at a glance…

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at a glance…
LA LETTRE INTERNATIONALE DE L’INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SÉCURITÉ
FEBRUARY
09
FEVRIER
09
#2
at a glance…
&
The INRS International Newsletter
EDITORIAL
EDITO
Hope you enjoy the read!
Bonne lecture !
I
t is already time
for the second
issue of Osh at a
glance, INRS’s new
international newsletter.
This year too, risk
prevention is facing
new challenges:
addressing psychosocial risks
better, working to identify risks
related to nanotechnologies,
improving dissemination of the
prevention culture, in particular
in very small and small & medium
sized businesses, helping
emerging countries to develop
an occupational risk prevention
culture... these are a few of the
tasks awaiting us in 2009.
By working together, we can
but better fulfil our mission: to
preserve the health and secure
the safety of people at work.
With my best wishes for a
successful year of prevention. n
Jean-Luc Marié
V
oici déjà le
numéro 2 d’Osh
at a glance, la nouvelle
lettre internationale
de l’INRS. Cette année
encore, la prévention
devra faire face à de
nouveaux défis :
mieux appréhender les risques
psychosociaux, travailler à
l’identification des risques liés
aux nanotechnologies, assurer
une meilleure diffusion de la
culture de prévention en particulier
au sein des TPE-PME, aider les
pays émergents à développer
une culture de prévention des
risques professionnels...
Voici quelques-uns des chantiers
qui nous attendent en 2009.
Ensemble, nous ne pourrons
que mieux accomplir notre
mission : préserver la santé et
assurer la sécurité de l’Homme
au travail.
Avec mes meilleurs vœux pour
une année pleine de prévention. n
Jean-Luc Marié
For any queries about the
content of this newsletter:
[email protected]
n
Who are we?
Pour toute question sur le
contenu de cette lettre :
[email protected]
The Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) is a nonprofit-making association founded in 1947 under the aegis of the
Caisse Nationale de l’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés
(CNAMTS), the French National Health Insurance Fund for Salaried
Employees. At the core of the French occupational risk prevention
system, INRS acts for the benefit of employees and of firms. The mission
of INRS is to identify occupational risks and highlight hazards, to
analyse their consequences for the health and safety of people at
work, and to develop and promote means for controlling such risks.
For further information: www.inrs.fr
n
INRS information campaign
New labelling of chemicals, GHS
F
ollowing the adoption, of the European Regulation on
the new classification and labelling system for chemicals,
INRS is launching a vast information campaign. As from 2009,
classification and labelling of hazardous chemicals is moving
towards international harmonisation.
The first phase of our information campaign, from February
to April 2009, will be aimed at prevention professionals and at
company managers through the specialist press and through
Internet banners. An emailing sent out to a selection of 100,000
small & medium sized company managers will supplement this
communications scheme. The objective is to inform these players
so as to prepare them for the changes related to the new labelling by urging them to consult the specific section created on
the INRS Website (www.inrs.fr). Posters, a brochure, a PowerPoint presentation, and questions and answers are available on
the Website (in French only). A second phase will be scheduled
in 2010, six months before the first deadline of the Regulation,
and it will be intended for company managers and employees.
Through this information campaign, INRS is helping firms and
their employees to acquaint themselves with the new system. n
Campagne d’information de l’INRS
Nouvel étiquetage des produits chimiques, SGH
S
uite à l’adoption du règlement européen sur la nouvelle
classification et l’étiquetage des produits chimiques, l’INRS
lance une vaste campagne d’information. A partir de 2009, la
classification et l’étiquetage des produits chimiques dangereux
évoluent vers une harmonisation internationale.
La première phase de notre campagne d’information s’adressera
de février à avril 2009 aux professionnels de la prévention et
aux chefs d’entreprise à l’aide d’insertions dans la presse professionnelle et de bannières Internet. Un "emailing" adressé à
une sélection de 100 000 chefs de petites et moyennes entreprises complètera ce dispositif de communication. L’objectif est
d’alerter ces acteurs pour les préparer aux évolutions relatives
au nouvel étiquetage en les incitant à consulter la rubrique spécifique créée sur le site Internet de l’INRS (www.inrs.fr). Affiches,
brochure, présentation PowerPoint, questions-réponses sont
mis à disposition sur ce site. Une deuxième phase sera programmée en 2010, six mois avant la première échéance de ce
règlement, et s’adressera aux chefs d’entreprise et aux salariés.
