Journées « nature pour tous : de l`école à la famille »

Journées « nature pour tous : de l’école à la famille »
10-11-12 octobre 2013
Journées parrainées par Jean-Marie Pelt, botaniste
Résumé des interventions du vendredi 11 octobre 2013
Conférence d’ouverture
Didier Hotte, sous-directeur chargé de la planification de la protection maternelle et infantile, et des
familles, représentant de l’élue Olga Trostiansky, adjointe au maire de Paris, chargée de la solidarité,
de la famille et de la lutte contre l’exclusion
Allain Bougrain-Dubourg, président de la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux), parrain de la
FCPN
"Découvrir la nature en famille est une idée heureuse et singulière.
"Si vous (FCPN) pouvez véhiculer la culture de la nature chez les jeunes, dans les familles, ça me
paraît indispensable."
Résumé des interventions
À l’occasion de ses 30 ans (novembre 2013), la Fédération des CPN (Connaître et Protéger la Nature)
met en place la création d’outils pédagogiques sur la nature à destination des familles. L’occasion de
discuter de la place et du rôle de la culture de la nature dans notre société en général, et au sein des
familles en particulier.
Atelier 1 – Les enfants dehors !
Animé par Fred Lisak (auteur et éditeur « Plume de Carotte »)
Quels sont les intérêts de l’instruction de nos enfants à la nature ? (Conférence) – 15
minutes environ
Quelle est l’importance de l’éducation nature ? Qui pour éduquer à la nature ? Quels sont les apports
(physiques, psychologiques, sociaux) de l’éducation à la nature sur nos enfants ?
Amélie Sander, vice-présidente FCPN, [email protected], www.fcpn.org
Ancienne formatrice d'enseignants, spécialiste des apprentissages, administratrice de longue date de
la FCPN, coordonne la commission production pédagogique de l’association.
Dans sa conférence, Amélie Sander revient sur les apports de l’éducation à la nature par la nature
dans la nature : acquisition du vocabulaire, stimulation de la mémoire… Agir dans la nature sollicite
toute la personne (aspect moteur mais aussi affectif). La nature apporte de nouvelles expériences et
de nouvelles sensations : « Beaucoup de nos enfants ne sont jamais sortis la nuit. »
« Dans la nature l'enfant développe son imaginaire avec les pieds sur terre tout en étant dans le
réel, pas le virtuel comme derrière un écran. La nature lui permet de faire ses expériences à partir de
ses propres découvertes. Le plus important étant encore de le laisser le jouer ! »
Comment aborder la nature ? Comment surmonter ses appréhensions ? – 45 minutes
environ
Comment amener les familles à sortir de chez elles et aller dans la nature ? De quelle nature parlonsnous (nature en ville ? plus large ?) ? Comment aider les familles à appréhender leur peur du dehors,
comment faire découvrir la biodiversité près de chez soi, comment surmonter ses craintes de ne pas
savoir (parents qui doutent de leur compétences) ?
Table ronde avec :
Odile Le Faou, chargée d’études (pôle médiation scientifique et communication de l’Observatoire
Départemental de la Biodiversité Urbaine), Tél. 01 43 93 69 61, [email protected], parcsinfo.seinesaint-denis.fr
Michaël Duclos, technicien et animateur nature au parc départemental Georges-Valbon, pôle
aménagement et développement durable, Bureau Accueil et Promotion, Service du Parc
Un événement organisé par
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10-11-12 octobre 2013
départemental Georges-Valbon, Direction de la Nature des Paysages et de la Biodiversité (DNPB),
Département de la Seine Saint-Denis (CG93), [email protected]
La mission principale des Bureaux Accueil et Promotion est de proposer un large programme annuel
d’actions d’éducation relative à l’environnement axées sur la découverte de la nature suivant trois
modalités d’animations proposées (Aide au montage de projet, Cycles d’animations, Animations
ponctuelles) dans les 8 parcs départementaux, les offres d’accueil sont avant tout réservées aux
classes (maternelles, élémentaires, collèges), au grand public (centres de loisirs, famille …).
