Dossier Les fables de la Fontaine 1415 WEB

Transcription

Dossier Les fables de la Fontaine 1415 WEB
Théâtre De L’Étreinte
Compagnie William Mesguich
Les Fables de La Fontaine
Mise en scène William Mesguich
Spectacle familial, à partir de 6 ans
Création 2013
Théâtre de l’Etreinte
2 bis rue des camélias
94140 Alfortville
Administration
Clémence Martens
09 81 47 72 93
06 63 88 24 59
[email protected]
Diffusion
Olivier Talpaert
En votre compagnie
06 77 32 50 50
[email protected]
Note d’intention
Se passionner pour les Fables de la Fontaine
C'est vouloir explorer les méandres de l'âme et du cœur humain.
C'est jouer à se faire peur.
C'est aussi avoir vraiment peur.
C'est cheminer avec des lions, des rats ou des ânes comme s'ils étaient des amis
d''enfance.
C'est aller sur le terrain de Tex Avery et côtoyer aussi Rembrandt ou Matisse.
C'est une invitation au monde de Lully et de Bach.
C'est nous interroger sur notre relation à l'autre, à ce qui nous entoure.
Les Fables sont éternelles et il nous faut les rendre proches. Elles nous font rire et
nous émeuvent, elles nous bouleversent et nous les connaissons avec le cœur
comme si nous les rêvions depuis toujours.
Côtoyons à nouveau Jean de La Fontaine pour retrouver ses personnages familiers et
découvrir ceux moins connus qui berceront tous les enfants à venir pour les 300
prochaines années.
William Mesguich
Distribution
Mise en scène William Mesguich
Assistante à la mise en scène Charlotte Escamez
Costumes Alice Touvet
Scénographie William Mesguich et Mathieu Courtaillier
Lumières Mathieu Courtaillier
Son Julien Ménard
Vidéo Mathieu Courtaillier et Arnaud Maillard
Avec, en alternance, Marie Frémont, Rebecca Stella, William Mesguich, Mathias
Maréchal, David Nathanson et Arnaud Maillard
Production déléguée Théâtre de l’Etreinte - Compagnie en résidence au Pôle Culturel
d’Alfortville - Avec le soutien de la Région Ile de France au titre de la permanence
artistique et du Conseil Général du Val de Marne.
Durée estimée 50 min
Tout commence lorsque Louis XIV demande à Jean de La Fontaine d'écrire un spectacle en vers. Les
animaux prennent vie et Les Fables de La Fontaine se construisent devant nous.
Une cigale chantante, un lièvre italien, un coq texan, l'amour et la folie qui jouent une dernière partie de
tennis...
Les univers se mélangent pour laisser place au jeu, au rire, à la poésie, et faire entendre, encore, et
toujours, les plus belles morales du monde.
Les petits comme les grands découvrent une mise en scène vivante, drôle et qui s'offre avec grâce à la
fantaisie théâtrale d'aujourd'hui...
La presse en parle
Monsieur de La Fontaine reçoit un appel téléphonique de 14 ou, plus précisément, de
Louis XIV. Le roi veut un spectacle en vers pour le lendemain ! Sous l'injonction royale,
le poète crée quelques-unes de ses célèbres fables, aidé par deux volontaires qui
interprètent le texte en train de s'écrire... William Mesguich avait déjà exploré le monde
subtil des Fables dans un précédent spectacle, en usant avec humour d’images
décalées. Anachronisme, exagération comique, mélange des genres sont également de
mise dans cette adaptation.
Télérama - Françoise Sabatier-Morel
« Faisant suite à une première série de fables montées il y a 7 ans, voici donc la
deuxième fournée encore chaude car tout juste créée!
William Mesguish, le metteur en scène, nous propose donc quelques fables parmi
lesquelles « Le lièvre et la tortue » ou « Le loup et l'agneau » mais aussi d'autres moins
connues. Et même une création d'une auteure contemporaine pour l'occasion « Le
hérisson et le caméléon »
Après une introduction assez classique, quoique téléphonique, entre La Fontaine et le
Roi Louis XIV, la tonalité générale est vite donnée. La parole est moderne c'est à dire
qu'elle va être notamment dialoguée et les fables commentées. Les deux comédiens et
la comédienne s'amusent visiblement à transformer leurs voix mais toujours au service
des personnages. On passe donc allègrement du rap à la conférence, du cartoon au
conte, ou de la chanson au cinéma. Le tout étant porté par une musique omniprésente
aux rythmes très actuels et des projections vidéo figurant tel ou tel espace ou lieu.
