jules.
. .
.
p rovoquer des conflits d ans les rues p o u r
roisses
de
M
oulins
p our Infraction a u x
bande
et
l’in
stig
a
te
u
r
des
réveillons
à
Avocats stag iaires : MM. D an to E m i­
V olîore-M ontagnc. — M .M o n ta g n e îo ro e r les citoyens, le revolver au poing,
Le berger incendiaire. —^ Le A. septem ­ lois de 1881 et de 1905.
bon
marché.
n n o u r rir e t à loger les o u vriers e t spé­ A rm ilhon, p résidont d u Com ité rép u b li­ le, Augé Charlea, B u rin des Rozicra M a r­
bre d ern ier, le berger Louis A... g a rd a it
cel, Chasßaing Joseph, Pom m erol P ierre,
cialem en t les femmes. Les Eocialistes fo n t
cain.
.
ses m outons à Saint-G onès-C ham panelle ;
L achaux. — MM. A uroux, p resid en t
E v e ra t J e a n , Chemel Louis, Mandosso
une cam pagne active d ’e x c ita tio n p a rm i
p o u r se d is tra ire , il allu m a quoique«
du Com ité ra d ic a l dém ocratique ; F er- F ern a n d . Clausels Gabriel.^
les ouvriers. B eaucoup de fam illes riches
herbes sèches, m ais voilà que le feu sc longuem ent, te n d a n t à la condam nation
ric r, m a ir e ; P a p u t, s e c ré ta ire ; R ay­
Conseil do l’o rd re : B âtonnier, Mq u itte n t la ville p a r c ra in te do troubles.
com m uniqua à des bruyères p u is à de3 des prévenus.
n a u d Ch., R ougeron J ., M orel G., mem­ Georges Salvy.
™
arbustes s u r une longueur de 2 hectares
M° T issier a p la id é ensuite que ni la
Les terroristes
bres, e t C ar ta ille r B., vice-président du
Membres, MM. A. L acarrière, ClauDécidément, le succès p ro d ig ieu x de environ.
loi
du 30 ju in 1831, n i celle du 9 décem­
sels, E verat.
Comité.
S ain t-P étersb o u rg , 27 décembre.
L .adm inistration des fo rêts a estim é b re 1905 n ’é ta ie n t applicables en l ’es­
•ces délicieuses P astilles Soler, à l ’oxygè­
B oisséjour. — Les conseillers m unici­
Secrétaire* M. J a rd e t.
.
m
les dégâts à La somme de 59 fran cs que pèce, e t a conclu à la relaxe des contre­
Les chefs d u p a r t i socialiste révolu­ p au
x
,
l’in
stitu
te
u
r
e
t
u
n
gro
u
p
e
do
ci­
Membres
du
b
u
reau
d
’assistance
ju
d i­ ne p u r n aissan t, ne semblo pas p rès de îo berger a payée san s se fa ire p rie r.
tio n n a ire so n t form ellem ent revenus de
s
’a
rrê
te
r.
Nous
avons
p
arlé,
en
un
précé­
venants.
c iaire près la C our : Désigné p a r la
A u jo u rd ’hui, Louis A ... est p o u rsu iv i
le u r décision de e’ahaten ir d ’actes de te r­ toyens.
R ép o n d an t à cette p la id o irie, l ’organo
d
e
n
t
article,
de
leu
r
m
erveilleuse
effica­
S ain t-S an d o u x . —. MM. R a ta il, m ai­ Cour, M. Buisson ; p a r M. le p réfet, M.
correct ionnellem ent sous l ’inculp atio n
ro rism e p e n d a n t les électi-ips. A une
d
u
m in istère public a déclaré quo le
cité
dan3
les
cas
de
coryza
aigu
(vulgai­
; D um as, L ’H é ritie r, More], L abary,
Clausels ; p a r lo Conseil de l’ordre, MM.
d ’incendie p a r im prudence.
écrasan te m ajo rité, ils o n t decide do re
clergé devait se soum ettre au x lois do
Brcssoletto,
C
o
u
rtia
l,
.
conseillers
m
u
n
i­
rem
ent
rhum
e
de
cerveau)
;
voilà
m
ain­
L
a
carrière
e
t
Ja
rd
o
t.
— Ç a a brûlé, je ne sais pas oemment,
p o u rsu iv re sans trêv e leu r ju ste cam pa­
la R épublique, à celle s u rto u t de la sé­
P rè s lo trib u n a l do p rem ière instance : te n a n t que, db toutes p a rts , pn nous si­ cxpîique-t-il. J e n ’y a i vu que du feu.
gne do suppression, l ’in tim id a tio n é ta n t cip au x ; D ésuselade, in s titu te u r.
p
a ra tio n , si large, si libérale, si tole­
P a r M. lo p réfet, M. M illet : p a r le Con­ gnale d ’innom brables guérisons de lary n ­ (Rives.)
l a seule arm e efficace contro un régim e
r
a
n te ; q u ’il lu i f a lla it ê tre fra n ç a is
L es V isite s da I e* dan vier
seil de l’ord re, M. M orel.
d ’in iq u ité . Ils o n t gagné les membres les
gites, de bronchites, d ’angines et, même,
Lo trib u n a l condam ne Louis A... a
a v a n t d ’etre rom ain e t que ceux n u i no
p lu s m odérés d u p a r ti en leu r m o n tra n t
100 fran c s d ’amende, m ais le f a it béné­ p en saien t pas ain si devaient alle r d e­
Le général com m andant le corps d ’a r­
de broncho-pneumonies.
qua l’o p p o sitio n se v o it refuser lo d ro it mée no recevra pas de visites olficielles
ficier
de la loi de sursis.
E t il n ’est pa.s possible do douter, ce
m an d er asile au Pape.*
d ’o rg an iser des m eetings elector aux.
à l’occasion du p rem ier ja n v ie r.
L
’unifo
rm
e
d
u
sous-officier.
—
U
n
Mô T issier a répliqué, e t un assez v if
sont
des
m
illiers
de
témoignages,
dû­
^ T mT U E S DU C
£ ^
m ent signés, ém an an t de personnes sé­ sous-officier d’un régim ent de C lerm ont in cid en t s’est alors p ro d u it e n tre le m i­
Une guerre Russo-japonaise
ACTUELLEMENT
,
V oies de n os sén ateu rs
rieuses h a b ita n t les q u atre coins de la a v ait, l’a u tre jo u r, passé gaim ent la soi­ n istère public e t la défense.
S t-P étersbourg, 27 décembrerée
en
com
pagnie
d
’un
do
eos
am
is,
L
’affaire
a
été
ensuite
mise
en
déîibe-,
G ra n d e M ise e n V e n te d*A rticle s
F rance. B eaucoup d ’attesta tio n s a r r i ­ F ran ço is L..., venu de Cebazat p our le
D ans le sc ru tin su r l ’ensemble du p ro ­
ré. Le jugem ent sera ren d u à une p ro ­
Lo S egodnia ra p p o rte une conversation
vent égalem ent de l ’étran g er, ta n t la dé­ voir. Tous deux s’é ta ie n t livrés à de
je t de résolution p o r ta n t fixation du
chaine audience.
’d u comto W itte re p ré se n ta n t une g u erre
couverte sensationnelle du Laborat-oiro copieuses libations et, vers m in u it, il3
russo-j aponaiso im probable comme aussi budget des dépenses du S énat, nou3
flp
E
tiN
E
S
UTILES
t
in d iq u é que M. Gom ot n ’a v a it
Soler a f a it du b r u it dans le monde en­ éta ie n t dans un é ta t voisin — très voiEPICERIE PRINCIPALE, 39, r. des Gras. Café des
m in e u se p o u r le J a p o n que p o u r la Rus- pavons
o
in
t
p
ris
p
a
r
t
au
vote.
C’é
ta
it
une
er­
tier. Des médecins do tous pays félici­ Bin — de Tivrcsse. Ils noctam bulèrent
A m b assad eu rs, necplus u ltra (V. annonce T n .)
sie. U ne a tta q u e su b ite des Ja p o n a is con­ reu r, il résu lte en effet d u Jo u rn a l Offite n t lo D irecteur d u L aboratôiro Soler encore d an s le3 cafés e t re sta u ra n ts qui
tr e V ladivostock n ’eet pas à prévoir, car
■Okdel
du
21
décembre
que
M.
Gom
ot
a
Qael
choix
faire
7
.
de sa m agnifique idée d ’a p p liq u er l ’oxy­ re sten t ouverts ju sq u ’à deux heures du
elle re n c o n tre ra it l ’o p p o sitio n de 1*E u ro ­ voté contre comme il l’a v a it f a it dans
p e e t de l’A m érique.
T l i . é s â . L x 3©
C ’est to u t in d iq u é; q u an d on a u n ca­ gène p u r n aissan t, co ro i des a n tis e p ti­ m a tin ... e t même p lu s ta rd . Que eo P-aseale s c ru tin s u r l’a rtic le p rem ier d u p ro ­
t-il exactem ent ensuite. N i le eous-OiüLe comte W itte ju g e nécessaire qu en
ques,
a
u
tra
ite
m
e
n
t
des
affections
de
la
deau
à
fairo,
on
va,
25,
rue
Neuve,
a
u
jet, de même q u ’il l’a v a it f a it dans la
cier, n i l ’h a b ita n t do C ebazat ne^ peu­
éclaircisse les m alentendus avec le J a p o n
D em ain sam edi, à 8 heures, p rem ièro
seul dépôt à C lerm ont de la T a illerie do gorg-e*, d u la ry n x e t dies bronches. L ’un v en t lo dire. A quelle heure re n trè ren tséance du 22 novembre 1906.
e t il estim e qu’uno en ten te avec co pays
rep
résen tatio n du Voyage en C hine,
R oyat, fa iro sou choix en articles de d ’eux, professeur distin g u é d ’une U n i­ ils so coucher! lia l ’ig n o ren t. Ils sa-------------------- - O —------------------e st le m eilleu r moyen d’a r r iv e r à u n r a ­
opéra-com
ique en 3 actes, m usique do F .
versité du N ord, éc rit textuellem ent :
___________
goût----- officier a re­
1 *
p id e développem ent du commerce d ’ex­
Bazin.
. ,
ca r il est
« Vos pastilles Soler à Voxygène p u r
r E V è s s B
i e n
!
p o rta tio n e t d ’im p o rta tio n russe en E x ­
D im anche, à 2 heures, en m atinée, e t
Conseil
Municipal
^
__
, que tous
naissant sont u n e véritable révélation
lo soir, à 8 heures : Le Voyage en C hine.,
trêm e-O rient.
deux
se
so
n
t
déshabillés
e
t
que,
d ix m i­
2
iour
le
m
onde
médical-.
