Putumayo présente: Australia

Transcription

Putumayo présente: Australia
Putumayo présente: Australia
Un fascinant voyage musical aux Antipodes
Putumayo se réjouit d’annoncer la sortie, le 27 mai prochain, d’Australia, où figurent des artistes d’exception, dont les chansons
reflètent les mille et une influences culturelles et musicales à l’œuvre sur le continent. En Australie, qu’on surnomme volontiers les
Antipodes ou, plus affectueusement encore, « le pays des kangourous », on découvre des paysages à la splendeur irréelle, une faune
et une flore uniques au monde, ainsi que l’étrange mysticisme des Aborigènes. Quant à ses scènes pop, country et rock, aussi
fécondes les unes que les autres, elles ont vu éclore bien des stars d’envergure internationale. En somme, les morceaux présents sur
cette compilation constituent certaines de ces fameuses « pistes chantées » qui relient les Australiens au reste de la planète.
La décontraction qui règne sur les plages australiennes comme au sein des communautés de surfeurs constitue un milieu propice à
certains sons venus d’ailleurs, au reggae par exemple, au ska, et même au soukous africain, dont le groupe The Beautiful Girls a su
faire son miel sur « Spanish Town », le premier titre de l’album. Seaman Dan prend ensuite le relais : jadis capitaine de bateau et
pêcheur de perles, ce natif du Queensland mêle les sonorités du blues américain à la musique populaire traditionnelle des îles du
détroit de Torrès, où il a vu le jour. Sa toute première chanson, Seaman Dan l’a d’ailleurs intitulée « T.I. Blues », en hommage à l’île
Thursday, son île natale.
En Australie ont en outre fleuri un nombre incalculable de stars planétaires, parmi lesquelles le groupe Men At Work, dont « Down
Under », hit pop des années 1980, est devenu un véritable hymne pour la nation tout entière. Colin Hay, le leader de la formation, a
choisi de nous offrir ici une version acoustique de ce titre phare. Le groupe The Waifs a, pour sa part, gagné une reconnaissance
mondiale en 2003, grâce à l’album Up All Night, dont l’une des chansons, « The Waitress », présente sur notre compilation, décrit
l’existence quotidienne d’un musicien qui tente de faire carrière à Sydney. Quant à Xavier Rudd, multi-instrumentiste et militant actif
pour l’environnement, il s’est acquis un public tant à l’étranger que sur sa terre natale via des prestations live uniques en leur genre et
des chansons engagées, gorgées d’empathie. « Hope That You’ll Stay », qu’il nous propose ici, apparaît initialement sur l’album Dark
Shades of Blue (2008) de ce natif de Torquay, dans le comté de Victoria.
Depuis l’essor de la World Music, dans les années 1980, des musiciens de tous horizons ont adopté le didgeridoo, subjugués par ses
sons envoûtants et la spiritualité profonde qui en émane. Fondé par l’Américain Graham Wiggins (qui doit la découverte du didgeridoo
à sa mère australienne) et le guitariste britannique Martin Cradick, le groupe Outback a ainsi initié, à la fin des années 1980, une
multitude d’auditeurs à cet instrument autochtone typique. Vient ensuite Geoffrey Gurrumul Yunupingu, Aborigène aveugle décrit par
le magazine Rollling Stones comme « la voix la plus importante d’Australie » (Sting entendant quant à lui dans son chant « la voix d’un
être supérieur »). Il interprète pour nous le fascinant « Marwurrumburr » — un mot qui signifie « chat australien » en yolngu.
Appartenant à ce qu’on a qualifié de « génération volée » de l’Australie, Archie Roach a compté parmi les nombreux enfants
aborigènes séparés de leur famille et de leur communauté en vertu de la politique discriminatoire des gouvernements de l’époque.
L’homme, dont les chansons évoquent souvent la difficulté, pour les indigènes, de trouver leur place au sein de l’Australie
contemporaine, est devenu l’une des voix les plus illustres des peuples autochtones du continent. Il chante ici « We Won’t Cry », en
duo avec le légendaire auteur-compositeur-interprète australien Paul Kelly. D’origine samoane, Bobby Alu, qui leur succède, est né,
puis a grandi sur la Côte d’Or (la Gold Coast) de l’Australie, célèbre pour ses spots de surf, la magnificence de ses paysages et les
jours paisibles qu’on peut y couler. C’est la mère de Bobby qui, la première, a su repérer les influences musicales polynésiennes dans
lesquelles baignait son fils durant ses jeunes années. Ces influences se font sentir dans « Changes Changes », qu’il nous offre, où
s’entend le tambour à fente sous la voix douce du chanteur et le son chaleureux du ukulélé.
Installé à Byron Bay, ville côtière située dans l’État de la Nouvelle-Galles du Sud, le groupe de pop folk australien The Lucky Wonders
est né le jour où Emma Royle et Jessie Vintila se sont associées pour composer de la musique destinée à accompagner un spectacle
de marionnettes. « Home », qu’elles interprètent sur cette compilation, figure sur leur premier album, Thirteen O’Clock, sorti en 2010.
Notre disque se clôt avec Colin Buchanan. Né en Irlande, ce maître incontesté de la musique country est venu vivre en Australie à
l’âge de six ans. Il se produit ici avec ses amis Lee Kernaghan et Sara Storer, pour un hommage à leur patrie commune : « Song of
Australia ».
Australia comporte en outre la recette du lamington, un gâteau traditionnel australien. Tenant son nom de Lord Lamington, gouverneur
du Queensland entre 1896 et 1901, il s’agit d’un petit cube de génoise qu’on trempe dans le chocolat avant de l’enrober de noix de
coco.
1 % du montant des ventes de Putumayo sera reversé à Yalari, organisation à but non lucratif qui octroie des bourses aux élèves
aborigènes des collèges et lycées dans les zones les plus reculées d’Australie.
Les représentants des médias trouveront, sur www.putumayopress.com, de plus amples renseignements concernant les artistes
présents sur Australia, ainsi que les possibilités d’entrevues avec ces derniers et le fondateur de Putumayo, Dan Storper. Pour
d’autres informations relatives à Putumayo World Music, rendez-vous sur www.putumayo.com.