Le virus HIV

Transcription

Le virus HIV
Notions de Virologies :
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
 Qu’est ce qu’un virus ?
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
 Qu’est ce qu’un virus ?
 Interactions virus/hôte: (illustration a partir d’un exemple : le virus HIV)
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
 Qu’est ce qu’un virus ?
 Interactions virus/hôte: (illustration a partir d’un exemple : le virus HIV)
• Comment le virus se réplique ?
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
 Qu’est ce qu’un virus ?
 Interactions virus/hôte: (illustration a partir d’un exemple : le virus HIV)
• Comment le virus se réplique ?
• Mécanismes de défense de l’hôte et échappement du HIV au
contrôle par l’hôte.
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Notions de Virologies :
 Pourquoi travailler sur les virus ?
 Qu’est ce qu’un virus ?
 Interactions virus/hôte: (illustration a partir d’un exemple : le virus HIV)
• Comment le virus se réplique ?
• Mécanismes de défense de l’hôte et échappement du HIV au
contrôle par l’hôte.
• Comment peut on mettre en place des stratégies antivirales
efficaces ?
Etienne DECROLY AFMB/MARSEILLE
Principales causes de mortalité dans le monde
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
2003- SARS coronavirus
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
2003- SARS coronavirus
2003- Monkeypox: USA
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
2003- SARS coronavirus
2003- Monkeypox: USA
2005- Marburg virus (Ebola): Angola
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
2003- SARS coronavirus
2003- Monkeypox: USA
2005- Marburg virus (Ebola): Angola
2005- Japanese encephalitis: India
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the Red sea…
2003- SARS coronavirus
2003- Monkeypox: USA
2005- Marburg virus (Ebola): Angola
2005- Japanese encephalitis: India
2005- Chikungunya virus: La Réunion, Indian ocean
> 9 virus ont « bougé » en 10 ans
1994- West-Nile virus: N Africa, Roumania, then USA (1999)
1997- H5N1: Honk-Kong, Viet-Nam
1997- Nipah virus: Malaysia
NE
W Red sea…
2000- Rift-Valley fever virus: crossed the
NE
2003- SARS coronavirus
W
2003- Monkeypox: USA
2005- Marburg virus (Ebola): Angola
2005- Japanese encephalitis: India
2005- Chikungunya virus: La Réunion, Indian ocean
Définition des virus
Définition des virus
Travail individuel :
Définition des virus
Travail individuel :
• en 5 minutes tenter de définir la notion de virus
Définition des virus
Travail individuel :
• en 5 minutes tenter de définir la notion de virus
• identifier les étapes putativement ciblées par des antiviraux
Définition des virus
Travail individuel :
• en 5 minutes tenter de définir la notion de virus
• identifier les étapes putativement ciblées par des antiviraux
Travail collectif :
Définition des virus
Travail individuel :
• en 5 minutes tenter de définir la notion de virus
• identifier les étapes putativement ciblées par des antiviraux
Travail collectif :
•Définir la notion de virus
Définition des virus
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.

ribosomes.
Ils ne possèdent pas d’appareil de traduction, ni de
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.

Ils ne possèdent pas d’appareil de traduction, ni de
ribosomes.

Ils ne possèdent pas d’information génétique relative au
métabolisme énergétique.
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.

Ils ne possèdent pas d’appareil de traduction, ni de
ribosomes.

Ils ne possèdent pas d’information génétique relative au
métabolisme énergétique.

ils sont capables de perturber l’information génétique des
cellules qu’ils infectent (mais ne provoquent pas obligatoirement la mort
cellulaire).
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.

Ils ne possèdent pas d’appareil de traduction, ni de
ribosomes.

Ils ne possèdent pas d’information génétique relative au
métabolisme énergétique.

ils sont capables de perturber l’information génétique des
cellules qu’ils infectent (mais ne provoquent pas obligatoirement la mort
cellulaire).

Ce sont des organismes inertes en dehors d’une cellule
vivante.
Définition des virus
• Des objets biologiques, particulaires, de structure organisée.
• Infectieux, subcellulaires, doués de continuité génétique.
• Constitués au minimum d’un acide nucléique (ARN ou ADN) et de
protéines. (soit l’ARN; soit l’ADN ; jamais les deux)
• Ils sont des parasites intracellulaires absolus, et leur réplication
dépend de la cellule hôte.

Ils ne possèdent pas d’appareil de traduction, ni de
ribosomes.

Ils ne possèdent pas d’information génétique relative au
métabolisme énergétique.

ils sont capables de perturber l’information génétique des
cellules qu’ils infectent (mais ne provoquent pas obligatoirement la mort
cellulaire).

Ce sont des organismes inertes en dehors d’une cellule
vivante.

