COMMENT COMPRENDRE, ECRIRE et ENSEIGNER L

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COMMENT COMPRENDRE, ECRIRE et ENSEIGNER L
CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE (C.M.D.P.)
COMMENT COMPRENDRE,
ECRIRE et ENSEIGNER
L’HISTOIRE de L’AFRIQUE,
de la COLONISATION
au NEOCOLONIALISME,
après la TRAITE NEGRIERE
et l’ESCLAVAGE.
§
Contribution à la méthode d’orientation
pédagogique et scientifique pour la
RENAISSANCE AFRICAINE
sous la direction du
Professeur Kapet de BANA,
Coordinateur International de la Société
Savante des Encyclopédistes africains
et du Conseil Mondial de
la Diaspora Panafricaine.
(communication adressée au « Collectif des Damnés de la Terre »,
réunion du 28 janvier 2006 à Paris)
CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE
COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM
85, Bd Saint – Michel – 75005 – PARIS - tél/fax : 01.43.25.80.50.
« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org – mail : [email protected]
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CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE (C.M.D.P.)
A l’attention de Monsieur Bamba Gueye Lindor,
pour le Collectif des Damnés de la terre
qui se réunira le 28 janvier 2006 à Paris.
Le 27 janvier 2006.
Chers amis de combat,
Le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine vous transmet ses encouragements à
travers Monsieur Bamba Gueye Lindor dont nous apprécions l’intégrité et le courage tenace
dans l’action de promotion du progrès du développement et de l’affirmation de la personnalité
et de la dignité de l’Afrique avec sa Diaspora consciente à travers le monde, et dont votre
organisation, les « Damnés de la Terre », fait partie de la cheville ouvrière sur la place de
Paris, en France.
En effet, votre réunion se tient au moment où les français noirs en France veulent
écrire leur version de l’histoire de France, leur Mère Patrie, pendant que les africains vivant
en France sont entrain d’écrire l’histoire de la colonisation criminelle génocidaire, de la traite
négrière, du partage de l’Afrique, de la déculturation, de l’aliénation religieuse, de l’esclavage
que nous avons subis et que nous continuons de subir sous la forme virulente sanguinaire
néocolonialiste des pouvoirs corrompus sous l’emprise des puissances coloniales
nostalgiques.
Aussi, il n’y a pas d’histoire de la colonisation sans l’histoire de la résistance, de la
révolution ou des guerres de libération contre les envahisseurs barbares génocidaires, pilleurs et
spoliateurs, menées par nos ancêtres de 1400 à nos jours, sous des formes diverses incarnées par
des héros, à l’exemple de l’Emir Abdel Kader, de Almamy Samory Touré, de Alpha Yaya de
Guinée, du Roi Ghezo et du Roi Behanzin du Dahomey, le Roi d’Abyssinie d’Ethiopie, le Roi
des Mossis du Burkina Faso, le Roi Latt Dior du Sénégal, le Roi Mokoko du Gabon, le Roi
Ndunduma d’Angola, les Rois Joya, Duala Bell, Taffou, Apy de Bana, Kamga de Bafoussam
du Cameroun, le Roi Soundjata du Mali, le Roi Mohamed V du Maroc, la Reine Abla Pokou de
Côte d’Ivoire, la Reine Ranavaiona III de Madagascar, Dulcie September d’Afrique du Sud, la
forme actuelle étant le combat contre le néocolonialisme corrompu génocidaire qui se manifeste
plus cruellement en Haïti, patrie de Toussaint Louverture, au Congo, patrie de Patrice
Lumumba, au Sahara marocain, patrie de Ben Barka ; entre autres, au Darfour (Soudan), en
