Dossier de presse - Centre Culturel des Carmes
Transcription
Dossier de presse - Centre Culturel des Carmes
Centre culturel des Carmes - 8 place des Carmes - 33210 Langon 05 56 63 14 45 - [email protected] - www.lescarmes.fr Vendredi 8 février 20h30 Les Chiche Capon présentent Le Oliver Saint John Gogerty Clowns Préparez-vous à découvrir une interprétation improbable et loufoque de l’évolution de l’homme, menée tambour battant par trois énergumènes complètement déjantés et capables de tout, pour un gag. L’histoire, n’est bien entendu qu’un prétexte, et les trois énergumènes, ce sont Les Chiche Capon, trois clowns dont l’unique objectif est de vous faire hurler rire. Formés à l’école de clowns du Samovar et pour un temps acolytes de Julie Ferrier, les trois compères ont récemment sévi avec Les Affranchis sur France Inter. Avec trois bouts de ficelle et de l’imagination à revendre, Les Chiche Capon font dans l’art de la démesure et n’ont peur d’aucune folie. Enchaînant pitreries, cascades ridicules et parodies hilarantes, voici un spectacle à la sauce Capon. Chiche ! « Les trois gus parmi les plus décalés et décomplexés du moment, qui ont un je-ne-sais-quoi du délire des Monty Python et certains trucs, tics et tocs de Buster Keaton, sont de retour (…) » Le point – octobre 2010 Durée : 1h15 Tarif plein : 15 € - réduit : 10 € Centre culturel des Carmes - 8 place des Carmes - 33210 Langon 05 56 63 14 45 - [email protected] - www.lescarmes.fr « Pouvez-vous nous expliquer brièvement votre vision de l’homme de sa naissance à aujourd’hui ? » Voici l’intitulé d’une enquête d’opinion que nous avons mené dans un pub irlandais «The Oliver Saint John Gogerty ». C’est donc à partir de cette enquête d’un soir, que nous avons pu recréer une histoire de l’évolution de l’homme, qui respecte au maximum la vision de chacun des sondés. Notre premier spectacle « Le Saut de la mort » était une sorte de spectacle forain, puis nous avons fait « Le Cabaret des Chiche Capon », un cabaret s’inspirant de la grande tradition du music-hall, et aujourd’hui, nous présentons un spectacle de théâtre qui va puiser dans des formes diverses, comme la pantomime, le grand théâtre à la française ou encore l’opéra de Pékin… Notre envie commune est de faire exister les rapports de pouvoir entre nous, de faire évoluer le triptyque « clown blanc, auguste, contre-pitre ». Les Chiche Capon L’équipe artistique Biographie des Chiche Capon : Patrick de Valette, Frédéric Blin, Matthieu Pillard et Ricardo Lo Giudice. En 2000, Patrick de Valette, Frédéric Blin et Mathieu Pillard se rencontrent à l’école de clown du Samovar et décident de travailler ensemble. Un an plus tard, la compagnie Les Chiche Capon voit le jour ainsi que leur premier spectacle : Le Saut de la mort, qui, comme son nom l’indique, ressuscite un grand classique des numéros forains. à partir de 2001, les Chiche Capon, tout en continuant de jouer Le Saut de la mort dans divers festivals, intègrent l’équipe de Julie Ferrier. Ils jouent alors tous les mois à l’espace Confluences à Paris, dans le cabaret Takagolrie. En 2004, après une belle rencontre avec Clowns sans frontières, ils partent ensemble faire une tournée en Palestine, dans la bande de Gaza notamment. Cette même année leur spectacle prend son essor en France comme à l’étranger : de Chalon dans la rue, à Avignon (dans la rue aussi), de la Slovénie à la Suisse, en passant par le Festival Bis Art à Charleroy en Belgique, Le Saut de la mort fait chapiteaux combles. En 2005, la compagnie composée de 3 clowns, s’étoffe avec l’arrivée du comédien, chanteur et musicien Ricardo Lo Giudice. L’année suivante, ils créent, au Zèbre de Belleville, Le Cabaret des Chiche Capon. Un cabaret où dans les paillettes du music-hall, ils incarneront une galerie de personnages tour à tour fragiles, autoritaires, candides et magnanimes. Ils le joueront près d’un an au Café de la Gare à Paris, The Oliver Saint John Gogerty The Oliver Saint John Gogerty est d’abord un lieu social populaire, à Dublin où chaque soir et le week-end se retrouvent des gens qui parlent de leurs vies respectives, de