A travers cette campagne d’information, l’INRS aide les entreprises
et leurs salariés à connaître ce nouveau système. n
Qui sommes-nous ?
L’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) est une association
sans but lucratif constituée sous l’égide de la Caisse nationale de
l’assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) en 1947. Au
cœur du dispositif français de prévention des risques professionnels,
l’INRS agit au profit des salariés et des entreprises. L’INRS a pour
mission d’identifier les risques professionnels et mettre en évidence
les dangers, d’analyser leurs conséquences pour la santé et la
sécurité de l’Homme au travail, de développer et promouvoir les
moyens pour maîtriser ces risques.
En savoir plus : www.inrs.fr
#2
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FEVRIER
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LA LETTRE INTERNATIONALE DE L’INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SÉCURITÉ
Québec : l’IRSST, un partenaire privilégié pour l’INRS
L’
INRS poursuit une longue histoire de collaboration et de coopération scientifique avec le Québec, Canada. Depuis
plus de 5 ans, l’INRS et son homologue québécois l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du
travail (IRSST) coopèrent dans le domaine de la recherche en santé et sécurité au travail. Les deux instituts viennent de
prolonger leur partenariat pour cinq nouvelles années (2008-2012). Ainsi les experts et chercheurs de l’INRS développent
des coopérations avec leurs homologues canadiens sur des sujets multiples tels que la biométrologie, les troubles
musculo-squelettiques, le bruit et les vibrations, le renversement des chariots élévateurs, les gants de protection, etc.
Cette coopération a porté ses fruits comme nous l’expliquent les directeurs scientifiques des deux instituts.
Trois questions aux directeurs scientifiques...
Comment est née cette entente-cadre ?
Didier Baptiste (INRS) : La volonté de coopération est née
au départ de similitudes et de valeurs communes entre
nos deux organismes : le paritarisme est au cœur de la
mission de l’INRS et l’IRSST. En effet, la réalisation des activités
de recherche et d’expertise de nos deux organismes repose sur
une approche de concertation paritaire, ce qui crée une spécificité à la fois riche et complexe. De plus, nos deux instituts
reconnaissent la place de la recherche dans le développement et
l’application de nouvelles solutions de prévention.
Paul-Emile Boileau (IRSST) : Au fil du temps, les occasions de rencontres entre les chercheurs et les membres de la direction de nos
deux organismes se sont multipliées et ont permis d’envisager des
perspectives concrètes de partenariat. Ces rencontres ont permis de
mettre en évidence des sujets de recherche d’intérêt commun, tels la
sécurité des machines industrielles, les troubles musculo-squelettiques
et le renversement des chariots élévateurs. Dans un souci de partage
d’expertise et d’optimisation de ressources, il apparaissait intéressant
et bénéfique pour nos deux organisations de conjuguer leurs efforts et
de définir des actions complémentaires pour réaliser certains travaux.
En plus d’intensifier les échanges entre chercheurs, cette entente-cadre
allait favoriser les collaborations bilatérales en matière d’activités de
recherche et paver la voie à l’élaboration d’ententes spécifiques sur des
dossiers d’intérêt commun.
Quels ont été les apports
de cette coopération ?
D. B. (INRS) : Nous retirons de nombreux bénéfices de
notre coopération. A titre d’exemple, citons les chariots
élévateurs, cause de graves accidents en France et au Canada.
L’INRS à travers le projet CEMAMO (Conception ergonomique des
machines mobiles) et l’IRSST travaillaient depuis de nombreuses années
sur cette problématique. Nos équipes ont mis en commun leurs
connaissances et expertises et ont ainsi pu améliorer le savoir-faire
acquis séparément. L’établissement d’un programme commun de travail
a permis par exemple de trouver plus rapidement des solutions de
prévention concernant le risque de renversement des chariots élévateurs. Ces solutions ont pris la forme de préconisations contre le risque
d’éjection du cariste en cas de renversement, de recommandations sur
la conception des plates-formes et des quais de déchargement ainsi
que de mesures d’organisation du travail.