Également, la scénographie permet toute une variation d'interprétation. Il y a des
masques posés sur des supports, des costumes très réussis pour l'incarnation des
animaux joués ou parfois un simple accessoire qui fait référence.
À l'image de la proposition scénique très variée, le jeu des comédiens est vif et alerte,
l'incarnation animale colorée sans être caricaturale. »
Regarts - Jean-Michel Beugnet
Le génie de William Mesguich vient d’inventer un spectacle sur les fables du
poète dont on sort ébloui, heureux, et avec l’envie de relire l’un des génies de
la littérature française. l’acteur qui joue avec deux comédiens complices
endosse le costume de La Fontaine pour un moment de théâtre unique,
exigeant et festif.
La Provence – Jean-Rémi Barland
L'ouverture de ces Fables portées à la scène par William Mesguich, sous la
forme d'un spectacle pour jeune public, est excellente. On aime cette vie
incessante, ces décalages.
Toute la Culture.com - Geoffrey Nabavian
La mise en scène signée William Mesguich est pleine de fantaisie. Un humour
décalé, basé sur l'anachronisme, et un répertoire musical contemporain
raviront autant les parents que les enfants. William Mesguich en La Fontaine
est entouré de deux comédiens au talent comique indéniable.
Mes illusions comiques.com - Audrey Natalizi
Les costumes, les décors, les voix et la musique dont la modernité joue un
rôle essentiel dans le dynamisme anachronique de la pièce… sont autant
d’éléments de mise en scène qui confèrent aux fables un côté grotesque et,
par moments, jubilatoire. Cette pièce a le mérite de nous re-familiariser à
tout le potentiel comique des fables de La Fontaine, effacé à force
d’intellectualisme. La légèreté qui en ressort est réconciliante. Pour les
enfants comme pour les adultes.
Rue du Théâtre.eu – Cécile Strouk
Les Fables
Les deux coqs
Deux coqs se disputent une poule. Après une bagarre acharnée, le vaincu quitte le
poulailler.
Le vainqueur chante sa victoire si fort qu’il s’attire les foudres du Vautour.
La parodie dans la fable est double, le texte présente les coqs comme des héros
d’épopée, mais les coqs sont aussi comme des hommes arrogants, prêt à défier le
destin au lieu de faire preuve de prudence.
Le vieux chat et la jeune souris
La Fontaine nous donne à voir la froideur impitoyable et l'inflexible détermination de la
vieillesse triomphant des naïves illusions de la jeunesse orgueilleuse: Le souriceau
incarne la jeunesse immature remplie d'orgueil, d'arrogance, qui veut tout avoir et qui
s'imagine tout obtenir. Ce qui, précisément, fait sa vulnérabilité. Le fabuliste oppose
l'habileté, la ruse du « vieux chat » au manque d'expérience de la petite souris. Le
dernier vers (« La vieillesse est impitoyable ») montre bien qu'avec l'âge, on devient
inaccessible à la pitié... Parce que la vie elle-même se montre impitoyable à l'égard de
ceux qui vont mourir.
Le lièvre et la tortue
"Rien ne sert de courir; il faut partir à point". En d'autres termes : il est inutile d'user de
vitesse quand il est trop tard, il faut partir à temps; ou encore : la lenteur soutenue par
la persévérance peut plus que l'agilité accompagnée d'insouciance et de présomption.
Le fabuliste, d'un côté, attaque l'insouciance, la présomption, et nous en fait craindre les
suites funestes ; de l'autre, il propose une activité persévérante comme une vertu à
pratiquer, et il nous offre un appât dans ses brillants succès. Ainsi généralisée, la morale
de cette fable devient d'une application universelle.
Le hérisson et le caméléon
Un hérisson féru de mode et de création, tente de donner une leçon de style à un
caméléon un peu bougon. Cette fable inédite nous donne à apprendre que même si on
y met beaucoup d'imagination, Dame Nature reste toujours maîtresse de ses créations.
Les animaux malades de la peste
La fable présente une transposition animale de la société féodale pour faire la satire de
la justice et du pouvoir. Dans cette fable sont mis en scène le roi et ses sujets. Le
jugement que rendent les animaux réunis en conseil par le lion, pour cause de peste et
sur fond de culpabilité collective, condamne le plus faible, l'âne. La moralité tombe
comme un verdict sans appel, la loi générale du monde : la raison du plus fort.
