Les TIC au service de l`enseignement et de la

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Les TIC au service de l`enseignement et de la
Technologies de l’information et de la communication
dans l’enseignement et la recherche (TICER)
Mars-avril-mai 2008
Les TIC au service de
l’enseignement et de la
recherche en Afrique
N° 1
Présentation du SIST
Dans ce numéro :
Présentation du SIST
1
Les réseaux thématiques de
chercheurs du SIST
1
Objectifs et priorités du
TICER
2
Activités du réseau TICER
3
Résultats attendus
3
Membres du réseau TICER
3
Appels d’offres
3
Etat des lieux au Cameroun
3
Sommaire :
L’inclusion numérique est un enjeu
essentiel pour les pays africains,
plus particulièrement dans le domaine de l’enseignement et de la recherche, pour l’atteinte des objectifs
du milénaires, notamment celui de
l’accès à l’éducation pour tous en
2015.
Les enjeux spécifiques concernent
l’arrivée insuffisante et mal contrôlée des TICs, dans les systèmes
éducatifs et de recherche des pays
africains, ce qui nécessite de revisiter certains concepts, de s’interroger
sur les usages, les conditions d’appropriation, de pérénisation des
dispositifs et des nouvelles ressources.
Ces enjeux motivent bien la création
d’un réseau thématique sur les technologies de l’information et de la
communication pour l’enseignement
et la recherche (TICER) dans le cadre
du projet SIST afin de contribuer au
renforcement des capacités des
chercheurs et acteurs de l’Afrique en
matière de TICER à travers la plateforme internet SIST permettant l’accès, la production, la diffusion et la
valorisation d’informatiques scientifiques et techniques.
Le Système d’Information
Scientifique et Technique
(SIST) est dédié à la production scientifique en Afrique.
Commandité
et appuyé par
le Ministère
français des
Affaires
Etrangères ,
le SIST est un
dispositif en
réseau
qui
participe
à
l’amélioration
de l’accessibilité sur le
Net des travaux de recherche menés en Afrique. Le projet
réunit treize
pays
afric a i n s
(Algérie, Bénin, Burkina
Faso, Burundi, Cameroun,
Côte d’Ivoire, Ghana, Madagascar, Mali, Maroc, Nigéria,
Sénégal, Tunisie).
Pendant la durée du projet,
et après une phase consa-
crée au développement technique du dispositif en réseau, le SIST Référence est
un site de propositions, d’or-
ganisations et d’incitations,
pour participer à la mise en
place des contenus dans les
dispositifs SIST par pays. Il
est aussi un site où des sources d’informations scientifiques utiles aux pays sont
accessibles. Il est enfin un
espace de production et
d’animation de réseaux thématiques sur des questions
d’intérêt collectif pour les
pays.
DES CONTENUS SCIENTIFIQUES, OU UTILES À L’ACTIVITÉ SCIENTIFIQUE
Environ 140 sources d’informations scientifiques ou
utiles à l’activité scientifique
en Afrique sont accessibles
via le SIST Référence. Ces
contenus visent prioritairement les scientifiques des
12 pays africains actuellement membres du projet. Ils
complètent les SIST-Pays par
des sources d’origine internationale, régionale ou transversale. Les sources d’informations sont en français et
en anglais pour tenir compte
des langues utilisées dans
les 13 pays. Leur couverture
thématique s’inscrit dans les
axes du NEPAD et peut servir
de base d’informations aux
réseaux thématiques transversaux portés par le projet.
Contexte de création des
Les réseaux thématiques de chercheurs du SIST
réseaux du SIST
Les réseaux thématiques
de chercheurs constituent
l’une des composantes
du projet SIST, dont l’objectif est de mobiliser des
communautés scientifiques autour de sujets
prioritaires pour le SIST.
La création des réseaux
thématiques a été discu-
tée par le conseil scientifique du SIST, et entérinée
par le comité de pilotage
du SIST lors d’un atelier
qui s’est tenu à Dakar au
Sénégal les 24, 25 et 26
avril 2006.