C’est
une
arm
e
N ou lisons dans V A venir d u Puy-deP o u r ces tro is rep résen tatio n s, j a lo­
Séance d u SI décembre 1QÖ9
nutes
après,
F
ran
ço
is
L
...
eo
p
ro
m
e
n
ait
TREMBLEMENT DE TERRE
puissante
que
vous
m
ettez
entre
nos
catio
n e st ouverte a u jo u rd ’hui, do 1 heu­
Dôme, num éro -du m ercredi 26 décembre 1. D ésignation d ’un secrétaire.
d ans les rueâ de C lerm ont... en u n ifo r­
re
à
5 heures, e t dem ain, do 10 heures a
1
S akaline, 27 décembre,
m
a
in
s;
soyez
persuadé
que
nous
saurons
1908 :
2. B udget p r im itif de 1907. — R a p p o rt
me de sergent-m ajor d ’in fa n te rie. S a te ­ m id i e t de 1 Iieuro à 5 heures.
nous
en
servir,
au
grand
bénéfice
de
nos
i C e m atin , à 4 heures, on a ressenti, à
de la Commission.
nue é ta it p lu tô t débraillée. U n ^ a d ju ­
« C ependant, nous supposions que ClerM ard i, à l’occasion des fêtes du J o u r
A lex an d ro v sk , u n trem blem ent dô terre*
3. H o sp ices — B udget d e 1907. — R a p ­ m alades. »
d a n t q u ’il re n c o n tra lu i en fit l ’obser­
do
l’An, deux grandes rep résen tatio n »
«
m
ont
é
ta
it
une
v
ille
rép
u
b
lic
ain
e;
I a prem ière secousse, trè s forte, a éb ran ­
p o rt de la Commission.
U n médecin ita lie n p rie le L abo rato ire v ation. F ran ço is L ... se fâcha. L ’a d ju ­
do
R
ip , cpéra^com iquo fan ta stiq u e , m u ­
«
qu’elle
a
v
a
it
u
n
p
ré
fe
t
républicain,
un
lé les m aisons. A près 5 m inute« u n e se­
4. B ureau de bienfaisance. — B udget de
Soler de lu i donner des renseignem ents d a n t lo m enaça de le fa ire conduire au
sique
de R . P la n que Me.
«
m
aire
républicain,
même
un
jo
u
rn
a
l
cousse p lu s faib le s’est p ro d u ite.
1907. — R a p p o rt de la Commission.
s u r les com prim és d ’oxygèno e t s’extasie b u reau de la police et lu i fit e n tre v o ir
A l’étude : Barbe-Bleuer
« ou du m oins p lu sieu rs jo u rn a u x très 5. A ssurance contre l’incendie. — Re­ su r la découverte du procédé, d é c la ran t le conseil de guerre. Alors, le fa u x sousnouvellem ent des polices. — R a p ­
« républicains. — Ce n ’est évidem m ent
A u M a r o c
que, depuis longtem ps, il a v a it songé à officier, quelque peu dégrisé, avoua
E d e n -T h é â lro
p o rt de la Commission.
« pas de Y A v en ir que nous voulons p a r ­
q u ’il av ait, sous l ’em p ire de l’ivresse,
tra
ito
r
les
affections
des
voies
re
s
p
ira
­
A u jo u rd ’h u i v en d red i 28 décembro
p ris les vêtem ents de son am i qui, lu i,
ti 1er; nous n ’avons p as cette prôten- C. T ram w ay électrique. — Dem ande
Marche sur Tanger
to ire s p a r le p u issa n t gaz v ital, m ais d ev ait, m a in te n a n t d o rm ir profondé­
d’allongem ent des
garages
rue
1906,
26° Soirée de g a la avec lo concours
« tio n . »T anger, 27 décembre»
q u ’il n’a v a it p u réu ssir à l’ad m in istrer m ent.
M ontlceier, place D elille e t place
de : T o m B u tler, cycliste com ique; do
T rès bien ! cher confrère. T out à» fa it
sous une form e p ra tiq u e e t sûre. « L ’oxy­
de Jau d e.
\ El-G uebbas e’est ren d u avec son étatLérie, comique tr o u p ie r ; # de K n a ll,
A son réveil, le sous-officier ne tro u v a
gène naissant, ajoute-t-il, c’est le remède point-, bien entendu, son uniform e et
tn a jo r à T a n g er. I l ä p én étré su r la p la ­ bien! E t p o u r la prem ière fois, depuis 7. Lycée Jeannc-d’Arc. — T raités p o u r
clown m usical, e t de C énior, com ique,
la ch arcu terie e t lo blanchissage.
ibicn longtem ps, nous voilà d ’acoord.
ce a u m arché e n face de la résidence d u
d u t se re n d re au q u a rtie r avec les h a ­ typique. Succès des D ove's, d u ettistes à
id éa l des bronches cl des poum ons. »
8. O ctroi. — L iq u id atio n d’une pension
k h a lifa t de R aiso u li, clairons sonnant,
Le f a it €3t que’, ju sq u ’ici, on n ’oppo­ bits de son complice de « noce » noc­ tran sfo rm atio n s.
de re tra ite . — B ail p o u r fa loca­ s a it guère au x rhum es, m au x de gorge tu rn e . J e dois à la v érité de d ire que
’d ra p e a u x a u v e n t; p u is il a s u r la plage,
D im anche 30 décembre, M atinée a tro is
tio n d ’un bureau.
e n personne, placé, des avant-postes au x
son ca p ita in e ne lu i fit p as des com pli­ heures.
.
ou
bronchites,
que
les
pectoraux
plus
ou
9. B u reau do bienfaisance. — Avis su r
lim ite s d u d is tr ic t des A ndjeras e t de la
M ard i 1er ja n v ie r 1907, M atinee à troi3
ments.
.
m
oins
inoffensifs,
d
o
n
t
le
m
oindre
dé­
un legs. — Avis su r l’acquisition
F ran ço is L ..., tr a d u it a u jo u rd h u i en heures, avec débuts.
m aison H a rris . On confirme qu’une lettre
C h o ix im m e n s e d e
f a u t é ta it do .fatig u er l’estomac, d o n n an t correctionnelle, sous la prevention do
d ’une remise.
im p ériale, d e s titu a n t R aisouli de son pos.
à p eine l’illusion d ’un soulagem ent pas­ p o r t illégal de costume m ilitaire, p a ­
t e de gouverneur e t nom m ant le gouver­
P o u rq u o i p erd re votre tem p3 en p r é ­
sager.
r a ît n av ré de cette aventure ; il s excuse
n e u r do T anger, a rriv e ra prochainem ent.
p a r a n t votre déjeuner avec des tab lettes
Avec la P a stille Soler au x effets to u t de son m ieux e t prom et do ne jam ais re­ do chocolat, q u an d p o u r 15 cent., vous
G uebbas a placé des gardes s u r le m ar­
de tous genres pour
ché a u b étail ju sq u ’ici g ardé p a r des hompuissants, c’en e3b fini de ces vieilles fo r­ commencer. I l ju re que, désorm ais, il
3 3 , P la ce de Jan d c, 3 3
pouvez acheter chez v o tre ép icier le p a ­
ynrfw d e R aissouli q u i s’en v e n t sans p ro ­
mules, do ces p ro d u its qui encom brent dem ourera à Cebazat e t ne v ien d ra plus
q
u et de Chocolat des G ourm ets g ra n u lé
tester. D an s les cercles officieux m aures,
les voies resp irato ires a u lieu de les dé­ boire dans les cafés et auberges de C ler­ T R E B U C IE N , soluble in stan tan é m e n t* !
Vente
de
confiance
mont.C
’est
là
un
serm
ent
q
u
i
lu
i
se
ra
o o d i t que d’ici quelques jo u rs to u t sera
gager, de les désobstruer des mucosités
p eut-être difficile de ten ir.
e n o rd re. Les E uropéens sont beaucoup
infectieuses. L ’oxygène n a issa n t fond,
Les
Magasins
seront
ouverts
Dimanche
Soirée de fam ille
C a i s s e d ’E p a r g n © d e C l e r m o n t
Le trib u n a l le condam ne à 25 fran cs
p lu s à le u r aise dep u is l’a rriv é e de la medissout toutes cca mucosités, a n é a n tit d ’amende, m ais le f a it bénéficier de la
30 décembre jusqu’à 3 heures.
n a lla e t p o u r le m om ent la s itu a tio n est
Résum é des o p é ra tio n s faite s au x séan­
H ie r soir, à 9 heures, les membres du tous les germes morbides, p én ètre p a r
incontestablem ent am éliorée.
ces publiques cle3 sam edi 22, dim ancho
conseil de la 1,347° eection des V étérans osmose d an s les alvéoles pulm onaires les loi de ßursis*
F a u x poids. — M. J e a n C hrétien, bou­ 23, lu n d i 24 et m ercredi 26 décembro'
des Armées de te rre e t de m er o n t fêté
plus reculées, a p p o rta n t panbout su r son clier à vertaizon, a été tro u v é déten­ 1906 :
N
écrologie
dignem
ent
la
distinction
honorifique
UN TAMPONNEMENT
te u r de fa u x p o id s e t de poids non po in ­
qu ils o n t accordée à u n de leurs m eil­ passage l’assainissem ent e t la vie.
N ous avons a p p ris avec re g ret la m ort
Versements. —- C aisse cen trale : R eçu
G a lla ra te (Ita lie ), 27 décembre*
L a P a s tille Soler, c’est l’antisepsie elle- çonnés. I l est condam ne à deux am en­
leu rs collègues, au cam arade Besson.
d u docteur A chille D ron, à Lyon, père
de 100 déposante, d o n t 24 nouveaux,
u t r a in électriq u e do Yarèzo à M ilan
A près avoir trin q u é joyeusement, dans m êm e; c’est l ’arm e in fa illib le que to u t des, la prem ière de 16 f r ., la seconde
do n o tre excellent confrère du L yon Ré25,560; S uccursale de Billom : Reçu de
a tam p o n n é une locomotive s ta tio n n a n t
lo café M asdubqst, place Sugny, à la
le m onde d o it av o ir en poche’ p o u r défen­ de 5 francs.
'uhlicain , ancien réd acteu r en chef de
15 déposants, dont^ 5 nouveaux, 4,096 ;
à la g a re de G a lla ra te . I l y a 14 blessés
ean té d u d ig n ita ire , chansons et mo­ d re ses bronches contre les invasions m i­
i T ribune R épublicaine, à St-E tienne.
La laitière et le fa b rica n t de frqrriaS uccursale do M arin g u es : Reçu de 11
'd o n t 4 grièvem ent a tte in ts. 2 wagons o n t
nologues o n t term in é cette charm ante
geSt
—
Mme
Fougéras-Brousse,
laitière,
L a m ort de M. D ron eet une p e rte
déposants, d o n t 2 nouveaux, 2.930; To­
crobiennes.
__________
é té b risés
soirée d o n t chacun g a rd e ra longtem ps le
est n ettem en t accusée p a r M. B o u iran d ,
que re ssen tira vivem ent le corps médical
ta l, 32,586.
D octeur M. S.
souvenir.
fa b ric a n t de from ages à Nébouzat, d alyonnais p a rm i lequel lo d é fu n t é ta it
Rem boursem ents. — C aisse cen trale :
LE S SUITES D ’UNE “ BORDÉE "
N . B. — Comme itous les p ro d u its sé­ voir vendu d u la it ad d itio n n é d’eau..
trè s aim é e t trè s p o p u laire.
.
P
ay
é à 169 déposants, d o n t 85 p o u r sol­
Fèto do l ’Arbre de N oël
rieux, les P astilles Soler devaient susci­
T unis, 27 décembre.
