La Colonne da Saiiara
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La Colonne da Saiiara
ie ‘Numéro1>£5* Centimes Cmquante-cniêine Année. — N* 362 MONITEUR ABONNBBIENT8 ti a . O ffra n t................. ................. . I8®f. 09 tr . 5 0 tn liR b . BCr. DépartementflaPaj-Ae-PAm?etdépart,limit. 2 0 II * Too* te* aatres départem ents..,................... 2 4 13 » Los abonnements sont payantes d'jyanfo, — Le* dw iïftdes do changement d'adresse doivent Être accompagnée* do 60 ee^î. en timbres-poste. PUT INSERTIONS JOURNAL DES DÉPARTEMENTS DU CENTRE )Si#e«aafMc » rate JtoHkCMtfma, O w u tBoW orrgw tf. —Xei UaHtucrit» *um 4nêé+é*>u* ionl|MU reiidui. Annonces, *»• p a g e .» ,,«.«'**<•»•••••••.......................* 8 0 h l i p j . Réclames, i®8 p*gO«.*.a.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I * •“ Réclames. 3®* p ^ Locates, a g e . . ...................... page*............................ I 50 -* 5 ~ L’Agence Hara*, 8, place de la Bourse, i seule chargée, à Paris, de recevoir les annonces pour te Journal ouvertc p o u r découvrir la provenance <kf UN MARIAGE teu re à eau, p o u r les colporteurs, les r u t dans ces contrées. I I y a v a it une cet en g in m ystérieux. pes, a p r is des m esures telles que to u te m archands ao cartes postales. ville appelée à un bel av en ir à en ju B ruxelles, 27 décembre. h o stilité tom ba en d e v in a n t l’énergie R éun ion illé g a le ger p a r lo so rt de B en-O ussif d o n t la C e m atin , à 10 heures e t demie, a ©u d o n t nous allio n s fa ire preuve. Toutes gare dessert F iguig. 30.000 p alm iers en lieu le m ariag e de M. A ndré G iron, q u i B aint-Pétcrebourg, 27 décembre’. les garnisons échelonnées a u long du a v ait fu i de D resde avec la princesse to u re n t ce centre n a issa n t ot so n t p o u r L a police a suimriß h ier soir, d ans l’é-' cLemin de fer fu re n t renforcées, une coLouise do Saxe, et Mil© Jeaim o Braqn, les nomades q u i ne s a u ra ie n t se passer cole do K o rn ilo n , région de Schlussel k n c , grosse p o u r le pays, fu t réu n ie à belle-soeur do M. M aurice H ennequin, de datte3 un p o in t obligé de réunion. burg, une réunion électorale illégale L E 7 J A N V I E R 1 9 0 7 l’aide de tro u p es habituées à la région, qu i a ssista it avec sa^femme a u m ariag e M aîtres de Colomb, nous tononB donc d’environ 600 ouvriers. On a f a it oern4r P a ris , 27 décembre. civil à l’H ôtel do Ville. Le m ariag e reli Nous' commercerons en ftu illeton la. trè s entraînées et qui, dans la m ain local p a r des a g en ts e t des gendarme» les trib u s qui, si longtem ps, causèrent le gieu x a été célébré à l’église de Sainfc- elot on I l résu lte d ’une sta tistiq u e donnée a u d ’un chef habile, p o u v a it p e rm ettre a a rrê té tous les assistante q u i o n t publication do trouble dans ces parages. Le r a p p o r t de Gillcs. I l a été suivi d ’un d în er de 30 m in istère de l’in té rie u r, que 71 aivohe* d ’oser beaucoup. été amenés sous escorte d ans les diffé la colonne d'occupation, publié dans les couverts, servi chez les marié3, ruo du vêchoa e t évêchés, 73 g r a n d i sém inaires, L E S % C ette colonne était* superbe, pleine ren ts postes do police de la ville. M onastère. annexes ue l’in téressan te brochure édi 83 p e tits sém inaires, so it au to ta l 227 __________ d ’e n tra in . Chacun, fran çais, arabes ou tée p a r un officier d’état-ma-jor : « La établissem ents, av aien t é té évacués à . la A journem ent d’u n e loi légionnaires, e sp é ra it que l’on a lla it LA SANTÉ DU SCKAH Conférence d ’À lgésiras », d it que les datq du 26 décembre. S aint-P étersbourg, 27 décembre. passer de la défensive à l’offensive. On Téhéran, 27 décembre. ja rd in s abondent en fruit-s et legum es î L’Affairô T n m a z com ptait infliger au x B crabers tu r b u - . Le ftouss c ro it savoir que le Conseil abricots, am andes, figues, grenades, ju Selon los dernières nouvelles, l ’é ta t de PAR des m inistres a décidé d -ajo u rn er la 6O7 len ts une leçon q u i lee f ît re n tre r dans N ancy, 27 décembre. choses à 5 heures de l’après-m idi ét«Tit lu tio n do la question jubes, citrons, pistaches e t oranges, puis de la nouvelle loi ) ^ silence et l’om bre p e n d a n t longtem ps, s ta tio n n a is . Quelque te in ts a u p a ra v a n t co n cern an t lea ieraéîites A le x a n d r e D U M A S L’affaire T u rin az est venue dev an t le des oignons, des pim enta, des tom ates, ju sq u ’à la réu en leu r enlevant les idées d ’a g ita tio n e t 1b souverain a v a it parlé* d ’u n e 'fa # m nordes aubergines, des courgettes, des me trib u n a l correctionnel do N ancy. L’énion do la D oum a à laquelle il soum et de guerre comm erciale qu ils m anifes iTvakv ~________ vôque, entou ré de nom breux ecclésiastir N ous n'avons pas à fa ire l tioge des t r a les docum ents re la tifs à cette ques lons d ’eau et des navets.^ ques, s’est p résenté au p ré to ire devant tio n . L a D oum a d isc u te ra it le p ro je t e t T ro is M ousquetaires. C ’est V ctitv-re lo ta ie n t depuis p lu sieu rs mois. P o u r ceux q u i o n t f a it colonne sur une aallo comble. In te rro g é, le p r é la t M ais à peine fu t-il acquis que le gé les H a u ts P la te a u x Colomb-Bcchar, c’est é la b o re ra it une loi. p in s vivante et la jdus populaire d u s’est borné à rap p e le r les fa its de la r e r a i L yautey a lla it p én étrer dans les le p a ra d is terrestre. cause. I l e’cet défendu d ’avoir _ voulu y r a n d conteur. Ceux o u i l ont lu, i o t a oasis su r lesquelles le su lta n du M aroc Les Intentions d’EI Gucbbas C’est ce q u ’il a p p a r a ît a u x tro u p es exercer des violences su r Je b rig a d ie r de longues années, seront heureux de re- n’exercc Aucune a u to rité , môme nom i T anger, 27 décembre. q u i reviennent de nos postes lo in tain s de gendarm erie Meyer. I l d i t être in te r tire ce ton:an extraordinaire, reste le nale, et la g ran d e vaillance des B era venu p o u r em pêcher que l’on f ra p p â t s u r la ro u te do T o u at Boni Abbés, Ig li L a p lu ie est tombée to u te la n u it et te r s s’a p aisa. Les tigres sc firent m ou p .odile des recits^de cape et d epée. Ceux des femmo 3 . Treize tém oins Ont été en a détrem pé le cam p de GucLbas. Cc m a ou Tagb.it. P a ris , 27 décembre* o u i ilc l'ont pas lu seront ravis de le con tons. Iis e sp éraien t d’a ille u rs quo lea tendus ensuite. Lo p ré sid en t a f a it re tin , p a r les sentiers boueux e t sous la. A r douin-B um aze t. tro u p e s rassemblées à grands fra is al m arquer à l’évêque que sa d éclaratio n pluie, la p lu s gran d e p a rtie de la Menaître^ et pourront se convaincre au il LES CO ULO i RS é ta it en co n trad ictio n aveo les téiuoigna- L a lla s ’est tra n sp o rtée su r le p la tea u la ie n t se disperser. M ais la colonne res id a point usurpe sa renommée légendaire. ges et même, s u r certain s points, avec M . Combe«, p a r onze voix contro 7 à te dans la contrée, jacs détachem ents de M arsh an, au-aessus de T anger, eans sa prem ière déposition. Mj Fessard, a été élu membre de la com tra v e rse r la ville. E lle occupera des b a tte n t le pays en tous cens, le sTionM. Turina.z a alors invoqué sa m au : m ission tic sép aratio n cn rem placem ent abri« couverts à m oins do m ille m ètres rc-nt, en achèvent la connaissance qui vaieo vue e t la confusion reg rettab le qu i dö M. A lasse ur. du fil Sokko. E l GueÜbas reçoit journe}Icé ta it f o rt vague, dressent la carte, élu ß’est p ro d u ite d ans son esp rit. Le subs m ont des renforts. L a situ a tio n est cliaL ’E s c r e l c e t l a Ç .'tîli© d e n t les ressources en vivres et en eau. t i t u t du p ro cu reu r do la République, d j B ref, les velléités de su rp rises tra ître sM. M aréchal, reco n n aissan t quo l’affai j scs ont le tem ps de e’émousser. Q uand re est des p lu s banales, f a it resso rtir ----- , _ pas 1 -----------------Clermont, le 2S décembre 1900. quo' le d é lit tie n t son im portance de la •extrém ité p a r R ais ou li lui-même. G-ucbJe«- troupes seront enfin disloquées, las 7— i. - ~— "7— # • .......; 1—— ^ --11e r Je p ro je t ü u a n d su r i ‘c^creicc# du «personnalité du prévenu. Il réclam e T ous n ’ignorez pas, sans doute, quo E erabers tro u v e ro n t d ’ailleu rs des pos bau pensq c a p tu re r le pacha do Faim culte. La- commission a donné audience 1 l’ap p lic a tio n do la loi, e’en ra p p o rta n t que G outienrirait ‘u niquem ent Moliam-J Î EglioO est persécutée, fci vous l’igno- tes renforcés e t ils a u ro n t fini p a r com «à M. B rian d . Le m iç.istre des cultes a« p o u r le su rp lu s à la prudence du t r i med el Torres, son cüérilf. C n s’a tte n rie /, p a r h asard, cela p ro u v e ra it sim ple p re n d re combien il nous est facile d ’aCOHSEiL DES MINISTRES présenté dc-3 observations générales te n bunal. . d a it à cc que le Maghzcn d e stitu â t le m en t que vous ne lisez jam ais les^ jo u r n-.ener des renfort?, m ain te n a n t q u 'u n P a ris , 27 décembre, d a n t à cc que le p ro je t de réglem entation M® F e rro n s, oui défend M. T urinaz, pach a de l ’a lis ; c’é ta it le p rem ier acte n a u x cléricaux. D ans ce cas, et si vous chemin do fer a tte in t un pays ja d is con du culte «oit ad o p té sans m odification m inistres ob sous-sccrét-aires d ’E ta t •tout en reconnaissant la m a té ria lité dca d ’a u to rité s u r lequel co m p tait le corps miuîoz être convaincu que lit persécution sid éré comme inaccessible. c i dans lo plus bref délai possible. «a. nt/» ainitr. so sont réunis ce martin H; l’Elysée, sous d’ailfl, affirm e que son clien t n 'a ïUifc mrdnmntinnf» Gr>ffr> an tire lig ieu se bat son plein, lisez, s il N ous avons mis longtem ps à nous im M. Gui Hier «..présenté des observations • q u ’obéir à un sentim ent trè s 1ou.aide do la présidence de M. Fallicrcs. su r l ’clfet ré tro a c tif de la loi. Cet effet vous p la ît, le compte rendu de 1*au d ien p la n te r dans ces régions dont l’oçcupala p a r t ddun homme q u i no s a u r a it vqir L a S uppression des Conseils g u e rre frapper, ïes'Tfurdbles ©t les faibles. A pres lu i p a r a it inadm issible a u p o in t de vue ce tenue h ier p a r lo trib u n a l correction . ion plus ra p id e eut évité à la F ran ce nat. Ila iso u îi n ’a p as q u itté Z in a i un M. Cheron, eous-sccrétairc d ’E t a t à la une demi-l:.Qurc de délibération, le t r i seul jo u r depuis longtcrûps. ju rid iq u e. nel de Nancy. Les juges a v a ie n t un client bien des embûches. Vers 1873 ou 1ST! le guerre, a f a it connaître les grandes li b u n al ren d un jugem ent longuem ent M. Chevalier dépose e t défend un M arab o u t de K enadsn, véritable s u lta n p eu o rd in a ire : révoque lui-même, M. gues du p ro je t q u ’il a élaboré, d ’accord m otivé qui condam ne M. T u rin az à 50 La Situation de la Mehalla ^amendement ain si conçu : « L a déclara» 'L'urinaz. fci vous ignorez la « persécu de cette p a r tie du désert quo les B era avec M. le général F ic q u a rt, e t qui a fran cs d ’amende. Ak>r p ro scrite p a r l ’a rtic le 25 de la loi d u . T anger, 27 décembre, 1 h. 25 soir. tio n », vous n ’ignorez certainem ent pas te r s o p p rim en t, v in t en A lgérie p o u r p o u r b u t la suppression ties conseils de 9 décembre 1905 co n tin u era à être de r i A la sortie, quelques cris de « Vive T oute la m ehalla est m a in ten a n t sur que M. T u rin az se d istin g u a, des long n o u s offrir ou à peu près le p ro te c to ra t I guerre. Le p ro je t diffère trè s eeusibîcM onseigneur ! » o n t été poussés. L'évê le p la te a u do M arshall avec Guebbas. gueur p o u r toutes les ré unions se te n a n t tem ps, p a rm i nos prélats, comme 1 un de son pays. J ’étais alo rs arch iv iste au dans d 'au tre» édifices que ce lu i affecté a u que est re n tré en v o itu re à son dom i ‘ U ne p o rtio n des tro u p es a été détachée dos p lu s fougueux et des plus colériques. b u reau arabe de Tlcmcen et je fus mis culte p a r la d ite loi. P o u r les réu n io n s te cile devant loque! un fo rt b a r r a g e d ’a .'joour occ-upcr ' un vieux fo rt p o rtu g a is au p rès do ce p u issa n t personnage com nues dans ce d ern ier edifice, la déclara 11 é ta it accusé d ’avoir, lors de son ex p u l gents a v a it été form é. ; s u r la plage à tro is Kilomètres à l ’Eîjt m is p a r de« m ilitaire? seront désorm ais . tio n ne sera p lu s exigée‘Ju sq u 'à la désaf me k h a d ja ou secretaire français. Mes sion de I évêché, « exercé dco violences » de la ville. Guebbas déclare q u ’il va Les Incidents d’Avignon yuaticiqUcs des trib u n a u x de d ro it com fectation. » cu r u n -b rig ad ier de gendarm erie. Il s’est souvenirs s u r son voyage sont donc bien a lle r v ite p o u r opefer contre Ilaisouîi m un. Toutefois, les pénalités ap p lica C et am endem ent a été re je té p a r 11 Av i g n o n, 27sU écemb re. d ’aiileuTS défendu cio cette accusation... nets. No l'a i-je pas accom pagné oa-ns la ftu ’il com pte ré d u ire a v a n t tro is semai- ■ bles «aux m ilita ire s seraien t plus élevées voix co n tre 5. M. B ria n d a déclaré ce Lç p a rq u e t do ïa r a s c o n est a rriv é ce : nc«j e n inv o q u an t sa m auvaise vue. M. Tu- prem ière étape qu’il dem anda à un ca r et l’in fra c tio n à la discipline s e ra it sou p en d an t qu’il so u tien d rait volontiers 1q> rin a z est myope — à m oins ou il ne soit rosse acheté chez nous ci qu’il em m ena Coups do feu mis© à l’a p p ré c ia tio n dos conseils do dis ■m utin à B arbefltane et s’est in sta llé