VD La question de la perversion pour la psychanalyse au delà de la

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VD La question de la perversion pour la psychanalyse au delà de la
Formation Continue
http://formation-continue.univ-tlse2.fr
La question de la perversion pour la psychanalyse : au delà de la morale
Le plus de la formation
Formation
de la découverte freudienne
Exposés et discussion
avec le public
Compétences acquises
•
•
Elaborer un savoir quant à la perversion.
Connaître les écueils du transfert avec des sujets pervers.
Objectif de formation
La psychanalyse n’est ni une idéologie supplémentaire à tant
d’autres techniques adaptatives, ni à plus forte raison une morale.
C’est une rationalité rendant compte du fonctionnement du sujet
de l’inconscient. Si la psychanalyse s’intéresse au lien social c’est
pour examiner si les rapports de l’un à l’autre proposés, voire
imposés, sont aptes à être viables pour le sujet. Ce qui est requis
c’est la possibilité de faire singularité d’existence, car quelle que
soit sa structure, et pour se soutenir comme désirant, le sujet est
inventif (son symptôme) et certains sont subversifs (pour qu’il y
est création et histoire). Partant, nous examinerons trois points en
prémisse à un Diplôme Universitaire qui sera proposé en 20172018 sur la perversion : la structure perverse, le trait pervers, la
perversité masculine.
Publics concernés
Tout public
Programme
Le pas freudien par rapport à la psychiatrie : la
sexualité est perverse
La perversion, une des trois structures freudiennes, n’est pas
synonyme de criminalité, mais d’un rapport particulier à la
castration : Léonard de Vinci, Gide, Jouhandeau, Genet, sans doute
Kawabata et bien d’autres font exemples d’une nécessaire
transgression de la norme dans la création. Le fantasme
inconscient, soutenant la vie des sujets a toujours pour Freud un
fond pervers. Quelle est donc cette structure, dont les sujets en
faisant choix, sont si peu enclins à faire demande auprès d’un
clinicien.
Structure perverse et trait
démenti/refoulement/forclusion
pervers.
Castration,
La clinique établit une distinction entre la structure perverse et le
trait pervers dans la névrose ou dans la psychose. Certains sujets
ayant un inconscient s’appuyant sur le refoulement névrotique ou
sur la forclusion psychotique font appel à des symptômes ou à
fantasmes pervers.
La
perversité
masculine
homme/femme. Problématique de l’objet a
« ordinaire » :
Certains traits de perversion concernent tout homme dans son
rapport au partenaire sexuel. Si les femmes sont orientées sur le
Phallus pour faire choix de partenaire, plus tentée par la voie de
l’amour, les hommes eux, sont orientés sur l’objet a, soit l’objet de
la pulsion. Ces choix de jouissance différencié entre les sexes créé
un malentendu structural.
Equipe pédagogique
Pascale Macary-Garipuy, responsable, professeur de psychologie
Clinique, Université Toulouse - Jean Jaurès
Sidi Askofaré, professeur de Psychologie Clinique Université
Toulouse Jean Jaurès
Thierry Lamote, docteur en psychologie, psychologue clinicien
Validation
A l’issue du stage, une attestation de suivi de la formation sera
remise aux stagiaires
Durée
8h
Dates - horaires
Vendredi 12 mai 2017 14h-16h et samedi 13 mai 2017
9h-12h et 13h-16h à l’UT2J
Lieu
Université Toulouse Jean Jaurès (Campus Mirail)
Nombre de stagiaires
Maximum 15 personnes
Procédure d’inscription
Fiche de pré-inscription téléchargeable à l’adresse :
http://formation-continue.univ-tlse2.fr / rubrique Qualifier
Tarif
270 €
Contact
Maxime MARTY, gestionnaire de formations
05 61 50 41 70- [email protected]
Conformément à la législation, les stagiaires évalueront la formation à l’issue de celle-ci à partir d’un
questionnaire de satisfaction.
Université Toulouse - Jean Jaurès
Service Formation Continue - [email protected]
5 allées Antonio Machado - 31058 Toulouse cedex 9 - Station Mirail Université

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