l’actualité… L’on y refait le monde. Mais c’est aussi un homme pour le moins atypique : Oliver St John Gogerty (né le 17 août 1878 à Dublin et décédé le 22 septembre 1957 à New York) était un scientifique irlandais. Il fut médecin et chirurgien de l’oreille. Il fut aussi un écrivain et poète, un des plus importants humoristes dublinois, et une figure politique de l’État libre d’Irlande. Il connut son heure de gloire en étant l’inspiration de James Joyce pour son personnage de Buck Mulligan dans son roman Ulysse. partout en France et aussi à l’étranger : aux États-Unis (Clown’ Festival au Brick Theater à New York), en Angleterre, au Cambodge (festival Tinitinou, Batambang), en Afrique Centrale (tournée des centres culturels français dans tous les pays de l’Afrique Centrale), en Belgique et en Suisse mais aussi au Brésil (pour le Festival mondial des clowns). Au début de l’année 2009 les Chiche Capon créent un nouveau spectacle : Le Oliver Saint John Gogerty. (Espace Confluences, Prato à Lille, Festivals de Chalon et d’Aurillac). Ces clowns sont très proches de l’homme ou plus précisément de l’enfant. Les Chiche que je connais depuis plus de 10 ans et avec lesquels j’ai travaillé, ont une parfaite maitrise de l’art clownesque et surtout une belle folie ludique au service d’un jeu génial. Ils sont inventifs et n’ont peur de rien. Ils sont terriblement humains, attachants mais parfois si cruels… Ils sauront toujours vous séduire jusqu’à vous faire hurler de rire car ils ont l’Art des Grands Clowns ! Vive les Chiche Capon ! Julie Ferrier Les Chiche Capon sont de vrais clowns. Comme on n’en fait plus, une espèce en voie de disparition. C’est pour ça qu’il faut courir les voir, parce qu’avec eux tout peut arriver. « Tout » c’est à dire le magique, pas au sens magicien, l’exceptionnel, pas au sens de performance physique, le merveilleux, pas au sens esthétique. Juste au sens des clowns, qui prennent ce risque insensé, irraisonné d’être sur scène alors qu’ils ne savent pas faire grand chose. Mais pour eux, allez comprendre, c’est vital. C’est la démarche artistique la plus courageuse. Celle d’où naissent ces purs moments de rire, de poésie, de bonheur, qui nous touchent directement au cœur. C’est rare et précieux. Vive les Chiche Capon ! Shirley et Dino Chiche capon : Ainsi se défiaient les jeunes protagonistes du roman (et du film éponyme) Les Disparus de Saint-Agil (de Pierre Véry), avant de commettre leurs bêtises nocturnes, en saluant un squelette nommé Martin. Le clown © Thierry Guillaume Le clown est traditionnellement la figure du roi assassiné. Il symbolise l’inversion des propriétés royales dans ses accoutrements, ses paroles, ses attitudes. à la majesté se substituent la drôlerie et l’irrévérence, à la crainte le rire ; à la victoire la défaite, aux coups donnés les coups reçus, aux cérémonies les plus sacrées le ridicule, à la mort la moquerie. Il est le revers de la médaille, le contraire de la royauté : la parodie incarnée. (Le dictionnaire des symboles, Robert Laffont). Chiche interj. fam. Chiche adj. fam. 1. Exprime un défi « Chiche que je bois tout » 2. En réponse, exprime qu’on prend quelqu’un au mot « Tu n’iras pas ! Chiche » Être chiche de : être capable de, assez hardi pour. Capon, caponne adj. et n. Variation de chapon. Lâche, poltron. Les Chiche Capon Présentent Le Oliver Saint John Gogerty Spectacle écrit, mis en scène et interprété par les Chiche Capon : Fred Blin, Matthieu Pillard et Ricardo Lo Giudice Avec les complicités de Patrick de Valette, Grégory Lackovic, Doriane Moretus À partir du 11 octobre, tous les lundis à 21h Tarif unique de 25 euros, 15 euros pour les moins de 26 ans Contact presse Vincent serreau 01 42 61 18 00 www.vincent-presse.com Contact compagnie Temal Productions : Audrey Libois 01 41 58 58 78 et [email protected] �� Retrouvez également les Chiche Capon sur Facebook. Relation publiques Caroline Verdu-Sap 01 42 60 01 86 [email protected] F La Pépinière théâtre 7, rue Louis Le Grand 75002 Paris Métro : Opéra / Bus : 68, 95, 27, 21 Parkings : Marché Saint Honoré, Pl. Vendôme Location : www.theatrelapepiniere.com