Le coq et le renard
La fable révèle ici des défauts tels que la lâcheté, la flatterie, et donc constitue
également une satire des courtisans. Le Renard fait croire au Coq qu’il veut la paix avec
lui, mais le Coq se rend très vite compte que ce n’est que mensonge et le prend au
piège lorsqu’il lui demande de le proclamer aux Lévriers, celui-ci trouve prétexte pour
partir. Le coq rit de son propre stratagème. Ici, la voix du fabuliste est celle du coq. La
morale est implicite, à travers le récit, puisque nous comprenons que la flatterie des
courtisans est ici ridiculisée.
L'amour et la folie
La Fontaine fait référence au proverbe « L'amour est aveugle » en évoquant donc deux
entités : l’Amour et la Folie. Il se plaît à raconter leur histoire, ou comment la Folie fut
condamnée « A servir de guide à l’Amour ».
La cigale et la fourmi
Très certainement, la fable la plus célèbre !
La cigale a passé tout son été à chanter. L’hiver arrive, affamée, elle implore sa voisine la
fourmi de lui venir en aide. Malgré la promesse d’un prompt remboursement, la fourmi
avare lui rétorque qu’à été chantant, hiver dansant !
Le rat de ville et le rat des champs
Cette fable n’a pas de morale en soi. Elle ne fait que nous montrer la différence entre les
gens de la ville et les gens de la campagne. Ceux de la ville sont plus tracasser et ceux de
la campagne sont plus calmes, sereins. On a souvent comparé que les gens de la
campagne étaient plus faibles et que ceux de la ville étaient plus puissants… Dans la
fable, on y voit la fuite du rat des champs lorsqu’il entend un bruit.
Tournées 2014/2015
Le Vésinet (78) Théâtre du Vésinet
Le mardi 18 novembre 2014 à 10h et 14h
Le mercredi 19 novembre 2014 à 10h
Alfortville (94) – le Pôle Culturel
Le vendredi 28 novembre 2014 à 10h
Le samedi 29 novembre 2014 à 14h30
Garches (92) – Centre Culturel Sidney Becket
Le dimanche 30 novembre 2014 à 16h
Marly la Ville (95) - Espace Culturel Lucien Jean
Le jeudi 4 décembre 2014 à 10h et 14h
Magnanville (78) – Le Colombier
Le mardi 9 décembre 2014 à 10h et 14h
La Celles-Saint-Cloud (78) – Théâtre de la Celles-Saint-Cloud
Le vendredi 14 mars 2015 à 10h et 14h30
Neuilly-sur-Seine (92) – Théâtre des Sablons
Le mercredi 3 mars 2015 à 10h et 14h30
Le jeudi 4 mars 2015 à 20h30
Saint-Maur (94) – Théâtre de Saint-Maur
Le jeudi 19 mars 2015 à 10h et 14h
Le vendredi 20 mars 2015 à 10h
Mérignac (33) – L’Entrepôt
Le Dimanche 22 mars 2015 à 16h
Ajaccio (20) – Espace Diamant
Le mardi 31 mars 2015 à 14h30 et 18h30
Arnouville (95) – Espace Charles A
znavour
Le jeudi 16 avril 2015 à 09h30 et 14h
Le vendredi 17 avril 2015 à 09h30
Plaisir (78) – Théâtre Espace Coluche
Le mardi 12 mai 2015 à 10h et 14h30
Saverne (67) – Espace Rohan
Le jeudi 28 mai 2015 à 14h
Le vendredi 29 mai 2015 à 09h30 et 14h
Le dimanche 31 mai 2015 à 17h
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Le lundi 1 juin 2015 à 09h30
William Mesguich
Après une maîtrise de Lettres Modernes à Paris IV, William Mesguich suit les cours de
Philippe Duclos et intègre l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique Pierre Debauche Françoise Danell. Depuis 1982, il participe comme comédien à de nombreux
spectacles, sous la direction de, notamment, Antoine Vitez, Roger Planchon, Pierre
Debauche, Françoise Danell, Frédérique Smetana, Liliane Nataf, Robert Angebaud,
Madeleine Marion, Miguel Angel Sevilla, Daniel Mesguich, Jean-Louis Benoît… Et sous
sa propre direction.