Objectif des réseaux thématiques du SIST
L’objectif des réseaux
thématiques du projet
SIST est de favoriser la
création de communautés
scientifiques virtuelles et
la communication au sein
de ces communautés, en
s’appuyant sur une plateforme Internet libre et
gratuite et sur ses outils
de discussion, de copublication et de diffusion d’information.
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Objectifs et priorités du réseau TICER
cains, ainsi que ceux de la francophonie du Sud, du Nord et de l’Est ;
Les objectifs visent :
Les priorités concernent les thématiques suivantes :
(1) à favoriser les partenariats entre
les enseignants et les chercheurs afri-
(2) d’appuyer la diffusion des résultats
de la recherche ;
(3) et d’assurer une animation scientifique dans le domaine des TICs pour
l’enseignement et la recherche.
(1) Priorité d’enseignement :
•
Sensibiliser les enseignants sur
les pratiques pédagogiques innovantes à tous les niveaux pour tous les
publics.
•
Sensibiliser les décideurs sur la
politique, la gouvernance et les enjeux
stratégiques
(2) Priorité de recherche
• Valoriser et diffuser des approches
scientifiques innovantes.
Activités du réseau TICER
Les activités du réseau TICER sont
subdivisées en deux groupes: d’une
part les activités du comité de réseau
et de l’autre, les activités des membres du réseau.
A-) Les activité du comité de réseau
sont les suivantes :
♣ Elaboration du plan d’action
♣ Création et animation du site d’information du réseau comprenant l’annuaire des membres du réseau ;
te rendu ;
♣ Conception et diffusion des appels
d’offres, sélection des projets ;
♣ Recherche de synergies et de partenariats et signature des conventions ;
des enseignants, Formations ouvertes
et àdistance), (b) des résultats de recherche en TICE (Pédagogies universitaires, modèles économiques, normes
et standars), (c) des revues électroniques et des conférences sur les TICs
en Afrique, (d) des plateformes de
formation.
♣ Etablissement de rapports financiers et de rapports d’activités à fournir chaque année à l’AUF selon les
modalités définies dans la convention
de cordination ;
♣ Contribution à l’organisation dans
certains pays des journées scientifiques, notamment celles du Rés@tice,
de CARI, de e-learning Africa ;
rénisation du réseau.
que : (a) Alertes (b) Diffusion sélective
d’information (DSI), (c) Répertoire d’organismes, de formations, de ressources en ligne (Revues, Actes de conférence, Ouvrages accessiblesen ligne,
forums, didacticiels...) en relation avec
les TICs pour l’enseignement et la recherche.
Infographe : TALLA TANKAM Narcisse
Le TICER (Technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement et la recherche) est l’un
des cinq réseaux de recherche thématiques créés dans le cadre du Système
d’information scientifique et technique
(SIST), projet de coopération du ministère français des Affaires étrangères.
d’information du réseau et du site
scientifique de deux personnes désignées par le coordonnateur ;
B-) Les activité du réseau sont les sui-
♣ Désignation des critères d’adhé- vantes :
sion au réseau ;
♣ Etudes de besoin de la commu♣ Publication d’un bulletin électroni- naut&eacute scientifique impliquée
que à l’attention des membres du réseau et plus largement de la communauté scientifique intéressée ;
dans les TICs pour l’enseignement et
la recherche dans les pays participants au projet ;
♣ Réalisation d’une plaquette et d’une affiche de présentation du réseau ;
♣ Organisation d’actions de sensibilisation sur les TICs pour l’enseignement et la recherche à tous les niveaux (publicité dans des journaux,
débats télévisés lors des manifestations sur les TICs) ;
♣ Réunions de préférence en visio-
conférence ou physiquement à l’occasion d’une manifestation scientifique
majeure liée à la thématique. Chaque
réunion doit faire l’objet de la diffusion
de deux documents clairs et détaillés :
un ordre du jour préalable et un comp-
♣ Valorisation des résultats d’inventaire en Afrique : (a)des dispositifs
TICE (Formation initiale et continue
♣ Alimentation du site scientifique
(flux RSS, recherche fédérée, archives
ouvertes) traitant des TICs pour l’enseignement et la recherche ;
♣ Numérisation des documents à
valoriser (thèses, mémoires anciens)
♣ Production d’outils de formation en
ligne,
♣ Publication d’une revue électroni-
Résultats attendus
Pour l’année 2008, les principaux résultats attendus du réseau TICER sont
les suivant :
♣ Au moins 300 adhésions enregistrées ; Au moins 3 bulletins d’information publiées ;
♣ Au moins 3 appels d’offres diffusés ;
♣ Au moins 1 manifestation organisée ;
♣ Au moins 1 document original pro-
duit ; Une description type de dispositif TICE (Formation initiale et Continue
des enseignants, Formation ouverte
et à distance) adaptée au pays du
projet est proposée.