Les thématiques cibles sont : la flore et les champignons, la faune, les milieux, le patrimoine et les
paysages et l’écologie urbaine.
Les animateurs mènent aussi d’autres actions transversales à contenu naturaliste en lien avec les
partenaires associatifs et spécialistes que sont les protocoles Vigie Nature (Sauvages de ma rue,
Propage, STOC, STELI).
Des formations ou initiations à ces outils ont lieu tout au long de l’année pour les éco-gardes ou plus
ponctuellement pour le grand public dans le cadre d’un événement annuel « 24 h pour la
biodiversité » porté par le département et l’ODBU.
Pour le Département de la Seine-Saint-Denis, il est tout à fait intéressant, lors de rencontres comme
les Journées « Nature pour tous », de partager les expériences acquises concernant l’éducation des
publics à la nature, au sein d’un réseau élargi, aux échelles régionale et nationale.
« Il faut « vendre » du rêve, de la curiosité. Il faut rester simple : c’est de la nature de proximité des
personnes qui vivent à côté. » Michaël Duclos
« On peut découvrir la nature sans en savoir beaucoup. Pour ma part, je ne suis pas naturaliste.»
Odile Le Faou par rapport à l’intérêt des sciences participatives en milieu urbain.
« Il faut s’appuyer sur les gens, sur leur vécu. »
François Lasserre, entomologiste et auteur (Au secours une bestiole, Toutes les bêtises sur la
nature que les grands racontent aux enfants, Comme vache qui pisse et autres expressions animales,
Les insectes en 300 questions/réponses), Graine Île-de-France, [email protected]
« C'est quoi la nature ? Si on vous posait la question, vous allez tous répondre quelque chose de
différent. » Dans son intervention, François Lasserre insiste sur l'importance du passeur de nature qui
n'a pas besoin de connaissances naturalistes : « moi, ce fut mon grand-père. Il n'avait aucune
connaissance naturaliste. Il me racontait des histoires, je n'ai jamais su si c'était vrai ou pas. Je
rentrais dans son univers. (…) Faire apprécier notre environnement, la nature, c'est plutôt en
compagnie de quelqu'un et de le laisser découvrir tout seul et de le laisser utiliser ses sens. » Il insiste
aussi sur la notion d'empathie : être en empathie avec les personnes déconnectées de la nature et les
prendre tels qu'ils sont et éviter le discours « il faut savoir que... » (apport de connaissances
théoriques au grand public) afin que la nature ne devienne pas une discipline.
Sarah Wauquiez, psychopédagogue (spécialisation promotion de la santé), recherches sur les effets
du contact régulier avec la nature pour le développement des jeunes enfants, auteure « Les enfants
dans les bois », institutrice primaire, formatrice d'adultes en éducation à l'environnement par la
nature, animatrice d'un jardin d'enfants en forêt, [email protected]
http://www.institut-eco-pedagogie.be/spip/spip.php?article407
« Ce n’est pas important de savoir surtout quand on est enfant. Transmettre son enthousiasme, sa
curiosité, son envie, son respect, c’est ça qui va rester. »
Amélie Sander, vice-présidente FCPN
Interventions dans la salle
« Ne pas trop en savoir et apprendre ensemble. » Karine Devot
« Il y a un moment où il faut développer des connaissances. Mais par quelle porte d’entrée ? Est-ce
qu’on ne devrait pas se remettre en cause [Les éducateurs nature] ? Où sont les passeurs (de
Un événement organisé par
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nature), les transmetteurs de sensibilité ? Devrions-nous former les gens dans la nature ? » François
Lenormand, concepteur d’outils pédagogiques et animateur d’un club CPN.
Note : les passeurs de nature sont les personnes qui éveillent au goût de la nature (ça peut être un
professeur passionné, un membre de la famille comme un grand-père). Elles ne sont pas forcément
spécialisées.
Atelier 2 – La vitamine verte
Animé par Jean-François Noblet, Journaliste Nature Environnement
Quels sont les impacts du contact régulier à la nature sur notre santé ? (Table ronde) – 45
minutes environ
Quels sont les « bienfaits » de la nature en tant que nature (et non la représentation de la nature) ?