Cette coopération se poursuit aujourd’hui car nous envisageons
de définir et réaliser en commun des systèmes de protection du
conducteur à l’aide d’un mannequin anthropomorphique.
P.-E. B. (IRSST) : En recherche, il y a de nombreux avantages à mettre
en commun des ressources humaines et financières et à partager de
l’expertise. En misant sur les forces de chacun de nos deux instituts, les
chercheurs peuvent accélérer la réalisation de projets et canaliser leur
savoir dans des créneaux où ils excellent. C’est une formule gagnantegagnante qui produit des résultats tangibles. Par exemple, une entente
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Didier Baptiste,
Directeur scientifique de l’INRS
Scientific Director of INRS
spécifique de partenariat sur les processus d’appréciation des risques
a mené à la réalisation d’une étude conjointe qui a permis de faire le
bilan des outils disponibles pour faire l’identification et l’évaluation des
risques associés aux machines industrielles. Cette étude a ouvert la voie
à une programmation de recherche en cours de réalisation qui vise
ultimement à munir les entreprises des meilleurs outils pour identifier
les risques et pour prévoir les moyens de prévention permettant de
réduire les accidents associés aux machines. En plus des travaux de
collaboration ayant porté sur l’ergonomie et la sécurité des chariots
élévateurs, un projet a été initié pour développer un outil prédictif
de la résistance des gants aux solvants industriels. Tout en facilitant la
réalisation conjointe d’autres études spécifiques, l’entente de collaboration a permis de favoriser la participation de chercheurs de nos deux
organismes à des rencontres de travail sur des thématiques spécifiques
(biométrologie, par exemple), ainsi que la production conjointe de
publications et l’organisation de rencontres et colloques (congrès francophone sur les TMS, par exemple). Et n’oublions pas que ce partenariat
assure aussi une meilleure diffusion des connaissances scientifiques.
Quels sont les enjeux de la
coopération pour les 5 ans à venir ?
D. B. (INRS) : L’enjeu pour cette nouvelle entente-cadre
est là la fois la continuité des coopérations scientifiques en
cours (chariots élévateurs, sécurité des machines, protection
auditive, TMS, équipements de travail…) et l’émergence de nouvelles
coopérations sur des sujets clés comme les nanotechnologies et les
risques psychosociaux, préoccupations de recherche pour nos deux
instituts. Sur de tels sujets, vastes et complexes, je pense qu’une collaboration avec l’IRSST nous permettra d’échanger sur les connaissances
acquises et de se "partager" les domaines de recherche encore inexplorés.
P.-E. B. (IRSST) : La réalisation de nos programmations de recherches
respectives reposera en grande partie sur la capacité de nos organismes à maintenir des collaborations fructueuses avec les principaux
acteurs du domaine de la recherche en santé et en sécurité du travail.
Ce domaine doit de plus en plus tenir compte des nouvelles réalités
du monde du travail. Dans ce contexte, l’entente de partenariat entre
l’INRS et l’IRSST saura sûrement contribuer à augmenter la capacité de
production, de diffusion et de valorisation des résultats des recherches.
En bout de piste, l’impact de la recherche sur le bilan des lésions professionnelles sera maximisé. Il y a certes des retombées positives pour
la recherche scientifique, mais les grands gagnants de ce partenariat
seront les travailleurs et les employeurs du Québec et de la France. n
POUR LA PRÉVENTION DES ACCIDENTS DU TRAVAIL ET DES MALADIES PROFESSIONNELLES
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Quebec: IRSST, a preferential partner for INRS
I
NRS is continuing a long history of scientific co-operation with Quebec, Canada. For over 5 years now, INRS and its
Quebec counterpart the Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST) have been
working together in the field of occupational health and safety research. The two Institutes have just extended their
partnership for a further five years (2008-2012). The experts and researchers from INRS are thus developing
co-operation with their Canadian counterparts on a multitude of topics such as biometrology, musculoskeletal
disorders, noise and vibration, forklift truck tip-over, protective gloves, etc.
This co-operation has been fruitful, as the Scientific Directors of the two Institutes explain.
Three questions put to the Scientific Directors...
Paul-Emile Boileau,
Directeur scientifique de l’IRSST
Scientific Director of IRSST
How did the framework-agreement
come about?