Casamance (Sénégal), au Niger et Nigeria, à Bakassi (Cameroun), au Burundi et au Rwanda, en
Guinée Bissau, au Liberia, en Sierra Leone, en Mauritanie, au Togo, en Côte d’Ivoire, en
Ethiopie, en Erythrée, à Madagascar, aux Comores, etc……, quelques grandes victimes parmi
les dirigeants assassinés ou morts au combat ou en exil nous éclairent tels que Amilcar Cabral
de Guinée Bissau, Marien NGouabi, Massemba Debat du Congo, Jonas Savimbi d’Angola,
Amirouche Didouche d’Algérie, Barthélemy Boganda de Centrafrique, Thomas Sankara et
Norbert Nzongo du Burkina Faso, Lamine Gueye et Cheikh Anta Diop du Sénégal, Sylvanius
Olympio du Togo, Modibo Keita du Mali, Chief Abiola du Nigeria, Samuel Doe du Liberia,
Kwamé N’Krumah du Ghana, Moulélé du Congo, Mohamed Kader d’Algérie, Empereur Haïlé
Selassié d’Ethiopie, Ruben Um Nyobé, Félix Roland Moumié, Ernest Ouandié, Ossende Afana,
Kingue Abel, Monseigneur NDongmo, Abesolo Koulou du Cameroun, Gamal Abdel Nasser
d’Egypte, Habib Bourguiba de Tunisie, Martin Luther King et Malcom X des Etats-Unis, Frantz
Fanon, Marcel Manville de Martinique, Ahmed Abdallah des Comores, Jean Marie Tjibaou de
Nouvelle Calédonie, Djibo Bakari du Niger, Diallo Telli de Guinée, John Garang du Soudan.
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Les grands génocides coloniaux et néocoloniaux.
!
Aux Antilles – Caraïbes (Martinique,
Saint Domingue,
Guyane, Guadeloupe, Haïti)
!
Aux Etats-Unis d’Amérique
(ségrégation génocidaire
contre les noirs)
!
!
En Amérique du Sud (Brésil, Colombie)
En Afrique (Afrique du Sud (apartheid et guerre de libération),
Madagascar, Algérie, Mauritanie (Polisario-Maroc-Sahara),
Casamance (Sénégal), Angola, Kenya, Zanzibar, Namibie, Togo,
Ghana, Congo, Rwanda, Burundi, Zimbabwe, Cameroun, Soudan
(Darfour), Tchad, Centrafrique, Côte d’Ivoire, Sierra Leone,
Guinée Bissau, Liberia, Djibouti, Ethiopie, Erythrée, Libye,
Tunisie, etc……..)
C’est tout cela que la colonisation a apporté dans ses virulences comme dans ses
séquelles. On n’a pas besoin pour les français noirs ou noirs français selon abâtardis qui
pensent que la colonisation aurait apporté quelque chose, ne serait-ce que leur langue, d’être
colonisé et néocolonisé pour apprendre à parler une langue quelle qu’elle soit. Sinon, les
français auraient dû tous apprendre, pour leur assimilation et aliénation, la langue de
l’Allemagne nazie qui constituerait pour eux l’apport positif du nazisme, ou les polonais la
langue de la Russie soviétique ou leur envahisseur barbare, ou l’Europe entière, le grec et le
latin devenus langues mortes mais qui l’ont dominée, sans les empêcher pourtant de
promouvoir leurs propres dialectes au rang de langues nationales servant aujourd’hui de
langes de communication internationale pour la plupart.
En résumé de la philosophie et de la pédagogie d’orientation des Encyclopédistes
africains, nous devons exiger en réitérant en plus des SIX IMPERATIFS de la Société
Savante des Encyclopédistes africains et du Conseil Mondial de la Diaspora
Panafricaine (lisibles sur le site « Mémoire d’Afrique : http://africa.smol.org),
l’édification dans chaque grande puissance coloniale des monuments (musées d’histoire,
grands boulevards, hôpitaux, universités, complexes sportifs, aéroports, grands
ouvrages de Ponts et Chaussées) au nom des grandes figures africaines et d’origine
africaine, des Antilles, de l’Océan Indien, des Amériques, victimes de la traite négrière,
de la colonisation et de l’esclavage.