— I l me f a u t chaque jo u r,# p o u r m a
Ex-agrégé à la F acu lté do médecine
de, 56,048 87; S uccursale do B illom :
A
IHoniforvand
te r des im itatio n s ou des contrefaçons r i ­ fab ricatio n , raconte M. B o u iran d , en­ P ay é à 18 déposante, d o n t 4 p o u r solde,
f- D im anche, une d izain e de m atelots du de Lyon, le docteur D ron occupa pen­
d
a
n
t
longtem
ps
le
poste
de
chirurgien
‘v ap eu r allem an d A uguste-Levers se tr o u ­
L a F êto de l’A rbre de Noël, o rg an i­ dicules. Au public do p ren d re g ard e e t viron 1.400 litre s de la it. J ’ai six voi­ 11,453 12; S uccursale de M aringucs :
en
chef
de
l’hœ
pico
de
l’A
ntiquaille.
Il
d ’exigor les véritables P astilles Soler tu re s q u i vont recueillir^ le l a it dans
v a ie n t d an s u n café d u KefL Comme ils
sée p a r les A tsaciens-Lorrains, a u ra
P ay é à 4 déposants, do n t >» p o u r solde;
é ta ie n t en é ta t d ’ébriété, ils f u ie n t in ­ é ta it chevalier de la Légion d’honneur.
lieu, a u jo u rd ’hui, à 2 heures, à l ’Ecole
aveo l a m arque du L aboratoire Soler : les ferm es du pays. P a rm i mes fo u rn is­ 1,201; T otal, 68,702 09.
N ous adressons à n o tre excellent con­ m aternelle, ru e de l’H ô p ita l, à M ontv ités p a r u n a g e n t de police a se re tire r.
U N C E N T A U R E R O U G E fig u ran t su r seurs, j ’avais Mme Faugéras-Brouese, a
laquelle je p re n a is d ix -h u it litre s de»
frè
re
e
t
am
i
D
ron
e
t
à
s
a
fam
ille
nos
I ls m enacèrent l’ag en t e t b risèren t le
Les C a r t e s d o V i s i t e de l’Imprimerie MontferrancL
le oouverclo de la boîto e t su r la bande la it. D epuis quelque tem ps, je co n statai
Louis se recommaudent par la perfection de la
m atérie l d u café. L ’agent dem anda du plu 3 sym pathiques condoléances..
de g aran tie.
u n c e rta in fléchissement d a n s le rende­ gravure et la beauté du carton. Bristol, - ir.,
JLa n eige
secours e t deux m a rin s fu re n t arrêtes.
m ent de meB from ages : cela ne pou­ ivoire, 3 fr. Franco à domicile.
Jjes
P
astilles
Soler
sont
en
vente
dans
L a direction
Les au tre s p r ir e n t la fu ite e n t i r a n t dos
H ie r encore, la tourm ente do neige a
Lo prix des Cartes deuil varie de 3 fr. a 4 ir.
coups de revolver d an s la d ire ctio n des de l a w R evue des Deux-Mondes
foutes les pharmacies au p r ix de 1 fr . 50 v a it p ro v en ir que de Ta m auvaise q u a lité
sévi avec in ten sité dans les m ontagnes
le
cent, suivant la bordure choisie.
ou de la falsification d u l a it q u i m ’é ta it
agents. P erso n n e ne f u t a tte in t. Lo len­
la boîte.
d û Puy-de-Dôme. S u r la ligne do Tulle,
P
a
ris
,
27
décembre.
d em ain le c a p ita in e f u t in v ite a se p ré ­
Dépôt général. —- Laboratoire Soler, à
conseil dp surveillance de la Société les tra in s ont subi de g ra n d s retarda.
Cas de l o n g é v i t é
se n te r a u oom m issariat de po n ce avec enL©
O n nous éc rit du V a u ria t :
com m andite p a r actions do la R evue
S
a
in t-É tie n n e (L o ire), 1 fr . 50 la botte q u i m é t a i t
aon éq u ip ag e a u complet» Ils r y re n d i­ des D eux-M ondes a décidé dans sa der­
On nous écrit do Mangliou :
; ;
« L a neigo tombe on tourm ente, le vont
franco et 5 fr . 60 les Jt boîtes contre m an­ B rousse é ta it frau d é. Un jo u r, en p ré;
r e n t e t le* a u te u rs d u scandale fu re n t
A
vant-hier
o
n
t
eu
lieu
les
obsèques
da
n ière séance, à l ’unanim ité, do présen­ très violent souffle avec rage, les#routes dat-poste.
sence de Mme F au g éras, j ’en prélev ai
i
alo rs a rrê té s e t incarcérés. Le ju g e de te r M . F rancis Charmes commo direc­ e t chemins sont presque im praticables,
la feramo M arie V ignal,. du village do
tro is échantillons que je p laçais dans
p a ix les a condam nés oo m a tin a deux
D
épôt
central
à
P
a
ris
:
Laboratoire
de
les
congères
sont
nombreuse«
e
t
dange­
te u r de la Revue, en rem placem ent de
des flacons que je cachetais à la cire.
jo u rs de p ris o n e t 5 fran cs d am en do».
so n t
M. B ru n etière, décédé, au choix do 1 as­ reuses. Lo c o u rrier du Y a u ria t à S aint- Pharmacologie, 62, rue Tiquetonne.
J ’en déposai un à la m a irie de NebouGeorges-de-Mone e t a u x Ancizes a du
_
a
it
102
semblée générale des actionnaires.
D épôt à C lerm ont-F errand : Daum y,
z a t; j ’envoyai l ’au trp à M. .G ro s, d i­
M Francis Charmes, sén ateu r du G an­ surm onter, p o u r assurer son service, les
ans
e
t
l'a
u
tre
94
ans.
i
38, ruo Neuve; G agnière, d ro g u iste; recteu r d u lab o ra to ire m u n icip al, et je
ta i, rédige depuis longtem ps, comme on p lu s grandes difficultés. E n cours do
g a rd a i le troisièm e.
route, au villago d u Blanchet, lo cheval Bossot, place Delille.
le sa it, la chronique p o litiq u e a cette
L es jo u r s a u g m e n t e n t
Le p résident. — M. Gros a constate
a
été
dételé
e
t
la
v
o
itu
re
laissée
su
r
p
la
­
Une déolaration
Revue. L ’assemblée générale a u r a lieu
que
le
la
it
é
ta
it
fra
u
d
é
dans
la
p
ro
­
On no s'a p erço it p as encore que Ica.
ce. P lu s loin, p o u r dégager lo cheval p ris
dan s la p rem ière quinzaino de février.
D ijo n , 27 décembre.
p o rtio n de tro is litre s d’eau p o u r sep t
ioura o n t cessé do dim in u er. D ’ailleurs,;!
d an s une congère,# il a fa llu une heure
\ L e S upérieur d u g ra n d sém in aire a délitres.
ja p lu p a r t des calen d riers p o rte n t e n ­
d ’un tra v a il o p in iâ tre . I l convient do
D a n s l’E nregistrem ent
M. B ouirand. — E n effet.
kxé à l’H ô tel do V ille une déclaratio n
A udience d u 27 décembre
féliciter to u t p artic u lièrem en t M. Mo­
core, en tête du mois de décembre : le*-'
— Co n’est pas v ra i! s’écrie Mme b au ré o u v e rtu re d ’établissem ent des hautes
rel, can to n n ier au Blanchet, qui a cha­
jo u rs d im inuent.
M. Lescouvé, juge, préside.
g
éra
3-Brousse, la p rév e n u e;
j ’a i p as
‘étu d es ecclésiastiques d ans l’immeublo
que nassago a tte n d e t dirige, dans ces
L a v érité est que leu r durée, au cour a
M. P o rte, su b stitu t, occupe le siège
l'h a b itu d e de m ettre de l ’eau dans mon
‘occupé anciennem ent p a r M ario-Therese, çeveur au in e y m a ra vjjozciw »
*
m auvais parages, le c o u rrier conduit du m inistère public.
de co d ern ie r mois do l’année, resto près-»'
R a n d a n , en rem placem ent de M. L a
ru a P au l-C ab et.
.
p a r M. Machebœuf fils, qui f a it preuve
ue saqs v a ria tio n ap p réciab le à partir?;
L ’audience fixée p o u r une heu re com­ la it.
D. — M ais vous en avez mis cette
vialle,
appelé
au
b
u
re
a
u
de.
b
ain
t-D
i„
u 13 décembre. Ce jo u r-là, c’est la Sain««
do
beaucoup
d
’enduranco
e
t
d
encrgio.
»
mence
à
deux
heuree
moins
un
q
u
a
rt.
Manifestant condamné
is-là î
.
..
dier-la-Séauve, e t la nom ination de M.
te-Luce, q u i a son dicton :
Le trib u n a l p a rv ie n t difficilem ent à ae foB.
— Peuh ! D eux verres a peine,
M arseille, 27 décembre}.
M ichel B oudet, su rn u m éraire,
du
com pléter. Au P alais, on m anque actuel­
A la Sainte-Luco
;
p
o
u
r
l’empêcher .de se cailler (R ires.) et
I L é trib u n a l correctionnel a condam né sym pathique conseiller m u n icip al d Ai- LES RÊVEILLONNEURS
lem ent de juges p a r su ite du congé de
Les
jo
u
rs
au
gm
entent
d’u
n
e
a
u
t
de
puccfc;
Un m a n ife sta n t à 20 fran cs d’am ende gueperae, au b u reau de T hueyts (Ardôquelques-uns, du déplacem ent de quel­ p o u r rinöer le eiau.
Co dicton est com plété p a r p lu sieu rs'
L ’affaire est renvoyée au lendem ain,
p o u r av o ir, lo rs de l ’a p p lic a tio n do la
che).
. ' ^
ques autres.
.
au
tre« qu’on cite souvent encoro dana
Le
com
pagnon
de
D
esisaert
e
t
de
Chi­
o ur p la id o irie do M® Y ignancour, de^nouvelle loi de S é p a ra tio n , empêché lea
M. Lescouvé a y a n t p r is place au fa u ­
p
lu
sieu rs do nos départem ents du Cen-’
gros
a
été
a
n
ê
té
ru
e
d
u
F
o
rt,
p
a
r
le
P
resta
tio
n
s
de
serm
ent
ienfieur.;
: ag en ts de p olice de p én é tre r dans une
te u il de la présidence, constate q u ’il
tro e t du Sud-O uest, su rto u t eu P oitou,j
service
de
la
Sûreté.
Cet
in
d
iv
id
u
qui
H ie r, à l’audience dje la prem ière
iéglise de la b an lieu e de M arseille.
n ’y a p a s d ’assesseur à gauche.
pù l ’on d it :
fa is a it appeler M aurice C ouder t se
cham bre do la C our d appel de Riom, se
— M aître, dem ande-t-il b. M® de la
L T ssoirienne 9 9
nomme
en
ré
a
lité
M
aurice
Sansoloys.
Il
A « Nô » (p o u r Noël)
M. P ie rre Mazen, ju g e d in stru ctio n à
Roche qui, en robe, est assis au bano
seulem ent de 17 ans.
Lee jo u rs au g m en ten t du pas d 'u n « ja u ü
rA D soirc, la société de gym nastique
Voici la saison où les pages d’an­ Riom , a p rê té serm ent en q u alité de p re ­ e stP eâgé
des
avocats,
veuillez
être
assez
aim
able
n d a n t que l’inspecteur Roche et le
[(u n coq)<
e n t d u trib u n a l civil de Thiers.
p o u r venir siéger en a tte n d a n t M. Dé­ V lsso irie n n e , v ien t de se reconstituer.
sous-brigadier
G
orce
m
e
tta
ie
n
t
la
m
ain
nonces prennent plus a'importance que sidM.