Ils sont capables de se transmettre de cellule à cellule. Tout
Corollaire
Corollaire
Certains composants du monde vivant ne sont pas des virus,
mais s‘en rapprochent :
Corollaire
Certains composants du monde vivant ne sont pas des virus,
mais s‘en rapprochent :
• les organites cellulaires (en particulier les
mitochondries).
Corollaire
Certains composants du monde vivant ne sont pas des virus,
mais s‘en rapprochent :
• les organites cellulaires (en particulier les
mitochondries).
• les éléments génétiques mobiles formés d’ADN ?
(les plasmides et transposons)
Corollaire
Certains composants du monde vivant ne sont pas des virus,
mais s‘en rapprochent :
• les organites cellulaires (en particulier les
mitochondries).
• les éléments génétiques mobiles formés d’ADN ?
(les plasmides et transposons)
• les viroïdes responsables de pathologies chez les
végétaux.
Corollaire
Certains composants du monde vivant ne sont pas des virus,
mais s‘en rapprochent :
• les organites cellulaires (en particulier les
mitochondries).
• les éléments génétiques mobiles formés d’ADN ?
(les plasmides et transposons)
• les viroïdes responsables de pathologies chez les
végétaux.
• les prions (agents transmissibles non
conventionnels).
Le virus HIV :
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
• Organisation des particules virales
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
• Organisation des particules virales
• Le cycle réplicatif du HIV et cibles
thérapeutiques
Le virus HIV : Introduction historique
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
1983
1983

Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
1983
1983


des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
L. Montagnier / R. Gallo : identification du rétrovirus (LAV/HTLVIII, HIV)
–
Biopsie ganglionnaires
–
Contrairement au HTLV1-1 qui immortalise les cellules (oncorétrovirus) il tue les Lymphocytes TCD4
(lentivirus)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
1983
1983


Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
L. Montagnier / R. Gallo : identification du rétrovirus (LAV/HTLVIII, HIV)
–
Biopsie ganglionnaires
–
Contrairement au HTLV1-1 qui immortalise les cellules (oncorétrovirus) il tue les Lymphocytes TCD4
(lentivirus)

des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Voie d ’entrée = récepteur CD4 (  des cellules CD4+)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
1983
1983


des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
L. Montagnier / R. Gallo : identification du rétrovirus (LAV/HTLVIII, HIV)
–
Biopsie ganglionnaires
–
Contrairement au HTLV1-1 qui immortalise les cellules (oncorétrovirus) il tue les Lymphocytes TCD4
(lentivirus)

Voie d ’entrée = récepteur CD4 (  des cellules CD4+)

Découverte du HIV-2 (F. Clavel) (moins pathogène/ Afrique de l’ouest)
Le virus HIV : Introduction historique

1981 : CDC Atlanta
Pneumocystis carinii
Sarcome de Kaposi
Infections opportunistes
1983
1983


des cellules blanches
(TCD4 < 500)
Immunodépression?
Sexuelle
Transmission :
Sanguine
Mère enfant
Syndrome d ’immunodéficience Acquise (SIDA)
L. Montagnier / R. Gallo : identification du rétrovirus (LAV/HTLVIII, HIV)
–
Biopsie ganglionnaires
–
Contrairement au HTLV1-1 qui immortalise les cellules (oncorétrovirus) il tue les Lymphocytes TCD4
(lentivirus)

Voie d ’entrée = récepteur CD4 (  des cellules CD4+)

Découverte du HIV-2 (F. Clavel) (moins pathogène/ Afrique de l’ouest)