ii p ro je t actuellem ent soumis à la Chambre* presbyte. Il a affirmé, à l’audience, être au désert, à la g ran d e stu p éfactio n de cipline. Los m in istres ab o rd ero n t lu n d i la m airie. D eux com pagnies cl in fa n te e t te n d a n t à su p p rim er toute d éclaratio n ' Tanger, 27 décembre, 1 h. 50. rie, deux escadrons cle fiiissSTds et p u is p ro ch ain Fctude do co p ro jet. in terv en u p o u r empêcher que Ton f r a p scs zélateurs ! p o u r les réunions religieuses comme U n p q rte placé p a r E l Guebbas près do 60 gendarm es a ssu ra ie n t le 6 ervi.ee J ’ignore si ce m arabout est encore v i p â t des femmes. Le sentim ent é ta it, h p o u r les autres. M . A lap etite nom m é ré s id e n t à T u n is d ’ordre. I l a été procédé à sept a rres do la v illa do M. H a rris , à l’E st de MAI. T hésard et de Las Cases o n t en coup sûr, louable, c-t i excuse, a la. r i vant, en tous cas le m arab o u t actuel est Tanger, su r la plage, près de la m onta Le Conseil a approuvé la nom ination ta tio n s de personnes compromises lors core présonlé des observations p o r ta n t g u eur, p o u v a it s'adm ettre1. Nos lecteurs resté fidèle à sa p o litiq u e ; il n ’a pas de M. A lupetifc, p ré fe t du Rhône, comme des incident« du l<i décembre. Cc sont gne des A n d jfras, a échangé des coups sav en t que nous n uvcr.s jam ais voulu cessé de nous dem ander 1’occupation du résid en t général do F ranco à Tunis. cto fou avec les m ontagnards. Des ren su r des p o in ts de d é ta il ; p u is M. M axi les nommés L ouis B ruyère, 30 a n s ; i au l me Le comte a été chargé de rédiger au . fo rts o n t été envoyés s u r ce p ein t. la m ort du pécheur — même si le pécheur m assif m ontagneux do Bécliar qui do CVcle n om ination va donner lieu à un G rau ier, 23 a n s ; Ilaofll R ocher; A rth u r nom de la commission un ra p p o rt favo m ouvem ent im p o rta n t a d ln in is tra tif qui Les coups do fusil entendus p rès de Cur«, 32 a n s; A ntoine L a’îlbcrt, 13 a n s; est évêque. L a cause en cllc-mêai© é ta it m ine la région dont il est le chef à la rable au p ro je t du gouvernem ent. M. sera p u b lié 'd a n s le co u ra n t du m ois p ro L ouis B ertran d , 17 & ns;Louifj G u irau d , la v illa de M. H a rris é ta ie n t des si donc des plus banales, comme l ’a fo rt fois civil e t religieux. M ais si nous M axim e Leteomi© a rédigé im m édiate 17 ans. Ü 3 o n t tous été appelés comnTo g n a u x échangés en tre les postes chérihlr-n observé le su b stitu t d u P ro c u re u r de avons tro p longtem ps hésité, il f a u t re chain, m ent son ra p p o rt e t l ’a soum is à l'a p tém oins ot m aintenus en c’t a t d’arres- liens. L a m ehalla a établi son q u a rtie r la R épublique. E t c’cst précisém ent cette co n n aître que, uno fois engagés, nous p ro b atio n de l'a coinmibsion. ROUVEMENT ADHINISTRATIF général « à la v illa H a rris . E l Guebbaß . ta lio n . o b servation du m in istère public qu il avons poussé d ro it au but. Le Tou&t et On les a .e m b a rq u é s^ su ^ d .e ^ Jo u jg o n s est p a r ti p o u r inspecter le camp. I l P a ris , 27 décembre. n ous convient de souligner. Les jo u rn a u x le G o u ra ra occupés, la jonction avec d o it ctro rendu 6 u r lo p la te a u de M ar». -d’a rtille rie q u i o n t été difigCs s u r TaA insi q u ’on l’a annoncé, o’e st M. Lùc léricau x ne su co n ten ten t pas d a iu r- le Soudan assurées, la longue ligne de rascon. Les voitures é taien t escortées shan à 4 heures. ta u d , p ré fe t de la G ironde, q u i r e in ^ a m er chaque jo u r que l’Eglise est persé l ’Oued Zousfc.ua devenue p a r ses p oints p a r deux gendarm es. Au m om ent de leur L a séance est ouverte à 3 h. 40,. sous la Une Lettre du Sultan cera à la p réfectu re du Bhôno M. Àlad ép art, la foule est devenue houleuse cutée. E s a jo u te n t que, p o u r persécuter d ’eau une ro u te régulière fortem ent te p etite, présidence de M . A n to n in Dübosl. T anger, 27 décembre. e t a été difficilem ent m aintenue. D ivers l ’Eglise, le G ouvernem ent, l ’infâm e G ou nue, telle est l’œuvre commencée qiii, M. D u rcau lt, p ré fe t du Pos-de-Qalais, Vote do divers projets cris o n t etc pousses e t des branches de On assure qu’on l i r a d em ain à la vernem ent rép u b licain , « fa it m archer » depuis 1900, s’est poursuivie. p assera à la p réfectu re de la G ironde la u rie r o n t été jetées vers les prisonMbçquéc ûfte le ttre du S u ltan , à Gueb N ous avons pu la m ener teb ien , grâce non seulem ent ses p réfets e t scs sous-preLe S én at vote un p rq je t a u to ris a n t lae t il sera rem placé à A rrâ s p a r M. Gréniers, T*cs fôiuiûps on t cli&nts ücb csn tij bas, d e stitu a n t R aiséü ii 1 de son t i t r e ville do P a ris à changer l ’affectation d o fets, m ais scs m a g istrals assis ou de à ce chemin de fer d u Sud-O r an ai s qui p ont, p ré fe t du L oiret. de pacha. fonds d’em p ru n t. j M. N époty, ancien cher du s e c ré ta ria t ques? Le comte T e rray , m aire, a exhorte re n d it de &i g ran d s services lors de bout. Or, voici un m a g istra t debout, un la foule au calme. L a comtesse, à la A près un échange d’observations entre' p a rtic u lie r du P ré sid e n t du Conseil, est A rrestation d'un Portugais su b stitu t, qui, a y an t un évêque à se m et l’in su rrectio n de Bou A m am a et qui a tê te des femmes m anifestantes, a fo r M i l . de Carné et S a vo ry, lo S én a t vote t r e sous la dent — et ce n ’est p as tous été peu à peu poussé jusque dans les nommé sous-préfet cl’E p e rn ay , en rem mé un cortège q u i ß’cßt ren d u à 1 église. T anger, 27 décembre. en p rem ière délibération, cn cn m odi p la c e m e n t de M. V a illan t, décédé. oasis populeuses et riches du K enadza. les jours, même en ces tem ps troublés, Des m iliciens de Ben-M ansour o n t a r fia n t le titre , la p roposition de M. Bon-^ Lo Chanoine Fralou I l no pénètre pas encore dans le K sa r que pp.reil!o aubaine échoit à u n mem rêté h ie r soir un su jet p o rtu g a is à la nefey-Sibour co m plétant l’a rtic le 23 dôj Le M ans, 27 décembre. LÉGION D’HONNEUR su ite d ’une querelle avec un Espagnol. b re du p a rq u e t — se contente do récla c a p itale, m algré le d ésir du m arabout la loi d u 18 a o û t 1871 su r les conseils gé-^ Le P o rtu g a is a rrê té f u t b ru ta lisé e t Le chanoine P ra lo u , curé de Baintnépaux. _ i m er l’a p p licatio n de la loi, s’en rem et que ses fidèles c o n tre c a rre n t dans ces P a r is , 27 décembre. co n d u it à la légation de P o rtu g a l; m ais Benoît, a été p o u rsu iv i a u jo u ra hui, Lo S é n at vote encore une proposition*'ta n t, p o u r le su rp lu s, à la pru d en ce du vœux. C ette ligne qui p a r t d’Arzew, ait P lu sieu rs 'm inistres o n t soumis au les conditions a r b i t r a i r e dans lesquel de M. M illics-L acroix m odifiant les a r-] o u r avoir o u trag é, le 17 décembre, le trib u n a l. E t la p rudence du trib u n a l se bord de la M éditerranée, et croise à Coneeil des m in istres leu rs pronositiem s pcom les cette a rre s ta tio n a été opérée p ro u m issaire qui lu i d ressait une co n tra ticles 58 à 62 do la loi de 1871 su r les; t r a d u it p a r une am ende de 50 fr. infligée î ’e rré g au x la voie m aîtresse d ’A lger àr p o u r la Légion d’honneur a 1 occasion vent que la présence de la colonne chc- conseils généraux (budgets départem en-j vention à l ’issue do la messe% S’adresà l ’évêque. E t voici, d ’a u tre p a r t, u n cha O ran, est à voie é tro ite ; elle suffit ce du nouvel An. Cce p ropositions vont ßant «au com m issaire, le cu ré a d it : rifieune n ’a pas- modifié la situation* ta u x ). J n o in e d u M ans, p o u rsu iv i p o u r avoir p e n d a n t a u x tra n s p o rts des ra v ita ille être envoyées à la C hancellerie do la L é « V raim ent, e ’est h o n teu x ! N ous somA la dem ande do M. V alli, la séance Autre Incident o u tra g é le com m issaire qui lu i d ressait m ents p o u r des postes e t des colonnes g io n d ’honneur. est suspendue à 4 heures. D ana co nom bro sont les prom otions jnes ici une poignée de catholique«. On line contravention à l’issue do la messe. d’un effectif restrein t. M adrid, 27 décembre^ L a •sconce est rep rise «à 5 h . 25. v eu t nous empocher de p rie r. Veut-on L e chanoine déclare que scs outrages yiL a voie ferrée d ’un parcours« de plus , des m inistères de l’intérieur,- de. la giisr- noua exasp érer e t nous fa ire descendre On télég rap h ie de M ellila q u ’un in ci .To e t do la m arine. La Séparation dans la ruo avec des fusils % » Le cha d en t s’est p ro d u it en face de Alhucema, e a ie n t les événements e t non le magis* do 165 lieues, a peu à peu déplacé leM . M a xim e Lccomtc dépose son r a p noine déclara, le eoir même, au commis d ans les eaux te rrito ria le s, e n tre un bat r a t — e t il est acquitté. V oici enfin le c e n tre de n otre a c tio n ; longtem ps arrep o rt que vient d ’a p p ro u v er la commis saire et au p ro c u re u r que ces paroles EN MAURITANIE ta u de contrebande anglais, Le lltcarâo, cu ré de la cath éd rale do S aint-D ié p o u r tére à Aïn-*So!fra où elle a f a i t n a ître une sion de sép aratio n . L a lecture im m édiate v isaien t les événements et non le m a une barque montée p a r des indigènes su iv i p o u r avoir outragé, lu i aussi, lo p e tite v ille devenue siège c en tral d u P a ris , 27 décembre. est ordonnée. De fréquentes in te r r u p t g is tr a t h q u i il p a rla it. Le trib u n a l cor <jui a id a ie n t à un chargem ent d’œufs et com m issaire de .police lors de l’érvacua- com m andem ent et q u i semble une cité Le m inistère des colonies comm unique rectio n n el «a acq u itté le cure P ralo u . tio n s de la d ro ite oouvrent la lecture ' une barque envoyée p a r les au to rités estic n do l’évêclié : il est condam né à 100 des M ille et une N u its p o u r qui v ien t la note suivante■: fa ite p a r M. M axim e Lecomt© qui cons f pagnoles p o u r em pêcher la frau d e. Lo ba « Le com m andant A rnoud est p a r v o Le Curé do Saint-Dié fran cs d’am ende, m ais avec sursis. Nous des solitudes de l’E xtrêm e-Sud, elle a ta te 1 union des catholiques fra n ça is aveo teau espagnol f u t reçu p a r des m ena nu, lo 8 décembre, à la tSto do sa colon p rio n s nos lecteurs de no p as se m épren a tte in t D jenien Bou Rezg e t en fit notre Rome, e t estim e que le p ap e vo u lait, par! Saint-D ié, 27 décembre. ces. Le Ricardo e u t le tem ps de lever ne, & itis a . Co p o in t se tro u v e à h u it des décisions injustifiées, provoquer un© d re su r la penséo q u i nous guide quan d avan t-p o ste; celui-ci se tra n s p o rta en l ’ancre. L a même n u it on t i r a p lu sie u rs Lé curé de la cath éd rale qui, lo 19 jo u rs do fortes étapes do N ioro e t h sept persécution violent©. I l term in e en dé jicus com m entons ces m enus incidents. coups de feu sur la ville. Les a u to rité s su ite à D uvcyrier àr l’ouest du fam eux jo u rs do m arche de Tidji-K idjy.. Lc_ com décembre, a v a it d it au com m issaire do c la ra n t que la loi sau v eg ard era le lib re espagnoles o n t exigé l’expulsion des in N ous n ’avons nullem ent le dessein d ’in kßour do F ig u ig . A ctuellem ent le te rm i m a n d a n t A rnoud p re n d ses dispositions police chargé d u service^ d ’o rd re lors exercice du culte ©t en d o n n a n t l’avis digènes q u i av aien t favorisé la fraude, crim in er la m odération des m a g istrats nus est plus à l’ouest encore, à la fro n p o u r y in stalle" un poste. I l annonce de l’évacuation de l’évêché : « Quelle émis p a r M. Combes que le p ro je t d o it p lu s l’a rre sta tio n et la rem ise des cou besogne vous faites ! » a été condam né que, to u t a u co n traire, nous approuvons tiè re même do ce T afilalet q u i devien qu’une fractio n im p o rtan te do la trib u être voté sans m odification. pables. L ’in cid en t s’est a in si term iné. volontiers. M ais nous avons bien le d ro it d ra, m algré que nous en ayons, une a u des E l-Sidi-M ahm oud a f a it ea soum is à 100 fran cs d’am ende avec sursis p a t L a discussion du p ro je t de loi est fixée? L a conduite des au to rité s espagnoles a sion ; elle a rem is des arm es e t des otage» le trib u n a l correctionnel. ’d e d ire que si l’E glic é ta it v ra im e n t t r e p a rtie de n otre domaine. à dem ain. été trè s louée. qui ont été envoyés à Knycs. II en a été persécutée* les choses sc p asseraien t au P o u r qui n ’envisage que nos cartes do mémo p o u r u n p a r ti de Souakcrs. U n Le Rachat de TOviest UN PRÊTRE IGHOBLE où les to rre n ts e t leurs vallées donnent convoi tre m e n t. cîô rav ita illem en t est ch roulo M. B ie n donne lecturo d ’uno déclar.1 T h. M ourgue. ^ ’illusion de rivières, on no s’explique p o u r Blisa.