LOT 1 VRD - Communauté de communes du Bassigny
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LOT 1 VRD - Communauté de communes du Bassigny
Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. S.I.C.A.H.R. DE L’AUBE 11 rue Pargeas 10000 TROYES 03-25-73-36-30 03-25-73-37-53 ) MAITRE Communauté de Communes du Bassigny D’OUVRAGE 28, rue Hubert Colot 52140 Val de Meuse 2.08.1682 A. Chauvet F. Jaillant F.Fricker APS CONSTRUCTION D’ UN GROUPE SCOLAIRE OPERATION Rue Aurélie Picard 52140 Provenchères sur Meuse APD PC AO X DET DOE A.O. C.C.T.P. LOT 1 V.R.D. Date : 2/3/2010 1 Mars 2010 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. TABLE DES MATIERES 1-4 GENRALITES COMMUNES TOUS CORPS D ‘ETATS 4-13 LOT N° 1 –V.R.D .......................................................................................................... 13 1.1. Débroussaillages .................................................................................................... 13 1.2. Décapages ............................................................................................................... 13 1.3. Terrassements......................................................................................................... 14 1.4. Nivellements, profilages......................................................................................... 15 1.5. Finition de la forme ................................................................................................. 15 1.6. Protections spéciales de chantier......................................................................... 16 1.7. Eaux pluviales ......................................................................................................... 17 1.8. Eaux résiduaires ..................................................................................................... 20 1.9. Eaux de consommation.......................................................................................... 22 1.10. Electricité ............................................................................................................... 23 1.11. Télécommunications ............................................................................................ 23 1.12. Voirie ....................................................................................................................... 24 1.13. Circulation piétons................................................................................................ 25 1.14. Aires de stationnement ......................................................................................... 26 1.15. Clôtures.................................................................................................................. 26 1.16. Eclairage extérieur ................................................................................................ 27 1.17. Aménagements ..................................................................................................... 28 1.18. Tranchées spéciales ............................................................................................. 29 Date : 2/3/2010 2 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. PRESCRIPTIONS GENERALES COMMUNES A TOUS LES CORPS D’ETAT Caractéristiques du Cahier des Clauses Techniques Particulières Tous les travaux seront exécutés conformément aux prescriptions de la norme française NF P 03-001 de septembre 1991 ‘Cahier des Clauses Administratives Générales applicables aux travaux de bâtiment faisant l’objet de marchés privés’ (CCAG) et du Cahier des Clauses Administratives particulières (CCAP). Tous les travaux seront exécutés conformément aux prescriptions du ‘Cahier des Clauses Administratives Générales’ (CCAG) applicables aux Marchés Publics, du Code des Marchés Publics, et du ‘Cahier des Clauses Administratives Particulières’ (CCAP) et des documents particuliers et généraux qui y sont énumérés, ainsi que tous les documents auxquels il aura été fait référence au travers des documents précités. Les ouvrages sont réputés complets. Ils sont définis par les pièces dessinées en plans, coupes, façades, et par le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP). L’ensemble de ces documents constituant un tout qui définit la prestation. Une omission dans un de ces documents ne soustraira pas l’entrepreneur à l’obligation d’exécuter les ouvrages tels qu’ils sont, soit dessinés, ou décrits pour le montant global du marché. Il aura prévu dans son offre, les ouvrages de sa profession qui seront nécessaires et qui n’auraient pas été précisés dans les documents ci-dessus. L’entrepreneur devra se rendre compte par une visite préliminaire au dépôt de son offre, de l’état des lieux, des possibilités d’accès, des difficultés éventuelles d’exécution des travaux et en général des sujétions locales à prendre en considération pour sa spécialité. Le présent CCTP a pour but de définir la qualité et la nature des ouvrages à réaliser. Quel que soit le système employé l’entrepreneur devra joindre à son offre un planning détaillé indiquant le temps d’exécution de chaque groupe d’ouvrage de son lot. L’entreprise doit réaliser l’ensemble des travaux de son lot suivant les règles fondamentales de l’art de sa profession, conformément aux réglementations, normes, prescriptions, règles de calculs, cahier des clauses techniques, cahier des clauses spéciales et documents annexes DTU propres à chaque corps d’état, en vigueur à la date de remise des offres. L’entreprise doit utiliser les matériaux et produits dont les caractéristiques, de dimensions, formes, qualités de matériaux employés dans les travaux, sont fixés en fonction des cahiers des clauses techniques du DTU de chaque corps d’état, mis à jour à la date de remise des offres. Chaque entrepreneur est tenu de réaliser ses propres travaux en tenant compte des réservations et des préparations nécessaires à la bonne exécution des ouvrages des autres corps d’état, sans que ceux-ci aient à engager des ouvrages supplémentaires hors des travaux normaux de leur lot. La terminologie employée au présent Cahier des Clauses Techniques Particulières sera conforme à la norme NF P 00-001 ‘Bâtiment et génie civil’ - Vocabulaire - Partie 1 : Termes généraux. Normes fondamentales Le présent CCTP (ainsi que l’Avant Métré Quantitatif qui lui est éventuellement associé) reprend en ce qui concernent les grandeurs physiques, les équations, les symboles de grandeurs et d’unités, les systèmes cohérents d’unités, spécialement le Système International d’Unités (SI), les normes : - NF X 02-001 Grandeurs et unités - Principes généraux ; - NF X 02-003 Normes fondamentales - Principes de l’écriture des nombres, des grandeurs, des unités et des symboles ; - X 02-004 Normes fondamentales - Noms et symboles des unités de mesure du Système international d’unités (SI) ; - NF X 02-006 Normes fondamentales - Le système international d’unités - Description et règles d’emploi - Choix de multiples et de sous-multiples ; Normes de performances Les performances des différents composants dans le bâtiment seront conformes aux normes : - P 05-300 Normes de performances dans le bâtiment - Principes d’établissement et facteurs à prendre en compte ; - P 05-311 Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des cloisons non porteuses construites avec des composants de même origine ; Date : 2/3/2010 3 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. - P 05-321 Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des façades construites avec des composants de même origine ; - P 05-341 Normes de performances dans le bâtiment - Présentation des performances des planchers préfabriqués en béton armé ou précontraint . Contrôle technique Le contrôle technique sera conforme au : - décret n° 78-1146 du 7 décembre 1978, articles L. 111-23 à L. 111-26 et R. 111-29 à R. 111-42 du code de la construction et de l’habitation ; - décret n° 92-1186 du 30 octobre 1992 relatif au cahier des clauses techniques générales applicables aux marchés de contrôle technique ; - décret n° 99-443 du 28 mai 1999 relatif au cahier des clauses techniques générales applicables aux marchés de contrôle technique. Suivant le décret n° 78-1146 du 7 décembre 1978, article R. 111-38 sont soumises obligatoirement au contrôle technique prévu à l’article L. 111-23 les opérations de constructions ayant pour objet la réalisation : - 1° d’établissements recevant du public, au sens de l’article R. 123-2, classés dans les 1re, 2e, 3e catégories visées à l’article R. 123-19 ; - 2° l’immeuble dont le plancher bas du dernier niveau est situé à plus de 28 mètres par rapport au niveau du sol le plus haut utilisable par les engins des services publics de secours et de lutte contre l’incendie ; - 3° de bâtiments, autres qu’à usage industriel : comportant des éléments en porte-à-faux de portée supérieure à 20 mètres ou des poutres ou arcs de portée