Pandémie mondiale (+ de 40 millions de personnes infectées).
Etat actuel de l’épidémie (1)
Etat actuel de l’épidémie (1)
Etat actuel de l’épidémie (2)
Etat actuel de l’épidémie (2)
Etat actuel de l’épidémie (3)
Etat actuel de l’épidémie (3)
Etat actuel de l’épidémie (4)
Etat actuel de l’épidémie (4)
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
• Nouveaux cas d'infection à HIV en 2001 : 5 000
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
• Nouveaux cas d'infection à HIV en 2001 : 5 000
• Cas de SIDA déclarés depuis le début de l’épidémie : 54 781
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
• Nouveaux cas d'infection à HIV en 2001 : 5 000
• Cas de SIDA déclarés depuis le début de l’épidémie : 54 781
• Décès dus au SIDA en 2001: 409
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
• Nouveaux cas d'infection à HIV en 2001 : 5 000
• Cas de SIDA déclarés depuis le début de l’épidémie : 54 781
• Décès dus au SIDA en 2001: 409
• Décès dus au SIDA depuis le début de l’épidémie : 32 119
Etat actuel de l’épidémie en FRANCE (5)
Situation en 2004 - (source : rapport delfraisy)
• Personnes vivant avec le HIV/SIDA : entre 60 000 et 176 000
• Nouveaux cas d'infection à HIV en 2001 : 5 000
• Cas de SIDA déclarés depuis le début de l’épidémie : 54 781
• Décès dus au SIDA en 2001: 409
• Décès dus au SIDA depuis le début de l’épidémie : 32 119
• 60% des cas traiter = succes virologique
20 ans de lutte contre le VIH
20 ans de lutte contre le VIH
1981
1982
1983
1987
1996
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
1982
1983
1987
1996
2004
Alerte sanitaire aux USA
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
1987
1996
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
1996
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
Premier anti-rétroviral, l’AZT
1996
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
Premier anti-rétroviral, l’AZT
Premiers cas de résistance à l’AZT
1996
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
Premier anti-rétroviral, l’AZT
1996
Premiers anti-protéases
Premiers cas de résistance à l’AZT
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
Premier anti-rétroviral, l’AZT
1996
Premiers anti-protéases
Premiers cas de résistance à l’AZT
Apparition de virus multirésistants
2004
20 ans de lutte contre le VIH
1981
Alerte sanitaire aux USA
1982
« SIDA »
1983
Isolement du VIH-1
1987
Premier anti-rétroviral, l’AZT
1996
Premiers anti-protéases
Premiers cas de résistance à l’AZT
Apparition de virus multirésistants
Situation dramatique en Afrique
2004 20 millions de morts du SIDA
40 millions de personnes infectées
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
• Organisation des particules virales
• Le cycle réplicatif du HIV et cibles
thérapeutiques
Histoire naturelle de l’infection HIV
Histoire naturelle de l’infection HIV
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
4 phases :
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
4 phases :
– La contamination
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
4 phases :
– La contamination
– La primo-infection
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
4 phases :
– La contamination
– La primo-infection
– L’infection asymptomatique
Histoire naturelle de l’infection HIV
Evénements cliniques et biologiques se
manifestant en dehors de toute
intervention thérapeutique
4 phases :
– La contamination
– La primo-infection
– L’infection asymptomatique
– La maladie
I - La contamination
Voies de contaminations :
Sexuelle
Sanguine
Mère enfant
I - La contamination
Voies de contaminations :
Sexuelle
Sanguine
Mère enfant
• Le virus gagne les ganglions lymphatiques où il se multiplie.
I - La contamination
Voies de contaminations :
Sexuelle
Sanguine
Mère enfant
• Le virus gagne les ganglions lymphatiques où il se multiplie.
• Pas de test biologique capable de prouver la présence du
virus.
I - La contamination
Voies de contaminations :
Sexuelle
Sanguine
Mère enfant
• Le virus gagne les ganglions lymphatiques où il se multiplie.
• Pas de test biologique capable de prouver la présence du
virus.
• En cas de contamination suspectée, il existe un traitement
d’urgence:
I - La contamination
Voies de contaminations :
Sexuelle
Sanguine
Mère enfant
• Le virus gagne les ganglions lymphatiques où il se multiplie.
• Pas de test biologique capable de prouver la présence du
virus.
• En cas de contamination suspectée, il existe un traitement
d’urgence:
trithérapie devant être débutée dans les 24 h suivant l’acte
contaminant et pendant un mois.
Résumé
Cellules T CD4+
Taux relatifs
Cellules T CD8+
Anticorps anti-HIV-1
ARN viral
Virus infectieux
0
a:
1
2
1
2
3
4
5
6
7
8
Temps en mois
Temps en années
Primo-infection
Phase asymptomatique clinique
9
10
11
12
Symptomatique
(SIDA)
Histoire naturelle de l’infection
Histoire naturelle de l’infection
Phase
asymptomatique
Histoire naturelle de l’infection
VIRUS
IMMUNITÉ
1010 virus
fabriqués/jour
Elimination
quotidienne
des virus
Destruction
continue
des cellules CD4+
Régénération
accélérée des
cellules CD4+
Phase
asymptomatique
Histoire naturelle de l’infection
VIRUS
IMMUNITÉ
1010 virus
fabriqués/jour
Elimination
quotidienne
des virus
Destruction
continue
des cellules CD4+
Régénération
accélérée des
cellules CD4+
Phase
asymptomatique
Plusieurs années
Histoire naturelle de l’infection
IMMUNITÉ
VIRUS
IMMUNITÉ
VIRUS
1010 virus
fabriqués/jour
Elimination
quotidienne
des virus
Destruction
continue
des cellules CD4+
Régénération
