Agroforesterie: les hauts et les bas du mariage arbre
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Agroforesterie: les hauts et les bas du mariage arbre
Agroforesterie: les hauts et les bas du mariage arbre-culture L’agroforesterie consiste à associer étroitement des arbres et des cultures, et parfois aussi des animaux d’élevage, sur une même terre. Elle fournit un large éventail de biens et services écologiques dont la production peut être optimisée par la compréhension et la maîtrise des interactions aériennes et souterraines entre arbres et cultures. Le développement de l’agroforesterie à grande échelle au Québec fait face à plusieurs défis dont la reconnaissance, le financement et l’acquisition de connaissances. David Rivest David Rivest est professeur régulier au département des sciences naturelles de l’Université du Québec en Outaouais et chercheur à l’Institut des Sciences de la Forêt tempérée depuis août 2013. Il est diplômé de l’Université Laval en biologie végétale (Ph.D., 2008), en agroforesterie (M.Sc., 2004) et en aménagement et environnement forestier (B.Sc., 2001). Il a réalisé des stages post-doctoraux en écologie, un à l’Universidad de Extremadura, en Espagne et l’autre à l’Université du Québec à Montréal. Il a aussi travaillé à Agriculture et Agroalimentaire Canada à titre de spécialiste en agroforesterie. Ses intérêts de recherche sont orientés vers les relations plante-sol, en particulier dans les systèmes agroforestiers.