Directeur de publication : TONYE Emmanuel
♣ Réalisation de divers produits d’in♣ Formation à l’alimentation du site ♣ Elaboration d’une stratégie de pé- formation scientifique et techni-
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Comité de réseau
Les Comité de réseau des réseaux de
chercheurs SIST sont constitués de 5
à 6 membres représentatifs des différentes zones géographiques couvertes
par le projet SIST et animés par un
coordonnateur issu d’un pays membre
du SIST. Chaque comité de réseau doit
intégrer au minimum des experts de
trois pays différents du projet SIST,
d’un spécialiste du domaine issu de la
société civile, et d’un partenaire du
Nord. Les réseaux de chercheurs sont
mis en place pour une durée d’une
année à l’issue de laquelle ils sont
évalués sur la base de leurs réalisations selon les objectifs fixés.
Membres du comité de réseau
Coordonnateur
M. Emmanuel TONYE, Professeur, École nationale supérieure polytechnique (ENSP), Université de Yaoundé I,
Yaoundé, Cameroun, [email protected]
3– M. Claude LISHOU, Professeur, Université Cheikh Anta
Diop (UCAD), Dakar, Sénégal, [email protected]
Autres membres
4– M. Juvence RAMAROSON, Maître de Conférences, Institut d’odonto-stomatologie tropicale de Madagascar
(IOSTM), Mahajanga, Madagascar, [email protected]
1- M. Mokhtar BEN HENDA, Maître de Conférences, Institut des Sciences de l’information et de la communication
(ISIC), Université Michel de Montaigne Bordeaux III, Bordeau, France, [email protected]
2- Mme Mona LAROUSSI, Maître de Conférences, Institut
national des sciences appliquées et de technologies
(INSAT), Tunis, Tunisie, [email protected]
Assistant du Coordonnateur
M. Narcisse TALLA TANKAM, Assistant, Institut Universitaire de Technologies Fotso Victor (IUTFV), Université de
Dschang, Bandjoun, Cameroun, [email protected]
Appels d’offres
Trois appels d’offres on été lancés aux mois de janvier et
février, la clôture étant fixée au 04 mars 2008.
Appel d’offres N°1
Enquête et collecte d’informations en vue de réaliser la
banque des chercheurs du réseau TICER.
Il s’agit d’un projet qui vise à recueillir des informations
nécessaires pour la réalisation d’un annuaire qui joue à la
fois le rôle de base de données des chercheurs (contacts
et projets) et d’outil de messagerie et de collaboration
dans la gestion de droits et des listes de diffusion.
Appel d’offres N°2
Développement du Système d’Information des chercheurs
du réseau TICER.
Le réseau TICER souhaite disposer d’un système d’information qui joue le rôle de base de données des chercheurs, institutions, productions scientifiques et projets
d’une part et d’annuaire au sens messagerie et collaboration pour la gestion de droits et des listes de diffusion. Le
système d’annuaire doit être compatible avec la norme
LDAP version 3 ou présenter un connecteur LDAP V3. La
connaissance et le respect des champs du schéma schéma de type SupAnn seraient un atout.