- » A tten tats à Ja pudeur • iio n do la Gaucho radicale-socialiste ex Jg hère comment Béehar a été choisi su r ^ n p r im a n t le vœu que lo p ro je t de .rach at P a ris , 27 décembre. ^un cours d’eau dont le p arcours à su i C A U S E R IE M I L IT A IR E A F am b assa d e d e P aris Ce l’Ouest soit discuté a v a n t le 31 déocniD u T e m p s: vre allonge fo rt le chemin vers les grands hre. S aint-P étcrebourg, 27 décembre. « L’abbé Gougct, cu ré do Saintc-Ço; oasis du T ouat, nos possessions nouvelles, L a séance est levée à 5 h. 40. Llomba, âgé do 54 ans, v ien t d e tre a rrê te Lo lie u te n a n t Pogoulaief, aide de alors qu’un a u tre fleuve l’oued N a c Séance dem ain à 2 heures. Le roulement ♦Sous l’in cu lp atio n d’a tte n ta t a la pu- tî&mp du m in istre do la m arine, est nomr meus, offre une voie directe. O’est que Æour sur des fillettes do d ix ans auxquel üné attach é naval do l ’am bassade do R us P a r i 3 , 27 décembre. ce fleuve est sa n s eau e t n ’offro aucune PETITES NOUVELLES sie à P a ris. Lo Conseil m u n icip al do B a ris a énn& les il fa is a it lo catéchisme. » / J ’a i eous les yeux la le ttre d ’un offi ♦ressource alo rs que l ’oued Z ousfana et u n vœu favorablo au repos p a r roulem ent P a ris , 27 décembre. Un ex p lo sif bizarre l’oued G u ir sont do véritables cours cie r de la colonne organisée dans l’cxLA NEIGE accordé au x m agasins de cbaueaurcs eti x Do Châlons-sur-M arne : Lo Conseil trêm e-sud o ra n a is p o u r s’opposer à l’in d ’eau, peuplés de poissons, co qui in d i de chapellerie q u i em ploient plu sieu rs Varsovie, 27 décembre. P e rp ig n a n , 27 décembre*. ■de guerre du 6 e corps a condam né le sol que leu r péren n ité. C’est pourq u o i on v a sio n des hordes arabes d o n t on nous employés. Le repos du dim anche m idi U n p aysan a y a n t tro u v é une boîte do d a t Richjrt, du 155e, à cinq ans de réclu L a neige, tombée avec abondance dans n ’a pas c ra in t de fa ire cc détour qui a u lu n d i m idi, au x Sociétés do chaussu m enaçait. L ’a u te u r ne s e ra it p a s um cuivre dans de l’e n g rais p ro v e n an t do sion p o u r te n ta tiv e de viol 6 u r uno fil-* a v a it en o u tre l’avantage de nous don res e t do chapellerie a y a n t des gérances lo départem ent, a occasionné des m orts so ld a t fran çais s’il n ’é ta it u n b rin Varsovio em p o rta sa tro u v a ille d ans le lette de 4 ans. e t des écroulem ents do m aisons. Le v il un a u tre jo u r que lo dim anche, p a r village do K laudyne,#où il la v en d it à m a r r i do n ’avoir pu fa ire p a rle r la pou n er la possession du djebel B éehar, ré et x Do B rest : E n raison de brim ade» roulem ent, au x employés des p e tits bi lage do Soîan, d ans l’arrondissem ent do un m arch an d ju if qu i v o u lu t l’ouvrir. gion où les p illa rd s s’abritaient.' sous la dre. M ais il est ém erveillé que l’on a it P rades, a été en tièrem en t d é tru it. Le bé jo u tiers e t p e tits horlogers, a u x m ar exercées récem m ent su r des élèves de la protection de fictions diplom atiques a t chands de p arap lu ies, à des lavoirs, a u x ta il a p éri. Les. h a b ita n ts eo sont ré fu Im m édiatem ent se p ro d u is it une explo d ern ière prom otion, lo p ré fe t m aritim © obtenu la pacification du T afilalet sans sion épouvantable q u i le d écap ita net. trib u a n t ce pays au M aroc. av o ir besoin de reco u rir aux moyenà en trep ren eu rs de tra n sp o rts, de l ’a li giés dans un village voisin. D ans lo h a u t a décidé que les élèves du Borda ne p a r L a tête d u m arch an d ro u la au x pieds du C’est en 1903 que f u t créé le poste do m entation, dca H alles et a u x blanchis arrondissem ent do P rades, les com m uni paysan, un e n fa n t f u t égalem ent tu é p a r extrêm es. tir a ie n t en vacances que lo 28 décembre» series. Les avis défavorables sont émis cations sont in terro m p u es e t les vivres au lieu du 24, d ate à laquelle le congé d9r i l y eû t là, en effet, une action victo T ag d a au B éehar auquel on a donné le l’explosion et i la m aison fu t presque m anquent. 300 o u v rie rs tra v a ille n t ,au o u r les m aisons d ’optique, do sellerie, nom de Colomb, celui du général qui, v a it commence?rie u se sans quo le sang fû t rép an d u . Le com plètem ent d é t r u i t e U ne enquête est déblaiem ent*. lia rnachcm ent, lee fab rican t? do compgénéral Ljgautçy^ com m andant d e s tro u des p r e m i e r s , i l g a trente-cinq an?, p a 8= m FEUI L L ET ONS sroismousquetaires va BÆ a r o c Au L u x e m b o u rg LU TIQUE DU « -MOITEUR DU PUY-DE-DOME » Dépêches Tels I LA SÉANCE DU SÉNAT EN RUSSIE La Colonne da Saiiara LE REPOS HEBDOMADAIRE , yiy Mg*»-»**-: ► Trésorier : M. Louis Péronnet, principal D ’a u tre p a r t, tro is douzaines d ’a eler, voyez donc si, d ans l a salle des Pasclerc d’a voué. P erd u s, il n ’y a u r a it pas un avocat louettes e t d eu x bécasses av aien t été Secrétaire : M. Lnrrîgaldic-Gauthier, an* p o u r... p a r Sansoloys à M. _B ertra n d , cicn avoué. Choix considérable de Fantaisies ponr vendues M. M andonnct a co m p ris; il se p ré p ro p rié ta ire de l’hôtel Term inus. I n u Membres honoraires assesseurs : MM. BonEtrennes , Modèles nouveaux • — P rix de tile de d ire que dès que co d ern ier eu t c ip ite dans la salle des P as-P crdu3 et neton,Germains père,Fournier Antoine, doc fabrique • ______________ teur Ucnton, Bouchon-Couriol, P arrain Mi tro is m inutes ap rès rev ien t avec un a p p ris la provenance du gibier à lu i céaé p a r Sansoloys, il re to u rn a les vo avoué, M# Pcrceau, qui s’in sta lle aus chel, Bodrel, Bouhot, üourduge, Gilles Mi lie Cadeau de l ’année chel. sitô t à la gauche du P résid en t. latiles à son collègue du. Gastronom e. Membres actifs assesseurs : MAL BonneE t l’audienee commence p a r une série P a r is , 2 8 décem bre, 2 h . m* M. B e rtra n d se trouve donc, lu i aussi, Tous les cadeaux sont adm is à la 'c o n foy, Tantôt, Ju il lard. de délits de pêche. Les prévenus so n t d itio n qu’ils fassen t p la is ir ; aussi un être victim e des gâte-sauces. Y oici les nouvelles adhésions de Comi L a d irectio n en a été confiée, à l’u n a condam nés à une am ende avec c o n tra in EN RUSSIE Son com pagnon d’in fo rtu n e, M. Jo al, g ra n d nom bre de personnes ont-elles jeté tés républicains p o u r la m an ifestatio n nim ité, à M. M anu by, qui, depuis de te p a r corps. dont le débit a reçu la visite de Desisle u r dévolu, cette année, s u r l ’exquise et p o litiq u e organisée en l ’h o n n eu r de M. nombreuses année«, s’est dévoué .à la s a lu ta ire L iq u eu r « Le P a u v re Hom m e », sert, Ohigros et feanßoloys a été, h ier JjO. nouvelle circulaire d u garde des Nouvelle bombe. — Nombreux blessés Guyot-Dessaignc ; Société et l’a conduite à de nom breux m atin, le plus étonné des hommes en q u i se vend en litres, dem i-litres et fla sceaux. — E tien n e B ru n rau ro l, accusé de C lerm o n t-F erran d . — C om ité rad icalK harkoff, 27 décembre. __________ lis a n t dans le M oniteur, que les cuisi vol à C eyrat, a été condam né précédem succès. cons. F . G énestine à C lerm ont FerrancL socialiste. Délégué : M. L agaye. n iers é ta ie n t allés s ’ap p ro v isio n n er dans U n voyageur a r r iv a n t h ie r soir à la V ente au d étail : m ent, m ais, en v ertu de la nouvelle c ir Yinzollcs. — M. M ontagnicr-D upuy, gare a laissé tom ber u n e bombe q u i a c u la ire du g ard e des sceaux, le p ré si M aisons F A U C H E R , ru e Neuve, n® 1, son m agasin. D em eu ran t loin de son m aire. com ptoir, il ig n ô ra it to u t de#l’aventure. éclaté, tu a n t p lu sie u rs voyageurs e t en d en t île donno p as lecture du casier ju e t M O LETTE, ru e B aint-L ouis, n° 17* S ain t-H é rc n t. — M . B oissat, in stitu On devine aveo quelle hâte il so re n d it b lessant d ’a u tre s. Lvexplosion a determ i te u r . d ic ia ire t c’est la prem ière ap p licatio n Le m e ille u r Café e st vendu par T à son établissem ent de la rue Fontgièvo ne u n e p a n iq u e d ans la foule q u i s’ost de ceilc circu laire d ev an t le trib u n a l L a Chapelle-Agnon. — M. PassaiguO, JLo barreau do Riom où il put^ co n stater que nos renseigne de C lerm ont. M aison GHA1A1N, ruo N euve, 34. e n fu ie à tra v e rs les rues. L a g a re a été p ré sid e n t d u Com ité rép u b lic ain démo m ents éta ie n t exacts. cernée p a r la tro u p e. Donc, B vunm urol est un voleur. Il Yoici ,1e tab leau de l ’o rd re des avocats c ratiq u e. Il est difficile d’évaluer au ju ste les L ’in d iv id u q u i p o r ta it l’en g in e s t u n B ongheat. — H . P a illa rse , m aire, e t de Riom. p o u r l’an n ée ju d ic ia ire 1908- m archandises dérobées. M. H ugon, ce s’est in tro d u it dans la m aison C ellier, o u v rie r o n t été tu és ; une femme a été à C eyrat, en l’absence du p ro p rié ta ire , M . D um as, in s titu te u r. 1907 : p en d an t, estim e «à 150 fran cs environ g rav em en t a tte in te . Onze a u tre s person a f a it sau ter le cadenas d ’u n coftreb et S aint-Jean-dcs-O llières. — MM. D iMM. Clauselo J e a n , Buisson P ie rre , les victuailles prises chez lu i et à 25 nes o n t été légèrem ent blessées. s ’est em paré d ’une somme do 200 fr. cham p, m aire; P in tra n d , a d jo in t; G our- »Salvy G eorges, L a c a rriè re A rm a n d , fra n c s les vêtem ents D. — Vous avez été a rrê té . On a tro u cy, conseiller m un icip al ; M ontel, in sti Goydn Charles, E v e ra t E d o u a rd . M illet De n o tre co rresp o n d an t de M o u lin ; Le mouvement socialiste« L ’enquête se p o u rsu it e t il n ’y a u r a it vé su r vous une «ommo de 165 francs. A lbert, T alion A ndré, Seguin G abriel, tu te u r. I lio r jeu d i, est venue dev?,^’ Io jugo Lodz, 27 décembre. / # Ceilloux. — MM. F o u rt, p resid en t a u de Laorosso Y ictor, Jardofc P ie rre , Mo- rie n d ’éto n n an t si l’on découvrait quel Q u’avez-vous f a it du re s te 1? do p aix , co n trad icto irem en t ootto fois, que a u tre h isto ire peu p ro p re su r lo R. — J ’ai eu la guigne, mon p rési Com ité d ém o cratiq u e; A rta u d , m a ire ; rel F rançois, Massé E m ile, G roisne M i : P a r s u ite du lock-out des p lu s grandes ce s u r c ita tio n directe d o jn te aux p ro com pte des tro is inculpés. Chigros p r in dent. On m’a volé 35 francs. (R ires.) ^ chel, D ellcstrade Louis, B oudet A uguste, fab riq u es, q u i a été annoncé p o u r lo 29 G ira rd , in stitu te u r. venus, l’alfaire re la tiv e au x contraven cipalem ent a uno ré p u ta tio n d ép lo ra E tien n e B ru n in u ro l est condam né a P a re n t. — MM. H a u d o u r, m aire, e t le V ernièro P a u l, Salvy D aniel, L a carrière de oo mois, les socialistes m enacent de tio n s dressées au clergé des tro is p a ble. C’est lu i q u i semble le chef de la doux mois de prison. Conseil m unicipal. Jules. . . . p rovoquer des conflits d ans les rues p o u r roisses de M oulins p our Infraction a u x bande et l’in stig a te u r des réveillons à Avocats stag iaires : MM. D an to E m i V olîore-M ontagnc. — M .M o n ta g n e îo ro e r les citoyens, le revolver au poing, Le berger incendiaire. —^ Le A. septem lois de 1881 et de 1905. bon marché. n n o u r rir e t à loger les o u vriers e t spé A rm ilhon, p résidont d u Com ité rép u b li le, Augé Charlea, B u rin des Rozicra M a r bre d ern ier, le berger Louis A... g a rd a it cel, Chasßaing Joseph, Pom m erol P ierre, cialem en t les femmes. Les Eocialistes fo n t cain. . ses m outons à Saint-G onès-C ham panelle ; L achaux. — MM. A uroux, p resid en t E v e ra t J e a n , Chemel Louis, Mandosso une cam pagne active d ’e x c ita tio n p a rm i p o u r se d is tra ire , il allu m a quoique« du Com ité ra d ic a l dém ocratique ; F er- F ern a n d . Clausels Gabriel.^ les ouvriers. B eaucoup de fam illes riches herbes sèches, m ais voilà que le feu sc longuem ent, te n d a n t à la condam nation ric r, m a ir e ; P a p u t, s e c ré ta ire ; R ay Conseil do l’o rd re : B âtonnier, Mq u itte n t la ville p a r c ra in te do troubles. com m uniqua à des bruyères p u is à de3 des prévenus. n a u d Ch., R ougeron J ., M orel G., mem Georges Salvy. ™ arbustes s u r une longueur de 2 hectares M° T issier a p la id é ensuite que ni la Les terroristes bres, e t C ar ta ille r B., vice-président du Membres, MM. A. L acarrière, ClauDécidément, le succès p ro d ig ieu x de environ. loi du 30 ju in 1831, n i celle du 9 décem sels, E verat. Comité. S ain t-P étersb o u rg , 27 décembre. L .adm inistration des fo rêts a estim é b re 1905 n ’é ta ie n t applicables en l ’es •ces délicieuses P astilles Soler, à l ’oxygè B oisséjour. — Les conseillers m unici Secrétaire* M. J a rd e t. . m les dégâts à La somme de 59 fran cs que pèce, e t a conclu à la relaxe des contre Les chefs d u p a r t i socialiste révolu p au x , l’in stitu te u r e t u n gro u p e do ci Membres du b u reau d ’assistance ju d i ne p u r n aissan t, ne semblo pas p rès de îo berger a payée san s se fa ire p rie r. tio n n a ire so n t form ellem ent revenus de s ’a rrê te r. Nous avons p arlé, en un précé venants. c iaire près la C our : Désigné p a r la A u jo u rd ’hui, Louis A ... est p o u rsu iv i le u r décision de e’ahaten ir d ’actes de te r toyens. R ép o n d an t à cette p la id o irie, l ’organo d e n t article, de leu r m erveilleuse effica S ain t-S an d o u x . —. MM. R a ta il, m ai Cour, M. Buisson ; p a r M. le p réfet, M. correct ionnellem ent sous l ’inculp atio n ro rism e p e n d a n t les électi-ips. A une d u m in istère public a déclaré quo le cité dan3 les cas de coryza aigu (vulgai ; D um as, L ’H é ritie r, More], L abary, Clausels ; p a r lo Conseil de l’ordre, MM. d ’incendie p a r im prudence. écrasan te m ajo rité, ils o n t decide do re clergé devait se soum ettre au x lois do Brcssoletto, C o u rtia l, . conseillers m u n i rem ent rhum e de cerveau) ; voilà m ain L a carrière e t Ja rd o t. — Ç a a brûlé, je ne sais pas oemment, p o u rsu iv re sans trêv e leu r ju ste cam pa la R épublique, à celle s u rto u t de la sé P rè s lo trib u n a l do p rem ière instance : te n a n t que, db toutes p a rts , pn nous si cxpîique-t-il. J e n ’y a i vu que du feu. gne do suppression, l ’in tim id a tio n é ta n t cip au x ; D ésuselade, in s titu te u r. p a ra tio n , si large, si libérale, si tole P a r M. lo p réfet, M. M illet : p a r le Con gnale d ’innom brables guérisons de lary n (Rives.) l a seule arm e efficace contro un régim e r a n te ; q u ’il lu i f a lla it ê tre fra n ç a is L es V isite s da I e* dan vier seil de l’ord re, M. M orel. d ’in iq u ité . Ils o n t gagné les membres les gites, de bronchites, d ’angines et, même, Lo trib u n a l condam ne Louis A... a a v a n t d ’etre rom ain e t que ceux n u i no p lu s m odérés d u p a r ti en leu r m o n tra n t 100 fran c s d ’amende, m ais le f a it béné p en saien t pas ain si devaient alle r d e Le général com m andant le corps d ’a r de broncho-pneumonies. qua l’o p p o sitio n se v o it refuser lo d ro it mée no recevra pas de visites olficielles ficier de la loi de sursis. E t il n ’est pa.s possible do douter, ce m an d er asile au Pape.