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allAfrica.com: Maroc: Amal Al Atfal ou comment vivre sur l'espoir Page 1 sur 2 HOME Telephoner moins cher Afrique-Maghreb depuis la France Sans carte,utilisable tout de suite Annonces Google Utilisez le menu pour découvrir d'autres articles -- Régions/Pays -Afrique du Nord Enfance et Jeunesse Maroc -- Rubriques -- AllAfrica collecte et indexe du contenu provenant de plus de 125 organes de presse d'Afrique ainsi que de plus de 200 autres sources d'informations et de nouvelles. Les pourvoyeurs d'informations de AllAfrica gardent l'entière responsabilité éditoriale de leur production. Les articles et documents identifiant AllAfrica comme source sont produits ou commandés par AllAfrica Annonces Google Voyage au Maroc Acheter vos billets pour le Maroc Billet d'avion pas cher! www.billet-avion.cc Maroc: Amal Al Atfal ou comment vivre sur l'espoir Libération (Casablanca) 22 Novembre 2006 Publié sur le web le 22 Novembre 2006 A.n Envie de vacances ? Partez entre amis ou en famille dans nos villages vacances ! www.capfrance.com Garde d'enfant Garde d'enfants scolarisés Nounous Expérimentées 50% d'impôt www.Educazen.com Sélection CD pour Enfants Les Plus Beaux Disques pour Enfants Ecoutables en Ligne! www.LesEnfants.fr Maroc Vols, hôtels, circuits, séjours Disponibilités en temps réel www.evasion-online.com Votre publicité ici Un partenariat pour les enfants séropositifs Un enfant est victime d'abus sexuels toutes les heures Email This Page Print This Page Trois chambres où sont disposés des lits, quelques peluches et autres doudous témoignent de lieux voulus d'intimité pour les 22 enfants qui résident au centre Amal Al Atfal. Il a ouvert ses portes en mai 2003 à Tétouan et accueille les enfants de la naissance jusqu'à 8 ans. Les enfants sont ici parce qu'on les a abandonnés ou parce qu'ils sont orphelins. C'est la directrice du centre, Mme Ouafae Bennouna, qui nous accueille et l'on est tout de suite frappé par la relation de complicité qui existe entre elle et les enfants. En l'apercevant, on n'hésite pas à quitter la table du déjeuner pour une séance d'accolades, de câlins "maternels" dirions-nous, on lui raconte même les disputes avec les autres enfants. C'est le cas de ce petit garçon qui a attiré notre attention : il vient de souffler sa 8ème bougie et n'a toujours pas trouv de famille pour l'accueillir. Dès lors, il devra très prochainement quitter le Centre et rejoindre un orphelinat avec des enfants de son âge. D'après la directrice , les enfants sont abandonnés pour différentes raisons, " mais nous n'avons pas le droit de juger ". Ce qui semble le plus urgent pour elle, c'est de trouver des familles d'adoption pour ces enfants ; ce qui leur permettrait d'intégrer la société dans un cadre stable. Notre interlocutrice a tenu à souligner une évolution des mentalités. L'adoption (terme que nous " adoptons " pour désigner la kafala) n'est plus un sujet tabou. Il semble que les familles qui franchissent le pas pour accueillir un enfant sont de plus en plus nombreuses mais la plupart préfèrent des filles. Malheureusement, plus les enfants prennent de l'âge moins on leur porte attention. A noter également que les couples qui viennent au centre Amal Al Atfal, n'y viennent pas seulement pour combler un vide affectif, une absence de procréation. Mme Bennouna voit également de plus en plus de couples ayant déjà des enfants. C'est le cas récent de ce couple tétouanais qui, après avoir vu grandir ses propres enfants, en " adoptait " un du Centre et chez qui "l'on pouvait noter les mêmes réactions que les tout jeunes parents devant leur premier enfant ". http://fr.allafrica.com/stories/200611220932.html 23/11/2006 allAfrica.com: Maroc: Amal Al Atfal ou comment vivre sur l'espoir Page 2 sur 2 réactions que les tout jeunes parents devant leur premier enfant ". Home Kisito - 75 ans au service des orphelins Colloque sur les réseaux de protection de l'enfant à Benguela Réagir pour les droits de nos enfants C'est l'ancien dispensaire de Sidi Talha, cédé par le ministère de la Santé qui abrite l'association. Les fonds sporadiques de certaines ONG espagnoles, de la Fondation Mohammed V, de la Wilaya de Tétouan, entre autres, ont permis de réhabiliter et réaménager les locaux afin d'accueillir dignement ces enfants. Mais des problèmes persistent. Les dons en matériel arrivent régulièrement mais nous dit la directrice, " je peux me retrouver avec de nombreux paquets de couches et de lait en stock mais lorsque j'ai besoin de payer un médicament pour un enfant, la caisse est vide ". Copyright © 2006 Libération. Droits de reproduction et de diffusion réservé Distribué par AllAfrica Global Media (allAfrica.com). 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