L`ecstasy - Addictions Foundation Manitoba
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L`ecstasy - Addictions Foundation Manitoba
DE L’ L’ECSTASY DE L’ L’ecstasy Qu’est-ce l’ecstasy? L’ecstasy appartient au groupe hétérogène de drogues illégales connues sous le nom de drogues de nouvelle tendance – une variété de drogues dangereuses que consomment habituellement les jeunes et les jeunes adultes aux soirées dansantes nocturnes, dans les clubs de danse, dans les bars, aux concerts et aux fêtes pour rehausser l’expérience de type « rave », apporter un regain d’énergie aux utilisateurs et atténuer les inhibitions faisant obstacle aux relations interpersonnelles. On peut se procurer facilement ces drogues, et ce à un prix relativement modique: celui-ci peut varier de 15 $ à 50 $ le comprimé, selon des critères comme la disponibilité, la demande et le lieu.1, 3 La dénomination chimique de l’ecstasy est la méthylènedioxyméthamphétamine (MDMA), qui se rapproche de la méthamphétamine. Il est aussi couramment appelé « E », « XTC », « X », « Adam », « Eve », « clarity », « pilule de l’amour», « euphoria », « love doves », « batmans », « decadence », « happy pill » et « rave ».2, 4 La composition chimique de la MDMA fait d’elle une substance semblable aux drogues stimulantes et hallucinogènes. Lorsqu’on la consomme, la MDMA provoque une sensation prononcée de mieux-être et d’affection envers autrui. Les consommateurs de la drogue croient qu’elle rend leur expérience d’un événement plus agréable en changeant leurs perceptions sensorielles – par exemple, les sources lumineuses ou la musique peuvent sembler plus intenses. La drogue sert également à apporter un regain d’énergie aux utilisateurs, leur permettant ainsi de rester éveillés plus longtemps et de danser pendant de plus longues périodes.5 Il est particulièrement préoccupant de constater que les consommateurs de MDMA croient à tort que la drogue ne présente aucun danger. Cette opinion prévaut, en partie, en raison du manque de recherches historiques sur la consommation répétée et/ou de longue date de cette drogue. Cependant, des études récentes sur la neurotoxicité propre à la MDMA révèlent que la consommation de la drogue peut provoquer des lésions de longue durée, voire permanentes, dans certaines régions du cerveau.3 Usage à des fins médicales Vers le début des années 1900, c’est en Allemagne qu’on a mis au point la MDMA comme matériau de départ dans la synthèse d’autres drogues. Dans les années 1970 et 1980, malgré l’inertie du gouvernement fédéral à approuver la drogue et le peu de recherches cliniques réalisées en la matière, la MDMA servait d’outil psychothérapeutique destiné à améliorer la communication avec les patients durant les séances de traitement. En 2000, on a approuvé la MDMA comme médicament à usage limité à l’occasion d’un court essai clinique afin d’évaluer son potentiel comme traitement du trouble de stress post-traumatique. C’est au cours des années 1980 que l’on a commencé à pouvoir se procurer de la MDMA dans la rue.3, 6 Prévalence de l’usage En 2004, le Centre canadien de lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies (CCLAT) a ajouté l’ecstasy à la catégorie des drogues hallucinogènes dont fait état son enquête auprès de la population générale. Selon l’enquête, on a observé une hausse de la consommation de drogues hallucinogènes de 4,1% chez les Canadiens au cours de l’année précédant l’enquête.7 L’édition 2005 d’une enquête effectuée auprès des élèves ontariens est la seule étude de portée provinciale à faire le point sur la consommation d’ecstasy. Selon l’enquête, 4,4% des élèves interrogés – dont la répartition se situe dans la fourchette allant de 0,6% chez les élèves de 7e année à 9,8% chez les élèves de 11e année – ont déclaré avoir consommé de l’ecstasy. Cela représente une hausse marquée depuis 1993, année où 0,6% des élèves sondés avaient avoué en avoir consommé.8 Il existe des études semblables aux États-Unis, dont le National Survey on Drug Use and Health, qui indiquent une augmentation du taux de consommation de MDMA au cours de la vie chez les personnes âgées de 12 ans et plus, ce qui est passé de 4,3% en 2002 à 5,2% en 2008.6 Les personnes responsables de l’étude Monitoring the Future (MTF) du National