* d ’o rg an iser des m eetings elector aux. à l’occasion du p rem ier ja n v ie r. L ’unifo rm e d u sous-officier. — U n Mô T issier a répliqué, e t un assez v if sont des m illiers de témoignages, dû ^ T mT U E S DU C £ ^ m ent signés, ém an an t de personnes sé sous-officier d’un régim ent de C lerm ont in cid en t s’est alors p ro d u it e n tre le m i Une guerre Russo-japonaise ACTUELLEMENT , V oies de n os sén ateu rs rieuses h a b ita n t les q u atre coins de la a v ait, l’a u tre jo u r, passé gaim ent la soi n istère public e t la défense. S t-P étersbourg, 27 décembrerée en com pagnie d ’un do eos am is, L ’affaire a été ensuite mise en déîibe-, G ra n d e M ise e n V e n te d*A rticle s F rance. B eaucoup d ’attesta tio n s a r r i F ran ço is L..., venu de Cebazat p our le D ans le sc ru tin su r l ’ensemble du p ro ré. Le jugem ent sera ren d u à une p ro Lo S egodnia ra p p o rte une conversation vent égalem ent de l ’étran g er, ta n t la dé voir. Tous deux s’é ta ie n t livrés à de je t de résolution p o r ta n t fixation du chaine audience. ’d u comto W itte re p ré se n ta n t une g u erre couverte sensationnelle du Laborat-oiro copieuses libations et, vers m in u it, il3 russo-j aponaiso im probable comme aussi budget des dépenses du S énat, nou3 flp E tiN E S UTILES t in d iq u é que M. Gom ot n ’a v a it Soler a f a it du b r u it dans le monde en éta ie n t dans un é ta t voisin — très voiEPICERIE PRINCIPALE, 39, r. des Gras. Café des m in e u se p o u r le J a p o n que p o u r la Rus- pavons o in t p ris p a r t au vote. C’é ta it une er tier. Des médecins do tous pays félici Bin — de Tivrcsse. Ils noctam bulèrent A m b assad eu rs, necplus u ltra (V. annonce T n .) sie. U ne a tta q u e su b ite des Ja p o n a is con reu r, il résu lte en effet d u Jo u rn a l Offite n t lo D irecteur d u L aboratôiro Soler encore d an s le3 cafés e t re sta u ra n ts qui tr e V ladivostock n ’eet pas à prévoir, car ■Okdel du 21 décembre que M. Gom ot a Qael choix faire 7 . de sa m agnifique idée d ’a p p liq u er l ’oxy re sten t ouverts ju sq u ’à deux heures du elle re n c o n tre ra it l ’o p p o sitio n de 1*E u ro voté contre comme il l’a v a it f a it dans p e e t de l’A m érique. T l i . é s â . L x 3© C ’est to u t in d iq u é; q u an d on a u n ca gène p u r n aissan t, co ro i des a n tis e p ti m a tin ... e t même p lu s ta rd . Que eo P-aseale s c ru tin s u r l’a rtic le p rem ier d u p ro t-il exactem ent ensuite. N i le eous-OiüLe comte W itte ju g e nécessaire qu en ques, a u tra ite m e n t des affections de la deau à fairo, on va, 25, rue Neuve, a u jet, de même q u ’il l’a v a it f a it dans la cier, n i l ’h a b ita n t do C ebazat ne^ peu éclaircisse les m alentendus avec le J a p o n D em ain sam edi, à 8 heures, p rem ièro seul dépôt à C lerm ont de la T a illerie do gorg-e*, d u la ry n x e t dies bronches. L ’un v en t lo dire. A quelle heure re n trè ren tséance du 22 novembre 1906. e t il estim e qu’uno en ten te avec co pays rep résen tatio n du Voyage en C hine, R oyat, fa iro sou choix en articles de d ’eux, professeur distin g u é d ’une U n i ils so coucher! lia l ’ig n o ren t. Ils sa-------------------- - O —------------------e st le m eilleu r moyen d’a r r iv e r à u n r a opéra-com ique en 3 actes, m usique do F . versité du N ord, éc rit textuellem ent : ___________ goût----- officier a re 1 * p id e développem ent du commerce d ’ex Bazin. . , ca r il est « Vos pastilles Soler à Voxygène p u r r E V è s s B i e n ! p o rta tio n e t d ’im p o rta tio n russe en E x D im anche, à 2 heures, en m atinée, e t Conseil Municipal ^ __ , que tous naissant sont u n e véritable révélation lo soir, à 8 heures : Le Voyage en C hine., trêm e-O rient. deux se so n t déshabillés e t que, d ix m i 2 iour le m onde médical-. C’est une arm e N ou lisons dans V A venir d u Puy-deP o u r ces tro is rep résen tatio n s, j a lo Séance d u SI décembre 1QÖ9 nutes après, F ran ço is L ... eo p ro m e n ait TREMBLEMENT DE TERRE puissante que vous m ettez entre nos catio n e st ouverte a u jo u rd ’hui, do 1 heu Dôme, num éro -du m ercredi 26 décembre 1. D ésignation d ’un secrétaire. d ans les rueâ de C lerm ont... en u n ifo r re à 5 heures, e t dem ain, do 10 heures a 1 S akaline, 27 décembre, m a in s; soyez persuadé que nous saurons 1908 : 2. B udget p r im itif de 1907. — R a p p o rt me de sergent-m ajor d ’in fa n te rie. S a te m id i e t de 1 Iieuro à 5 heures. nous en servir, au grand bénéfice de nos i C e m atin , à 4 heures, on a ressenti, à de la Commission. nue é ta it p lu tô t débraillée. U n ^ a d ju « C ependant, nous supposions que ClerM ard i, à l’occasion des fêtes du J o u r A lex an d ro v sk , u n trem blem ent dô terre* 3. H o sp ices — B udget d e 1907. — R a p m alades. » d a n t q u ’il re n c o n tra lu i en fit l ’obser do l’An, deux grandes rep résen tatio n » « m ont é ta it une v ille rép u b lic ain e; I a prem ière secousse, trè s forte, a éb ran p o rt de la Commission. U n médecin ita lie n p rie le L abo rato ire v ation. F ran ço is L ... se fâcha. L ’a d ju do R ip , cpéra^com iquo fan ta stiq u e , m u « qu’elle a v a it u n p ré fe t républicain, un lé les m aisons. A près 5 m inute« u n e se 4. B ureau de bienfaisance. — B udget de Soler de lu i donner des renseignem ents d a n t lo m enaça de le fa ire conduire au sique de R . P la n que Me. « m aire républicain, même un jo u rn a l cousse p lu s faib le s’est p ro d u ite. 1907. — R a p p o rt de la Commission. s u r les com prim és d ’oxygèno e t s’extasie b u reau de la police et lu i fit e n tre v o ir A l’étude : Barbe-Bleuer « ou du m oins p lu sieu rs jo u rn a u x très 5. A ssurance contre l’incendie. — Re su r la découverte du procédé, d é c la ran t le conseil de guerre. Alors, le fa u x sousnouvellem ent des polices. — R a p « républicains. — Ce n ’est évidem m ent A u M a r o c que, depuis longtem ps, il a v a it songé à officier, quelque peu dégrisé, avoua E d e n -T h é â lro p o rt de la Commission. « pas de Y A v en ir que nous voulons p a r q u ’il av ait, sous l ’em p ire de l’ivresse, tra ito r les affections des voies re s p ira A u jo u rd ’h u i v en d red i 28 décembro p ris les vêtem ents de son am i qui, lu i, ti 1er; nous n ’avons p as cette prôten- C. T ram w ay électrique. — Dem ande Marche sur Tanger to ire s p a r le p u issa n t gaz v ital, m ais d ev ait, m a in te n a n t d o rm ir profondé d’allongem ent des garages rue 1906, 26° Soirée de g a la avec lo concours « tio n . »T anger, 27 décembre» q u ’il n’a v a it p u réu ssir à l’ad m in istrer m ent. M ontlceier, place D elille e t place de : T o m B u tler, cycliste com ique; do T rès bien ! cher confrère. T out à» fa it sous une form e p ra tiq u e e t sûre. « L ’oxy de Jau d e. \ El-G uebbas e’est ren d u avec son étatLérie, comique tr o u p ie r ; # de K n a ll, A son réveil, le sous-officier ne tro u v a gène naissant, ajoute-t-il, c’est le remède point-, bien entendu, son uniform e et tn a jo r à T a n g er. I l ä p én étré su r la p la bien! E t p o u r la prem ière fois, depuis 7. Lycée Jeannc-d’Arc. — T raités p o u r clown m usical, e t de C énior, com ique, la ch arcu terie e t lo blanchissage. ibicn longtem ps, nous voilà d ’acoord. ce a u m arché e n face de la résidence d u d u t se re n d re au q u a rtie r avec les h a typique. Succès des D ove's, d u ettistes à id éa l des bronches cl des poum ons. » 8. O ctroi. — L iq u id atio n d’une pension k h a lifa t de R aiso u li, clairons sonnant, Le f a it €3t que’, ju sq u ’ici, on n ’oppo bits de son complice de « noce » noc tran sfo rm atio n s. de re tra ite . — B ail p o u r fa loca s a it guère au x rhum es, m au x de gorge tu rn e . J e dois à la v érité de d ire que ’d ra p e a u x a u v e n t; p u is il a s u r la plage, D im anche 30 décembre, M atinée a tro is tio n d ’un bureau. e n personne, placé, des avant-postes au x son ca p ita in e ne lu i fit p as des com pli heures. . ou bronchites, que les pectoraux plus ou 9. B u reau do bienfaisance. — Avis su r lim ite s d u d is tr ic t des A ndjeras e t de la M ard i 1er ja n v ie r 1907, M atinee à troi3 ments. . m oins inoffensifs, d o n t le m oindre dé un legs. — Avis su r l’acquisition F ran ço is L ..., tr a d u it a u jo u rd h u i en heures, avec débuts. m aison H a rris . On confirme qu’une lettre C h o ix im m e n s e d e f a u t é ta it do .fatig u er l’estomac, d o n n an t correctionnelle, sous la prevention do d ’une remise. im p ériale, d e s titu a n t R aisouli de son pos. à p eine l’illusion d ’un soulagem ent pas p o r t illégal de costume m ilitaire, p a t e de gouverneur e t nom m ant le gouver P o u rq u o i p erd re votre tem p3 en p r é sager. r a ît n av ré de cette aventure ; il s excuse n e u r do T anger, a rriv e ra prochainem ent. p a r a n t votre déjeuner avec des tab lettes Avec la P a stille Soler au x effets to u t de son m ieux e t prom et do ne jam ais re do chocolat, q u an d p o u r 15 cent., vous G uebbas a placé des gardes s u r le m ar de tous genres pour ché a u b étail ju sq u ’ici g ardé p a r des hompuissants, c’en e3b fini de ces vieilles fo r commencer. I l ju re que, désorm ais, il 3 3 , P la ce de Jan d c, 3 3 pouvez acheter chez v o tre ép icier le p a ynrfw d e R aissouli q u i s’en v e n t sans p ro mules, do ces p ro d u its qui encom brent dem ourera à Cebazat e t ne v ien d ra plus q u et de Chocolat des G ourm ets g ra n u lé tester. D an s les cercles officieux m aures, les voies resp irato ires a u lieu de les dé boire dans les cafés et auberges de C ler T R E B U C IE N , soluble in stan tan é m e n t* ! Vente de confiance mont.C ’est là un serm ent q u i lu i se ra o o d i t que d’ici quelques jo u rs to u t sera gager, de les désobstruer des mucosités p eut-être difficile de ten ir. e n o rd re. Les E uropéens sont beaucoup infectieuses. L ’oxygène n a issa n t fond, Les Magasins seront ouverts Dimanche Soirée de fam ille C a i s s e d ’E p a r g n © d e C l e r m o n t Le trib u n a l le condam ne à 25 fran cs p lu s à le u r aise dep u is l’a rriv é e de la medissout toutes cca mucosités, a n é a n tit d ’amende, m ais le f a it bénéficier de la 30 décembre jusqu’à 3 heures. n a lla e t p o u r le m om ent la s itu a tio n est Résum é des o p é ra tio n s faite s au x séan H ie r soir, à 9 heures, les membres du tous les germes morbides, p én ètre p a r incontestablem ent am éliorée. ces publiques cle3 sam edi 22, dim ancho conseil de la 1,347° eection des V étérans osmose d an s les alvéoles pulm onaires les loi de ßursis* F a u x poids. — M. J e a n C hrétien, bou 23, lu n d i 24 et m ercredi 26 décembro' des Armées de te rre e t de m er o n t fêté plus reculées, a p p o rta n t panbout su r son clier à vertaizon, a été tro u v é déten 1906 : N écrologie dignem ent la distinction honorifique UN TAMPONNEMENT te u r de fa u x p o id s e t de poids non po in qu ils o n t accordée à u n de leurs m eil passage l’assainissem ent e t la vie. N ous avons a p p ris avec re g ret la m ort Versements. —- C aisse cen trale : R eçu G a lla ra te (Ita lie ), 27 décembre* L a P a s tille Soler, c’est l’antisepsie elle- çonnés. I l est condam ne à deux am en leu rs collègues, au cam arade Besson. d u docteur A chille D ron, à Lyon, père de 100 déposante, d o n t 24 nouveaux, u t r a in électriq u e do Yarèzo à M ilan A près avoir trin q u é joyeusement, dans m êm e; c’est l ’arm e in fa illib le que to u t des, la prem ière de 16 f r ., la seconde do n o tre excellent confrère du L yon Ré25,560; S uccursale de Billom : Reçu de a tam p o n n é une locomotive s ta tio n n a n t lo café M asdubqst, place Sugny, à la le m onde d o it av o ir en poche’ p o u r défen de 5 francs. 