Cette fois je crois que c`est la bonne... Ça sent très fort le dernier

Cette fois je crois que c'est la bonne...
Ça sent très fort le dernier numéro...
Alors un dernier mot, de remerciement principalement.
Merci à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à ce journal
cette année...
# JC le maître-miso pour sa co-rédaction,
# tous les disciples-misos [Khaled, Abou, Berge, Luc, Guilhem,
...] et toutes les pseudo-militantes féministes [Adeline, Cathia]
pour avoir animé la guerre des sexes...
# tous les pseudo-comiques [Abou, Mouss, Adeline,....] qui ont
essayé de nous faire rire...
# toux ceux qui avaient quelque chose de
pseudo-sérieux à
dire...
# et enfin tous les pseudo-lecteurs qui ont fait semblant de lire.
Bref, tous ceux qui ont aidé le pseudo-rédacteur que je suis à
remplir les pages de ce pseudo-journal.
Sur ce, je passe la plume à la future rédaction, à qui je souhaite
"Bon courage" pour l'année prochaine.
Pouya
Thierry [D1] "Et là tu la
sens ma grosse contribution
?"
Pour vous aider à attaquer l'été en toute sérénité, je vous présente ici quelques-uns des panneaux que vous
risquez de rencontrer...
Sandra : "Tu peux mouler le
beurre s'il te pla.... euh
beurrer le moule j'veux dire"
Certains logos sont des gages de qualité...Exigez-les !
JC : "Ça se voit quans vous
avez fait une soirée filles : le
lendemain vous avez des
poils entre les dents...
Plus tard...
JC : Au fait, j'pourrais venir
une fois à une soirée filles,
juste moi et vous ??
Sandra : Pourquoi, toi aussi
tu veux des poils aux dents?"
Pouya : dimanche soir on
est invité à une touze...
Mael : Ah ouais ? Et
poutquoi j'susi pas invité
moi ??
Pouya : C'est une partouze
soft, Mael., une partouze
zen...
Mael : Et alors, j'suis trop
violent, moi ??
Sylvie : Ben oui, toi tu fais
trop mal, tu déchires le trou
d'balle..."
Par contre, prenez garde, certains logos témoignent d'un manque frappant d'ouverture d'esprit et
Dan : "J'étais sur Cathia, j'ai
réussi à la mettre dedans !"
Sandra : "Quand il pleut
pas, il fait beau, hein..."
[Une Évelyne Dhelia en
puissance !]
Karine : "J'ai pris 1000
grammes d'Efferalgan avant
de venir.
d'originalité. Évitez-les :
Enfin, voici des panneaux réputés dangereux, pour lesquels je n'ai pas vraiment de conseil à vous donner :
LADA STORY
Comment trouver des pièces détachées pour sa Lada ?
- En en suivant une autre.
Comment doubler la valeur d'une Lada ?
- En faisant le plein.
À quoi sert le dégivrage arrière sur une Lada ?
- À pas se geler les mains quand on la pousse.
Mais vous savez ce que c'est une Lada en fait ?
- C'est la Skoda du pauvre. (Dédicace à Ludo [D1])
Pourquoi deux conducteurs de Lada se reconnaissent
immédiatement lorsqu'ils se rencontrent ?
- Ils se sont vus le matin au garage.
Quelle est la différence entre une Lada et le Sida ?
- Essaie donc de refiler une Lada !
Qu'est-ce qui est marqué à la page 39 du mode d'emploi d'une
Lada ?
- L'horaire des bus.
Qu'est-ce qu'une Lada au sommet d'une colline ?
- Un miracle.
Une Lada peut faire 150 000 Km avec le même train de pneus
avant. Logique, il est toujours à 1 mètre au dessus de la route,
derrière la dépanneuse.
Une Lada, c'est bien.
Une voiture, c'est mieux !
Tu as vu le nouveau dispositif antivol sur les Lada ?
