Un peu moins de visiteurs que l`année dernière
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Un peu moins de visiteurs que l`année dernière
n COMPTOIR FRANC-MONTAGNARD Un peu moins de visiteurs que l’année dernière mais un bon bilan commercial V Le 38e Comptoir franc- ché comme sur des roulettes. Au niveau du restaurant, les affaires ont été excellentes, preuve encore une fois que les innovations apportées l’année dernière étaient bénéfiques.» Et d’ajouter: «L’année prochaine, nous supprimerons la scène, qui n’a pas été utilisée, cela nous permettra d’avoir quelques tables supplémentaires.» montagnard a fermé ses portes sur une note positive. V Avec quelque 5000 visi- teurs, la fréquentation a été un peu moins bonne que l’année dernière, mais les commerçants se disent globalement satisfaits des échanges et des affaires effectuées. Pas d’agrandissement dans un futur proche V L’année prochaine ne devrait pas voir de changements notoires, car il s’agit d’abord d’amortir les investissements consentis ces dernières années. «Le dimanche a marché très fort, depuis l’ouverture déjà, se réjouit Jean-François Hulmann, le président de la manifestation, «même si les autres jours ont vu une légère baisse de la fréquentation par rapport à l’année dernière, qui était une excellente édition». Une baisse qui s’explique aisément par une météo plus favorable aux activités de plein air, ainsi que par la multitude d’activités en tous genres organisées en même temps. «Quoi qu’il en soit, on ne cherche pas à battre des records, poursuit Jean-François Hulmann, ce qui nous On dirait que l’hiver pointe le bout de son nez. PHOTOS DANIÈLE LUDWIG Le comptoir: l’occasion de comparer les produits et les prix. La qualité des échanges est importante. PHOTOS DANIÈLE LUDWIG Le comptoir est toujours une affaire de famille. intéresse, c’est de nous distinguer des autres comptoirs par la qualité de notre accueil.» Le président se dit également extrêmement satisfait de l’organisation cette année: «Tout était bien rôdé et a mar- Par contre, le Comptoir ne devrait pas s’agrandir plus dans un avenir proche: «Tant que je serai président, je pense que nous en resterons là. Avec notre bassin de population, je pense qu’il est difficile, voire impossible d’attirer plus de monde. Evidemment, on pourrait prendre des commerçants extérieurs aux Franches-Montagnes, mais après, cela voudrait dire attirer aussi un public extérieur. Et puis je n’ai pas envie de devoir courir après des exposants pour remplir l’espace à disposition. Je préfère que les gens doivent se serrer un peu, plutôt que le contraire.» Et de rappeler que depuis 3–4 ans, le comptoir a consenti d’importants investissements qu’il s’agit maintenant d’amortir avant de songer à de nouvelles dépenses. PASCALE JAQUET NOAILLON