'uhlicain , ancien réd acteu r en chef de 15 déposants, dont^ 5 nouveaux, 4,096 ; à la g a re de G a lla ra te . I l y a 14 blessés ean té d u d ig n ita ire , chansons et mo d re ses bronches contre les invasions m i i T ribune R épublicaine, à St-E tienne. La laitière et le fa b rica n t de frqrriaS uccursale do M arin g u es : Reçu de 11 'd o n t 4 grièvem ent a tte in ts. 2 wagons o n t nologues o n t term in é cette charm ante geSt — Mme Fougéras-Brousse, laitière, L a m ort de M. D ron eet une p e rte déposants, d o n t 2 nouveaux, 2.930; To crobiennes. __________ é té b risés soirée d o n t chacun g a rd e ra longtem ps le est n ettem en t accusée p a r M. B o u iran d , que re ssen tira vivem ent le corps médical ta l, 32,586. D octeur M. S. souvenir. fa b ric a n t de from ages à Nébouzat, d alyonnais p a rm i lequel lo d é fu n t é ta it Rem boursem ents. — C aisse cen trale : LE S SUITES D ’UNE “ BORDÉE " N . B. — Comme itous les p ro d u its sé voir vendu d u la it ad d itio n n é d’eau.. trè s aim é e t trè s p o p u laire. . P ay é à 169 déposants, d o n t 85 p o u r sol Fèto do l ’Arbre de N oël rieux, les P astilles Soler devaient susci T unis, 27 décembre. — I l me f a u t chaque jo u r,# p o u r m a Ex-agrégé à la F acu lté do médecine de, 56,048 87; S uccursale do B illom : A IHoniforvand te r des im itatio n s ou des contrefaçons r i fab ricatio n , raconte M. B o u iran d , en P ay é à 18 déposante, d o n t 4 p o u r solde, f- D im anche, une d izain e de m atelots du de Lyon, le docteur D ron occupa pen d a n t longtem ps le poste de chirurgien ‘v ap eu r allem an d A uguste-Levers se tr o u L a F êto de l’A rbre de Noël, o rg an i dicules. Au public do p ren d re g ard e e t viron 1.400 litre s de la it. J ’ai six voi 11,453 12; S uccursale de M aringucs : en chef de l’hœ pico de l’A ntiquaille. Il d ’exigor les véritables P astilles Soler tu re s q u i vont recueillir^ le l a it dans v a ie n t d an s u n café d u KefL Comme ils sée p a r les A tsaciens-Lorrains, a u ra P ay é à 4 déposants, do n t >» p o u r solde; é ta ie n t en é ta t d ’ébriété, ils f u ie n t in é ta it chevalier de la Légion d’honneur. lieu, a u jo u rd ’hui, à 2 heures, à l ’Ecole aveo l a m arque du L aboratoire Soler : les ferm es du pays. P a rm i mes fo u rn is 1,201; T otal, 68,702 09. N ous adressons à n o tre excellent con m aternelle, ru e de l’H ô p ita l, à M ontv ités p a r u n a g e n t de police a se re tire r. U N C E N T A U R E R O U G E fig u ran t su r seurs, j ’avais Mme Faugéras-Brouese, a laquelle je p re n a is d ix -h u it litre s de» frè re e t am i D ron e t à s a fam ille nos I ls m enacèrent l’ag en t e t b risèren t le Les C a r t e s d o V i s i t e de l’Imprimerie MontferrancL le oouverclo de la boîto e t su r la bande la it. D epuis quelque tem ps, je co n statai Louis se recommaudent par la perfection de la m atérie l d u café. L ’agent dem anda du plu 3 sym pathiques condoléances.. de g aran tie. u n c e rta in fléchissement d a n s le rende gravure et la beauté du carton. Bristol, - ir., JLa n eige secours e t deux m a rin s fu re n t arrêtes. m ent de meB from ages : cela ne pou ivoire, 3 fr. Franco à domicile. Jjes P astilles Soler sont en vente dans L a direction Les au tre s p r ir e n t la fu ite e n t i r a n t dos H ie r encore, la tourm ente do neige a Lo prix des Cartes deuil varie de 3 fr. a 4 ir. coups de revolver d an s la d ire ctio n des de l a w R evue des Deux-Mondes foutes les pharmacies au p r ix de 1 fr . 50 v a it p ro v en ir que de Ta m auvaise q u a lité sévi avec in ten sité dans les m ontagnes le cent, suivant la bordure choisie. ou de la falsification d u l a it q u i m ’é ta it agents. P erso n n e ne f u t a tte in t. Lo len la boîte. d û Puy-de-Dôme. S u r la ligne do Tulle, P a ris , 27 décembre. d em ain le c a p ita in e f u t in v ite a se p ré Dépôt général. —- Laboratoire Soler, à conseil dp surveillance de la Société les tra in s ont subi de g ra n d s retarda. Cas de l o n g é v i t é se n te r a u oom m issariat de po n ce avec enL© O n nous éc rit du V a u ria t : com m andite p a r actions do la R evue S a in t-É tie n n e (L o ire), 1 fr . 50 la botte q u i m é t a i t aon éq u ip ag e a u complet» Ils r y re n d i des D eux-M ondes a décidé dans sa der On nous écrit do Mangliou : ; ; « L a neigo tombe on tourm ente, le vont franco et 5 fr . 60 les Jt boîtes contre m an B rousse é ta it frau d é. Un jo u r, en p ré; r e n t e t le* a u te u rs d u scandale fu re n t A vant-hier o n t eu lieu les obsèques da n ière séance, à l ’unanim ité, do présen très violent souffle avec rage, les#routes dat-poste. sence de Mme F au g éras, j ’en prélev ai i alo rs a rrê té s e t incarcérés. Le ju g e de te r M . F rancis Charmes commo direc e t chemins sont presque im praticables, la feramo M arie V ignal,. du village do tro is échantillons que je p laçais dans p a ix les a condam nés oo m a tin a deux D épôt central à P a ris : Laboratoire de les congères sont nombreuse« e t dange te u r de la Revue, en rem placem ent de des flacons que je cachetais à la cire. jo u rs de p ris o n e t 5 fran cs d am en do». so n t M. B ru n etière, décédé, au choix do 1 as reuses. Lo c o u rrier du Y a u ria t à S aint- Pharmacologie, 62, rue Tiquetonne. J ’en déposai un à la m a irie de NebouGeorges-de-Mone e t a u x Ancizes a du _ a it 102 semblée générale des actionnaires. D épôt à C lerm ont-F errand : Daum y, z a t; j ’envoyai l ’au trp à M. .G ro s, d i M Francis Charmes, sén ateu r du G an surm onter, p o u r assurer son service, les ans e t l'a u tre 94 ans. i 38, ruo Neuve; G agnière, d ro g u iste; recteu r d u lab o ra to ire m u n icip al, et je ta i, rédige depuis longtem ps, comme on p lu s grandes difficultés. E n cours do g a rd a i le troisièm e. route, au villago d u Blanchet, lo cheval Bossot, place Delille. le sa it, la chronique p o litiq u e a cette L es jo u r s a u g m e n t e n t Le p résident. — M. Gros a constate a été dételé e t la v o itu re laissée su r p la Une déolaration Revue. L ’assemblée générale a u r a lieu que le la it é ta it fra u d é dans la p ro On no s'a p erço it p as encore que Ica. ce. P lu s loin, p o u r dégager lo cheval p ris dan s la p rem ière quinzaino de février. D ijo n , 27 décembre. p o rtio n de tro is litre s d’eau p o u r sep t ioura o n t cessé do dim in u er. D ’ailleurs,;! d an s une congère,# il a fa llu une heure \ L e S upérieur d u g ra n d sém in aire a délitres. ja p lu p a r t des calen d riers p o rte n t e n d ’un tra v a il o p in iâ tre . I l convient do D a n s l’E nregistrem ent M. B ouirand. — E n effet. kxé à l’H ô tel do V ille une déclaratio n A udience d u 27 décembre féliciter to u t p artic u lièrem en t M. Mo core, en tête du mois de décembre : le*-' — Co n’est pas v ra i! s’écrie Mme b au ré o u v e rtu re d ’établissem ent des hautes rel, can to n n ier au Blanchet, qui a cha jo u rs d im inuent. M. Lescouvé, juge, préside. g éra 3-Brousse, la p rév e n u e; j ’a i p as ‘étu d es ecclésiastiques d ans l’immeublo que nassago a tte n d e t dirige, dans ces L a v érité est que leu r durée, au cour a M. P o rte, su b stitu t, occupe le siège l'h a b itu d e de m ettre de l ’eau dans mon ‘occupé anciennem ent p a r M ario-Therese, çeveur au in e y m a ra vjjozciw » * m auvais parages, le c o u rrier conduit du m inistère public. de co d ern ie r mois do l’année, resto près-»' R a n d a n , en rem placem ent de M. L a ru a P au l-C ab et. . p a r M. Machebœuf fils, qui f a it preuve ue saqs v a ria tio n ap p réciab le à partir?; L ’audience fixée p o u r une heu re com la it. D. — M ais vous en avez mis cette vialle, appelé au b u re a u de. b ain t-D i„ u 13 décembre. Ce jo u r-là, c’est la Sain«« do beaucoup d ’enduranco e t d encrgio. » mence à deux heuree moins un q u a rt. Manifestant condamné is-là î . .. dier-la-Séauve, e t la nom ination de M. te-Luce, q u i a son dicton : Le trib u n a l p a rv ie n t difficilem ent à ae foB. — Peuh ! D eux verres a peine, M arseille, 27 décembre}. M ichel B oudet, su rn u m éraire, du com pléter. Au P alais, on m anque actuel A la Sainte-Luco ; p o u r l’empêcher .de se cailler (R ires.) et I L é trib u n a l correctionnel a condam né sym pathique conseiller m u n icip al d Ai- LES RÊVEILLONNEURS lem ent de juges p a r su ite du congé de Les jo u rs au gm entent d’u n e a u t de puccfc; Un m a n ife sta n t à 20 fran cs d’am ende gueperae, au b u reau de T hueyts (Ardôquelques-uns, du déplacem ent de quel p o u r rinöer le eiau. Co dicton est com plété p a r p lu sieu rs' L ’affaire est renvoyée au lendem ain, p o u r av o ir, lo rs de l ’a p p lic a tio n do la che). . ' ^ ques autres. . au tre« qu’on cite souvent encoro dana Le com pagnon de D esisaert e t de Chi o ur p la id o irie do M® Y ignancour, de^nouvelle loi de S é p a ra tio n , empêché lea M. Lescouvé a y a n t p r is place au fa u p lu sieu rs do nos départem ents du Cen-’ gros a été a n ê té ru e d u F o rt, p a r le P resta tio n s de serm ent ienfieur.; : ag en ts de p olice de p én é tre r dans une te u il de la présidence, constate q u ’il tro e t du Sud-O uest, su rto u t eu P oitou,j service de la Sûreté. Cet in d iv id u qui H ie r, à l’audience dje la prem ière iéglise de la b an lieu e de M arseille. n ’y a p a s d ’assesseur à gauche. pù l ’on d it : fa is a it appeler M aurice C ouder t se cham bre do la C our d appel de Riom, se — M aître, dem ande-t-il b. M® de la L T ssoirienne 9 9 nomme en ré a lité M aurice Sansoloys. Il A « Nô » (p o u r Noël) M. P ie rre Mazen, ju g e d in stru ctio n à Roche qui, en robe, est assis au bano seulem ent de 17 ans. Lee jo u rs au g m en ten t du pas d 'u n « ja u ü rA D soirc, la société de gym nastique Voici la saison où les pages d’an Riom , a p rê té serm ent en q u alité de p re e stP eâgé des avocats, veuillez être assez aim able n d a n t que l’inspecteur Roche et le [(u n coq)< e n t d u trib u n a l civil de Thiers. p o u r venir siéger en a tte n d a n t M. Dé V lsso irie n n e , v ien t de se reconstituer. sous-brigadier G orce m e tta ie n t la m ain nonces prennent plus a'importance que sidM. Son b u reau est composé de la façon ’A ux Rois (6 ja n v ier) # - ‘ L apère, ju g e d’in stru ctio n à Al troisièm e la rro n , M. D elp ey rat faire, retenu à la prem ière chambre. I ls augm entent du p a s d ’uno oie* suivante : les pages de nouvelles... surtout pour bertville, a p rê té serm ent en q u a lité de spuerrqce — J e reg rette, de ne po u v o ir # vou* u is itio n n a it dans la cham bre d a ju g e d’in stru c tio n à* Riom. Au carn av al Présidente d’honneur : MM. Bony-Oisterf’im passe Sugny e t découvrait les res être agréable, M onsieur le P résid en t, vous, Mesdames. A l ’issue de l’audience d u trib u n a l ci m ais il m ’est im possible de com pléter p u p a s <[’un cheval! nes, député e t Daureille, ancien adjoint* des festins de G a rg a n tu a que s ele trib u n a l. J e plaide. J e ne p u is être i II est vrai que pour vous, les pages vil de Riom d u 27 décembre, M. L apère tes conseiller d’arrondissement. M ais alors, on approche du p r in te m p s ! s ta ie n t payés (c’e s t une façon de p a rle r) Président ; M. Loussert, avoué-licencio. La fois juge e t défenseur. E t, vienne le p rin te m p s! p u isq u ’on de-J <f annonces deviennent des pages de a été in stallé d an s l’exercice do ses fonc- les m arm itons. L a p o u lard e truffeo e t à — Vice-présidente : MM. Pagonei Emilo, H u issier î f a it alo rs M. Lescouvé lea langoustes é ta ie n t encore in tactes e t mç.Qd$ t£ û jp u r | à v ie illir l . négociant, Çhalmotte* négociant, , ' , A s ’adressant II M* M andonnet, ftudiennouvelles. 41 M?' M a « » p a » . )a police lès » restituées à M. H ugon, M E U B L E S CAMUS DERNIERE HEURE Dépêches Télégraphiques Peti Ad resscr chie à 0 fr.J du l ’vy-de-1 absolument 1 jiP.r la von la poste. 11 timbre pou 8. GuyoMtesaigne à Clermont 4 pen'io. X... — OS Un jeun] que, en c!i ‘.li par la i| R em ettez votre c-.*p1 1 î . E . Cli r,u incorjK ris co ci* été LA SÉPAHAT I0N a t* vol l'ain» li M. V. B Kible que lié !.<•? plus! Imrrinn riq bristol -J. fi !.<* prix le c ut, =u| Pom iv uo glai : , «q .o do lia r ./‘.•p u iî) iu i a v a il •es, lo b< * nt süîj i. e uni do i l’été, n io si aux «-I ur n i v UUiJ'. 2 0 !:iil6s, CH « ne ment A I i.e <‘HSü tes derr piece, 1 Bi avec 1 < sont roD'au; taiues ( qu cou t aJ i t é f f. v a le n t] u te Aa nid jusquef Ai oui tuello n uvesl \ U no tnaaeh plètem gion c on la t cerfs-v certaii s u r qu dans îles ruer, à| Lut. P & m s-C L E R M O W T P -JOUETS S ARTICLES d’E T B E lE S Ran Cte* M iche Moi Pan V id Roi! S '.', i a W AU« Rig r , ûuj Mro pli nei<te* b s blés, Âux Villes du Centre HOMMES. DAMES et ENFANTS Vi qUO 21 m ars ONE REVELATION V É T E 81T S ES FOURRURES d| vous avez Exüoüûiii Kina Bario. Fh" du BrLafont ■ — n : té 2 a n s (serv i AM •sair.gl d ’ô trq inier le u r sa n té | Gui tioiw dcooi te dont <lo C ilüUV i Feu 9 LA SÉPARATION Tribunal correctionnel de Clermont i t i “ Céi ci la niC| mef me étaj çel Lii lia II tr<J nu i< 6( lu lè Cl & é( É P IC E R IE P R IN C IP A L E Petite Poste Militaire 'Adresser los demandes p a r le ttre affran chie à 0 fr. 10, à M. Ln H ire, au M oniteur du Puy-de-Dôme. Les renseignem ents sont absolum ent g ratu its, qu’ils soient donnes p a r la voie du journal ou directem ent p a r Fa poste. D ans ce dernier cas, ioinciro un tim bre pour l'affranchissem ent de la répense. X ... — Y otro camarado sera, en 1907, exem pté définitivem ent ou incorpore pour 2 ans (servioe arm é ou servica auxiliaire;. U n jeuno Cl er mon to is. — Le dossier quo vous avez p ro d u it e st incomplet. Il y m an que, en effet, un certificat modele n° 1 é ta bli p a r la m airie du domicile do vos parents. R em ettez le plus tô t possible cette pieoe à votre capitaine. I. E. Clermont. — 1° Vous serez exemple ou incorporé pour 2 ans; 2°.V ous recevrez il m 3 ce cas la mémo affectation que si \ous aviez été appelé avec votre clacso. Un lecteur do la Cnrrozé. — C est le con seil de revision qui décide. Lo îneaccin-ma•;;T' n e fait- quo donner son avis sur 1 aptituuo pîn'siquô du fu tu r soldat. B G . Avovrou, 42. — V otre engagem ent co n tra cté depuis lo 2 1 m ars 1906, n e pout v ire ni annulé ni ré d u it p a r ^ le décès cfc voiro frère, m algré que ce ueces vous fasse l ’aîné des fils do la famille. M . P . H ., H au te-L o ire. — T1 n ’e s t po* c e s sible quo vous o b ten iez de congé o ta n t don né que v o tre «ngagenna ust auu- rie u r au 21 m are 1906. L ;. H ire . I l a été remboursé le mémo 3 ?u r r 1® Cais se centrale, à 60 déposants, dont W pour solde, 18.797 fr 50; 2 « Succursalc de O m lhat, à 6 déposants, dont 2 pour soldo, 1.94- îr. U8 , to tal, 20.789 fr. 58. ISSO IRE. — Déception. — Suivant uno tra d itio n qui existe déjà depuis quelques an nées il n’y au ra pas de receptions officielles à la sous-préfccturo à l’occasion du 1" ja n v ier. . M agistrature. — ,M . Valade, juge d in stru ctio n , e st nomme procureur do la Répu blique à Clamecy (Nièvre). il est remplacé p ar M. Suronneau, jugo suppléant a Bordeaux, qui est, en outre, chargé do l’instruction. M. V alade, qui reçoit do ^avancement, 11’é ta it que depuis 3 ans jugo h Issoiro, dont u n an comme jugo d ’instruction. Il y av ait beaucoup d’am is. secrétaire-trésorier, M. Paillarsp -F . ; mem bres, MM. Ohabard e t C lairet Louis. CHASSENARD. — Epave macabre. — On a découvert su r les bords de la Loire, ou lo courant l’av ait rejeté, lo cadavre e n - de composition du nomme Jean Bérard, figé 0 0 63 ans, journalier à Lunoau, qui av ait Uisg aru do son domicile dopuis lo 5 novembro COn cro it quo B érard s’e s t jeto volontaire m ent dans lo fleuve, car il avait m anifesté à diverses reprises l’in ten tio n de so suicider. B E L L E S AVES. — M ort de froid. — V n malheureux no vivant que d aumônes,^ le nommé A ntoine V ivier, d it Jan v ier, ago ae trouvé m o rt le îenucm aia u i^y u J rie où il l’a v ait installe pour .la n u n , M lo docteur B aratier,.q u i a examiné lo succômbéo à uno congestion causes p a r lo froid. -______ » changements so négocient : 1? C rédit Lyon nais à 1.205 ; le C rédit Foncier à «93, e t la Banque de P aris à 1.621. Les Chomins franoaia w tw s e n t M erf7 m ent ; le Lyon à 1.806; le Midi à 1.112, e t lo Nord à 1776. , . 