- Ouais je l'ai vu: en fait ils se sont contentés d'agrandir le logo de
la marque sur la calandre.
Salut, je vais apporter ma pierre à l’édifice de la guerre des sexes mais tout d’abord j’aimerais savoir si il y a d’autres représentantes que
Adeline et K-tia. C’est tellement nul ! !, à se demander si elles n’ont pas été bercées trop prés du mur. Bref, je vous rapporte trois types
de réponse que peut rétorquer un homme suivant son caractère face à une femme dénuée de sens. Ces caractères seront celui de
l’homme soumis ( HS ) ; l’homme prudent et malin ( HPM ) et de l’homme macho en puissance ( HMP) :
Femme (F ) : " je peux prendre la voiture ? "
HS : " Bien sûr "
HPM : " je ne sais pas si tu le sais mais la marche est conseillée
pour une bonne santé "
HMP : "Impossible, tu as le gène de l’accident "
(F ) : " J’aimerais faire de l’équitation, c’est un peu cher mais
j’adore le cheval "
HS : " Quelle idée formidable, je t’achète un ranch ! ! "
HPM :" C’est dangereux, achète plutôt un poisson rouge si tu
aimes les animaux"
HMP : " Tout ce que tu as du cheval , c’est la culotte "
(F ) : " Chéri, est ce que tu peux faire les courses aujourd’hui ? "
HS : " C’est déjà fait "
HPM : " Désolé mais j’ai un peu mal au dos "
HMP : " Et puis quoi encore, tu veux que fasse le repas et que je
repasse mes chemises "
(F ) : " On peut regarder autre chose que le foot ? "
HS : " Tu veux voir un film d’amour ? "
HPM : " Mince, la télécommande ne marche plus "
HMP : " Si tu veux, je viens justement de louer un film de cul "
(F ) : " J’ai invité ma mère à manger, ce soir "
HS : " Splendide, je fais le repas et on sort le champagne ! "
HPM : " Quel dommage, je viens à peine de commencer un
régime "
HMP : " Super, c’est justement le jour du nettoyage de mon fusil
(chargé ! ) "
(F ) : " C’est quoi cette odeur sous le lit ? "
HS : "Excuse-moi, mais ne me frappe pas, s’il-te-plait "
HPM : " C’est pas moi, le chien est venu dormir cette après-midi "
HMP : " Oh putain mon ventre, et c’est pas le dernier, j’ai encore
un gros monstrueux qui arrive ! "
(F ) : " J’ai la migraine ce soir"
HS : " Oh la pauvre, 5 ans de migraine, qu’est-ce que ça doit être
dur pour elle "
HPM : " J’ai justement un peu d’aspirine avec moi "
HMP : " Et alors !, t’as pas des hémorroïdes que je sache "
A bientôt, Guilhem ( et pas Guy-M, Abou de blague )
Î
Comme vous l’aurez compris c’est la fin de l’année et donc par la même occasion la fin de ma brillante collaboration à ce
journal. J’entends déjà d’ici les cris et les pleurs de mes nombreux admirateurs mais qu’ils se rassurent je suis sure que l’an prochain
quelqu’un d’autre se dressera pour défendre l’honneur des femmes du monde entier (on commencera peut-être par celles de la fac).
Traduction : moi je prends ma retraite mais je compte sur vous les filles et sur les futures P2 pour prendre la suite et leur défoncer leur
tronche de…. Oops je m’égare. Plus sérieusement pour bien terminer cette année je vous propose un tir groupé de quelques petites
histoires à faire frissonner de peur ou d’autre chose sous les couettes le soir. A consommer sans modération !!!
M Les hommes c’est comme de l’essence : des pieds à la ceinture c’est du super, de la ceinture aux épaules c’est de
l’ordinaire et au-dessus c’est du sans plomb
MLes femmes ont besoin de 4 animaux pour être heureuses :
- 1 jaguar dans le garage,
- 1 vison dans l’armoire,
- 1 lion dans le lit
- …et un âne qui peut payer les factures.