Il joue dans Le Roman de Renart, Hippolyte de Robert Garnier, Athalie de Jean Racine,
Marie Tudor de Victor Hugo, L’Histoire qu’on ne connaîtra jamais d’Hélène Cixous, Les
Troyennes de Sénèque, Tartuffe et L’Avare de Molière, Le Roi se meurt d’Eugène Ionesco, la Périchole de Jacques
Offenbach, La Seconde surprise de l’amour de Marivaux, L’Echange de Paul Claudel, Alice Droz de Miguel Angel
Sevilla, Le Diable et le bon dieu de Jean-Paul Sartre, Fin du monde chez Gogo, cabaret de Frédérica Smetanova, Si
j’aime les trains, c’est sans doute parce qu’ils vont plus vite que les enterrements, autour de Robert Desnos, Antoine
et Cléopâtre de William Shakespeare, La Grève des Fées de Christian Oster, Paul Schippel de Carl Sternheim, Le
Prince de Hombourg de Heinrich Von Kleist, L’Entretien de M. Descartes avec M. Pascal le Jeune de Jean-Claude
Brisville, Du cristal à la fumée de Jacques Attali, Agatha de Marguerite Duras et Hamlet de William Shakespeare. Il
participe également aux Théâtrales Charles Dullin, biennale d’écriture contemporaine, en 2004 et 2006.
En tant que récitant, il participe à des opéras et des spectacles musicaux sous la direction, notamment, de Kurt
Masur, Serge Bodo, Jeanne au bûcher de Paul Claudel et Arthur Honegger, Pascal Rophé, Le fou de Marcel
Landowski, La Boîte à joujoux de Claude Debussy ; Jean-François Gardeil, L’enfant et les sortilèges de Maurice Ravel
et Colette, Laurent Petigirard, Des saisons en enfer de Marius Constant, Jean-Claude Malgoire, Egmont de Ludwig
Van Beethoven, Cyril de Diedrich, Athalie de Felix Mendelssohn et Jean Racine, Cyril Huvé, Babar de Francis Poulenc,
Jean-François Essert, L’Histoire du Soldat d’Igor Stravinsky et Kaspar Zehnder, Loup y est tu ? avec l’Orchestre
National d’ile de France.
Au cinéma, il joue, notamment, dans Faits d’hiver de Robert Enrico, La Fidélité d’Andrzej Zulawski et se produit à la
télévision sous la direction de Jean-Louis Lorenzi, Bruno Herbulot, Thierry Bénisti, Pierre Aknine, Charlotte
Brandstom, Hervé Balsé, Brigitte Koskas, Nina Companeez. Il participe régulièrement aux Fictions Dramatiques de
France Culture, sous la direction de Claude Guerre, Jacques Taroni ou Jean Couturier.
Depuis 1996, il est metteur en scène au sein du Théâtre de l’Etreinte (exceptés Oncle Vania, Tohu-bohu et Lomania,
il joue dans tous les spectacles qu’il met en scène) : Fin de Partie de Samuel Beckett, L’Avare de Molière, Oncle Vania
d’Anton Tchéckov, Le Chat botté de Charles Perrault, l’Histoire du soldat d’Igor Stravinsky, Le Cabaret des monstres,
La Légende des porteurs de souffle, La Légende d’Antigone, La légende de l’Etoile, La légende du Palladium et M.
Septime, Solange et la casserole de Philippe Fenwick, Tohu-Bohu, tragédie écrite par les lycéens de Noisy-le-Grand,
avec leur professeur Cécile Ladjali, Comme il vous plaira de William Shakespeare, Les Amours de Perlimplin et Bélise
en son jardin de Federico Garcia Lorca, Comment devient-on Chamoune, La veuve, la couturière et la commère,
Lomania de Charlotte Escamez, Il était une fois… Les fables de Jean de La Fontaine, Ruy Blas de Victor Hugo, La Belle
et la Bête de Madame Le Prince de Beaumont, la Vie est un Songe de Pedro Caldéron et Les Mystères de Paris
d’eugène Sue. Avec la compagnie Artistes en mouvement, il met en scène Il était une fois la création du monde,
spectacle théâtralo-musical. En 2011, il met en scène le Misanthrope de Molière, à Pékin en chinois avec les élèves de
l’Académie Centrale de Pékin. En 2012, il retourne à Pékin où il met en scène l’adaptation chinoise du spectacle « Il
était une fois... Les Fables ».
Il enregistre pour Gallimard, sous la direction de Catherine Lagarde, le grand Meaulnes d’Alain Fournier
Il met en scène en 2012 Sur un Air de Shakespeare, à partir des grands sonnets de William Shakespeare.