accélérée des
cellules CD4+
Phase
asymptomatique
Plusieurs années
Destruction des
cellules T CD4+
Apparition de
maladies
opportunistes
Histoire naturelle de l’infection
IMMUNITÉ
VIRUS
IMMUNITÉ
VIRUS
1010 virus
fabriqués/jour
Elimination
quotidienne
des virus
Destruction
continue
des cellules CD4+
Régénération
accélérée des
cellules CD4+
Phase
asymptomatique
Plusieurs années
Destruction des
cellules T CD4+
Apparition de
maladies
opportunistes
SID
A
SCHEMA SIMPLIFIE DU DEROULEMENT CINETIQUE
DES REPONSES ANTIVIRALES
Réponses
Immunitaires
innées
Rapides,
peu diversifiées, spécificité dégénérée, efficacité restreinte
pas de mémoire
Réponses
lentes,
Immunitaires très diversifiées, spécificité haute, efficacité forte
adaptatives
mémoire
Les responses immunitaires aux virus :
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
–
ligands de NKG2D, IFN-α/β …
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
–
ligands de NKG2D, IFN-α/β …
– Système immunitaire adaptif:
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
–
ligands de NKG2D, IFN-α/β …
– Système immunitaire adaptif:
• Lymphocytes T CD8 (lyse des cellules infectées), LT CD4,
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
–
ligands de NKG2D, IFN-α/β …
– Système immunitaire adaptif:
• Lymphocytes T CD8 (lyse des cellules infectées), LT CD4,
• Lymphocytes B: anticorps (neutralisants, facilitants, ADCC)
Les responses immunitaires aux virus :
– Immunité Intrinsèque
• défenses antivirales cellulaires : restrictions
–
Apobec3G, FV1, Ref1, Trim5 etc..
– Immunité Innée immédiate
• défenses antivirales cellulaires
–
–
–
interférence ARN (destruction des mRNA)
,Voies de la PKR (apoptose et inhibition traduction)
Voies TOL Mda5, de Rig-I et DAI …
• émission de signaux de dangers
–
ligands de NKG2D, IFN-α/β …
– Système immunitaire adaptif:
• Lymphocytes T CD8 (lyse des cellules infectées), LT CD4,
• Lymphocytes B: anticorps (neutralisants, facilitants, ADCC)
– Effets néfastes pour l’hôte: immunopathologie
Pathogénèse du HIV
Pathogénèse du HIV
VIRUS
Défenses de l’hôte
Pathogénèse du HIV
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
Pathogénèse du HIV
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
Plusieurs années
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
• Disfonctionnement du SI
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
• Disfonctionnement du SI
• Contrôle de l’immunité innée
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
• Disfonctionnement du SI
• Contrôle de l’immunité innée
• Effet cytopathogène
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
• Disfonctionnement du SI
• Contrôle de l’immunité innée
• Effet cytopathogène
• cyncitas
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Pathogénèse du HIV
Défenses de l’hôte
VIRUS
Défenses de l’hôte
Phase
asymptomatique
VIRUS
Plusieurs années
SID
A
VIRUS
• Efficacité réplicative du virus
• Echappement au SI
• Cellules cibles : CD4
• contrôle de la variabilité
• hyper glycosylation
• AC facilitants
• Latence
• Disfonctionnement du SI
• Contrôle de l’immunité innée
• Effet cytopathogène
• cyncitas
Défenses de l’hôte
• Contrôle par le SI
•Anticorps
•Cellules T cytotoxiques
• Défense cellulaire (immunité innée et intrinsèque)
• Apobec 3G
• contrôle de l’uracilation de L’ADN
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
• Organisation des particules virales
• Le cycle réplicatif du HIV et cibles
thérapeutiques
Structure du virion
Structure du virion
Particule virale
immature
Particule virale
mature
Structure du virion
Particule virale
immature
Particule virale
mature
Structure du virion
Structure du virion
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Histoire naturelle de l’infection par le HIV
• Organisation des particules virales
• Le cycle réplicatif du HIV et cibles
thérapeutiques
Cycle d’infection par le HIV
Cycle de réplication du VIH-1
Cytoplasme
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Noyau
Identification du récepteur CD4 :
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Une énigme subsiste :
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Une énigme subsiste :
•
Des cellules de souris qui ne sont pas infectables par le HIV-1
restent insensibles après transfection du gène codant pour le
récepteur CD4
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Une énigme subsiste :
•
Des cellules de souris qui ne sont pas infectables par le HIV-1
restent insensibles après transfection du gène codant pour le
récepteur CD4
•
Certaines cellules CD4+ humaines sont non infectables par le HIV
Identification du récepteur CD4 :
•
L’infection HIV induit une diminution du nombre de Lymphocytes T
CD4+
•
Des anticorps monoclonaux dirigés contre le CD4 bloquent
l’infection in vitro
•
La GP120 co-immunoprécipite avec le récepteur CD4
•
L’incubation du virus avec du CD4 recombinant titre l’infection HIV
•
Des cellules HeLa ne sont pas infectables par le HIV-1; elles le
deviennent après transfection du gène codant pour le récepteur
CD4
Une énigme subsiste :
•
Des cellules de souris qui ne sont pas infectables par le HIV-1
restent insensibles après transfection du gène codant pour le
récepteur CD4
•
Certaines cellules CD4+ humaines sont non infectables par le HIV
Comment inhiber l’entré du virus
Comment inhiber l’entré du virus
Comment inhiber l’entré du virus
Comment inhiber l’entré du virus
Comment inhiber l’entré du virus
Comment inhiber l’entré du virus
T20
Cycle de réplication du VIH-1