supérieure à 40 mètres ; ou comportant, par rapport au sol naturel, des parties enterrées de profondeur supérieure à 15 mètres, ou des fondations de profondeur supérieure à 30 mètres ; ou nécessitant des reprises en sous-œuvre ou des travaux de soutènement d’ouvrages voisins, sur une hauteur supérieure à 5 mètres. Le contrôle technique des travaux pourra être demandé par le Maître d’Ouvrage, il sera alors assuré par l’organisme de son choix. Les principes généraux relatifs au contrôle technique de la construction et les modalités de réalisation des missions seront conformes à la norme NF P 03-100. Les honoraires afférents au contrôle technique sont à la charge du Maître d’Ouvrage. Les travaux tous corps d’état seront soumis au contrôle d’un organisme spécialisé. Hygiène, sécurité et conditions de travail La liste des prescriptions réglementaires que doivent respecter, dans la mesure où elles sont déclarées leur être applicables, les travailleurs indépendants ainsi que les employeurs lorsqu’ils exercent directement une activité sur un chantier de bâtiment ou de génie civil sera conforme à l’annexe du décret n° 95-607 du 6 mai 1995. Les règles d’hygiène et sécurité des travailleurs seront conformément au code du travail, livre 2, titre 2, décret n° 65-48 du 8 janvier 1965 modifié et complété. Rappels : - Mesures de protection collectives destinées à empêcher les chutes de personnes (titre 1, chapitre 2, article 5) : Lorsque du personnel travaille ou circule à une hauteur de plus de trois mètres en se trouvant exposé à un risque de chute dans le vide, il doit être installé un dispositif de protection collectif. - Mesures de protection individuelles (titre 1, chapitre 4, article 16 : décret n° 95-608 du 6 mai 1995, art. 10-4 à 10-6). Dans le cas ou les moyens de production collective ne peuvent pas être mis en œuvre de manière satisfaisante, des équipements de protection individuelle et des produits de protection appropriés doivent être utilisés. - Echafaudages, plates-formes, passerelles et escaliers (titre 7, chapitre 1). Des échafaudages convenables doivent être prévus pour tout travail qui ne peut être exécuté sans danger avec une échelle ou par d’autres moyens. - Travaux sur les toitures (titre 9). Date : 2/3/2010 4 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Lorsque des personnes doivent (décret n° 95-608 du 6 mai 1995, art. 18-1) travailler sur un toit présentant des dangers de chute de personnes ou de matériaux d’une hauteur de plus de trois mètres, des précautions convenables doivent être prises pour éviter la chute des personnes ou des matériaux. - Travaux de montage, de démontage et de levage de charpentes et ossatures (titre 10). Lors des travaux de montage, de démontage et de levage de charpente et ossatures, toutes mesures doivent être prises pour réduire au minimum les travaux et déplacements en hauteur qui exposent le personnel à un risque de chute. Les règles d’hygiène, sécurité et conditions de travail seront conformes au code du travail, livre 2, titre 3, articles L. 231-1 à L. 231-2, article L. 232-1, articles L. 235-1 à L. 235-19, articles R. 232-1 à 232-7-10, articles R. 232-10 à 232-14-1, articles R. 235-1 à 235-5, articles R. 238-1 à 238-45, articles R. 238-46 à 238-56. Coordination sécurité La coordination sur les chantiers de bâtiment et de génie civil sera conforme aux textes de loi en vigueur, en particulier : - la loi n° 93-1418 en date du 31 décembre 1993 modifiant les dispositions du code du travail applicables aux opérations de bâtiment ou de génie civil en vue d’assurer la sécurité et de protéger la santé des travailleurs ; - le décret n° 94-1159 en date du 26 décembre 1994 relatif à l’intégration de la sécurité et à l’organisation de la coordination en matière de sécurité ; - le décret n° 95-543 en date du 4 mai 1995 relatif au collège inter6entreprise de sécurité, de santé et des conditions de travail ; - les décrets en date du 6 mai 1995 relatifs aux dispositions réglementaires que doivent respecter les travailleurs indépendants, d’une part, et modifiant divers textes réglementaires pour les rendre applicables aux indépendants, d’autre part. Catégories des opérations de bâtiment et de génie civil suivant article R. 238-8 1er Catégorie 2ème Catégorie 3ème Catégorie opérations supérieures à 10000 - opérations soumises à déclaration les autres opérations, à l’exclusion hommes/jour où seront présentes au préalable, opérations supérieures à des opérations chez les particuliers moins dix entreprises. 500 hommes/jour (opérations d’un visées par l’article L. 235-4, 2è (opérations d’un montant TTC > montant TTC > 2 000 000 francs) alinéa, du code du travail. 25 000 000 francs) - chantiers où sont exécutés des travaux à risques particuliers visés par l’article L. 235-6 du code du travail. opérations soumises à l’obligation opérations soumises à l’obligation autres opérations de constituer un collège d’établir un plan général de interentreprises de sécurité, de coordination en matière de sécurité santé et des conditions de travail. et de protection de la santé Niveaux de compétence de coordonnateur suivant article R. 238-9 niveau 1 niveau 2 niveau 3 aptitude à coordonner toutes aptitude à coordonner les opérations aptitude à coordonner les opérations opérations des 2e et 3e catégories de la 3e catégorie. Principales obligations du maître d’ouvrage : - Obligations de faire : appliquer les principes généraux de prévention, article L. 235-1 ; - déclarer les opérations de niveau I et II, articles L. 235-2, R. 238-1, R 238.2 ; - désigner le coordonnateur SPS compétent doté de l’autorité et des moyens nécessaires à sa mission, articles L. 235-4 (alinéa 1), L. 235-5, R. 238-16, R.238-17, R.238-18 ; - réaliser les voiries et réseaux divers préalables pour les opérations de bâtiment (> 760 000 €), articles L. 235-16, R. 238-40 à R. 238-45 ; - organiser les rapports entre maître d’œuvre, entreprises et coordonnateur, articles L. 235-5, R. 238-16, R. 235-17, R. 235-19 ; - conserver le P.G.C.S.P.S. pendant cinq ans à compter de la réception de l’ouvrage, article R. 238-25 ; - conserver et transmettre le D.I.U.O., articles L. 235-15, R. 238-38 ; Date : 2/3/2010 5 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. - constituer le C.I.S.S.C.T., articles L. 235-11 à L. 235-14, R. 238-46 à R. 238-56 ; - se concerter avec les autres M.O.A. en cas de pluralité d’opérations, avec risque d’interférence, article L. 235-10. - Obligations de faire6 faire : veiller à la mise en application des principes généraux de prévention, articles L. 235-1, L. 235-18, R. 238-18 ; faire établir le P.G.C.S.P.S. par le coordonnateur S.P.S., articles L. 235-6, R. 238-20 à R. 238-25 ; faire ouvrir le registre-journal de la coordination par le coordonnateur S.P.S., article R. 238-18 ; faire constituer le D.I.U.O. par le coordonnateur S.P.S., articles L. 235-15, R. 238-37 à R. 238-39. Principales obligations du coordonnateur S.P.S : - être expérimenté et compétent, articles L. 235-4, R. 238-5 à R. 238-11 ; - ouvrir et compléter le R.J.C., article R. 238-19 ; - appliquer les principes généraux de prévention, articles L. 235-1, R. 238-18 ; - participer aux réunions organisées notamment par le maître d’ouvrage, articles L. 235-4, R. 238-17 ; - élaborer et tenir à jour le plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L. 235-6, R. 238-18, R. 238-22 ; - arrêter les mesures générales en concertation avec le maître d’œuvre, article R. 238-23 ; - harmoniser les P.P.S.P.S. dans le plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L. 235-3, R. 238-18 ; - assurer le passage des consignes avec le coordonnateur de réalisation, article R. 238-18 ; - organiser la coordination entre les différentes entreprises, article R. 238-18 ; - constituer et compl2ter éventuellement, le D.I.U.O., article R. 238-18 ; - tenir compte des interférences sur le site ; - procéder aux visites de chantier avec les entreprises, article R. 238-48 ; - élaborer le projet de règlement C.I.S.S.C.T., articles L. 235-11 à L. 235-14, R. 238-53 ; - présider le C.I.S.S.C.T., article R. 238-18 ; - faire adopter le règlement du C.I.S.S.C.T., article R. 238-54 ; - conserver le R.J.C. pendant cinq ans à compter de la réception de l’ouvrage, article R. 238-19. Principales obligations du maître d’œuvre : - appliquer les principes généraux de prévention, article L. 235-1 ; - participer aux travaux du C.I.S.S.C.T., articles L. 235-11 à L. 235-14, R. 238-46 à R. 235-56 ; - appliquer les règles fixées aux articles L. 235-1 (dernier alinéa), L. 235-2, L. 235-4 à L. 235-7, L. 23510 à L. 235-12 et L. 235-15 pour les opérations conduites dans les habitants, dérogation article L. 2351; - coopérer avec le coordonnateur pendant la phase de conception et réalisation en l’associant aux réunions et lui transmettant ses études, articles L. 235-5, R. 238-17, R. 238-18 ; - viser les observations