Didier Baptiste (INRS): The will for co-operation was initially born out of similarities and common values between
our two organisations: equal numbers of employers and of
workers’ representatives sit on the Boards of Directors both of INRS
and of IRSST, making our institutions bipartite bodies. This lies at the
core of our mission. The research and expert assessment activities
of our two Institutes are based on consulting both sides of industry,
giving us a specificity that is both rich and complex. In addition, our
two Institutes recognise the importance of research in developing
and applying new prevention solutions.
Paul-Emile Boileau (IRSST): Over time, with an increasing number
of opportunities for meetings between the researchers and the
management teams of our two organisations, we were able to envisage practical prospects for partnership. Those meetings highlighted
research topics of common interest, such as industrial machinery
safety, musculoskeletal disorders, and forklift truck tip-over. With
concern for expertise sharing and resource optimisation, it appeared
advantageous and beneficial for our two organisations to join orces
and to define complementary actions for doing certain work. In addition to intensifying exchange between researchers, the frameworkagreement was to facilitate bilateral co-operation on research activities,
and was to pave the way for specific agreements on common-interest
projects.
What has this co-operation brought?
D. B. (INRS): We are enjoying numerous benefits from our
co-operation. By way of example, we might mention forklift
trucks, which cause serious accidents in France and in Canada.
Both INRS, through its CEMAMO project (Ergonomic Design of
Mobile Machines), and IRSST had been working for numerous years
on this issue. Our teams pooled their knowledge and expertise and
were thus able to improve the know-how acquired separately. By establishing a common work programme, we were able, for example, to
be quicker in finding prevention solutions relating to the risk of forklift
truck tip-over. Those solutions were in the form of recommendations
for preventing the risk of the driver being ejected in the event the
truck tips over, of recommendations on the design of unloading docks
and platforms, and of work organisation measures. This co-operation is
continuing today because we are considering jointly defining and producing driver protection systems using an anthropomorphic dummy.
P.-E. B. (IRSST): In research, there are many advantages to be procured by pooling human and financial resources and by sharing expertise. By using the strengths of each of our two Institutes, researchers
can accelerate projects and channel their knowledge in the sectors
in which they excel. It is a win-win system that produces tangible
results. For example, a specific partnership agreement on risk appraisal
processes led to a joint study that was able to take stock of the available
tools for identifying and assessing risks associated with industrial machinery. That study paved the way to a research programme that is
currently in progress and whose ultimate aim is to equip firms with
the best possible tools for identifying the risks and for providing the
prevention means enabling to reduce machinery-related accidents. In
addition to the co-operation work on the ergonomics and safety of
forklift trucks, a project has been initiated to develop a tool for predicting the resistance of gloves to industrial solvents. While facilitating
other joint specific studies, the co-operation agreement has also made
it possible to facilitate the participation of researchers from our two organisations in working meetings on specific topics (e.g. biometrology),
as well as joint production of publications and organisation of meetings and symposia (e.g. a French speakers’ conference on MSDs). We
should also remember that this partnership secures better dissemination of scientific knowledge.
What are the key issues for the
co-operation over the next 5 years?
D. B. (INRS): The key issues for the new framework- agreement are both to continue the scientific co-operation in
progress (forklift trucks, machinery safety, auditory protection, MSDs,
work equipment, etc.) and also to secure the emergence of new cooperation on key topics such as nanotechnologies and psychosocial
risks, which are research concerns for both of our Institutes. For such
vast and complex subjects, I think that, by co-operating with IRSST, we
will be able to exchange the knowledge acquired and to “share out”
between us the research fields yet to be explored.
P.-E. B. (IRSST): The success of our respective research programmes
will depend to a large extent on the capacity of our organisations to
maintain fruitful co-operation with the main players in the field of occupational health and safety research. This field must increasingly take
account of the new realities of the working world. In this context, the
partnership agreement between INRS and IRSST will definitely contribute to increasing the capacity to produce, disseminate, and exploit
research results. At the end of the chain, the impact of research on the
occupational injury statistical figures will be maximised. Admittedly
there will be positive knock-on effects for scientific research, but those
who will gain most from this partner- ship will be the workers and
employers of Quebec and France. n
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LA LETTRE INTERNATIONALE DE L’INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SÉCURITÉ
European Network of Excellence and Virtual Reality
L
aunched in October 2004 under the auspices of the 6th Framework Programme for Research
and Development (FP6), Intuition is a network of excellence bringing together 67 players
(from industry, research institutes, and universities), including INRS, in the field of virtual reality.