Son b u reau est composé de la façon
’A ux Rois (6 ja n v ier)
# - ‘
L apère, ju g e d’in stru ctio n à Al­
troisièm e la rro n , M. D elp ey rat faire, retenu à la prem ière chambre.
I ls augm entent du p a s d ’uno oie*
suivante
:
les pages de nouvelles... surtout pour bertville, a p rê té serm ent en q u a lité de spuerrqce
—
J
e
reg
rette,
de
ne
po
u
v
o
ir
#
vou*
u is itio n n a it dans la cham bre d a
ju g e d’in stru c tio n à* Riom.
Au carn av al
Présidente d’honneur : MM. Bony-Oisterf’im
passe
Sugny e t découvrait les res­ être agréable, M onsieur le P résid en t,
vous, Mesdames.
A l ’issue de l’audience d u trib u n a l ci­
m
ais
il
m
’est
im
possible
de
com
pléter
p
u
p
a s <[’un cheval!
nes,
député
e
t
Daureille,
ancien
adjoint*
des festins de G a rg a n tu a que s ele trib u n a l. J e plaide. J e ne p u is être
i II est vrai que pour vous, les pages vil de Riom d u 27 décembre, M. L apère tes
conseiller d’arrondissement.
M ais alors, on approche du p r in te m p s ! s
ta ie n t payés (c’e s t une façon de p a rle r)
Président ; M. Loussert, avoué-licencio.
La fois juge e t défenseur.
E t, vienne le p rin te m p s! p u isq u ’on de-J
<f annonces deviennent des pages de a été in stallé d an s l’exercice do ses fonc- les m arm itons. L a p o u lard e truffeo e t à —
Vice-présidente : MM. Pagonei Emilo,
H
u
issier
î
f
a
it
alo
rs
M.
Lescouvé
lea langoustes é ta ie n t encore in tactes e t
mç.Qd$ t£ û jp u r | à v ie illir l . négociant,
Çhalmotte*
négociant,
,
'
,
A s ’adressant II M* M andonnet, ftudiennouvelles.
41 M?' M a « » p a » .
)a police lès » restituées à M. H ugon,
M E U B L E S CAMUS
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Petite Poste Militaire
'Adresser los demandes p a r le ttre affran­
chie à 0 fr. 10, à M. Ln H ire, au M oniteur
du Puy-de-Dôme. Les renseignem ents sont
absolum ent g ratu its, qu’ils soient donnes
p a r la voie du journal ou directem ent p a r
Fa poste. D ans ce dernier cas, ioinciro un
tim bre pour l'affranchissem ent de la répense.
X ... — Y otro camarado sera, en 1907,
exem pté définitivem ent ou incorpore pour
2 ans (servioe arm é ou servica auxiliaire;.
U n jeuno Cl er mon to is. — Le dossier quo
vous avez p ro d u it e st incomplet. Il y m an­
que, en effet, un certificat modele n° 1 é ta ­
bli p a r la m airie du domicile do vos parents.
R em ettez le plus tô t possible cette pieoe à
votre capitaine.
I. E. Clermont. — 1° Vous serez exemple
ou incorporé pour 2 ans; 2°.V ous recevrez
il m 3 ce cas la mémo affectation que si \ous
aviez été appelé avec votre clacso.
Un lecteur do la Cnrrozé. — C est le con­
seil de revision qui décide. Lo îneaccin-ma•;;T' n e fait- quo donner son avis sur 1 aptituuo
pîn'siquô du fu tu r soldat.
B G . Avovrou, 42. — V otre engagem ent
co n tra cté depuis lo 2 1 m ars 1906, n e pout
v ire ni annulé ni ré d u it p a r ^ le décès cfc
voiro frère, m algré que ce ueces vous fasse
l ’aîné des fils do la famille.
M . P . H ., H au te-L o ire. — T1 n ’e s t po* c e s­
sible quo vous o b ten iez de congé o ta n t don­
né que v o tre «ngagenna ust auu- rie u r au
21 m are 1906.
L ;. H ire .
I l a été remboursé le mémo 3 ?u r r 1® Cais­
se centrale, à 60 déposants, dont W pour
solde, 18.797 fr 50; 2 « Succursalc de O m lhat,
à 6 déposants, dont 2 pour soldo, 1.94- îr. U8 ,
to tal, 20.789 fr. 58.
ISSO IRE. — Déception. — Suivant uno
tra d itio n qui existe déjà depuis quelques an­
nées il n’y au ra pas de receptions officielles
à la sous-préfccturo à l’occasion du 1" ja n ­
v ier.
.
M agistrature. — ,M . Valade, juge d in stru ctio n , e st nomme procureur do la Répu­
blique à Clamecy (Nièvre).
il est remplacé p ar M. Suronneau, jugo
suppléant a Bordeaux, qui est, en outre,
chargé do l’instruction.
M. V alade, qui reçoit do ^avancement,
11’é ta it que depuis 3 ans jugo h Issoiro, dont
u n an comme jugo d ’instruction. Il y av ait
beaucoup d’am is.
secrétaire-trésorier, M. Paillarsp -F . ; mem­
bres, MM. Ohabard e t C lairet Louis.
CHASSENARD. — Epave macabre. —
On a découvert su r les bords de la Loire, ou
lo courant l’av ait rejeté, lo cadavre e n - de­
composition du nomme Jean Bérard, figé 0 0
63 ans, journalier à Lunoau, qui av ait Uisg aru do son domicile dopuis lo 5 novembro
COn cro it quo B érard s’e s t jeto volontaire­
m ent dans lo fleuve, car il avait m anifesté à
diverses reprises l’in ten tio n de so suicider.
B E L L E S AVES. — M ort de froid. — V n
malheureux no vivant que d aumônes,^ le
nommé A ntoine V ivier, d it Jan v ier, ago ae
trouvé m o rt le îenucm aia u i^y u
J
rie où il l’a v ait installe pour .la n u n ,
M lo docteur B aratier,.q u i a examiné lo
succômbéo à uno congestion causes p a r lo
froid.
-______ »
changements so négocient : 1? C rédit Lyon­
nais à 1.205 ; le C rédit Foncier à «93, e t la
Banque de P aris à 1.621.
Les Chomins franoaia w tw s e n t M erf7
m ent ; le Lyon à 1.806; le Midi à 1.112, e t
lo Nord à 1776.
, . 0
t u „A«««« /la 19. AA nnt sera cave le 2
l’em prunt o % or u ü ^ v 1“
demandes suivies so produisent sur ce titr e
qui est avantageux non seulement au-point
do vue do son rendem ent, mais également
en raison de sa marge im portante pour son
remboursement au p a ir.
.
Cevreni-Breg reste à 241, en baisse împor1
__ .dû _ .
<m i t
DO
nide. On no signale d'ailleurs quo
veiles ’favorables en co qui conocrao 1 exploi­
ta tio n do .la mine.
. .
x
M arché aetif sur l’Action C apiüitas, & 79.
C h a rles
Avis d’obsèquea
M adam o Léon R O D E , née VATJRY *,
M adam e VAT’E Y ; M essieurs Jo sep h efc
M au rice V A U E Y ; les. fa m illes COIDF I E E , B E L L ΠU F , TOBY, B O Y E R e t
P L A T E IX , p r ie n t le u rs am is e t co n n ais­
sances d e bien v o u lo ir a ss is te r a u
convoi de
Monsieur Léon RODE
décédé à T ours-sur-M eym ont, m u n i des
S acrem en ts de l ’E glise.
On &e r é u n ir a à la g a re do C le rm o n t
S a m e d i ?.9 Décem bre c o u ra n t, à m id i.
I l ne s e ra p a s envoyé de c a rte s d ’in v i­
ta tio n , lo p ré s e n t avis en te n a n t lieu.,
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M ad am e J . B O U R L E T e t M onsieur
Lossalas E tienne, âgé d o d o u zo
*
C A N T A L
versé p ar mégarde un recipient plein cl eau
j B O U U L E T , com m issaire a d jo in t des
P eu d e p erso n n es ig n o re n t quelle triste
AURILLAC. — U n escroc. — Un individu
bouillante su r lui. Lo corps, couvert d hor­
colonies en r e tr a ite ; M ad am e veuve
nui présente u n o c arte d’identité au nom do
ribles brûlures, lo malheureux a souffert pen­
in firm ité c o n stitu en t les h ém o rro ïd es, c a r
M IC H O N ; M esdem oiselles M a ria -A n to i­
Slou^iu, 25 ans, né à Thiors, a fa it depuis
dant. trois jours, e t est m o rt des suites de
c’est u n e des affections les p lu s ré p a n d u e s,
quelques jours de nombreuses dupss dans la
l’accident, samedi dernier. Ses obsèques o n t
n e tte e t A nne-M arie M IC H O N , eb to u te
m ais com m e on n ’aim e pas k p a rie r de ce
ou lieu lundi au milieu d ’11110 grande aifiuenl a fa m ille , o n t l’h o n n e u r de vous fa ire
g e n re de souffrances, m ém o a son m éde­
C°B eau garçon, correctem ent vôtu, Moulin
œ ; le« élèves de l’école o n t conduit leur ca­
p a r t do la perfco douloureuse q u ’ils vien­
so présente chez la personne ou d a 1.in te n ­
m arade à sa dernière demeure.
cin, on s a it beaucoup m oins q u ’il existe
tion
d’escroquer
e
t
invariablem
ent
lui
d
it
n e n t d ’ép ro u v er en la p e rso n n e de
M utualité scolaire. — L a réunion annuelle
u n m éd icam en t, T E l i x i r d o V i r g i n i e
les larmes aux yeux qu il lui jjanquo uno
do la société scolaire de secours mutuels J/i
N y r d h a l , q u i les g u é rit rad ic ale m e n t et
déterm inée pour re tire r du Mont-de
Jeunesse Prévoyante, a eu lieu dimanche 21 somme
Viété
u
n
objet
quelconque
dont
il
a
10 plus
sa n s a u c u n d a n g e r. On n ’a q u ’ù éen ro
co u ran t sous la présidence do M. B e ri.tr,
Carton bristol j S Ù . ) l9 Cent
u
rg
en
t
besoin,
fio
u
lin
pleure
avec
«no
con­
K 6 o R o s e GA2S35T
NYRDILVL, n ° 2 0 , ru e de L a lto c lie lo u chevalier do la Légion d bonueur.
C
arton ivoire i 3 fr. y
viction
telle,
il
a
des^
actes
da
desejpou
si
D’après lo rapport- do M. Picaro, tréso r« » ,
c au ld , P a ris , p o u r re c ev o ir fran co la
e t vous p r ie n t de v o u lo ir bien a ssiste r
a tten d rissan ts q u e . gcneralom ent, nmme si
F ra n c o à dom icile
la société est en pleine prospérité. Au d i
b ro c h u re ex p licativ e. On v e rra com bien il
a u x obsèques q u i a u r o n t lie u S a m e d i
la nersouuo a qui il s adreßso fl-A-iro
I
décembre
1905,
Je
to
tal
général
des
recettes
Les plus belles C a r te s d e V i s i t e g a v é e s ,
â , PeÙo donuo to u t ou p a rtie do la somme
est facile de se d é b a rra sse r d e la m aladie
£9 couroriit, à n e u f heures, e n 1 cgliso
Lo p r ix des CARTES DEUIL
é ta it do 8.110 francs. Dans lo courant do
Im prim erie Mont-Louis. Clermont-t e r n ml. Carton
la
p
lu
s
p
é
n
ib
le
,
q
u
a
n
d
elle
n
’e
st
p
a
s
la
Donnée
1900,
il
«
é
té
payé
420
j
rauc^
°
F
N
o
tre-D
am
e
d
u
P
o
r
t.