En réalité, elles ont :
- 1 panda dans le garage,
- 1 chatte dans l’armoire,
- 1 cochon dans le lit,
- …et un âne qui peut payer les factures.
MCombien d’hommes faut-il pour changer une ampoule ? On le saura dès que l’un d’entre eux voudra bien se lever pour le faire.
MLes hommes sont comme la température : rien à faire pour les changer.
MComment appelle-t-on un homme intelligent, sensible et beau ? Une rumeur.
MLes mecs, c’est comme les brioches : au bout d’un moment, çà gonfle.
MOn ne frappe pas un homme avec des lunettes … mais avec une batte de base-ball.
MQuelle est le point commun entre les hommes et les spermatozoïdes ? Pour tant de millions il n’y en a qu’un qui sert.
MLes hommes c’est comme les grenouilles, çà ne pense qu’à sauter.
MComment appelle-t-on un ensemble de mecs dans une piscine ? Une soupe aux légumes.
MLes hommes c’est comme du chewing-gum : au début c’est bon et après çà colle.
MComment savoir quand un homme va dire quelque chose d’intelligent ? Sa phrase commence par « Ma femme m’a dit que… »
MQuel est le livre le moins épais du monde ? « Ce que les hommes savent des femmes »
MLes hommes sont comme le mascara : ils disparaissent au moindre signe d’émotion (Rq pour les mecs : le mascara c’est cette espèce
de brosse noire que les femmes se passent sur les cils pour les épaissir et qui passe son temps à couler si on pleure)
MQuelle est la différence entre un homme et une grenouille ? Le « gre ».
Enfin une petite dernière pour réconcilier tout le monde :
Y Dieu a créé les femmes belles et stupides : belles pour que les hommes puissent les aimer et stupides pour qu’elles puissent aimer
les hommes.
Oh et puis zut, je ne résiste pas : une toute petite dernière !
Y Ça se passe pendant un cours de philo. La prof rappelle à ses étudiants qu’ils doivent lui rendre un devoir pour le lendemain matin :
« aucun retard ni aucune excuse ne seront acceptés ». A ce moment une main se lève et le Don Juan de la salle : « Même pour cause
d’activité sexuelle trop intense ? ». Tout l’amphi se marre, la prof aussi puis elle ajoute « c’est pas grave XXXX vous n’aurez cas écrire de
l’autre main ! »
Mais malgré tout cela vous savez bien qu’on vous aime et qu’on ne peut pas se passer de vous (ben oui faut bien quelqu’un pour sortir
les poubelles) c’est pour cela que je vous embrasse tous , M…. pour les exams et à l’année prochaine.
Adeline
ˇ
Ne vous fiez pas aux apparences... ce jour-là il ne s'est rien passé d'intéressant à la plage...
Cruelle désillusion...[parce que vous le valez bien]
Chers lecteurs,
Ayant eu vent de l'article final de mon antagoniste j'ai décidé moi aussi de reprendre une dernière fois la rubrique. J'aurais pu demandé
l'aide de misos réputés tels que Khaled ou bien Berge qui ont fait leur preuves mais j'ai préféré faire mieux et j'ai trouvé un article dans
"Ca m'intéresse" (un magazine scientifique) qui ne laissera pas de casser en 2 les blagues d'Adeline.
Adieu les femelles ! ;-)
PS: Souriez, Flo va reprendre la rubrique miso l'année prochaine (mais c'est une surprise, il ne le sait pas encore...)
« L’égalité des sexes » et la « Parité » sont des notions a la mode en périodes électorales. Il s’agit bien souvent de promesses
faites par des hommes politiques, avides de voix, à quelques excitées qui voient là l’occasion de remporter une victoire dans la guerre
des sexes, guerre qui fait rage dans tous les milieux y compris celui de l’humour. Qui n’a jamais entendu une blague misogyne ? Il y en a
à profusion puisqu’elles sont basées sur les défauts des femmes. Mais il existe aussi des blagues misandres qui jouent sur les défauts des
mâles. Mais qui en sont les auteurs ?
