Peter Pan - Compagnie Acte II

présente
PETER PAN
de James Matthew Barrie
mise en scène Loreleï Daize
Contacts
Administration et Diffusion – Morgane Quiguer
[email protected]
Tel. 06.71.39.31.75
Communication, relation presse – Margaux le Roy
[email protected]
Tel. 06.76.95.30.44
www.compagnieactedeux.com
Note d'intention
Nous voici face à l'une des pièces les plus féeriques du XX° siècle. L’auteur, James Matthew Barrie, nous conduit dans un monde
peuplé de sirènes, de fées, d'indiens et de pirates, un monde où tout est possible.
Pour nous accompagner dans ce merveilleux voyage, il crée le personnage de Peter Pan, un enfant libre qui refuse à jamais de grandir
et qui nous emmène dans des aventures fantastiques. Et si l'histoire peut quelque fois nous faire peur, ne nous inquiétons pas! Avant la
fin, nous serons de retour à la maison.
Au-delà du simple conte fantastique, idéal pour un spectacle pour enfants, la pièce présente également un côté plus sombre, plus triste.
Montrés dans toutes leurs complexités, les enfants ne nous apparaissent pas seulement naïfs et innocents, ils sont également cruels
n’hésitant pas à tirer sur le grand oiseau blanc Wendy. Peter Pan est le plus caractéristique d’entre eux. Non seulement gentil et joueur;
il est aussi imbu de lui-même, autoritaire, capricieux, boudeur. S'il grandissait, il deviendrait un second Crochet, le capitaine des
pirates, cruel et tyrannique. L'auteur lui-même, écrit après la victoire de Peter Pan contre le capitaine Crochet : « Le rideau se baisse et
ne se relèvera pas, de peur que l'on ne découvre cette fois Peter à la poupe, avec le chapeau et les cigares de Crochet, et aussi avec une
petite griffe d'acier ».
Malgré tout, Peter reste sympathique. Qui lui en voudra de dire « Je veux pour toujours être un petit garçon et m'amuser» ? Tout cruel
qu'il soit, Peter Pan est surtout là pour jouer. Et le pays du «Jamais-Jamais» est le terrain idéal. Même si l'on y meurt pour de vrai cela
n'a guère d'importance car tout y est vite oublié, telle est la loi de ce pays.
Imaginaire, fantastique, féerique, magique,... Voila les mots qui ont guidé la mise en scène. Le public doit pénétrer un monde
merveilleux, où il puisse laisser libre court à son imagination.
La scénographie est un élément important du spectacle et si celle-ci a évoluée au fil des représentations c’est toujours dans un souci
d’augmenter les possibilités de jeu. En complicité avec Rémi Cierco, le scénographe, j’ai peu à peu donné de l’ampleur au décor de
base. A la toile de fond s’est rajouté des tonneaux, des lampes, des arbres, permettant aux personnages de grimper, de se cacher, de
jouer avec les hauteurs.
Chaque nouvel espace de jeu apparait à l’aide de celui d’avant, les lits des enfants Darling deviennent des monticules de nature, la
table des Enfants Perdus se retrouve sur le bateau des pirates, les tables deviennent tonneaux, etc...
Toujours pour mieux mélanger fiction et réalité, les frontières entre public et comédiens sont aboli. Les personnages viennent à la
rencontre des enfants, leur parlent, se cachent parmi eux.
L'histoire de Peter Pan est un songe dont on se souvient au réveil. On ne sait plus très bien ce qui s'est passé mais on est sûr d'une
chose : on est pressé d'y retourner.
Loreleï Daize
La Pièce
« Tous les enfants, hormis un seul....
grandissent ! » J.M. Barrie...
Wendy, John et Michaël, trois enfants à priori ordinaires, vont s’envoler pour
le Pays de Jamais-Jamais et suivre Peter Pan à la rencontre des fées, des
sirènes, des enfants perdus, des pirates et surtout du Capitaine Crochet…
De la réalité à l’imaginaire, il n’y a qu’un pas pour se laisser entraîner dans le
monde merveilleux de Peter Pan.
Durée du spectacle: 1 heure
ACTE I - SCÈNE 3
Chambre des enfants Darling. Le soir. Wendy, John et
Mickaël sont au lit.
Clochette est déjà dans la chambre lorsque Peter Pan
entre par la fenêtre...