Par exemple, on verrait bien à Lisbonne, comme à Paris, Berlin, Rome, Madrid,
Bruxelles, Londres, Amsterdam, Washington, New York, San Francisco, Los Angeles,
entre autres, Sao Paulo, Quito, Brasilia, Fort d’Afrique – Fort-de-France, Antilles
africaines, etc…., des édifices, des monuments érigés au nom des héros de la résistance
contre la barbarie coloniale tels que Toussaint Louverture, Kwamé N’Krumah, Emir
Abdel Kader, Lumumba, Garvey, Martin Luther King, Frantz Fanon, Félix Moumié,
Ouandié Ernest, Ghezo, Behanzin, Soundjata Keita, Samory Touré, Cabral, Sélassié,
Mohamed V, Nasser, Ben Barka, Kabila, Savimbi, Ossende Afana, Boganda, Marien
NGouabi, Dulcie September, Joséphine Baker, Cheik Anta Diop, Alpha Yaya,
etc……………
Encore une fois, c’est le lieu de vous rappeler que la Société Savante des
Encyclopédistes africains que personne n’est censé ignorer parmi les nouveaux promoteurs
des associations des noirs français, a entrepris le travail de démystification en vue de la
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réalisation de la Première Grande Encyclopédie politique, économique, sociale et culturelle de
l’Afrique et du peuple noir, programmée en 240 volumes, depuis 1990, plan et structure
exposés :
" au Sommet de l’OUA de Cotonou, du 23 au 27 août 1993,
" à la Conférence des Recteurs et des Présidents des Universités africaines à
Accra, du 18 au 23 janvier 1993,
" au Conférence Mondiale des Nations Unies de Vienne (Autriche), du 20 au 26
juin 1993,
" à la Première Université d’été des communautés africaines à Lyon, les 21 et 22
septembre 1991,
" au Colloque « l’Europe de la deuxième renaissance » organisé par l’Université
Européenne de la Recherche à la Sorbonne – Paris, du 25 au 28 novembre
1992,
" à l’Université Paris VIII - Première Université d’été de l’Immigration
africaine, les 18 et 19janvier 1992,
" à l’Institut des Peuples Noirs (I.P.N.) de Ouagadougou du 2 au 6 décembre
2002,
" au Centre Frantz Fanon à Fort-de-France (Martinique) les 10, 11 et 12
décembre 1993,
" à Nantes à la Première Conférence des Intellectuels africains le 4 février 1994,
" à la Fondation Martin Luther King à Chicago,
" déposés au Secrétariat de l’UNESCO à Paris, en novembre 1995,
" et plus récemment à l’Université Cheik Anta Diop de Dakar à l’issue de la
première Conférence des Intellectuels d’Afrique et de la Diaspora, organisée
par l’Union Africaine à Dakar (Sénégal) en octobre 2004,
" et à Madagascar lors du Colloque de mise en place du Comité régional de la
Société Savante des Encyclopédistes africains pour les îles africaines de
l’Océan Indien, sous la coordination de Madame la Professeur Raoera
Chandoutis, du 8 au 15 novembre 2004,
" pour plus large information, voir site Internet « Mémoire d’Afrique » :
http://africa.smol.org.,
" la Coordination internationale pédagogique et scientifique, 85, Boulevard Saint
– Michel – Paris 5ème – France, pour toutes consultations ou contributions
utiles.
Le Professeur Kapet de BANA, Coordinateur International, actuellement en mission,
promet de vous rendre visite lors de votre prochaine rencontre.
En attendant, il vous adresse son ardent soutien d’encouragement pour le bon succès
de la présente conférence dont nous souhaitons recevoir les décisions des travaux.
Bonne et heureuse année 2006.
Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine,
Le secrétariat international.
CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE
COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM
85, Bd Saint – Michel – 75005 – PARIS - tél/fax : 01.43.25.80.50.