Margaret Simon, professeur de sociologie à l’université d’Harvard, a basé sa première thèse sur « les fondements
psychologiques de la scission sociale entre hommes et femmes ». Selon elle les histoires misogynes sont produites par des hommes et
proviennent à 75% d’anecdotes personnelles. Mais les blagues misandres ne seraient que de pales détournements de blagues misogynes
proférés par des femmes en manque d’imagination mais pas en manque de frustration. Par exemple « Les hommes c’est comme une
pompe à essence : des pieds au cou c’est super et au-dessus c’est du sans plomb » est, à l’origine, une blague misogyne. Les femmes
n’ont fait que remplacer « Ophélie Winter » par « Les hommes », bel effort d’imagination. Mais il y a pire selon elle. Il y a les histoires à
double tranchant du genre : « Une bonne définition d'un homme ? Un vibromasseur équipé d'un portefeuille ». La femme qui raconte ce
genre d’histoire passe pour une nymphomane cupide en manque, sans même s’en rendre compte.
Sur le plan de l’humour elles sont donc battues (d’ailleurs ne dit-on pas que le rire est le propre de l’HOMME). Il leur faudra trouver
d’autres armes moins subtiles pour contrer le sexe fort (peut-être le rouleau à pâtisserie...).
JC
Ca ne vous embête pas que dans "Tiens, Voilà du boudin",
on dise qu'il n'y en a plus pour les Belges ?
C'est bien ! On aura moins de cholestérol... IL faut beaucoup
marcher à la Légion, non ? Lean and clean...
Votre pire douleur physique ?
Eh bien, une douleur physique n'et pas tellement une douleur.
C'est une douleur qu'on oublie. Je crois que les douleurs mentales
sont beaucoup plus fortes; et si on met la douleur spirituelle... il
n'y en a pas ! Alors tout s'efface.
Donc il y a la douleur physique (primaire), la douleur mentale
(dont on se rappelle, les souvenirs de la vie), et puis il y a le spirit
(l'esprit), qui, lui, n'a aucune douleur puisque the final conclusion
of the spirit is perfection !
Très bien. “Van Damme”, c'est votre vrai nom ?
Non, c'est Jean-Claude Van Varenberg.
Et vos deuxièmes prénoms ?
François. Et Camille. C'est un beau prénom Camille, c'est old
fashion, non ? Ça respire le meuble de Provence, hein ?
C'est vrai. À part Van Damme, vous avez un pseudo de rêve
?
Eh bien, le rêve n'a pas vraiment de poids sur les mots... ou sur les
noms. Pour moi, le rêve – et pour tout le monde, même si les
gens ne le savent pas (et même s'ils ne le savent pas, ils le savent)
–, le rêve, it's a feeling, c'est une sensation, une sensation réelle
qui se produit si on veut.
Votre dernier rêve devenu réalité ?
Je ne voudrais pas rentrer dans des choses trop dimensionnelles
[ndp : non, pitié !], mais bon : j'ai fait le rêve de devenir acteur, je
suis devenu acteur... Et c'est bien ! [ndp : c'est bien ? ça, c'est toi
qui l'dit !]. Le plus grand rêve de l'homme est le rêve de création.
On est dans la vie pour pouvoir recréer un monde meilleur que
soi.
Avez-vous une religion officielle ?
[Gentiment ironique] Quelle belle question ! Là, on voit qu'on a
beaucoup à travailler sur nous-mêmes ! "Une religion officielle..."
[Il s'interrompt puis reprend assez fort] EST-CE QU'IL Y A UNE
LOI POUR L'AMOUR ?
Hmmm...
Pour te dire comme on a beaucoup à apprendre sur la vie ! la plus
belle religion qu'on puisse avoir, c'est de rentrer en soi-même et
de digérer l'essence de la vie, se digérer soi-même et produire à
partir de ça, sa propre religion : l'instinct. Et l'aboutissement de
l'instinct, c'est l'amour ! Il faut apprendre à aimer. S'aimer d'abord
soi-même pour pouvoir aimer les autres.