du coordonnateur portées au R.J.C. et lui répondre le cas échéant, article R. 238-19 ; - arrêter les mesures générales en concertation avec le coordonnateur S.P.S., article R. 238-22. Principales obligations de l’entrepreneur, du travailleur indépendant ou du sous-traitant : - respecter et appliquer les principes généraux de prévention, articles L. 230-2, L. 235-1, L. 235-18 ; - rédiger et tenir à jour les P.P.S.P.S., les transmettre aux organismes officiels (I.T., C.R.A.M., et O.P.P.B.T.P.) au coordonnateur ou au maître d’ouvrage et les conserver pendant cinq ans à compter de la réception de l’ouvrage, articles L. 235-7, R. 238-26 à R. 238-36 ; - participer et laisser participer les salariés au C.I.S.S.C.T., articles L. 235-11 à L. 235-14, R. 238-46 à R. 238-56 ; - respecter les obligations résultant du plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé (P.G.C.S.P.S.), articles L. 235-1, L. 235-18, livre II et décrets non codifiés ; - respecter les obligations issues du livre II du code du travail, notamment les grands décrets techniques (8 janvier 1965, etc.) ; - viser le R.J.C. et répondre aux observations ou notifications du coordonnateur, article R. 238-19. Déclaration préalable Suivant article R. 238-1 du décret n° 94-1159 du 26 décembre 1994 : Date : 2/3/2010 6 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Déclaration préalable (article R. 238-1) : sont soumises à l’obligation de déclaration préalable prévue à l’article L. 235-2 les opérations de bâtiment ou de génie civil pour lesquelles l’effectif prévisible des travailleurs soit dépasser vingT travailleurs à un moment quelconque des travaux et dont la durée doit excéder trente jours ouvrés, ainsi que celles dont le volume prévu des travaux doit être supérieur à 500 hommes-jours. Collège interentreprises de sécurité Le collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail sera conforme au décret n° 95-543 du 4 mai 1995, art. 1er : Article R. 238-46 : pour l’application du premier alinéa de l’article L. 235-11, le maître d’ouvrage est tenu de constituer un collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail lorsque le chantier doit dépasser un volume de 10 000 hommes-jours et que le nombre d’entreprises soustraitantes inclus, est supérieur à dix s’il s’agit d’une opération de bâtiment ou à cinq s’il s’agit d’une opération de génie civil. Cette constitution doit être effective au plus tard vingt-et-un jours avant le début des travaux. Plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé Suivant article L. 235-3 : une coordination en matière de sécurité et de santé des travailleurs doit être organisée pour tout chantier de bâtiment ou de génie civil ou sont appelés à intervenir plusieurs travailleurs indépendants ou entreprises, entreprises sous-traitantes incluses, aux fins de prévenir les risques résultant de leurs interventions simultanées ou successives et de prévoir, lorsqu’elles s’impose, l’utilisation des moyens communs tels que les infrastructures, les moyens logistiques et les protections collectives. Le plan général de coordination sera conforme aux articles R. 238-20 à 238-25. Vérifications Chaque entrepreneur est tenu de vérifier l’ensemble des documents fournis. Les textes et documents énumérés dans l'ensemble des pièces du marché sont non exhaustifs, à ce titre ils ne pourront être considérés comme limitatifs. Il ne pourra en aucun cas s’appuyer sur des imprécisions, omissions ou erreurs existantes sur les documents fournis, pour éluder la responsabilité d’un ouvrage non conforme aux règles de l’Art ou dont l’exécution laisserait à désirer. Avant toute mise en œuvre l’entrepreneur s’assurera de la possibilité de suivre les indications et cotes fournies, pour l’exécution de ses travaux. En cas d’impossibilité, il en référera immédiatement au Maître d’ Œuvre. Il ne pourra en aucun cas modifier le projet du Maître d’ Œuvre, mais devra signaler toutes modifications qu’il croirait utile d’y apporter. En tant que spécialiste, il provoquera tous renseignements sur tout ce qui lui semblerait douteux ou incomplet, et devra compléter les dessins qui lui seront remis par le Maître d ’Œuvre. Faute de se conformer aux présentes prescriptions, il deviendra responsable de toutes les erreurs relevées au cours de l’exécution, ainsi que des conséquences de toute nature qu’elles entraîneraient. Réservations Les entreprises intéressées devront remettre en son temps au titulaire du lot Gros Œuvre, les schémas et plans de réservation. En l’absence de ceux-ci, les réservations seront exécutées par le lot Gros Œuvre à la charge de l’entreprise concernée. Nettoyage de chantier Les ouvrages de chaque lot devront être laissés en parfait état d’achèvement et de propreté ainsi que le chantier et les abords. Tous les matériaux non utilisables seront enlevés et transportés ou stockés dans les différentes filières en fonction de la nature des déchets, par l’entreprise concernée, en respect du plan de gestion des déchets départemental, et de la circulaire du 15 février 2000 relative à la planification de la gestion des déchets de chantier du bâtiment et des travaux publics (BTP). Dans le cas contraire, le nettoyage du chantier et l’évacuation des déchets seront exécutés par le lot Gros Œuvre suivant les mêmes respect tant qu’à la gestion des déchets, à la charge du ou des corps d’état concernés. L’ensemble des abords du chantier ainsi que toutes traces de chantier seront dégagés au plus tard 15 jours avant la réception des travaux. Date : 2/3/2010 7 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Remplacement des ouvrages défectueux Les matériaux ou fournitures jugés défectueux ou non conformes à la qualité prescrite, seront refusés et remplacés, en cours d’exécution ou lors des réceptions de travaux, conformément aux décisions du Maître d’ Œuvre. Réunions de chantier Les réunions de chantier devront être suivies régulièrement par tous les entrepreneurs qui devront y donner les suggestions ou les problèmes qu’ils auraient pu rencontrer dans la préparation de leur lot (voir CCAP), sous peine d’une amende forfaitaire par absences non justifiées (voir CCAP chapitre 4.3 Pénalités pour retard). Variantes Les entreprises soumissionnaires devront impérativement répondre aux variantes demandées au CCTP sous peine de voir leurs offres refusées. Les prestations non prévues au CCTP et jugées indispensables par les entreprises seront chiffrées en variante. Tout mode de construction concurrentiel autre que celui défini au CCTP pourra être proposé par l’entrepreneur en variante de son offre. Il devra alors tenir compte des sujétions et frais créés par l’incidence de son offre (études techniques, cotation des plans, ouvrages de second œuvre des autres lots, etc.). Toutefois les propositions de base seront impérativement conformes au présent CCTP. Options Les entreprises soumissionnaires devront impérativement répondre aux options demandées au CCTP sous peine de voir leurs offres refusées. Les prestations non prévues au CCTP et jugées indispensables par les entreprises seront chiffrées en variante. Tout mode de construction concurrentiel autre que celui défini au CCTP pourra être proposé par l’entrepreneur en variante de son offre. Il devra alors tenir compte des sujétions et frais créés par l’incidence de son offre (études techniques, cotation des plans, ouvrages de second œuvre des autres lots, etc.). Toutefois les propositions de base seront impérativement conformes au présent CCTP. Choix des matériaux Les marques de matériaux et produits indiqués dans le CCTP sont données à titre indicatif. Elles ont été choisies en référence, soit pour leurs caractéristiques techniques, leur comportement au feu, leur aspect ou leurs qualités. Les entreprises pouvant proposer toutes autres marques à qualités et caractéristiques comparables, lors de la remise des offres en joignant les références des produits ou matériaux qu’il se propose d’employer ainsi que les fiches techniques correspondantes par prestation. Le choix définitif, étant arrêté par le Maître d’ Œuvre. Tout produit ne faisant pas l’objet d’un avis technique ou n’étant pas couvert par une assurance, ne pourra être pris en considération. Compte Prorata Conformément à la NF P 03-001 (la présente norme a pour objet de mettre à la disposition des intéressés un Cahier des Clauses Types comme ‘Cahier des Clauses Administratives Générales’ applicable aux travaux de bâtiment faisant l'objet de marchés privés) (CCAG), article 12 (dépenses d’intérêt commun - compte prorata), le panneau de chantier, le bureau de chantier, toutes les dépenses communes (branchements et consommations) seront exécutés aux frais des entreprises adjudicataires et implicitement compris dans leur prix. Ces frais seront répartis entre les entreprises au prorata de leur marché sous le contrôle du Maître d’ Œuvre L’entreprise de Gros Œuvre aura la