A ce titre, le comité de pilotage du réseau souhaite recruter un consultant en vue de développer une application
intégrée indispensable à cette mise en œuvre.
Appel d’offres N° 3
Veille et Animation de la plateforme des chercheurs du
réseau TICER.
La dynamique du Système d’Information est un gage
de l’intérêt que lui accorderont les chercheurs. Il s’agit de
mettre en œuvre des interactions par agents humains ou
robots, à partir des services à valeur ajoutée pédagogique
ou scientifique (alertes, mailing list, forums thématiques,
wikis, fil RSS, …)
A ce titre, le comité de pilotage du réseau souhaite recruter un consultant en vue de réaliser l’animation et la veille
informative indispensable à la vie du réseau.
Etat des lieux de la formation à distance au Cameroun
La formation continue en ligne est en
plein essor au Cameroun. plusieurs
institutions d’enseignement supérieur
offrent des formations à distance au
Cameroun. Même si certaines d’entreelles travaillent en partenariat avec
des institutions étrangères, notamment en France et en Belgique, d’autres vont jusqu’à développer ellesmêmes leurs propres plateformes de
téléenseignement qu’elles hébergent
elles-mêmes ou alors qu’elles hébergent chez un hébergeur dans le commerce. Parmi ces institutions, on peut
citer entre autres :
1– Ecole nationale supérieure polytechnique de Yaoundé (ENSP)
L’ENSP (photo ci-dessus), établissement de l’Université de Yaoundé I, offre, dans son département des génies
électrique et des télécommunications,
une formation continue à distance de
Master (M2) professionnel en Télécommunications (Mastel). Ce master,
est opérationnel depuis octobre 2007.
Soutenue par l’Agence Universitaire
de la francophonie (AUF), cette formation, dans sa première promotion,
comporte 26 étudiants provenant de
7 pays africains ; notamment le Mali,
La Côte d’Ivoire, le Bénin, le Togo, la
République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo et le Cameroun. Cette formation vise à faire
connaître aux apprenants des compétences spécifiques dans le domaine
des télécommunications. A la fin de la
formation, l’apprenant devra être
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capable d’analyser, de modéliser, de
concevoir et de mettre en œuvre des
circuits, des systèmes et soussystèmes de télécommunications pour
des applications terrestres, spatiales
et mobiles, suivant des normes internationalement reconnues.
Cette formation qui s’adresse aux titulaires des diplômes d’Ingénieur en
Télécommunications et Informatique,
de Maîtrise ou Bac+4 (EEA, Mathématiques, Physiques ou Informatique) est
la toute première de ce niveau dans le
domaine des technologies au Cameroun.
L’adresse de cette formation est la
suivante :
http://www.enspy-telecom.org
http://foad.refer.org/
rubrique125.html
[email protected]
[email protected]
2– Institut Universitaire de Technologies Fotso Victor (IUTFV) de Bandjoun
L’IUTFV, établissement de l’Université
de Dschang, offre dans son département d’Informatique une formation
continue et à distance de Licence (L3)
de Technologie en Informatique et
Réseaux. Cette formation est opérationnelle depuis janvier 2005. Soutenue également par l’AUF, cette formation, dans sa troisième promotion,
comporte une centaine d’étudiants
provenant de 7 pays africains ; notamment le Burundi, le Tchad, le Gabon, le
Burkina Faso, la République Centrafricaine, la République Démocratique du
Congo et le Cameroun. Cette licence
vise à faire connaître aux apprenants
des compétences spécifiques dans le
domaine de l’Informatique et des Réseaux. A la fin de la formation, l’apprenant devra être capable de :
♣ Concevoir et développer les applications en environnement distribué
(Client-serveur, objets/UML, commerce électronique, sites Internet),
♣ Concevoir, mettre en place et administrer un réseau Intranet, des serveurs Internet
♣ Développer les qualités d'adaptabilité aux techniques innovantes de l'information
Cette institution a développé et hébergé elle-même son dispositif de téléenseignement.