Diplômé d’état d’enseignement du théâtre, il anime des stages et des ateliers de pratique théâtrale tant en milieu
scolaire qu’associatif ; Il est régulièrement récitant
(Bibliothèque Nationale de France, Maison Balzac, Archives
Nationales, Musée de la Renaissance association Texte et Voix etc…)
Le Théâtre de l’Etreinte
Philippe Fenwick (auteur) et William Mesguich (metteur en scène) - tous deux comédiens fondent Le Théâtre
de l’Etreinte en 1998. Leurs choix artistiques portent aussi bien sur des auteurs classiques que
contemporains. Leurs spectacles s’adressent à tous les publics et prennent des formes variées (spectacle
musicaux, itinérants, jeunes publics etc.). Depuis 2011, William Mesguich dirige seul le Théâtre de l’Etreinte.
Les auteurs classiques
En 1997, William Mesguich met en scène Fin de Partie de Samuel Beckett et Les amours de Perlimpinpin et
Bélise en son jardin de Fédérico Garcia Lorca, en 1998 l’Avare de Molière, en 2001 Oncle Vania d’Anton
Tchekov, en 2005 Comme il vous plaira de William Shakespeare, en 2006 Ruy Blas de Victor Hugo, en 2010 la
Vie est un songe de Pedro Calderon, en 2012 Les Mystères de Paris d’Eugène Sue et en 2013 Noces de Sang
de Fédérico Garcia Lorca.
Les auteurs contemporains
Le Théâtre de l’Etreinte travaille en étroite collaboration avec, entre autres, deux auteurs contemporains,
Philipe Fenwick et Charlotte Escamez. William Mesguich met en scène en 2004 Tohu Bohu de Cécile Ladjali, et
M. Septime, Solange et la casserole de Philipe Fenwick, en 2007, La veuve, la couturière et la commère de
Charlotte Escamez et en 2012 Lomania du même auteur.
Les spectacles jeunes publics
En 2004, William Mesguich crée Il était une fois … les Fables de Jean de La Fontaine, en 2007, Comment
devient on chamoune ?, de Charlotte Escamez, en 2008 La Belle et la bête de Madame le Prince de Beaumont,
en 2010 Adèle et les Merveilles de Charlotte Escamez et en 2013, Les Fables de la Fontaine de Jean de la
Fontaine.
Les spectacles itinérants
A trois reprises, le Théâtre de l’Etreinte a parcouru à pied les routes de France et d‘Europe portant la parole
théâtrale dans les villes et villages. Les textes de Philippe Fenwick, mis en scène par William Mesguich, ont
parcouru plus de 6 000km avec La légende des porteurs de souffle en 1998, La légende d’Antigone en 2002 et
Confusions, la légende de l’Etoile en 2006.
Les spectacles musicaux
En 2003, William Mesguich met en scène La légende du Palladium, spectacle musical autour des chansons de
Léo Ferret écrit par Philipe Fenwick. En 2005, Charlotte Escamez et Philipe Fenwick écrivent et mettent en
scène le Grand Carabet, sur une musique de Stéphane Barrière.
Actions culturelles
Le Théâtre de l’Etreinte s’investit dans de nombreux projets socioculturels. Chaque année, la compagnie
organise des lectures publiques et anime environ 300 heures d’ateliers de théâtre et de sensibilisation. Depuis
2013, le Théâtre de l’Etreinte prend en charge l’enseignement du théâtre en option fondamentale et
d’expérimentation au lycée Henri Moissan à Meaux
Résidences
Le Théâtre de l’Etreinte a été en résidence au Forum de Blanc- Mesnil en 2000 et au Palais des Fêtes de
Romainville entre 2001 et 2002. De 2003 à 2007 la compagnie a été en résidence à Rosny-sous-Bois (93), au
Théâtre Georges Simenon, où William Mesguich et Philippe Fenwick assuraient la direction artistique. De 2008
à 2011, la compagnie s’est associée au Théâtre Victor Hugo de Bagneux (92).
Depuis 2011, le Théâtre de l’Étreinte est en résidence au Pôle Culturel d’Alfortville.
Nos Partenaires...
La compagnie est subventionnée par la région Ile de France au titre de l’aide à la permanence artistique et par
le Conseil Général du Val de Marne pour son fonctionnement.
La compagnie reçoit également l'aide de la SPEDIDAM, de l'ADAMI, du Jeune Théâtre National, de la Mairie de
Paris, du Conseil Général du Val de Marne au titre de l’aide à la création et du Conseil Général des Hauts de
Seine.
Théâtre de l’Etreinte
Compagnie William Mesguich
2 bis, rue des camélias 94140 Alfortville
06 63 88 24 59
09 81 47 72 93
Administration
Clémence Martens
06 63 88 24 59 / 09 81 47 72 93 // [email protected]
Diffusion
Olivier Talpaert
06 77 32 50 50 // [email protected]
www.theatredeletreinte.com

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