0 t u „A«««« /la 19. AA nnt sera cave le 2 l’em prunt o % or u ü ^ v 1“ demandes suivies so produisent sur ce titr e qui est avantageux non seulement au-point do vue do son rendem ent, mais également en raison de sa marge im portante pour son remboursement au p a ir. . Cevreni-Breg reste à 241, en baisse împor1 __ .dû _ . <m i t DO nide. On no signale d'ailleurs quo veiles ’favorables en co qui conocrao 1 exploi ta tio n do .la mine. . . x M arché aetif sur l’Action C apiüitas, & 79. C h a rles Avis d’obsèquea M adam o Léon R O D E , née VATJRY *, M adam e VAT’E Y ; M essieurs Jo sep h efc M au rice V A U E Y ; les. fa m illes COIDF I E E , B E L L Œ U F , TOBY, B O Y E R e t P L A T E IX , p r ie n t le u rs am is e t co n n ais sances d e bien v o u lo ir a ss is te r a u convoi de Monsieur Léon RODE décédé à T ours-sur-M eym ont, m u n i des S acrem en ts de l ’E glise. On &e r é u n ir a à la g a re do C le rm o n t S a m e d i ?.9 Décem bre c o u ra n t, à m id i. I l ne s e ra p a s envoyé de c a rte s d ’in v i ta tio n , lo p ré s e n t avis en te n a n t lieu., PRELLE 29, Rue des Gras, Clermont-Fd L IQ U E U R S D E M A R Q U E Spécialités de Vins fins — Champagne — Bordeaux Bourgogne, depuis 1 f r . 555 CONSERVES ALIMENTAIRES SUPERIEURES F o ie s g r a s de la Maison Louis, de Strasbourg Superbe Calendrier offert à tout Acheteur Le plu s beau cadeau est un abonnement (38 ir.) a S e l e c t a Le plus grand m agazine du inonde. Son N° de Noël est une m erveille. P rix 2 [o(). 31, Avenue de POpéra, P aris. LE S MARTRES DE V EY RE, — Accident Avi» d’Obsôqaes m artel. — M ercredi 19 courant, lo jeune M ad am e J . B O U R L E T e t M onsieur Lossalas E tienne, âgé d o d o u zo * C A N T A L versé p ar mégarde un recipient plein cl eau j B O U U L E T , com m issaire a d jo in t des P eu d e p erso n n es ig n o re n t quelle triste AURILLAC. — U n escroc. — Un individu bouillante su r lui. Lo corps, couvert d hor colonies en r e tr a ite ; M ad am e veuve nui présente u n o c arte d’identité au nom do ribles brûlures, lo malheureux a souffert pen in firm ité c o n stitu en t les h ém o rro ïd es, c a r M IC H O N ; M esdem oiselles M a ria -A n to i Slou^iu, 25 ans, né à Thiors, a fa it depuis dant. trois jours, e t est m o rt des suites de c’est u n e des affections les p lu s ré p a n d u e s, quelques jours de nombreuses dupss dans la l’accident, samedi dernier. Ses obsèques o n t n e tte e t A nne-M arie M IC H O N , eb to u te m ais com m e on n ’aim e pas k p a rie r de ce ou lieu lundi au milieu d ’11110 grande aifiuenl a fa m ille , o n t l’h o n n e u r de vous fa ire g e n re de souffrances, m ém o a son m éde C°B eau garçon, correctem ent vôtu, Moulin œ ; le« élèves de l’école o n t conduit leur ca p a r t do la perfco douloureuse q u ’ils vien so présente chez la personne ou d a 1.in te n m arade à sa dernière demeure. cin, on s a it beaucoup m oins q u ’il existe tion d’escroquer e t invariablem ent lui d it n e n t d ’ép ro u v er en la p e rso n n e de M utualité scolaire. — L a réunion annuelle u n m éd icam en t, T E l i x i r d o V i r g i n i e les larmes aux yeux qu il lui jjanquo uno do la société scolaire de secours mutuels J/i N y r d h a l , q u i les g u é rit rad ic ale m e n t et déterm inée pour re tire r du Mont-de Jeunesse Prévoyante, a eu lieu dimanche 21 somme Viété u n objet quelconque dont il a 10 plus sa n s a u c u n d a n g e r. On n ’a q u ’ù éen ro co u ran t sous la présidence do M. B e ri.tr, Carton bristol j S Ù . ) l9 Cent u rg en t besoin, fio u lin pleure avec «no con K 6 o R o s e GA2S35T NYRDILVL, n ° 2 0 , ru e de L a lto c lie lo u chevalier do la Légion d bonueur. C arton ivoire i 3 fr. y viction telle, il a des^ actes da desejpou si D’après lo rapport- do M. Picaro, tréso r« » , c au ld , P a ris , p o u r re c ev o ir fran co la e t vous p r ie n t de v o u lo ir bien a ssiste r a tten d rissan ts q u e . gcneralom ent, nmme si F ra n c o à dom icile la société est en pleine prospérité. Au d i b ro c h u re ex p licativ e. On v e rra com bien il a u x obsèques q u i a u r o n t lie u S a m e d i la nersouuo a qui il s adreßso fl-A-iro I décembre 1905, Je to tal général des recettes Les plus belles C a r te s d e V i s i t e g a v é e s , â , PeÙo donuo to u t ou p a rtie do la somme est facile de se d é b a rra sse r d e la m aladie £9 couroriit, à n e u f heures, e n 1 cgliso Lo p r ix des CARTES DEUIL é ta it do 8.110 francs. Dans lo courant do Im prim erie Mont-Louis. Clermont-t e r n ml. Carton la p lu s p é n ib le , q u a n d elle n ’e st p a s la Donnée 1900, il « é té payé 420 j rauc^ ° F N o tre-D am e d u P o r t. > ^ R a ssé ré n é , Moulin s'en va plus loin con b risto l 2 f r .. ivoire 3 l r .. franco a éoimcri^. varie de 3 fr, à 4 fr . le cent, su iva n t indem nité aux sociétaires m alade^ BOO ti p lu s do u lo u reu se. Le flacon 4 fr. 5 0 , franco. O n eo r é u n ir a m aiso n m o rtu a ire , p la ce Le prix des C artes de deuil van » de 3 fr. a 4 b . tin u e r co m étier qui doit ètro assurém ent (tonds do secours m utuels) o n t eto pinces à le cent, su iv an t la bordure deuil choisie. la bo rd u re d e u il em ployée . E x i g e r s u r V en velo p p e d e c h a q u e fla c o n M ic h e l-rH o s p ita l, J l, A n e u f heures ___________ _ lucratif. ù Caisse des Dépôts e t Consignations; la s ig n a tu r e d e g a r a n tie N y r d h a l . fr. o n t .été rép artis su r les livrets do re tra i m oins u n q u a rt. , SAINT-CBRNIN. — Incendie. 7 ; ^ ^«* ÏM P R ÏiliE R IE te des sociétaires. I l reste en caisse a ce L e s c a m p a g n e s e t la n e i g e U no s e ra p a s envoyé dé c a rie s d in le n t incendie a completemmit. d é tru it la jo u r 985 fr. grange de M . Bastid, pro p riétaire au Camc ita tio n . P o n d a n t quo nous p a ta u g e o n s d a n s la C l T G . M 0 N T - L 0 U IS M \N G L IE U . — Comité républicain. b o u e glacée, c’e s t u n e co n so latio n P a ^°Lcs pertes subies par. Mme Vvo Dauzok , V j ' _rtrc.sidu C LERM O N T-FERR AN D A v i s d ’O b s è q o e s n iq u e , n iais u n o co n so latio n to u t, do m iferm ière do cette, pro p n eto depuis plus üo mo de p e n se r à Finlluenco b ie n fa isa n te 40 ans sont supérieures a 1 assurance. M ad a m e Jacq u es * ItO U D A IR E ; CliO dernier, au icmuu -------inf\rr« tic la n eig e p o u r les cam pagnes. Lo b âtim ent é ta it assure lo.OQO finnc.s Co M adam o e t M o nsieur J u le s C R O V H IT O ; reau. A l’unanim ité, le bureau do ll«M a D e p u is la sécheresse de } a n d e rn ie r, los récoltes y contenues, notam m ent uno été m aintenu ; MM. G uypt-D ^saigno^c l a M M . H e n ri e t H dm ond C B .O V E rIO , crando q u an tité de foin e t -les înstriuncn .» q u i a v a it t a r i p a r to u t les reserves aqueuf 6 9 b. m. • bre 4 , mai 1 0 et conseiller general cio \ icM ile Y vonne C R O V E TTO , à M ontePP.2SSU0N agricoles qui o n t été la 5 ^ q U1 j22*" 7 ses, le besoin de la neige s© f a i s a i t v u e 713*• 9 J ô -m id i....' l c ^ m t e é ta n t présidents d’honnour n ’étaien t assures quo pour 0 .0 0 0 fiar.es. *THôy?CiiR.\LUB 623** 1 C arlo , e t to u te la fa m ille , o n t la dou I a 3 L. s* • • 714e* 7 M F ab re, malgré la rig u eu r d u temps, E lLo isoF&aifc •tellem ent a lté ré à la fin F*é"ts*it fuit un devoir de sc rendre au milieu le u r do f a ir e p a r t à le u rs am is e t con — 8 0 0 8 / K h. 9 h. » . . . Du 27 Décembre MAURIAC. — Déceptions. —: U n ’y aura <lo l’été, q u e m a lg ré les q u a n tité s de cD scs amis do Manglieu. # naissances de la p e rte c ru e lle qu iis —7 6 « 4 • I à lz x i îd l . . . . .as 0 0 réceptions officielles ù la sous-proiccp lu ie successivem ent tom bées, les i u ^ D ans uno v ib ran te aUoonUon, il 0 6 —8 8 TEMPÉRA. TDK* • l à 3 b . 8 . . . . v ie n n e n t do f a ir e en l a p e rso n n e ue C o u rs a u c o m p ta n t urc lo 1 er janvier. #. £ a u X e t riv iè re s s o n t loin d a v o ir t u —88 0 0 W Eiaitaun Postes et télégraphes. Mllo Eu^emo l ‘Uv n iv e a u m o n ter commo on a u r w t p u 2 6—5 7 . ^ ia ax lm u n 3«/* amorfissab. 9G 40 Obi. Ouest 3 % . . 433 ., Griffel, do M auriac, qui subit avoo s u c c ^ le s f.; en on oser ; lee u n s e t les a u tre s se so n t Act. 0 . - Algérien. 639 5 examens dc 3 postes e t telogrnphes, vlent 100 70 "oniles, m a is f o r t p e u e u t débordé, com ; . I à 9 h. » . . . VILT.K DE PARIS e t les p r ie n t de v o u lo ir bien a ssister a u Ob’. — 3°/® 428 . actuelles : l'êixiraUon ces jùousls e * 1 «100 d’èfcro nommée damo employee u Dreux. : ntjiasnivft 61 midi........ m e en an n ée n o rm a le c ela s e r a it c - r ta ii Act. Sud France. 238 . ta t. Assistance aux vieillards, Im pof yar lß 25 convoi e t à l ’.office q u i a u ro n t lie u debligalioDS 1865. 533 100 E t a t ï y , l à 3 h. » ... 57 422 . revenu, D étruites ouvrières, etc. Ce discours Obi. — 3 ° / . ' — 1869. 450 m a in S a m e d i S9 D écem bre, à n e u f heu T S Ä vue rie n ne p o u v a it A c.J. Gaz Parisien 3 '.G . a été coupé p a r les acclamations eu t nou .. — 1871. 410 IL 0 3 B E 29 e® 7 a i,s. pjjue ... res e t dem ie, en l ’église' de S t-L u tro p e^ Act. Transatlant.. f : ro p lu s h e u re u x ou© i*a rriv é e de là — 1875. . . . ai astes do to u t l’auditoire. . SAINT-ETIENNE. — Le drame de la r v t f Ac.Mescag. Alarit. Après un respectueux hommage ren d u a U no s e ra p a s envoyé de c a rte s d ’in v i V— 187G. . . . n®i»se. Les céréales d 'a u to m n e e t s u r to u t df 4nnonay. — Ainsi que nous le faisions s N.N.O Ac.Omnibus Paris o . s . o . 50 M . Quyot-Dossaigne, lo Comité a decido dq 1802. 370 U s blés d o n t u n g ra n d nom bre a v a ie n t ta tio n , le p ré s e n t avia en te n a n t lieu. VWT m alheureusem ent prévoir, Ir.fort Actions Malüdano ‘ 1804-9Û 372 las. fort prendre part., û ^ j o m on tête. ité S A p a r la s - k h c r o ^ c t a q m reçu t un coup do revolver dans l© dobi. do ta tio n organisée a Clermont, on 1 honneur O n so r é u n ir a m aison m o rtu a ire , ru e ' • Ü & f ë X • 1898. 424 50 Ac. Tram. Génér. 611 . . tes d e rn iè re s p fu ies a v a ie n t etc tic s pi© Ja damo Breysso, est m o rt des suites d . sa A .^ G é n .d ’élcct. 720 / 1899. . . . do M. lo hlînistr© do la Justice 7 4 9 -1 \’i DAROMtïR* [ S a in te -O la ire , 4. W s s o tro u v e n t a c tu e lle m e n t a u m ieu x A.Par.amaB.àlots 115 . . Enfin, après les romc-rçiemjnts go M. UhM r ^ £ S " -J1904. . . . iiip .a u niv. dejnerf avoo ' 1 ê ç a is m a n te a u do neigo d o n t , b % - v 1905. 878 50 Ac.Dynamite cent. 637 . . «ard, lo Comité s’e s t séparé aux cris répé W C?2 b mercredi soir, a. 4 heures, que lo dcA ujourd'hui Vendredi 28 Décembre Anglais c.21/2*/» , A v i s d ’O b s è q n e a té s do : « Vivo la République! » CRÉDIT FONCIER « Ä Ä 1° nombro des 98 SÔ Autriche 4 0/° o r . E° D ’a u t re ^ p a r t , le . p r a ir ie ,, d o n t cerTEMPS PROBABLE victimes du dram e do la ruo d Annonay . 97 JT» V M me B A .TU T; M. E u g è n e B A T Ü T Chinois 4 ®/*or.. ObLComm. 1S79. 471 ■n — Fédération républicaine. — îo m ourtrier, la damo Breysso e t l’agent 504 2 .. Chinois 5 «/o o r.. Foncières 1879.. 501 e t to u te la fa m ille o n t l a d o u le u r d e Dimancho dernier, 24 décembre, les prési M ure. Egypte unifiée.. . . 103 * 1 ____________ — 1883.. 437 dents des différents comités e t_^es m aîïes revous fa iro p a r t d e la m ont de L Privilégiée 1 0 1 . — 1885.. 403 S T d Ä do l ’h u n û d ité p t e * „f VKftam vors nos cotes oo i v/ceaj.. pnblicains du canton so sent, reurua salle 98 1* Hongrois 4°/* or. Cominunalca 1SH 382 C O R R È Z E Bicard-Bai-goin, sous la presidenco do M. r% ° n4 m p s sera fcrid. o t U y a u ra quelquea* 93 lu Japon 4 ° J ° o r ..