gestion du compte prorata, et devra prendre toutes dispositions pour assurer la sécurité des personnes et des biens sur l’espace public. Clauses spéciales de pré-chauffage L’exécution des travaux de certains ouvrages étant liée à des conditions de température minimale ou de degré hygrométrique limité, l’entrepreneur ne pourra refuser l’exécution ou la continuité de ces travaux s’il peut être satisfait aux dites conditions par un pré-chauffage approprié. Les frais correspondants seront comptés au compte prorata, à condition que l’exécution des travaux dans la période considérée corresponde au calendrier d’exécution. Frais à la charge des entreprises Date : 2/3/2010 8 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Voir Chapitre ‘Compte Prorata’ . Les frais d’études techniques seront à la charge des entreprises adjudicataires. Les plans techniques devront recevoir l’approbation du Maître d’ Œuvre. Sécurité incendie pour établissements recevant du public Classement des établissements Les établissements sont classés en types, selon la nature de leur exploitation : a) Etablissements installés dans un bâtiment : - L - Salles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple ; - M - Magasin de vente, centres commerciaux ; - N - Restaurants et débits de boissons ; - O - Hôtels et pensions de famille ; - P - Salles de danse et salles de jeux ; - R - Etablissements d’enseignement, colonies de vacances ; - S - Bibliothèques, centres de documentation ; - T - Salles d’expositions ; - U - Etablissements sanitaires ; - V - Etablissements de culte ; - W - Administrations, banques, bureaux ; - X - Etablissements sportifs couverts ; - Y - Musées. b) Etablissement spéciaux : - PA - Etablissements de plein air ; - CT - Chapiteaux et tentes ; - SG - Structures gonflables ; - PS - Parcs de stationnement couverts ; - GA - Gares ; - OA - Hôtels, restaurants d’altitude. 1 - Types : ces dispositions sont prises en application de l’article R. 123.18 du Code de la construction et de l’habitation. a) Ces établissements sont soumis aux dispositions du Livre II lorsqu’ils sont des 1, 2, 3 et 4e catégories, et à celles du Livre III lorsqu’ils appartiennent à la 5e catégorie. b) Ces établissements sont soumis aux dispositions du Livre IV relatif aux établissements spéciaux. Pour l’application du règlement de sécurité, les établissements recevant du public sont classés en deux groupes : - le premier groupe comprend les établissements des 1, 2, 3, et 4e catégories ; - le deuxième groupe comprend les établissements de 5e catégorie. 2 - Catégories : ces dispositions sont prises en application de l’article R. 123-19 du Code de la construction et de l’habitation. Catégories des établissements recevant du public 1er groupe 2e groupe Grands Etablissements (G.E.) Petits Etablissements (P.E.) Catégorie 1ère 2ème 3ème 4ème 5ème Nombre de > 1500 701 301 700 300 (1) 300 (2) personnes 1500 (1) 4e catégorie : 300 personnes et au-dessous, à l’exception des établissements compris dans la 5e catégorie. (2) 5e catégorie : établissements faisant l’objet de l’article R. 123-14 dans lesquels l’effectif du public n’atteint pas le chiffre minimum fixé par le règlement de sécurité pour chaque type d’exploitation. Date : 2/3/2010 9 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Résistance au feu des structures et planchers (règles générales) Etablissement occupant entièrement le bâtiment Etablissement occupant partiellement le bâtiment Simple rez-de-chaussée Etablissement à un seul niveau Plancher bas du niveau le plus haut situé à moins de 8 mètres du sol Différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l’établissement Inférieure ou égale à 8 mètres Plancher bas du niveau le plus haut situé à plus de 8 mètres et jusqu’à 28 mètres y compris Différence de hauteur entre les niveaux extrêmes de l’établissement Supérieure à 8 mètres Catégorie de l’établissement Toutes catégories 2e catégorie 3e catégorie 4e catégorie Résistance au feu Structure SF de degré 1/2 h Plancher CF de degré 1/2 h Structure SF de degré 1/2 h Plancher CF de degré 1/2 h 1e catégorie Structure SF de degré 1 h Plancher CF de degré 1 h 2e catégorie 3e catégorie 4e catégorie Structure SF de degré 1 h Plancher CF de degré 1 h 1e catégorie Structure SF de degré 1 h 1/2 Plancher CF de degré 1 h 1/2 Caractéristiques des distributions intérieures et compartimentages Parois entre locaux accessibles au public Parois entre locaux accessibles au public Degré de stabilité et locaux non accessibles au public au feu exigé Parois limitant classés pour la structure les compartiments à risques courants du bâtiment Non réservés au Réservés au sommeil (1) sommeil Aucune exigence PF de degré 1/4 PF de degré 1/4 CF de degré 1/4 CF de degré 1/2 heure heure heure heure 1/2 heure CF de degré 1/2 PF de degré 1/2 CF de degré 1/2 CF de degré 1/2 heure heure heure heure 1 heure CF de degré 1 PF de degré 1/2 CF de degré 1 heure CF de degré 1 heure heure heure 1h½ CF de degré 1 PF de degré 1/2 CF de degré 1 heure CF de degré 1 h 1/2 heure heure 1) Toutefois, cette disposition n’est pas exigée à l’intérieur d’un ensemble de locaux contigus qui ne dépasse pas 300 m2 au même niveau. L’ensemble des ouvrages devra être conforme aux présents règlements de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant du public, suivant arrêté du 25 juin 1980 modifié et complété. Parois entre locaux et dégagements accessibles Au public Risque sismique Suivant les zones de construction et la nature des immeubles il sera tenu compte des décrets, arrêtés et règles de constructions parasismique, en particulier : - décret n° 91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique ; - arrêté du 29 mai 1997 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la catégorie dite ‘à risque normal’ telle que définie par le décret n° 91-461 du 14 mai 1991 relatif à la prévention du risque sismique ; - règles de constructions parasismique : - norme NF P 06-013 règles PS applicables aux bâtiments dites ‘Règles PS 92’ ; - norme NF P 06-014 Construction parasismique des maisons individuelles et des bâtiments assimilés dites ‘Règles PS-MI 89 révisées 92’. Date : 2/3/2010 10 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Bureaux de contrôle Mission solidité SOCOTEC 47, rue Alphandéri 52000 Chaumont Mission S .P. S. ACE BTP z.i. Rue Lavoisier BP 50 52800 Nogent A la charge du Maître d’Ouvrage. Bureaux d’études BETC Masse - Roustan 49 Rue Lévy Alphandéry 52 000 CHAUMONT Tel : 03-25-03-39-51 Fax : 03-25-32-16-52 BET S.A.R.L. S.E.T.I. Rue St Aventin.Z.A. 10150 Crenay-près-Troyes Tel : 03-25-11-11-25 Fax : 03-25-80-72-90 GEOTEC 9 Boulevard de l’Europe 21 800 QUETIGNY LES DIJON Tel : 03-80-48-93-21 Fax : 03-80-48-93-22 A la charge du Maître d’Ouvrage. *Les pré-études des bureaux C.C.T.P études bétons et fluides sont annexées au présent Objet du programme Le présent CCTP a pour objet la construction d’un groupe scolaire à Provenchères sur Meuse Maître d’Ouvrage : Communauté de Communes du Bassigny 28 rue Hubert Collot 52140 Val de Meuse tél : 03 25 88 57 07 fax : 03 25 88 00 90 Maître d’ Œuvre : S.I.C.A.H.R Date : 2/3/2010 11 Rue Georges PARGEAS - 10 000 TROYES 03-25-73-36-30 11 Communauté de Communes du Bassigny Date : 2/3/2010 Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse 12 C.C.T.P. Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. LOT N° 1 –V.R.D Généralités L’entrepreneur utilisera exclusivement le terrain de la propriété construite, pour les besoins du chantier. Il respectera l’état de la voirie et devra prendre toutes dispositions de précaution dues aux passages des engins nécessaires au chantier. Toute reprise de voirie après dégradations causées par ses engins, sera à la charge de l’entrepreneur. Il devra également assurer régulièrement le nettoyage et éventuellement le dégagement de la voirie en sortie de chantier. Le terrain sera pris dans l’état actuel sans qu’aucun travail n’y soit préalablement effectué. L’entrepreneur devra fournir au Maître d’Oeuvre un plan d’installation de chantier indiquant les accès prévus sur le chantier pour les engins et les zones de stockage des matériaux, ainsi que l’emplacement éventuel des cabanes de chantier. 