eiffel - Tarbes
Transcription
eiffel - Tarbes
EIFFEL Le vendredi 8 novembre 2013 à 21h Prix : 16€/14€/12€ Genre : rock Description : Inspirée d’influences très diverses et très variées, la musique d’Eiffel est résolument Pop et peut tourner sans complexe à un rock sans concession. Depuis quinze ans, Eiffel à tracé son chemin sans perdre une miette de ce qui fait du groupe un ensemble, un tout, un groupe entier et spontané. Site internet : http://www.eiffelnews.com/ EIFFEL « Foule Monstre », la Tournée !!! Il y a des signes qui ne trompent pas. Un groupe qui répertorie minutieusement toutes ses dates de concerts depuis ses débuts, a la scène dans le sang. Eiffel est de ceux-là, depuis leurs premiers pas en 2000, ils ont soigneusement reporté sur leur site web chacune des étapes de leurs tournées. Comme un journal intime de leur vie sur les planches. Pour Romain Humeau et sa bande, se présenter devant le public est une véritable nécessité : L’épreuve du feu. Invariablement, ils ont défendus chacun de leurs albums dans les salles obscures et les festivals. Chez Eiffel, le live est un drogue dure : un instant de vérité, sans cesse renouvelé. Un nomadisme fondateur, aux trajets sans nom, qui transporte chaque soir dans une autre ville, devant un autre public et devant un autre vous-même. « Le concert c’est l’occasion de se mettre devant le miroir. » vous dirait Romain Humeau. C’est sûr scène qu’on ne vieillit pas. Au fil des albums, Eiffel s’est même mis à penser ses albums en prévision de leur impact scénique. « Tandoori » et « A tout moment, la rue » sont nés en studio avec l’intention live en ligne de mire. Et avec l’intronisation de Nicolas Bonnière, le groupe a gagné d’autres galons dans l’art de la performance. Au fil des 120 dates ( !!!!) de leur dernière tournée, Eiffel a pris une dimension insoupçonnée en devenant un gang, un furieux band de rock qui déverse un orage de son, une pluie de hallebardes en riffs serrés et en envolées lyriques, une séquence ininterrompue d’uppercuts au menton mitraillés à 120 décibels, un rock sous mescaline. Mais un concert d’Eiffel n’est pas seulement ce moment d’urgence et de vérité, c’est aussi une heure de générosité, un moment fragile de communion avec le public auquel Eiffel n’hésite pas à offrir les chansons composées sur la route, des premières pressions à froid en blues acoustique, proche de l’os. Parce qu’une tournée est aussi devenu pour Eiffel une fantastique manière d’enclencher la machine à créer, à imaginer son propre futur musical. Comme ce 15 octobre 2010, à la fin de leur concert au Zénith (qui couronnait le groupe pour ces 50 000 exemplaires vendus de l’album « A tout moment ») : Romain, Estelle et les deux Nico, Bonnière et Courret, ont gratifié les 4000 privilégiés réunis au milieu de la salle, d’une chanson inédite : « La Chamade ». Le titre n’était qu’encore une épure, mais il était le point de départ du nouvel album du groupe : ce 5 è album, « Foule monstre », qu’Eiffel va porter tout au long de 2012 et 2013 sur scène avec l’apport d’un 5è membre, Fred Ozanne, aux claviers et guitares. Loin du bruit et de la fureur des concerts, dans l’antre bordelaise du studio des Romanos, « Foule monstre » s’est construit pas à pas. Au rythme de petites joies musicales simples : Fonder un paradigme électronique où les synthétiseurs vintage viennent donner du grain au beat des machines modernes. S’autoriser les digressions oniriques et déplier de grands espaces de cordes. Construire un voyage sonore, laisser les guitares tonner le foudre sur 2 minutes de «Frères ennemis » puis abandonner le tempo de la tension à la matité d’un piano. Laisser la voix glisser dans la force de l’évocation plutôt que d’asséner le message, s’embarquer dans de grandes manœuvres harmoniques comme si tout à coup Eiffel pouvait être les Beatles ou XTC et laisser courir sur six minutes une divagations belle à pleurer. C’est là, dans cette méthode sans manuel, qu’Eiffel a échafaudé un decorum cinématographique. Empiriques, les séances de travail ont accouché d’un concept, d’une structure générale à laquelle Romain a imprimé une patte dans la prise de sons, les arrangements et le mix. « Foule Monstre » est un disque carrefour, à double sens évidemment. C’est Eiffel : mais autrement, comme Eiffel qui se rêverait Eiffel. Une croisée des chemins pour un groupe injustement considéré comme un « seul » parangon de rock français, et une fantastique invitation faite à tous les proches (Phoebe Killder, Bertrand Cantat, Joe Doherty , Augustin Humeau, les Mysterious Nansouty’s Girls…) de venir partager le plaisir d’être là... Un disque de vie, bouillonnant comme un poulailler, une cour de récréation, un bastringue de carnaval, une heure bleue où les minarets hypnotisent de leurs mélopées lancinantes. Une chronique du monde dans des textes teintés d’or d’Orient et parfumés de Jasmin Blanc, chevauchant des Purs sangs Arabes, pleurant les tsunamis et prédisant les lendemains de Chine. Voilà Eiffel… Pardon, revoilà Eiffel. Ce Eiffel qui ne se connaît pas lui-même, parce que « Foule monstre » se révèlera à ses propres auteurs dans des mois encore. Une première prétournée (Sold out) leur a permis de reprendre un contact live avec ce nouveau matériau devant leur public. Cette rentrée, Eiffel s’embarque donc pour une tournée pharaonique, 100 dates sur 2012-2013 : de quoi avoir largement le temps de mesurer encore et encore l’importance vitale de la scène. Ils sont déjà prêts. The Greeds The Greeds est un trio rock formé par Anais Belmonte à la batterie et Adrien Forgues au chant, à la guitare et au mini-clavier. Cette formation de power trio voit le jour, au printemps 2011, du coté de Tarbes. En octobre 2012, un nouveau line up voit le jour et Guillaume Robin à la basse (ex "Dirty Apes") vient enrichir cette formation. Le but de leur musique reste justement l'absence d'obligation ou de contrainte morale, de réussite à tout prix ... C'est pourquoi le nom cynique de The Greeds (" l'avidité ") a été choisit.