Since 2003, INRS had already begun to look at what virtual reality techniques could bring to the
field of occupational risk prevention.
INRS, the only prevention organisation present in this network, referred its partners to the theme
of occupational risk prevention as a potential field of application for virtual reality, and expressed
the associated needs in terms of functionalities. In the context of the network activities, INRS
has thus contributed to three working groups -“Engineering and Design,” “Augmented Reality”
and “Education and Training”- corresponding to the three types of application targeted by INRS:
designing safe work systems, safe implementation of complex action procedures, and training
in prevention of chemical risks. More particularly, the Institute has worked with the University
of Nottingham to develop the methodology for assessing a virtual environment for training in
prevention of chemical risks (EVICS project).
As Network of Excellence of FP6, Intuition came to the end of its term at the end of 2008.
A European virtual reality association is in the process of being set up to continue the work and
synergies developed in that network. n
The used light
bulbs sector
This publication proposes
practical advice for
assessing and effectively
preventing occupational risks
at collection points and in
collection and
recycling firms. n
To download
the document
(in French only):
http://www.inrs.fr/
publications/ed6043.html
n For further information:
http://www.intuition-eunetwork.org/
Réseau d’excellence européen et Réalité virtuelle
L
ancé en octobre 2004 dans le cadre du 6e programme-cadre pour la recherche et le développement (6e PCRD), Intuition est un réseau d’excellence regroupant 67 acteurs (industriels,
instituts de recherche et universités) dont l’INRS dans le domaine de réalité virtuelle. L’INRS avait
déjà engagé depuis 2003 une réflexion sur l’apport des techniques de réalité virtuelle dans le
domaine de la prévention des risques professionnels.
L’INRS, seul organisme de prévention présent dans ce réseau, a porté auprès de ses partenaires la
thématique de la prévention des risques professionnels comme domaine d’application potentiel
de la réalité virtuelle et exprimé les besoins associés en matière de fonctionnalités. Dans le cadre
des activités du réseau, l’INRS a ainsi contribué à trois groupes de travail (“Ingénierie et Conception”, “Réalité Augmentée” et “Formation”) correspondant aux trois types d’application ciblés
par l’INRS : la conception de systèmes de travail sûrs, la réalisation sûre de procédures d’intervention complexes et la formation à la prévention du risque chimique. L’Institut a plus particulièrement collaboré avec l’université de Nottingham pour élaborer la méthodologie d’évaluation
d’un environnement virtuel de formation à la prévention du risque chimique (projet EVICS).
En tant que réseau d’excellence du 6e PCRD, Intuition est arrivé à son terme fin 2008. Une association européenne de réalité virtuelle est en cours de création afin de poursuivre les travaux et
synergies développés dans ce réseau. n
n Plus d’informations :
La filière des
lampes usagées
Cette publication propose
une série de conseils pratiques pour évaluer et prévenir
efficacement les risques
professionnels dans les points
de collecte et les entreprises
de collecte et de recyclage. n
Pour télécharger
le document
(uniquement en français) :
http://www.inrs.fr/
publications/ed6043.html
http://www.intuition-eunetwork.org/
INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SÉCURITÉ POUR LA PRÉVENTION DES ACCIDENTS DU TRAVAIL ET DES MALADIES
PROFESSIONNELLES - 30, rue Olivier-Noyer - 75680 Paris Cedex 14 - France - Tél. / Phone : +33 (0)1 40 44 30 00 • www.inrs.fr
Directeur de la publication : Jean-Luc Marié - Rédaction : Marie Defrance/Stéphane Vaxelaire - Contact : Marie Defrance, Chargée de
la coordination des relations internationales, [email protected] - Conception graphique : Trait d’Union - Illustrations : Eva Minem
Photos : Jean-Pierre Dalens/INRS. Contribuent également à cette publication : Patricia Bernard, Martine Bloch, Anna-Maria Poli.

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