1.1. Débroussaillages 1.1.1. Mise à nu du terrain, comprenant le débroussaillage, l’arrachage, l’abattage des arbres non conservés et le dessouchage afin d’éliminer toutes les plantations et végétations diverses existantes sur le terrain. Les déblais seront mis en dépôt et brûlés, sur place avec autorisation et permis de feu ; ou chargés sur camion et envoyés par l’entrepreneur dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental. LOCALISATION : SUR L’ENSEMBLE DU TERRAIN CONSTITUTION DES PLATES-FORMES Généralités Les travaux du présent chapitre seront effectués suivant le cahier des charges du DTU n° 12 en fonction de : - la nature du sol ; - rappel des chapitres suivant CCTP. Avec les plates-formes, l’entrepreneur du présent lot devra les ouvrages complémentaires nécessaires à la réalisation des ouvrages de voiries et en particulier : - évacuation des déblais excédentaires ; - démolition et évacuation des ouvrages de toute nature rencontrés lors des mises à niveau de plates-formes ou gênant les ouvrages ; - remise en état et/ou modifications des canalisations et tuyauteries restant en service (il sera procédé à un relevé des canalisations rencontrées qui seront portées sur le plan de récolement) ; drainage de chantier, etc. 1.2. Décapages 1.2.1. Décapage de la terre végétale, sur toute son épaisseur suivant composition du terrain (0,20 m minimum). Terre mise en tas pour réutilisation des abords de finitions et plantations le cas échéant.. Cette terre sera purgée de tous produits étrangers, tels que grosses pierres, racines, vieilles souches, Date : 2/3/2010 13 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. etc., qui seront envoyés par l’entrepreneur dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental.. LOCALISATION : DECAPAGE DANS L’EMPRISE DU BATIMENT ET SURFACES CONSTRUITES SELON PLAN DE MASSE DANS LES LIMITES DE L’OPERATION 1.3. Terrassements L’entrepreneur reconnaît avoir parfaitement apprécié toutes les servitudes résultant de la surface, des accès, de la nature du sol ainsi que de toutes les sujétions. Il reconnaît avoir eu toute liberté pour faire enquêtes, sondages et recherches qu’il aura jugés nécessaires. Les travaux de terrassement seront exécutés quelle que soit la nature du terrain, y compris toutes sujétions. ‘Limites de prestation’ L’entreprise devra les mises à niveau des plates-formes de terrassement des immeubles et voiries. Sont prévus au lot gros œuvre, les terrassements complémentaires les fouilles en trou ou en rigole, les fouilles pour réseaux organiques sous immeubles et pour travaux extérieurs (clôtures, murets, etc.). Niveaux de plates-formes Plates-formes en déblais Les plates-formes seront arasées suivant niveaux définis Chapitre ‘Terrassement - Niveaux de platesformes’ ci avant, par rapport aux niveaux de sol fini intérieur et suivant finitions en extérieur. Déblais compris les piquetages ‘général et spécial’ s’ils n’ont pas été réalisés par le Maître d’Oeuvre, les piquetages complémentaires, l’extraction et le chargement, le déchargement des matériaux aux lieux d’utilisation ou de dépôt, le réglage et compactage de la plate-forme, la protection de la plateforme et des talus contre les eaux de ruissellement. Compris les essais de plaques. 1.3.1. Constitution de plates-formes, en déblais dans la masse en terrain de toute nature, arasé suivant niveau moins 0.40 sous l’isolation de l’immeuble par rapport au niveau fini intérieur et suivant finitions en extérieur. Les excédents de déblais serviront de remblais extérieurs. Leur utilisation ne sera pas admise sous dallage ou contre les fondations. Les excédents de terre seront repoussés et nivelés dans la parcelle. LOCALISATION : MISE A NIVEAU DES PLATES-FORMES DE TERRASSEMENT SUIVANT PROFILS ET COURBES DE NIVEAU SUR PLAN DE MASSE GENERAL. 1.3.2. Vidange, curage, remblaiement de la marre compris tous travaux d’assainissement, de gestion des eaux (provisoires et/ou définitifs) et de consolidation des sols. LOCALISATION : REMBLAIEMENT DE LA MARRE ET CONSOLIDATION DE SES ABORDS 1.3.3 Démolitions des ouvrages et des clôtures non conservés. Les clôtures en pierres seront démontées et stockées sur place pour réemploi. Les gravois seront dirigés vers les filières de traitements. Date : 2/3/2010 14 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. LOCALISATION : DEMOLITIONS MURETS SELON PROJET 1.3.4 Réalisation du remblai technique de substitution, consiste à créer un sol reconstitué suivant les prescriptions de l’analyse géologique en annexe. LOCALISATION : EMPRISE DU PROJET 1.4. Nivellements, profilages Un bon réglage de la surface et des pentes transversales de 2 à 4 % doit être observé afin de permettre l’évacuation des eaux de pluie et de ruissellement. Le réglage de la surface est réalisé par une niveleuse. 1.5. Finition de la forme 1.5.1. Epandage et régalage de terre végétale, avec terre mise en dépôt lors des décapages de sol. Travaux comprenant la répartition et le nivellement de la terre végétale pour obtenir un profil régulier. LOCALISATION : SUR L’ENSEMBLE DE LA SURFACE NON CONSTRUITE SUIVANT COTES DE NIVEAUX ET PLAN DE MASSE IMPLANTATION DES OUVRAGES V.R.D Généralités La recherche des cotes d’implantation et de niveaux est à la charge de l’entreprise du présent lot. Le prix en est implicitement compris dans l’offre de l’entreprise. Elle sera exécutée par un géomètre qualifié faisant partie de son personnel ou à défaut, par un géomètre expert. Les cotes de situation du projet seront rigoureusement respectées et établies avant les travaux de terrassement pour l’exécution des plates-formes définies au chapitre ‘Constitution des plates-formes’ du présent lot. Les cotes de niveaux seront vérifiées sur le chantier par l’entrepreneur en fonction des niveaux de fil d’eau et de branchements des réseaux organiques. L’entrepreneur devra demander en temps utile au Maître d’Oeuvre la vérification contradictoire de son implantation, cette vérification étant à la charge de l’entrepreneur. Un point de niveau fixe sera matérialisé par une borne bétonnée, par un repère sur un mur existant ou borne scellée au sol et sera conservé durant toute la durée du chantier. Date : 2/3/2010 15 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. INSTALLATIONS DE CHANTIER V.R.D 1.6. Protections spéciales de chantier 1.6.1. Signalisation temporaire du chantier, travaux comprenant : - l’amenée, la mise en place, l’exploitation, la surveillance et le remplacement (s’il y a lieu) des dispositifs de signalisation temporaire du chantier ; - le repliement en fin des travaux des panneaux et des dispositifs de signalisation temporaire du chantier. LOCALISATION : ENSEMBLE DU CHANTIER RESEAUX DE CHANTIER Généralités Les réseaux de chantier sont organisés par le lot Gros-Œuvre. RESEAUX ORGANIQUES Généralités Les ouvrages de réseaux organiques seront conformes aux normes NF P 16 (canalisations - drainage – égout - assainissement). Les canalisations posées par l’entrepreneur seront conformes aux normes correspondantes, et seront de classement réaction au feu M1 L’entrepreneur veillera particulièrement aux assemblages, dilatation et fixations des canalisations. Les adhésifs utilisés pour les assemblages par collage doivent être titulaires d’un avis technique et comporter leur numéro d’identification sur l’emballage. Tous les réseaux organiques non apparents feront l’objet d’un relevé et d’un plan de récolement établi par l’entrepreneur et remis au Maître d’Oeuvre en fin de chantier. Ce plan indiquera les parcours des canalisations de sous œuvre, les niveaux de fil d’eau, des tampons, des regards, ainsi que la nature et le diamètre des canalisations et les fluides transportés par ces dernières. La mise en œuvre et le dimensionnement des tranchées seront conforme à la norme NF EN 1610 Mise en œuvre et essai des branchements et collecteurs d’assainissement. Dans le cas où plusieurs tuyaux sont posés dans la même tranchée ou sous remblai indéfini, un espace de travail minimal doit être respecté horizontalement entre les canalisations. En l’absence d’autres spécifications, il doit être de 0,35 m pour DN 700 et de 0,50 m pour DN > 700. Les fouilles sont descendues à 0,15 m au-dessous du fil d’eau des canalisations de manière à permettre la confection de l’assise de la canalisation. Les remblais sont compactés par couches successives de 0,30 m maximum d’épaisseur. Le fil d’eau des canalisations doit être parfaitement réglé sans ressauts (saillies du tuyau ou bavures du mortier) et sans contre-pente. Aucune tolérance n’est admise sur ces deux exigences. Aux traversées de chaussées, les tranchées sont entièrement remblayées en grave naturelle jusqu’au niveau du fond de forme et ensuite les chaussées sont rétablies dans leur constitution d’origine. Date : 2/3/2010 16 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Les travaux relatifs à l’ouverture et au remblayage des fouilles ou tranchées, ainsi qu’à la réfection des chaussées et des ouvrages annexes, nécessités par la mise en place ou l’entretien de réseaux seront conformes à la norme NF P 98-331 Chaussées et dépendances - Tranchées : ouverture, remblayage, réfection. Les travaux comprennent : - l’ouverture des fouilles y compris les étaiements nécessaires ; - l’exécution du lit de pose des canalisations et le calage de celles-ci ; - la fourniture et pose des canalisations y compris pièces de raccords (coudes, etc.) ; - les passages sous conduites existantes (téléphone, électricité, gaz, eau potable, eau pluviale, eau usée, etc.) ; - le détournement éventuel des eaux superficielles ou les