>
^ R a ssé ré n é , Moulin s'en va plus loin con­
b risto l 2 f r .. ivoire 3 l r .. franco a éoimcri^.
varie de 3 fr, à 4 fr . le cent, su iva n t
indem nité aux sociétaires m alade^ BOO ti
p lu s do u lo u reu se. Le flacon 4 fr. 5 0 , franco.
O n eo r é u n ir a m aiso n m o rtu a ire , p la ce
Le prix des C artes de deuil van » de 3 fr. a 4 b .
tin
u
e
r
co
m
étier
qui
doit
ètro
assurém
ent
(tonds do secours m utuels) o n t eto pinces à
le cent, su iv an t la bordure deuil choisie.
la bo rd u re d e u il em ployée .
E x i g e r s u r V en velo p p e d e c h a q u e fla c o n
M ic h e l-rH o s p ita l, J l, A n e u f heures
___________ _
lucratif.
ù Caisse des Dépôts e t Consignations;
la s ig n a tu r e d e g a r a n tie N y r d h a l .
fr. o n t .été rép artis su r les livrets do re tra i­
m
oins
u
n
q
u
a
rt.
,
SAINT-CBRNIN. — Incendie. 7 ; ^ ^«*
ÏM P R ÏiliE R IE
te des sociétaires. I l reste en caisse a ce
L e s c a m p a g n e s e t la n e i g e
U no s e ra p a s envoyé dé c a rie s d in ­
le n t incendie a completemmit. d é tru it la
jo u r 985 fr.
grange de M . Bastid, pro p riétaire au Camc ita tio n .
P o n d a n t quo nous p a ta u g e o n s d a n s la
C l T G . M 0 N T - L 0 U IS
M \N G L IE U . — Comité républicain.
b o u e glacée, c’e s t u n e co n so latio n P a ­
^°Lcs
pertes
subies
par.
Mme
Vvo
Dauzok
,
V
j ' _rtrc.sidu
C LERM O N T-FERR AN D
A v i s d ’O b s è q o e s
n iq u e , n iais u n o co n so latio n to u t, do m iferm ière do cette, pro p n eto depuis plus üo
mo de p e n se r à Finlluenco b ie n fa isa n te
40 ans sont supérieures a 1 assurance.
M ad a m e Jacq u es * ItO U D A IR E ;
CliO dernier, au icmuu
-------inf\rr«
tic la n eig e p o u r les cam pagnes.
Lo
b
âtim
ent
é
ta
it
assure
lo.OQO
finnc.s
Co
M
adam
o e t M o nsieur J u le s C R O V H IT O ;
reau. A l’unanim ité, le bureau do ll«M a
D e p u is la sécheresse de } a n d e rn ie r,
los récoltes y contenues, notam m ent uno
été m aintenu ; MM. G uypt-D ^saigno^c l a ­
M M . H e n ri e t H dm ond C B .O V E rIO ,
crando q u an tité de foin e t -les înstriuncn .»
q u i a v a it t a r i p a r to u t les reserves aqueuf 6 9 b. m. •
bre 4 , mai 1 0 et conseiller general cio \ icM ile Y vonne C R O V E TTO , à M ontePP.2SSU0N
agricoles
qui
o
n
t
été
la
5
^
q
U1
j22*"
7
ses, le besoin de la neige s© f a i s a i t v u e
713*•
9
J
ô
-m
id
i....'
l c ^ m t e é ta n t présidents d’honnour
n
’étaien
t
assures
quo
pour
0 .0 0 0 fiar.es.
*THôy?CiiR.\LUB
623**
1
C arlo , e t to u te la fa m ille , o n t la dou­
I a 3 L. s* • • 714e* 7
M F ab re, malgré la rig u eu r d u temps,
E lLo isoF&aifc •tellem ent a lté ré à la fin
F*é"ts*it fuit un devoir de sc rendre au milieu
le u r do f a ir e p a r t à le u rs am is e t con­
—
8
0
0 8
/ K
h. 9 h. » . . .
Du 27 Décembre
MAURIAC. — Déceptions. —: U n ’y aura
<lo l’été, q u e m a lg ré les q u a n tité s de
cD scs amis do Manglieu.
#
naissances de la p e rte c ru e lle qu iis
—7 6
«
4
• I à lz x i îd l . . . .
.as 0 0 réceptions officielles ù la sous-proiccp lu ie successivem ent tom bées, les i u ^ D ans uno v ib ran te aUoonUon, il
0 6 —8 8
TEMPÉRA. TDK* • l à 3 b . 8 . . . .
v ie n n e n t do f a ir e en l a p e rso n n e ue
C o u rs a u c o m p ta n t
urc lo 1 er janvier.
#.
£ a u X e t riv iè re s s o n t loin d a v o ir t u
—88
0
0
W
Eiaitaun
Postes et télégraphes.
Mllo Eu^emo
l ‘Uv n iv e a u m o n ter commo on a u r w t p u
2 6—5 7
. ^ ia ax lm u n
3«/* amorfissab. 9G 40 Obi. Ouest 3 % . . 433 .,
Griffel, do M auriac, qui subit avoo s u c c ^ le s
f.; en on oser ; lee u n s e t les a u tre s se so n t
Act. 0 . - Algérien. 639 5
examens
dc
3 postes e t telogrnphes, vlent
100
70
"oniles, m a is f o r t p e u e u t débordé, com­
; . I à 9 h. » . . .
VILT.K DE PARIS
e t les p r ie n t de v o u lo ir bien a ssister a u
Ob’. — 3°/® 428 .
actuelles : l'êixiraUon ces jùousls e *
1 «100
d’èfcro
nommée
damo
employee
u
Dreux.
:
ntjiasnivft
61
midi........
m e en an n ée n o rm a le c ela s e r a it c - r ta ii
Act. Sud France. 238 .
ta t. Assistance aux vieillards, Im pof yar lß
25
convoi
e
t
à
l
’.office
q
u
i
a
u
ro
n
t
lie
u
debligalioDS
1865.
533
100
E t a t ï y , l à 3 h. » ...
57
422 .
revenu, D étruites ouvrières, etc. Ce discours
Obi. — 3 ° / .
'
—
1869.
450
m a in S a m e d i S9 D écem bre, à n e u f heu­
T
S
Ä
vue rie n ne p o u v a it
A c.J. Gaz Parisien 3 '.G .
a été coupé p a r les acclamations eu t nou­
..
—
1871.
410
IL 0 3 B E
29
e®
7
a
i,s. pjjue
... res e t dem ie, en l ’église' de S t-L u tro p e^
Act. Transatlant..
f : ro p lu s h e u re u x ou© i*a rriv é e de là
—
1875. . . .
ai astes do to u t l’auditoire.
.
SAINT-ETIENNE. — Le drame de la r v t f
Ac.Mescag. Alarit.
Après
un
respectueux
hommage
ren
d
u
a
U
no
s
e
ra
p
a
s
envoyé
de
c
a
rte
s
d
’in
v
i­
V—
187G.
.
.
.
n®i»se. Les céréales d 'a u to m n e e t s u r to u t
df 4nnonay. — Ainsi que nous le faisions s
N.N.O
Ac.Omnibus Paris
o
.
s
.
o
.
50
M
.
Quyot-Dossaigne,
lo
Comité
a
decido
dq
1802.
370
U s blés d o n t u n g ra n d nom bre a v a ie n t
ta tio n , le p ré s e n t avia en te n a n t lieu.
VWT
m
alheureusem
ent
prévoir,
Ir.fort
Actions Malüdano
‘
1804-9Û
372
las.
fort
prendre part., û ^ j o m on tête.
ité S
A
p a r la s - k h c r o ^ c t a q m
reçu t un coup do revolver dans l© dobi. do
ta tio n organisée a Clermont, on 1 honneur
O n so r é u n ir a m aison m o rtu a ire , ru e
' • Ü & f ë X • 1898. 424 50 Ac. Tram. Génér. 611 . .
tes d e rn iè re s p fu ies a v a ie n t etc tic s pi©
Ja damo Breysso, est m o rt des suites d . sa
A .^ G é n .d ’élcct. 720
/ 1899. . . .
do M. lo hlînistr© do la Justice
7 4 9 -1
\’i DAROMtïR*
[
S a in te -O la ire , 4.
W s s o tro u v e n t a c tu e lle m e n t a u m ieu x
A.Par.amaB.àlots 115 . .
Enfin, après les romc-rçiemjnts go M. UhM
r
^
£
S
"
-J1904.
.
.
.
iiip .a u niv. dejnerf
avoo ' 1 ê ç a is m a n te a u do neigo d o n t , b
% - v 1905. 878 50 Ac.Dynamite cent. 637 . .
«ard, lo Comité s’e s t séparé aux cris répé­ W C?2 b mercredi soir, a. 4 heures, que lo dcA ujourd'hui Vendredi 28 Décembre
Anglais c.21/2*/»
,
A v i s d ’O b s è q n e a
té s do : « Vivo la République! »
CRÉDIT FONCIER
«
Ä
Ä
1° nombro des
98 SÔ
Autriche 4 0/° o r .
E° D ’a u t re ^ p a r t , le . p r a ir ie ,, d o n t cerTEMPS
PROBABLE
victimes du dram e do la ruo d Annonay .
97 JT»
V
M me B A .TU T; M. E u g è n e B A T Ü T
Chinois 4 ®/*or..
ObLComm.
1S79.
471
■n
— Fédération républicaine. —
îo m ourtrier, la damo Breysso e t l’agent
504
2 ..
Chinois
5
«/o
o
r..
Foncières
1879..
501
e t to u te la fa m ille o n t l a d o u le u r d e
Dimancho dernier, 24 décembre, les prési­ M ure.
Egypte unifiée.. . . 103 * 1
____________
—
1883..
437
dents des différents comités e t_^es m aîïes revous fa iro p a r t d e la m ont de
L
Privilégiée 1 0 1 .
—
1885.. 403
S
T
d
Ä
do l ’h u n û d ité p t e
* „f VKftam vors nos cotes oo i v/ceaj..
pnblicains du canton so sent, reurua salle
98 1*
Hongrois
4°/* or.
Cominunalca 1SH 382
C O R R È Z E
Bicard-Bai-goin, sous la presidenco do M.
r% ° n4 m p s sera fcrid. o t U y a u ra quelquea*
93 lu
Japon 4 ° J ° o r ..«
ô t a n t e de la neige q u i v a Ica p en ctrcv
—
1892 453
BORT. — Ponts et Chaussées. — M. CruèJu lien Corre, conseiller général, president
70 8 *
Portugais nouveau
Foncières 1895.. 4GC»
orjie A ntonin, commis principal des P onts e t
do la Fédération républicaine.