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Décapsidation
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Cytoplasme
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Décapsidation
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Noyau
La rétrotranscription
La rétrotranscription
La rétrotranscription
Mécanismes d’action des
inhibiteurs de la RT
2 types d’inhibiteurs
(modes d’action différent)
La rétrotranscription
Mécanismes d’action des
inhibiteurs de la RT
2 types d’inhibiteurs
(modes d’action différent)
Analogues de bases = Terminateurs de chaînes
Exemples :
les inhibiteurs nucléosidiques (NRTI)
Les nucléotidiques (NtRTI)
La rétrotranscription
Mécanismes d’action des
inhibiteurs de la RT
2 types d’inhibiteurs
(modes d’action différent)
Analogues de bases = Terminateurs de chaînes
Exemples :
les inhibiteurs nucléosidiques (NRTI)
Les nucléotidiques (NtRTI)
Inhibition par par modification du site
catalytique de la RT
Les inhibiteurs non nucléosidiques
(NNRTI),
Mode d’action de L’AZT
Mode d’action de L’AZT
N3
Mode d’action de L’AZT
N3
Mode d’action de L’AZT
N3
Mode d’action de L’AZT
N3
Mode d’action de L’AZT
N3
N3
Les analogues de base (NRTI et NtRTI)
Les analogues de base (NRTI et NtRTI)
Les nucléosides
(analogues de base non phosphorylés)
Les analogues de base (NRTI et NtRTI)
Les nucléosides
(analogues de base non phosphorylés)
Les analogues de base (NRTI et NtRTI)
Les nucléosides
(analogues de base non phosphorylés)
Les nucléotides
(analogues de base phosphorylés)
Les analogues de base (NRTI et NtRTI)
Les nucléosides
(analogues de base non phosphorylés)
Les nucléotides
(analogues de base phosphorylés)
Inhibiteur non nucléosidiques de la RT
Les informations structurale permettent de comprendre leur mode d’action.
Inhibiteur non nucléosidiques de la RT
Les informations structurale permettent de comprendre leur mode d’action.
RT + ADN
Inhibiteur non nucléosidiques de la RT
Les informations structurale permettent de comprendre leur mode d’action.
RT + ADN
RT + Inhibiteur Non nucléosidique
Inhibiteur non nucléosidiques de la RT
Les informations structurale permettent de comprendre leur mode d’action.
RT + ADN
RT + Inhibiteur Non nucléosidique
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Cellules infectée est un « provirus »
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
L’intégration
L’intégration
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
•
Le 3’OH de chacun des brins fait une
attaque nucléophile sur l’ADN cellulaire et
coupe en quinconce.
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
•
Le 3’OH de chacun des brins fait une
attaque nucléophile sur l’ADN cellulaire et
coupe en quinconce.
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
•
Le 3’OH de chacun des brins fait une
attaque nucléophile sur l’ADN cellulaire et
coupe en quinconce.
•
Des activités cellulaires (flap endonuclease,
polymerase, ligase) réparent et dupliquent
les 4 à 6 bases du quinconce.
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
•
Le 3’OH de chacun des brins fait une
attaque nucléophile sur l’ADN cellulaire et
coupe en quinconce.
•
Des activités cellulaires (flap endonuclease,
polymerase, ligase) réparent et dupliquent
les 4 à 6 bases du quinconce.
L’intégration
•
Lorsque la RT est finie, l’intégrase se
repositionne aux extrémités du LTR, un
dimère par LTR. D’autres protéines (NC et
protéines cellulaires sont associées).
•
Elle enlève 2 bases à l’extrémité 3’OH (3’
end-processing).
•
Le 3’OH de chacun des brins fait une
attaque nucléophile sur l’ADN cellulaire et
coupe en quinconce.
•
Des activités cellulaires (flap endonuclease,
polymerase, ligase) réparent et dupliquent
les 4 à 6 bases du quinconce.
•
L’intégration se fait au hasard dans le
chromosome (débat sur région + ou transcriptionnellement active)
Structure de l’intégrase
Structure de l’intégrase
Structure de l’intégrase
•
Structure cristalline recherchée depuis 15 ans sans succès. Seul
des domaines isolés sont connus. Protéine native quasi-insoluble et
partiellement active.
Structure de l’intégrase
•
Structure cristalline recherchée depuis 15 ans sans succès. Seul
des domaines isolés sont connus. Protéine native quasi-insoluble et
partiellement active.
•
3 domaines, Zinc binding en N-term, Core catalytique central et Cterm domaine qui est plus variable
Structure de l’intégrase
•
Structure cristalline recherchée depuis 15 ans sans succès. Seul
des domaines isolés sont connus. Protéine native quasi-insoluble et
partiellement active.
•
3 domaines, Zinc binding en N-term, Core catalytique central et Cterm domaine qui est plus variable
•
Anti IN en phase II et I prochainement
Cycle de réplication du VIH-1
Cytoplasme
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Régulation latence post
integrative/expression
des virus
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Fonctions promotrices du LTR 5’
Fonctions promotrices du LTR 5’
Fonctions promotrices du LTR 5’
•
Certains facteurs de régulation sont
spécifiques d’espèces et/ou de type
cellulaires. Donc, outre le récepteur, les
facteurs de transcription déterminent
aussi la réplication virale dans une
cellule/tissu/ou espèce.
Fonctions promotrices du LTR 5’
•
Certains facteurs de régulation sont
spécifiques d’espèces et/ou de type
cellulaires. Donc, outre le récepteur, les
facteurs de transcription déterminent
aussi la réplication virale dans une
cellule/tissu/ou espèce.
•
La concentration intra-nucléaire de ces
facteurs est très contrôlée par l’état