Petit point sur les études menées et sur les différentes théories (nature-deficit disorder, Green vitamin
ou vitamine verte).
Effets bénéfiques de la nature sur notre santé psychologique
De nombreuses études ont montré que les personnes vivant à proximité d’espaces verts avaient moins
de risque de dépression, d’anxiété, de stress et leur humeur était améliorée.
L’homme a introduit des plantes dans son intérieur depuis plus de 5000 ans. Ces plantes n’avaient pas
pour fonction d’être source d’alimentation, mais étaient introduites pour le « plaisir ». La psychologie
tente de comprendre pourquoi l’Homme entretient une relation étroite avec les plantes, et tente de
comprendre les effets que ces plantes peuvent avoir sur lui, et notamment au niveau de sa santé
aussi bien physique et psychologique. Toutes les études proposées s’appuient sur la présence de
plantes ou non dans l’environnement immédiat des personnes. Les effets sont observés sans même
toucher les plantes, leurs simples présences suffisent à obtenir ces effets. Les études montrent par
exemple que les plantes peuvent faire baisser le temps d’hospitalisation (0,74 jour en moyenne), la
prise d’analgésique (de 13%), et même d’augmenter les défenses immunitaires (d’environ 10%). Le
simple fait d’ajouter des plantes dans une pièce peut faire baisser les petits tracas de santé (migraine
de 37%, toux de 4%, irritations de 30%), et augmenter la résistance à la douleur (de 20%).
Les plantes sont également source d’anti-stress, elles permettent aux élèves/étudiants d’avoir de
meilleures performances cognitives (mémorisation, fluence verbale, associations d’idées). En classe,
elles assurent un meilleur apprentissage, dans les bureaux elles font baisser l’absentéisme (en
moyenne 3,84 heures de moins) et augmente la productivité des salariés.
Pour terminer, la présence de plante permet d’être plus tournés vers les autres que vers soi-même.
Effets bénéfiques de la nature sur notre santé physique
La nature est utilisée depuis quelques années comme outils thérapeutiques dans les hôpitaux,
notamment pour les patients atteints de maladies neuro-dégénératives comme la maladie d’Alzheimer.
Des jardins sont alors mis en place dans les établissements de soins afin de stimuler et solliciter les
mécanismes cognitifs des patients. Et les résultats sont plutôt encourageants : l’état de santé des
patients s’améliore…
Table ronde avec :
Jennifer Mahérou, chargée de documentation scientifique à l’Association santé environnement
France, Tél. 04 88 05 36 15, [email protected], www.asef-asso.fr
Qu’est-ce que l’Asef ? L'Association Santé Environnement France, qui rassemble aujourd'hui près de
2 500 médecins en France, est devenue incontournable sur les questions de santé-environnement.
Fondée en 2008 par deux médecins le Dr Halimi et le Dr Souvet, l’association a pour objectif
d’informer et de sensibiliser le grand public sur les impacts des pollutions sur notre santé. Elle travaille
sur tous les sujets en lien avec la santé et l'environnement: qualité de l'air, ondes électromagnétiques,
biodiversité, alimentation, etc. ainsi qu’aux effets bénéfiques de la nature sur notre santé mentale,
mais aussi physique. Dans sa démarche d'information, l'ASEF réalise des études, des enquêtes,
organise des conférences (Santé et biodiversité, 2011), publie des petits guides bio-thématiques
(« Notre santé et la biodiversité ») et répertorie toute l'actu santé-environnement sur son site
internet!
Un événement organisé par
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L’Asef a accepté de participer à ce colloque pour sensibiliser le public en lui montrant que la nature est
une véritable source de bien-être et que l’homme a d’être en contact avec elle pour se ressourcer.
Jordy Stefan, UFR DSEG, Université Bretagne Sud, [email protected]
Spécialisé dans les comportements d’influence, il a intégré le CRPCC-LESTIC en 2011. Il a alors
commencé à travailler sur l’influence des plantes sur le comportement (par exemple, sur le jugement
d’une eau minérale en présence ou non d’une plante verte). Actuellement, il travaille sur sa thèse
« Influence d’un environnement floral et de plantes d’intérieur sur le jugement perceptif d’aliments et
les préférences alimentaires ». Cette thèse est sous la direction de M. Guéguen Nicolas co-auteur du
livre « Pourquoi la nature nous fait du bien » chez Dunod.