ou Tél. : 01 42 61 44 16 Domitille Roblot / Atelier Michel Bouvet / couverture Michel Bouvet La compagnie les Chiche Capon a reçu les soutiens de : PRESSE LE OLIVER ST JOHN GOGERTY Les Chiche-Capon récidivent ! A partir des résultats d’une enquête d’opinion menée dans un pub anglais, le Oliver Saint John Gogerty, le trio de comiques donne une vision très personnelle de l’histoire de l’Homme, en quatre tableaux, en commençant par les temps préhistoriques. Sans prétention autre que celle de faire rire, façon potache, grâce à de fortes personnalités techniquement très bien rodées. Grand moment lorsque Ricardo le musicien incarne un duc de Sicile vengeur ! Rire ? Chiche ! C’est un rire franc, un bon rire d’enfant, un rire aux éclats qui secoue les spectateurs duOliver Saint John Gogerty. Le titre signifie-t-il quelque chose, hormis le fait qu’il renvoie au poète et humoriste irlandais ? Et le nom de la compagnie, les Chiche Capon ? Pas davantage. L’histoire ? « Raconter l’évolution de l’homme de la préhistoire à nos jours. » Autant dire un simple prétexte au burlesque. Tels sont ces clowns en caleçons, maillots de catch, imperméables ou pourpoints : pour être Chiche, ce quatuor n’en est pas moins généreux en courses-poursuites, chicaneries, logorrhées et ritournelles censées faire diversion. Tout tient à des détails, des regards en biais et des sourires en coin, l’outrance des caractères entre hargne et gaucherie, le dérèglement de situations ordinaires, l’absurdité d’une haute carcasse coincée dans un escabeau. Et c’est là l’essentiel, comme chez les Marx Brothers et les Monthy Python, cette précision dans la mécanique, cette chorégraphie des corps et des gestes, cette drôlerie aussi inextinguible qu’une énergie renouvelable. A peine le spectacle achevé, on n’a qu’une envie : revenir le lendemain. Le Monde Magazine Préparez-vous à rire (aux larmes) ! Les trois gus parmi les plus décalés et décomplexés du moment, qui ont un je-ne-sais-quoi du délire des Monty Python et certains trucs, tics et tocs de Buster Keaton, sont de retour à Paris. Une excellente nouvelle sur le front de l'humour. Les Chiche Capon, zigotos qui ont déchaîné nos zygo au Café de la Gare, présentent Le Oliver St John Gogerty,parodie paranormale de Il était une fois... l'homme, le dessin animé qui a bercé plus d'une enfance sur FR3. Une saga de la préhistoire à aujourd'hui. À ceci près qu'ici, les narrateurs se comportent très étrangement, enchaînent les cascades et la castagne et se fourrent dans des situations inextricables - l'épisode de l'échelle, carrément barré, vaut le détour. L'essentiel pour ces loufoques est de s'amuser et de nous défouler. Mission accomplie ! Ces antihéros poilus sont poilants (et parfois à poil !). Clowns muets ou hurleurs, "philozozophes" agités du bocal, aux dégaines hallucinantes, ils ont, lors de leur précédent et trop bref passage dans la capitale, suivi un stage de clown avec le Québécois Michel Dallaire (du cirque du Soleil). Le 4e mousquetaire de la bande, l'hilarant Patrick de Valette, alias Philippe la loutre, absent des planches et débauché non sans raison par ce même cirque du Soleil pour jouer à Broadway, leur a donné un coup de pouce pour la mise en scène. Un résumé de ce show (impossible à résumer) par ces farfelus en personne : "Un spectacle qui va puiser dans la pantomime, le grand théâtre à la française ou encore l'opéra de Pékin." Enfin... à la sauce Capon, décapante ! La comédienne Julie Ferrier, fan de la première heure, que l'on a aperçue dans le public, dit d'eux : "Ces clowns sont très proches de l'homme ou plus précisément de l'enfant. Attachants mais parfois si cruels, ils n'ont peur de rien... " Ne vous privez surtout pas de la joie de les découvrir ! Une vision en quatre-vingt-dix minutes de l’histoire de l’humanité… quand on a un emploi du temps serré, la proposition, née dans un pub irlandais où l’on refait le monde, est séduisante. Le pari insensé est allégrement tenu par les Chiche Capon, clowns d’autant plus étonnants que ces potes empotés ne savent apparemment pas faire grand-chose, si ce n’est génialement saborder