Masque masai avec détails oranges
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Masque masai avec détails oranges Le produit Le bois sculpté: Appliquez un poli à meubles à base d’huile sur le bois pour en rehausser le fini et en effacer les taches.Les bâtons de mastic et les bouchepores, disponibles dans une variété de couleurs, sont très utiles pour remplir les craquelures, fréquentes dans le climat sec de l’Amérique du Nord. Pour limiter le fendillement, placez les sculptures en bois dans une pièce avec un humidificateur. Pour enlever la moisissure, mélangez une part d’eau et une part de vinaigre et utilisez un linge mouillé pour appliquer la solution sur le bois. Rincez bien et appliquez un poli à meuble. Les Maasaïs: Un peuple pastoral vivant dans le nord de la Tanzanie et dans la vallée du grand rift, au Kenya, les Maasaïs sont des bergers semi-nomades qui suivent les saisons, à la recherche d’herbe et d’eau pour leurs animaux. Le bétail est un élément extrêmement important dans la culture maasaï, car il est à la fois une source primaire d’alimentation et un indicateur de statut social (plus une personne possède de vaches, plus son statut social est élevé). Un des groupes ethniques les mieux connus de l’Afrique, les Maasaïs, qui parlent le maa et qui sont linguistiquement reliés au peuple Turkana du centre ouest du Kenya, comptent en tout plus d’un million de membres. De nature patriarcale et de religion habituellement monothéiste, la société maasaï est dirigée par les anciens, qui sont responsable de prendre toutes les grandes décisions qui touchent la communauté. Tandis que les hommes plus âgés sont des guerriers en charge de la sûreté de la société, les jeunes garçons sont responsables de mener les troupeaux et les femmes fournissent l’eau, traient les vaches, préparent la nourriture pour leur famille et construisent les inkajijik, les maisons traditionnelles faites de boue, de bâtons, de cendres et d’excréments de vaches. Voyagez aux quatre coins du monde chaque fois que vous visitez Dix Mille Villages. Apprenez comment le commerce équitable aide réellement à changer le monde. Notre objectif est de fournir un revenu vital et équitable aux artisans, en commercialisant leurs produits d'artisanat et en racontant leur histoire en Amérique du Nord. Dix Mille Villages vend des produits de plus de 30 pays et fournit du travail à près de 60 000 personnes partout dans le monde. Malgré le fait que les Maasaïs ne sculptent pas, leurs traditions, leurs vêtements et leur style sont souvent le sujet de sculptures sur bois, partout au Kenya. Par exemple, shúkà, est le mot maa qui désigne le drap traditionnel que les Maasaïs s’enroulent autour du corps, avec un bout sur chaque épaule et un troisième placé par-dessus, et kikoi est un type de sarong. Les textiles traditionnels des Maasaïs varient normalement entre le rouge, le bleu, le noir et le rayé. En plus de porter des sandales, les membres de la tribu se percent et étirent souvent leurs lobes d’oreilles. Des colliers spéciaux sont portés lors de mariages, fabriqués à la main par la mère de la mariée, avant le début de la cérémonie. Le jour de la cérémonie, la mariée et toutes les femmes mariées du village portent ces colliers, ainsi qu’une panoplie d’autres bijoux en perles. Comme les perles et les bijoux sont une partie fondamentale de la décoration corporelle des Maasaïs (et une tradition des plus importantes pour les femmes de la tribu), les mères enseignement habituellement à leurs enfants comment fabriquer des bijoux en perles plutôt que de les envoyer à l’école. Le groupe d'artisans: Bombolulu Workshop Bombolulu Workshop for the Handicapped a été mis sur pied en 1969, comme un projet de réhabilitation parrainé par l’Association for the Physically Disabled of Kenya. Situé près de Mombasa, la deuxième plus grande ville du Kenya, Bombolulu fournit du travail et de nombreux bénéfices à des adultes aveugles ou handicapés qui, autrement, auraient peu de chances de trouver un emploi dans le marché du travail conventionnel. Cent treize artisans travaillent chez Bombolulu, se spécialisant dans la sculpture sur bois, la joaillerie, la coupe de vêtements ou le travail du cuir. Bombolulu dirige également une pépinière où dix arbres sont plantés pour chacun utilisé par les sculpteurs. La plupart des artisans sont logés gratuitement sur le site du projet, tandis que d’autres reçoivent des allocations de loyer. Les employés de Bombolulu reçoivent également des soins de santé, de l’aide pour couvrir les frais scolaires, des prestations de retraite, la possibilité d’appartenir à un syndicat et un revenu mensuel stable. Les travailleurs ont même formé leur propre coopérative d’épargne et de crédit qui leur permet d’emprunter de l’argent en cas de besoin. Ce qui a commencé comme un projet de charité est maintenant devenu une entreprise totalement autonome. Un organisme dynamique et excitant, Bombolulu est devenu une destination touristique populaire. Les visiteurs peuvent faire le tour des quatre ateliers, rencontrer les artisans, découvrir la culture tribale du Kenya au centre culturel (où sont présentées des reconstitutions authentique de leurs maisons), passer la nuit dans la maison de chambres et assister aux spectacles des troupes de danse et des musiciens. Le succès de Bombolulu clame haut et fort « être handicapé n’est pas un handicap ». Bombolulu est membre de l’Organisation mondiale du commerce équitable (la WFTO). Le pays: Le Kenya Les plus grandes forces de l'économie du Kenya, une véritable plaque tournante régionale pour le commerce et les finances, sont l'agriculture et le tourisme. Les fleurs, les fruits et les légumes sont devenus les principaux produits d'exportation, détrônant donc les produits traditionnels comme le café et le thé. Depuis 2003, le tourisme a connu une hausse énorme, devenant ainsi un important générateur de devises étrangères. Comme dans bien des pays africains, le VIH/sida a eu une incidence sur les segments les plus productifs de la société du Kenya. Selon les estimations de 2007, 1,5-2 million de kenyans sont infectés par le virus. De plus, environ 1,1 millions des enfants sont devenus orphelins à cause du sida. Les répercussions futures de cette crise sont véritablement terrifiantes. À la suite des élections nationales de décembre 2007, des centaines de Kenyans ont trouvé la mort violemment lorsque le président actuel, Mwai Kibaki, a remporté l'élection de justesse et le chef de l'opposition, Raila Odinga, a dénoncé ce q'il croyait être une fraude électorale. Depuis janvier 2008, au moins 600 personnes sont décédées et 250 000 sont devenues des réfugiés. Maintenant, plus que jamais, les travailleurs et les fermiers du Kenya ont besoin de notre aide.