Comment vous définiriez-vous en deux mots ?
Définir quoi ?
Vous, votre personnalité...
Oh, myself ?
Yourself...
En deux mots.... "I am".
Pas mal. Vous avez combien sur vous ?
De money ? Rien pour l'instant, je suis en short et en espadrilles,
là... C'est le matin [il est 9h00 à LA]
Que faites-vous quand vous êtes tout seul dans un
ascenseur ?
Tout seul avec des gens, ou bien tout seul ? Parce qu'on est
toujours...
Non, seul, seul....
Donc, physiquement; parce que spirituellement, on est tous
ensemble, ok ?
Ok.
Parce que, dans l'ascenseur.... quand tu montes dans un
ascenseur, tu penses. À des tas de choses : à des créations, à des
gens, à des souvenirs... Donc on n'est jamais seul s spirituellement
!
Mais physiquement, "dans l'enveloppe", si je suis seul... eh bien...
je suis là. Et je reste là. Jusqu'à ce que les portes s'ouvrent... Et puis
je commence à marcher, je bouge mon enveloppe. Vers ma
mission de tous les jours... Voilà.
De quoi avez-vous la nostalgie ?
J'ai la nostalgie de l'enfance. Je trouve que l'enfance est très, très
belle. Et dans la manière dont on élève un enfant – qu'il soit mâle
ou female, hein ? –on peut retarder son processus de création, ce
que j'appelle son "bon côté". Parce qu'on donne aux enfants
beaucoup de règles et de rules; il y a de bonnes règles, de bonnes
rules, mais il y en a qui sont un peu... – on reviendra sur le mot –
"officielles". Et cette officialité peut vraiment retarder ce qui
devrait devenir... Mais c'est pas grave, il aura encore plus à se
battre ! Non seulement contre lui-même, contre la vie, mais aussi
contre les officialités de la vie, les religions et tout ça...
Mais pour en revenir à la question et à la nostalgie, j'ai eu une très
belle enfance malgré tout... j'ai été élevé du côté "campagne", en
dehors de Bruxelles. Et j'ai toujours grandi parmi les chiens.
Les chiens ?
J'ai beaucoup joué avec les chiens. J'ai toujours aimé le contact des
animaux. Pourquoi ? Par ce qu'il y avait beaucoup de feeling –
même en Français on fit feeling ? Les animaux ne parlent pas
trop[ndp : pas trop, juste un petit peu !], ils parlent (avec du
feeling), mais ils n'ont pas de langage pour nos trouilles à nous. En
revanche, il y a beaucoup de toucher et de contacts des yeux, des
choses vraiment sincères; et ça m'a vraiment beaucoup aidé que
de me développer avec des animaux autour de moi.
Là j'ai un chien en ce moment à côté de moi et je le caresse.
Il s'appelle comment ?
Georges !
Avez-vous un modèle ?
Oui ! Moi-même ! [ndp : ah ben tout s'explique !] Je suis mon
meilleur modèle parce que je connais mes erreurs, mes qualités,
mes victoires et mes défaites. Si je passe mon temps à prendre un
autre modèle comme modèle, comment veux-tu que ce modèle
puisse modeler dans la bonne ligne ?
OK : les enfants (ou les parents, ou ce que tu veux), quand ils me
voient à l'écran, ils peuvent pas copier ! Alors le meilleur modèle
qu'on peut avoir dans le vie, c'est soi-même ! Et ça, c'est un très,
très gros travail. Mais c'est un très beau travail ! On appelle ça un
travail de "création de nouveau", de "re-création". Physique et
mentale. C'est très, très beau d'avoir son propre moi-même.
Voici pour les fans de Tranxen 200, les magnifiques paroles de "Vice
et Versa" :
L'hémorragie de tes désirs s'est éclipsé sous la joue bleue dérisoire
du temps qui se passe, contre duquel on ne peut rien.