épuisements de celles venant du fond, jusqu’à une puissance effective de 3KW ; - le triage et le réemploi des déblais pour enrobage des tuyaux conformément à l’article 59 du fascicule n° 0 du CCTG ; - la reconstitution des chaussées, trottoirs et accotements non revêtus ; - le remblayage des tranchées avec des matériaux de déblai ; - la remise en place des bordures de trottoirs et caniveaux ; - le raccordement des canalisations aux regards existants ou projetés ; - l’étanchéité des tuyaux en attente qui sera assurée par des tampons spéciaux à joint caoutchouc, à l’exclusion de tout autre dispositif tel que bouchon de plâtre ou de ciment ; - la dépose éventuelle de canalisations existantes ; - l’évacuation des déblais excédentaires ou impropres au remblayage des tranchées dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental ; - les regards, etc., (cette liste n’est pas limitative.). ‘Réglementation Sanitaire’ Les réseaux d’évacuation des eaux pluviales et usées doivent être réalisés conformément aux dispositions du ‘Règlement sanitaire départemental type’ du 9 août 1978 (J.O. du 13 septembre 1978) , modifié par les circulaires du 26 avril 1982 (J.O. du 13 juin 1982), 20 janvier 1983 (J.O. du 25 février 1983), 18 mai et 10 août 1984 (J.O. du 20 juillet et 2 septembre 1984) et en particulier à celles des articles 42 à 44 du titre II chapitre III section 2. ‘Principe récolement’ Les évacuations des eaux pluviales et eaux résiduaires seront réalisées pour être branchées sur égouts séparatifs. Un plan d’ensemble du passage des canalisations sera remis au maître d’ œuvre avant la fin des travaux. ‘Sécurité chantier’ Les règles générales de sécurité seront conformes au décret n° 65-48 du 8 janvier 1965, titre IV ‘Travaux de terrassement à ciel ouvert’. ‘Limites de prestations’ Les réseaux organiques sont à prévoir à partir des sorties en façade de l’école, jusqu’au raccordement sur réseaux communaux en limite de propriété ou de proximité immédiate suivant plan. Les canalisations sous dallage de l’immeuble sont prévues au lot Gros Oeuvre. 1.7. Eaux pluviales Date : 2/3/2010 17 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Tranchée Tranchée réseau eaux pluviales, travaux comprenant : 1.7.1. - fouille en tranchée en terrain de toute nature, de profondeur variable suivant niveau fils d’eau ; - fond de fouille avec lit de sable de carrière de 10 cm d’épaisseur ; - enrobage de la canalisation avec sable de carrière compacté ; - recouvrement avec sable de carrière de 30 cm d’épaisseur compacté par couches de faible épaisseur ; - grillage de signalisation posé sur sable de recouvrement ; - finition de remblai avec terre végétale provenant de la fouille, tassée et compactée ; - enlèvement et envoie dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental des surplus de déblais LOCALISATION : TRANCHEES SUIVANT PLAN Canalisations Canalisations en PVC-L (polychlorure de vinyle allégé) de diamètres appropriés pour évacuation des eaux de pluie et de ruissellement ,posées en tranchée sur lit de sable fin . Canalisations y compris calage, façon des joints à la colle, coudes, culottes, branchements. Mise en œuvre suivant norme NF P 41-212 Canalisations en PVC non plastifié - évacuation des eaux pluviales (référence DTU 60.32 - CC) et Avis Technique du fabricant. * 1.7.2. Tuyaux PVC-L avec marquage spécial ‘EP’ - Caractéristiques dimensionnelles (*) Diamètre Diamètre extérieur Diamètre extérieur Epaisseur Masse linéique extérieur nominal moyen minimal moyen maximal (mm) (approximative Dn Dm Dm ) (mm) (mm) (mm) nominale (e) maximal (kg/m) e 75 75,0 75,3 1,8 2,2 0,391 80 80,0 80,3 1,9 2,3 0,438 100 100,0 100,3 2,1 2,6 0,615 110 110,0 110,4 2,2 2,7 0,705 125 125,0 125,4 2,5 3,0 0,900 Les caractéristiques dimensionnelles des tuyaux PVC - L sans marquage spécial ‘EP’ sont repris dans le tableau ‘Tuyaux PVC - L - Caractéristiques dimensionnelles chapitre ‘Eaux Résiduaires Canalisations’, article ‘Canalisations en PVC - L’ (code 162.21) du présent lot. Canalisations PVC-L diamètres appropriés, épaisseur nominale 2,1 mm, marquage spécial EP, pente suivant niveau fil d’eau plan de réseaux. LOCALISATION : CANALISATIONS SUIVANT PLAN Date : 2/3/2010 18 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Regards Regard compris le terrassement manuel, le remblai et régalage des terres excédentaires, la forme en sablon pour assise, le percement des passages réservés et scellement des embouts de canalisations d’arrivées pour assurer la jonction des réseaux. Boîtes de branchement en béton fabriqués en usine, jusqu’à profondeur du fil d’eau, conforme à la norme NF P 16-343 (Eléments fabriqués en usine pour boîtes de branchement en béton sur canalisations d’assainissement). Assemblage souple des éléments de boîtes de branchement en béton réalisé par une garniture d’étanchéité constituée : - soit d’une garniture d’étanchéité en caoutchouc livrée séparément ou faisant partie intégrante des éléments et dont les caractéristiques sont précisées dans la norme NF T 47-305 (Bagues d’étanchéité en caoutchouc pour joints de canalisations d’eau) ; - soit d’un matériau plastique livré séparément et dont les caractéristiques sont précisées dans les textes normatifs les concernant. Boîte de branchement composée des éléments : - un élément de fond, constituant la chambre inférieure de l’ouvrage, assemblé avec la partie amont et la partie aval de la canalisation. Elément de section circulaire ou carrée avec cunette et banquettes ; - un ou plusieurs éléments droits, ils pourront éventuellement assurer le branchement d’autres canalisations ; - un dispositif de fermeture constitué d’un tampon, qui assure la fermeture de l’ouvrage, conforme à la norme NF EN 124. L’ensemble compris toutes sujétions de mise en œuvre. Les éléments de fond comportent normalement une cunette, dimensionnent : - la hauteur des banquettes de raccordement du fil d’eau aux parois de la boîte de branchement est telle que la hauteur du fil d’eau/raccordement de la banquette aux parois de la boîte est au moins égale aux deux tiers du diamètre du tuyau de raccordement ; - la hauteur de la cunette est au moins égale au tiers du diamètre du tuyau de branchement ; - changement de direction : pour tenir compte de l’effet centrifuge, la hauteur de la cunette correspondant à l’extérieur du virage est d’autant plus grande que le changement de direction est important ; - angle de raccordement entre canalisation principale et branchement : - pour des canalisations de diamètre inférieur ou égal à 150 mm l’angle de raccordement sera inférieur ou égal à 90° ; - pour des canalisations de diamètre supérieur à 150 mm l’angle de raccordement sera inférieur ou égale à 67°30’. La hauteur utile des éléments droits est définie par le fabricant. Les dimensions de fabrication des dispositifs de couronnement et de fermeture sont définies par le fabricant. Les conditions de réception des boîtes de branchement en éléments de béton préfabriqués seront conformes à l’annexe A de la norme NF P 16-343. 1.7.3. Boîte de branchement section intérieure appropriée, profondeur variable suivant niveau du réseau. LOCALISATION : BOITES DE BRANCHEMENT EN PIEDS DE DESCENTES ET SUR PARCOURS DU RESEAU SUIVANT BESOINS 1.7.4. Regard de 50 x 50 intérieur avec grille, profondeur variable suivant niveau du réseau. Grille conforme à la réglementation de l’accessibilité des personnes à mobilité réduite. LOCALISATION : REGARD SUIVANT PLAN Date : 2/3/2010 19 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. POUR LES COURS POUR LES VOIERIES 1.8. Eaux résiduaires Tranchée 1.8.1. Tranchée, travaux comprenant : - fouille en tranchée en terrain de toute nature, de profondeur variable suivant niveau fils d’eau ; - fond de fouille avec lit de sable de carrière de 10 d’épaisseur ; - enrobage de la canalisation avec sable de carrière compacté ; - recouvrement avec sable de carrière de 30 d’épaisseur compacté par couches de faible épaisseur ; - grillage de signalisation posé sur sable de recouvrement ; - finition de remblai avec terre végétale provenant de la fouille, tassée et compactée ; - enlèvement et envoie dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental des surplus de déblais. LOCALISATION : TRANCHEE SUIVANT PLAN Canalisations en PVC-L (polychlorure de vinyle allégé) de diamètres appropriés posées en tranchée sur lit de sable fin. Canalisations y compris calage, façon des joints à la colle, coudes, culottes, branchements. Mise en œuvre suivant norme NF P 41-213 Canalisations en PVC non plastifié - évacuation d’eaux usées et eaux vannes (référence DTU 60.33 - CC) , chapitre 3 et Avis technique du fabricant. 