Cette formation s’adresse aux titulaires de BTS et DUT d’Informatique ou
des Télécommunications et Réseaux,
ainsi qu’aux titulaires d’un DEUG ou
Bac+2 (EEA, Mathématiques, Physiques ou Informatique.)
L’adresse de cette formation est la
suivante :
http://41.205.4.10/index.php
[email protected]
[email protected]
A côté de cette formation, l’IUTFV dispose également d’une académie régionale CISCO offrant l’essentiel des curriculums de CISCO. Cette académie
coordonne plusieurs académies locales.
3- Institut Africain d’Informatique, représentation Cameroun (IAICameroun)
L’IAI-Cameroun, établissement à vocation régionale, En partenariat avec
l’AUF, offre une formation continue et
à distance de Licence professionnelle
(L3) en analyse et conception des systèmes
d’informations
(SI).
Cette formation est essentiellement
consacrée à :
♣ l’étude des techniques de réalisation des systèmes d’information
(analyse, conception, bases de données).
♣ Une formation approfondie en programmation informatique.
Pour l’année l'académique 20072008, les candidatures on été ouvertes à tous les pays d’Afrique centrale,
y compris la région des Grands lacs.
L’AUF a accordé 20 allocations d’études à distance pour l’année universitaire 2007-2008.
Cette formation s’adresse aux titulaires de BTS, DUT, DEUG ou Bac+2 en
Informatique.
http://foad.refer.org/
[email protected]
[email protected]
4– Ecole Supérieure des Sciences et
Techniques de l’Information et de la
Communication (ESSTIC)
L’ESSTIC, établissement de l’Université de Yaoundé II, en collaboration avec
l’Ecole de Bibliothécaires, Archivistes
et Documentalistes (EBAD) de Dakar,
ont décidé de mettre en place une
formation diplômante à distance de
niveau Maîtrise. Ce partenariat entre
Dans le cadre du projet de formation à
distance, domicilié à l’EBAD et dénommée FORCIIR (Formations continues
en informations informatisées en réseau.) Cette formation est équivalente
à celle dispensé en présentiel à l’EBAD
sanctionnée par le Diplôme Supérieur
en Science de l’Information et de la
Communication (DSSIC.) Cette formation vise essentiellement deux choses:
♣ Promouvoir la formation et la recherche dans les disciplines de l’information documentaire (archivistique,
bibliothéconomie et documentation)
en s’appuyant particulièrement sur les
Technologies de l’Information et de la
Communication.
♣ Développer des aptitudes et des
savoir faire dans les métiers de médiation de l’information documentaire.
http://www.esstic.uy2.us/
[email protected]
5– Centre Universitaire des Technologies de l’Information (CUTI)
Le CUTI, établissement de l’Université
de Yaoundé I, en partenariat avec Cisco Systems et le PNUD, développe un
curriculum en Technologies des Réseaux et de l’Internet, le Cisco Networking Academy Program, et prépare à
l’obtention des prestigieux diplômes
de certification Cisco : CCNA, CCNP,
CCIE, IT Essentials et Wireless.
Le but principal de ces programmes
est de contribuer à la réduction de la
fracture numérique entre la formation
universitaire classique et les exigences
du marché de l'emploi.
Le CUTI est le pionnier en matière de
formation CISCO au Cameroun et le
tout premier à être érigé en académie
régionale.
http://www.uy1.uninet.cm/index.php/
content/view/full/292
6– Institut Siantou Supérieur (ISS)
L’ISS, institut privé d’enseignement
supérieur professionnel, a tout récemment négocier un accord avec les responsables Canadiens de CISCO. Ce qui
devra faire du groupe SIANTOU un centre agrée des certifications suivantes :
Wireless LAN ;IT Essentials 1; IT Essentials 2 ; UNIX/LINUX ; Web Design ;
MCSE.
http://www.siantou.com
[email protected]

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