Peter : Clochette, Clo’, où es-tu ? Oh, veux-tu sortir
de ce pot. Est-ce que tu sais où ils l’ont mise ? Quelle
grande boite ? Laquelle ? Mais quel tiroir ? Oui, fais
moi voir.
(Il sort son ombre du tiroir et essaye de la recoller
avec du savon. Découragé, il se laisse tomber par
terre. Le bruit réveille Wendy, qui s’assoit dans son lit
et semble agréablement surprise de voir un étranger.)
Wendy : Pourquoi pleures-tu, petit garçon ?
(Il se redresse d’un coup, bondit jusqu’au pied du lit
et la salue à la manière des fées. Impressionnée,
Wendy lui fait la révérence depuis son lit.)
Peter : Comment t’appelles-tu ?
Wendy : Wendy Moira Angela Darling. Et toi ?
Peter : Peter Pan.
Wendy : C’est tout ?
Peter : Oui.
Wendy : Je suis désolée.
Peter : Ce n’est pas grave.
Wendy : Où habites-tu ?
Peter : La deuxième à droite et tout droit jusqu’au
matin.
L'auteur - James Matthew Barrie
Sir
James
Matthew
Barrie
(Kirriemuir, 9 mai 1860 – Londres,
19 juin 1937) était un écrivain et
dramaturge écossais, célèbre pour
avoir créé le personnage de Peter Pan.
Marié à l'actrice Mary Ansell en
1894, il divorça à la demande celle ci
en 1909.
J.M. Barrie a créé Peter Pan en
racontant des histoire aux fils de son
amie Sylvia Llewelyn Davies, avec
laquelle il avait une relation spéciale.
« Peter » était le prénom du troisième
fils Davies, et le nom « Pan »
rappelait le demi-dieu grec de la
Nature.
Pour certains commentateurs, le
personnage a pu être inventé par
Barrie dans le souvenir du deuil de
son frère aîné David, mort à 13 ans
dont sa mère ne s'est jamais vraiment
remise.
Peter Pan fait sa première apparition
imprimée en 1902 dans le livre Le
petit oiseau blanc, pour créer la pièce
de théâtre Peter Pan ou le garçon qui
ne voulait pas grandir dont le
première eut lieu à Londres le 27
décembre 1904. Barrie adapta la
pièce en roman, publié en 1911 et
titré Peter et Wendy, connue
actuellement sous le titre Peter Pan.
J.M. Barrie n'eut pas d'enfants mais
s'occupa, après qu'ils furent devenus
orphelins, des garçons de la famille
Llewelyn Davies.
Il reçut un certain nombre d'honneurs:
un titre de baronnet, l'Ordre du
mérite, le rectorat de
l'Université de Saint Andrews, puis
les fonctions de chancelier de
l'Université
d'Edimbourg.
Il mourut d'une pneumonie le 19 juin 1937.
Les Costumes
Peter Pan parle du monde de l’enfance, de l’imaginaire mais
aussi du rêve. Les costumes devaient refléter tous ces mondes
merveilleux, comme autant d’histoires que se racontent les
enfants. Les enfants perdus portent des vêtements trop grands
volés aux pirates. Les tissus sont usés par leurs aventures.
Nana, la chienne, aime jouer avec les enfants qui la serre dans
leurs bras comme une grosse peluche, ce à quoi elle ressemble
d'avantage qu'à un vrai chien. Pour les costumes des pirates, le
17ème siècle était de rigueur. Cache-œils, bandanas et
marinières sont portés par les flibustiers aux ordres du très
célèbre capitaine Crochet qui se distingue de son équipage en
revêtant une redingote d'un rouge vif, un sabre à la ceinture et
un crochet à la main gauche. La fée symbole de la nature porte
les couleurs chaudes de l’automne. Pas de grandes ailes dans le
dos, mais une suggestion de sa féérie grâce aux textures fluides
et légères qui peuvent refléter une certaine lumière.