93 Jji
D octeur en M édecin6
Roumain
4°/ol
898
jUI T o u t o n f q 4 Uh te m p fr a tn r c W
ocLevered?soleil
7
h.
55
m
.,
coucher
4
li.
7
s.
Communales 1899 458
dhaussées cle promièro classe, servico du eheTous los m aires ot presidents é taien t pre­
78 2-i
Russe consol. l re2°
Foncières
1903..
493
tu e llo c o n v ien t a d m ira b le m e n t a u x vin s
Lever
de
la
lune
2
h
35
s.,
coucher
5
h.
25
m.
m m de fe r de B o rt ù NcussarBUjs, sera a t ­
■’d écédé à Genève, lo 26 décem bre 1S0Ö.
sents ou avaient adhéré p a r lettre.
50 — so/^isoi-o; 04 2-;
Communales
1906
498
P. L. le 30. - D. Q. le 7.
E n quelques mots ,lo president a ^xposé taché, à d ater du l or jan v ier 1997, dans lo
n o u v eau x .
62 73
U n service fu n è b re sera, cjiébro en la.
— S o/o 1896.
départem ent de l’Avovrcn, au sorvice^o che­
le bnb do la réunion : récepticm do M.
VALEURS DIVERSES
69 2ü
— 3 1/2® /“ 94
b
a
siliq
u
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de
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tre-D
am
e
d
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P
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r
t,
à
C
lerI/éc3Jpsc du 13 jaunie*
m in d e fe r, en remplacement do M. H u iarv .
Guvot-Dcssaignc, m inistre do la juaraco.
— Intér. 4 ° / 0- 72 :u
B.
Paris
eLPays-B.
4620
mont-FoTrand!, S a m fid t m a im , à h u i t lknquo d’Algérie. 1240
L’emploi a c t u e î W n t occupé p a r AI.
*Al’unanimifcé, il a e tc docido ^ne ^ c^ “
B.T. Russe5“/* 04 484 . .
TTno. éclin se de soleil a u r a lie u lé. d ito n do R andan se ra it î-eprésente à la ré­ iCruègho est supprim é.
66
h eures. S es p a re n ts e t am is e o n t p rie s
N. Russe 3 1 /2 °/«
C. NaL d’Escomp. 692
85 te
ception do M. le G arde des ^ e a u x o t quo
Serbe
4
°!0.ß
.
.
.
.
SUR LE
Crédit Lyonnais.. 1198
USSEL.
Mariage. ' — D ernièrem ent a .
les délégués ae rendrai mit a Clerm ont avec
Ottomanes Priorit.
Société Générale. 661
^
L
’in
h
u
m
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tio
n
a
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a
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airrt-F
loété célébré à ß ain t-I^ o n ard :
Douanes Ottoman. 498 . .
‘ Gueîma
" *
675
Act. Bône
l’a ^ b l é o n
docteur M ajour, roçeimnont installe » M
re t, à d eu x heures.
.
A.CbcminsAutric.
435
—
vote des f è H o i t a t i ^ à m Gtomot pour
avec Mlle M arguerite G aillard, fillo do 1an ­
I l ne s e r a p a s envoyé de caa^es d în v i- Obi.
c erfs-v o lan ts m étéorologiques e t, d a n s
—
l r® 445 !.
Act.Esl-Àlgérien. C85 50 Ob.
336 5«
O.Lombardes3°/0
cien m cd coin-major.
434
ta tio n , le p ré s e n t aviô en te n a n t lieu*
Obi.
—
4°/o
670
Actions E s!
.
O n se r é u n ir a à l ’église.
Obligat. Est anc. 438 5G O.Nord-Espag. l r* 372 8;
Les multiples dispositions do la Loi
MARCHE aux b e s t ia u x d e l a v il l e t t e
Obi. Saragosse l te 400 . .
0 . P.-L.-M. f. a. 447
du
1
3
.lulltet
1
9
0
6
établis
Ac. Agence Havas 725 . .
Marché
du
27
décembre
439
—
f.
n.
SAINT-BONNET P R E S CHAÜRIAT v*
ïï ï
»
Act.Wagor.s-Lits.
408
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le
R
epos
hebdomadaire
—
2
1
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ü n voisin bruyant. — Une cey&ame poi13 5*.*
Bons delà Prcîse.
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prix EvraàMES
Actions
M
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Kouno da la localité s e st amusée ces nuits
n ’é ta n t c e r ta in e m e n t p a s t r è s c o n n u e s
Ac.TabacsOttom. 455 . .
439
Ob!.
Mid
3
°/o
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v
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n
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» tir e r des coups do feu, reveiJ^, Espèce {am ené
44 . .
Etat civil de Clcrmont-Ï?«**»®«1 dernières
d e s in té re s s é s , n o u s a v o n s c r u le u r
Obi. Nord 3 • / .. 450 50 Act. C hartered...
viande n et j poids vif
la u t ainsi to u t lo village. On se uomwiao si
A.Llac. Hartmann 820 . .
444
0
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Orléans
3°/o-*
pu 27 décembre lbHjo
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cette plaisanterie va durer*
Actions O u est....
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n o s b u r e a u x e t p a r la p o s te , le s d o c u ­
*
Au
Centre
de
la
Ville
Décès
57
à
4
02
7
0
0
14
h
l
Bœufs.l 1.603. 1 422 1
SAINT-VINOENT — .L is te s électorales.
H andier AppoUine, couturière. U Mis, rnc
V a le u r s à terme»
621 1 0 2 îi 1 0 8 0 50 à 1 60 m e n ts c i-a p rè s :
677.
— L a Commission chargee do dresser La lis­ Vaches
,r~T
48 h 0 72
• ••. • w
32
0
98
à
1
223
0
Rento
3
95 32 Italien...............
te
électorale
do
la
commune
de
Bamt-VinTexte
de
la
loi
du
13
J
u
ille
t
1906.
0
.S
0
234
T a u r..
p o S e t l b s e ; veuve Girodios, 80 ans, placo
£297
..
Rio-Tiulo............
77
à
1
40
35
0
Banque
Mexique.
1017
.
.
40
li
2
cont pour 1907 est composée do la m anière Veaux. 4.233 1 .493 1
1287
..
Sosiiowice...........
Texte
du
décret
du
24
A
oût
1906
T>Iichel-l’Hospital, H*
union 24 ans.
76
ä
1
12
Banque de Fiance 4485
suivante : Président, M. Chùndezou, m an o ,
M out.. 1G. 075 13.675 1 50 h 2 24 0
N ord-Fsçagno... 275 . .
Générale.
délégué do l’A dm inistration. M- C^omband,
10
à
1
28
Société
organisent
le
contrôle
de
1
apPorcs.. 4.228 4 228 i 50 à 1 82 1
C o n v e n a n t à to u s .g e n r e s
Saragosse............. 329 .
Thomson-Houston 730
délégué du Con&eil municipal, M . Piallo*
t
plication do la Loi
u .io
j l 54 à 1 82 1 08 à 1 28
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Maigr.
Russe 4 “/* 1901.
675
Banque Ottomane.
I
i
87 .1 î
Russe 5 ° / 0 1906.
Feuilles du reg istre d'inscription
Crédit F o n cier...
94
gros bétail e t 1^
S’adresser
au
bureau
du
journal
ou
au
Turc
unifié
4
°/°.
VIRLET. — Comité républicain. ~ - L °
Suinte-Claire, 4.
1310
V ento difficile pour lo.
P .- L .- M ........
des em ployés et ouvriers soum is
Üaiscanccs
Comité républicain démocyoUquo do V irlot,
Do Bccrs............... 59t . .
concierge du n* i0 de la rue Savaron.
moutons; oalnio pour les veaux, moyeano
N o rd .
•••••• 1777
A
un
régim
e
spécial
do
repos
rém
ii
en
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lé
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générale
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RandrMiaes......... 157 ..
Allégro Victoire-NcélUvM anc-Gitberte.
p o u r les porcs.
Orléans. . . . . . .
pour
le
renouvolLeiuent
do
son
bw
eaii,
a
Gold Helds.. . . . . . 102 . .
............................
Z
F
eu
illes
de
tâ
te
Métropolitain.
.
.
.
• R igaud Charlas-M ary-jlgne.
S u • P résid en t d’honneur MM. Batafilo,
Ibsst-Rand . . . . . . 106 . .
Rafiinerie
S
a
y
...
Les mêmes : Feuilles intercalaires. 0 .1 5
Tliarsis..............'. 224 . .
sénatour. e t Bravy, conseiller general ; preOmnium
Lyonnais
F i n a n c i e r Affiche indiquant les heures de roGape-Copper......... 239 ..
cîAmi? «ffectif M. Poynot ; vioc-president,
Briansk................
C O R R ESPO W 0Ä N G ES
Huanchaea.. . . . . 130 . .
M. Lecuyer; secrétaire,, M. M onestior, ins­
S
u
er.....................
vos aux em ployés et o u vriers
L e R io continue h a ttire r l’atten tio n
titu te u r; tréso rier, M. M eunier; assesseurs,
95
10
Extérieure
4
%
.
•
so u m is à un re g im e s p e c m
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n a r ses violentes oscillations •: il debuto aaMM, Beatm© ©t Caillot.
..
Pris
dans
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bureaux
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298,
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2
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pour,
finuieA l’issue d e I» séance, une adresse de feu-;
B O U R S E D E L Y O N ( 2 7 décembre^
citations a été votée en faveur du.gouverne­
tom ber on clôture a 2 .ÄU.
6 c e n tim e s en plus pour recevoir par la poste
G
azeuse
L
’ensemble
du
marché
e
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lourd,
Cours communiqués par la Société Générale
m ent.
_______
les transactions sont clairsemées.
Pr.cbim iq.d’Alais 1525 . .
Teur ifeil» dém issionnaire p o u r couse do
Bergougnan
3373
N otre 3 % se tr a ite a 95,JA
ALLIER
Sfie Chardonnet. 805 . .
—
nouv.........
Les Fonds russes sont
i ?cna •
Usines Rhôneord. 541 .„
Torrilhon
179
a i v v a t C. fr. — L’Union Qy1906 à 86,95; le 3 % i m , u 63,7o; le 1896, a
—
7
—
priorit. 19C .
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uy-dePlaques Lumièro. 770
cliste Gannatoiso s’est^ réunie le 25 dooem-- 62.75, ©t le Consolide a 77,4e.
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bro pour procéder à l’élection d tm nouveau
L ’E xtérieure espagnole- f a it 9o,16* lo iror
Comité pour^l’annéo 1907. O n t é té élus .
«Ç , * « j —
J;
C h a u v a y e , p ar le V e rn e t-la -V a ra n n e .
tu g ais 71,07, o t lo Tui'o 94,30.
P résident, M. M anon, directeur
£ c s Etablissem ents de crédit sans grands
d t Gannat ; yice-président, M. J . i nom a s ,
nouveau 1661 fr .; Total, 18.238.q u i a v a it b a rb o té d a n s les finances d a
M ain tes fois elle n v a it
la société e t m angé le m ag o t d un© cua
n îai6 scru p u les aux q u els e lle a \ a i t obéi
das p ro p o s sem blables, q u a n d ü m ’a dé- I
— re
P era
rso
en re p o u ssa n t les différentes occasions scs clientes.