Il a accepté de participer à ces journées car « la recherche n’a d’intérêt que si elle est partagée avec
le plus grand nombre. De plus, au travers des discussions et échanges qui vont avoir lieu lors de cette
présentation, des solutions ou des idées de recherches peuvent émerger. »
Questions soulevées : Les plantes ont des effets démontrés par la recherche en psychologie,
cependant les explications restent faibles. Comment expliquer la puissance de ces effets sachant que
certains d’entre eux sont obtenus au travers d’une fenêtre ou par le biais d’une simple photo ?
Quels sont les bienfaits des plantes qui ne sont pas encore mis au jour ?
Sarah Wauquiez, psychopédagogue, auteure « Les enfants dans les bois »,
[email protected]
Interventions dans la salle
Quentin Rouy, président de la FCPN : « 80% des français vivent en ville : est-ce qu’il est possible
d’être heureux et en bonne santé en milieu urbain ? »
Jordy Stefan : « Cela dépend réellement de la sensibilité et du vécu de chacun. Je crois qu’on peut
être très heureux en ville, et très malheureux en campagne. »
CPN Val de Seine : « Le problème est d’opposer systématiquement la ville et la campagne. Par
exemple, la pollution existe en ville aussi bien qu’à la campagne mais elle est différente. »
À propos de l’accessibilité de la nature par tous, Sarah Wauquiez : « La nature dans l’idée des gens
ce serait une forêt sans actions de l’homme. Pourtant un parc est suffisant. »
Atelier 3 – Nature en famille
Animé par François Lasserre, entomologiste et auteur
Quelle est l’importance du cadre familial pour l’apprentissage des comportements ?
Comment les parents peuvent-ils intervenir auprès de leurs enfants ? Quels sont les avantages et
inconvénients de l’instruction en famille, les contraintes de l’instruction en famille ? L’importance du
faire ensemble.
Confirmation et précision de quelques intuitions par des études scientifiques et des conclusions de
recherches en psychologie actuelle :
beaucoup de comportements acquis prennent racines dès le plus jeune âge, via l'éducation
parentale, mais aussi (surtout), par imprégnation du vécu familial
les comportements de respect de l'environnement, du monde... doivent se forger
principalement dès le plus jeune âge, plutôt dans le contexte familial, via une immersion, un
contact régulier avec la nature.
On constate de plus en plus qu'à l'école, l'éducation à l'environnement et au développement
durable se pratique alors même que les enfants n'ont plus que rarement ce contact avec la
nature, cette empathie pour la nature et que cela pose problème. On se dit également que
l'éducation formelle est peu adaptée à créer cette empathie pour la nature, parce que elle se
base rarement sur des notions de plaisir partagés.
Intuitions fondées sur l'expérience (et la théorie) en psychopédagogie ou idées reçues ?
Sarah Wauquiez, psychopédagogue, auteure « Les enfants dans les bois »,
[email protected]
Un événement organisé par
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L'éducation à la nature par la nature est sa profession et sa passion ; après une intervention auprès
des CPN sur le thème du développement des enfants entre 3 et 6 ans, la FCPN lui a demandé de
participer à ce colloque.
Questions soulevées : Et les enfants qui n'ont pas la possibilité de vivre la nature avec leurs parents ?
Les études montrent aussi d'autres possibilités que la famille au niveau de l'apprentissage d'un
comportement respectueux envers la nature.
À travers sa conférence, Sarah Wauquiez évoque les différents facteurs qui peuvent intervenir
efficacement à l'élaboration d'un comportement respectueux de l'environnement : un contact précoce
avec la nature, un contact régulier dans un même lieu (un lieu familier, un lieu aimé), des expériences
directes et positives dans la nature en utilisant tous ses sens (par le jeu) et avec des proches...