Benoîte Micard
Lorsqu'on m'a demandé de reprendre une partie des costumes
de Peter Pan, il s'agissait principalement de développer le
"look" des enfants perdus et de Peter Pan. J'ai voulu pour Peu
et Bouclé deux costumes complètement différents qui reflètent,
bien entendu, leur personnalité. Peu a récupéré une marinière
bien trop grande d'un pirate tandis que Bouclé, le plus petit, se
dissimule sous un grand poncho à capuche en peau (volée aux
indiens peut-être ? ) bordée de feutrine rouge, pour accentuer le
côté enfantin. Peter devait se distinguer de sa petite troupe et
après avoir approfondi la piste du jeune sauvageon vêtu de
morceaux de cuir, je suis reparti dans la direction opposé avec
un pourpoint plus élégant, trophée de guerre sans nul doute,
avec une chemise à larges manches. J'ai profité de
ces ajustements pour ajouter un peu de panache à
l'élégant Crochet avec un tricorne rouge à plumes d'autruche
digne de son statut de capitaine; et renforcer les origines
sylvestre de la mystérieuse narratrice en la recouvrant son
costume de feuilles mortes éparses et de lierre.
Sébastien Passot
La scénographie
Après des échanges créatifs avec la charmante Compagnie Acte II, nous avons pris le parti d'évoluer sur une scénographie contemporaine,
colorée, et modulable. J'ai axé mon travail et sa réalisation sur des paravents en plusieurs vantaux qui définissent respectivement les deux
grands thèmes de la pièce : la chambre des enfants Darling et le pays imaginaire.
J'ai également travaillé sur la conception d'accessoires transformables (des lits qui se transforment en décors) afin de laisser libre cours a
l'imagination du spectateur et permettre une mise en scène dynamique.
Rémi Cierco
Les marionnettes
Pascaline Marque découvre les marionnettes en créant
Marionnette Humaine avec Marlène Lutz, joué au festival
de la Marionnette de Mirepoix. Elle participe à une
seconde création SWING et Marionnettes avant de suivre
en 2007 une formation professionnelle d'acteurmarionnettiste au « Théâtre aux mains Nues ».
Étudiante successivement en ébénisterie et à l'Ecole
Nationale des Arts Visuels de LaCambre, elle tire de ces
expériences, petits savoir-faire et idées rigolotes pour
créer ses marionnettes.
Les enfants suivent Peter Pan dans son voyage, pour de
Faux et pour de Vrai. Les habitants du pays de JamaisJamais sont les mêmes que ceux qu'ils avaient inventés
dans leur chambre pour s'amuser. Michael, John et Wendy
auraient presque envie de devenir, eux aussi, les
personnages principaux d'une histoire...
Les marionnettes sont arrivées en train jusqu'à Peter et les
enfants Darling. Leur fabrication et leur insertion dans la
pièce leur ont donné un gros dynamisme. Les comédiens
les apprivoisent à grands pas et petit à petit.
Je ne connais pas leur identité au sein de la pièce : jouets?
doubles des acteurs? métamorphoses des personnages?
Je connais la vie qu'ils dégagent quand ils chahutent, et
j'aime ça.
Pascaline Marque
Loreleï Daize:
Romain Châteaugiron:
Gaël Fourage:
Metteur en Scène et Narratrice
Peter Pan
Smee et Mickaël
Loreleï Daize a été formé à l’école d'art
dramatique Jean Périmony .
On la retrouve dans Conte d’Hiver de
Shakespeare, mis en scène par Claire
Prévost, qu’elle assistera dans cette tâche;
puis dans La Cantatrice chauve de Ionesco
sous la direction de Mathieu Lermite. En
2007, elle mets en scène Dans le silence de
l’ombre. La même année, elle joue dans
Chop Suey de Françoise Cadol mis en scène
par Alexandra Catzéflis. En 2008, elle joue
dans Chambres de Philippe Minyana mis
en scène par Louis-Charles Finger.
Elle crée la compagnie Les Chasseurs de
Dahus avec laquelle elle joue trois Molière :
Les Précieuses Ridicules mis en scène par
Philomène, Le Mariage Forcé mise en
scène collective et Le Médecin malgré lui
mis en scène par Maximilien Neujahr.
Romain Châteaugiron joue Le petit prince
de Saint-Exupéry. Il enchaîne avec Ubu roi
d’Alfred Jarry, Le gardien du temps,
création originale dont il tient le rôle
principal.
En 2006, il entre en formation
professionnelle aux cours d’art dramatique
Jean Périmony et pratique en parallèle de la
guitare et de la gymnastique.
En 2007, il interprète Pierrot dans Dom
Juan de Molière.
