Rabbin Meyer.pub - Namur - Centre Spirituel Ignatien La Pairelle

Accès ?
En bus : face à la gare de Namur : quai
D1 bus n°4 – Arrêt facultatif « rue Marcel Lecomte », - monter à pied la rue
Marcel Lecomte (1km) jusqu’au calvaire : suivre le panneau « Centre Spirituel ».
En taxi : De la gare de Namur : 5km.
En voiture : E411, sortie Namur—
centre (n°14). Traverser Namur en direction de Dinant (N 92).
A la sortie de Namur, monter à droite la
rue Marcel Lecomte. A 1km, un panneau indique le Centre Spirituel.
Dimanche 31 janvier 2010
09h30 - 17h00
Eucharistie à 17h15 pour
ceux qui le désirent
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Jour
Le Centre Spirituel ignatien « La Pairelle » animé par des jésuites, des religieuses et des laïcs,
propose un large éventail d’activités pour jeunes et adultes : retraites individuelles et de
groupes selon les Exercices Spirituels de Saint Ignace, sessions sur des sujets d’actualité, cycles
de formation sur le discernement et l’accompagnement spirituel.
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Ces versets de la Bible
qui font problème
Bulletin d’inscription à renvoyer à :
Centre Spirituel–Secrétariat–25 rue Marcel Lecomte–5100 Wépion
Tél. : 081 468 111 - Fax : 081/468 118 - [email protected] – www.lapairelle.be
Inscription à la journée du 31 janvier
Animée par le Rabbin Meyer
Mme/M/Mlle/P/Sr(entourez la mention utile)
Prénom ............................ Nom ..............................................
Profession ....................... Congrégation ................................
Adresse .......................................................................................
Code postal ................ Ville ....................................................
Date de Naissance .......................
Téléphone .................. E-mail ................................................
Date et Signature
Prix : 30€, 26€ pour les étudiants et personnes en recherche d’emploi.
En cas de difficulté financière, contactez-nous
David Meyer, rabbin
française et israélienne.
auteur et enseignant de nationalité
S’engager dans le dialogue entre les religions pour écouter l’autre
nécessite un certain travail d’autocritique par rapport à nos propres
traditions religieuses.
Pour la tradition juive, cette critique se doit de confronter les versets
et passages bibliques et rabbiniques qui dérangent par leur violence ou leur mépris de l’autre.
♦
Est né en 1967 à Paris et doté d'une double nationalité,
française et israélienne
♦
Est licencié en mathématiques, une maîtrise d’Orientalisme et de Sciences Sociales, un diplôme du « Séminaire
Rabbinique Leo Baeck » de Londres
♦
A exercé pendant 11 années la fonction de rabbin à
Londres, à Bruxelles puis à Brighton
♦
Est l’auteur de nombreuses publications dont un livre
en
collaboration
avec
le
grand
Mufti de Marseille Soheib Bencheikh et le Père Yves Simoens (jésuite) du centre Sèvres de Paris sur la nécessité
de l’autocritique des religions. « Les versets Douloureux », aux éditions Lessius, Bruxelles
♦
Partant de la Tora, texte révélé, nous verrons comment, sans
modifier le texte, d’autres choix interprétatifs s’ouvrent à notre
lecture.
Enseigne dans deux universités bruxelloises en qualité de
« professeur invité » où il enseigne la pensée juive
contemporaine
♦
Le livre de Josué, livre « inspiré » et non plus « révélé », nous
confronte à une autre problématique. Pourquoi ce livre de violence
fut-il inclus dans le canon biblique ?
Est une personne « ressource » dans des activités
organisées par le Service Social Juif de Bruxelles
♦
Anime un groupe de réflexion et de soutien pour les
rescapés du génocide des Tutsis. Ce travail sur la
transmission de la mémoire du génocide le mène souvent
au Rwanda pour le suivi de projets de réflexion et d’aide
aux survivants.
Débutant par l’histoire du sacrifice d’Isaac, poursuivant par la question
d’Amaleq, nous envisagerons comment gérer ces versets dans une
perspective de dialogue et de reconnaissance du « coté obscur » de certains aspects de la religion.
Le livre de Josué puis un passage du Talmud nous permettra
d’envisager d’autres pistes de lecture de ces passages
problématiques.
Confronter les passages problématiques d’une tradition
afin de les dépasser et d’en proposer une « autre »,
voilà l’enjeu de ce séminaire.
Pour l’objectif de dépassement et de lecture « autre » de ces
passages à problème, nous tenterons de diviser la
problématique en fonction de critère de « sainteté » des textes
en questions.
♦
♦
♦
David Meyer
En nous penchant sur un passage talmudique, donc non « révélé »
et non « inspiré », mais plus modestement se voulant le résultat
de débats entre les sages, nous envisagerons la nécessité de
dépasser le cadre d’une correction de la violence par une lecture
interprétative.
La modification du texte talmudique s’impose-t-elle à ceux qui veulent
réellement faire face à la violence qui parfois mine nos traditions
religieuses?