Institute of Drug Addiction se sont dites préoccupées par la perception selon laquelle le risque associé à l’usage de la drogue a diminué au cours des dernières années – bien des gens estiment qu’il s’agit d’une drogue « sans danger », ce qui pourrait lui insuffler une vie nouvelle.3 Pendant les premières années de gloire de la MDMA, ses consommateurs types étaient des jeunes de race blanche qui faisaient partie du milieu des raves. Le groupe de travail communautaire sur l’épidémiologie du NIDA a publié dernièrement des rapports indiquant que la consommation de MDMA s’est étendue à des groupes ethniques plus larges et aux hommes et femmes homosexuels et bisexuels vivant en milieu urbain (chez qui la drogue sert généralement de stimulant sexuel).3 Suite... afm.mb.ca La pharmacocinétique L’ecstasy/MDMA est offert sous forme de comprimés ou de capsules qui se prennent habituellement par voie buccale. Il est aussi possible d’obtenir, à partir de la drogue, une poudre qui s’aspire par le nez ou se dissout dans l’eau pour ensuite être injectée. La dose normale que l’on peut se procurer dans la rue se situe entre 50 et 200 mg. La MDMA s’absorbe rapidement dans la circulation sanguine; ses effets commencent normalement à se faire sentir dans les 60 à 90 minutes après la consommation et durent entre trois et six heures.3, 5 Les consommateurs déclarent avoir souvent pris une deuxième dose de la drogue après la disparition des effets de la dose initiale.3, 6 Après qu’elle est absorbée dans l’organisme, la MDMA vient perturber son propre métabolisme hépatique. Par conséquent, des doses supplémentaires peuvent entraîner une accumulation importante de la drogue, d’où des répercussions en matière de toxicité. La MDMA peut aussi altérer l’activité métabolique propre à d’autres drogues, y compris certains des adultérants que peuvent contenir les comprimés.6 La pharmacodynamique Semblable à la méthamphétamine sur le plan de la structure chimique, la MDMA a un taux de sécrétion de sérotonine plus élevé et un taux de sécrétion de dopamine relativement moins élevé que la méthamphétamine, ce qui se traduit par une intensification de l’activité sérotonique. Puisque la sérotonine fait partie intégrante de la régulation de l’humeur, du sommeil, de la douleur, des émotions, de l’appétit et d’autres comportements, les retombées immédiates perçues et les réactions physiques à la consommation de MDMA sont attribuables aux excès de sérotonine présents au niveau de ces systèmes sérotoninergiques. La sécrétion excessive de sérotonine aboutira à la détérioration de ce neurotransmetteur important, ce qui expliquerait les effets fâcheux sur les comportements que l’on éprouve après la disparition de l’europhorie ressentie à l’origine.1, 6 Effets à court terme Dans un premier temps, une personne peut vivre un « état d’euphorie » soudain de type amphétaminique, suivi possiblement de nausées et de vomissements. Après « l’état d’euphorie », le stade de plafonnement fait surface et dure entre trois et six heures.6 Au nombre des effets pouvant surgir, on trouve: une altération des perceptions et du sens du temps; un plaisir accru tiré des expériences tactiles; un sentiment général de bien-être et de confiance en soi qui se manifeste par une ouverture accrue envers autrui; des sentiments d’empathie et de confiance parmi les gens; une énergie accrue et de l’insomnie, de l’euphorie, de l’emballement; et un plaisir sexuel accru.3 Par contre, le consommateur peut se montrer imprudent, confus, irritable, paranoïaque, extrêmement anxieux, agité, détaché et déprimé. Ces effets peuvent se manifester dès la consommation de la drogue et durer des jours, voire des semaines, après la consommation.2, 3 Parmi les effets néfastes sur la santé, on peut observer une accélération du rythme respiratoire et cardiaque, des nausées, des sueurs ou des frissons, une vue embrouillée, des évanouissements, le grincement involontaire des dents et des crampes musculaires. La MDMA freine la capacité du corps à réguler sa température et peut provoquer la mort due à la déshydratation, à l’épuisement par la chaleur et à une déficience cardiaque, hépatique ou rénale.2, 3 Les consommateurs de MDMA peuvent ressentir un état de sevrage couramment appelé « gueule de bois » pendant une