1.8.2. Canalisations PVC-L diamètre approprié , pente suivant niveau fil d’eau plan de réseaux. LOCALISATION : CANALISATIONS SUIVANT PLAN 1.8.3. Branchement de canalisation, à exécuter dans le collecteur eaux résiduaires conformément aux règles de l’art, compris toutes sujétions de mise en œuvre. Ce poste inclus la mise en place du regard collecteur général et les raccordements de toute nature LOCALISATION : BRANCHEMENT SUR RESEAU EXISTANT SELON PLAN DE MASSE GENERAL Regards Date : 2/3/2010 20 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Les regards sont compris le terrassement manuel, le remblai et régalage des terres excédentaires, la forme en sablon pour assise, le percement des passages réservés et scellement des embouts de canalisations d’arrivées pour jonctions des réseaux. Boîtes de branchement en béton fabriquées en usine, jusqu’à profondeur du fil d’eau, conformes à la norme NF P 16-343 (Eléments fabriqués en usine pour boîtes de branchement en béton sur canalisations d’assainissement). Assemblage souple des éléments de boîtes de branchement en béton réalisé par une garniture d’étanchéité constituée : - soit d’une garniture d’étanchéité en caoutchouc livrée séparément ou faisant partie intégrante des éléments et dont les caractéristiques sont précisées dans la norme NF T 47-305 (Bagues d’étanchéité en caoutchouc pour joints de canalisations d’eau) ; - soit d’un matériau plastique livré séparément et dont les caractéristiques sont précisées dans les textes normatifs les concernant. Boîte de branchement composée des éléments : - un élément de fond, constituant la chambre inférieure de l’ouvrage, assemblé avec la partie amont et la partie aval de la canalisation. Elément de section circulaire ou carrée avec cunette et banquettes ; - un ou plusieurs éléments droits, ils pourront éventuellement assurer le branchement d’autres canalisations ; - un dispositif de fermeture constitué d’un tampon, qui assure la fermeture de l’ouvrage, conforme à la norme NF EN 124. L’ensemble compris toutes sujétions de mise en œuvre. Les éléments de fond comportent normalement une cunette, dimensionnent : - la hauteur des banquettes de raccordement du fil d’eau aux parois de la boîte de branchement est telle que la hauteur du fil d’eau/raccordement de la banquette aux parois de la boîte est au moins égale aux deux tiers du diamètre du tuyau de raccordement ; - la hauteur de la cunette est au moins égale au tiers du diamètre du tuyau de branchement ; - changement de direction : pour tenir compte de l’effet centrifuge, la hauteur de la cunette correspondant à l’extérieur du virage est d’autant plus grande que le changement de direction est important ; - angle de raccordement entre canalisation principale et branchement : - pour des canalisations de diamètre inférieur ou égal à 150 mm l’angle de raccordement sera inférieur ou égale à 90° ; - pour des canalisations de diamètre supérieur à 150 mm l’angle de raccordement sera inférieur ou égal à 67°30’. La hauteur utile des éléments droits est définie par le fabricant. Les dimensions de fabrication des dispositifs de couronnement et de fermeture sont définies par le fabricant. Les conditions de réception des boîtes de branchement en éléments de béton préfabriqués seront conformes à l’annexe A de la norme NF P 16-343. 1.8.4. Boîte de branchement de section intérieure appropriée, profondeur variable suivant niveau du réseau. LOCALISATION : REGARDS SUIVANT RESEAUX 1.8.5 Bac à graisse 500 litres , profondeur variable suivant niveau du réseau. LOCALISATION : SUR RESEAU EN SORTIE DE L’OFFICE SUIVANT PLAN DE MASSE Installations de séparation des hydrocarbures Date : 2/3/2010 21 Communauté de Communes du Bassigny 1.8.6. Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. Séparateur à hydrocarbures « Hydrobac »ou équivalent, en acier avec débourbeur intégré, taille 3, avec dispositif d’obturation automatique rehausse pour fil d’eau à 500 mm et couvercle de charge admissible 125 kN. Volume total 530 l pour 11 à 50 véhicules suivant normes DIN. LOCALISATION : INSTALLATION DANS TERRE-PLEIN ENGAZONNE DE LA CIRCULATION DE SERVICE 1.9. Eaux de consommation 1.9.1. Tranchée, idem tranchée pour réseau ‘EP’ d’une profondeur minimum de 0,70 m pour mise hors gel, pour parcours particuliers ne pouvant être passés en tranchée commune avec les réseaux EP et ER (grillage avertisseur bleu). LOCALISATION : TRANCHEE SUIVANT PLAN DE RESEAU Canalisations PVC pour eau sous pression Les ouvrages d’eau de consommation seront conformes à l’arrêté du 29 mai 1997 relatif aux matériaux et objets utilisés dans les installations fixes de production, de traitement et de distribution d’eau destinée à la consommation humaine. Les réseaux sont réalisés en polyéthylène haute densité série 10 bars, (la pression d’épreuve en usine ne pouvant être inférieure au double de la pression maximale de service). Les raccords en laiton sont du type ‘Huot’. 1.9.2. Tuyau polyéthylène semi-rigide de diamètre approprié, spécial eau potable, de diamètre approprié, pour alimentation eau, posé en tranchée hors gel, dressement du lit de pose, raccord et grillage, avertisseur bleu. LOCALISATION : ALIMENTATION EAU SUIVANT PLAN Regard en béton banché, parois de 10 d’épaisseur, compris le terrassement manuel, le radier de fond, les enduits étanches sur parois et chape avec façon de gorge sur radier, la couverture en tôle gaufrée avec poignée de tirage y compris cadre cornière en acier galvanisé à chaud à 60 microns et les raccords étanches pour jonctions des réseaux (fourreaux). 1.9.3. Regard de 1,00 x 1,00 intérieur, profondeur variable suivant niveau du réseau, compris échelle de descente dans regard. LOCALISATION : REGARD SUIVANT PLAN Fourreaux Les fourreaux en remontées dépasseront de 1.00 m le sol fini intérieur. 1.9.4. Fourreau PVC diamètre 72 / 80 (ou diamètre approprié) avec aiguille de tirage, pose sous dallage béton, y compris dressement du lit de pose, calage et coude de remontée. LOCALISATION : FOURREAU POUR PENETRATION SOUS DALLAGE - EAU DE CONSOMMATION Date : 2/3/2010 22 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. 1.10. Electricité 1.10.1. Tranchée, idem tranchée pour réseau ‘EP’ pour parcours particuliers ne pouvant être passés en tranchée commune avec les réseaux EP, EU - EV et AEP (grillage avertisseur rouge). LOCALISATION : TRANCHEE SUIVANT PLAN 1.10.2. Fourreau PVC diamètre 90 / 110. LOCALISATION : FOURREAU RESEAU ET PENETRATION SOUS DALLAGE - ELECTRICITE 1.11. Télécommunications 1.11.1. Tranchée, idem tranchée pour réseau ‘EP’ pour parcours particuliers ne pouvant être passés en tranchée commune avec les autres réseaux organiques. (grillage avertisseur vert). LOCALISATION : TRANCHEE SUIVANT PLAN Fourreaux Les fourreaux en remontées dépasseront de 1.00 m le sol fini intérieur. Les fourreaux seront conformes à la norme NF T 54-018 ‘Plastiques - Tubes en polychlorure de vinyle non plastifié pour lignes souterraines de télécommunications - Spécifications’. Fourreau PVC avec aiguille de tirage, posé sous dallage béton intérieur compris coude de remontée et en extérieur dans tranchée avec enrobage de sable et grillage avertisseur, posé à plus de 0,30 ml du réseau électricité. 1.11.2 Fourreau diamètre nominale Dn 45. LOCALISATION : FOURREAU RESEAU ET PENETRATION SOUS DALLAGE - TELECOM 1.11.3. Chambre de tirage PTT préfabriqué, comprenant : fouille en trou, remblai et régalage des terres excédentaires, forme en sablon pour assise, percement des passages réservés et scellements des embouts de canalisations d’arrivées. LOCALISATION : CHAMBRES DE TIRAGE SUIVANT BESOINS Date : 2/3/2010 23 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. AMENAGEMENTS DE SURFACE 1.12. Voirie L’ensemble des travaux comprend la fourniture, le transport et la mise en œuvre des matériaux (épandage, réglage, compactage, arrosage éventuel, etc.). Aires de voirie Couche anti-contaminante 1.12.1. Sable de carrière, sur une épaisseur moyenne de 10 cm après compactage. LOCALISATION : CHAUSSEE, PARKINGS, RECREATION ET AIRE DE SERVICE 1.12.2. Nappe matériaux non tissés ‘géotextile’, type ‘Bidim’ ou équivalent. Les caractéristiques fonctionnelles minimales du géotextile dépendront de la nature du sol à filtrer et de son enrochement ainsi que des critères de rétention et de perméabilité, l’entrepreneur demandera l’assistance technique du fabricant pour la bonne définition du géotextile. Nappe posée sur le fond de forme, préalablement réglé et compacté. Pose avec un chevauchement de 50 cm minimum au cas où deux rouleaux seraient nécessaires pour couvrir la voie à protéger. LOCALISATION : COUCHE ANTI-CONTAMINANTE POUR CHAUSSEE, PARKINGS, RECREATION ET AIRE DE SERVICES Couche de fondation Les couches de fondations seront compactées par 20 cm d’épaisseur maximale. Les matériaux proviendront des carrières agréées par le Maître d’Oeuvre. 