« ô t a n t e de la neige q u i v a Ica p en ctrcv — 1892 453 BORT. — Ponts et Chaussées. — M. CruèJu lien Corre, conseiller général, president 70 8 * Portugais nouveau Foncières 1895.. 4GC» orjie A ntonin, commis principal des P onts e t do la Fédération républicaine. 93 Jji D octeur en M édecin6 Roumain 4°/ol 898 jUI T o u t o n f q 4 Uh te m p fr a tn r c W ocLevered?soleil 7 h. 55 m ., coucher 4 li. 7 s. Communales 1899 458 dhaussées cle promièro classe, servico du eheTous los m aires ot presidents é taien t pre 78 2-i Russe consol. l re2° Foncières 1903.. 493 tu e llo c o n v ien t a d m ira b le m e n t a u x vin s Lever de la lune 2 h 35 s., coucher 5 h. 25 m. m m de fe r de B o rt ù NcussarBUjs, sera a t ■’d écédé à Genève, lo 26 décem bre 1S0Ö. sents ou avaient adhéré p a r lettre. 50 — so/^isoi-o; 04 2-; Communales 1906 498 P. L. le 30. - D. Q. le 7. E n quelques mots ,lo president a ^xposé taché, à d ater du l or jan v ier 1997, dans lo n o u v eau x . 62 73 U n service fu n è b re sera, cjiébro en la. — S o/o 1896. départem ent de l’Avovrcn, au sorvice^o che le bnb do la réunion : récepticm do M. VALEURS DIVERSES 69 2ü — 3 1/2® /“ 94 b a siliq u e de N o tre-D am e d u P o r t, à C lerI/éc3Jpsc du 13 jaunie* m in d e fe r, en remplacement do M. H u iarv . Guvot-Dcssaignc, m inistre do la juaraco. — Intér. 4 ° / 0- 72 :u B. Paris eLPays-B. 4620 mont-FoTrand!, S a m fid t m a im , à h u i t lknquo d’Algérie. 1240 L’emploi a c t u e î W n t occupé p a r AI. *Al’unanimifcé, il a e tc docido ^ne ^ c^ “ B.T. Russe5“/* 04 484 . . TTno. éclin se de soleil a u r a lie u lé. d ito n do R andan se ra it î-eprésente à la ré iCruègho est supprim é. 66 h eures. S es p a re n ts e t am is e o n t p rie s N. Russe 3 1 /2 °/« C. NaL d’Escomp. 692 85 te ception do M. le G arde des ^ e a u x o t quo Serbe 4 °!0.ß . . . . SUR LE Crédit Lyonnais.. 1198 USSEL. Mariage. ' — D ernièrem ent a . les délégués ae rendrai mit a Clerm ont avec Ottomanes Priorit. Société Générale. 661 ^ L ’in h u m a tio n a u r a lie u à S airrt-F loété célébré à ß ain t-I^ o n ard : Douanes Ottoman. 498 . . ‘ Gueîma " * 675 Act. Bône l’a ^ b l é o n docteur M ajour, roçeimnont installe » M re t, à d eu x heures. . A.CbcminsAutric. 435 — vote des f è H o i t a t i ^ à m Gtomot pour avec Mlle M arguerite G aillard, fillo do 1an I l ne s e r a p a s envoyé de caa^es d în v i- Obi. c erfs-v o lan ts m étéorologiques e t, d a n s — l r® 445 !. Act.Esl-Àlgérien. C85 50 Ob. 336 5« O.Lombardes3°/0 cien m cd coin-major. 434 ta tio n , le p ré s e n t aviô en te n a n t lieu* Obi. — 4°/o 670 Actions E s! . O n se r é u n ir a à l ’église. Obligat. Est anc. 438 5G O.Nord-Espag. l r* 372 8; Les multiples dispositions do la Loi MARCHE aux b e s t ia u x d e l a v il l e t t e Obi. Saragosse l te 400 . . 0 . P.-L.-M. f. a. 447 du 1 3 .lulltet 1 9 0 6 établis Ac. Agence Havas 725 . . Marché du 27 décembre 439 — f. n. SAINT-BONNET P R E S CHAÜRIAT v* ïï ï » Act.Wagor.s-Lits. 408 sant le R epos hebdomadaire — 2 1 / 2 */* ü n voisin bruyant. — Une cey&ame poi13 5*.* Bons delà Prcîse. Ü 10 prix EvraàMES Actions M id i.... -----------b u t. Kouno da la localité s e st amusée ces nuits n ’é ta n t c e r ta in e m e n t p a s t r è s c o n n u e s Ac.TabacsOttom. 455 . . 439 Ob!. Mid 3 °/o .. v e n d u » tir e r des coups do feu, reveiJ^, Espèce {am ené 44 . . Etat civil de Clcrmont-Ï?«**»®«1 dernières d e s in té re s s é s , n o u s a v o n s c r u le u r Obi. Nord 3 • / .. 450 50 Act. C hartered... viande n et j poids vif la u t ainsi to u t lo village. On se uomwiao si A.Llac. Hartmann 820 . . 444 0 . Orléans 3°/o-* pu 27 décembre lbHjo e tr e u tile e n m e t t a n t e n v e n te , d a n s cette plaisanterie va durer* Actions O u est.... \ n o s b u r e a u x e t p a r la p o s te , le s d o c u * Au Centre de la Ville Décès 57 à 4 02 7 0 0 14 h l Bœufs.l 1.603. 1 422 1 SAINT-VINOENT — .L is te s électorales. H andier AppoUine, couturière. U Mis, rnc V a le u r s à terme» 621 1 0 2 îi 1 0 8 0 50 à 1 60 m e n ts c i-a p rè s : 677. — L a Commission chargee do dresser La lis Vaches ,r~T 48 h 0 72 • ••. • w 32 0 98 à 1 223 0 Rento 3 95 32 Italien............... te électorale do la commune de Bamt-VinTexte de la loi du 13 J u ille t 1906. 0 .S 0 234 T a u r.. p o S e t l b s e ; veuve Girodios, 80 ans, placo £297 .. Rio-Tiulo............ 77 à 1 40 35 0 Banque Mexique. 1017 . . 40 li 2 cont pour 1907 est composée do la m anière Veaux. 4.233 1 .493 1 1287 .. Sosiiowice........... Texte du décret du 24 A oût 1906 T>Iichel-l’Hospital, H* union 24 ans. 76 ä 1 12 Banque de Fiance 4485 suivante : Président, M. Chùndezou, m an o , M out.. 1G. 075 13.675 1 50 h 2 24 0 N ord-Fsçagno... 275 . . Générale. délégué do l’A dm inistration. M- C^omband, 10 à 1 28 Société organisent le contrôle de 1 apPorcs.. 4.228 4 228 i 50 à 1 82 1 C o n v e n a n t à to u s .g e n r e s Saragosse............. 329 . Thomson-Houston 730 délégué du Con&eil municipal, M . Piallo* t plication do la Loi u .io j l 54 à 1 82 1 08 à 1 28 70 ? .? , d o C o m m e rc e e t d I n d u s tr ie Maigr. Russe 4 “/* 1901. 675 Banque Ottomane. I i 87 .1 î Russe 5 ° / 0 1906. Feuilles du reg istre d'inscription Crédit F o n cier... 94 gros bétail e t 1^ S’adresser au bureau du journal ou au Turc unifié 4 °/°. VIRLET. — Comité républicain. ~ - L ° Suinte-Claire, 4. 1310 V ento difficile pour lo. P .- L .- M ........ des em ployés et ouvriers soum is Üaiscanccs Comité républicain démocyoUquo do V irlot, Do Bccrs............... 59t . . concierge du n* i0 de la rue Savaron. moutons; oalnio pour les veaux, moyeano N o rd . •••••• 1777 A un régim e spécial do repos rém ii en S e m b lé e générale lo 23 d e^ m b re, RandrMiaes......... 157 .. Allégro Victoire-NcélUvM anc-Gitberte. p o u r les porcs. Orléans. . . . . . . pour le renouvolLeiuent do son bw eaii, a Gold Helds.. . . . . . 102 . . ............................ Z F eu illes de tâ te Métropolitain. . . . • R igaud Charlas-M ary-jlgne. S u • P résid en t d’honneur MM. Batafilo, Ibsst-Rand . . . . . . 106 . . Rafiinerie S a y ... Les mêmes : Feuilles intercalaires. 0 .1 5 Tliarsis..............'. 224 . . sénatour. e t Bravy, conseiller general ; preOmnium Lyonnais F i n a n c i e r Affiche indiquant les heures de roGape-Copper......... 239 .. cîAmi? «ffectif M. Poynot ; vioc-president, Briansk................ C O R R ESPO W 0Ä N G ES Huanchaea.. . . . . 130 . . M. Lecuyer; secrétaire,, M. M onestior, ins S u er..................... vos aux em ployés et o u vriers L e R io continue h a ttire r l’atten tio n titu te u r; tréso rier, M. M eunier; assesseurs, 95 10 Extérieure 4 % . • so u m is à un re g im e s p e c m u -l ü n a r ses violentes oscillations •: il debuto aaMM, Beatm© ©t Caillot. .. Pris dans nos bureaux f 0 ” d“ ui à 2 298, p r o à 2 |19 pour, finuieA l’issue d e I» séance, une adresse de feu-; B O U R S E D E L Y O N ( 2 7 décembre^ citations a été votée en faveur du.gouverne tom ber on clôture a 2 .ÄU. 6 c e n tim e s en plus pour recevoir par la poste G azeuse L ’ensemble du marché e st p lu tô t lourd, Cours communiqués par la Société Générale m ent. _______ les transactions sont clairsemées. Pr.cbim iq.d’Alais 1525 . . Teur ifeil» dém issionnaire p o u r couse do Bergougnan 3373 N otre 3 % se tr a ite a 95,JA ALLIER Sfie Chardonnet. 805 . . — nouv......... Les Fonds russes sont i ?cna • Usines Rhôneord. 541 .„ Torrilhon 179 a i v v a t C. fr. — L’Union Qy1906 à 86,95; le 3 % i m , u 63,7o; le 1896, a — 7 — priorit. 19C . n o u r la, v en te d u M o n ite u r d u P uy-dePlaques Lumièro. 770 cliste Gannatoiso s’est^ réunie le 25 dooem-- 62.75, ©t le Consolide a 77,4e. . p D ôm e eife d u M o n ite u r d u D im a n ch e a roges 2925 bro pour procéder à l’élection d tm nouveau L ’E xtérieure espagnole- f a it 9o,16* lo iror Comité pour^l’annéo 1907. O n t é té élus . «Ç , * « j — J; C h a u v a y e , p ar le V e rn e t-la -V a ra n n e . tu g ais 71,07, o t lo Tui'o 94,30. P résident, M. M anon, directeur £ c s Etablissem ents de crédit sans grands d t Gannat ; yice-président, M. J . i nom a s , nouveau 1661 fr .; Total, 18.238.q u i a v a it b a rb o té d a n s les finances d a M ain tes fois elle n v a it la société e t m angé le m ag o t d un© cua n îai6 scru p u les aux q u els e lle a \ a i t obéi das p ro p o s sem blables, q u a n d ü m ’a dé- I — re P era rso en re p o u ssa n t les différentes occasions scs clientes. S a bouche s’e n t r ’o u v rit, sa re s p ira tio n m an p a u v re ?errana ra n a m o onanue .. «Lj*e m onde o u t u v i v r ^ A h l... rép o n d it-elle. cidéê à " q u itte r m m ere, ere, 1 d éso rm ais n ’eofc p a s c e lu i o u 1 o n *a q u i t a n t de fo is d’é ta ie n t offertes A F e u ille to n Au M o n ite u r d u Puy-de-D Cm * M ais son e s p r it é ta i t lo in . q u e je n ’a i p a s encore e u le -courage cle co n n u e... D ’a ille u rs , t u ©a d é jà bien elle# f • ^ ^ Q u ^ a s - t u ^ d o n c l d e m a n d a la je u n e — _ 87 D en ise D avenesle ! , , re v o ir d e p u is m a h o n te !... I l e st v ra i changée, e t lo lu x e d o n t t u v a s jo u ir t© L a p re m iè re eemeiKe m auvaise, ç est A l ’évocation de ce nom , to u t u n passt* t«.A maIiiî n u i »e f a i t a p p e le r L a v e rd a c LES t r a n â o r m e r a d a v a n ta g e . , ^ son m isérable p è re q u i 1 a v a it je tte r Ä Ä l i t - i l comme év an o u i r e p a ra is s a it d e v a n t elle. % T u es s û r q u e œ n est p a s in fâ m e ce d 'u n e fièvre so u d ain e, je te défie de le d a n s son âm e. . , C ’é t a i t D e n ise !... C 'é ta it la fille tte r.crue nous fe rio n s l à ? . . n, . D ep u is, les sophism es em poisonnes de à côté d e laq u elle elle a v a it g ra n d i, I — reaiiBCT »ü» fu lg u ra n c e s p , E n q u o i ?... C écile n e st p a s ici. C est son a m a n t a v a ie n t anesthesie p e u a p e u ré a lis e r o u v rit la bouche p o u r le questioncom pagne de son e n fa n c e ! no t ’a p p re n d s rie n de n o u v eau la-dessu..-, donc elle q u i, de g a ie té d e cœ ur, renonce cette conscience chancelante* D u r a n t de (Longs m ois, to u te s d e u x à cet a v e n ir d o re que n o u s iecu e illo n s à n ’ost-ce pafi, Ja c q u e s? D ésabusée, écœ urée p a r ses m a lh e u rs, n ' l i la d ev an ça ,e* s’é c ria d 'u n e v o ix via v a ie n t vécu côte à côte chez la m a m a n — NTe songeons p lu s a ce p a ssé o d ieu x ... sa place. D ’a ille u rs , a s-tu des ra iso n s d e elle so p e r s u a d a it m a in te n a n t q u e ü e tar C ham bly, à l ’a te lie r .... A in si, t u ne te défends p a s d a v o ir rêvé la m én ag er ? L a c o n n ais-tu « a v a it à se venger, elle au ssi, de la soS o u h a i t e r a i s - t u d ’ê tre la p lu s r i c h e L a douce c a m a ra d e rie des p re m iè rc a P ie rre D E C O U R C E E E E — N on. «... h,*. e t la p lu s enviée des fem m es, d a v o ir les UiT o u r“ m ’e n d é fe n d ra is-je ? J e années do l.a vie les u n is s a it. — E h bien a lo rs? ... J e t assure, en °1 h t v ision des M ille e t u n e N u iU que p lu s som ptueuses to ile tte s , les p i« 8 b r i l Buis fra n c h e ... J e ne l ’a u ra is jam aisi de Les o u v riè re s q u i ti r a i e n t 1 a ig u ille a. ce q u i m e concerne, que le p la n que noua T„nnrpa v e n a it de fa ire m iro ite r a u x la n te s p a ru re s , les p lu s su p erb es chevaux, le u rs côtés en fr e d o n n a n t los re fra in » m an d ée à l a h o n te. T ii sais encorei cela. 'Tnsa H i vas s e r a it c ap a b le d© d é co u v rir allo n s m e ttre à e x écu tio n n ’ex cite p a s y e n s ex tasiés de c ette égarée e n d o rm a it lo p lu s bel hôtel de P a ris ? de le u r joyeuse p a tro n n e les av aie n t — O u i, je le sais, R o lan d e. N o vions-tu chez m oi l ’om bre d ’u n re m o rd s... C elle — T u d iv ag u es ! m u rm u r a - t-elle,# ia ses d e rn ie rs scru p u les, e t a b ap tisées d ’u n s o b riq u e t a n e o tu e u x eu n a s enoore to u t récem m ent do le p ro u q u i a v a it circonvenu si h ab ilem en t mon se liv r a it en son cerveau dévore d a m gorge serrée p a r u n e espèce , d; angoisse. e x p re ssif que R o la n d e sc r a p p e la it e n v e r ... A ussi, to n h o n n ê teté n est-elle p a s p è re e st u n e in g r a te q u i n ié rite d e t r e b itio n ne p o u v a it av o ir u n e issue I l secoua l a te te e t p o u rs u iv it fé b rile oore : p u n ie ... E t n u is ce n ’est p a s n o tro fa u te m ent , , . ». • Les d e u x fra n g in e s ! , 60 E x p liq u e -to i d o n c !... Avec tes dem i- si elle boude d e v a n t des m illio n s. tC^ !e'Si Jo sé R iv as m ’in te rro g e , que lu i R é p o n d s - m o i ... R e p c n d s - m o i v i t e I E lle e u t u n m ouvem ent p o u r re v e ler m ots, tu fin ira is p a r mo co m m u n iq u er ta “ T u  a i r e , l a p e tite r é v é r a i t les — T u m e donnes le v e rtig e !... M ais r é p o n d r a i- je ^ ^ ^ à — J e te rép ète q u e t u es fo u ! ces d é ta ils à Jacq u es. fièvre, ou p lu tô t t a dém ence. m é fa its d e son fr è re d ’a d o p tio n , e t c e n — O ui, p e u t-ê tre ! CTcst a u i l j a do Jcsô j j * ^ g Q Up ^ n n e r a abso lu m en t rie n , E n quelques p a ro le s, Jacq u es B ru n eE lle ee ra v is a . . é ta i t f a i t p o u r ja m a is des esp eran ces qu» q u o i le d e v en ir... T u t ’e n ap erce v ra s to u t re tro u v e r é ta it une e n f a n t d e q u a tre a n s Q u ’a v a it-il besoin d ê tr e m is a u ooum o n t r a c o n ta l ’a rriv é o so u d a in e de Jo sé çelu i-ci f o n d a it s u r les b o n n es d ls PCkU" à l ’h e