Être ou ne pas être,
telle est la question sinusoïdale de l'anachorète hypocondriaque.
Mais tu dis, mais tu dis, que le bonheur est irréductible,
Et je dis, et il dit, que ton espoir n'est pas si désespéré,
À condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être annihilé
par l'illusoire précarité de nos amours, destitués…
et vice et versa, et vice et versa.
Il faut que tu arriveras à laminer tes rancœurs dialectiques,
même si je suis con……vaincu que c'est très difficile.
Mais comme moi, dis-toi qu'il est tellement plus mieux d'éradiquer
les tentacules de la déréliction, et tout deviendra clair.
Mais tu dis, mais tu dis, que le bonheur est irréductible,
et je dis, et il dit, que ton espoir n'est pas si désespéré,
À condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être annihilé
par l'illusoire précarité de nos amours, destitués…
et vice et versa, et vice et versa.
D'où venons-nous, où allons-nous ? J'ignore de le savoir,
mais ce que je n'ignore pas de le savoir,
c'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
et que la simplicité réside dans l'alcôve bleue, et jaune, et mauve
et de soupçonner que nos rêveries mauves, et bleus, et jaunes,
et pourpres et paraboliques, et vise et versa.
Mais tu dis, mais tu dis, que le bonheur est irréductible,
Et je dis, et il dit, que ton espoir n'est pas si désespéré,
À condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être annihilé
par l'illusoire précarité de nos amours,
....et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité sous les aspérités
absentes et désenchantées .... et nos pensées iconoclastes et
désoxydées par nos désirs excommuniés de la fatalité,
destitués…
Et vice et versa, et vice et versa. Et vice et versa…
Il y a quelques années, une firme de sondage décida
d'effectuer un sondage d'envergure mondiale. La
question était la suivante: "Quelle est votre opinion sur
la pénurie d'aliments dans le reste du monde?"
Malheureusement, le sondage fut un flop, car la question
n'était pas formulée assez clairement : trop de mots
étaient imprécis.
- Ainsi, en Afrique, on ne savait pas ce que c'étaient des
aliments.
- En Europe de l'Ouest, on ne savait pas ce que c'était
une pénurie.
- En Europe de l'Est, on ne savait pas ce que c'était
qu'une opinion,
- et aux États-Unis, on ne savait pas ce que c'était que le
reste du monde...
Dans un bar, deux gars discutent :
- J'ai pas de chance, vraiment, une fille s'était plainte que
j'avais essayé de la violer dans ma voiture. J'ai été
condamné à une amende de 3000$, et quand le juge a vu
la fille, il m'a condamné à une amende de 1500$ de plus
pour conduite en état d'ébriété.
Ce week-end, avec quelques amis, nous devisions de
choses et d'autres lorsque l'un d'entre nous s'est exclamé
- Eh les gars, j'ai lu quelque part qu'il y avait des
hormones femelles dans la bière !
Nous, comme on aime bien les expériences, on a décidé
de tous boire une dizaine de bières. Après tout, la
science a aussi besoin de héros...
Au bout de nos dix bières, nous avions tous pris du
Deux gars dans un bar...
poids, nous parlions beaucoup pour ne rien dire, nous
- J'ai réécrit mon testament.
ne pouvions plus conduire correctement, il nous était
- Ah oui?
impossible de tenir un raisonnement simple, nous
- Je lègue tout à ma femme. Tout. Absolument tout, mais refusions obstinément de reconnaître que nous avions
à une condition.
tort même lorsque cela était évident et pour couronner
- Laquelle?
le tout, nous allions faire pipi toutes les 5 minutes.
- Qu'elle se remarie.
Nous pensons qu'il est inutile de pousser les tests plus
- Voyons!
loin...
- Oui, je veux qu'il y ait au moins un gars sur la terre qui
regrette mon départ.