les numéros annoncés. Pour expliquer brièvement leur vision de l’homme, de son apparition à aujourd’hui, ils usent de la pantomime, du théâtre classique et même de l’opéra de Pékin. Si l’on en croit une inénarrable reconstitution de l’ère préhistorique, l’âge de pierre fut plutôt l’âge du gourdin, nos ancêtres passant leur courte vie à se tabasser. Cruel et désopilant ! A.A. « Chiche Capon » ! Rappelez-vous, c’est ainsi que dans le film « Les Disparus de Saint-Agil », de turbulents gamins saluaient le squelette Martin avant de commettre leurs sottises nocturnes. Et bien, c’est ce nom de scène qu’ont choisi ces trois artistes complètement barrés pour faire leurs bêtises artistiques. L’un est d’une taille immense, une gueule de gamin fripon, le deuxième est tout fluet, du corps à la voix, le troisième est costaud et ténébreux. Ce sont des clowns des temps modernes, entre le burlesque et le n’importe quoi. Pas besoin de nez rouge pour faire le « pitre ». En revanche, la folie créatrice est nécessaire. Et les Chiche Capon en possèdent une bonne dose… Trois grands malades, je vous l’assure. Leur dernier spectacle est né lors d’une soirée dans un pub irlandais, le « Oliver Saint John Gogerty », où ils se sont amusés à poser cette question : Pouvez-vous nous expliquer brièvement votre vision de l’homme de sa naissance à aujourd’hui ? Des réponses variées et diverses, ils ont fait le sujet de leur spectacle. Vu leur niveau d’anglais, vu le sport national irlandais qu’est la descente de pinte de bière, le résultat a quelque chose de totalement loufoque. Il y a la préhistoire, de la bagarre, un roi, un garde, un méchant, encore de la bagarre, un opéra, un Chinois, un vélo (énorme le gag visuel), une échelle, de l’eau et encore de la bagarre… Comme une charlotte au chocolat, il y a différentes couches, toutes délicieuses. Ne soyez pas cartésien, laissez votre clown personnel s’exprimer car les Chiche Capon ne se racontent pas, mais se rient à gorge déployée.Marie-Céline Nivière Impossible de rendre compte d’un gag, c’est aussi impalpable qu’une aile de papillon. L’argument du spectacle des Chiche Capon est aussi délirant que le résumé que Groucho Marx fit d’ « Une nuit à Casablanca » pour rendre fous les juristes de la Warner Bros qui lui cherchaient des noises. Contentons-nous de dire que Frédéric Blin, Matthieu Pillard et Ricardo Lo Giudice sont des clowns désopilants et que grâce à eux la Pépinière, pleine comme un œuf, retentit de rires et de bravos. Ils nous l’annoncent en préambule : à la suite d’une enquête d’opinion menée dans un pub irlandais, ils vont nous retracer l’histoire de l’homme à travers les temps. "Les Chiche Capon" vont effectivement évoquer différentes époques depuis les hommes préhistoriques en passant par les rois de France, mais il n’y a qu’une très lointaine ressemblance avec l’histoire (et encore moins avec l’Irlande), on l’aura bien compris : tout est ici prétexte à un jubilatoire numéro de clowns et ces trois-là y excellent. Basé essentiellement sur les rapports de force, chacun ayant son personnage récurrent (le poète bavard, le grand benêt, la brute), le spectacle utilise avec efficacité les différents registres de comique, visuel, de répétition, parodie, etc… pour le plus grand bonheur du public qui en redemande. En une heure, le trio produit un show détonnant et décapant, à la mécanique huilée et infaillible. Avec très peu de dialogues mais jonglant essentiellement entre cris et silences,Fred Blin, Matthieu Pillard et Ricardo Lo Giudice nous entraînent dans un délire dévastateur où l’on oublie sans difficulté ses petits tracas quotidiens. Cela n’a l’air de rien mais réussir simplement ça est un exercice hautement périlleux qu’ils maîtrisent avec un remarquable savoir-faire et un sens de l’autodérision consommé. Sans chercher la véracité historique, on apprécie donc avec plaisir un moment de rire (bienvenu en ces temps moroses) comme aux meilleurs moments de "la piste aux étoiles" et on ne lasse pas de leurs affrontements et enfantillages, remontant à l’histoire de l’homme à ses débuts, c'est-à-dire à l’enfance et au jeu.