En 2009, il créé la compagnie Les Enfants
de la Nuit, avec laquelle il monte Cuisine et
dépendances de Jean-Pierre Bacri et Agnès
Jaoui et Il y a foutrement longtemps, une
pièce de Michel Morizot actuellement à
l'affiche au Guichet Montparnasse.
Gaël Fourage commence le théâtre en 1993,
en suivant les cours d’Art Dramatique de
Plancoët , ainsi que l’Atelier Théâtre de
Lancieux, dans les Côtes d’Armor.
En 2004, il entre en formation
professionnelle au Cours d’Art Dramatique
Jean Périmony et poursuit, en 2005, avec
Les Enfants Terribles.
Il suit également plusieurs stages, joue dans
plusieurs pièces de Molière Les Précieuses
Ridicules mis en scène par Philomène, Le
malade imaginaire et Le médecin malgré
lui mise en scène par Maximilien Neujahr.
Il participe à la création de Docteur Jekyll
et Mister Hyde et interprète Rédillon dans
Le Dindon de Feydeau.
En 2010 il est a l'affiche dans Facteur
Humain de Thierry Janssen, mise en scène
par Maxime Leroux.
Adrien Daquin:
Justine Formosa:
Katia Ghanty:
John, Bouclé et Starkey
Nana et Peu
La narratrice
Adrien Daquin intègre à l'âge de 16 ans un
atelier de clowns, avec lequel il va jouer
pendant deux ans pour des associations.
Il jouera également plusieurs pièces de
Sacha Guitry, Jean Tardieu ou encore
Edouard Bourdet.
En 2006, il entre en formation
professionnelle aux cours d’art dramatique
Jean Périmony.
En 2008, il monte L’Occasion de Mérimée
où il interprète Frère Eugenio, au Théâtre
Notre-Dame Lucernaire pendant le festival
d’Avignon 2009.
En 2010, il crée la Compagnie Lezard
Créatif et joue dans Le clou aux Maris
d'Eugène Labiche avec la compagnie Le
Saut de l'Ange.
Justine Formosa se consacre pendant deux
ans à une formation d’ébénisterie d’art pour
créer des décors de théâtre. Parallèlement,
elle fait partie de la troupe de théâtre
Ostréa.
En 2006, elle entre en formation
professionnelle aux cours d’art dramatique
Jean Périmony.
En 2008, elle crée la compagnie Acte II à
l'origine du spectacle Peter Pan.
En juillet 2009, elle participe au Festival
d’Avignon dans Félicie de Marivaux et
L’Occasion de Mérimée., au Théâtre NotreDame Lucernaire.
En 2004, Katia Ghanty intègre l'école d'art
dramatique Charles Dullin. Parallèlement,
elle obtient une licence d'études théâtrales à
l'université de la Sorbonne Nouvelle.
En 2008, elle interprète le rôle d'Elmire
dans Le Tartuffe de Molière, mis en scène
par Rodolphe Corrion. Elle joue également,
pour la compagnie Arthis, le rôle de La
Fille des Armoires dans un spectacle
burlesque Le mal du pays. En 2010, elle
interprète le rôle d'Irina dans Les trois
sœurs de Tchekhov, mis en scène par
Mathieu Alexandre. Parallèlement au
théâtre, elle s'intéresse aussi à la
composition musicale et à l'écriture.
Actuellement, elle met en scène La fausse
suivante de Marivaux, la nouvelle création
de la compagnie Acte II.
Elle sera Trivelin dans La fausse suivante
de Marivaux, la nouvelle création de la
compagnie Acte II.
Marina Monmirel:
Morgane Quiguer:
Maximilien Neujahr:
Mme Darling, Laplume, Lys Tigré et
Jukes
Wendy
Capitaine Crochet et Monsieur
Darling
En 2006, Marina Monmirel entre en
formation professionnelle aux cours d’art
dramatique Jean Périmony. Parallèlement
elle pratique la danse africaine, la salsa, le
rock et la gymnastique.
En 2007, elle joue dans Le bal des
Touloulous de Nadine Fidji mis en scène
par Benjamin Jules Rosette.
En 2008, elle entre au cours d’art
dramatique Marie Boudet.
En 2010, elle joue dans Les ronces de
Vladimir Mudev, mis en scène par Antonin
Fadinard et interprète Lisette dans Le jeu de
l'amour et du hasard de Marivaux.