d’activation cellulaire. Le niveau
d’expression du virus sera aussi très
dépendant de l’activation et/ou la
différentiation cellulaire
Transactivation par des facteurs viraux
Transactivation par des facteurs viraux
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Traduction
assemblage
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Maturation protéolytique de Gag
Maturation protéolytique de Gag
Maturation protéolytique de Gag
Maturation protéolytique de Gag
Maturation protéolytique de Gag
Inhibiteurs
Maturation protéolytique de Gag
?
Inhibiteurs
Les inhibiteurs de la protéase virale
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
•
La protéase clive les protéines virales précurseurs en protéines matures
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
•
La protéase clive les protéines virales précurseurs en protéines matures
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
•
La protéase clive les protéines virales précurseurs en protéines matures
•
Fixation des IP sur le site catalytique ⇒ inhibition réversible de la protéase
Les inhibiteurs de la protéase virale
•
Premier inhibiteur de la protéase disponible en 1997
•
La protéase clive les protéines virales précurseurs en protéines matures
•
Fixation des IP sur le site catalytique ⇒ inhibition réversible de la protéase
Maturation des particules virales
Maturation des particules virales
Le clivage protéolytique des précurseurs viraux
permet de résoudre le paradoxe de l ’encapsidation/décapsidation
Maturation des particules virales
Le clivage protéolytique des précurseurs viraux
permet de résoudre le paradoxe de l ’encapsidation/décapsidation
Les inhibiteurs de la protéase
Les inhibiteurs de la protéase
Les inhibiteurs de la protéase
Maturation de la particule HIV-1
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
Cycle de réplication du VIH-1
Fixation au récepteur
et au co-récepteur
Bourgeonnement
Cytoplasme
Rétrotranscription
Décapsidation
Transport
au noyau
Intégration
Noyau
La machinerie de bourgeonnement
La machinerie de bourgeonnement
Ub
Ub
Tsg101
4
Ub
Ub
MVB
La machinerie de bourgeonnement
Ub
Ubiquitine
Virus
Ub
Ub
Ub
Tsg101
4
Ub
Ub
MVB
La machinerie de bourgeonnement
Ub
Ubiquitine
Virus
ESCRT-III
Tsg101 ESCRTI
4
Vps4
ESCRT-II
01
Tsg1
4
Ub
Ub
Ub
Ub
Ub
Ub
Ub
Tsg101
4
Ub
Ub
MVB
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
INHIBITEURS DE LA RT
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
INHIBITEURS DE LA RT
ANTI-PROTÉASES
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
INHIBITEURS DE
L’ENTREE
INHIBITEURS DE LA RT
ANTI-PROTÉASES
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
INHIBITEURS
DE L’IN
INHIBITEURS DE
L’ENTREE
INHIBITEURS DE LA RT
ANTI-PROTÉASES
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
protéases virales
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
protéases virales
Neuraminidases
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
protéases virales
Neuraminidases
 Fixation entrée
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
protéases virales
Neuraminidases
 Fixation entrée
 Protéines virales régulant l'immunité
innées ou acquise
Résumé :
Actions des anti-rétroviraux sur le cycle viral
CIBLES des ANTIVIRAUX
 Enzymes virales du complexe de réplication
Polymérases
Intégrases
capping
Autres enzymes virales
protéases virales
Neuraminidases
 Fixation entrée
 Protéines virales régulant l'immunité
innées ou acquise
 immuothérapies
Pourquoi les multithérapies sont elles plus efficaces?
Probabilité de
sélectionner
un virus résistant
(noir)
Vitesse de
réplication virale
Concentration
en antiviral
nulle
sub optimal
optimal
toxique
dose a maintenir durant tout le traitement
Le traitement
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
•
L’éradication virale n ’est pas d ’actualité
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
•
L’éradication virale n ’est pas d ’actualité
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
•
L’éradication virale n ’est pas d ’actualité
L ’infection par le VIH est devenue une maladie chronique
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
•
L’éradication virale n ’est pas d ’actualité
L ’infection par le VIH est devenue une maladie chronique
Le traitement
•
Objectif du traitement : rendre la CV indétectable afin d’éviter la sélection
de mutants résistants
•
Multithérapies ou HAART (Highly Active AntiRetroviral Therapy) permettent
une diminution drastique de la morbidité et de la mortalité liées à l ’infection
VIH
•
L’éradication virale n ’est pas d ’actualité
L ’infection par le VIH est devenue une maladie chronique
L ’amélioration de la tolérance à court et à
long terme des trithérapies est devenue un
objectif majeur
Quand instaurer un traitement ?
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
• Chez les sujets asymptomatiques, décision en fonction du degré de
déficit immunitaire
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
• Chez les sujets asymptomatiques, décision en fonction du degré de
déficit immunitaire
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
• Chez les sujets asymptomatiques, décision en fonction du degré de
déficit immunitaire
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
• Chez les sujets asymptomatiques, décision en fonction du degré de
déficit immunitaire
• Traitement de la PI non systématique, préconisé si PI symptomatique
Quand instaurer un traitement ?
• Selon le rapport Delfraissy 2004, décision personnalisée après