période d’au plus une semaine après la consommation. Il peut s’agir de différents symptômes, entre autres un manque d’intérêt profond pour la vie et une dépression aiguë, qui provoquent une léthargie considérable, de l’anorexie et de la démotivation.6 La recherche sur les animaux révèle que les doses moyennes à élevées de MDMA peuvent entraîner des lésions à long terme des cellules nerveuses qui contiennent de la sérotonine.3 Effets à long terme Après une consommation excessive et prolongée de MDMA, l’utilisateur peut être porté à oublier les choses, avoir de la difficulté à se concentrer, éprouver de la dépression et avoir des pensées de suicide. Chez certaines personnes, il se peut que la dépression se fasse sentir après seulement quelques jours de consommation. Le consommateur peut aussi éprouver de la lassitude, des troubles du sommeil, de la confusion, de la panique et de la paranoïa.4 Le consommateur fréquent de MDMA s’expose au risque de lésions hépatiques. D’autres symptômes observés chez ce genre de consommateur se caractérisent par des lésions des dents et de la mâchoire imputables à des crispations, en plus de se manifester par des comportements agressifs et violents.4 Le consommateur excessif et chronique de MDMA (entre 60 et 450 doses au cours de la vie) peut éprouver de la confusion, de la dépression et une altération de la mémoire pendant de longues périodes, ce qui peut être attribuable à une diminution du taux de sécrétion de la sérotonine.3, 4 Les effets neurotoxiques qui peuvent se manifester à la suite de la consommation de MDMA constituent le principal domaine de préoccupation. Des recherches récentes révèlent que la MDMA nuit aux neurones situés dans les régions cérébrales responsables de la langue, des mouvements et des fonctions essentielles, tel le rythme respiratoire et cardiaque, en plus de réduire la densité des tissus cérébraux dans ces régions. On croit qu’il s’agit de répercussions de longue durée, voire permanentes.6 Effets toxiques L’utilisateur peut subir une surdose de MDMA, surtout après en avoir pris plus d’une dose. Les symptômes associés à une surdose peuvent se manifester par une tension artérielle élevée, des évanouissements, des crises de panique et, dans des cas extrêmes, une perte de conscience et des crises d’épilepsie.6 L’hyperthermie constitue l’effet toxique le plus grave. L’hyperthermie et la déshydratation sont susceptibles de se produire lorsque la consommation de la drogue s’accompagne d’activités de forte d’intensité (p. ex., exercices de danse ininterrompus pendant plusieurs heures). Il faut solliciter immédiatement des soins médicaux pour atténuer les effets des troubles précités, qui peuvent se caractériser par une insuffisance rénale et cardiaque, la déshydratation et une tension artérielle élevée.3, 6 Tolérance et dépendance La MDMA affecte le système de récompense et pourrait donc entraîner une dépendance à la fois physique et psychologique chez certains consommateurs. Malgré le risque de dépendance à la MDMA, il est rare de constater une tendance de consommation croissante associée à cette drogue. Le consommateur peut modifier ses habitudes d’usage en réaction aux impacts de l’épuisement des réserves de sérotonine. Ainsi, les doses subséquentes peuvent se révéler moins efficaces; le consommateur peut d’ailleurs éprouver une intensification des effets secondaires indésirables au lieu des bienfaits perçus.3, 5, 6 DE L’ afm.mb.ca Sevrage Si la consommation de MDMA est interrompue, il est possible que le consommateur régulier ait encore les envies psychologiques de ressentir les effets de la drogue. Bien qu’il n’existe pas de preuves adéquates permettant d’établir un lien entre l’apparition de symptômes de sevrage et la dépendance physique, le consommateur peut néanmoins éprouver des symptômes comme la fatigue, la perte d’appétit, la dépression et la difficulté à se concentrer.3 Production illégale Fabriquée dans des laboratoires illégaux, la MDMA peut être mélangée à d’autres drogues, produits chimiques ou substances, dont la caféine, la codéine, l’acétaminophène, la kétamine, la méthamphétamine, l’éphédrine et/ou les antitussifs vendus sans ordonnance, la dextrométhorphane, ce qui rend les effets imprévisibles.2, 3, 5 Questions juridiques La MDMA est