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LA PEDAGOGIE DU PANAFRICANISME
I – LA TRIPLE PERIODE
A – Le panafricanisme d’hier ou panégrisme révolutionnaire contre :
a – l’impérialisme
b – traite négrière
c – l’esclavage
B - Le panafricanisme d’aujourd’hui de combat pour la libération contre :
a – le partage de l’Afrique
b – la colonisation
c – la domination
C – Le panafricanisme de demain ou de la reconquête et de la renaissance de l’Afrique
pour :
a – le Droit à la Mémoire
b – le Devoir de Mémoire
c - la Réhabilitation de la dignité par :
# la Liberté,
# le respect des Droits de l’Homme,
# la démocratie
# la Paix,
# le Développement durable pour tous, partout, contre la corruption, la mal
gouvernance, le mal développement, l’injustice et l’impunité.
II – LE QUADRUPLE DEFICIT
a– le déficit de l’éducation
b– le déficit de l’information
c– le déficit d’imprégnation culturelle
d– le déficit de formation
III – LE TRIPLE BESOIN
a– le besoin de thérapeutes
b– le besoin de pédagogues
c– le besoin de patriotes visionnaires humanistes
En vue de remédier à la triple carence :
# la carence alimentaire
# la carence culturelle
# la carence spirituelle
IV – LE TRIPLE MOYEN DES REMEDES
a– le système éducatif adapté
b– la refonte morale et intellectuelle des systèmes sociaux ankylosés
c– la formation des formateurs
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« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org
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**COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM**
CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE
COMMUNIQUE de PRESSE
du CONSEIL MONDIAL de
la DIASPORA PANAFRICAINE
et de la SOCIETE SAVANTE des
ENCYCLOPEDISTES AFRICAINS sur la
DEFINITION et l’ENSEIGNEMENT de
l’HISTOIRE de la COLONISATION.
§
COMMENT COMPRENDRE,
ECRIRE et ENSEIGNER l’HISTOIRE
de la COLONISATION ?
Réponse aux parlementaires français dédiée à
Madame Hélène Carrère d’Encausse,
citoyenne française d’origine russe,
Secrétaire perpétuel de l’Académie Française.
COLLECTIF DE REALISATION DE L’ENCYCLOPEDIE ET DU MEMORANDUM
CONSEIL MONDIAL DE LA DIASPORA PANAFRICAINE
85, Bd Saint – Michel – 75005 Paris tel/fax : 01.43.25.80.50.
Mémoire d’Afrique : http://africa.smol.org – [email protected]
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COMMUNIQUE de PRESSE
du CONSEIL MONDIAL de la DIASPORA PANAFRICAINE
et de la SOCIETE SAVANTE des ENCYCLOPEDISTES AFRICAINS
sur la DEFINITION et l’ENSEIGNEMENT de l’HISTOIRE de la COLONISATION.
§
COMMENT COMPRENDRE, ECRIRE et ENSEIGNER
l’HISTOIRE de la COLONISATION ?
Réponse aux parlementaires français dédiée à Madame Hélène Carrère d’Encausse, citoyenne
française d’origine russe, Secrétaire perpétuel de l’Académie Française.
La colonisation est une entreprise criminelle, sanguinaire, génocidaire d’un peuple
« se disant civilisé » qui envahit un autre peuple et commet des actes de pillage et de
spoliation des richesses naturelles et sociales en utilisant les forces militaires et religieuses
d’oppression et de répression armées et d’aliénation culturelle par substitution des idéologies
étrangères aux populations colonisées.
C’est ainsi que la colonisation européenne de l’Afrique doit être comprise et enseignée
tout en notant que la civilisation européenne est une civilisation de sang versé (les révolutions
sanglantes, les guerres de conquête, les guerres civiles, les guerres de religion, les guerres de
sécession, etc….)
Les pays colonisateurs imposent leurs civilisations fascistes, nazies, leurs religions
racistes, leurs formes de vie, leurs langues et littératures aux populations soumises,
opprimées, terrorisées, en interdisant tout ce qui peut favoriser l’épanouissement des
traditions des populations colonisées, dominées et pillées.
Comment sortir souverainement de la colonisation ?
Seul l’exemple du Viêt-nam par la victoire de Diên Biên Phu demeure plus fiable. La
révolution américaine contre la domination des colons anglais peut aussi inspirer.