explication des objectifs et des limites du traitement au patient afin de
favoriser l’observance.
• Initiation d’un traitement :
• En primo infection 18 mois (50%)
• Chez les sujets asymptomatiques, décision en fonction du degré de
déficit immunitaire
• Traitement de la PI non systématique, préconisé si PI symptomatique
•
Problème : durée du traitement ?
Les limites des multithérapies
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
•
Persistance du virus au niveau de réservoir
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
•
Persistance du virus au niveau de réservoir
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
•
Persistance du virus au niveau de réservoir
•
Restauration immunitaire incomplète au niveau de la réponse CD4
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
•
Persistance du virus au niveau de réservoir
•
Restauration immunitaire incomplète au niveau de la réponse CD4
Les limites des multithérapies
•
Toxicité des anti-rétroviraux :
• Anomalies métaboliques cliniques (lipodystrophie) et biologiques
• Anomalies neurologiques
•
Adhésion incomplète au traitement (chez plus de 30% des patients)
Relation observance/efficacité
•
Résistance
•
Persistance du virus au niveau de réservoir
•
Restauration immunitaire incomplète au niveau de la réponse CD4
Eradication difficile
Obtention et maintien d’un équilibre immunovirologique
Corrélation entre la non adhérence
et l’échec thérapeutique
94
100
90
75
80
70
50
60
50
36
40
30
20
19
10
0
sup 95%
90-95%
80-90%
70-80%
inf 70%
Efficacité optimale nécessite une prise régulière et sans oubli
Perspectives
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
•
Mieux comprendre les anomalies métaboliques causées par les traitements actuels
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
•
Mieux comprendre les anomalies métaboliques causées par les traitements actuels
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
•
Mieux comprendre les anomalies métaboliques causées par les traitements actuels
•
Gérer le traitement des co-infections VIH-VHC
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
•
Mieux comprendre les anomalies métaboliques causées par les traitements actuels
•
Gérer le traitement des co-infections VIH-VHC
Perspectives
•
Augmenter l’efficacité antivirale (puissance des médicaments et nouvelle classe de
médicaments)
•
Simplifier le traitement
•
Favoriser l’adhésion
•
Individualiser les traitements
•
Mieux comprendre les anomalies métaboliques causées par les traitements actuels
•
Gérer le traitement des co-infections VIH-VHC
•
Développer des immunothérapies
Stratégies thérapeutiques nouvelles
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
•
Immunothérapie :
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
•
Immunothérapie :
IL-2, IL-7, Activation des cellules latentes, vaccin thérapeutique
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
•
Immunothérapie :
IL-2, IL-7, Activation des cellules latentes, vaccin thérapeutique
Stratégies thérapeutiques nouvelles
•
Nouvelles classes d’antiviraux :
Inhibiteurs de fusion (T20), inhibiteurs d’intégrase, récepteurs de chimiokines
•
Thérapeutique combinée
•
Immunothérapie :
IL-2, IL-7, Activation des cellules latentes, vaccin thérapeutique
•
Arrêt et reprise thérapeutique programmée
Approches vaccinales
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Existence d ’Ac facilitants
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Existence d ’Ac facilitants
Délai trop long entre l ’infection VIH et la réponse secondaire anticorps
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Existence d ’Ac facilitants
Délai trop long entre l ’infection VIH et la réponse secondaire anticorps
⇒ Réponse vaccinale anti-VIH doit aussi être cellulaire
(CTL) et
muqueuse
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Existence d ’Ac facilitants
Délai trop long entre l ’infection VIH et la réponse secondaire anticorps
⇒ Réponse vaccinale anti-VIH doit aussi être cellulaire
(CTL) et
muqueuse
Pauvreté en modèles animaux (chimpanzé et macaque)
Approches vaccinales
Difficultés liées au VIH :
Extrême variabilité du VIH → un même individu est infecté par de multiples
variants VIH
⇒ Echappement à la réponse immunitaire
⇒ Recherche de séquences antigéniques conservées, candidats à la vaccination
Existence d ’Ac facilitants
Délai trop long entre l ’infection VIH et la réponse secondaire anticorps
⇒ Réponse vaccinale anti-VIH doit aussi être cellulaire
(CTL) et
muqueuse
Pauvreté en modèles animaux (chimpanzé et macaque)
latence
Approches vaccinales (2)
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Vaccin sous-unité → mais réponse Ac seulement et protéine non native, gp120
hypervariable
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Vaccin sous-unité → mais réponse Ac seulement et protéine non native, gp120
hypervariable
Vaccin par voie orale → immunité des muqueuses
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Vaccin sous-unité → mais réponse Ac seulement et protéine non native, gp120
hypervariable
Vaccin par voie orale → immunité des muqueuses
Association vaccin recombinant - vaccin sous-unité
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Vaccin sous-unité → mais réponse Ac seulement et protéine non native, gp120
hypervariable
Vaccin par voie orale → immunité des muqueuses
Association vaccin recombinant - vaccin sous-unité
Approches vaccinales (2)
Vaccin vivant atténué impossible car le virus vaccin s ’intégrerait dans le
