Communiqué de presse
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Communiqué de presse
Communiqué de presse Paris, octobre 2015 Budget logiciels Les pieds sur terre avec l’occasion : oubliez le « cloud » et le neuf Un CD d’installation avec une clé pour la licence et le mode d’emploi dans une jolie boîte – ce modèle a vécu... Aujourd’hui, nous pouvons télécharger ces logiciels, les louer ou bien encore les acquérir sur le marché de l’occasion. Les entreprises, pour qui les logiciels représentent un facteur coût important, ont tout intérêt à soupeser les multiples possibilités s’offrant à elles. Le seul modèle de licence choisi est primordial pour la gestion des dépenses et du temps investi, sans parler de l’impact sur la sécurité des données... Pour l’heure, le marché de l’occasion présente le plus d’avantages, calculs à l’appui. « Si seule l’entreprise elle-même est en mesure de savoir quel est le modèle de licence le plus adapté pour elle, une chose est sûre en revanche : l’achat de logiciels neufs est coûteux alors que les licences d’occasion reviennent à 30 % moins cher pour la même version. Louer des logiciels peut sembler avantageux – mais seulement de prime abord » explique François-Xavier Beauval, country manager en France du fournisseur de logiciels d’occasion usedSoft. Il illustre son propos par un calcul : Coûts pour 10 postes de travail avec 11 utilisateurs pour Microsoft Office 2013, respectivement Office 365 Business Premium Achat neuf Location Achat d’occasion 10 x 431,20 € H.T. 11 x 126 € H.T. / an 10 x 209,40 € H.T. = 4 312 € H.T. / illimité = 6 930 € H.T. / 5 ans = 2 094 € H.T. / illimité Une entreprise de onze salariés souhaite équiper ses PC avec Microsoft Office Professional Plus 2013. Comme deux collaborateurs travaillent à temps partiel, ils utilisent le même ordinateur, il y a donc en tout dix postes de travail. Chaque licence neuve coûte 431,20 euros H.T. Sans prendre en compte d’éventuelles remises, cet investissement revient à 4 312 euros H.T. D’occasion, cette même version est déjà disponible à partir de 200 euros. La somme totale investie en seconde main de 2 094 euros H.T. représente ainsi moins de la moitié des coûts initiaux pour le neuf. Pourtant, le produit est exactement équivalent. Si maintenant l’entreprise préfère louer Office 365 Business Premium à l’année, elle paie un abonnement de 10,50 euros H.T. par mois et par personne, c’est-à-dire 126 euros H.T. par an. Pour onze utilisateurs cela revient donc à 1 386 euros H.T. pour l’année. Sur cinq ans cela représente ainsi 6 930 euros H.T. Comme les abonnements sont nominatifs, si deux personnes se partagent un PC, chacune d’entre elle devra s’acquitter d’un abonnement. Chaque abonné a le droit d’installer le logiciel sur cinq appareils, mais ceux-ci doivent tous appartenir au même propriétaire – pour sa tablette ou son Smartphone par exemple. 1 Sécurité des données et dépendance des fournisseurs d’accès : un « nuage » bien léger Selon l’INSEE et Eurostat, en 2014 12 % des sociétés d’au moins dix personnes implantées en France ont acheté des services de « cloud computing » contre 19 % au niveau européen. Les plus grandes entreprises, celles d’au moins 250 personnes, sont les plus consommatrices : 36 % d’entre elles l’ont adopté en France, soit autant qu’au niveau européen. Certes, ce modèle d’indépendance géographique est apprécié par les entreprises aux nombreux collaborateurs « nomades ». De manière générale, il est toutefois conseillé de bien étudier la question de la location de logiciel car celle-ci nécessite le stockage des données dans le « cloud ». En effet, aujourd’hui c’est surtout la confiance dans les fournisseurs d’accès nordaméricains qui a perdu du terrain. Pour exemple, un jugement de l’an dernier de la cour fédérale des États-Unis ne se veut pas très rassurant : les entreprises américaines de l’Internet ont désormais obligation de garantir l’accès aux courriels et aux informations enregistrées aux autorités de sécurité nord-américaines. Ceci est valable dès lors que ces emails et informations ne sont pas stockés sur des serveurs localisés aux États-Unis. Concrètement, cela signifie que si l’on est client d’une solution basée « cloud » américaine – et la plupart des entreprises du « cloud » le sont – alors l’on peut partir du principe que ses données sont accessibles aux autorités des États-Unis. Il faut en outre considérer l’éventualité d’une perte des données. Qu’advient-il des fichiers lorsque le fournisseur de services de « cloud computing » est insolvable ou bien est racheté ? Les données peuvent-elles disparaître lors du transfert ? Même si ces scenarii sont peu probables, il n’en demeure pas moins que les clients sont très dépendants de leurs fournisseurs d’accès. Il suffit d’une panne de serveur pour que l’utilisateur n’ait accès ni au service ni à ses propres fichiers, ne serait-ce que le temps de la gêne occasionnée. Il en va de même lorsque la connexion à la Toile est interrompue ou bien trop lente. Par conséquent, la décision de louer des licences logicielles devra être méticuleusement étudiée. La société usedSoft Fondée en 2003, usedSoft est l'un des principaux fournisseurs européens de logiciels d'occasion dans tous les domaines d'application. La France est devenue le plus grand marché européen du logiciel d’occasion après l’Allemagne. Les acheteurs de licences usedSoft sont aussi bien des entreprises que des vendeurs de logiciels. La clientèle du groupe usedSoft regroupe de grandes entreprises industrielles et commerciales renommées, des cabinets d'avocats et des banques. Les administrations publiques sont également toujours plus nombreuses à utiliser des logiciels d'occasion. Les économies faites à l'achat de licences déjà utilisées peuvent aller jusqu’à 30% du prix de vente. Hans-Olaf Henkel, ancien PDG d'IBM Europe et ancien président de la Fédération de l’Industrie Allemande (BDI), siège au conseil d’administration. www.usedsoft.com Contact presse France : Sandra Megtert Communication – Agence de communication franco-allemande, Sandra Megtert, 6 rue des Nones, 77710 Chevry en Sereine, Tel. : 09 64 45 97 14, mob. : 06 73 04 94 50, [email protected] 2