En Afrique, aucun Etat n’a encore conçu un système éducatif programmant l’enseignement
de l’histoire basé sur les valeurs morales et éthiques de résistance nationale contre les
envahisseurs barbares colonialistes et impérialistes, tortionnaires, génocidaires, sanguinaires,
spoliateurs, pilleurs, toutes ces expressions confondues qualifiant la barbarie coloniale.
C’est à quoi travaille la Société Savante des Encyclopédistes africains ayant en chantier les
240 volumes de la Première Grande Encyclopédie politique, économique, sociale et culturelle
des peuples noirs colonisés, dominés, esclavagisés, exploités, spoliés, terrorisés et
marginalisés.
Bien entendu, les pouvoirs néocoloniaux corrompus en Afrique retardent nos efforts et
l’UNESCO, dont le « département Afrique », qui est plutôt géré par les forces rétrogrades,
ne produit qu’une documentation médiocre sur l’histoire néocolonisée de notre continent,
Berceau de l’Humanité, retardé dans son développement culturel, scientifique, technique et
technologique par la colonisation européenne criminelle, spoliatrice.
Les supports de cet enseignement de l’histoire de la colonisation par le nouveau
système éducatif que nous préconisons, seront diversement, les monuments, les grands noms
panthéonisés de la résistance de mouvements populaires de libération nationale, les musées
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d’histoire et les laboratoires de recherche sur les phénomènes de la colonisation, baptisant les
grandes institutions, universités, hôpitaux, boulevards, aviation, complexes sportifs, navires,
musées et autres sites, du nom des héros de la libération par Devoir de Mémoire…..
Le 30 novembre 2005.
Pour le Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine
et la Société Savante des Encyclopédistes africains,
le Coordinateur international et d’orientation pédagogique et scientifique,
Professeur Kapet de BANA.
Pour en savoir plus
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Communication du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine à la Conférence Mondiale des
Nations Unies de Durban (Afrique du Sud) contre le racisme et la xénophobie du 28 août au 1er
septembre 2001. http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_actu07.pdf
Communication contributive de la Société Savante des Encyclopédistes africains et du Conseil
Mondial de la Diaspora Panafricaine à l’UNESCO sur les Systèmes éducatifs africains.
http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress33.pdf
Texte du Professeur Kapet de BANA sur « la Pédagogie de la Renaissance africaine ».
http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_actu59.pdf
Texte d’Aimé Césaire concernant le « Discours sur le colonialisme ».
Ouvrage de Frantz Fanon « les Damnés de la terre ».
Ouvrage de Kwamé N’Krumah « L’Afrique doit s’unir ».
Testament politique de Patrice Lumumba « L’Histoire de l’Afrique doit être écrite par les
africains ».
Déclaration de Garibaldi en 1815 « Droits des Peuples à disposer d’eux-mêmes » concernant
l’unité italienne.
Ouvrage du Professeur Oruno Lara « La colonisation, c’est aussi un crime ».
Texte de la Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA).
Manifeste du Mouvement International pour la Réparation (M.I.R.) et du Conseil Mondial de la
Diaspora Panafricaine (C.M.D.P.) et appel aux avocats pour la REPARATION due aux victimes
de la traite négrière et de la colonisation, Crimes contre l’Humanité.
http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress78.pdf
http://africa.smol.org/docs/cmdp/cmdp_cpress83.pdf
Textes des Nations Unies sur les protections des minorités.
Et autres lois françaises contre la discrimination.
Destinataires
- Présidence la République Française
- Gouvernement français
- Union Européenne
- Gouvernement des Etats Unis
- Union Africaine
- Nations Unies
- UNESCO
- PNUD
- Organisations de défense des Droits de l’Homme :
- Amnesty International
- Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme (F.I.D.H.)
- Union Interafricaine des Droits de l’Homme (U.I.D.H.)
- Action des Chrétiens pour l’Abolition de la torture (A.C.A.T.)
- Human Rights Watch (H.R.W.)
- Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme (L.I.C.R.A.)
- Secours Populaire Français
- Et autres intéressés.
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