génome de la cellule infectée
→ risque de mutagenèse
→ retour à la virulence possible
Vaccin tué impossible aussi car inactivation jamais sûre à 100%
Types de vaccins recherchés :
Vaccin recombinant → réponse CTL
Vaccin sous-unité → mais réponse Ac seulement et protéine non native, gp120
hypervariable
Vaccin par voie orale → immunité des muqueuses
Association vaccin recombinant - vaccin sous-unité
VACCIN PARTIEL
Le virus HIV :
• Rappel historique et quelques statistiques
• Le virus et son hôte : de l’infection au SIDA
• Organisation des particules virales
• Le cycle réplicatif du HIV
• Mécanismes de pathogenèse du HIV
• Cibles thérapeutiques, vaccination et prophylaxie
Le dépistage
Le dépistage
• Dépistage du VIH : libre et volontaire
Le dépistage
• Dépistage du VIH : libre et volontaire
Le dépistage
• Dépistage du VIH : libre et volontaire
• Réalisé systématiquement lors d’un don de sang,
d’organe, de sperme ou de lait.
Le dépistage
• Dépistage du VIH : libre et volontaire
• Réalisé systématiquement lors d’un don de sang,
d’organe, de sperme ou de lait.
Le dépistage
• Dépistage du VIH : libre et volontaire
• Réalisé systématiquement lors d’un don de sang,
d’organe, de sperme ou de lait.
• Systématiquement proposé lors d’un bilan
prénuptial, de grossesse
A - Les tests sérologiques
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
•
Test ELISA : technique immuno-enzymatique. Aujourd’hui, tests de 3°
génération (très performants pour détecter les séroconversions précoces).
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
•
Test ELISA : technique immuno-enzymatique. Aujourd’hui, tests de 3°
génération (très performants pour détecter les séroconversions précoces).
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
•
Test ELISA : technique immuno-enzymatique. Aujourd’hui, tests de 3°
génération (très performants pour détecter les séroconversions précoces).
•
Réglementation actuelle impose la réalisation de 2 ELISA en parallèle, dont
un test mixte, pour l’analyse d’un même sérum.
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
•
Test ELISA : technique immuno-enzymatique. Aujourd’hui, tests de 3°
génération (très performants pour détecter les séroconversions précoces).
•
Réglementation actuelle impose la réalisation de 2 ELISA en parallèle, dont
un test mixte, pour l’analyse d’un même sérum.
A - Les tests sérologiques
•
Recherche d’Ac anti-VIH sériques
•
2 techniques : ELISA et Western-Blot
•
Test ELISA : technique immuno-enzymatique. Aujourd’hui, tests de 3°
génération (très performants pour détecter les séroconversions précoces).
•
Réglementation actuelle impose la réalisation de 2 ELISA en parallèle, dont
un test mixte, pour l’analyse d’un même sérum.
Tout test ELISA positif est confirmé par un test WB
Les tests sérologiques (2)
Les tests sérologiques (2)
• Western-Blot : test très spécifique.
Les tests sérologiques (2)
• Western-Blot : test très spécifique.
Les tests sérologiques (2)
• Western-Blot : test très spécifique.
• Des protéines virales sont séparées selon leur PM, par
électrophorèse, puis transférées sur membrane de nitrocellulose.
L’addition du sérum à dépister permet de détecter les Ac par
réaction immuno-enzymatique.
Les tests sérologiques (2)
• Western-Blot : test très spécifique.
• Des protéines virales sont séparées selon leur PM, par
électrophorèse, puis transférées sur membrane de nitrocellulose.
L’addition du sérum à dépister permet de détecter les Ac par
réaction immuno-enzymatique.
•
Les tests sérologiques (2)
• Western-Blot : test très spécifique.
• Des protéines virales sont séparées selon leur PM, par
électrophorèse, puis transférées sur membrane de nitrocellulose.
L’addition du sérum à dépister permet de détecter les Ac par
réaction immuno-enzymatique.
•
• WB positif si au moins 2 bandes correspondant aux produits du
Marqueurs du diagnostic
Fenêtre
sérologique
En pratique
Echantillon de sang
Test ELISA répété
2 fois sur le même
échantillon
WB positif
2° prise de sang
Les 2 tests sont
négatifs
Les 2 tests sont
positifs
Vérification par WB
WB
Personne
séronégative
WB négatif
WB positif
Personne
séronégative
Personne
séropositive
Les tests virologiques
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
•
Antigènémie p24 utilisée à titre diagnostic au stade de primo-infection et
dans les essais thérapeutiques.
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
•
Antigènémie p24 utilisée à titre diagnostic au stade de primo-infection et
dans les essais thérapeutiques.
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
•
Antigènémie p24 utilisée à titre diagnostic au stade de primo-infection et
dans les essais thérapeutiques.
•
Charge virale indispensable au suivi de l’infection et de l’efficacité du
traitement.
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
•
Antigènémie p24 utilisée à titre diagnostic au stade de primo-infection et
dans les essais thérapeutiques.
•
Charge virale indispensable au suivi de l’infection et de l’efficacité du
traitement.
Les tests virologiques
• Test directs (recherche de la présence du virus dans le plasma)
•
2 tests :
• Le dosage de l’Ag p24 sérique (ELISA) : l’antigènémie
• La mesure de l’ARN viral plasmatique (RT-PCR) : la charge virale
•
Antigènémie p24 utilisée à titre diagnostic au stade de primo-infection et
dans les essais thérapeutiques.
•
Charge virale indispensable au suivi de l’infection et de l’efficacité du
traitement.
•
CV dans le bilan de surveillance
Rappel immunité acquise