visée par la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. La fabrication, la distribution ou la possession d’ecstasy est illégale au Canada.5 Par ailleurs, le Code criminel du Canada contient des infractions liées à la conduite avec des facultés affaiblies par l’alcool ou d’autres drogues. Le Manitoba a, pour sa part, adopté des lois permettant de s’attaquer au problème de conduite sous l’influence de drogues. Risques et autres méfaits Puisque la MDMA est fabriquée illégalement avec une variété de mélanges de drogues à la fois légaux et illégaux et avec d’autres substances potentiellement nocives, il est très difficile de prévoir la toxicité du produit final et les effets possibles de sa consommation sur la santé.1 Il est possible que certaines personnes soient allergiques à la MDMA ou à d’autres drogues ou substances utilisées dans sa fabrication et qu’elles présentent ainsi des réactions semblables à une surdose (fièvre, troubles de coagulation, troubles hépatiques).4 Tout comme bien des drogues pouvant faire l’objet d’un usage abusif, la MDMA se consomme souvent avec d’autres substances, y compris l’alcool, ce qui augmente le risque de surdose et peut même causer la mort.2, 3, 5 Si la MDMA est mélangée à certains autres médicaments antidépresseurs, il peut en résulter une hausse dangereuse ou mortelle du rythme cardiaque et de la tension artérielle.4 De plus, les toxicomanes qui prennent cette drogue par voie intraveineuse s’exposent à des risques supplémentaires, dont le risque de contracter le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), l’hépatite B et C et d’autres virus transmis par voie sanguine. À l’instar des cas d’usage abusif de drogues légales et illégales, il existe des répercussions fâcheuses possibles sur les plans juridique, financier et des relations familiales, sans oublier de mentionner le risque auquel s’expose le consommateur en se livrant à des comportements dangereux avec des facultés affaiblies par l’ecstasy.5 Grossesse Les effets néfastes possibles de la MDMA sur le fœtus sont une source de grande préoccupation. En effet, des études sur les animaux révèlent que l’administration de MDMA pendant ce qui correspondrait au troisième trimestre chez les femelles humaines s’est répercutée de façon importante sur des indicateurs comme l’apprentissage et la mémoire.3 Des quelques études sur les effets des drogues de nouvelle tendance au sens large, une étude de suivi prospective réalisée auprès de 136 enfants exposés en utéro à la MDMA révèle un lien possible entre sa consommation et le risque nettement accru d’anomalies congénitales. Douze des 136 bébés, soit 8,8%, visés par l’étude présentaient des malformations congénitales; cependant, il n’existait pas de tendances manifestes d’anomalies. L’étude ne comportait pas de groupe témoin et n’a pas permis non plus de tenir compte d’autres facteurs contributifs possibles.8 Aucun risque accru de malformations importantes ou d’avortements spontanés n’a été recensé à partir d’autres études. Dans l’examen des résultats des naissances auprès de 54 femmes ayant consommé de la MDMA pendant leur grossesse comparativement à 54 femmes qui n’y étaient pas exposées, on n’a signalé aucun écart de l’incidence de malformations importantes ou d’avortements spontanés entre les deux groupes.8 Interventions Il existe très peu de documentation clinique sur le traitement recommandé pour les personnes qui font un usage abusif de drogues de nouvelle tendance en général ou plus précisément de MDMA, ou encore pour les personnes qui y développent une dépendance.1 Tandis que la MDMA ne prédispose habituellement pas les consommateurs à un usage abusif croissant, la MDMA fait couramment l’objet d’un usage abusif lorsqu’elle se consomme avec d’autres drogues. Pour cette raison, tout effort de réadaptation pourrait s’articuler autour de l’autre (des autres) drogue(s) préférée(s). Puisque les adolescents constituent actuellement le groupe le plus susceptible de faire un usage abusif de cette drogue, les traitements recommandés doivent tenir compte des besoins et des problèmes propres aux jeunes en question. Par ailleurs, la MDMA peut exacerber de façon marquée les maladies mentales concomitantes, telles que la dépression et l’anxiété. On doit donc prendre