1.12.3. Grave recomposée humidifiée GNT 0/31,5 sur 40 d’épaisseur, épaisseur moyenne après compactage, compris épandage, réglage, compactage, arrosage éventuel. LOCALISATION : COUCHE FONDATION DES CHAUSSEES, PARKINGS, RECREATION ET AIRE DE SERVICES 1.12.4. Aire de circulation piétonne, comprenant : - géotextile anti-contaminant type ‘Type 3337’ (Griltex) ou équivalent ; - blocage de fond en sable de carrière ; - plate-forme de grave compactée LOCALISATION : Date : 2/3/2010 24 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. ENSEMBLE DES CIRCULATIONS PIETONNES SELON PLAN DE MASSE COMPRIS COUR DE RECREATION Enrobé Les bétons bitumineux 0/10 sont répandus à une température supérieure à 130 °C, cette température étant majorée de 10 % en cas de pluie ou vent. Le compactage sera effectué par la méthode ‘compacteur à pneumatiques en tête’ décrite dans la directive du SETRA pour la réalisation des couches de surface de chaussée en béton bitumineux. 1.12.5. revêtement bitumé, comprenant : décapage dans terrain de toute nature-mouvement en déblais ou en remblais pour mise à niveau du fond de forme et façon de rampe. - Compactage de l’ensemble pour obtenir un coefficient proctor modifié K –6 . - Couche de fondation de 0.25 ml d’épaisseur après compactage réalisé en grave naturelle - Corps de voie en grave ciment dosé à 80 kg/m3 fabriqué en centrale de 0.10 ml d’épaisseur - Couche d’accrochage à l’émulsion de bitume à raison de 0.8 kg/m2 projeté à la lance et gravillon 4/6 sur la base de 6 litres au m2 - Revêtement en béton bitumeux 0.10 répandu à chaud au finisseur épaisseur 0.05 ml. Travaux comprenant la fourniture, le transport et la mise en œuvre des matériaux et du liant, tous cylindrages, etc. - LOCALISATION : SUIVANT PLAN DE MASSE : CIRCULATION ET STATIONNEMENT AUTOMOBILE ET CIRCULATION PIETONNE 1.12.6. revêtement bitumé clair, Mexphalte C LT de Shell ou équivalent : COURS DE RECREATION 1.13. Circulation piétons Bordure de parc en béton de ciment moulé du commerce, y compris lit de sable, calage, blocage au mortier de ciment ainsi que l’exécution des terrassements nécessaires. 1.13.1. Bordure de type P2, A2, CS2 , A2s et autres types appropriés LOCALISATION : SUIVANT PLAN DE MASSE COMPRIS BORDURES EN PIEDS DE CLOTURE DES COURS DE RECREATION Bordures de trottoir en béton de ciment moulé du commerce, y compris lit de sable, calage, blocage au mortier de ciment ainsi que l’exécution des terrassements nécessaires. 1.13.2. Bordure de trottoir T2. Date : 2/3/2010 25 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. LOCALISATION : SUIVANT PLAN DE MASSE Signalisation au sol 1.13.3. Signalisation au sol destinée aux personnes visuellement défaillantes, équipements conformes à la circulaire interministérielle du 30 novembre 2007. Fourniture et pose de bandes podotactiles au droit des limites de circulations piétonnes. LOCALISATION : MARQUAGE SUIVANT PLAN DE MASSE 1.13.4. Grave type dragée, pour chemin d’entretien plate bande, LOCALISATION : CHEMIN D’ENTRETIEN DE LA PLATE BANDE SOUS LES FENETRES DIRECTION ET INSTITUTRICES SUIVANT PLAN 1.14. Aires de stationnement 1.14.1. Aire de stationnement, comprenant : - géotextile anti-contaminant type ‘Type 3337’ (Griltex) ou équivalent ; - blocage de fond en sable de carrière ; - plate-forme de grave compactée LOCALISATION : PARKINGS (POUR MEMOIRE : DEJA DECRIT PRECEDEMMENT) SELON PLAN DE MASSE GENERAL 1.15. Clôtures Clôture grillagée rigide Clôture en panneaux rigides treillis soudé type AXIS S de chez DIRICKX, ou équivalent avec plis de renfort, maille 50x100 mm, fils de diamètre 4 mm, Pose entre poteaux type AXIS Design 100x70mm, scéllés tous les 2,53 ml. Hauteur hors sol de l’ensemble 1,50 m et 1.20m 1.15.1. Portillon pivotant manuel à 1 vantail, type Espace de DIRICKX, ou équivalent passage 1,00 m et hauteur 1.20 m, remplissage maille 50x50 mm, serrure à canon européen et 3 clefs, y compris massifs béton pour l’ensemble des poteaux.. COLORIS VERT FONCE. Clôture grillagée plastifiée, Mise en œuvre de la clôture comprenant le terrassement manuel, le scellement et le calage des poteaux ainsi que la fixation des panneaux et les systèmes de consolidation appropriés de toute nature. LOCALISATION : Date : 2/3/2010 26 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. CLOTURES SUIVANT PLAN DE MASSE 1.15.2. Poteaux supports + portail et portillons, hauteur variable selon plan de masse ;travaux comprenant : - fouilles ponctuelles, descendues sur bon sol ; - semelles de fondation en gros béton ; - élévation du poteau en béton armé dosé à 350 kg de ciment par m3, poteau livré brut de décoffrage, compris insertion des ancrages du portail. Poteaux habillés par les pierres sèches du mur de clôture de l’entrée des classes élémentaires. - portails type Axis de chez Dirickx ou équivalent. LOCALISATION : ACCES COURS DE RECREATION 1.16. Eclairage extérieur 1.16.1. Tranchée, travaux comprenant : - fouille en tranchée en terrain de toute nature, de profondeur variable suivant niveau fils d’eau ; - fond de fouille avec lit de sable de carrière de 10 cm d’épaisseur ; - enrobage de la canalisation avec sable de carrière compacté ; - recouvrement avec sable de carrière de 30 cm d’épaisseur compacté par couches de faible épaisseur ; - grillage de signalisation (rouge ou vert) posé sur sable de recouvrement ; - finition de remblai avec terre végétale provenant de la fouille, tassée et compactée ; - enlèvement et envoie dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion des déchets départemental. LOCALISATION : TRANCHEE RESEAU ECLAIRAGE EXTERIEUR SUIVANT IMPLANTATION LUMINAIRES Fourreaux Les fourreaux en remontées dépasseront de 1.00 m le niveau de sol fini. Fourreaux ondulés en PVC, pose en tranchée ou sous dallage, y compris dressement du lit de pose, calage et grillage avertisseur rouge ou vert et coude de remontée. 1.16.2. Fourreau PVC diamètre 72/80 (et/ou diamètres appropriés) LOCALISATION : FOURREAUX A PARTIR TABLEAU ‘TGBT’ POUR DISTRIBUTION DES DIFFERENTS POINTS D’ECLAIRAGES EXTERIEURS ET POINTS EN ATTENTE SUIVANT PLAN DE MASSE GENERAL 1.16.3. Massifs supports de candélabre, travaux comprenant : - fouilles ponctuelles, descendues sur bon sol ; - semelles de fondation en gros béton ; - travail en coordination avec électricien (caractéristiques de fixation du candélabre) Date : 2/3/2010 27 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. LOCALISATION : FONDATIONS DES CANDELABRES SUIVANT PLAN DE MASSE (3 UNITES) PLANTATIONS, ESPACES VERTS 1.17. Aménagements 1.17.1. Plantation de gazon rustique, compris : - Mise en place de terre végétale épurée des déchets et criblage ; épandage d’engrais spéciale gazon enfoui à la grille ; Ratissage et semis de gazon rustique à raison de 5 kg/are ; Les semences sont enfouies superficiellement par un léger griffage suivi d’un roulage après semis et arrosage. L’ensemble suivant plan de masse LOCALISATION : SUIVANT PLAN DE MASSE 1.17.2. plantations d’arbres et de haies vives, compris : - Amendement et apport de terre appropriés à l’essence d’arbre planté. Enfouissement des racines arrosage. Essences diverses LOCALISATION : SUIVANT PLAN DE MASSE 4 TILLEULS D’ALIGNEMENT SUR TROTTOIR D’ACCES 6 TILLEULS D’ALIGNEMENT DANS COUR DE RECREATION CHARMILLES DISPOSITION ALEATOIRE SELON PLAN DE MASSE 1.17.3. Grille de protection, aux pieds des arbres, type Area modèle Oxford diam.1.20 LOCALISATION : AUX PIEDS DE TOUS LES TILLEULS 1.17.4. Réhabilitation de la gloriette, pour conservation de ce vestige décoratif – la fréquentation du public n’est pas prévue. : - Remplacement des parties détruites ou dangereuses LOCALISATION : Date : 2/3/2010 28 Communauté de Communes du Bassigny Groupe scolaire de Provenchères sur Meuse C.C.T.P. GLORIETTE LOCALISEE SUR LE PLAN PAR UN PARALLELOGRAMME « CHARMILLE » 1.17.5. Jardinière préfabriquées, diamètres 1.20m, surface gravillonnée, garnies de végétation LOCALISATION : JARDINIERES A POSER PARFAITEMENT HORIZONTALEMENT SUR LA CIRCULATION PIETONNE SUIVANT PLAN 1.18. Tranchées spéciales 1.18.1 Tranchées spéciales P.A.C., travaux comprenant : - fouille en tranchée en terrain de toute nature, de profondeur variable suivant niveau fils d’eau ; - fond de fouille avec lit de sable de carrière de 10 d’épaisseur ; - enrobage de la canalisation avec sable de carrière compacté ; - recouvrement avec sable de carrière compacté par couches de faible épaisseur ; - grillage de signalisation marron posé sur sable de recouvrement à 30 cm minimum audessus des canalisations ; - finition de remblai au droit des regards avec terre végétale provenant de la fouille, tassée et compactée pour les 3 puits dans les espaces verts et finition enrobée avec renfort béton sous la voierie circulation de service pour les 3 autres puits. - enlèvement et envoie dans les différentes filières de traitements ou stockage en fonction de la nature des déchets, en respect du plan de gestion départemental des déchets des surplus de déblais. - coordination avec le lot chauffage-ventilation. LOCALISATION : TRANCHEES POUR LES CANALISATIONS DE CHAUFFAGE DES PUITS VERS LA CHAUFFERIE SOUS LA CIRCULATION DE SERVICE ET DANS LES ESPACES VERTS. Date : 2/3/2010 29