S a bouche s’e n t r ’o u v rit, sa re s p ira tio n
m an p a u v re ?errana
ra n a m
o onanue .. «Lj*e m onde o u t u v i v r ^
A h l... rép o n d it-elle.
cidéê à " q u itte r m
m ere,
ere, 1 d éso rm
ais
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q u i t a n t de fo is d’é ta ie n t offertes A
F e u ille to n Au M o n ite u r d u Puy-de-D Cm *
M ais son e s p r it é ta i t lo in .
q u e je n ’a i p a s encore e u le -courage cle co n n u e... D ’a ille u rs , t u ©a d é jà bien
elle#
f •
^ ^ Q u ^ a s - t u ^ d o n c l d e m a n d a la je u n e
—
_
87
D en ise D avenesle !
,
,
re v o ir d e p u is m a h o n te !... I l e st v ra i
changée, e t lo lu x e d o n t t u v a s jo u ir t©
L
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’évocation
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t«.A maIiiî n u i »e f a i t a p p e le r L a v e rd a c
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t r a n â o r m e r a d a v a n ta g e .
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son m isérable p è re q u i 1 a v a it je tte
r Ä Ä l i t - i l comme
év an o u i r e p a ra is s a it d e v a n t elle.
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ce
d 'u n e fièvre so u d ain e, je te défie de le
d a n s son âm e.
.
,
C ’é t a i t D e n ise !... C 'é ta it la fille tte r.crue nous fe rio n s l à ?
. . n, .
D ep u is, les sophism es em poisonnes de
à côté d e laq u elle elle a v a it g ra n d i, I —
reaiiBCT
»ü» fu lg u ra n c e s p
,
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ici.
C est son a m a n t a v a ie n t anesthesie p e u a p e u
ré
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lis
e
r
o u v rit la bouche p o u r le questioncom pagne de son e n fa n c e !
no t ’a p p re n d s rie n de n o u v eau la-dessu..-,
donc elle q u i, de g a ie té d e cœ ur, renonce
cette conscience chancelante*
D u r a n t de (Longs m ois, to u te s d e u x
à cet a v e n ir d o re que n o u s iecu e illo n s à
n ’ost-ce pafi, Ja c q u e s?
D ésabusée, écœ urée p a r ses m a lh e u rs,
n ' l i la d ev an ça ,e* s’é c ria d 'u n e v o ix via
v
a ie n t vécu côte à côte chez la m a m a n
— NTe songeons p lu s a ce p a ssé o d ieu x ...
sa place. D ’a ille u rs , a s-tu des ra iso n s d e
elle so p e r s u a d a it m a in te n a n t q u e ü e
tar
C
ham
bly, à l ’a te lie r ....
A in si, t u ne te défends p a s d a v o ir rêvé
la m én ag er ? L a c o n n ais-tu «
a v a it à se venger, elle au ssi, de la soS o u h a i t e r a i s - t u d ’ê tre la p lu s r i c h e
L a douce c a m a ra d e rie des p re m iè rc a
P ie rre D E C O U R C E E E E
— N on.
«...
h,*.
e t la p lu s enviée des fem m es, d a v o ir les
UiT o u r“
m ’e n d é fe n d ra is-je ? J e
années do l.a vie les u n is s a it.
— E h bien a lo rs? ... J e t assure, en
°1 h t v ision des M ille e t u n e N u iU que
p lu s som ptueuses to ile tte s , les p i« 8 b r i l­ Buis fra n c h e ... J e ne l ’a u ra is jam aisi de­
Les o u v riè re s q u i ti r a i e n t 1 a ig u ille a.
ce q u i m e concerne, que le p la n que noua
T„nnrpa v e n a it de fa ire m iro ite r a u x
la n te s p a ru re s , les p lu s su p erb es chevaux,
le u rs côtés en fr e d o n n a n t los re fra in »
m an d ée à l a h o n te. T ii sais encorei cela.
'Tnsa H i vas s e r a it c ap a b le d© d é co u v rir
allo n s m e ttre à e x écu tio n n ’ex cite p a s
y e n s ex tasiés de c ette égarée e n d o rm a it
lo p lu s bel hôtel de P a ris ?
de le u r joyeuse p a tro n n e les av aie n t
— O u i, je le sais, R o lan d e. N o vions-tu
chez m oi l ’om bre d ’u n re m o rd s... C elle
— T u d iv ag u es ! m u rm u r a - t-elle,# ia
ses
d e rn ie rs scru p u les, e t a
b ap tisées d ’u n s o b riq u e t a n e o tu e u x eu
n a s enoore to u t récem m ent do le p ro u ­ q u i a v a it circonvenu si h ab ilem en t mon
se liv r a it en son cerveau dévore d a m
gorge serrée p a r u n e espèce , d; angoisse.
e x p re ssif que R o la n d e sc r a p p e la it e n v e r ... A ussi, to n h o n n ê teté n est-elle p a s
p è re e st u n e in g r a te q u i n ié rite d e t r e
b itio n ne p o u v a it av o ir u n e issue
I l secoua l a te te e t p o u rs u iv it fé b rile ­
oore :
p u n ie ... E t n u is ce n ’est p a s n o tro fa u te
m ent ,
,
. ». •
Les d e u x fra n g in e s !
,
60 E x p liq u e -to i d o n c !... Avec tes dem i- si elle boude d e v a n t des m illio n s.
tC^ !e'Si Jo sé R iv as m ’in te rro g e , que lu i
R é p o n d s - m o i ... R e p c n d s - m o i v i t e I
E
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“ T u  a i r e , l a p e tite r é v é r a i t les
— T u m e donnes le v e rtig e !... M ais
r é p o n d r a i- je ^ ^
^
à
— J e te rép ète q u e t u es fo u !
ces d é ta ils à Jacq u es.
fièvre,
ou
p
lu
tô
t
t
a
dém
ence.
m é fa its d e son fr è re d ’a d o p tio n , e t c e n
— O ui, p e u t-ê tre ! CTcst a u i l j a do
Jcsô j j * ^ g Q Up ^ n n e r a abso lu m en t rie n ,
E n quelques p a ro le s, Jacq u es B ru n eE lle ee ra v is a .
.
é ta i t f a i t p o u r ja m a is des esp eran ces qu» q u o i le d e v en ir... T u t ’e n ap erce v ra s to u t
re tro u v e r é ta it une e n f a n t d e q u a tre a n s
Q u ’a v a it-il besoin d ê tr e m is a u ooum
o
n
t
r
a
c
o
n
ta
l
’a
rriv
é
o
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de
Jo
sé
çelu i-ci f o n d a it s u r les b o n n es d ls PCkU" à l ’h e u re !... M ais, encore une fois, ré ­
a p rè s la co n v ersa tio n q u e nous avons
a u m om ent de l a co n d am n a tio n de son
r a n t de ces so uvenirs ?
^
R iv as, so n odyssée p le in e do p é rip é tie s
S o n s T > eon é g ard , d e oo re v e n a n t m ilp o n d s à m a q u e stio n ... V cu x -tu t o u t ce­
p ère. E lle n e d e v a it p a s en , sa^ xJ
.
A in si, c ’é ta i t la p la ce de D enise,,
p o ig n a n te s e t le b u t do son v ° y a S®‘
. I eue.
lo n g non p lu s s u r son com pte, M lle De
s a p e tite fra n g in e d ’a u tre fo is , q u elle
C ’e s t in c ro y a b le !... m u rm u ra la
3
N teis 6 hT^pèré d e cette' je u n e fille
^ ^ ’é ta i t là u n e ab o m in ab le Pe rf ^ €ctp1''®‘ lla L‘ T u v as en co re m e p ro p o se r de re ­
nisc D avenesle...
.
a l l a i t p re n d re .
U y a v a it d e q u o i se b ris e r la te te con­ to u r n e r ru e B lan ch e t.. . fit-elle avec vélui-m êm e, «’i l n ’é ta i t p a e couche sous
R o lan d e p o u ssa u n c ri é to u ne.
iC^ C ’e“ p o u r ta n t a in s i... E h .b ic n , céÉ- l a te r r e boréale, ne d é m ê le ra it p a s la
E lle h é sita.
- ,
D enise D avenesle, as-tu a i t i
t r e les m u rs.
. A
M ais 1 im age de îa richesse e t d u lux
B ru a e ra o n t s ^ tre ip m it lc f r o n t à d eu x h é m e n e e ^ ^ n e s a u r a i t p lu s ê tre ques­ t& f o r tu n e q u i noue to m b e d u ciel, ces r i ­ v é rité p u isq u e l ’e n f a n t n a v a it p a s
q ue Ja c q u e s S r a it f a i t b rille r à ces yeux
chesses é c ra sa n te s q u i v o n t tra n s fo rm e r
q u a tr e »ns q u a n d il a m is p ru d e m m e n t
m a in s , com m e p o u r e n f a ir e j a i l l i r une
H M ais tu n ’as ja m a is désig n é d e v a n t
tio
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id é e reb elle .lo rs q u ’u n b r u it de p a s rém oi, t a sœ ur d ’a d o p tio n que sous le
— D e q u o i donc, a lo rs? ré p liq u a RoA llait-elle ren o n cer p a r u n v a in ßorr
r
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allons
n a v s . A llons, décide-toi!
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.
so n n a à côté de lu i, s u r le t a p .
nom
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C
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_
.
,
..
pu
le, à ces sp len d e u rs, t a n t de fois. r.<jn
n o u s y rencnoeT ?...
.
— Ä h ! je n e sa is p a s ce que je dois
O ’é ta i t R o la n d e q u i v e n a it d e r e n tr e r .
— C’é ta it celui que lu i d o n n a it m on
A v a n t to u t, aoooptes-tu l a fo rtu n e ,
voitées
p a r son im a g in a tio n r u v ^ e ?
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Ja c q u e s n e l ’e n te n d it p aa, t a n t il é t a i t
f a ir e ! ... p ro n o n ç a R olandç,p è re en so u v en ir d ’une e n fa n t q u il
l ’in c alcu lab le fo rtu n e q u e 1 0 t ofTret
—
A
lors,
fit-elle d ’u n e v o ix b r ève, t
flam
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D a n s c e tte âm e de, révoltée, com m ent
ab so rb é d a n s ses réflexions.
.
_ B elle d e m a n d e !... Q u elle e s t la fem ­
a v a it p erd u e.
ne
sais
p
a
s
ce^qu’e liq e s t d e v e n u e , cet
d
e
R
o
lan
d
e.
.
,
»
i l f a llu t q u ’elle s ’a p p ro c h â t d e lu i e t
l a p ro b ité e t l a b i t u r e auraienjiflK ®
— Son v r a i nom é ta it d o n c î...
me n u i n ’a m b itio n n e ra it p a s u n p a re il
Eli©
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son
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D e n is e
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,
l u i to u c h â t P é p a u le p o u r q u il re le v â t la
— C elu i que je viens de p ro n o n cer.
a v e n ir ?... M ais, en co re u n c fois, p o u r­
(A suivre.)
C elui-ci, d ’a ille u rs, s’em p ressa de p ré ­
tè te .
.•
N a tu re lle m e n t, t u é ta is tro p Sa^ e»
q u o i p a rlo r de rêve« insensés
ciser.