en considération ce facteur au moment d’intervenir auprès d’un client atteint de troubles mentaux connus.6 Au nombre des traitements conçus pour aider les clients à adopter un mode de vie sans drogue, on trouve: le counseling individuel, la thérapie en groupe, la détoxification, les services de traitement en clinique interne, les services de traitement de jour, la pharmacothérapie et les groupes d’entraide. Il faut souvent entreprendre une combinaison de démarches afin de trouver le mode de traitement qui convient le mieux au patient.5 DE L’ afm.mb.ca Consommation de drogues et santé mentale JJ JJ JJ Les problèmes de santé mentale et de consommation de drogues peuvent souvent se produire simultanément. Voilà ce que l’on appelle couramment un trouble concomitant. La consommation de drogues peut augmenter le risque de problèmes de santé mentale. Les personnes atteintes de problèmes de santé mentale présentent un risque élevé de développer des problèmes de toxicomanie: –– Parfois, elles consomment de l’alcool et d’autres drogues comme moyen d’atténuer les symptômes de leurs troubles mentaux. –– Chez la majorité des personnes, la consommation d’alcool et d’autres drogues n’a pour effet que de camoufler les symptômes et risque même de les aggraver. N’oubliez pas: Les effets de la consommation d’une drogue quelconque peuvent varier d’une personne à une autre. Voici quelques-uns des nombreux facteurs qui peuvent altérer l’expérience: la quantité et la concentration de la drogue consommée; le contexte dans lequel elle est consommée; l’humeur de la personne et ses attentes avant de consommer la drogue; le sexe de la personne; son état de santé général; ses expériences antérieures avec la drogue en question; et si la drogue est utilisée seule ou si elle est combinée avec d’autres. Il peut être dangereux de consommer de l’alcool et d’autres drogues en même temps. Sources 1. National Institute on Drug Abuse. NIDA InfoFacts: Club Drugs, 2008. Accessible sur le site Web: http://www.drugabuse.gov/publications/drugfacts/ club-drugs-ghb-ketamine-rohypnol (consulté le 19 décembre 2013) (en anglais seulement) 2. Echeverry, J. J. & Nettles, C. D. in Pharmacology and Treatment of Substance Abuse: Evidence- and Outcome-Based Perspectives, ed. L. M. Cohen (et al), Routledge Taylor and Francis Group, New York, 2009, p. 419438. (en anglais seulement) 3. National Institute on Drug Abuse (NIDA). Research Report Series MDMA (Ecstasy) Abuse, 2009. (en anglais seulement) 4. Fondation manitobaine de lutte contre les dépendance. L’essentiel – L’ecstasy, 2005. 5. Site Web intitulé Get up on it, Terre-Neuve et Labrador. Club Drugs – The Full Story, 2009. Accessible sur le site Web: http://www.getuponit.ca/upload_ files/club%20drugs.pdf (en anglais seulement) 6. Fandrey, S. L. Applied Aspects of Pharmacology, Fondation manitobaine de lutte contre les dépendances, 2005. (en anglais seulement) 7. Centre canadien de lutte contre les toxicomanies. Points saillants de l’Enquête sur les toxicomanies au Canada, Ottawa, 2004. Accessible sur le site Web: http://www.ccsa.ca/2005%20CCSA%20Documents/ccsa-0040292005.pdf 8. Centre de toxicomanie et de santé mentale (CTSM). Exposure to Psychotropic Medications and Other Substances During Pregnancy and Lactation: a handbook for health care providers, 2007. (en anglais seulement) La Fondation manitobaine de lutte contre les dépendances (ci-après appelée « la Fondation ») propose une vaste gamme de services de prévention et de traitement pour les problèmes liés à la pratique du jeu et à la consommation d’alcool et d’autres drogues. Conçus pour répondre aux besoins de tous les Manitobains et de toutes les Manitobaines, ces programmes se penchent également sur la réduction des méfaits et l’abstinence. Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec le bureau de la Fondation de votre région ou consultez son site Web à l’adresse: afm.mb.ca. Clause de non-responsabilité de la Fondation: ces renseignements n’ont pas pour but de remplacer les conseils d’un professionnel. Tous les efforts nécessaires ont été déployés afin d’assurer l’exactitude des renseignements présentés au moment de leur publication. La Fondation autorise la reproduction de ce document. 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