Morgane Quiguer suit les ateliers donnés au
théâtre du Champ au Roy à Guingamp.
En 2004, elle entre à l’ESRA, école
supérieure de réalisation audiovisuelle, où
elle se forme aux métiers du cinéma.
En 2006, elle entre en formation
professionnelle aux cours d’art dramatique
Jean Périmony.
En 2008, elle crée la compagnie Acte II.
En juillet 2009, elle participe au Festival
d’Avignon dans Félicie de Marivaux et
L’Occasion de Mérimée., au Théâtre NotreDame Lucernaire.
En 2005, Maximilien Neujahr entre en
formation professionnelle aux cours de
l’Ecole d’Art Dramatique Jean Périmony. Il
joue dans N’importe quoi le Freud, mis en
scène par Philomène. En 2005, Henri
Lazarini met en scène Le Barbier de Séville
de Beaumarchais, où il joue le Comte
Almaviva aux côtés de Georges Wilson. En
2005, il joue dans Le Spleen de Judas, puis
dans deux pièces de Bertold Brecht: La vie
de Galilée mis en scène par Frédérique
Lazarini et Mère Courage mis en scène par
Anne-Marie Lazarini. Il met en scène
Ripopée d’Amour de et avec Bruno Balp et
Le médecin malgré lui. Il joue aussi dans Le
point de non retour, réalisé par Atef Abidi,
et Du monde sur le périph’ réalisé par
Grégory Andron.
Elle sera Frontin et Arlequin dans La fausse
suivante de Marivaux, la nouvelle création
de la compagnie Acte II.
Elle sera la Contesse dans La fausse
suivante suivante de Marivaux, la nouvelle
création de la compagnie Acte II.
Rémi Cierco: Scénographe
Pascaline Marque: Marionnettiste
Rémi Cierco obtient son BT Dessinateur / Maquettiste en
1998.
Ensuite, il suit une école supérieure d'art graphique et en 2000
obtient son DMA illustrateur à l'école d'Estienne, dans le
13ème arrondissement.
En 2002, il créé son entreprise de trompe l'œil, décor à thème
pour théâtre et festival, patine et matière...
De 2001 à 20011, il participe à l'élaboration de plusieurs
projets: 2052 pour la Compagnie Frédéric Basillo, Aristice au
point de grenelle pour la Compagnie Sur un Nuage, Scandale
pour la Compagnie Rosebud, Vienne-Berlin, Berlin-Vienne
pour Les Redoutables...
Apprentie dilettante depuis sept ans déjà, elle sépare puis
mêlent différentes pratiques, de la menuiserie aux arts
plastiques, en passant par la pâtisserie ou le théâtre.
Passionnée par ce que l'on appelle « tout-et-n'importe-quoi »,
ses activités sont une chouette tentative de réaliser ses rêves de
petite-enfant.
Benoîte Micard: Costumière
En 2006, Benoîte Micard débute comme costumière pour les
spectacles Egg et Les anges de l'enfer de la compagnie
Stronking Head Theatre.
Elle crée ensuite les costumes de Félicie de Marivaux et
L’occasion de Mérimée présentés au Festival d’Avignon 2009
par la compagnie du Trèfle à 3 Feuilles.
En parallèle, Benoîte crée sa propre ligne de vêtements.
Sébastien Passot: Costumier
Après un baccalauréat littéraire, il s’oriente vers des études
d’Histoire de l’Art en entrant à l’Ecole du Louvre. Passionné
par l’histoire du costume, il réalise deux mémoires, l’un
consacré aux origines et à l’histoire du costume traditionnel
féminin au Moyen-Orient et un second sur l’évolution des
costumes de Don Juan au théâtre, à l’opéra et au cinéma.
Pendant ces années d’études il commence à réaliser des
costumes en autodidacte pour différents projets personnels,
avant de prendre des cours de couture (formation de costumier
du spectacle) à la mairie de Paris et créer son entreprise. Il a
également travaillé sur un documentaire visant à mieux faire
connaître le processus de la création de costumes au cinéma.
En 2009, il réalise les costumes de courts-métrage tels que Le
chant des Meurtrières, Dernier Verre, Judith. Il travaille
également pour le théâtre sur des pièces comme La
Célestine, La Vie de Galilée où Blanche-Cygne.
En 2010, il continu à exercer son art pour le cinéma
avec Pythagore et pour le théâtre avec Oxygène.