I l p a r u t se ré v e ille r en s u rs a u t.
e t moi-mÊme j ’é ta is tr e p e n f a n t aible que tu p o rd es a oe p o in t to n sa n g
T o i! fit-il d ’u n a i r d is t r a it ... T e voi­
;es canailles o u ïe s m & SantS. -nour a v o ir co n n u 1 h is to iie de ce D a
fro id ?
, , .....
c i de re to u r.
,
les honnêtes
âvadt
venesle. u n caise.igr d u C ré d it U n iversel,
— J ’a i to u te m a lu c id ité .
T o u t à c o u p les y e u x de Ja c q u e s s aE lle a jo u ta avec â p re té
«.mèrement*
g r a n d ir e n t d ém esu rém en t, b r il l a n t d u n
— M on n è re aufiSt. jauifl m ’a v a it te n tt
î é c la t sin g u lier« <
L es
H é m o r r o ïd e s
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I l n© sav ait pas tro p , cependant, com­
m ent répondre à son argum entation, e t
allum a une cigarette p o u r gagner du
temps. I l é ta it ferm ement résolu à faire
co q u 'il voulait, mais devinait que pour
y réussir il fa u d ra it opérer une longuo
et difficile persuasion. I l ne fa lla it pas
espérer La conduire à l ’autel contre sa
volonté.
Avant, cependant, q u 'il eût jeté son
allum ette, Régina s’é ta it levée. Elle
s ’appuya au m arbre do la cheminée, lo
regardant.
—Il y a des choses que tu ne sais pas,
dit-elle. Si tu les connaissais, tu no dési­
rerais pan m'épouser. P en d an t tout le
temps que nous avons déjà passé ensem­
ble, c’est à peino si tu m 'as jam ais p arlé
de t a mère.
Maffoello tressaillit un pou et leva les
jeu x , m o n tran t inconsciemment que cet­
to dernière phrase lui déplaisait.
— Non, dit-il. Pourquoi l'aurais-jo
fa it ?
— Tu avais raison. T a mère est m ain­
ten an t une des saintes du P aradis. Comincnt je le sa isi Settim ia elle-mêmo le
savait. Jo no veux pa3 p a rle r d ’elle à
présent. Je no suis pas digne de pronon­
cer son nom devant toi. Très bien. Saistu t toi, oo qu’é ta it ma m erci
— Elle est morte, répondit Maroello ;
et peut-être vau d rait-il m ieux laisser on
p aix sa mémoire.
— Mais mon père?... Sais-tu ce qu’est
mon père îC 'est un m auvais homme. Je
descends d ’uno vilaino race. C'est peutêtre pourquoi jo mo suis aussi aisément
mal conduite pour toi. Mon père a tué
un homme e t nous a abandonnées, bien
qu’il ne fû t pas poursuivi ; je no l'a i
jam ais revu. I l avait eu raison, d ’ail­
leurs, de tuer cet homme. J e n'étais
q u ’une p e tite fille, mai3 jo mo souviens,
Ma mère so conduisait mal. Il y avait
F euilleton du M oniteur du Puy-de-Dôme
LES LIVRES D’ETRENNES
C ollection « Plume et Crayon ». — V ien­
n e n t de p a ra ître : André le Meunier, te x ­
t e e t illu stra tio n s de G. Fraipont-, 1 vo­
lum e in-8° avec *1 planches hors te x te en
«■ouleurs e t 05 g rav u res en n o ir. — . b ?
JJoy de M a riu s ß o u illabcs, te x te e t illu s­
tr a tio n s do A. Y im u r, 1 volume in-SJ avec
4 plauche-fc hors te x te ea couleurs o t 1HJ
g rav u res en n o ir. Chacun de ocs
volu­
mes : Broché, 2 fr. ÔO. R elié avec nia-
toujours à la maison des figures nouvel­
les ; des gens qui arriv aien t ivres, et qui
nous battaient. Quand j'eu s aouze ans.
l'u n d'eux mo regarda avec des yeux qui
me firent peur. Ma mère lo m audit ; il
la fra p p a d'une pierre à la tête, et elle
m ourut. On l’a envoyé aux galères, e t
moi au trav ail, dans une auberge, parce
quo je n ’avais pas d ’ami«. Telle é ta it la
fam ille dcR égiua; C’est une race d ’assas­
sins et do mauvaises femmes. Si je deve­
nais ton épouse, telle serait la famille
do Mme Gonzalvo.Si Dieu noue envoyait
des enfants, voici lo sang qu’ils rece­
v raien t do moi, pour le mélanger à celui
do ta mere. Ceci est la vérité. Si tu crois
quo jo to dis une choso pour une autre,
allons à l’auberge do la route do F ra s­
cati. Paoluceio e t N anna savent tout.
Ils rira ie n t do bon cœur en me voyant
habillée comme une dame. Ils d iraien t :
« Oelle-ci est bien la fille de sa mère. »
E t co serait vrai.
R égina cessa de p a rle r e t atten d it la
réponso de Marcello. Maiù il n ’eu av ait
aucune de prête, e t le silence régna. Elle
av ait mis tro p brutalem ent la laide vé­
rité devant ses yeux, et il lui était im­
possible do no pas la voir. Il no pouvait
pas nier co qu’elle avait affirme, ni eô
persuader quo c’éta it sans importance.
E t cependant, môme à cetto heure, il
n ’avait pas l'in ten tio n de reculer ni de
renoncer à son projet.
Cette femmo lui av ait sauvé la vie,
l'a v a it emporté dana ses bras, l’a v ait
soigné conmio un enfant. Ello volait do
la n o u rritu re et souffrait elle-mêmo de la
faim pour qu’il no m anquât do rien ;
ello l'a v a it veillé à l’hôpital ; ello lui
a v a it donné tout d’elle, et serait morto
pour lui s’il l’a v ait fallu.
A présent', ello lui donnait quelque
chose do plus, car ello refusait d’êfcro sa
femmo p a r craint© do lui être un jour
ou l'a u tre à charge, e t que son origine
fû t reprochée à ses enfants. Aucune fem­
me n a u ra it f a it davantage pour un
homme. Elle av ait été son salu t e t son
bon ange ; quand elle Avait découvert
que la vio do P aris, fo rt am usante pour
clic, le tu ait, elle l'a v a it emporté en se
6acriiiant elle-même, puis l’av ait mis à
mémo de connaître ceux qui voulaient
l'assassiner. Elle l’av ait aimé comme
une épouse ; elle lui av ait obéi et e’é ta it
dévoué© comma une servanto; elle avait
veillé Bur lui comme un chien Adèle. E t
il ne lui avait rien donné en échange ;
pas un bibelot qui valût la ncino d ’etre
compté. Peut-être même ne l avait-il pas
réellement aiméo ; son amour av ait été
du moins, certainem ent, moins grand,
moius sincère et moins em preint d'abné­
gation quo celui do llégina. Marcello lo
sentait bien. La rép aratio n qu'il lui of­
f r a it constituait do ta lia it une marque
d'honnêteté. C’éta it la tentative do paie­
m ent d ’uno dette qui p esait sur sa cons­
cience, comino une dette d ’honneur.
Elle lui av ait fa it observer que si elle
lo ren d a it cncoro heureux, il ne lui p a r­
lera it pas cTo mariage. L a vérité brutale
lui causait quelquo honte, à présent qu’il
l’entendait de sa bouche. Ce n ’éta it pas
touto la vérité, mais c’en é ta it une g ran ­
de p a rt. Si Marcello so tro u v ait cncoro
heureux avec son amie, à présent quo
plus rien no pouvait les troubler, c’éta it
p a r la force d’une habitude, c’é ta it p a r­
ce que ea beauté éta it toujours merveil­
leuse ; c’é ta it parce quo la présence do
la jeune femme lu i é ta it plus précieuse
quo la dévotion do son cœur. A ujour­
d’hui q u 'il éta it un homme fait, il sen­
ta it bien q u 'il avait besoin do quelquo
chcco, et que, ce quelque chose, R égina
no p o u rra it jam ais le lu i donner.
On pout avoir l’amour sans avoir la
société, et les sortes d ’union qui déri­
vent de cette situation sont condamnées
été brûlées ainsi pondant des années,
pas un voisin n ’a u ra it une fois rem ar­
qué une odeur suspecte? Toute cette his­
toire n ’c3t qu’un roman absurde, un tis­
su do calomnies.
« On a dit qu’on .avait trouvé sur la
fonte do la salam andre des taches do
graisse et dans le foyer des résidus ti’os­
sements. C 'est faux, puisque deux jours
avant on l'a v a it nettoyée et complète­
ment vidée...
« E t je n 'a i plus rion à dire... »
On voit que l'arg u m en tatio n des dé­
fenseurs do Loonio C harretier est, sinon
exacte, au moius spécieuse, et qu'il con­
vient d 'atten d re les résultats de l'in s­
truction p our savoir, parm i ta n t do
bruits qui ont été répanduJ, ceux qui
m éritent créance et ceux qui, au con­
tra ire , doivent ßtro rejeté«.
lo dégoût dans beaucoup d ’intelligences bien
douces e t engendrent-, en dehors du m onde
des m athém aticiens do profession, u.no igno­
rance à peu près g én érale on m a tière m a­
th ém atiq u e. On so u h aiterait, au co n traire,
avec l’a u te u r do cet ouvrage, que l’introduc­
tio n des récréatio n s scientifiques dev în t sys­
tém atiq u e dans ren seig n em en t.
à ne pas d u rer longtemps.
Quand elle e u t achevé de p arler, M ar­
cella §§ een t i t très misérable, oarco a u 'il
ne pouvait pas trouver de réponse a oo
qu ’cllo av ait dit, quoiqu'elle n 'eû t en
aucuno façon le d ro it de le dire. Sa téte
lui faisait mal, à présent, dea émotions
subies et du manque de sommeil, e t il re­
g re tta it presque d'av o ir p arlé à llég in a
do son pro jet do m ariage. Il posa ra tel/
sur sa main, e t se m it à réfléchir. Kilo se
rapprocha do lui, e t ee tin t debout, com­
me elle av ait f a it le m atin, dans la pe­
tite maison du Trastevère. Mais <e n 'é­
t a it plus la mémo cho3e. Elle espérait
q u 'il élèverait sa m ain libro pour cher­
cher la 6iennc, san3 la regarder, comme
il faisait souvent. Mais il av ait saisi son
genou d'un mouvement fébrile, et nu
lova méine pas la tête.
Régina in terro m p it sa contem plation
tour regarder la fenêtre, e t vit que la
umièro rougeoyait dos premières lueurs
du couchant. Il a lla it fairo n u it; M ar­
cello s'en ira it, e t elle resterait terrible­
ment Beule. E t oo n 'é ta it plus comme làbas, dans la petite maison, où elle le «en­
ta it prÙ3 d'elle, dana la grande v illa au
h au t do la colline, et cachée sous les
grands arbres. R égina so tro u v ait à p ré­
sent dans un lieu étranger, et lui serait
loin, de l’a u tre côté du Tibre, avec la
grande cité sombro en tre eux.
Ses lèvres frém irent x^ndîuit un in s­
ta n t e t il lui sembla qu’elle a lla it pleu­
rer, bien qu’ello no l'eû t jam ais fait do
sa vie, sauf de colère ou quand elle était
touto petite fille. Elle secoua la tcio im ­
patiem m ent à cetto eimple sensation, et
la tin t plus h au t quo jam ais. Marcello,
leva les yeux, enfin- —
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