u re !... M ais, encore une fois, ré a p rè s la co n v ersa tio n q u e nous avons a u m om ent de l a co n d am n a tio n de son r a n t de ces so uvenirs ? ^ R iv as, so n odyssée p le in e do p é rip é tie s S o n s T > eon é g ard , d e oo re v e n a n t m ilp o n d s à m a q u e stio n ... V cu x -tu t o u t ce p ère. E lle n e d e v a it p a s en , sa^ xJ . A in si, c ’é ta i t la p la ce de D enise,, p o ig n a n te s e t le b u t do son v ° y a S®‘ . I eue. lo n g non p lu s s u r son com pte, M lle De s a p e tite fra n g in e d ’a u tre fo is , q u elle C ’e s t in c ro y a b le !... m u rm u ra la 3 N teis 6 hT^pèré d e cette' je u n e fille ^ ^ ’é ta i t là u n e ab o m in ab le Pe rf ^ €ctp1''®‘ lla L‘ T u v as en co re m e p ro p o se r de re nisc D avenesle... . a l l a i t p re n d re . U y a v a it d e q u o i se b ris e r la te te con to u r n e r ru e B lan ch e t.. . fit-elle avec vélui-m êm e, «’i l n ’é ta i t p a e couche sous R o lan d e p o u ssa u n c ri é to u ne. iC^ C ’e“ p o u r ta n t a in s i... E h .b ic n , céÉ- l a te r r e boréale, ne d é m ê le ra it p a s la E lle h é sita. - , D enise D avenesle, as-tu a i t i t r e les m u rs. . A M ais 1 im age de îa richesse e t d u lux B ru a e ra o n t s ^ tre ip m it lc f r o n t à d eu x h é m e n e e ^ ^ n e s a u r a i t p lu s ê tre ques t& f o r tu n e q u i noue to m b e d u ciel, ces r i v é rité p u isq u e l ’e n f a n t n a v a it p a s q ue Ja c q u e s S r a it f a i t b rille r à ces yeux chesses é c ra sa n te s q u i v o n t tra n s fo rm e r q u a tr e »ns q u a n d il a m is p ru d e m m e n t m a in s , com m e p o u r e n f a ir e j a i l l i r une H M ais tu n ’as ja m a is désig n é d e v a n t tio n cle c ela ... p lu s ja m a is ! n o tre vie de gêne e t de m isère, en u n p re v in t l ’éblouir. ? O o éan e n tr e l u i e t l a .ju s tic e de son id é e reb elle .lo rs q u ’u n b r u it de p a s rém oi, t a sœ ur d ’a d o p tio n que sous le — D e q u o i donc, a lo rs? ré p liq u a RoA llait-elle ren o n cer p a r u n v a in ßorr r a d is e t ré a lise r to u s nos esp o irs, allons n a v s . A llons, décide-toi! .. . so n n a à côté de lu i, s u r le t a p . nom de C écile? _ . , .. pu le, à ces sp len d e u rs, t a n t de fois. r.<jn n o u s y rencnoeT ?... . — Ä h ! je n e sa is p a s ce que je dois O ’é ta i t R o la n d e q u i v e n a it d e r e n tr e r . — C’é ta it celui que lu i d o n n a it m on A v a n t to u t, aoooptes-tu l a fo rtu n e , voitées p a r son im a g in a tio n r u v ^ e ? E n e n te n d a n t om d e rn ie rs m ots, uno Ja c q u e s n e l ’e n te n d it p aa, t a n t il é t a i t f a ir e ! ... p ro n o n ç a R olandç,p è re en so u v en ir d ’une e n fa n t q u il l ’in c alcu lab le fo rtu n e q u e 1 0 t ofTret — A lors, fit-elle d ’u n e v o ix b r ève, t flam m e a rd e n te a v a i t p a sse d a n s les yeu x D a n s c e tte âm e de, révoltée, com m ent ab so rb é d a n s ses réflexions. . _ B elle d e m a n d e !... Q u elle e s t la fem a v a it p erd u e. ne sais p a s ce^qu’e liq e s t d e v e n u e , cet d e R o lan d e. . , » i l f a llu t q u ’elle s ’a p p ro c h â t d e lu i e t l a p ro b ité e t l a b i t u r e auraienjiflK ® — Son v r a i nom é ta it d o n c î... me n u i n ’a m b itio n n e ra it p a s u n p a re il Eli© d e v in a it le p la n d e son a m a n t D e n is e ^a , l u i to u c h â t P é p a u le p o u r q u il re le v â t la — C elu i que je viens de p ro n o n cer. a v e n ir ?... M ais, en co re u n c fois, p o u r (A suivre.) C elui-ci, d ’a ille u rs, s’em p ressa de p ré tè te . .• N a tu re lle m e n t, t u é ta is tro p Sa^ e» q u o i p a rlo r de rêve« insensés ciser. I l p a r u t se ré v e ille r en s u rs a u t. e t moi-mÊme j ’é ta is tr e p e n f a n t aible que tu p o rd es a oe p o in t to n sa n g T o i! fit-il d ’u n a i r d is t r a it ... T e voi ;es canailles o u ïe s m & SantS. -nour a v o ir co n n u 1 h is to iie de ce D a fro id ? , , ..... c i de re to u r. , les honnêtes âvadt venesle. u n caise.igr d u C ré d it U n iversel, — J ’a i to u te m a lu c id ité . T o u t à c o u p les y e u x de Ja c q u e s s aE lle a jo u ta avec â p re té «.mèrement* g r a n d ir e n t d ém esu rém en t, b r il l a n t d u n — M on n è re aufiSt. jauifl m ’a v a it te n tt î é c la t sin g u lier« < L es H é m o r r o ïd e s f LES PLUS BELLES Rüadame veuve fîlROBSÂS KERTATOffi B0 PSÎ-1 -1Œ “ S Ï Ï 2 T 6c i BOURSE DE PÂRIS I fêlonsieur Jacques RGUDÂIRE Monsieur Louis BÂTUT L A L O I 'I S Ä f t Ä ;, Ä ä t e ü f . ”SÄS‘*£» A LOUER DE SUITE r BEAU MAGASIN BUVEZ A VOS R E P A S R 0 YAT Û E S A R DEPOSITAIRE EST DEMANDE t% S»«G X t5Ä R 0 YAT T A B L E t a s “ ; î f | ÿ ' w »« 0 I m m I l n© sav ait pas tro p , cependant, com m ent répondre à son argum entation, e t allum a une cigarette p o u r gagner du temps. I l é ta it ferm ement résolu à faire co q u 'il voulait, mais devinait que pour y réussir il fa u d ra it opérer une longuo et difficile persuasion. I l ne fa lla it pas espérer La conduire à l ’autel contre sa volonté. Avant, cependant, q u 'il eût jeté son allum ette, Régina s’é ta it levée. Elle s ’appuya au m arbre do la cheminée, lo regardant. —Il y a des choses que tu ne sais pas, dit-elle. Si tu les connaissais, tu no dési rerais pan m'épouser. P en d an t tout le temps que nous avons déjà passé ensem ble, c’est à peino si tu m 'as jam ais p arlé de t a mère. Maffoello tressaillit un pou et leva les jeu x , m o n tran t inconsciemment que cet to dernière phrase lui déplaisait. — Non, dit-il. Pourquoi l'aurais-jo fa it ? — Tu avais raison. T a mère est m ain ten an t une des saintes du P aradis. Comincnt je le sa isi Settim ia elle-mêmo le savait. Jo no veux pa3 p a rle r d ’elle à présent. Je no suis pas digne de pronon cer son nom devant toi. Très bien. Saistu t toi, oo qu’é ta it ma m erci — Elle est morte, répondit Maroello ; et peut-être vau d rait-il m ieux laisser on p aix sa mémoire. — Mais mon père?... Sais-tu ce qu’est mon père îC 'est un m auvais homme. Je descends d ’uno vilaino race. C'est peutêtre pourquoi jo mo suis aussi aisément mal conduite pour toi. Mon père a tué un homme e t nous a abandonnées, bien qu’il ne fû t pas poursuivi ; je no l'a i jam ais revu. I l avait eu raison, d ’ail leurs, de tuer cet homme. J e n'étais q u ’une p e tite fille, mai3 jo mo souviens, Ma mère so conduisait mal. Il y avait F euilleton du M oniteur du Puy-de-Dôme LES LIVRES D’ETRENNES C ollection « Plume et Crayon ». — V ien n e n t de p a ra ître : André le Meunier, te x t e e t illu stra tio n s de G. Fraipont-, 1 vo lum e in-8° avec *1 planches hors te x te en «■ouleurs e t 05 g rav u res en n o ir. — . b ? JJoy de M a riu s ß o u illabcs, te x te e t illu s tr a tio n s do A. 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Ils rira ie n t do bon cœur en me voyant habillée comme une dame. Ils d iraien t : « Oelle-ci est bien la fille de sa mère. » E t co serait vrai. R égina cessa de p a rle r e t atten d it la réponso de Marcello. Maiù il n ’eu av ait aucune de prête, e t le silence régna. Elle av ait mis tro p brutalem ent la laide vé rité devant ses yeux, et il lui était im possible do no pas la voir. Il no pouvait pas nier co qu’elle avait affirme, ni eô persuader quo c’éta it sans importance. E t cependant, môme à cetto heure, il n ’avait pas l'in ten tio n de reculer ni de renoncer à son projet. Cette femmo lui av ait sauvé la vie, l'a v a it emporté dana ses bras, l’a v ait soigné conmio un enfant. Ello volait do la n o u rritu re et souffrait elle-mêmo de la faim pour qu’il no m anquât do rien ; ello l'a v a it veillé à l’hôpital ; ello lui a v a it donné tout d’elle, et serait morto pour lui s’il l’a v ait fallu. A présent', ello lui donnait quelque chose do plus, car ello refusait d’êfcro sa femmo p a r craint© do lui être un jour ou l'a u tre à charge, e t que son origine fû t reprochée à ses enfants. Aucune fem me n a u ra it f a it davantage pour un homme. Elle av ait été son salu t e t son bon ange ; quand elle Avait découvert que la vio do P aris, fo rt am usante pour clic, le tu ait, elle l'a v a it emporté en se 6acriiiant elle-même, puis l’av ait mis à mémo de connaître ceux qui voulaient l'assassiner. Elle l’av ait aimé comme une épouse ; elle lui av ait obéi et e’é ta it dévoué© comma une servanto; elle avait veillé Bur lui comme un chien Adèle. E t il ne lui avait rien donné en échange ; pas un bibelot qui valût la ncino d ’etre compté. Peut-être même ne l avait-il pas réellement aiméo ; son amour av ait été du moins, certainem ent, moins grand, moius sincère et moins em preint d'abné gation quo celui do llégina. Marcello lo sentait bien. La rép aratio n qu'il lui of f r a it constituait do ta lia it une marque d'honnêteté. C’éta it la tentative do paie m ent d ’uno dette qui p esait sur sa cons cience, comino une dette d ’honneur. Elle lui av ait fa it observer que si elle lo ren d a it cncoro heureux, il ne lui p a r lera it pas cTo mariage. L a vérité brutale lui causait quelquo honte, à présent qu’il l’entendait de sa bouche. Ce n ’éta it pas touto la vérité, mais c’en é ta it une g ran de p a rt. Si Marcello so tro u v ait cncoro heureux avec son amie, à présent quo plus rien no pouvait les troubler, c’éta it p a r la force d’une habitude, c’é ta it p a r ce que ea beauté éta it toujours merveil leuse ; c’é ta it parce quo la présence do la jeune femme lu i é ta it plus précieuse quo la dévotion do son cœur. A ujour d’hui q u 'il éta it un homme fait, il sen ta it bien q u 'il avait besoin do quelquo chcco, et que, ce quelque chose, R égina no p o u rra it jam ais le lu i donner. On pout avoir l’amour sans avoir la société, et les sortes d ’union qui déri vent de cette situation sont condamnées été brûlées ainsi pondant des années, pas un voisin n ’a u ra it une fois rem ar qué une odeur suspecte? Toute cette his toire n ’c3t qu’un roman absurde, un tis su do calomnies. « On a dit qu’on .avait trouvé sur la fonte do la salam andre des taches do graisse et dans le foyer des résidus ti’os sements. C 'est faux, puisque deux jours avant on l'a v a it nettoyée et complète ment vidée... « E t je n 'a i plus rion à dire... » On voit que l'arg u m en tatio n des dé fenseurs do Loonio C harretier est, sinon exacte, au moius spécieuse, et qu'il con vient d 'atten d re les résultats de l'in s truction p our savoir, parm i ta n t do bruits qui ont été répanduJ, ceux qui m éritent créance et ceux qui, au con tra ire , doivent ßtro rejeté«. lo dégoût dans beaucoup d ’intelligences bien douces e t engendrent-, en dehors du m onde des m athém aticiens do profession, u.no igno rance à peu près g én érale on m a tière m a th ém atiq u e. On so u h aiterait, au co n traire, avec l’a u te u r do cet ouvrage, que l’introduc tio n des récréatio n s scientifiques dev în t sys tém atiq u e dans ren seig n em en t. à ne pas d u rer longtemps. Quand elle e u t achevé de p arler, M ar cella §§ een t i t très misérable, oarco a u 'il ne pouvait pas trouver de réponse a oo qu ’cllo av ait dit, quoiqu'elle n 'eû t en aucuno façon le d ro it de le dire. Sa téte lui faisait mal, à présent, dea émotions subies et du manque de sommeil, e t il re g re tta it presque d'av o ir p arlé à llég in a do son pro jet do m ariage. Il posa ra tel/ sur sa main, e t se m it à réfléchir. Kilo se rapprocha do lui, e t ee tin t debout, com me elle av ait f a it le m atin, dans la pe tite maison du Trastevère. Mais <e n 'é t a it plus la mémo cho3e. Elle espérait q u 'il élèverait sa m ain libro pour cher cher la 6iennc, san3 la regarder, comme il faisait souvent. Mais il av ait saisi son genou d'un mouvement fébrile, et nu lova méine pas la tête. Régina in terro m p it sa contem plation tour regarder la fenêtre, e t vit que la umièro rougeoyait dos premières lueurs du couchant. Il a lla it fairo n u it; M ar cello s'en ira it, e t elle resterait terrible ment Beule. E t oo n 'é ta it plus comme làbas, dans la petite maison, où elle le «en ta it prÙ3 d'elle, dana la grande v illa au h au t do la colline, et cachée sous les grands arbres. R égina so tro u v ait à p ré sent dans un lieu étranger, et lui serait loin, de l’a u tre côté du Tibre, avec la grande cité sombro en tre eux. Ses lèvres frém irent x^ndîuit un in s ta n t e t il lui sembla qu’elle a lla it pleu rer, bien qu’ello no l'eû t jam ais fait do sa vie, sauf de colère ou quand elle était touto petite fille. Elle secoua la tcio im patiem m ent à cetto eimple sensation, et la tin t plus h au t quo jam ais. Marcello, leva les yeux, enfin- — f | 3 cl 5, rue St-Esprit. près ia Halle-an-Dlé 1 1 3 | PARAPLUIES poignée nickel, corne J{95 PABAPl.UiES poignée argent contr. 4 *35 CANNES incrustation depuis............ 1 35 \ AlBühlS cartes post., oOü cartes, superbe couverture toile............. 1 85 f PQIVfE-wiQNHAIE araér. garn. arg. A 83 [ M C alen d rier à t o u t a c h e te u r r I Cîîcr K a g J g p pour cause de santé, M agasin il u u u ù l d’Epicerie-Liqueurs bien situé S’adrcs. rue Neuve, 1, Clerm ont-Ferrand, DEPOSITAIRE EST DEMANDE pour la vente du M oniteur d u P u y-d eDôme et du M oniteur d u D im anche, u U s s o n , par S a u x i l l a n g e s . EN Aux Soieries Lyonnaises f 0 9 place Royale ÉTREW M ES U T IL E S ! Lingerie, Japons, Corsages ! FOURRURES, C O RSETS, GANTERIE P a rfu m e rie , P a ra p lu ie s J O U A N IN -F E R R A K I 16, rue A ndré-M oinier, près le Square Blaise-Pascal, Clermont-Fd « R H U M E S , DOULEURS, il Coqueluche, Angine. 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