La presse
Article extrait du « Pariscope »
Article extrait du journal « Le Bonbon » n°16
extrait du journal « Oxygène » n°30 - L’Hebdo des Habitants d’Aulnay-sous-Bois - Mercredi 25 mars 2009
Théâtre. Peter Pan charme les jeunes du patronage
Théâtre. Peter Pan charme les jeunes du patronage.
Les jeunes présents au patronage laïque n'ont pas
regretté le déplacement et leur voyage au pays de Peter
Pan, samedi.
11 janvier 2010 La grande salle d'activités du Patronage laïque municipal du
Pilier-Rouge a servi de cadre, samedi après-midi, à la
compagnie parisienne Acte II, dans son interprétation de la
pièce Peter Pan d'après l'oeuvre de James Matthew Barrie.
Un public refroidi par la neige...
La neige a sérieusement réduit la venue du jeune public.
D'après les réservations en effet, plus de 220 personnes
auraient dû faire le déplacement mais au final, la moitié
seulement a osé braver les éléments. Une moitié qui s'est
déclarée ravie du spectacle présenté avec beaucoup de talent
par les jeunes comédiens.
Peter Pan reste indémodable
Tous les enfants, hormis un seul, grandissent... Et cet enfant qui ne veut pas grandir, c'est Peter Pan, personnage merveilleux qui
subjugue petits et grands: dans l'aventure, Wendy, John et Michaël, trois enfants a priori ordinaires, s'envolent pour le Pays de JamaisJamais et suivent Peter Pan à la rencontre des fées, des sirènes, des enfants perdus, des pirates et surtout d'un certain Capitaine
Crochet... De la réalité à l'imaginaire, il n'y avait qu'un pas pour se laisser entraîner dans le monde merveilleux de Peter Pan, samedi: le
public l'a franchi et s'est retiré enchanté de cette représentation.
Article extrait du journal « Le Télégramme » - Le 11 janvier 2010 - Suite à notre tournée en Bretagne.
La Compagnie
Parce que l’art est l’essence de toute civilisation, que sans ça nous ne saurions
plus vivre, que nous voulons qu’il soit accessible à tous, parle pour tous, au nom
des enfants comme des adultes, des personnes âgées comme des adolescents, nous
nous efforçons d’être chaque jour: Comédiennes, Actrices, Metteurs en scène,
Régisseuses, Scénographes, Attachées de presse, Costumières et Maquilleuses.
Que ce soit en Europe, en Asie, en Amérique et en Océanie, en Arctique ou en
Antarctique! Parce que nous considérons autant les Circassiens que les
Sociétaires/Pensionnaires de la Comédie Française. Que nous rêvons de jouer au
Lucernaire, au Trianon, à Chaillot, à la Scala, au Marigny, aux Bouffes du Nord,
dans la Rue, au Bolchoï, dans tous les villages de France et de Navarre, dans la
cour d’honneur du palais des papes, au Globe Theater, au Guichet Montparnasse,
aux arènes de Lutèce, d’Orange, de Montmartre, ou de Rome! Parce que Villar,
Feydeau, Molière, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, Johnny Cash,
Wagner, Béjart, Arletty, Marceau, Charlie Chaplin, Delacroix et Catherine Frot,
Tex Avery et Isabelle Huppert, Méliès, JK Rollings, Hitchcock, Jim Jarmusch,
Baudelaire, Eluard, Van Gogh et Prevert, Gérard Depardieu et Walt Disney, Eric
Métayer, Chopin, Tchekhov, Picasso et Shakespeare nous inspirent… Que nous
sommes Bretonnes et voulons vivre partout, voir de tout, toucher à tout et tout
sentir, nous avons créé Acte II.
Morgane et Justine
Peter Pan,
création 2009 au Guichet Montparnasse, à Paris
Reprises:
2009 au Théâtre de la Clarté, à Boulogne Billancourt
2010 à Brest et Riec-sur-Belon dans le Finistère
2010 au Ciné 13 Théâtre, à Paris
2010 au Théâtre Rutebeuf, à Clichy
2010 au Théâtre Saint-Louis, à Pau
Contact
Administration et Diffusion – Morgane Quiguer
[email protected]
Tel. 06.71.39.31.75
Communication, relation presse – Margaux le Roy
[email protected]
Tel. 06.76.95.30.44