Comment développer une politique de découverte de la nature en famille ? (Table ronde)
– 45 minutes environ
Comment communiquer auprès des enfants et de leurs parents (format, angle, approche), comment
mettre en pratique sur le terrain, susciter l’intérêt et le maintenir ?
Table ronde avec :
Fred Lisak, journaliste, auteur et éditeur « Plume de carotte », [email protected],
www.plumedecarotte.com
Ce boulimique de travail change de casquettes au rythme de ses projets, au fil de ses idées…
Tour à tour éditeur, journaliste, animateur nature ou chroniqueur radio, il trouve parfois le temps de
se mettre à l’écriture, notamment pour Mon jardin de poche (paru en 2001), La Nature à notre porte
(2004), Devenons écocitoyens (2004), Le Jardin de Fred (2006)… et une quinzaine d’autres ouvrages
parus chez Milan et Casterman. Ce passionné de flore et de faune (il faillit devenir vétérinaire) a créé
les éditions Plume de carotte, à Toulouse, au printemps 2001.
www.plumedecarotte.com/auteur.php?id=18
« Prenons l’exemple du pissenlit. Le pissenlit a 8, 9 dimensions [le végétal, l’aliment, le « jouet »
lorsqu’on souffle sur le fruit…] qui nous parle, qui raconte des histoires humaines. Pour redonner le
goût de la nature, il faut retracer l’histoire humaine, des histoires qui nous concernent. »
Antoine Cassard-Laffon, chargé de projet à la Direction des familles et de la Petite Enface (DFPE)
« Mission familles » (Ville de Paris), Tél. 01 43 47 78 96, [email protected]
Après avoir été éducateur « nature » en milieu urbain où il su développer des outils permettant à
chacun de mieux connaître son milieu de vie, il fut jusqu’en janvier 2013 chargé de projets à l’Agence
d’écologie urbaine de la direction des Espaces Verts et de l’Environnement de la Ville de Paris (mise en
œuvre de structures d’éducation à l’environnement (Paris-Nature), mise en œuvre du programme
« Main Verte » des jardins partagés Parisiens, élaboration du dispositif de mobilisation des Parisiens
autour du développement durable : « Les acteurs du Paris durable »). Il travaille à présent à « Mission
familles » où il suit des les projets visant à accompagner la parentalité à Paris : Paris Collèges
Familles, parrainage de proximité, soutien aux familles monoparentales, ludothèques…
Objectifs de la Mission Familles :
- Mieux connaître et mieux faire connaître à l’ensemble de la collectivité parisienne les réalités,
les besoins, les attentes et les usages des familles parisiennes
- Améliorer le dispositif global d’informations destinées aux familles et simplifier leur quotidien
- Valoriser et renforcer le développement d’actions de proximité qui accompagnent la fonction
parentale et les liens parents enfants
Isabelle Rogez, rédactrice en chef de Wapiti, [email protected], www.wapiti-magazine.com
Isabelle Rogez : « Une même sortie nature ne sera pas vécue de la même façon par les différents
membres donc accepter le principe que chacun va ramener quelque chose de différents. On pourrait
créer un site ensemble et faire des conducteurs de nature [sur le modèle des sites de covoiturage]
François Lasserre : « Un site de co-naturage »
Un événement organisé par
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Journées « nature pour tous : de l’école à la famille »
10-11-12 octobre 2013
François Lenormand, vice-président FCPN, concepteur d’outils pédagogiques, formateur Cardere
« Passer par la famille pour renouer le contact avec la nature. Il suffit de passer par le jeu, la
balade… on n’a pas forcément besoin d’animer. »
Sarah Wauquiez, psychopédagogue, auteure « Les enfants dans les bois »,
[email protected]
Interventions dans la salle
Odile Le Faou : « Il faut revaloriser la nature de proximité et en particulier la nature urbaine. »
La politique familiale de la Fédération des CPN (Connaître et Protéger la Nature)
Présentée par Quentin Rouy, président FCPN, [email protected] et Olivier Goubault, directeur
FCPN, [email protected]
Conférence de fermeture
François Letourneux, président de la Fête de la nature et parrain de la FCPN
Quentin Rouy, président de la FCPN
Un événement organisé par
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